Nora ANSELL-SALLES

lundi 20 mars 2023

Communiqué de l'Institut mutualiste Montsouris

  1. Afin de permettre aux infirmiers (ères) de se centrer sur leur métier, les soins, un nouveau poste d’assistant des soignants a été créé dans tous les services de l’IMM.Cette personne est désormais en charge de toutes les missions (administratives notamment) qui ne sont pas des soins. Reportage du Magazine de la Santé.

https://imm.fr/2023/03/16/de-nouveaux-postes-dassistant-parcours-patients-app-ont-ete-crees-dans-les-differents-services-de-limm/

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dimanche 19 mars 2023

Fin de vie : appel à temoin


Comprendre la loi Claeys-Léonetti de 2016 – Ministère de la Santé et de la Prévention

De nouveaux droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie
publié le18.10.21 mise à jour05.12.22
  • Linkedin

La loi du 2 février 2016 modifie les dispositions relatives à la fin de vie : des droits renforcés et des droits nouveaux pour les personnes malades et les personnes en fin de vie. Chacun peut exprimer ses volontés sur la fin de vie, qu’il soit en bonne santé ou malade.

Qu’est-ce qu’apporte la loi du 2 février 2016 ?

La loi Claeys-Leonetti a renforcé le droit d’accès aux soins palliatifs mis en place dans la loi du 9 juin 1999. Elle met à disposition les directives anticipées et la désignation de la personne de confiance, pour permettre à nos concitoyens d’exprimer leurs volontés. Elle a clarifié les conditions de l’arrêt des traitements au titre du refus de l’obstination déraisonnable, en réaffirmant le droit du malade à l’arrêt de tout traitement, à bénéficier de la sédation profonde et continue jusqu’au décès lorsque le pronostic vital est engagé à court terme, en plaçant le patient au cœur du processus décisionnel en rendant ses directives anticipées contraignantes pour le médecin. La loi érige les droits en terme d’accès aux soins palliatifs et d’accompagnement de la fin de vie et pose le cadre de la procédure collégiale et de la décision médicale.

Les directives anticipées deviennent l’expression privilégiée de la volonté du patient hors d’état de le faire et s’imposent désormais aux médecins. Cette évolution de la loi qui concerne les directives anticipées et qui porte sur leur opposabilité à l’égard du médecin est la plus significative.

Mieux répondre à la demande à mourir dans la dignité

La loi du 2 février 2016 permet de mieux répondre à la demande à mourir dans la dignité par une meilleure prise en charge de la souffrance, et en clarifiant l’usage de la sédation profonde et continue, jusqu’au décès, en phase terminale.

Elle permet également de conforter la place de l’expression de la volonté du patient dans le processus décisionnel et en particulier de ses « volontés précédemment exprimées ».

Concrètement, la loi permet de :

  • Réaffirmer le droit du malade à l’arrêt de tout traitement
  • Rendre contraignantes les directives anticipées pour les médecins et développer les directives anticipées en les formalisant
  • Prendre en compte les volontés exprimées par écrit sous forme de directives formalisées éventuellement contraignantes, et assurer leur accessibilité
  • À défaut de l’existence de directives anticipées, prendre en compte l’expression des volontés exprimées par le patient portées par le témoignage de la personne de confiance ou à défaut tout autre témoignage de la famille ou des proches
  • Améliorer l’accès et l’utilisation des directives anticipées pour les professionnels de santé et le public
  • mettre à disposition un modèle de directives anticipées qui pourra être rédigé de préférence avec l’aide de son médecin
  • d’enregistrer les directives anticipées pour faciliter leur accessibilité et développer l’information.

Pour les professionnels de santé, ce qui change

  • Une obligation pour les professionnels de santé de mettre en œuvre tous les moyens à leur disposition pour que toute personne ait le droit d’avoir une fin de vie digne et accompagnée du meilleur apaisement possible de la souffrance (article 1 de la loi)
  • Une prise en charge de la fin de vie qui renforce les droits des patients
  • Une meilleure prise en compte de la souffrance réfractaire du malade en phase avancée ou terminale par des traitements analgésiques et sédatifs
  • Une obligation pour le médecin de respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité, de refuser ou ne pas recevoir un traitement (article 5 de la loi)
  • Un rôle renforcé d’information auprès de leurs patients sur la possibilité et les conditions de rédaction de directives anticipées (article 8 de la loi).

Les grandes dates de la loi Fin de vie


👉A LIRE SUR LE MÊME  SUJET :



🎬Clipvidéo

MINE D'INFOS 
lance un appel à témoin dans le cadre d’un article à paraître,  courant avril prochain, sur le thème de la "fin de vie".
Les personnes et structures qui souhaitent partager leur regard (de façon anonyme ou pas) sont invitées à  faire parvenir leur contribution  à  @pressentinelle2@gmail.com
Merci d'avance de faire circuler cet avis de recherche dans vos réseaux.
Nora ANSEL-SALLES


Replay de la webconférence Mgéfi "Equilibre et prévention des chutes"

[▶️ Replay] 🎬 Pour accéder au replay de la webconférence Mgéfi "Equilibre et prévention des chutes" c'est par ici 👉 https://www.delta7.org/fr/campus/canal-delta7/programme/mgefi-equilibre-et-prevention-des-chutes   

Avec l’avancée en âge, l’équilibre peut devenir une préoccupation et une chute peut être source de difficultés pour un sénior. Pourtant, il existe des moyens efficaces pour les prévenir. Dans cette conférence en ligne, la Mgéfi aborde les sujets suivants pour répondre à vos interrogations : 

+ L’équilibre, un bien précieux à préserver,  
+ Comment notre alimentation et nos comportements quotidiens, peuvent influencer notre équilibre ? 
+ Comment se protéger des chutes à domicile ?  
+ Les bons réflexes à connaître en cas de chute.


https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0bdpZ1Ku7GizevxV2iNxa52dJEZUofnZ66er6ciRK78f2QPXEN2zPRLpCzk4id5Pal&id=489602864773690&sfnsn=scwspmo

Lancement de la première anthologie africaine féminine

Dimanche 26 mars de 14 h - 19 h : dans le cadre du 20e anniversaire du Printemps des poètes des Afriques et d’Ailleurs lancement de l’anthologie Mémoires et Révoltes au féminin, Cinq lauréates du Grand Prix Martial Sinda de la poésie francographe de Thierry Sinda (éditions Unicité). Elle est la première anthologie panafricaine de poétesses francophones. 
LIEU : 
Librairie de l’avenue, située au Marché aux puces de la porte de Clignancourt : 31, rue Lecuyer à Saint-Ouen. M° Porte de Clignancourt ou Garibaldi. 


Contact : 
06 10 01 95 25.

vendredi 17 mars 2023

C'est à lire 📚 : "Le mal de mère" de Rawia Arroum

#VendrediLecture 📖
Mon coup de coeur  de la semaine 
"Le mal de mère"

Résumé 
Comment la folie d'une mère peut briser la vie de sa fille ?
Un thriller psychologique bouleversant et glaçant dont on ne ressort pas indemne !

Quand aimer à la folie devient réalité...

Perl Wagner, 17 ans, est célèbre : toutes les maladies la veulent. Elle jongle entre les tournées pour honorer les rendez-vous médicaux organisés par sa mère et sa vie de lycéenne. Son rêve est d'obtenir son diplôme. Elle vise le BAC pas le RIP.
Lors d'une de ses sorties à l'hôpital, Perl rencontre Eddy, un jeune homme de son lycée qui l'intègre rapidement à son groupe d'amis. D'ordinaire solitaire, elle découvre alors l'amitié. Et pour une fois, Perl se laisse volontiers contaminer.
Mais tout bascule quand sa mère décide qu'elle est trop malade pour continuer ses études et doit à tout prix se faire opérer...

Un thriller psychologique glaçant, inspiré de l'histoire vraie de Clauddine Blanchard et Gypsy Rose, sur le syndrôme de Münchhausen par procuration.

mercredi 15 mars 2023

An II de la démocratie en santé - 2ème séminaire de la Fédération Diversité Proximité Mutualiste (FDPM) le 22 mars 2023 à la Maison de la Chimie

ALERTE  INFO:
Report du séminaire du 22 mars et annulation du CA du 23 mars

Report du séminaire du 22 mars et annulation du CA du 23 mars
A toutes et à tous,

Notre pays traverse une période difficile qui va impacter fortement l'activité de tout un chacun notamment la semaine prochaine.

Aussi, en responsabilité, et avec respect pour tous ceux qui devaient participer ou simplement assister à notre séminaire consacré aux conditions d'exercice de la démocratie en santé, nous décidons le report de cette journée du 22 mars.

Par voie de conséquence, nous décidons l'annulation du CA prévu le 23 mars.

Je suis sincèrement désolé pour tous ces changements, notre fédération ne pourrait imaginer que l'un de ses membres et a fortiori, l'une des personnes qui vient nous appuyer sur nos projets novateurs, puisse avoir quelque désagrément que ce soit.

Je souhaite que ce gouvernement qui devrait mieux réfléchir sur les conditions d'exercice de la démocratie, mette un terme au fiasco qu'il a lui-même déclenché en renonçant à cette réforme de la retraite, d'autres solutions sont possibles!

Sentiments mutualistes les plus dévoués

JLSPAN
ADPM/FDPM
06 26 14 69 31

 Sans virus.www.avg.com



La Fédération Diversité Proximité Mutualiste (FDPM) a le plaisir de vous convier le mercredi 22 mars 2023 pour faire vivre le débat autour des Conditions d'Exercice de la Démocratie en Santé.  Le lien pour accéder au programme & localiser précisément l'endroit:

NB : Ce séminaire, initialement prévu à l'Assemblée Nationale a été déplacé à la MAISON DE LA CHIMIE.


PROGRAMME 
Contact :
Jean-Louis SPAN
Président FDPM
Tel : 06 26 14 69 31

Zoom sur  la démarche 
Mieux appréhender la Démocratie en Santé de Proximité
La Démocratie en Santé de Proximité est une approche qui vise à impliquer les citoyens dans la gestion de leur propre santé.

Elle est basée sur l'idée que les citoyens doivent avoir leur mot à dire dans les décisions qui les concernent directement, notamment dans le domaine de la santé. Par conséquent, la Démocratie en Santé de Proximité vise aussi à impliquer les citoyens dans la construction de projets de santé locaux. Dans cet article, nous allons examiner le rôle que peut jouer la mutualité dans la mise en place de la démocratie en santé de proximité en France. La mutualité est un acteur majeur de la protection sociale en France, qui compte de nombreux adhérents. Elle est composée d'un réseau de mutuelles et peut jouer un rôle clé dans la mise en place de la Démocratie en Santé de Proximité en accompagnant les Habitants-Usagers-Citoyens (H.U.C) dans cette démarche. Nous allons examiner les différents aspects de la démocratie en santé de proximité, le rôle de la mutualité dans sa mise en place, la promotion de la santé, la prévention auprès des citoyens et la façon dont la mutualité s'engage dans la démocratie en santé de proximité.


Comprendre la démocratie en santé de proximité


La Démocratie en Santé de Proximité est un concept relativement nouveau dans le domaine de la santé. Elle est basée sur la participation citoyenne et la collaboration entre les différentes parties prenantes impliquées dans la santé, notamment les patients, les professionnels de santé, les associations locales, les élus et les acteurs de la santé publique. Elle vise à renforcer la responsabilité sociale de la santé en impliquant les Habitants-Usagers-Citoyens dans les prises de décisions et la planification des politiques de santé.

La Démocratie en Santé de Proximité se traduit par la mise en place de dispositifs participatifs tels que les conseils territoriaux de santé, les conférences de citoyens, les enquêtes sanitaires, les groupes de travail collaboratifs, les budgets participatifs et les initiatives locales. Ces dispositifs permettent aux H.U.C d'exprimer leurs besoins et leurs attentes en matière de santé, de participer à l'élaboration de politiques de santé et de contribuer à la mise en place de projets de santé adaptés à leurs réalités locales (l'offre locale de santé, l'âge, le sexe, la culture, le niveau de revenu, etc.).


Le rôle de la mutualité dans la mise en place de la Démocratie en Santé de Proximité

La Mutualité est un acteur majeur de la santé en France, et joue un rôle important dans la mise en place de la Démocratie en Santé de Proximité. D’après le Code de la Mutualité art. L111-1, les mutuelles ont pour mission de protéger leurs adhérents, mais également de promouvoir la santé et le bien-être de la population en général. Elles sont des organisations à but non lucratif, ce qui signifie que leur objectif premier n'est pas de faire des bénéfices, mais de servir l'intérêt général. Cette caractéristique les différencie des compagnies d'assurance, qui cherchent avant tout à maximiser leurs profits.

Les mutuelles et plus particulièrement les petites et moyennes mutuelles (PMM) de la Fédération Diversité et Proximité Mutualiste sont également des acteurs de proximité, présents dans les territoires, les quartiers, les villages, et les villes. Elles connaissent donc bien les spécificités locales et les besoins des populations. Elles ont donc un rôle à jouer dans la mise en place de la démocratie en santé de proximité, qui implique la participation des citoyens et des acteurs locaux dans la définition des politiques de santé.

Les PMM peuvent contribuer à la mise en place de la Démocratie en Santé de Proximité de différentes manières : 

Elles peuvent aider à la mobilisation des citoyens, en les informant sur les enjeux de santé locaux et en les incitant à s'impliquer dans les débats et les prises de décision. 
 

En favorisant la participation des citoyens à travers la mise en place de structures de concertation, telles que les comités locaux de santé ou les conseils territoriaux de santé.
 

Les mutuelles peuvent contribuer à la diffusion des bonnes pratiques en matière de promotion et prévention en santé. Elles peuvent, par exemple, proposer des actions de sensibilisation et de prévention en direction des populations les plus vulnérables, telles que les personnes âgées, les personnes en situation de précarité, ou les personnes atteintes de maladies chroniques. Elles peuvent également accompagner les acteurs locaux dans la mise en place d'actions de prévention et de promotion de la santé. Enfin, elles peuvent aussi contribuer à des actions d'éducation thérapeutique des patients.
 

Les mutuelles peuvent être des acteurs de la régulation du système de santé. Elles peuvent ainsi participer à la définition des politiques de santé, en proposant des solutions adaptées aux besoins des populations. Elles peuvent également agir en faveur de la qualité des soins, en travaillant avec les professionnels de santé pour améliorer la prise en charge des patients, ou en menant des actions de contrôle et de suivi des pratiques médicales.


Prévention et promotion de la santé auprès des citoyens

L'un des rôles clés de la mutualité dans la prévention et la promotion de la démocratie en santé de proximité est la sensibilisation des citoyens à l'importance de prendre soin de leur santé. La mutualité a un rôle important à jouer en matière de promotion de la santé et de prévention des maladies. En effet, elle a pour objectif d'améliorer la santé de ses membres en les informant et en les éduquant sur les pratiques de santé appropriées.

Les mutuelles mettent en place des programmes de santé et de prévention pour leurs adhérents, tels que : 

Des programmes d'éducation à la nutrition, des séances de sport et de remise en forme, ainsi que des séances d'information sur les maladies chroniques. 
Ces programmes peuvent aider les membres à mieux comprendre leur santé et à adopter des comportements sains, ce qui peut réduire le risque de maladies chroniques. 

La mutualité peut également travailler en collaboration avec les communautés locales pour améliorer la santé publique en organisant des campagnes de prévention et de sensibilisation et des événements de santé. Ces initiatives permettent aux H.U.C de mieux comprendre les enjeux de santé qui les concernent et de prendre des décisions éclairées sur leur santé.


La mutualité, acteur engagé pour une Démocratie en Santé de Proximité


En tant qu'acteur clé de la Démocratie en Santé de Proximité, les PMM ont un rôle majeur à jouer pour promouvoir une approche centrée sur l’Habitant-Usager-Citoyens-Patient et la “communauté”. Les mutuelles ont la capacité de mettre en place des programmes de santé et de prévention pour leurs adhérents, d'organiser des événements de sensibilisation, de collaborer avec les professionnels de la santé et les communautés locales pour améliorer la santé publique, et de plaider en faveur d'un système de santé plus équitable et accessible.

En outre, les Petites et Moyennes Mutuelles de Proximité ont l'avantage de bien connaître les besoins de leurs membres et de leur communauté locale. Elles peuvent donc adapter leurs programmes et leurs initiatives pour répondre aux besoins spécifiques de leurs territoires et communautés. Cette approche de proximité est essentielle pour établir une relation de confiance avec les adhérents ainsi que pour encourager leur participation active dans la prise de décisions en matière de santé.

 

En conclusion, la démocratie en santé de proximité est un enjeu majeur pour la promotion de la santé et l'amélioration de la qualité des soins. La mutualité, acteur historique de la protection sociale et de la santé, a un rôle clé à jouer dans la mise en place de cette démocratie en santé de proximité. Les petites et moyennes mutuelles de proximité, par leur ancrage territorial, leur connaissance des réalités locales et leur engagement en faveur de l'intérêt général, sont particulièrement bien placées pour contribuer à cette dynamique et développer des dispositifs innovants pour améliorer l'accessibilité et la qualité des soins.

Démocratie en santé
Santé publique
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7 mars 2023
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 09 53 10 53 49 contact@fdpm.fr Lun - Ven - 8:30 - 17:00

#Cabouge_Paris17 ❗ Privatisons la collecte des déchets dans le 17ème arrondissement !



Depuis 8 jours, les rues du 17è arrondissement sont jonchées d'ordures en raison du mouvement social contre la réforme des retraites et la Maire de Paris (qui pavoise l’Hôtel de Ville en soutien aux grèves) et qui par conséquent refuse de mettre les moyens nécessaires pour assurer la propreté de la capitale.

Pragmatique, dès le 1er jour de la grève, j'ai demandé de solliciter un prestataire privé pour procéder au ramassage durant la grève.

Je n’ai reçu aucune réponse à cette demande.

De toute évidence, Anne Hidalgo préfère entretenir la saleté et l’insalubrité.

C’est intolérable, injustifiable et risqué.

Cette grève démontre par ailleurs une fois encore l’inégalité des Parisiens devant le service public de collecte des déchets : la scission de Paris en deux régimes - public et privé - crée une distorsion et les arrondissements où la collecte dépend de la Mairie de Paris ne bénéficient pas du même service que les arrondissements où la collecte est privée.

Par delà la grève en cours, je continue donc de revendiquer la privatisation de la collecte dans le 17è arrondissement. La situation a trop duré! C'est pour cela que j'ai décidé de lancer une pétition qui sera adressée à la maire de Paris demandant enfin la privatisation de la collecte dans notre arrondissement.


J'ai par ailleurs demandé hier à l'Etat de réquisitionner au plus vite les centres de traitement des déchets pour rétablir la salubrité publique et garantir la sécurité des habitants.

Vous pouvez compter sur ma détermination et celle de l'équipe municipale! 



Parisian streets littered with trash after wave of strikes

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 Geoffroy Boulard dénonce "le mutisme inacceptable" d'Anne Hidalgo

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Poubelles non ramassées : les villes submergées

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Geoffroy Boulard « demande à la maire de Paris de nous laisser la possibilité de recourir à des sociétés privées pour déblayer les rues »

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Geoffroy Boulard - Les Amis de Geoffroy Boulard (LAGB)
Siège - 12 rue Philibert Delorme, 75017 Paris

Vous ne souhaitez plus recevoir de mails : http://x60r0.mjt.lu/unsub2?hl=fr&m=AUwAAA_T23cAAcjieigAAK53QjYAAYCrmWUAm6jsABPQeABkEO8l6s0ZCprRRzOST54OlChrpQATtvk&b=270c04df&e=b8a2c3bf&x=sTIR7pxJTaHDKwna2VU8Lb8-PukRAaxL-uBj5jhKAnk
Vous avez des suggestions, des retours à nous faire : contactez-nous

Sur le même  sujet : 


mardi 14 mars 2023

Aujourdi, le chirurgien esthétique est devenu une pizza à évaluer!

Depuis que Google exige des avis concernant la qualité du chirurgien, le mode de recrutement des patients à considérablement changé. 

🖌 Vladimir  MITZ 

Autrefois était le règne du bouche à oreille; aussi la communauté des médecins qui connaissaient un chirurgien esthétique parce qu' ils avaient fait leurs études ensemble ou parce qu' ils avaient vu des patients opérés par ce chirurgien, ce qui  créait des liens de respect d'amitié et de confraternité. 

Ces Médecins était donc organisés dans un réseau professionnel qui de fait pouvait mettre en avant et recommander un ou plusieurs chirurgiens esthétiques de bonne qualité.

Cela faisait aussi la réputation du médecin référent, car les patients satisfaits de l'acte effectué reportaient leur estime vers le collègue qui avait recommandé un tel ou untel comme chirurgien. 

Aujourd'hui nous chirurgiens esthétiques sommes devenus des pizzas! Il faut que les patients opérés expriment un avis positif, étayé par leur propre expérience auprès de ce praticien, pour gonfler le nombre d'avis sur leur fiche google business de proximité.

 C'est ce nombre, ridiculement faible le plus souvent pour la majeure partie d'entre nous, qui n’y accordions guère d’importance, ( un nombre inférieur à 50 avis en général), ce qui fait que notre site et notre réputation ne dépassent pas une petite colline. Les jeunes chirurgiens très au fait des réseaux sociaux ont parfois plus de 200 avis positifs.Ceci  les fait considérer comme des hautes cimes de la profession, et entretient par conséquent un positionnement idéal sur le listing de Google; ce classement faussement réputationnel est responsable d'une activité professionnelle majorée en terme de quantité- et aussi de qualité car le niveau de la chirurgie esthétique et réparatrice française est exceptionnellement élevé. 

Aujourd'hui nous chirurgiens esthétiques sommes donc  devenus des pizzas! Bonne ou mauvaise, il faut que cette pizza médiatique clignote pour attirer le chaland. Bientôt nous aurons des plaques sur nos portes faites de lumières éblouissantes et changeantes avec des seins qui montent et qui descendent et des culottes de cheval qui s'élargissent et rapetissent: C'est ainsi que les femmes complexées pour repérer facilement un centre chirurgical qui se dévoue à ses opérations extrêmement demandées que sont les plasties mammaires et les liposuccions, fera un joie éclairé au sens propre.. 

La science et la médecine éthique n'ont plus rien à voir là-dedans. C'est une forme de publicité déguisée que le conseil de l'ordre des médecins ne peut pas interdire puisque nous devons au patient une information aussi complète que possible, mais pour cela il faut bien attirer son œil pour ouvrir son esprit. 

Aujourd'hui, les chirurgiens esthétiques sont devenus des pizzas à tester et à promouvoir. Personnellement j'ai l'impression que du fait de mon itinéraire professionnel, je ne sens  pas si je suis tellement tenté pour devenir comestible pour tout un chacun…
Dr Vladimir  MITZ 



#RATlaPoubelle... savez-vous à quand remonte la création des poubelles ?

 Dernière  minute 
 #RATlaPoubelle
 

GRÈVE  DES ÉBOUEURS 

arrondissement géré par le public

Cette nuit, aux alentours de 3 heures du matin, BFMTV a ainsi pu constater le ramassage de déchets par des employés de l'entreprise privée Derichebourg, dans le VIe arrondissement de la capitale.

SAVEZ-VOUS  A QUAND REMONTE LES POUBELLES ?

En 1884, Eugène Poubelle ordonne le dépôt des déchets dans des récipients spéciaux munis d'un couvercle pour déposer leurs ordures ménagères devant leurs portes, afin qu'elles ne soient plus éparpillées dans la rue avant d'être ramassées par les services municipaux. D'où le nom de nos "poubelles" !
https://sitetom.syctom-paris.fr › lhist...

lundi 13 mars 2023

La Mutualité Française regrette l'échec des négociations de la convention médicale

ACTUALITÉS  SOCIALES

ENTRETIEN ESCLUSIF avec Éric Chenut président de la Mutualité Française

        🎬 Clip vidéo

Né le 16 février 1973 à Nancy, Éric Chenut est le président de la Fédération nationale de la Mutualité Française depuis le 5 octobre 2021. Juriste de formation, il est attaché d’administration de l’État depuis 2002. Mais qui est vraiment Éric Chenut...


Bonjour Éric Chenut, les lecteurs de "Mine d'Infos" vous connaissent en tant que président de la Mutualité Française. Les militants mutualistes suivent le parcours du citoyen engagé que vous êtes depuis des années... mais l'homme public est plus connu que l'homme privé... Si vous deviez faire votre auto portrait...

Je me décrirais comme un nancéen (rire), Je tiens à ma région. Je suis animé par l’engagement avec comme fil conducteur l’humanisme, la laïcité et l’émancipation.
J’ajouterai que je suis curieux de tout, volontaire, fidèle et je l’espère avec un peu d’humour.
J’aimerais vous dire aussi que je suis un grand sportif mais je reprends doucement 


Vous souvenez-vous de votre 1er acte militant ?

Oui, je me souviens, en CM2, à l’école Clémenceau, où je me suis investi pour participer à une réflexion engagée par le Directeur de l’école sur l’organisation de la demi-pension. Cela m’intéressait de contribuer à la réflexion collective, de m’impliquer pour améliorer le temps de la pause méridienne pour les demi-pensionnaires. J’ai compris plus tard que c’était un acte militant, car je savais que tout ce que nous imaginions ne nous concernerait pas, mas serait utile pour les élèves qui nous succéderaient. Pour autant cela me semblait indispensable de s’y impliquer, cela avait d’ailleurs surpris certains instits que nous ayons cette aspiration de travailler à ce qui nous dépassait d’une certaine façon.

Votre 1er combat personnel ?

Ce fut probablement d’être apprécié et appréhendé à l’aune de ce que je fais, et non de l’image que je peux renvoyer, étant déficient visuel, noir et gay.
Certains veulent nous enfermer dans une case, oubliant que l’on est complexe, multiple, empli de contradictions quelquefois. Je me suis toujours battu pour être libre, libre de mes choix d’études, ne voulant pas me restreindre du fait de mon handicap visuel, être libre dans mes choix ou mes engagements à l’aune de mes valeurs et de mes convictions, et pas forcément là où certains voulaient conditionner ma légitimité.


A qu'elle carrière vous destiniez-vous à 20 ans ?

Je me suis engagé dans les études de droit pour être avocat. Très vite à la fin de ma première année, ayant eu la chance de travailler en job d’été dans un cabinet comme secrétaire administratif, je me suis rendu compte que ce métier ne me correspondrait pas. Pour autant le droit me passionnant dans sa rigueur conceptuelle, dans l’aspiration à la justice que sous-tendait une utilisation volontariste du droit, j’ai décidé de continuer, sans savoir précisément ce que j’en ferai.
A 20 ans, je n’imaginais pas ce que je fais aujourd’hui cela est certain.
A vrai dire j’avais une forme d’insouciance, convaincu que par mon droit je parviendrai à exercer comme juriste au sein de la fonction publique d’état, sinon dans le secteur privé, sans plus de certitude, sinon que le droit conduisait à tout, et à même à ce que l’on n’imaginait pas…

A quelle époque et dans quelle circonstance le militantisme mutualiste a-t-il croisé votre route ?

Mon engagement premier fut syndical, puis politique et associatif.
Je ne connaissais pas l’engagement mutualiste.
A vingt ans, en 1993, à l’occasion d’une action d’information prévention sida, à laquelle mon syndicat s’est associé pour sensibiliser les étudiants, j’ai donné un coup de main et j’ai découvert qu’il y avait des femmes et des hommes élus à la MNEF.
Les sujets sur lesquels ils et elles s’engageaient, le mode d’entreprendre participatif, m’ont immédiatement plu, car très concret, permettant de mettre les mains dans le cambouis, même à l’échelon local.
J’y ai mis un doigt, puis le bras, et j’ai été aspiré par cet engagement, que j’ai poursuivi sous différente forme, dans différentes mutuelles et groupes mutualistes jusqu’à la Mutualité Française aujourd’hui.
Un des éléments qui m’a énormément plu, dès le début c’était que nous pouvions nous retrouver issus d’horizons différents ; je pouvais travailler sur le fonds avec des personnes qui étaient syndicalement engagées dans d’autres organisations que la mienne, et là au sein de la mutuelle, nous parvenions à fabriquer du consensus, à œuvrer ensemble dans l’intérêt des étudiants nous enrichissant les uns les autres.
Cette spécificité de la mutualité comme maison commune me semble être un élément que l’on ne met pas suffisamment en avant, quant à notre contribution à faire société en œuvrant aux communs de notre République.

Par quel chemin détourné, ou pas, devient-on président de la Mutualité ?

Un an avant je n’y avait pas pensé. Si Thierry ne devient pas Président du CESE, la question ne se serait surement pas posée. Au début du printemps 2021, la succession de Thierry commence à être envisagée.
Aussi je m’interroge à savoir si j’en ai les qualités, si j’en ai envie, car je sais la fonction très exigeante et complexe, l’ayant perçu au contact de Jean-Pierre*, Etienne ou Thierry. Je commence alors à consulter, pour savoir si mes pairs estiment que je peux être utile au mouvement.


Vous doutiez-vous, lorsque vous avez succédé à Thierry Beaudet, de l'ampleur de la crise sanitaire française à laquelle vous alliez devoir faire face ?

L’état du système de santé était connu, nous le disions depuis des années. Je me souviens avoir participer avec Etienne Caniard, alors président de la Mutualité Française, à une réunion à Bourges où nous faisions l’analyse commune des enjeux induits par la transition démographique et l’inadéquation de la démographie médicale, de l’organisation des missions des différentes parties prenantes du système de santé pour y faire face.
Le manque d’anticipation des pouvoirs publics est inexplicable, car tout était écrit, décrit.
Je n’ai donc en rien été surpris ; ce qui m’a surpris c’est la vaine tentative de masquer cette réalité en agitant une ambition technocratique, l’étatisation de la protection sociale, avec cette « Grande sécu ». Masquer les insuffisances du système de santé, l’augmentation des déserts médicaux, les délais de prises en charge qui se rallongent pour accéder à certaines spécialités, des dépassements d’honoraires qui s’accroissent… voilà les questions qui nous étaient posées, les inquiétudes exprimées. Or, on a voulu nous faire croire que le problème c’était le fait que des complémentaires santé, en premier lieu desquels les mutuelles, étaient le problème, passant par pertes et profits la création de valeurs des mutuelles au-delà de la redistribution prestataire, par les millions de personnes bénéficiant d’actions de prévention chaque année, celles et ceux accompagnés, parce qu‘orphelin, en situation de handicap ou de dépendance, les millions de personnes bénéficiant des 2930 établissements et services de soins et d’accompagnement mutualistes, en médecine, en chirurgie, en obstétrique, en soins de suites et réadaptation, en santé mentale, à domicile, ou dans les établissements médico-sociaux,  accédant à des soins sans reste à charge en centre de santé médicaux ou dentaires,  ou bénéficiant de délivrance de biens médicaux…
Je me suis employé depuis lors à expliquer ce que nous étions et faisions afin de contrer ce mutuelle bashing, et les arguments de nos contempteurs bien souvent de très mauvaise foi, qui nous reprochent ce que l’hyper-concurrence qu’ils ont décidée induit.
Mon ambition est avant tout de convaincre l’opinion et les relais d’opinion de l’intérêt de l’action mutualiste en explicitant, en objectivant l’empreinte solidaire, sanitaire et sociale, des mutuelles, des groupements et des unions mutualistes sur tout le territoire, en proximité.

Fervent défenseur de la laïcité, on vous dépeint comme un homme de valeurs, défendant "bec et ongles" les principes de solidarité... on dit de vous vous que vous avez un caractère bien trempé, vous reconnaissez-vous dans ce portrait ?

Si on le dit c’est qu’il y a du vrai !
Oui, j’ai des convictions, je les défends, pour autant celles et ceux qui me connaissent bien, et travaillent avec moi savent aussi que j’écoute, et intègrent les arguments des autres, que j’enrichis mon analyse des apports d’autres. Mais pour cela il faut du répondant et j’aime la confrontation d’idées, je crois en la force de la maïeutique qu’induit la dialectique du débat…
Ensuite la synthèse permettant de rassembler largement est une force, et non un signe de faiblesse.
Le compromis est essentiel en démocratie, en mutualité nous savons le porter comme un vecteur de rassemblement, non pour procrastiner ou remettre au lendemain les décisions qu’il faut prendre en responsabilité, mais dans la nécessité de fédérer le plus largement possible.

Quels sont vos ambitions et projets pour la Mutualité ?

Donner force et vigueur à notre raison d’être : « se protéger mutuellement aujourd’hui, pour ensemble construire les solidarités de demain », à la fois entre la fédération et les groupements adhérents à la Mutualité Française, mais aussi quant à la contribution mutualiste aux communs de notre société, par notre action, nos réalisations, en proximité, par la participation et l’innovation.
L’enjeu est de favoriser la diversification et le développement de l’action mutualiste dans les différents cadres permis par le code de la mutualité, dans l’intérêt des populations protégées et de faire mieux percevoir la plus-value de l’action mutualiste, partout et pour tous.


Il n'y a pas qu'une vie dans la vie... A quoi pensez-vous en vous rasant le matin ?

Je pourrai vous répondre que je ne me rase pas le matin, car j’ai opté pour la barbe de trois jours de peur de me couper depuis des années.
Mais au-delà de la boutade, le matin, je pense à ce qu’il y a à faire aujourd’hui, demain, le mois prochain et dans l’année qui vient.
Je suis totalement tourné dans le fait que ce mandat soit utile à l’action mutualiste, pour la valoriser la faire mieux connaître et reconnaitre, renforcer notre légitimité d’acteur du mouvement social, et de syndicat professionnel efficace.


La présidence de la Mutualité vous laisse-t-elle du temps pour une vie privée ?

C’est un mandat plus qu’à temps plein, quant à l’intensité des sujets à porter, à instruire, des projets à impulser.
Et quant à l’incarnation qu’une telle fonction induit il faut savoir se démultiplier pour aller sur le terrain, ce que nous faisons avec Dominique Joseph, Secrétaire générale, Béatrice Augier, chargée de mission auprès du Bureau et les équipes de la fédération dirigée par Séverine Salgado.
J’ai décidé de me déplacer au moins deux fois par mois, pour aller à la rencontre des femmes et des hommes qui font la mutualité au quotidien, élus comme salariés, pour me nourrir, comprendre leurs préoccupations, connaître précisément leurs actions, leurs projets pour pouvoir mieux les représenter.
Ce parti pris est donc exigeant, je veille donc à me ménager des temps pour moi, pour me ressourcer, auprès de mes proches, pour lire, écrire, écouter de la musique, aller voir des spectacles vivants…
Mais pas d’inquiétudes néanmoins, je prends énormément de plaisir dans l’exercice de cette responsabilité, quant aux rencontres faites, à la richesse des échanges, malgré la complexité du quotidien et à l’énergie qu’il convient d’y consacrer pour faire vivre sereinement notre communauté mutualiste diverse, vivante et engagée.


L'homme que vous êtes aujourd'hui a-t-il réalisé ses rêves d'enfant ?

Non, je n’ai jamais pu conduire de moto. Je ne suis pas styliste et je n’ai pas retapé une vielle église pour vivre dedans …


Si vous aviez la possibilité de faire vous-même les questions/réponses laquelle vous seriez -vous posée ? et quelle aurait été votre réponse ?


Je ne sais pas encore, mais j’aspire à avoir davantage de temps pour moi pour réfléchir et mettre au service de la puissance publique l’expérience acquise, pour contribuer à ma place à la réflexion collective quant à nos communs et la manière la plus démocratique pour les gouverner.
Je pense par ailleurs quand j’en aurais le temps me réengager dans d’autres organisations portant la question de la laïcité, de l’universalisme et de la manière de faire République ensemble à l’aune des aspirations sociétales, des enjeux sociaux, en ayant toujours au cœur l’émancipation comme fil directeur de mon engagement !
 


« La disponibilité d’Eric peut paraître surprenante tant les sollicitations sont nombreuses lorsque l’on préside la mutualité française. D’autant plus surprenante si l’on considère le surcroît de travail lié à sa cécité ... et pourtant ce handicap est probablement une partie de l’explication.
Deux attitudes sont possibles quand survient un tel handicap, se « lamenter » ou au contraire décider que cela n’interdira rien, ne « changera » rien.
C’est cette seconde attitude qu’a choisi Eric mais pour « ne rien changer », l’exigence doit être permanente, la rigueur une obsession, la discipline quotidienne! ... sans que ces efforts apparaissent pour ne pas donner prise à ceux qui, sans scrupules, n’hésiteraient pas à instrumentaliser le handicap pour mieux dénigrer sous couvert de compassion! C’est ainsi que des qualités déjà présentes se renforcent, se développent.
Disponible, rigoureux, courageux, des qualités rares et d’autant plus précieuses qu’elles sont au service d’une conviction, de valeurs.
Eric a pris en main les rênes du mouvement mutualiste à un moment difficile: une mise en concurrence érigée en dogme, un modèle économique qui freine la solidarité, une approche purement consumériste qui favorise l’individualisme ... autant de contraintes qui obligent à réinventer une raison d’être.
Si j’ai choisi de porter d’abord mon regard sur le handicap d’Eric, ce n’est évidemment pas pour rèduire sa personnalité à cette particularité mais tout simplement pour montrer que tout handicap peut être surmonté et se transformer en force, cela est vrai pour les individus comme pour les institutions. »

Propos recueillis  par  Nora  Ansell-Salles auprès  de Éric  Chenut & Étienne  Caniard 

Crédit  photos : Anita Véron & collection privée de Étienne Caniard 

NDLR : *Jean-Pierre  Davant ancien président  de la Mutualité  Française 



vendredi 10 mars 2023

C'est à lire 📚 : "Le livre de Liane" de Agathe Lemaitre aux éditions Harper Collins France

#VendrediLecture📖
"Le Livre de Liane: de Agathe Lemaitre version Livre ou ebook.

   🎬Clip vidéo

Résumé
« Je l’affirme haut et fort : les mots peuvent tuer. »
Louise a quitté Toulouse pour une carrière loin des siens, à Singapour. En 2018, le jour de son anniversaire, alors qu’elle guette l’arrivée du premier texto, les mots de son père rompent la quiétude de la nuit. Liane, sa petite sœur, celle avec laquelle elle rêvait de parcourir le monde, a été retrouvée suicidée dans son studio.
Passé la déflagration de l’annonce, Louise n’a qu’une obsession : retracer les derniers mois de la vie de Liane pour comprendre ce qui l’a menée à ce geste définitif. Ce qu’elle va découvrir, jamais elle n’aurait pu l’imaginer.
Ce roman est inspiré d’une histoire vraie. À partir d’archives policières et du journal intime de sa sœur, Louise a remonté le fil de la tragédie. Cette tragédie porte un nom : harcèlement scolaire.
Liane rêvait de devenir criminologue et écrivaine. Ce livre lumineux écrit à quatre mains, c’est le sien, Le Livre de Liane, pour dire la souffrance, les silences, la solitude. Célébrer aussi : la dignité et le sens du combat des victimes qu’on entend ici à travers sa voix.
 
À propos de l’autrice
Diplômée de l’ESSEC, Agathe Lemaitre partage dans ce roman l’histoire de sa famille et s’engage contre un fléau qui touche chaque année plus de 700 000 jeunes. Pour s’opposer au silence, venir en aide aux victimes de harcèlement et, collectivement, se reconstruire plus fort.

Note de lecture✒️: un livre émouvant, à  lire, et faire lire à ses enfants. Un très bon outil pédagogique pour engager une conversation  sur le sujet du harcèlement scolaire.
Nora ANSELL-SALLES 

jeudi 9 mars 2023

Une enseigne, plusieurs opportunités de carrière


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Pâques approche...



Et oui, le 09 avril c'est Pâques .... 

Chez Jeff de Bruges, les lapins passent à table et se laissent tenter par d' adorables pralinés aux recettes originales…

Pour Pâques, découvrez une multitude de gourmandises pour rendre « œufs-reux » petits comme grands !

Feuilletez le catalogue de Pâques pour faire le plein d'idées : œufs personnalisés, incontournables moulages en chocolat pour le jour J, lapins en guimauve tout tendres... C'est sûr, le 09 avril sera festif !

En savoir  plus :
 

Protection solaire chez les enfants ...en quelques chiffres clés


La protection solaire chez les enfants en quelques chiffres clés

L’étude SAFE, menée par le département Patient Centricity Pierre  Fabre dans 7 pays, révèle que les conseils de protection solaire des enfants sont insuffisamment suivis.
 
« 50 à 80% de l'exposition cumulée se produit pendant la petite enfance, constituant la prncipale cause de la plupart des cancers de la peau »

Découvrez les résultats de cette étude à travers l'interview du Dr ARIADNA ORTIZ BRUGUÉS, Dermatologue,  Directrice médicale des Laboratoires dermatologiques Avène
 
En savoir plus
 
Site Presse Pierre Fabre
Site Presse Pierre Fabre 
© Groupe Pierre Fabre 2022

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[Webinaire Optimind] Les contrats en déshérence : l’application de la loi Eckert


ACTUALITÉS 

 webinaire « Les contrats en déshérence : l’application de la loi Eckert », organisé demain, jeudi 9 mars, de 17h à 18h.

 

Pour rejoindre ce webinaire, merci de vous connecter via ce lien « Cliquez ici pour rejoindre le webinaire ».

 

Entrée en application le 13 juin 2014 par le gouvernement français et complétée en janvier 2016, la loi dite "Eckert" impose désormais aux organismes financiers de nombreuses obligations portant notamment sur la recherche des bénéficiaires des capitaux non réclamés au décès du titulaire et le paiement, s'il y a lieu, d'intérêts de retards.

La vigilance de l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) pour le sujet de la déshérence et les impacts réglementaires pour les organismes financiers assujettis étant multiples, leur prise en compte et intégration dans les processus internes apparaît, désormais, important.

À titre d’illustration, l’ACPR titrera dans son rapport de 2020 que 13 millions de comptes pour 18 milliards d’euros ne sont pas en conformité avec la loi Eckert et devront faire l’objet d’une recherche.

 

Nos experts vous présenteront les contours et enjeux de la déshérence, les processus et bonnes pratiques mis en œuvre dans sa prise en compte au travers de leurs retours d’expérience.

 

Nous nous tenons à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.

 

Cordialement,

 

Marine de Pallières | Communication & Public Relations Manager

optimind.

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marine.depallieres@optimind.com 

T: +33 1 48 01 91 66 | M: +33 6 07 03 57 91 

Tour Alto La Défense - 4 place des Saisons - F-92400 Courbevoie

www.optimind.com

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Appel à candidatures « Prix des Sciences du Risque 2023 »

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mercredi 8 mars 2023

Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage


Actualités inportantes en chirurgie réparatrice et esthétique par le
Dr Vladimir Mitz

           Clip vidéo
Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage sont actuellement dénoncés par des émissions télévisées, des reportages, et des articles de plus en plus nombreux. Il s'agit d'un phénomène mondial, les injections de fillers et de botox étant pratiquées parfois par des individus plus avides de gagner de l'argent que de réellement améliorer l'état physique et psychologique de patients crédules, mais aussi de patients qui souhaitent payer le moins cher possible, des prestations qui paraissent sans danger. 

Il existe de réels dangers quand l'injection est mal faite : 
le premier danger est de piquer dans un vaisseau sanguin ce qui crée un embol qui peut venir boucher le vaisseau et entraîner des nécroses, c'est-à-dire la mort des tissus irrigués par ce vaisseau. Ces nécroses sont irrémédiables. 
le deuxième danger est de pratiquer dans des conditions septiques ou mal protégées contre les contaminations microbiennes. Le risque alors est le développement d'une infection virulente, avec abcès, suppuration, mauvais résultats et parfois même des séquelles dramatiques comme on l'a observé au cours d'injections multifocales au niveau des fesses. 
le troisième danger est que ces injections se pratiquent d'une façon désordonnée et non professionnelle, ce qui entraîne non seulement une absence de résultats, mais parfois aussi des anomalies à type de gonflement permanent par l'utilisation d'acide et hyaluronique qui se répartit mal, ou bien de paralysies à la suite d'injection de botox à des mauvais endroits ou en quantité exagérée. 


De ce fait, et bien alerté des risques de ces injections sauvages, le Syndicat national des chirurgiens plasticiens esthétiques et réparateur mène une action juridique continue mais complexe auprès des pouvoirs publics, pour criminaliser cette pratique qui s'effectue au détriment des patients trop crédules. 

Aucun texte alternatif pour cette image
Mais cette action n'est pas facile, car les intérêts financiers sont énormes : pour les très nombreux fabricants, soumis à une impitoyable concurrence, il convient d'augmenter le nombre de boîtes vendues plutôt que de protéger les patients d'une façon rigoureuse. Il n'est pas très compliqué de se procurer des flacons de botox ou des seringues d'acide hyaluronique via certaines pharmacies ou par Internet interposé. 

Pour les patients, payer moins cher est un argument majeur envers la pratique d'injection souterraine, car elle permet d'espérer un bon résultat pour un coût moindre. D'ailleurs certaines infirmières ou certains praticiens non formés ont un goût réel pour la médecine esthétique et se retranchent derrière leurs bons résultats, en omettant de mentionner à leur patient les risques encourus et leurs propres complications qu'ils ne veulent pas reconnaître.



Comment prévenir ces dangers ? 
la première précaution est de réguler les prescripteurs et utilisateurs des fillers, des botox et de leurs dérivés. Ces traitements doivent être réservés aux médecins qui ont suivi la formation des certificats complémentaires en médecine esthétique, aux dermatologues intéressés par cette pratique et aux chirurgiens qui ont le goût pour cette action complémentaire du bistouri. La pratique de la médecine esthétique est hautement valorisante pour parfaire des résultats que le seul bistouri n'obtient pas. La contravention constatée par des enquêtes policières doit être sanctionnée par des amendes conséquentes pour ceux qui outrepasseront à des lois mais qui ne sont pas encore votées. 
la seconde règle est de demander aux laboratoires qui fabriquent les produits d'injection de faire un maximum d'information, en transparence, après avoir fait un maximum de recueil des complications que le corps médical aura fait remonter vers eux, afin d'avoir une idée statistique de la nocivité éventuelle des substances employées, à court moyen et long terme.
la troisième règle est d'exiger des laboratoires qu'ils vérifient la destination de ceux qui commandent leurs produits pour s'assurer d'une façon indiscutable qu'il s'agit bien d'un médecin habilité qui réceptionne le produit et s'engage à faire lui-même les injections, sans revendre les seringues ni laisser un auxiliaire (même soi-disant formé) pratiquer des injections dans une insouciance généralisée, et avec un sens des responsabilités élastique. 

Les injections de Botox
Les principales complications du Botox injecté dans des zones autorisées par les autorités sanitaires consiste en des asymétries de mouvement, ou des paralysies gênantes fonctionnellement et esthétiquement. 

S'il y a par exemple une asymétrie au niveau de la position des sourcils après une injection de Botox dans le front, il est possible techniquement de moduler l'action localement par une petite retouche d'injection de symétrisation. 

Si par contre on constate une paralysie, comme cela arrive parfois au niveau des lèvres inférieures après injection dans le muscle 'abaisseur de la lèvre inférieure (au cours d'un traitement destiné à lutter contre le rictus vers le bas de la lèvre inférieure), il ne reste qu'à attendre que l'injection se dilue progressivement et qu'il se produise une récupération spontanée des mouvements ; cela se produit en général en 30 à 45 jours après l'injection 

Les injections de fillers
Les principales complications après injection de fillers consistent en des nécroses, pour lesquelles il est recommandé d'injecter le plus vite possible de la hyaluronidase ou d'appliquer localement de la topilase qui ont le pouvoir de dissoudre le gel qui a été injecté, parfois en trop grande quantité (lèvres surgonflées dites lèvres à la russe) ou de lutter contre un spasme ou un embol intravasculaire. Ce qui permet, dans certains cas, de récupérer une vue compromise par injection mal faite au niveau de la paupière, ou une nécrose localisée du nez au cours d'une rhinoplastie médicale. 



En conclusion
Les dangers de la médecine esthétique sont réels. Ils ne sont pas seulement l'apanage des pratiquants sauvages des injections, qui eux doivent être poursuivis et condamnés. Mais il existe aussi des complications entre les mains des praticiens les plus chevronnés, ce qui permet de souligner encore la nécessité de lutter contre des injections pratiquées par des non médecins. Au moins les médecins habilités ont-ils souscrit une assurance professionnelle. Ils ont aussi la possibilité de traiter la complication en évitant la panique et de laisser un patient injecté partir avec complication, sans ressources autre que de se précipiter vers un autre médecin qui voudra bien les prendre en charge.



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Propos recueillis  par  Nora  Ansell-Salles  auprès  du  Dr  Vladimir  MITZ 

mardi 7 mars 2023

Invitation 14 mars à 11h30 - Kératoconjonctivite vernale : une maladie oculaire rare et méconnue, lourde de conséquences pour les enfants

conférence de presse le 14 mars 2023 à 11h30 à Paris, sur une maladie oculaire rare et méconnue qui touche les enfants et qui est très souvent confondue avec une allergie simple des yeux et qui peut avoir un effet dévastateur et irréversible pour la vue. 
Vous trouverez ci-dessous et ci-joint des informations complémentaires. 

Kératoconjonctivite vernale :
Une maladie oculaire rare et méconnue,
lourde de conséquences pour les enfants
Pour y répondre seront présents :
Le laboratoire Santen, spécialisé en ophtalmologie, a lancé à l’occasion de la journée mondiale des
maladies rares, une campagne de sensibilisation sur la kératoconjonctivite vernale mettant en scène le
petit Lucas* âgé de 8 ans.
Cette campagne a pour objectifs de faire connaître la maladie au grand public et de familiariser les
professionnels de santé à l’identification des symptômes jusqu’à la prise en charge de cette pathologie,
qui touche essentiellement les enfants dans leur jeune âge.
La kératoconjonctivite vernale fait partie des 7 000 maladies rares connues. Ses symptômes peuvent être
attribués à tort à une conjonctivite allergique entraînant un retard de diagnostic et de prise en charge
préjudiciable pour la capacité visuelle et la qualité de vie des enfants.
Quels sont les symptômes de la kératoconjonctivite vernale, ses risques, ses conséquences et sa prise en
charge ?
Contacts presse
Agence PRPA
Diane Rabuat - diane.rabuat@prpa.fr - 06 24 15 72 55
Pr Dominique BREMOND-GIGNAC, Chef du service d’Ophtalmologie, Hôpital
Universitaire Necker Enfants Malades (APHP) et Coordonnateur du Centre de Référence de
Maladies Rares en Ophtalmologie OPHTARA.
Elle sera accompagnée de Charles MAHON DE MONAGHAN, Directeur des Affaires
Médicales du laboratoire Santen.
Le laboratoire
Santen a le plaisir
de vous inviter à
un déjeuner presse
Le Mardi 14 Mars dès 11h30 pour un accueil café
Pura Vida
114 bis rue de Vaugirard 75006 Paris
Metro Falguière (12) ou Duroc (10 et 13)
La conférence débutera à 12h précises et sera suivie d’un cocktail