Nora ANSELL-SALLES

lundi 17 octobre 2016

Attention, scoliose !



Le dos peut faire du mal... sans faire mal !
Attention, scoliose !
A l'occasion de la Journée mondiale de la colonne vertébrale (World Spine Day), le 16 octobre prochain, la Fondation Yves Cotrel – Institut de France alerte une nouvelle fois les médecins, les professionnels de santé et les parents sur l'importance du dépistage de la scoliose.

Les parents doivent être d'autant plus vigilants que la scoliose évolue habituellement sans douleur

La scoliose, qui se développe chez 2 à 3% des enfants, est un symptôme de déformation de la colonne vertébrale et du dos dont les causes peuvent être multiples. La plus fréquente d’entre elles est la scoliose idiopathique, ainsi dénommée parce que sa cause reste toujours une énigme.

Elle n'entraîne généralement pas de douleurs, mais elle ne met pas à l'abri du "mal au dos" assez fréquent en période de croissance et à l'adolescence. On peut justement profiter de cette plainte pour dépister une scoliose.

En parler suffisamment tôt permettra au médecin de procéder rapidement au traitement approprié afin de limiter une déformation trop sévère, de préserver une croissance la plus proche possible de la normale et de ne pas perdre la mobilité vertébrale.

 En effet, lorsque la déformation est déjà importante, les traitements sont non seulement difficiles, voire handicapants pour les enfants ou les adolescents dépistés trop tardivement, mais les résultats parfois décevants.

Les traitements non chirurgicaux, par plâtre et corsets, sont souvent imparfaits, permettant au mieux d’obtenir au bout de plusieurs années difficiles une déformation identique à celle de départ. Dans 1 à 2/10èmes des cas, il faut recourir à la chirurgie qui, malgré les progrès techniques considérables de ces 30 dernières années, soude entre elles les vertèbres
déformées et enraidit plus ou moins largement et inéluctablement la colonne vertébrale

Dépister au plus tôt
Ne pas confondre « attitude scoliotique » et scoliose.
Ce n'est pas parce qu'un enfant « se tient mal » qu'il peut déclencher ou aggraver une scoliose, dans la mesure où celle ci est une déformation de la colonne vertébrale liée uniquement à la croissance. Mais, il est tout aussi grave d'étiqueter attitude scoliotique une véritable scoliose qui va continuer d'évoluer, alors qu'un traitement bien conduit l'en aurait
empêché, que d'appeler « scoliose » une banale attitude scoliotique et d'imposer des traitements fastidieux inutiles.

Dépister le plus précocement possible permet d’envisager une déformation minime, une croissance la plus proche possible de la normale et, surtout, sans perte de la mobilité vertébrale.

UN TEST SIMPLE, RAPIDE ET FIABLE
L'enfant, torse nu, est penché en avant, bras pendants ; mains jointes, bassin à l'horizontale
La moindre asymétrie droite et gauche de la région thoracique ou lombaire (gibbosité) doit faire penser à une scoliose.

LA FONDATION YVES COTREL - INSTITUT DE FRANCE MET UN COURT DOCUMENT VIDÉO (45 SECONDES) À LA DISPOSITION DES PARENTS
tinyurl.com/depistagescoliose
En cas d'anomalie, il suffit d’un examen radiologique approprié très faiblement irradiant pour déterminer les cas qui relèvent de la simple surveillance ou d’un traitement non opératoire, qui sera effectué alors dans les meilleures conditions de confort et de résultat final, à la seule condition que la déformation ait été détectée au plus tôt dans l’enfance.
www.fondationcotrel.org

Contact presse : nicole.priollaud@wanadoo.fr

Appli Mon Réseau Cancer du Sein

Rattrapage du remboursement de l’audioprothèse par la Sécurité Sociale...




La ministre de la Santé a évoqué le 11 octobre dernier la nécessité d’une « réflexion » à une « prise en charge améliorée » de l’audioprothèse. Une enveloppe de 100 millions d’euros en année pleine permettrait de diviser par deux le reste-à-charge moyen des adultes, actuellement d’environ 1 000 € par oreille. Si toutes les personnes alentendantes susceptibles d’être appareillées l’étaient effectivement, on économiserait entre 1,7 et 2,1 milliards d’euros de soins.

Dans le cadre du PLFSS 2017, la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée nationale a procédé, le mardi 11 octobre, à l’audition de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, Mme Marisol Touraine. A cette occasion, M. Denis Jacquat, Député de la Moselle, a rappelé le sort de « l’éternelle oubliée des PLFSS ou autres lois mêmes récentes concernant la santé » que constitue l’audioprothèse dont le reste-à-charge demeure « beaucoup trop élevé ».

La ministre de la Santé a convenu que « les audioprothèses sont effectivement un sujet de préoccupation pour nos concitoyens » et admet, pour la première fois, la nécessité d’une
« réflexion » à leur « prise en charge améliorée », à l’instar de la récente annonce du plan
d’amélioration des soins dentaires.

L’Unsaf salue cette ouverture qui signe une prise de conscience au niveau du gouvernement et est prête à engager le travail avec les Pouvoirs publics et l’Assurance maladie pour revaloriser
l’intervention du régime obligatoire.

Une enveloppe de 100 millions d’euros en année pleine permettrait de diviser par deux le reste-à charge moyen des adultes, actuellement d’environ 1 000 euros par oreille, causé par un tarif de remboursement datant de 1986. Seule cette solution permet d’apporter une amélioration sensible et efficace de l’accès à l’audioprothèse pour tous, en évitant la tarification en fonction de l’âge opérée par les complémentaires santé (75% de la dépense en audioprothèse est constatée chez les plus de 65 ans).

En outre, l'appareillage auditif, par l'amélioration immédiate de qualité de vie des ses utilisateurs, a des effets documentés sur la consommation des soins médicaux et la prévention de la perte d'autonomie, avec à la clé des économies rapides sur les dépenses de santé. Selon une récente étude médico-économique conduite par Jean de Kervasdoué et Laurence Hartmann, si toutes les personnes malentendantes susceptibles d’être appareillées l’étaient effectivement, on économiserait entre 1,7 et 2,1 milliards d’euros de soins.

L'amélioration des comptes de la Sécurité sociale peut maintenant être amplifiée par des
investissements sur la prévention. Au total, le meilleur remboursement de l’audioprothèse par les régimes obligatoires lèvera un des derniers points noirs en matière d’accès aux soins tout en préservant une prise en charge au long cours et de qualité.


À propos de l’UNSAF
Le Syndicat national des audioprothésistes (UNSAF), né en avril 2011 de la fusion des trois syndicats historiques de la profession, est l’organisme professionnel représentatif des 3 300 audioprothésistes. Il siège notamment à l'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et au Haut conseil des professions paramédicales (HCPP). Il est également le signataire de la convention nationale de tiers payant conclue avec les Caisses Nationales d'Assurance Maladie. L’UNSAF est également présent au niveau européen au sein de l’Association européenne des audioprothésistes (AEA). Il est présidé depuis juin 2012 par Luis Godinho.
Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.unsaf.org

Contact Presse
Erika Nardeux
erika.nardeux@orange.fr

Quel comportement avez-vous face à la maladie ?

Quels comportements ont les travailleurs Français face à la maladie ?
80% des Français vont travailler même en étant malades
53% des femmes et 58% des hommes vont d'abord chez leur pharmacien avant leur médecin
Les hommes se disent plus robustes que les femmes face à la maladie
1 homme sur 2 déclare ne jamais être en arrêt de travail
Paris, 17 octobre 2016
Pharmao, la première application d'envoi d'ordonnances en officine et de digitalisation des officines, a interrogé plus de 1.300 personnes afin de connaître le comportement des travailleurs Français face à la maladie.
Lien officiel : http://www.pharmao.fr/
*Méthodologie et profils : Pharmao a interrogé 1.312 personnes sur le réseau social Facebook durant la période du 3 au 12 octobre 2016. Profils des personnes interrogées : 52% de femmes et 48% d'hommes. Âges compris entre 18 et 24 ans : 41% - Entre 25 et 39 ans : 34% - Entre 40 et 59 ans : 25%.
"Aujourd'hui, le simple fait de tomber malade occasionne de nombreux problèmes professionnels pour les Français. Que ce soit pour obtenir un rendez-vous rapide chez leur médecin, récupérer leurs médicaments en pharmacie mais également perdre un temps de travail précieux".
Nicolas Schweizer, fondateur de Pharmao
Le travail avant tout !
Les employeurs peuvent être satisfaits ! Les femmes et les hommes sont consciencieux même lorsqu'ils tombent malades puisque 67% des deux sexes font passer leur travail avant de penser à se soigner.
Quand vous sentez que vous allez tomber malade que faites-vous ?
Réponses
Femmes
Hommes
Je reste chez moi pour me reposer avant d'être complètement malade
33%
33%
Je vais travailler quand-même
67%
67%
Le pharmacien ... mon sauveur !
Les femmes et les hommes ont une attitude semblable lorsqu'ils tombent malades. En effet, 53% des femmes et 58% des hommes ont le réflexe de se rendre chez leur pharmacien pour prendre conseils. Il est à noter que l'automédication est bien présente pour 23% des femmes contre 17% chez les hommes et arrive en deuxième choix.
Quand vous êtes malade :
Réponses
Femmes
Hommes
J'attends que ça passe
6%
17%
Je demande conseil à mon pharmacien
53%
58%
Je vais chez le médecin immédiatement
18%
8%
J'essaie de me soigner par moi-même
23%
17%
La gestion des médicaments
67% des hommes versus 62% des femmes se rendent eux-mêmes à la pharmacie pour acheter leurs médicaments. 11% des femmes et 25% des hommes ont le réflexe d'utiliser les médicaments qui se trouvent dans leur pharmacie avant d'effectuer une quelconque autre démarche.
Pour vos médicaments :
Réponses
Femmes
Hommes
Je demande à quelqu'un de prendre mes médicaments
22%
8%
Je me rends moi-même à la pharmacie
62%
67%
Je ne prends que des remèdes naturels ou rien du tout
5%
0%
J'utilise ceux à ma disposition
11%
25%
La priorité entre la santé et le travail
Les Français semblent être très impliqués dans leurs fonctions puisque 90% des hommes se rendent à leur travail même souffrants ainsi que 70% des femmes. Finalement, peu de personnes demande un arrêt de travail à un médecin. En revanche, on note un pourcentage d'obtention d'arrêt de travail plus important chez les femmes (18%) contre 10% chez les hommes.
Pour votre travail :
Réponses
Femmes
Hommes
Je continue à aller travailler tant que je peux le faire sans trop de difficultés
70%
90%
Je demande à pouvoir travailler à distance depuis chez moi
12%
0%
Je demande un arrêt de travail tout de suite pour rester chez moi
18%
10%
Les femmes plus sujettes aux maladies que les hommes
25% des hommes déclarent ne jamais être malades, ce qui n'est pas vérifié chez les femmes (0%). La majeure partie des personnes comptabilise entre 4 à 8 jours de maladie et cela se vérifie pour 33% des femmes interrogées contre 34% des hommes.
En une année, combien de jours êtes-vous malade ?
Réponses
Femmes
Hommes
Aucun jour de maladie
0%
25%
1 à 3 jours de maladie
11%
25%
4 à 8 jours de maladie
33%
34%
10 à 15 jours de maladie
33%
8%
Plus de 15 jours de maladie
23%
8%
50% des hommes n'enregistrent aucun jour d'arrêt maladie sur une année complète
50% des hommes ne s'absentent jamais de leur poste de travail versus 28% des femmes. La moyenne de jours d'absence est de 4 à 8 jours chez les femmes pour 39%, et 25% chez les hommes. Il est à noter que les hommes sont moins nombreux que les femmes à s'absenter plus de 10 jours.
En une année, combien de jours êtes-vous arrêté(e) ?
Réponses
Femmes
Hommes
Aucun jour d'absence
28%
50%
1 à 3 jours d'arrêt
17%
17%
4 à 8 jours d'arrêt
39%
25%
10 à 15 jours d'arrêt
16%
8%
Plus de 15 jours d'arrêt
0%
0%
A propos de Pharmao
Avec déjà plus de 50.000 téléchargements et disponible sur iPhone et Android, Pharmao est d'abord une application mobile permettant aux utilisateurs de gagner un temps précieux dans leur pharmacie. Pharmao permet d'envoyer la photo d'une ordonnance à la pharmacie de son choix. Le pharmacien recontacte ensuite la personne lorsque la commande est prête pour venir la récupérer en officine et propose ainsi un service Click&Collect performant. Pharmao permet à toutes les pharmacies d'être présentes à la fois sur Internet et sur smartphone. Chaque utilisateur dispose ainsi de l'ensemble des informations d'une officine : horaires d'ouverture, coordonnées, promotions, prises de rendez-vous, etc. Pharmao propose également un outil d'analyse du comportement client permettant aux pharmaciens de connaître le temps passé dans son officine, la fréquence des visites, les zones chaudes et froides ou le parcours du client. L'ensemble de ces services est proposé aux officines sous la forme d'un abonnement de 49€ par mois.
En seulement une année, Pharmao est déjà présent en France et en Côte-d'Ivoire, et sera prochainement lancé en Belgique et en Tunisie et ambitionne d'atteindre plus de 500 pharmacies adhérentes et plus de 3.000 d'ici 5 ans.
Pharmao a été créée en 2015 par Nicolas Schweizer, ancien étudiant à l'EEMI, l'école de Xavier Niel, Jacques Antoine Granjon et Marc Simoncini. Pour en savoir plus : http://www.pharmao.fr/
Pour télécharger l'application :

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Gildas Piquet-Friboulet - gildas@buzzpress.fr