Nora ANSELL-SALLES

mercredi 26 septembre 2012

LES BIENFAITS DU REGIME CRETOIS



Les bienfaits du régime crétois pour le bien-être et la santé

 

Le régime crétois est un modèle basé sur l’alimentation méditerranéenne traditionnelle. Préconisé par les scientifiques et les médecins pour ses bienfaits sur la santé, il est inscrit par l’UNESCO sur la liste du Patrimoine culturel immatériel de l’Humanité.

 

Le régime crétois permet un apport élevé en nutriments protecteurs au travers d’une alimentation riche en fruits, légumes, céréales et poissons (1). Compte-tenu de notre mode de vie actuel, notre alimentation n’est pas toujours en cohérence avec ces pratiques traditionnelles. C’est pourquoi les Laboratoires Pierre Fabre ont développé la formule Kretoa.

 

 

Le régime alimentaire crétois

 

Sur la base des observations réalisées depuis plus de cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement précis. L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et les nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois repas est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et du yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le dîner, souvent constitué d’une soupe.

 

Le modèle alimentaire crétois comporte :

 

Des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon, ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève, haricot …)

 

Des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en pain et galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym, sarriette, origan, menthe…)

 

De l’huile d’olive

 

Du poisson plusieurs fois par semaine rarement de la viande (agneau, chevreau)

 

Des fromages et des yaourts de chèvre et de brebis

 

Des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron, orange, pastèque, noix, amande…)

 

Du miel très rarement des préparations sucrées

 

Du vin coupé avec de l’eau, bu à table.

 

Ces caractéristiques sont souvent représentées sous la forme d’une pyramide alimentaire*. Le choix des aliments se fait du bas vers le haut : à la base figurent les aliments à privilégier au quotidien ; au sommet, les aliments à consommer occasionnellement.

 

Sur la base des observations réalisées depuis plus de cinquante ans, les nutritionnistes s’appuient sur des critères particulièrement précis.

 

L’apport calorique est varié et équilibré ; les aliments et les nombreuses préparations évoluent selon les saisons ; le rythme de trois repas est respecté- le petit-déjeuner (des fruits ou même des légumes, du pain et du yaourt ou du fromage frais), le déjeuner autour d’un plat central et le dîner, souvent constitué d’une soupe.

 

Le modèle alimentaire crétois comporte :

 

des légumes tous les jours (tomate, olive, oignon, ail, aubergine, pourpier, concombre, courgette, poivron, artichaut, fève, haricot …) des céréales complètes (blé dur, millet, orge …) en pain et galettes - chaque jour beaucoup d’aromates (aneth, basilic, thym, sarriette, origan, menthe…) de l’huile d’olive du poisson plusieurs fois par semaine rarement de la viande (agneau, chevreau)des fromages et des yaourts de chèvre et de brebis des fruits frais ou secs (abricot, fi gue, citron, orange, pastèque, noix, amande…) du miel très rarement des préparations sucrées du vin coupé avec de l’eau, bu à table.

 

Ces caractéristiques sont souvent représentées sous la forme d’une pyramide alimentaire*. Dans le schéma ci-dessous, le choix des aliments se fait du bas vers le haut : à la base figurent les aliments à privilégier au quotidien ; au sommet, les aliments à consommer occasionnellement.

 

La Crête en modèle, pourquoi ?

 

Le régime alimentaire crétois

 

• Viande et sucreries : le moins possible

• Volaille, œufs : tous les 2 jours, ou moins

• Vin : 1 verre par jour ou moins, bu à table

• Fromage et yaourt : 1 fois par jour, en portions modérées

• Poissons et fruits de mer :

2 fois par semaine, ou plus

• Fruits et légumes, céréales complètes, légumineuses et graines, herbes et épices, huile végétale (olive, colza…) : à chaque repas

• Eau (du robinet) à volonté

 

Rencontre avec le chef Alain Passard

 

Comment vous est venue votre passion des légumes ?

 

L’Arpège autrefois était une rôtisserie, on y venait pour sa cuisine animale. Cela pendant une  quinzaine d’années…

 

Puis une porte s’est fermée : il n’y avait plus d’inspiration, plus de créativité. Et un jour, une autre porte s’est ouverte : celle du légume, que je ne connaissais pas.

 

Je me suis rendu compte qu’il y avait plein de choses à créer. J’ai répondu à l’invitation qui m’était faite, avec énormément d’enthousiasme. Et j’ai retrouvé la joie de cuisiner.

 

 

Comment se traduit cette mutation dans votre art de cuisiner ?

 

Je mets tout mon savoir-faire au service de cette cuisine ”légumière”, que j’associe aux produits de la mer. Le légume dégage des émotions très différentes, la sensibilité du tissu végétal est tout autre. Mais la cuisson est aussi précise.

 

Aujourd’hui nous parvenons à rôtir, cuire à la broche, griller, flamber, fumer des légumes ! On entre dans des conjugaisons insolites, on marie le cacao et la betterave, c’est fantastique !

 

L’éventail des saveurs offre une très grande diversité. C’est surtout une cuisine de saison, rythmée par ce que nous propose notre jardin.

 

 

Car vous possédez vos propres potagers, l’un dans la Sarthe, l’autre dans l’Eure, ainsi qu’un verger dans la Manche.

 

Leur présence répond à l’envie d’avoir des légumes ”propres”. Ce sont de vieux potagers remis en activité.

 

Nos jeunes jardiniers sont des passionnés comme nous. Ils travaillent à l’ancienne, au cheval et à la charrue. Nous avons sept hectares en tout. C’est une terre saine autour de laquelle toute une vie animale s’est redéveloppée.

 

Nous produisons quarante tonnes par an, dont trente pour L’Arpège. Nous sommes totalement autonomes, tant pour les légumes que pour les fruits et les aromates.

 

 

Comment choisissez-vous les variétés ?

 

L’essentiel est de faire naître des produits qui ont énormément de saveur. Je veux définir le légume comme un grand cru. Je veux qu’on parle de la carotte, du poireau, comme on parle du chardonnay ou du sauvignon.

 

Nous cherchons à donner aux légumes un vrai confort par rapport à notre climat et à notre terroir. Dans la Sarthe, notre jardin est très sableux ; on fait de la carotte et du poireau.

 

Dans l’Eure, c’est une terre noire et argileuse, où la betterave et le chou se portent mieux. Et dans la Manche, nous cultivons un verger. Nous faisons des essais, par exemple sur le petit pois : on sème dix sortes de graines, puis chaque variété est goûtée, dégustée, pour élire la variété la plus expressive.

 

 

Votre cuisine reste donc résolument végétale ?

 

Actuellement le consommateur est dans une dynamique de qualité et de ”cuisine santé”. Le légume a pris une place importante parce qu’il est digeste et savoureux.

 

Pour moi, c’est surtout le produit le plus créatif. La diversité est immense, et on joue sur quatre saisons. Pourtant le registre de la cuisine légumière est encore très pauvre.

 

Tout reste à faire ! En cuisine, je sens l’ivresse nous envahir. Le produit réclame d’être associé à l’herbe, à l’aromate, à l’épice, à la fleur… C’est très vibrant. Aujourd’hui je vis ma deuxième vie de cuisinier.

 

 

Kretoa® est le premier complément alimentaire qui associe les éléments essentiels du régime crétois à savoir des Oméga 3 et des Antioxydants.

 

Kretoa® est particulièrement conseillé à partir de 40 - 45 ans en complément d’une alimentation variée et équilibrée et d’une hygiène de vie adaptée (en particulier une activité physique régulière), pour préserver son  capital santé.

 

Paludisme au Sahel


65% de cas en moins grâce au traitement préventif

MSF met en œuvre une nouvelle stratégie de traitement préventif du paludisme au Mali et au Tchad. Les premiers résultats, qui montrent une baisse des cas de paludisme ainsi que du nombre d’hospitalisations, sont très encourageants.

 

Paris/Bamako/Ndjamena, le 24 septembre 2012 – Pour la première fois à vaste échelle et en conditions réelles, une stratégie de traitement préventif du paludisme, appelée chimioprévention du paludisme saisonnier (CPS), a été menée par des équipes de Médecins Sans Frontières (MSF) en collaboration avec du personnel médical local dans deux projets pilote, au Tchad et au Mali. Des traitements antipaludiques ont été distribués à environ 170 000 enfants âgés de 3 mois à 5 ans ; les premiers résultats sont très encourageants puisqu’une baisse de 65% des cas de paludisme a été constatée dans le projet de Koutiala, au sud du Mali.

 

« Nos équipes constatent des effets spectaculaires en termes de diminution du nombre de cas, explique le Dr. Estrella Lasry, spécialiste du paludisme à MSF. Bien sûr, il ne s’agit que des premiers retours, et nous allons continuer d'évaluer l’impact de ces stratégies de distributions ».

 

Pendant la période de haute transmission de la maladie, qui dure habituellement de juillet à octobre, les enfants ont reçu tous les mois un traitement à base d'amodiaquine et sulphadoxine / pyriméthamine (Fansidar®). Les distributions concernent environ 161 000 enfants du district de Koutiala, au sud-est du Mali, et 10 000 enfants de celui de Moïssala, au Tchad. Dans les deux cas, les enfants malades, déjà atteints de paludisme ou d’autres pathologies, sont directement traités et exclus de la distribution.

 

Dans le district de Koutiala, au Mali, les équipes MSF ont constaté une baisse de 65% des cas de paludisme simple au cours de la semaine qui a suivi la distribution du traitement. De même, le nombre d’hospitalisations liées à la maladie est passé de 247 cas à 84 cas par semaine. Dans le sud du Tchad, dans deux aires de santé à proximité de la ville de Moïssala, les résultats sont également encourageants avec une baisse oscillant entre 72% et 86% des cas de paludisme simple.

 

« La CPS pourrait représenter un formidable outil de santé publique, notamment en protégeant les enfants, parmi lesquels on compte la grande majorité des décès. Les interventions menées au Tchad et au Mali vont également nous permettre d’évaluer la faisabilité de ces stratégies à vaste échelle et dans d'autres contextes », continue le Dr. Lasry.

 

En mars 2012, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a recommandé l'utilisation de la CPS dans les zones de forte transmission saisonnière du paludisme au Sahel.

 

On estime que 650 000 personnes (source : OMS) meurent chaque année du paludisme. 90% de ces décès surviennent en Afrique subsaharienne, pour la plupart chez des jeunes enfants.

Au Mali et au Tchad, MSF mène des projets de traitement et prévention des maladies les plus meurtrières chez les jeunes enfants. Depuis le début de l'année, plus de 12 000 cas de paludisme ont été traités en ambulatoire et 3 500 enfants malades et/ou sévèrement malnutris ont été hospitalisés dans le cercle de Koutiala, dans le sud du Mali. Au Tchad, à Moïssala, plus de 18 000 cas de paludisme ont été pris en charge dans les structures soutenues par MSF ainsi que par des agents de santé non-médicaux formés par MSF dans les villages.

Service à la personne : c'est signé !


Convention Collective Nationale des entreprises de services à la personne : c'est signé !

 

Les deux Fédérations professionnelles patronales FEDESAP et FESP ont signé le 20 septembre 2012 avec la CFTC Santé-sociaux, la CFE-CGC et la CFDT Services un texte conventionnel structurant pour le secteur, accompagné d'un accord listant les points restant à négocier et le calendrier afférent.

 

Un communiqué de presse commun FEDESAP - FESP et les textes signés figurent en pièce jointes ainsi que sur le site : www.fedesap.org

 

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Marche pour la vie : une participation record

CANOHES Pour sa 3e édition, la « Marche pour la Vie », qui s'est déroulée ce samedi entre Canohes et Toulouges, sur un  parcours de 5 km, a vu le nombre de participants pratiquement doubler Ce sont, en effet, 123 personnes de tout âge, qui ont pris le départ de cette manifestation, qui se veut être une action de prévention sante, organisée par la MGEFI (Mutuelle générale de l'économie des finances et de l'industrie) en partenariat avec les services sociaux du Ministère des finances et dont le délégué prévention pour le département est Henri Vilaro.

 

Source : L’indépendant du 24 septembre 2012 et Le Midi Libre du 24 septembre 2012

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Le GIE Union Groupe initiatives Mutuelles (UGIM) revoit sa copie

Prévoyance – GED - Plus de 300 salariés du GIE UGIM utilisent Bdoc Suite de Business Document pour la gestion des documents.

 

Le GIE UGIM (GIE - Union Groupe initiatives Mutuelles) poursuit son partenariat avec Business Document et se dote de la solution, Bdoc Suite. Créé en 2005, le GIE UGIM est aujourd’hui constitué des mutuelles suivantes : MGEFI (Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie), MT (Mutuelle du Trésor), MAI (Mutuelle des Agents des Impôts), MDD (Mutuelle des douanes), MCDEF (Mutuelle Civile de la Défense) et UGIM (Union Groupe Initiatives Mutuelles).

Suite de l’article : www.marchesetcontrats.fr (25 septembre 2012)

Source : Article de Laurence Blanloeil du 25 septembre 2012  Best Décision

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56 %
C’est le pourcentage des actions traitées sous 7 jours à la MGEFI.


Le hit des liens les plus cliqués


Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 519 du 16 septembre 2012

 







 

Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

Le Fonds CMU modifie son site internet


Le Fonds CMU vous invite à découvrir toutes les nouveautés de son site internet


18/09/12 - Le Fonds CMU a organisé le 17 septembre une réunion de présentation de son nouveau site Internet en présence de médias, caisses nationales et locales d'assurance maladie, associations et organismes complémentaires.

Le nouveau site a été repensé afin d'offrir "une présentation plus conviviale et pédagogique" pour les assurés qui doivent pouvoir accéder plus facilement à des informations claires sur chacun des dispositifs (CMU de base, CMU-C, ACS et AME) afin de mieux comprendre les démarches qu'ils devront accomplir pour obtenir le bénéfice de leurs droits. Il offre des entrées majeures par public et un espace presse. Il regroupe toutes les démarches, formulaires et pièces justificatives pour orienter et guider les demandeurs ou bénéficiaires, aussi bien dans leur première demande que dans leur renouvellement, tous les textes de loi et toutes les études pour permettre une analyse fine et un suivi des dispositifs (institutions, chercheurs, …) et constituer un socle de référence. Un espace partenaires, avec une communication d'experts, offre des outils au quotidien pour tous les professionnels travaillant dans le champ d'application de la loi CMU (annuaires et des documents partagés).La nouvelle version du site

 

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MC2I accompagne l'UCANSS


MC2I Groupe accompagne l'UCANSS dans l'homologation de sa téléprocédure RH de mobilité interne des agents de direction


18/09/12 - Le cabinet conseil en systèmes d'information, leader sur le marché du conseil en SIRH, annonce accompagner l'UCANSS, dans une mission de Tierce Recette Applicative de son système d‘information destiné à dématérialiser le processus RH de mobilité interne baptisé SILAAD (Système d'Information de La Liste d'Aptitude des Agents De Direction). Jusqu'alors soumis par courrier, les demandes et le processus d'inscription sont désormais dématérialisés tout comme la gestion de chaque dossier.


Le marché a été conclu en novembre 2011 selon le tableau de l'Ucanss des marchés de services de 2011 (montants entre 90 000 et 133 000 euros)  Le communiqué du 29 août 2012

 

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Téléservices intégrés


 
Téléservices intégrés : 18 éditeurs ont déjà "répondu présent"


17/09/12 - Le nombre d'éditeurs et de logiciels certifiés par le CNDA de l'Assurance maladie ou en cours de développement pour l'intégration d'au moins un téléservice a nettement progressé depuis le début de l'année, rapporte une dépêche TIC Santé qui se base sur les données publiées sur son site.

 Dans le détail, 11 logiciels intègrent désormais l'historique des remboursements (HR) et 8 la déclaration de médecin traitant (DMT). En outre, 18 logiciels signalés "en développement", en vue d'intégrer au moins un téléservice, doivent évoluer pour intégrer HR, DMT ou encore l'arrêt de travail en ligne (AAT). L'implication des éditeurs s'est donc nettement accrue depuis le début de l'année, constate la dépêche. Au cours des prochains mois sont  attendus d'autres téléservices "en mode intégré", en particulier l'accord préalable électronique (APE) et le protocole de soins électronique (PSE), qui sont déjà répertoriés sur le site du CNDA. Dépêche TIC Santé

 

vendredi 21 septembre 2012

C'est à lire !

« Pour en finir avec les histoires d’eau L’imposture hydrologique » de Jean de Kervasdoué et Henri Voron - Éditions Plon

 

L’eau est la vie, mais elle est aussi la ville, comme est le progrès. Les Occidentaux en gaspillent. Les déshérités de la Planète n’en disposent pas, ou plus. Les déserts avancent. Prendre des douches plutôt que des bains est une nécessité morale. Revenir à une agriculture plus durable, plus économe. Guerres annoncées en Afrique pour la maîtrise de l’eau du Nil. Conflit pour l’eau en préparation au Moyen-Orient. Non seulement l’eau manque, mais celle qui est accessible est polluée (scandale des nitrates en Bretagne). L’eau, si nécessaire, si vitale, si belle est souillée par la légèreté des hommes…
La majorité des drames énoncés ici et annoncés dans la presse ne se produiront pas.
 L’eau dans les pays tempérés est abondante, propre, accessible et, sauf à de très rares exceptions, ne demande aucun rationnement. Quant aux guerres de l’eau elles n’auront pas lieu. S’il est moins onéreux de prendre une douche qu’un bain, les recommandations en la matière ne sont le plus souvent que des gestes symboliques ou sacrificiels pour « sauver la planète ». Si le manque d’eau ne menace pas l’humanité, en revanche, des investissements considérables sont nécessaires pour produire plus et mieux d’eau potable, notamment dans les pays pauvres. Si des pénuries existent, et elles concernent le tiers de l’humanité, ce n’est pas un problème d’eau brute, toujours disponible pour peu qu’on la cherche, mais un problème d’argent. Force est de constater que la solidarité est moins abondante que l’eau.
A partir d’exemples précis, cet ouvrage d’hydro-politique accompagne le voyage de l’eau dont l’homme a toujours recherché et craint la compagnie.
Jean de Kervasdoué est professeur d’économie et de gestion des services de santé, ingénieur agronome, ingénieur du génie rural et des eaux et forêts. Il a consacré sa vie aux secteurs de la santé et de l’environnement et est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment Les Prêcheurs de l’Apocalypse (Plon, 2007), La peur est au-dessus de nos moyens (Plon, 2011) et de plusieurs centaines d’articles.
Henri Voron est diplômé d’agronomie et ingénieur en chef du génie rural, des eaux et des forêts. Spécialisé en hydraulique tropicale, il participe à de nombreux projets d’irrigation ou d’adduction d’eau potable au Maghreb et en Afrique. Il est aujourd’hui professeur de « barrages » à l’Institut international de l’eau et de l’environnement de Ouagadougou. Une carrière consacrée à l’eau et à l’Afrique.

Rentrée scolaire 2012 /2013

Une nouvelle campagne MAE

L’heure de la rentrée a déjà sonné ! Dès le premier jour d’école ou lors de l’inscription, vous devrez fournir à l’enseignant l’attestation d’assurance scolaire de votre enfant. L’assurance scolaire protège les enfants qu’ils soient victimes ou responsables d’un accident à l’école et sur le trajet école-domicile. Indispensable tout au long des activités scolaires et périscolaires (récréation, cantine, garderie, étude…), elle devient obligatoire pour les activités qui dépassent les horaires de classe comme par exemple les sorties (cinéma, musée, théâtre…), les classes de découverte ou de neige…

On croit souvent que la Responsabilité Civile suffit à protéger les enfants. OUI, s’ils causent des dommages, NON, s’ils sont victimes d’un accident. Concrètement, l’attestation « responsabilité civile chef de famille » délivrée avec l’ assurance habitation ne suffit pas à protéger son  enfant. À la rentrée, l’assurance scolaire est donc indispensable.

L’occasion pour la MAE de consolider sa position de spécialiste de la protection de l’enfant et de la famille et de réaffirmer ses valeurs fondatrices : des valeurs de Solidarité, de Mutualité et d’Humanisme.

La nouvelle campagne de communication est  gaie, dynamique et riche en couleurs, à l’image de l’univers des enfants. Pour promouvoir expertise et valeurs de la mutuelle, cette campagne s’appuie sur différents éléments : une nouvelle signature – « Mon Premier Assureur » - qui permet d’identifier clairement la MAE comme le premier assureur de la famille, qui protège l’enfant depuis sa plus tendre enfance jusqu’à sa vie d’adulte ; un nouveau logo, avec la mention « Depuis 1932 », qui valorise la position de précurseur de la MAE en matière d’Assurance Scolaire et souligne ses 80 années d’expérience ; un état d’esprit « tout sourire » qui traduit une volonté de voir s’épanouir tous les enfants, en les protégeant à chaque instant de leur vie.et enfin, la formalisation des valeurs en une liste de 7 engagements comme, par exemple, celui de « protéger les enfants sans logique de profit ».

Le nouveau site mae.fr, en ligne depuis le mois de mai, est une déclinaison de la nouvelle campagne. On y retrouve l’intégralité des engagements, mais aussi toutes les solutions pour protéger  famille et enfants.

Source : communiqué presse MAE

Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2013

Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2013 : des paroles aux actes ?
1 - MG France réclame de conforter d'urgence le réseau de professionnels existants

• Mettre à niveau le forfait médecin traitant / ALD, bloqué depuis 2005 à 40 € : le passer à 46 €.
• Revaloriser de 5 € la Majoration de déplacement (MD) bloquée à 10 € depuis 2002, pour le médecin généraliste traitant, dans le cadre du maintien à domicile, en incluant l’ensemble des visites faites en EHPAD.
• Donner un médecin traitant aux enfants de moins de 16 ans.
• Supprimer l’obligation d'écrire "Non substituable" à la main.
• Garantir la mise en place effective du tiers payant : régimes obligatoire et complémentaire chez le médecin généraliste traitant.


2 - MG France réclame dès aujourd'hui une première étape vers le travail en équipe : le protocole interprofessionnel de coordination


• Protocole de prise en charge d’un patient entre un médecin généraliste traitant et un professionnel de santé de proximité : infirmière, pharmacien, kinésithérapeute, etc.
- Rémunéré pour le généraliste 10 € par protocole entre deux professionnels, 15 € entre trois.
- Applicable en cas de perte d’autonomie ou de maladie chronique nécessitant une prise en charge en équipe.

3 - MG France réclame la valorisation du travail en équipe


• Mettre en place dès maintenant les outils nécessaires à son développement :
- Commissions territoriales d'accès aux soins.
- Développement Professionnel Continu interprofessionnel.


4 - MG France réclame une organisation facilitée des cabinets


• Par l'extension aux médecins généralistes du dispositif des emplois d’avenir.

5 - MG France réclame une installation plus facile et le maintien des médecins généralistes en exercice


• Créer un nouvel avantage conventionnel : l'Avantage Supplémentaire Maternité (ASM).
• Valoriser l’exercice en zone urbaine difficile par une modulation des rémunérations forfaitaires.

Quelle politique pour l’innovation thérapeutique ?

1ères assises de l'Innovation Thérapeutique - L'intégralité des interventions et débats en ligne !
Retrouvez  l’intégralité des interventions et débats des 1ères assises de l’innovation thérapeutique


Voir ou revoir les contributions des  intervenants :  http://innovation-therapeutique.aromates.fr/

Projet de microassurance pour les plus démunis en Afrique de l’Ouest

La confédération des Institutions Financières (CIF)/ Afrique de l’Ouest adopte le logiciel Solife de BSB pour l’Epargne pension, Prévoyance et Emprunteur

Luxembourg, le 19 septembre 2012 - La Confédération des Institutions Financières (CIF)/Afrique de l’Ouest, a choisi le progiciel Solife de BSB pour doter le mouvement coopératif d’un outil adapté au développement des activités de microassurance vie. La CIF a pu se valoir du soutien technique et financier de l’ONG luxembourgeoise ADA - Appui au développement autonome - active dans la microfinance. Le partenariat a été annoncé le 12 septembre dernier et la première compagnie de microassurance à se doter de l’outil, sera active d’ici la fin de l’année au Burkina Faso.

Cette initiative pionnière en Afrique endosse un défi majeur dans l’histoire de la microfinance de ce continent, celui de rendre accessible des produits de microassurance - Epargne pension, Prévoyance et Emprunteur - à des populations démunies. « C’est une réel privilège pour les équipes de BSB de coopérer sur un projet porteur d’autant d’espoir pour des populations fragilisées qui ont désormais l’opportunité de se prémunir et faire face à certains accidents de la vie » indique Jean Martin, CEO de BSB.

L’ensemble des fonctionnalités proposées par le logiciel Solife de BSB, couvrant le cycle complet des polices d’assurance, simplifiant et accélérant le lancement de nouveaux produits avec des coûts de gestion informatique et de gestion métier réduits, a su séduire l’ensemble des acteurs impliqués dans le processus de sélection. A plus long terme, la CIF souhaite doter ses 5 coopératives d’épargne qui s’adressent à plus de 1,630,000 personnes, soit l’ensemble des clients et adhérents du réseaux d’Afrique de l’Ouest.

*                                  *                                  *
CIF
La CIF est un mouvement régional de coopératives financières qui regroupe six fédérations agrées de mutuelles d’épargne: RCPB au Burkina Faso, FÉCÉCAM au Bénin, FUCEC au Togo, KAFO JIGINEW et NYÈSIGISO au Mali, et PAMECAS au Sénégal. Le siège de la Confédération est à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso.

ADA
Appui au Développement Autonome - est une ONG luxembourgeoise créée en 1994 et active dans le développement de la microfinance. L’ADA gère un budget annuel de plus de trois millions d'euros et collabore directement avec vingt-cinq institutions de microfinance situées sur trois continents (Afrique, Asie et Amérique latine).

BSB
BSB est un fournisseur de solutions métiers et de services informatiques pour les compagnies d’assurances, les banques privées, les gestionnaires de portefeuilles, les gestionnaires de fortune, les holdings, les conseillers en gestion indépendants et les fonds d’investissement. BSB compte plus de 100 clients dans 23 pays européens.

Les solutions proposées par BSB permettent aux utilisateurs d’accroître leur efficacité, d’augmenter le niveau d’automatisation, de standardiser les procédures, de réduire les coûts et de raccourcir les délais de commercialisation. Elles sont ergonomiques et s’intègrent aisément dans des environnements informatiques complexes.

Les produits phares de BSB sont Solife pour la gestion des produits assurance-vie et Soliam pour la gestion de portefeuilles et la gestion de fortune. Sa filiale Solfia propose des services en mode ASP et SaaS basée sur Soliam et Solife.

BSB existe depuis 1995, emploie près de 350 personnes et a son siège en Belgique. BSB possède des bureaux en Belgique, France, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Suisse et au Royaume-Uni.

BSB est cotée sur Euronext Alternext : symbole « BSB »


Monsieur le Premier ministre, y aura-t-il des représentants des usagers du système de santé au haut conseil du financement de la protection sociale ?

Y aura-t-il des représentants des usagers du système de santé  au haut conseil du financement de la protection sociale ?


Le décret qui vient de paraître au journal officiel prévoit que des personnes qualifiées peuvent être nommées par le Premier ministre pour prendre part à la composition du Haut conseil du financement de la protection sociale dont l’installation est annoncée pour imminente.

La question est donc posée de savoir si la société civile sera présente dans ce Haut conseil dont nous avons salué la création compte tenu des contraintes sur les dépenses et les recettes des différentes branches de la sécurité sociale.

D’ores et déjà, il est assuré que les représentants des syndicats, des caisses et du parlement ainsi que de l’Etat en feront partie. Mais la société civile, et notamment les associations d’usagers du système de santé, sera-t-elle représentée?

Cela aurait du sens : il y a bien longtemps qu’une part non négligeable de la dépense de santé ne relève plus de cotisations sur le salaire mais de l’impôt, quand ce n’est de contributions des usagers à des complémentaires santé ou encore à des frais non pris en charge reposant directement sur le budget personnel de chacun… des frais souvent d’autant plus importants que les personnes sont atteintes d’une maladie chronique. Or un Français sur quatre vit aujourd’hui avec une maladie chronique : ils doivent donc, avec raison, pouvoir faire entendre leurs préoccupations notamment sur le reste à charge.

Le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie, dont les associations d’usagers ont été membres depuis sa création, a permis grâce à leur implication l’élaboration de consensus sur les solutions à mettre en œuvre dans ce domaine.

Il n’y a pas de raison de penser que cette participation constitue une parenthèse. Au contraire, elle doit constituer un exemple à suivre pour la reconnaissance de la légitime participation de la société civile aux décisions qui la concerne.


Au moment où des arbitrages vont être nécessaires et que leur influence aura des conséquences sur le reste à charge des ménages autant que sur l’organisation des soins, nous réclamons donc, comme nous l’avons déjà écrit, que les associations d’usagers du système de santé soient représentées au Haut conseil du financement de la protection sociale.