Nora ANSELL-SALLES

mardi 10 septembre 2013

Marisol Touraine installe l’Observatoire national du suicide


A l’occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, installera ce mardi 10 septembre, l’Observatoire national du suicide.

Créé auprès de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, l’Observatoire national du suicide réunit les représentants des sept ministères concernés*, des acteurs institutionnels (opérateurs de l’Etat et caisses d’assurance maladie), des parlementaires, ainsi que des chercheurs, des professionnels de santé de diverses disciplines, des personnalités qualifiées et des représentants d’associations.

L’Observatoire national du suicide a pour mission d’améliorer la connaissance des mécanismes conduisant aux suicides et de mieux coordonner et exploiter les différentes données existantes. Il devra également évaluer les politiques publiques de lutte contre le suicide, et produire des recommandations, particulièrement dans le champ de la prévention.

L’Observatoire se réunira deux fois par an. En parallèle, des groupes thématiques travailleront plus spécifiquement dans les domaines de la recherche et de la prévention.

L’Observatoire national du suicide établira un rapport annuel, qui s’attachera à établir chaque année un focus thématique.
 
DISCOURS DE  MARISOL TOURAINE
Mesdames et Messieurs les parlementaires,
Monsieur le Directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques,
Mesdames et Messieurs,
Le suicide concerne chacun d’entre nous, il concerne la société tout entière. Il est un appel au secours, il s’impose parfois comme l’ultime recours pour des personnes seules, des jeunes en détresse ou des âgés malades.
Le suicide peut survenir partout : dans nos centres ville, nos quartiers et nos campagnes, dans nos entreprises et nos maisons de retraite. Il est un acte intime qui frappe tous les milieux sociaux, sans exception.
 
Toutefois, nous partageons tous ici une conviction : le suicide, bien qu’intimement individuel, peut être combattu collectivement. Sa prévention ne peut pas, et ne doit pas, rester confidentielle.
Aujourd’hui, la réalité du suicide est encore mal connue. Elle reste un sujet tabou, un sujet dont on ose peu parler.
Nous disposons d’innombrables informations sur le suicide. Mais toutes ces données sont mal coordonnées. Nos connaissances sur les tentatives de suicide restent trop faibles et mal documentées. Si nous voulons prévenir et agir en amont, il est indispensable de mieux analyser les comportements qui devraient nous alerter, notamment chez les jeunes ou les personnes âgées.
C’est la raison pour laquelle j’ai annoncé, en février dernier, au Conseil économique, social et environnemental (CESE), la création d’un Observatoire national du suicide, suivant en cela l’une de ses préconisations.
Je tiens à rassurer les sceptiques : mieux connaître ne sera pas un prétexte pour ne pas agir.
Au contraire, décider de mieux repérer, de mieux alerter et de mieux prévenir, c’est ne pas céder à la fatalité.
 
I/ C’est rappeler que le suicide est d’abord et avant tout un enjeu de santé publique.
En France, toutes les 50 minutes, une personne se suicide. Chaque année, près de 11 000 de nos concitoyens mettent fin à leurs jours. 11 000 morts par an : c’est trois fois plus que les accidents de la route ! Il faut aussi redire sans cesse que le suicide est la première cause de décès chez les 25-34 ans et la 2ème chez les jeunes de 15-24 ans.
Dans le même temps, 220 000 tentatives de suicide sont recensées tous les ans, conduisant à une prise en charge dans nos services d’urgence. La moitié d’entre elles débouche sur une hospitalisation.
Au cours de ces 25 dernières années, des progrès ont été réalisés grâce à la mobilisation de tous : le taux de suicide a baissé de 20%. Toutefois, il a diminué trois fois moins vite que l’ensemble des morts violentes. Certaines tranches d’âges sont même confrontées à une hausse du taux de suicide : c’est le cas des 45-54 ans. Les personnes âgées sont aussi particulièrement touchées : un tiers de celles et ceux qui se suicident a plus de 60 ans. La radicalité de leur geste est souvent le fruit d’une extrême solitude.
 
S’il n’est pas une fatalité, si les pouvoirs publics ont les moyens de le combattre, c’est parce que le suicide n’est pas seulement la conséquence d’un choix individuel : il est d’abord un fait social. Et existe-t-il un signe plus fort que les inégalités face au suicide pour attester de cette réalité ? Ces inégalités, le rapport du Conseil Economique, Social et Environnemental les a de nouveau montrées.
D’abord, les comportements entre les hommes et les femmes diffèrent : les premiers sont trois fois plus nombreux à se donner la mort, lorsque les secondes effectuent deux fois plus de tentatives.
Dans le même temps, les disparités sociales sont choquantes : les ouvriers sont trois fois plus touchés que les cadres. Celles et ceux qui sont frappés par l’isolement, par la précarité, par le chômage, par le mal-être au travail ou par des ruptures de vie en sont les premières victimes.
Par ailleurs, les minorités sexuelles sont surexposées, et en particulier les plus jeunes, qui doivent souvent affronter des discriminations importantes au moment de l’adolescence. L’homophobie tue, n’ayons pas peur des mots.
Le lieu de vie, enfin, semble déterminant. On observe en effet des disparités flagrantes entre les régions : les taux les plus élevés concernent la Bretagne et la Basse-Normandie. La France est enfin bien plus touchée que ses voisins européens.
 
II/ Le suicide n’est pas une fatalité. Nous avons donc la responsabilité et le devoir de nous mobiliser pour agir.
 
Le travail des professionnels et des associations montre chaque jour que nous ne sommes pas impuissants face au suicide.
De nombreuses initiatives se sont avérées efficaces : je sais d’ailleurs que certaines personnes présentes dans cette salle aujourd’hui se sont personnellement engagées sur ce sujet. Plusieurs des dispositifs que vous avez déployés ont fait la preuve de leur efficacité pour prévenir le suicide. Au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lille, par exemple, certaines expérimentations visent à maintenir un lien fort avec les personnes après leur sortie de l’hôpital : et les résultats sont là, puisque les récidives ont été réduites de manière significative.
Néanmoins, il est encore essentiel de mieux comprendre le suicide. Les statistiques sont là, mais elles ne suffisent pas pour améliorer nos politiques de dépistage. Par ailleurs, l’évaluation de nos politiques publiques demeure relativement pauvre.
 
III/ Le lancement de l’observatoire national du suicide marque donc une étape importante.
Ce combat est un enjeu de santé publique. Mais il doit mobiliser beaucoup plus largement. Il requiert que nous soyons collectivement engagés. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu que la composition de cet observatoire soit plurielle.
Les associations, d’abord, seront au premier plan. Celles qui représentent les usagers du système de santé, les proches des personnes malades et les associations d’écoute et de prévention du suicide mettront au service de tous leur expérience de terrain. Leur capacité à se mobiliser au plus près de nos concitoyens et à être à l’écoute des personnes vulnérables sera décisive.
Les professionnels de santé occuperont aussi une place déterminante. Des psychiatres, des médecins légistes, des urgentistes, des médecins généralistes, des médecins du travail et des médecins scolaires permettront tous d’apporter une expertise médicale à la compréhension du suicide.
Des chercheurs, notamment des sociologues, des spécialistes du suicide et des parlementaires seront également étroitement associés.
Par ailleurs, les pouvoirs publics joueront pleinement leur rôle. La question du suicide doit être appréhendée dans toutes ses composantes. Elle doit faire intervenir l’Education nationale, le ministère de la justice, celui du travail, celui de l’Enseignement supérieur et de la recherche, le ministère de l’intérieur et celui de l’agriculture. Au total, sept ministères seront représentés au sein de l’observatoire, ainsi que des agences régionales de santé (ARS), des opérateurs et des caisses d’assurance maladie.
Enfin, je tiens à remercier la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), à laquelle l’observatoire national du suicide sera rattaché. C’est la mission première de la DREES que de doter l’Etat d’une meilleure capacité d’observation, d’expertise et d’évaluation. Je sais ainsi pouvoir compter sur elle, et sur l’engagement de ses agents, pour aider les pouvoirs publics à appréhender le suicide dans toute sa complexité.
 
Je sais également que les sollicitations ont été nombreuses pour participer aux travaux de l’observatoire. Et je m’en réjouis, car elles illustrent la nécessité de franchir une nouvelle étape dans la compréhension du suicide. Chacun pourra ainsi contribuer aux travaux par le biais de groupes de travail.
 
IV/ La responsabilité de l’Observatoire national du suicide sera grande.
 
Ses membres auront pour mission de mieux coordonner les informations existantes, de mieux repérer et de mieux alerter.
Ils auront la charge d’adresser des recommandations aux décideurs publics.
L’observatoire produira un rapport annuel, en développant à chaque fois plus particulièrement une thématique spécifique. Les modalités de son travail seront rapidement précisées et des groupes seront constitués pour avancer, notamment, dans le domaine de la recherche et dans celui de la prévention.
Plusieurs axes thématiques pourront être développés : je pense, par exemple, au suicide des personnes âgées, qui fait l’objet de travaux conduits par Michèle DELAUNAY. Sur ce sujet, nous savons qu’il y a urgence ! Nous avons donc la responsabilité de trouver rapidement des solutions.
 

 
Mesdames et Messieurs,
 
En matière de suicide, nous ne sommes pas condamnés à l’inaction.
Vous pouvez être certains de ma détermination sans faille pour conduire ce combat. La mise en place de l’Observatoire national du suicide s’accompagnera d’une politique volontariste en la matière. Nous n’avons d’ailleurs pas attendu et des mesures ont d’ores et déjà été mises en œuvre : j’ai à l’esprit les actions à destination des jeunes et de leurs parents, la prévention du suicide en ligne ou le renforcement de la formation des professionnels au contact des personnes vulnérables.
Tout ne reposera donc pas sur l’Observatoire national du suicide : mais il sera un outil indispensable pour mieux connaître, mieux prévenir et conduire plus efficacement notre combat contre le suicide.
Je vous remercie.

MINE D'INFOS: Aides à la complémentaire santé : ce qu'en dit Eti...

MINE D'INFOS: Aides à la complémentaire santé : ce qu'en dit Eti...: Réorienter les aides à la complémentaire santé   Toutefois, prévient l'enjeu "n'est pas de diminuer les aides à la co...

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Aides à la complémentaire santé : ce qu'en dit Etienne Caniard



 

Toutefois, prévient l'enjeu "n'est pas de diminuer les aides à la complémentaire santé mais de les réorienter pour permettre l'accès à une ... Etienne Caniard Pdt de la Mutualité Française,

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MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse : interview de Serge Brich...

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse : interview de Serge Brich...: " Les séniors ont apprivoisé très vite la tablette numérique, bien plus vit que le PC ou le portable, mais restent très attachés au ...

La MGEFI dans la presse : interview de Serge Brichet à propos des "consumer mag"

Serge Brichet Pdt. de la MGEFI et Directeur de la publication « Couleurs MGEFI »



"Les séniors ont apprivoisé très vite la tablette numérique, bien plus vite que le PC ou le portable, mais restent très attachés au fait de recevoir régulièrement leur journal"

Lire l'article : La frénésie des 'consumer mag'

LA TRIBUNE DE L'ASSURANCE de SEPT 13


 

lundi 9 septembre 2013

MINE D'INFOS: Plus jeunes, plus mobiles et plus connectés, les i...

MINE D'INFOS: Plus jeunes, plus mobiles et plus connectés, les i...: Pour eux, Le Fastt lance le 1 er magazine vidéo sur internet entièrement dédié aux intérimaires   FASTT MAG online   Depuis la cr...

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MINE D'INFOS: Plus jeunes, plus mobiles et plus connectés, les i...: Pour eux, Le Fastt lance le 1 er magazine vidéo sur internet entièrement dédié aux intérimaires   FASTT MAG online   Depuis la cr...

Plus jeunes, plus mobiles et plus connectés, les intérimaires modifient les pratiques au travail :


Pour eux, Le Fastt lance le 1er magazine vidéo sur internet entièrement dédié aux intérimaires
 

FASTT MAG online

 
Depuis la création du Fastt il y a 20 ans, le profil des salariés intérimaires a considérablement évolué. Aujourd’hui, plus de la moitié des salariés intérimaires en France ont moins de 30 ans et 75% d’entre eux ont mois de 40 ans. Cette nouvelle vague d’intérimaires, en grande partie issue de la génération Y, est à la fois extrêmement mobile et connecté. Depuis 2010, la première source d’information, pour 36% d’entre eux, se fait en priorité via internet. Pour répondre aux plus pressés et au plus près de leurs attentes en termes d’information et de soutien, le Fastt lance le Fastt Mag, le 1er magazine vidéo sur internet entièrement dédié aux intérimaires.

Cette nouvelle chaîne de WebTV, créée en complément des rubriques d’information du site internet, propose déjà 30 programmes courts de conseils aux intérimaires, toujours sur des sujets pratiques allant de l’aide au logement à la garde des enfants en passant par les solutions de crédit automobile ou de covoiturage. Le Fastt Mag est enrichi tout au long de l’année sur un rythme régulier avec de nouvelles vidéos chaque mois.


Les derniers numéros de ce magazine s’intéressent aux aspects budgétaires avec « Utiliser le crédit à bonne escient » et « Gérer son budget. » ou encore à quoi faire en cas d’accident du travail. Les deux nouveaux numéros, postés début septembre, traitent des solutions en matière de mutuelles et des démarches à suivre pour en acquérir une facilement.


En 2012, le Fastt a délivré plus de 68.500 prestations et mobilisé 19 millions d'euros. Les conseillers du Fastt ont répondu à plus de 250.000 demandes d'information et de conseils. Plus de 800 000 visites ont été enregistrées sur le site www.fastt.org.

 

 « En décembre 2012, le nombre d'intérimaires en équivalents-emplois à temps plein s’est établi à 569 400, mais en baisse de 1,6% sur un mois et de 8,6% sur un an. Il n’y a donc pas plus d’intérimaires en période de crise, au contraire, mais les travailleurs intérimaires sont aujourd’hui en majorité des jeunes de moins de 30 ans, qui ont d’autres modes de fonctionnement, notamment en ce qui concerne les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Nous nous sommes donc adaptés. La vidéo en ligne est en pleine croissance et le Fastt Mag rencontrera rapidement son public. »
confirme Daniel Lascols, directeur du FASTT.
 

Rappel d’information :
Le 11 juillet 2013, Michel MANENT (Directeur des affaires sociales au sein de la direction des ressources humaines du groupe Adecco) est élu nouveau Président du Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire après en avoir été le Vice Président.

 

A propos du FASTT : Le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire), association loi de 1901 à but non lucratif créée en 1992, propose à l’ensemble des salariés intérimaires une gamme de prestations pour faciliter leur vie quotidienne. Financé, au travers d’un accord de branche, par les entreprises de travail temporaire et géré par les partenaires sociaux (le PRISME, organisation représentant les professionnels de l’intérim, services et métiers de l’emploi, et les organisations syndicales représentatives des salariés intérimaires : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO), le Fastt contribue à la consolidation du statut professionnel des salariés intérimaires. Les actions du Fastt soutiennent les salariés intérimaires au travers de services et de prestations facilitant l’accès au logement, l’accès au crédit, et l’accès à l’emploi. www.fastt.org

samedi 7 septembre 2013

vendredi 6 septembre 2013

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : La place des complémentaires dans la prévention et l'intérêt des réseaux de santé évoqués lors d'une table-ronde Nile ...

MINE D'INFOS: Appel urgent pour combattre le diabète

MINE D'INFOS: Appel urgent pour combattre le diabète: Sur 3,5 millions de personnes diabétiques en France, plus de 700 000 ignoreraient qu'elles sont atteintes. Ces 700 000 personnes ...

Appel urgent pour combattre le diabète


Sur 3,5 millions de personnes diabétiques en France, plus de 700 000 ignoreraient qu'elles sont atteintes.

Ces 700 000 personnes courent un danger car le diabète se développe sournoisement et peut entraîner des dégâts irréversibles : cécité, amputations, accidents cardio-vasculaires...

Encore plus grave : le diabète est en progression constante et l'on prévoit que le nombre de cas va doubler dans les 10 prochaines années soit quelques 6 millions de diabétiques en France.

Aujourd'hui nous avons besoin de votre soutien, pour lancer un cri d'alarme, pour interpeller les acteurs de santé, pour promouvoir la prévention et le diagnostic précoce… Et pour aider la recherche à guérir le diabète.

Cette année, les donateurs financent quatre grandes recherches prioritaires pour un budget total de 200 000 €. Ce sont des projets porteurs d'espoir en matière de prévention et de traitements pour des millions de malades.

 

Aidez-nous à intensifier nos efforts. Aidez-nous à faire reculer l'épidémie
et offrir
un plus grand espoir de guérir du diabète.

Quel qu'en soit le montant, votre geste est essentiel. D'avance, un immense MERCI
Fédération  française des diabétiques

66 %  du montant de votre don est déductible de vos impôts et ce jusqu’ 20 % de votre revenu net imposable. Ainsi, un don de 60 euros vous revient en réalité à 20,40 euros.

MINE D'INFOS: Semaine de mobilisation des chiropracteurs en Fran...

MINE D'INFOS: Semaine de mobilisation des chiropracteurs en Fran...: La semaine de mobilisation des chiropracteurs, qui ouvriront leur porte au public, à l’occasion de la deuxième journée mondiale de la colo...

Semaine de mobilisation des chiropracteurs en France du 14 au 19 octobre !


La semaine de mobilisation des chiropracteurs, qui ouvriront leur porte au public, à l’occasion de la deuxième journée mondiale de la colonne vertébrale du 16 octobre 2013


·       La chiropraxie en France : le point sur ce qui a changé pour les patients depuis les récentes publications des décrets encadrant l'exercice de la chiropraxie et son enseignement

 

L’Association française de chiropraxie (AFC), unique instance nationale de représentation des chiropracteurs français, mobilisera la profession du 14 au 19 octobre, en vue de procéder au dépistage gratuit des dysfonctions de la colonne vertébrale et des troubles de l’appareil locomoteur au sein de leur cabinet.

Sensibiliser les adultes et les enfants aux maux de dos souvent ignorés et sous-estimés et à l’importance d’une bonne hygiène vertébrale, tels sont les principaux objectifs de ces professionnels de santé experts en soin de la colonne vertébrale.

 

Peu connue en France, la chiropraxie est la médecine manuelle de référence pour les soins du dos et des articulations. Elle a pour objet le diagnostic, le traitement et la prévention des dysfonctionnements de l'appareil locomoteur (ou troubles musculo-squelettiques) et de leurs conséquences, notamment au niveau de la colonne vertébrale et des membres. Reconnue, au niveau international, par l’Organisation mondiale de la santé, et en France, par le code de la santé publique, la chiropraxie est remboursée par la plupart des complémentaires santé.

 

NDLR : CHIROPRACTIE et MGEFI

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