Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 23 mai 2014

L'arrêté CMU est paru : pour les 2 oreilles, 700€ par appareil, appareils de classe C minimum, garantie 4 ans, renouvellement tous les 4 ans.


L'arrêté CMU est paru au Journal Officiel d'aujourd'hui
 
 

La révision du panier de soins pour l’audioprothèse était urgente. En effet, les tarifs CMU pour l'audioprothèse avaient été fixés par
l’arrêté du 31 décembre 1999 et il n’y a pas eu de modification depuis.

Pour l’audioprothèse, le changement consiste à intégrer, en adéquation
avec la LPP, la prise en charge d’un équipement stéréophonique complet
(les enfants et les personnes atteintes de cécité étant prises en charge
sur la base du tarif de remboursement de la sécurité sociale).

Les principales propositions de l'Unsaf ont été retenues : pour les 2
oreilles, prise en charge totale à 700 € par appareil (AMO, CMU-C et
forfait CMU-C), pour des appareils de catégorie C minimum, avec une
garantie de 4 ans assurée par les distributeurs, et un renouvellement
autorisé tous les 4 ans.


Contact
Luis Godinho Président
Syndicat National des Audioprothésistes -
19 rue d'Odessa
75014 PARIS
Tél. : 01.43.22.38.40
Mail :l.godinho@unsaf.org
Twitter : @Luis__Godinho



lundi 3 mars 2014

Journée Internationale de l'Audition de l'OMS : Priorité à la prévention


Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.

En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détecté
 


 
 
 NDLR : MGEFI et AUDITION

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  • mercredi 12 février 2014

    UNSAF se positionne sur les Prix et remboursement des audioprothèses : enjeux de santé publique et enjeux économiques


    Prix et remboursement des audioprothèses : enjeux de santé publique et enjeux économiques

     

    UNASAF / PRIX  ET REMBOURSEMENT DES AUDIOPROTHESES : calameo.com/read/0031526248dd51508403c 

     
    Dossier de presse :


     

    À propos de l’UNSAF
    Le Syndicat national des audioprothésistes – UNSAF est né en avril 2011 de la fusion des trois syndicats historiques de la profession. Il est l’organisme professionnel représentatif des audioprothésistes auprès notamment des instances nationales en charge de la santé, comme l'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et le Haut Conseil des professions paramédicales (HCPP) où le syndicat occupe un siège. L’UNSAF est également présent au niveau européen au sein de l’Association européenne des audioprothésistes (AEA).
    Il est présidé depuis Juin 2012 par Luis Godinho.
    Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.unsaf.org





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    jeudi 14 novembre 2013

    Libres propos : Audioprothèse : le problème est le reste à charge pour les patients


    L’audioprothèse : un reste à charge plus élevé pour les patients

    Si le coût moyen d’une audioprothèse est de 1535€ selon la CNAMTS, celui-ci comprend l’appareil lui-même, la prestation initiale (analyse, adaptation de l’appareil et réglages) et le suivi prothétique étalé sur 4 à 6 ans. L’audioprothésiste est en effet un professionnel de santé prescrit, dont les prestations s'appuient sur le matériel qu'il choisit, adapte et délivre1. Le véritable problème réside davantage dans le reste à charge, bien trop élevé, que dans les prix des audioprothèses, les tarifs deremboursement n’ayant pas évolué depuis les années 1970. Sur les 822 millions que représente le marché de l’audioprothèse, 114 M€ (14%) sont pris en charge par l’Assurance Maladie Obligatoire(AMO), 246 M€ (30%) par l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC) et 462 M€ (56%) par les ménages. A titre de comparaison, les remboursements publics dans les pays limitrophes (Allemagne, Suisse, Italie) sont supérieurs à la somme moyenne de l’AMO et l’AMC en France pour les adultes.Enfin, les prix des audioprothèses ont moins évolué que l'inflation pendant les 17 dernières années2.

     

    L’UNSAF et le CNA : pour un partenariat pérenne avec les pouvoirs publics

    Conscients de l’enjeu en termes de santé publique de l’accès à une audioprothèse de qualité, l’UNSAF et le CNA proposent aux pouvoirs publics de mettre en place des tarifs négociés accessibles au plus grand nombre. Ce projet fait d’ailleurs écho aux recommandations de l’IGAS3. Force de proposition, l’UNSAF et le CNA promeuvent un tarif « social » pour les bénéficiaires de la CMU-C, qui comprendrait une revalorisation à 850€ par appareil (pour les deux oreilles) et une augmentation du délai entre deux prises en charge, de 2 à 4 ans. Partenaire de longue date avec les pouvoirs publics, l’UNSAF propose également que les bénéficiaires de l’ACS puissent prétendre à ces tarifs.

     

    Actuellement en cours de négociation, ce tarif CMU, s’il est déterminé avec la profession, pourrait être immédiatement opposable pour les ACS. Il pourrait également devenir le prix plancher pour les contrats responsables.

     

    La perte de l’audition : une priorité de santé publique

    Reconnue comme une priorité de santé publique par la Cour des Comptes4, la perte de l’audition ne peut que s’accentuer avec le vieillissement annoncée de la population. Aujourd’hui, environ 10% de la population française est atteinte d’une déficience auditive et 5 à 6% devrait être équipée (2,5%

     

    1 D’après le Code de Santé Publique (Article L 4361-1), l’audioprothésiste procède à l’appareillage des déficients de l’ouïe, ce qui comprend le choix, l’adaptation, la délivrance, le contrôle

    d’efficacité immédiat et permanent et également l’éducation prothétique.

    2 Le Monde du 16 mai 1996, “Douze mille francs l'unité”

    3 IGAS, rapport « Evaluation de la prise en charge des aides techniques pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées » établi par Philippe Blanchard, Hélène Strohl

    - Maffesoli, Bruno Vincent- Avril 2013 ; recommandation n° 49 (Fixer un tarif de responsabilité pour la prise en charge à 100% des audioprothèses des titulaires de la CMU équivalent au

    prix d’entrée de gamme de deux prothèses après négociation avec la profession, et augmenter la périodicité de renouvellement à 5-6 ans sauf dégradation exceptionnelle de l’audition )

    4 Rapport sur l’Application des Lois de Financement de la Sécurité Sociale de la Cour des Comptes, Septembre 2013, p 594

     

    l’est effectivement). D’après le Professeur Bruno Frachet, Hôpital Rothschild, le maintien des capacités auditives permet pourtant de limiter le déclin cognitif et les risques de dépendance, qui coûtent beaucoup plus cher à la Sécurité sociale que l'appareillage5. Toutefois, malgré le fort reste à charge le taux d’appareillage n’est inférieur que de 20% à celui de l’Allemagne et de 50% à celui du Royaume-Uni (plus de 500 000 appareils délivrés chaque année en France, contre un million par le NHS, avec un reste à charge nul). Les enquêtes internationales montrent d’ailleurs que le taux de satisfaction des malentendants français est bien supérieur qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni6, ce que l’IGAS a noté7.

     

    Les assistants d’écoute : la législation doit être respectée

    Vendu par la société Sonalto sans prescription médicale préalable au prix de 299€ l’unité, l’assistant d’écoute Octave® est présenté comme (sic) « conçu par un médecin ORL », « prêt à l’emploi », préréglé avec deux niveaux d’amplification de 11 et 20 décibels, amplifiant « intelligemment les sons », « pour les gênes auditives légères » et est distribué en pharmacie et par des opticiens.

     

    Toutefois, Octave® est un dispositif médical implantable actif et doit à ce titre être délivré exclusivement par un audioprothésiste.

     

    Dans son point d’information du 29 Janvier 2013, intitulé « déficit auditif : statut des appareils correctifs »8 l’ANSM rappelle d’ailleurs que « la correction d’une déficience auditive est une finalité médicale. Les appareils ayant ce type de finalité (…) sont donc classés dans la catégorie des dispositifs médicaux et nécessitent par conséquent d’être marqués CE (…). En France, leur délivrance est réglementée ». En février 2013, l’Académie Nationale de Médecine9 rappelle les risques médicaux attachés à l’utilisation des « assistants d’écoute » encore appelés « assistants auditifs pré-réglés ».

     

    En 2011, l’Unsaf et le Syndicat National des Entreprises de l'Audition (SYNEA) ont lancé une procédure en justice contre Sonalto afin de contraindre cette société à vendre son produit conformément aux dispositions du Code de la Santé Publique, à savoir une prescription médicale préalable et une délivrance par un audioprothésiste. Les pouvoirs publics doivent faire respecter la législation applicable.

     

     

    Le CNA et l’UNSAF : des acteurs au service des malentendants

    Le Collège National d’Audioprothèse veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de la profession d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts déontologiques et moraux des audioprothésistes. Dans ses formations, le CNA organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 900 professionnels.

     

     

    L’UNSAF représente la profession auprès des instances nationales en charge de la santé et siège notamment au sein de l’Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et du Haut conseil des professions paramédicales (HCPP). Il est présidé depuis Juin 2012 par Luis Godinho.

     

    Contacts : Eric Bizaguet, Président du CNA / College.Nat.Audio@orange.fr
    Luis Godinho, Président de l’UNSAF / l.godinho@unsaf.org

     

    jeudi 4 octobre 2012

    5 millions de malentendants non équipés, les audioprothésistes semblent s’en satisfaire…


    Ou comment justifier des marges injustifiables


    Le Syndicat national des audioprothésistes (UNSAF) communiquait jeudi dernier par voie de presse dans un communiqué intitulé « La vérité sur les assistants d’écoute ». Vaine et énième tentative de cette organisation ultra corporatiste de discréditer SONALTO, motivée semble-t-il par la parution d’un article pourtant élogieux paru le même jour dans Les Echos intitulé « SONALTO réinvente l’appareil auditif ».

    Devant les attaques mensongères et péremptoires de l’UNSAF, la société Sonalto souhaite apporter quelques précisions :

    Si vous souhaitez des informations complémentaires concernant les enjeux et le marché de l'audition en France n'hésitez pas à revenir vers nous.

    « Les audioprothésistes sont acteurs au quotidien auprès des 5 à 6 millions de malentendants en France »


    Si le chiffre de 6 millions est bien celui du nombre de malentendants en France, l’UNSAF omet de préciser que seulement 1 million de Français sont actuellement équipés de prothèses auditives et donc clients des audioprothésistes.
    5 millions de malentendants demeurent donc sans aide ni solution. 5 millions de personnes que le prix astronomique des prothèses auditives dissuade de s’équiper.

    Depuis la création de l’UNSAF il y a 37 ans, la situation des malentendants ne s’est pas franchement améliorée, tandis que la marge des audioprothésistes, elle, s’est considérablement renforcée.
    Exemple : l’arrivée de la technologie numérique a très largement diminué le temps passé à régler les audioprothèses. Curieusement, les audioprothésistes n’ont pas répercuté ces économies auprès de leurs clients. Leur marge par rapport au temps réellement passé à suivre leurs clients et affiner au cours des années le réglage de leurs audioprothèses se rapproche des 300€ de l’heure pour un équipement bilatéral. Soit trois fois les honoraires d’un médecin ORL ayant fait 3 fois plus d’études…

    C’est pour les millions de personnes découragées par les prix pratiqués par les audioprothésistes et donc laissées de côté, tous ceux qui se retrouvent sans solutions, que SONALTO a décidé de lancer le 1er assistant d’écoute préréglé.
    « Octave », de SONALTO, apporte un réel confort d’écoute à ceux qui commencent à éprouver une perte auditive qui les gêne dans leur vie de tous les jours.
    En ce sens, l’assistant d’écoute est complémentaire des audioprothèses. Avec un prix très accessible, il constitue une première étape, donnant accès à une solution auditive pour les millions de personnes qui ne peuvent s’offrir le luxe d’audioprothèses à plusieurs milliers d’euros, étant en outre précisé que les niveaux de sophistication et d’amplification de ces dernières sont totalement disproportionnés pour répondre à de simples gênes auditives légères et débutantes.
    A noter que le passage à des audioprothèses sophistiquées adaptées aux pertes moyennes ou sévères s’en trouve par la suite largement facilité.

    « Utiliser un "assistant d’écoute" sans aller voir un professionnel de santé retarde le dépistage »


    Contrairement à ce qu’affirme l’UNSAF, une grande majorité de spécialistes ORL, qui sont en prise directe avec les patients, estime que la prise en charge tardive de la perte de l’audition est d’abord et avant tout due au prix trop élevé des aides auditives. Ainsi, il ressort d’études récentes que 78% des malentendants ne s’équipent pas ou retardent le plus tard possible le moment de s’équiper à cause de tarifs et de prix trop élevés (Enquête OPINIONWAY / SONALTO du 15 novembre 2011.).

    SONALTO oriente systématiquement ses clients vers un médecin ORL lorsque ceux-ci n’ont pas consulté récemment ou dès le moindre doute sur leur condition. Seul le médecin ORL a la capacité de déterminer les causes de la gêne auditive.
    L’audioprothésiste, au-delà de ses compétences en matière de réglage et d’adaptation de la prothèse auditive, est bien incapable d’apporter un service de dépistage complet et sérieux. Et pourtant de nombreux tests gratuits pendant 1 mois sont de plus en plus souvent proposés par les audioprothésistes avant toute consultation chez l’ORL…

    " Choisir un assistant d’écoute peut faire plus de dommages que de bienfaits. "  


    FAUX, il suffit pour s’en convaincre de lire l’article du très sérieux Wall Street Journal du 10 septembre 2012
    1 , dans lequel la FDA (Food and Drug Administration), après avoir reconnu le statut des assistants d’écoute et avoir autorisé leur libre commercialisation en 2009, indique que «Techniquement, bon nombre des nouveaux modèles d’assistants d’écoute sont destinés à aider les personnes ayant une audition normale à mieux entendre dans des situations comme les restaurants bruyants et de grands rassemblements ».

    En Suisse, aux USA, en Angleterre en Allemagne, des centaines de milliers de personnes portent des assistants d’écoute et en sont très satisfaites.

    En France, la plupart des médecins ORL confortent cette position et disent à 92% accueillir favorablement la solution de l’assistant d’écoute (d’après un sondage réalisé aux assises ORL de Nice 2011, contrôlé par un huissier de justice) car justement, l’assistant d’écoute par son prix accessible, sa simplicité et sa totale innocuité encourage les gens qui ont une perte légère à s’équiper plus vite. Le caractère « non dangereux » de notre produit ayant par ailleurs été confirmé par le professeur Bruno FRACHET (Président de France Presbyacousie) 2.

    L’assistant d’écoute Octave de Sonalto compte déjà plus de 10.000 clients dont 84 % se disent très satisfaits de la qualité d’amplification, de la simplicité d’utilisation et bien sûr du prix.


     " Si vous suspectez une perte d’audition, faites la contrôler par un professionnel de santé".


    Oui, trois fois oui et SONALTO dit exactement la même chose. Dans toute sa documentation à l’adresse de ses clients et de la presse, SONALTO précise qu’Octave n’est pas une prothèse auditive et invite les personnes à consulter un médecin ORL en cas de gêne persistante 3.



    Un "assistant d’écoute", vraiment moins cher ?"  


    Vraiment moins cher ? Si Octave de SONALTO n’était pas beaucoup moins cher, le Syndicat national des audioprothésistes ne réagirait pas avec autant de véhémence, et les clients d’Octave ne seraient pas aussi nombreux à remercier SONALTO pour leur avoir enfin permis de s’équiper d’une solution auditive efficace à un prix très raisonnable.

    L’étude Santé Clair relève un reste à charge moyen de 1130€ pour l’achat d’une prothèse auditive après remboursement de la sécurité sociale et des complémentaires santé …4 Sans parler de ceux qui n’ont pas la chance de bénéficier d’une complémentaire pour qui il faudra ajouter entre 300 et 400€. 

    Le Prix conseillé d’Octave de 299€ TTC par appareil est respecté dans les 3.500 pharmacies distributrices. Cette solution est effectivement beaucoup moins chère, n’en déplaise à ses détracteurs.


    La commercialisation prétendument contestable et contraire aux dispositions du Code de la santé publique du produit Octave par SONALTO


    Il est FAUX, GRAVE et MENSONGER de prétendre qu’Octave est commercialisé en fraude de la législation !
    Ni SONALTO ni les 3.500 pharmaciens qui distribuent Octave ne sont dans l’illégalité comme le sous-entend l’UNSAF.
    Les pharmaciens sont des professionnels de santé responsables et reconnus après au moins six années d’études scientifiques. Certains d’ailleurs ont fait l’objet d’intimidations de la part des syndicats d’audioprothésistes qui leur a envoyé un courrier mensonger 5 prétendant que la commercialisation d’Octave serait illégale.
    L’UNSAF se substitue ainsi à la justice française et croit pouvoir préjuger un litige qui, bien que lancé à son initiative en décembre 2010, en vue de le faire trancher par le Tribunal de Grande Instance de PARIS dès le 27 janvier 2011 au prétexte d’une urgence jamais établie, n’a encore donné lieu à aucun jugement à ce jour, une expertise judiciaire devant tout juste commencer dans les jours prochains et ce, à la demande de ce Syndicat ! Dans l’intervalle, le Tribunal n’a aucunement jugé nécessaire d’interdire à la société SONALTO de poursuivre la commercialisation de son assistant d’écoute.

    Le Code de santé publique définit le métier d’audioprothésiste et spécifie clairement qu’ils ont le monopole de la distribution et de l’adaptation de prothèses auditives.

    Or, Octave de SONALTO n’est pas une prothèse auditive mais bien un « assistant auditif préréglé ». Ipso facto, l’assistant d’écoute ne nécessite pas d’adaptation par un spécialiste.
    Ce statut spécifique d’ « assistant auditif préréglé » a d’ailleurs été détaillé et pleinement reconnu dans la « Liste des positionnements réglementaires et des qualifications des DM et DMDIV », actualisée au 19 juin 2012, établie par l’ANSM (ancienne AFSSAPS).

    "Nous, dirigeants de SONALTO, jeune Start up française, voulons alerter l’opinion sur ces dérives corporatistes.
    En cherchant à protéger et à justifier par tous les moyens les marges pratiquées par les audioprothésistes, et en prétendant faire rentrer dans leur monopole l’assistant d’écoute préréglé Octave qui n’est pourtant par une prothèse auditive, l’UNSAF espère nous empêcher de contribuer à rendre accessible pour des millions d’individus des solutions auditives, pourtant essentielles à la santé et au bien être des personnes.
    Espérons que le bon sens et l’équité l’emporteront".

    1 : http://online.wsj.com/article/SB10000872396390443921504577643451266751104.html?KEYWORDS=hearing+aids
    2 : Citation du Professeur Frachet dans l’interview qu’il a donné à un journaliste de Medisite le 07/07/2011 : http://sante.planet.fr/audition-l-assistant-auditif-octave.85866.11585.html?page=0,3
    3 : « Octave n'est pas une prothèse auditive. En cas de gêne persistante, d’antécédents auriculaires, de douleurs d’oreille  ou de baisse d’audition unilatérale, il est recommandé de consulter immédiatement un médecin ORL. »
    4 : Etude santé clair : parue 2/04/2009
    5 : Courrier de l’UNSAF à l’USPO daté du 9 décembre 2011,  relayé par l’USPO aux officines françaises le 10 janvier 2012.