Nora ANSELL-SALLES

jeudi 30 mai 2019

Coup de projecteur sur l'actualité de Paris 17ème



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Mes chers amis,

Le résultat des élections européennes constitue un échec pour notre famille politique qui n'a pas su répondre aux attentes profondes et légitimes des français dont le message doit être entendu.

Après des semaines de campagne acharnée, il convient de saluer l'engagement de nos candidats, soutenus par des militants fidèles, qui se sont déployés dans toute la France avec détermination pour porter notre projet européen.

Il nous appartient désormais de retrouver notre identité, d'afficher clairement notre utilité et notre originalité de la vie publique. Le Rassemblement National a fait de l'immigration sa marque de fabrique, les Verts l'environnement et La République en Marche une forme de libéralisme aiguë.

Il nous appartient de tirer les conséquences de ce scrutin, chacun doit en assumer ses responsabilités.

A titre individuel, j'ai présenté lundi matin à Laurent Wauquiez ma démission du poste de Secrétaire départemental des Républicains de Paris.

En tant que Maire du 17e arrondissement et conseiller métropolitain délégué de la Métropole du Grand Paris, j'aurai à coeur de participer à la construction d'une politique alternative à celle proposée par Anne Hidalgo aux parisiens depuis 2014.

Je reste fidèle à mes valeurs et à ma famille politique pour les combats à venir et notamment les municipales à Paris et dans le 17ème arrondissement.

Un tel score doit nous amener à repenser notre mouvement pour porter une ambition nouvelle, ouverte et élargie. 
 

Geoffroy Boulard
Maire du 17e arrondissement
Conseiller métropolitain délégué

Ma réaction suite à l'annonce du projet de la Maire de Paris d'installer un camp de migrant
au pied du tribunal de Paris.
Voir la vidéo


Après le lancement en 2018 du site mobilesignalerunrat.paris (3520 signalements en 2018), j'ai lancé le 13 mai l'application Detritous (disponible sur l'Apple Store et sur Google Play ainsi qu'à l'adresse detritous.paris, pour une gestion participative de la propreté du 17ème.
En savoir plus


Un nouvel incendie de deux roues rue du Docteur Heulin, sur un emplacement autorisé. Une enquête est ouverte au commissariat de Police 


Inauguration des allées Myriam Monsonego et Arié et Gabriel Sandler au square Sainte-Odile en présence de Nicolas Sarkozy, de la Maire de Paris et de la députée Brigitte Kuster notamment.


Commerces en fête organisé par la Mairie du 17e arrondissement en partenariat avec les associations de commerçants. De nombreuses animations proposées dans tous les quartiers.


Rencontrez votre Maire dans votre boulangerie de quartier à la boulangerie Maison Durin pour échanger avec les habitants sur la vie du quartier.


Très heureux d'inaugurer en présence de Bruno Le Maire, ministre de l'Economie et des Finances la Cité de l'Economie et de la Monnaie qui oeuvrera à partir de mi-juin à rendre l'économie plus accessible au grand public.


Commémoration de l'abolition de l'esclavage devant l'oeuvre dédiée au Général Thomas Alexandre Dumas située Place du Général Catroux.


Le Parisien : Dans le XVIIe, la Petite Ceinture fait son trou
Lire l'article


CNews le 14 mai
Voir le replayRetrouvez toute mon actualité sur mon site internet

mardi 28 mai 2019

Matinée Adom du 12 juin 2019



INVITATION de Bruno HUSS président de l'ADOM

Cher collègue,
 
Nous avons le plaisir de vous convier, avec notre partenaire Domplus, à laMatinée ADOM, qui se tiendra le mercredi 12 juin2019, dans les locaux de K&L Gates situés au116 avenue des Champs-Élysées - 75008 Paris, à partir de 9h30 sur le thème de : « La détection des fragilités au service de la prévention et de la santé globale » (cf. invitation ci-jointe).
 
Avec l'intervention de Serge Bizouerne - Président deDomplus Groupe et sous l’animation deChristophe Vanackere- Directeur du Fil Social.
 
N’hésitez à vous y inscrire rapidement, le nombre de places étant limité, à :communication@asso-adom.frou à y convier vos collaborateurs intéressés par le sujet.L’inscription est gratuite, maisimpérative pour accéder au lieu.
 
Et en amont de cette Matinée, nous vous invitions à répondre au questionnaire suivant :https://sondage.fil-social.com/index.php/299685
 
En attendant le plaisir de vous retrouver à l’ADOM, nous vous adressons nos meilleures salutations mutualistes.
 
 
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualitéfrancophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr -president@asso-adom.fr
   @AdomMutualite - https://www.linkedin.com/groups/8567164www.viadeo.com/p/002o79d7dzvqcjw -https://www.instagram.com/adom_mutualite/
 

lundi 27 mai 2019

Tribune sur la fin de vie


FIN DE VIE : Vincent Lambert et tous les autres…
Point de vue d'une psychologue en cancérologie.


 
Pendant près de 20 ans, Valérie Sugg a travaillé dans un service de cancérologie hospitalier en accompagnement des personnes malades, de leurs proches souvent vers la rémission mais parfois, aussi, dans un accompagnement en fin de vie. Elle nous parle de la complexité de l'histoire familiale de Vincent Lambert, de son état végétatif et du combat médiatisé mais aussi des autres, de beaucoup d'autres, souvent atteints de maladies incurables en phase palliative, qui ne parviennent pas à être entendus dans leur choix de fin de vie. Un sondage Ifop publié le 3 janvier 2019 confirme que 89% des français sont favorables à une nouvelle loi légalisant le suicide assisté et/ou l'euthanasie. Que vient illustrer la situation de Vincent Lambert de la particularité française au sein d'une Europe beaucoup plus active sur ce sujet ? 

Est-il si difficile de parler de tout et donc de la fin de vie et de la mort en France ? Est-ce un un sujet tabou que vient réveiller l'affaire Lambert ?
Dans la société actuelle, les tabous demeurent assez nombreux notamment concernant la fin de vie et  la mort, parfois même déniés au profit d'une réalité modifiée, d'un rêve d'éternité. Oser aborder la fin de vie n'est pas dans nos habitudes et va à l'encontre de certaines croyances dans une société qui court de plus en plus derrière le fantasme d'une éternelle jeunesse.  

Concernant Vincent Lambert, c'est une bien triste histoire familiale qui a débuté il y a 11 ans avec un accident qui l'a plongé dans un état végétatif. Ensuite et on le retrouve souvent dans ces situations où des directives anticipées n'ont pas été rédigées, la famille se déchire. Chacun pense savoir ce qui est mieux pour la personne et des enjeux de rivalités d'amour, de jalousies, d'appartenances, de croyances peuvent mener à ce type de situation. En effet, après avis médical une partie de la famille dont la femme de Vincent Lambert s'est préparée à l'arrêt des traitements alors que de l'autre côté, ses parents ont lutté pour le maintenir en vie, jusqu'à ce jour, parvenant une nouvelle fois à obtenir la fin de la sédation débutée. Il n'est pas question ni intéressant de prendre parti mais plutôt de comprendre que la loi Claeys-Leonetti de 2016 ne répond pas à ce type de situation mais à d'autres, nombreuses. La situation de Vincent Lambert n'est que la partie émergée de l'iceberg et concerne les personnes dans un état végétatif ne leur permettant pas d'exprimer leur souhait. En revanche, pour de nombreuses personnes en fin de vies, c'est en conscience qu'elles demandent à être entendues elles aussi pour qu'enfin, le tabou sur la fin de vie laisse place à l'information, la communication et que des décisions soient prises et mises en œuvre au plus vite. 

Quelles sont les limites actuelles de la loi Claeys-Leonetti ?
On le voit bien dans le cas de Vincent Lambert, il peut y avoir un acharnement de proches, mais aussi parfois de certaines équipes soignantes, de certains médecins selon les convictions religieuses, philosophiques et autres de chacun. Il y a là des croyances que chacun met en avant et qui sont toutes respectables d'un point de vue personnel puisque chacun ne peut émettre un tel choix que pour lui-même.

Accompagner une personne en fin de vie c'est tout faire pour que ce qui lui reste à vivre se passe dans les meilleures conditions pour elle tout en respectant ses choix, convictions,  directives. Des équipes pluridisciplinaires sont là, pour l'accompagner, associant professionnels, bénévoles et représentant du culte parfois selon les désirs et selon aussi l'endroit où la personne est suivie, car tous les centres de traitements n'ont pas les mêmes services à proposer, il y a encore beaucoup trop d'inégalités, il manque de services de soins palliatifs partout ! Et puis, les seules possibilités pour répondre aux demandes de certains patients de mettre un terme à leur souffrance (et ils sont de plus ne plus nombreux à oser le dire) c'est la sédation profonde. Vincent Lambert a déjà été mis précédemment sous sédation profonde  avec arrêt des traitements mais les parents sont intervenus avec de nouvelles procédures qui y ont mis un terme et c'est de nouveau ce qui a été obtenu par décision de la Cour d'Appel. La sédation profonde n'est pas la mort, elle a pour but de soulager au mieux la personne en fin de vie sans entraîner la mort immédiate et cela peut durer des jours voire des semaines. Il y a là sans doute une certaine hypocrisie voire une certaine lâcheté à ne pas vouloir entendre leurs demandes pourtant très claires. C'est sûrement sur ce sujet qu'il faut légiférer enfin et dans un cadre défini, pour permettre à ceux qui le souhaitent que la mort soit immédiate donc une euthanasie active. 

Il n'est pas admissible que le déroulement des dernières semaines de vie d'une personne dépende du bon vouloir de l'équipe soignante qui l'accompagne ou de l'acharnement de proches trop en souffrance pour accepter le choix des malades. Il est plus que temps que chacun puisse être entendu dans la façon dont il souhaite être accompagné et de pouvoir répondre à sa demande s'il souhaite que l'on abrège son agonie. Pour parler clairement de pouvoir obtenir, dans un cadre réglementé, le droit d'accéder à une aide à mourir.

Que faut-il décider concrètement d'après vous ?
L'espoir d'une législation sur l'euthanasie et du suicide assisté en arrêtant cette hypocrisie générale qui fait vivre des situations de grande souffrance aux personnes malades, à leurs proches mais aussi aux équipes soignantes qui auraient tant besoin d'être soutenues, aussi. 

Dans la réalité du quotidien des services, le refus d'acharnement de la loi Claeys-Léonetti ne prend pas toujours vraiment sens parce que la notion est trop vague. Donner de l'oxygène à une personne en stade terminal ou poser une sonde gastrique, est-ce de l'acharnement ? Hydrater une personne qui ne peut plus boire, est-ce de l'acharnement ou simplement lui donner à boire autrement ? Une sédation terminale telle qu'elle a été décidée suffit-elle à répondre aux attentes de certains, ou bien est-ce continuer de laisser une personne sans traitement, mourir à petit feu pendant plusieurs semaines, sans mettre un terme à certains calvaires ? 
Il est urgent d'informer les français et de les encourager à écrire leurs directives anticipées (seuls 11% des français l'ont fait à ce jour) et de les inclure sur les informations contenues sur la Carte Vitale et/ou sur le DMP (Dossier médical Partagé). Il y a urgence à voter une nouvelle loi qui légalise le choix de certains à l'euthanasie active, le suicide assisté c'est-à-dire de pouvoir, dans un cadre strict, en phase palliative d'une maladie choisir non pas la sédation profonde mais bien l'arrêt immédiat de leur vie. Cela laisserait à chacun le choix, celui d'endurer de terribles douleurs physiques et psychiques pour ceux qui le souhaitent mais aussi d'y mettre un terme pour ceux qui ne le souhaitent pas. Cela éviterait des situations comme celle de Vincent Lambert mais de bien d'autres dont on ne parle pas assez. De nombreux pays européens y sont parvenus, je ne vois pas pourquoi la France n'en serait pas capable.

Les avis sont partagés, personne n'a tort, mais le mieux serait peut-être de respecter le choix de chacun, dans la tolérance de la différence, de ce que l'autre souhaite pour lui, sans jugement aucun, sans y adjoindre forcément du religieux. Décider de demander que l'on mette un terme à sa vie n'est pas une décision facile, bien au contraire. Cependant le chemin semble encore semé d'embuches, d'énormes rochers, de barrières psychologiques, philosophiques, religieuses et j'en passe. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de vivre et/ou de mourir. Chacun fait ce qu'il peut face à sa propre finitude, personne n'est à juger. On ne peut décider à la place de l'autre ce qui est bon pour lui. 
 
 
Valérie Sugg
Psycho-oncologue, auteure de « Cancer : sans tabou ni trompette » et « L'hôpital : sans tabou ni trompette » et de « Cancer : l'accompagnement »aux éditions Kawa. Membre du comité d'honneur de l'association « Le choix : citoyens pour une mort choisie ». 

Contact presse : Suzana Taunais-Biseul – suzana@prformance.fr  – 06 61 95 34 89 
  

dimanche 19 mai 2019

C'est à lire

SEE à Genève aux Rencontres francophones du Leem et de l’OIF pour représenter la plateforme Business For Global Health/Entreprises pour la Santé Mondiale et porter un message fort d’engagement collectif en vue de la 6ème Conférence de reconstitution des ressources du Fonds Mondial @b4gh2030 @see_asso @CIAN_Afrique @leemFrance @Medef_I  @OIFfrancophonie
https://www.leem.org/evenement/rencontres-leem-pays-francophones-en-partenariat-avec-lorganisation-internationale-de-la

vendredi 17 mai 2019

Sondage IPSOS


 lesfrancaisetlhypertensionarteerielle.pdf 

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Bonjour,
Je vous écris en prévision de la journée mondiale de l’hypertension artérielle (vendredi 17 mai 2019) pour vous proposer de relayer le sondage inédit réalisé par IPSOS pour Quantum Genomics que vous trouverez ci-dessous.
En bref, ce sondage intitulé « Les Français et l’hypertension artérielle » dresse un bilan alarmant sur le degré de connaissance des français vis-à-vis de l’HTA. D’autant plus alarmant que selon l’OMS l’hypertension artérielle est la maladie qui cause le plus de décès dans le monde et ce alors même qu’elle serait l’une des plus évitables.  
Voici ci-après quelques données clés :
- Près d’un français sur deux s’estime mal informé sur l’hypertension artérielle
- Plus de la moitié des français ne savent toujours pas que l’hypertension artérielle tue 
- Seulement 21% des Français sont suivis pour la pathologie chronique la plus répandue en France
- Parmi les 53% de Français qui ne font pas régulièrement contrôler leur tension artérielle, 60% ont un ou plusieurs comportements à risques
Si ce sujet vous intéresse, veuillez noter que nous pouvons vous mettre en relation avec le Professeur Jacques Blacher, chef du service cardiologie à l’hôpital Hôtel-Dieu et/ ou avec Jean-Philippe Milon, Directeur Général de Quantum Genomics pour vous apporter des informations complémentaires.

Communiqué de presse Paris, le 15 mai 2019

 

Les Français et l'Hypertension artérielle
Sondage IPSOS pour Quantum Genomics[1]
 
La moitié des français ne sait toujours pas que l'hypertension artérielle tue !

 

Un sondage publié ce jour et réalisé par IPSOS pour le compte de la société de biotechnologie, Quantum Genomics, révèle que l'hypertension artérielle, également appelée le « tueur silencieux », est une pathologie qui reste méconnue des Français... et que plus de 50% ne savent toujours pas que l'hypertension artérielle tue !
En dépit des campagnes de prévention menées depuis plusieurs années, plus de la moitié des Français ne fait pas contrôler sa tension artérielle. Si plus d'un tiers se dit concerné par un problème d'hypertension, une majorité ne connaît ni les comportements préventifs à adopter, ni les conséquences dramatiques d'une hypertension artérielle mal contrôlée...
A ce rythme, le « tueur silencieux » a encore de beaux jours devant lui.
 
Rappel des faits et aide à la lecture - L'hypertension artérielle en chiffres (données Inserm [2])
- Un adulte sur trois souffre d'hypertension artérielle en France ;
- Seul un hypertendu sur deux aurait connaissance de son hypertension ;
- Parmi eux, un sur deux seulement suivrait un traitement ;
- Enfin, une personne traitée sur deux aurait une pression artérielle normalisée !
 

Les résultats complets de ce sondage sont disponibles en cliquant sur ce lien

 


 
Seulement 21% des Français sont suivis pour la pathologie chronique la plus répandue en France
21% des Français interrogés se sont déclarés suivis pour un problème d'hypertension artérielle et 15% déclarent avoir une ou plusieurs personnes touchée(s) dans son entourage alors que 33% de la population souffre d'hypertension artérielle.
Si la prise de la pression artérielle est pratiquement systématique lors de toute consultation médicale, moins d'un Français sur deux fait contrôler régulièrement sa pression artérielle alors que dans le même temps les comportements à risques sont répandus :
-       1 Français sur 3 déclare ne pas pratiquer d'activité sportive et ne pas faire attention à son alimentation ;
-       1 Français sur 5 dit boire ou fumer tous les jours !
-       Et parmi les 53% de Français qui ne font pas régulièrement contrôler leur tension artérielle, 60% ont un ou plusieurs comportements à risques...
 
Avec l'âge qui avance, le contrôle de la pression artérielle tend toutefois à se systématiser. 64% des 55-65 ans sont contrôlés régulièrement, un chiffre qui atteint 80% pour les plus de 65 ans.
 
Une pathologie méconnue et un manque d'information pour 45% des Français
45% des Français, soit près d'un Français sur deux, s'estiment mal informés sur l'hypertension artérielle. Si une courte majorité de Français dit connaître les risques de l'hypertension artérielle, ils déclarent le plus souvent méconnaître les comportements préventifs à avoir, les examens à réaliser pour la diagnostiquer, ses impacts sur la qualité de vie, ses symptômes et les traitements existants !
Des préjugés et un manque de connaissances qui expliquent pourquoi l'hypertension artérielle reste un « tueur silencieux »
Interrogés sur une série d'affirmations, les Français n'ont que très partiellement su démêler le vrai du faux ! Ainsi,
-       54% des Français ne savent pas que l'hypertension artérielle est plus répandue que le cancer ou le diabète.
-       36% seulement savent que l'hypertension, dans une majorité de cas, ne présente pas de symptôme.
-       Seuls 58% des Français savent qu'une mauvaise hygiène de vie peut causer de l'hypertension artérielle.
Et lorsqu'on cherche à savoir si les Français connaissent les conséquences potentiellement dramatiques de l'hypertension artérielle,
-       seuls 46% savent qu'elle accroît le risque d'accident cardiovasculaire (AVC)
-       40% savent qu'elle accroît le risque d'infarctus du myocarde
-       14% savent qu'elle accroît le risque de cécité
-       13% savent qu'elle accroît le risque d'insuffisance rénale
-       6% savent qu'elle accroît le risque de démence
Rappelons que les complications de l'hypertension artérielle sont sévères puisqu'elle est par exemple à l'origine de 62% [3] des AVC. Après un AVC, 1 personne sur 5 décède dans le mois qui suit, les 3/4 des survivants en gardent des séquelles définitives, 1/3 devient dépendant, 1/4 ne reprendra jamais d'activité professionnelle.
 
Jacques Blacher, chef du service cardiologie à l'hôpital Hôtel-Dieu, déclare : « les résultats de ce sondage montrent que l'hypertension artérielle reste plus que jamais un tueur non seulement silencieux mais aussi méconnu et ce en dépit des nombreuses opérations de sensibilisation réalisées auprès du grand public. L'absence de connaissance des français sur cette pathologie est particulièrement inquiétante car elle constitue l'une des principales causes de complications cardiovasculaires, cérébrovasculaires et neurodégénératives. Si les français en avaient conscience, nul doute qu'ils prêteraient davantage d'attention à cette maladie sans symptôme. »
 
Jean-Philippe Milon, Directeur Général de Quantum Genomics, ajoute : « en dépit de sa forte prévalence, l'hypertension artérielle est aujourd'hui l'un des parents pauvres de la recherche. Les traitements actuels, fréquemment utilisés en bi ou trithérapies, présentent souvent des effets secondaires gênants et au moins 30% des patients hypertendus sont mal contrôlés, voire résistants. Trouver un traitement pour contrôler les patients en échec thérapeutique est critique dans une pathologie qui constitue un véritable enjeu de santé publique. Chez Quantum Genomics, nous travaillons à la mise au point d'une nouvelle classe d'agents antihypertenseurs mondialement brevetée, qui s'appuie sur 20 ans de R&D. Le médicament que nous développons constitue une innovation majeure ! C'est surtout une source d'espoir pour des millions de malades dans le monde. »
 
A PROPOS DE L'HYPERTENSION ARTERIELLE
L'hypertension artérielle est un tueur silencieux, pas toujours diagnostiqué car ne présentant aucun symptôme. Même si la prise de la pression artérielle est pratiquement systématique lors de toute consultation médicale, seule la moitié des adultes ayant une pression artérielle élevée se sait hypertendue et parmi les patients traités, seuls30 à 50% présentent une pression artérielle bien contrôlée. Pourtant l'hypertension artérielle est la maladie cardiovasculaire la plus fréquente, constituant la première pathologie chronique en France (elle touche un adulte sur trois). Ses complications sont sévères puisqu'elle est par exemple à l'origine de 62% [4] des AVC [5].
 
A PROPOS DE QUANTUM GENOMICS
Quantum Genomics est une société biopharmaceutique spécialisée dans le développement d'une nouvelle classe de médicaments cardiovasculaires, fondée sur le mécanisme d'inhibition de l'Aminopeptidase A cérébrale (Brain Aminopeptidase A Inhibition ou BAPAI). Seule société au monde à poursuivre cette approche innovante ciblant directement le cerveau, elle s'appuie sur plus de vingt années de travaux de recherche de l'Université Paris-Descartes et du laboratoire INSERM/CNRS dirigé par le Dr. Catherine Llorens-Cortès au Collège de France. Quantum Genomics a ainsi pour objectif de développer des traitements innovants de l'hypertension artérielle compliquée voire résistante (environ 30% des patients sont mal contrôlés ou en échec de traitement), et de l'insuffisance cardiaque (un patient sur deux diagnostiqué meurt dans les cinq ans).
Basée à Paris et New York, la société est cotée sur le marché Euronext Growth à Paris (FR0011648971 - ALQGC) et inscrite sur le marché?? américain OTCQX (symbole : QNNTF).
Plus d'informations surwww.quantum-genomics.com, nos comptes Twitter et Linkedin
 
Contacts Presse
Samuel Beaupain | 06 88 48 48 02 |samuel@edifice-communication.com
Kate Wadolowska| 06 14 24 29 87 |kate@edifice-communication.com
 
 
 
 
 
 
 

 


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Guide cuisine


Un guide de cuisson à la vapeur douce
et 120 recettes familiales pour le quotidien.



 

Christine Bouguet Joyeux
Bernadette Jastrebski

 

Préface du Pr Henri Joyeux

 
176 pages - 16,90 €
Parution 5 juin 2019

La cuisson à la vapeur est la meilleure méthode de cuisson pour la santé. Elle est très rapide et préserve et développe le goût des fruits, légumes, viandes et condiments.
Elle est l’idéal pour notre santé, elle ne détériore pas les aliments et permet d’éliminer les produits toxiques.
Avec ces recettes, vous faciliterez la digestion et l’absorption des aliments ainsi que l’élimination des déchets, vous lutterez efficacement contre le surpoids, la fatigue et la déprime, et gagnerez plus de tonus et une meilleure immunité…

Mangez mieux et meilleur :
avec la vapeur, vous préservez votre santé,
tout en gourmandise.
Christine Bouguet-Joyeuxest nutritionniste et auteur de nombreux ouvrages culinaires, parmi lesquels le Guide pratique de gastronomie familiale.

Bernadette Jastrebski est docteur en droit international et traductrice spécialisée dans le domaine de la santé. Elle vit aux États-Unis avec sa famille.
  

CONTACT PRESSE 
JEAN-PHILIPPE BERTRAND
jeanphilippe.bertrand@elidia.fr - 01 40 46 54 30 / 06 12 56 67 15


                           


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Unicef et droit des enfants




Paris, le 16 mai 2019

30 jeunesengagés pourdéfendre les droits de l’enfant

UNICEF France crée son premier Conseil des jeunes

 

A l’occasion des 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant, UNICEF France souhaite plus que jamais donner la parole à la jeunesse et faire entendre sa voix.

 

Après des élections auniveau local puis au niveaurégional, et parmi plus de 100 candidatures, Emilien, Inès, Clara, Amine et leurs26 autres camarades ont étéélus pour former le premierConseil UNICEF des jeunes :30 jeunes, filles et garçons, âgés de 12 à 25 ans, qui viennent de toute la France et réunis récemment pour une 1ère session de travail et de rencontre, au siège de l’organisation.

« Faire bouger les lignes au sein de l’association » : voilà un des objectifs des membres du Conseil des jeunes, qui seront pendant 2 ans les porte-parole des 3 000 jeunes bénévoles engagés aux côtés de l’organisation. « Être jeune, spécialement dans notre tranche d’âge 12-25 ans, permet d’être proche des 2 générations, à la fois celle des collégiens, mais aussi celle des adultes », témoigne Elise, élève en terminale et jeune élue de l’Hérault.

Une jeunesse engagée

Si la jeunesse est l’avenir de ce monde, elle est aussi bien ancrée dans le présent de l’association : 40 % de ses adhérents sont des jeunes. C’est pourquoi grâce auConseil, ils pourront désormais participer activement à la réflexion et aux décisions de l’association. « Il eût été anormal et contraire à la philosophie de notre organisation, qui a fait et fait toujours de l’engagement des jeunes une priorité, de continuer à ne pas leur donner la parole au plus haut niveau », explique Alain Legoux, secrétaire général adjoint d’UNICEF France.Main dans la main avec leurs comités régionaux, ces jeunes élus travailleront en équipe et exploiteront tout leur potentiel pour devenir de véritables représentants de l’engagement jeune.
 

Une histoire de partage

Débordants d’idées nouvelles, d’enthousiasme et de belles valeurs, ils auront un véritable rôle d’initiative et de représentation à tenir.Ils seront parties intégrantes des futures actions et des prochains temps forts d’UNICEF France. Au-delà d’une démarche citoyenne, il s’agit aussi d’une histoire de rencontres et d’un partage de richesses : tout au long de ces 2 années, ces jeunes pourront apprendre à se découvrir et à évoluer ensemble. Au rythme de leurs 3 réunions annuelles et des convictions qui les animent, ils proposeront de nouveaux projets pour défendre les droits des enfants.
« On est tous des jeunes motivés, sympathiques, tous prêts à donner le meilleur de nous-mêmes », promet Clara.Mobiliser et engager les jeunes de leurs âges, sensibiliser leur audience aux problématiques qu’ils ont à cœur de soulever, telles que le dérèglement climatique, le handicap, la lutte contre le cyber harcèlement ou contre le mariage précoce…sont autant de combats qui les animent, dans l’espoir de contribuer à un meilleur avenir pour le monde qui les attend demain.

Pour plus d’informations sur l’engagement jeune :cliquez ici
 
À propos d’UNICEF France
Chaque année, UNICEF France sensibilise directement, grâce à son réseau de bénévoles chargés d’actions éducatives, plus de 100 000 enfants. L’association produit à cet effet des ressources pédagogiques gratuites destinées aux acteurs éducatifs ainsi que des projets et jeux solidaires destinés aux enfants et aux jeunes eux-mêmes. Dès 6 ans, les enfants peuvent également s’engager individuellement ou en groupe au sein de Clubs UNICEF, en tant que Jeunes ambassadeurs puis devenir étudiants Campus UNICEF après le bac. Plus d’infos sur www.myunicef.fr
 

Contact

• Unicef France
Carine Spinosi – 01 44 39 17 49 – cspinosi@unicef.fr
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             UNICEF.France              UNICEF_france                unicef_france

www.unicef.fr


Européennes

Coup de projecteur sur le blog de Jacques Fournier
https://jacquesfournier.blog/2019/05/16/mon-vote-aux-europeennes/

Europe





Communiqué de séance

 


Paris, le 16 mai 2019

Le Sénat a adopté le projet de loi relatif à l'entrée en fonction des représentants au Parlement européen élus en France aux élections de 2019


 
 
Jeudi 16 mai 2019, le Sénat a définitivement adopté le projet de loi relatif à l'entrée en fonction des représentants au Parlement européen élus en France aux élections de 2019.
 
Ce projet de loi vise à :
·        sécuriser le mode de désignation des cinq députés européens supplémentaires, qui seront élus dès le 26 mai 2019 mais qui n'entreront en fonction qu'après le Brexit ;
·        préciser leur statut juridique, comparable à celui d'un suivant de liste, entre leur élection et leur entrée au Parlement européen.
 
 
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Pour plus de détails, consulter :
·         ledossier législatif ;
·         lerapportde M. Alain RICHARD(LaREM– Val-d’Oise), fait au nom de la commission des lois ;
·         les comptes rendus (analytique etintégral) et lavidéodes débats en séance publique.

 

 

 

Contact presse :

MathildeDubourg

01 42 34 25 11 –presse@senat.fr

samedi 11 mai 2019

Coup de pouce pour un guide consacré à la DMLA

C'est à lire: « DMLA, guide à l'usage des patients et de leur entourage ».
L'ouvrage contient également des informations concernant le dépistage et  la prévention de la DMLA pour le grand public. Enfin il inspire également le professionnel de santé (ophtalmologiste, médecin traitant, orthoptiste…)dans sa relation thérapeutique. Bientôt en vente dans toutes les bonnes librairies.
Medicalibris. Une start up associative, collaborative à but non lucratif au service de l'information médicale.
http://medicalibris.blogspot.com

dimanche 5 mai 2019

Alerte enlèvement

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Actualités du programme PASS


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Newsletter N°56 
03 Mai 2019RETOUR SUR

Coopération Afd/Uemoa : nouvel envol pour le Projet d'Appui à l'extension de la Couverture du Risque Maladie (PACRM) dans les États membres de l'Union - 25 Avril 2019 à Ouagadougou (Burkina Faso)

La Commission de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et l'Agence Française de D...
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Audience auprès de Son Excellence Monsieur Macky Sall Président de la République du Sénégal - 19 Avril 2019 à Dakar (Sénégal)

C'est au nom du groupe Vyv et de son président Thierry Beaudet, que le Directeur du Pass, a été reçu ce...
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Atelier de formation avec les leaders de coopératives de cacao sur la mutualité - 03 et 04 Avril 2019 à Divo (Côte d'Ivoire)

Les 03 et 04 Avril 2019, le Pass a été sollicité par l'Ong néerlandaise Solidaridad afin de former les ...
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La CMU en Côte d'Ivoire ne prendra pas en compte les pathologies lourdes - 30 Mars 2019 Abidjan (Côte d'Ivoire)

On en sait un peu plus sur l'effectivité généralisée de la Couverture maladie universelle (Cmu). Le mar...
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Ramed et Anam : éclairage sur la prise en charge médicale des indigents au Mali - 29 Mars 2019 à Bamako (Mali)

Le Cadre de concertation des directeurs de publication (CCDP), en partenariat avec l'Agence nationale d...
Lire plusA SUIVRE ...

Inscrivez-vous à la 3ème édition du voyage d'étude des mutuelles à Paris 2019 jusqu'au 31 mai 2019

Après le succès des 02 premières éditions, le voyage d'étude PASS/FNMF adopte une nouvelle formule. C&#...
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Le Pass organise la deuxième édition du ''Café de la Santé Solidaire'' - 17 Mai 2019

Cinquante décideurs du secteur de la santé en Côte d'Ivoire se réuniront le 17 Mai 2019, dans le cadre ...
Lire plusACTEURS ET IDÉES

Santé : la start-up française de e-santé PassCare veut s'insérer sur le marché africain

PassCare, start-up de e-santé française, prévoit de s'implanter au Gabon et en Côte d'Ivoire d'...
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Paludisme : un vaccin enfin à l'horizon ?

Un essai pilote au Malawi, puis au Kenya et au Ghana, devrait permettre d'étudier les effets de ce nouv...
Lire plusA LIRE

Afrique : la couverture santé coûtera cher, mais toujours moins que les maladies, plaide l'OMS

L'OMS a appelé les pays d'Afrique subsaharienne à investir résolument dans une couverture sanitaire...
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En Afrique de l'Ouest, les services mobiles ont contribué à hauteur de 8,7% du PIB en 2018

Selon l'Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA), les technologies et services mobiles ...
Lire plusAGENDA

17 Mai 2018 à Abidjan (Côte d'Ivoire)

Deuxième édition du Café de la santé solidaire à Abidjan (Côte d'Ivoire)...


26 - 28 Juin 2019 à Luxembourg (Luxembourg)

La XXXIXème Assemblée Générale et Conseil d'Administration de l'AIM, Luxembourg (...


20 juillet 2019 à Bangkok (Thaïland)

Assemblée Générale du Réseau Education et solidarité à Bangkok (Thaïland)...


23 Septembre 2019 à New York (Etats Unis)

Réunion de haut niveau des Nations Unies sur la couverture santé universelle New York (Etats Unis)...


30 Septembre - 04 Octobre 2019 à Paris (France)

Voyage d'étude des mutuelles africaine à Paris (France)...


A PROPOS DU PASS
PASS est le programme d'appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L'objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu'il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d'ouvrage, PASS permet l'établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteurs mutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l'Union Africaine de la Mutualité. Ce programme est initié, financé et conduit par : Fnmf, mgen, Harmonie, Matmut, Solimut, Casden, MGEFI, Ofi, Egamo, MNT. Il est soutenu au plan international par l'AISS, l'AIM et l'ICMIF, et au plan français par la MSA.

Pour plus d’informations :

www.pass-mut.org
Immeuble Les Arcades Avenue Franchet d’Esperey, le Plateau 01 BP 4080 Abidjan 01 - Abidjan – Côte d’Ivoire Fixe : 00 225 20 25 74 96Mail : info@pass-mut.org

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jeudi 2 mai 2019

Gouvernance des données dans les mutuelles

Matinée ADOM
du 29 mai 2019


La prochaine Matinée ADOM, se tiendra, avec son partenaire VALMEN  le mercredi 29 mai, à l'Hôtel de l'Industrie,4 place Saint Germain des Prés -75006 Paris, à partir de 9h30 sur le thème de :

« La gouvernance des données dans les mutuelles ».
 
Au programme :

Bilan des pratiques et difficultés rencontrées par les assureurs santé dans la maîtrise et l'exploitation de leurs données


Analyse des préjudices directs et indirects de la mauvaise maîtrise des données


Pistes et clés de la mise en œuvre des projets de gouvernance des données


 
Inscription obligatoire :
communication@asso-adom.fr

Contact :
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualitéfrancophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr -president@asso-adom.fr
   @AdomMutualite - https://www.linkedin.com/groups/8567164www.viadeo.com/p/002o79d7dzvqcjw -https://www.instagram.com/adom_mutualite/

mercredi 24 avril 2019

Le coup de griffe de Jacques Draussin


Infolettre n° 335
mardi 23 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Homéopathie : beau, beau le placebo
Entre deux conseils distillés - parait-il - au président de la République pour l’aider à régler le problème des gilets jaunes, Xavier Bertrand n’oublie pas qu’il faut aussi savoir faire dans le populaire s’il veut espérer satisfaire son ambition de passer des Hauts-de-France à tout-en-haut-de la-France en 2022.
Comme les sujets honorables pour mettre l’opinion publique de son côté se font rares ces derniers temps, celui qui fut ministre de la Santé sous une présidence pourtant plutôt adepte des remèdes de cheval, a choisi d’entrer dans le glorieux combat pour la défense de l’homéopathie.
Dans une belle envolée, presque lyrique s’il ne s’était agi d’un tweet, Xavier Bertrand a renouvelé son indéfectible soutien aux 5 000 médecins homéopathes, face à 60.000 généralistes allopathes, mais surtout réaffirmé l’attention évidemment sincère qu’il porte à une écrasante majorité de Français, adeptes permanents ou occasionnels de la star des médecines douces.
Qu’importe si les Académies de Médecine et de Pharmacie viennent ensemble de réclamer l’arrêt de leur remboursement [à 30%] par la Sécu, au prétexte futile que ces granules seraient parfaitement inefficaces. Comme souvent en matière de santé, la rigueur scientifique ne pèse pas bien lourd en regard de la rumeur publique.
Pourtant, les mêmes qui affirment en jurant sur Saint-Hippocrate que l’homéopathie n’est guère plus qu’un attrape gogo, reconnaissent quand même que, prescrite avec empathie, elle a au moins la valeur d’un excellent placebo… et les patients sont quasiment unanimes à estimer légitime qu’on leur en prescrive en sus d’un médicament traditionnel.
Si l’argument de l’efficacité thérapeutique ne fonctionne pas, quand est-il alors de l’argument économique qui lui est lié ? Au cœur des dépenses d’assurance maladie, il est autant dilué qu’un granule de Syzyglium ou de Sulfure 15CH car les remboursements homéopathiques ne représentent guère plus de 0,3% des dépenses totales de médicaments. C’est dire si, remboursée ou pas, l’homéopathie n’a guère de poids, ni dans l’amélioration de la Santé publique, ni dans celle de ses comptes…
Jacques DRAUSSIN

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samedi 13 avril 2019

Préparez vos vacances

http://www.datapressepremium.com/rmintranet/consultpj.jsp?f=c&idc=3545932&idr=225371099&ido=231581099&idb=348001099&idpj=1&idl=0&b=DATAM&fic=http://www.datapressepremium.com/rmdiff/2008770/DOSSIER-PLAGE-avril19.pdf

mardi 9 avril 2019

Le coup de griffe de la semaine


Infolettre n° 333
mardi 9 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Sida, prévention au point... mort
Rappelez-vous : la prévention en matière de santé, c’était le sida qui en était devenu le centre. A tel point d’ailleurs que tous les autres thèmes de santé semblaient être des laissés pour compte, privés de parole et de moyens.
C’était il y a 30 ans et l’on cherchait à rendre populaire un objet pourtant considéré par beaucoup comme la triste résurgence d’une vie sexuelle désuète, perdue dans les limbes de l’époque pré soixante-huitarde, le préservatif. La capote qu’on voulait soudain joyeuse, branchée et vivante pour se protéger d’une maladie qui puait la mort, le condom qu’on entendait rendre populaire, d’accès facile et d’usage réflexe.
Les associations houspillaient les Pouvoirs publics, Act-Up-Paris organisait des opérations coup de poing presque chaque semaine, Christophe Dechavanne prononçait son fameux « Sortez couvert », Clémentine Célarié roulait une énorme galoche à un garçon séropositif pour prouver que le VIH ne se transmettait pas par la salive.
Ce week-end, le Sidaction fêtait ses 25 ans dans la morosité. Parce que la récolte financière n’est plus celle qu’il avait suscitée à l’époque mais aussi parce qu’un sondage est venu confirmer ce que tout le monde redoutait. En 2019, 23 % des jeunes de 15-24 ans s’estiment mal informés. Et on comprend pourquoi: 14 % d’entre eux pensent que la pilule du lendemain peut empêcher la transmission du VIH, 19% affirment que le Sida peut être transmis par les baisers... et, ne lésinons pas, par les moustiques.
Grand classique des croyances concernant les infections sexuellement transmissibles, 3,5 % des sondés de la génération Z croient même dur comme fer qu’on peut être contaminé en s’asseyant sur des sièges de toilettes [il est vrai que tout dépend de ce que l’on y fait et avec qui].
6 000 personnes ont encore découvert leur séropositivité en France l’an dernier. Un chiffre qui ne baisse plus depuis plusieurs années. Aujourd’hui, c’est heureux, on ne meurt plus du VIH. Le sida est devenu une maladie chronique et le phénomène est connu des experts en prévention : une maladie qui se chronicise est une maladie qui se banalise. Et toujours pas de vaccin.
Jacques DRAUSSIN

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dimanche 7 avril 2019

Sidaction 2019 : un pur moment de bonheur

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

TeamMut

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

mardi 26 mars 2019

Précarité sociale


En France, les taux de non-recours aux aides sociales dépassent les 40 % sur certaines aides et le manque à gagner représente plusieurs centaines d’euros par foyer. Il existe en effet plus de 200 dispositifs. De la méconnaissance de la loi aux nombreux papiers à envoyer, en passant par certaines procédures complexes, il est très difficile de s’y retrouver. « Depuis 2012, Aide-sociale.fr vise à simplifier les démarches administratives pour permettre au plus grand nombre de faire valoir leurs droits. Notre nouveau simulateur est un outil puissant capable de déterminer, en quelques minutes, toutes les prestations qu’un citoyen peut demander », signale le fondateur Johan Hallef dont le site dépasse régulièrement le million de visiteurs uniques chaque mois.

La plateforme Aide-sociale.fr permet chaque année à des milliers de personnes de découvrir des prestations auxquelles elles avaient droit, mais dont elles ignoraient l’existence.
 
Logement, santé, chômage, transport, famille, éducation, loisir, vacances… tous les domaines sont concernés, quel que soit le profil de l’internaute (demandeurs d’emploi, salariés, retraités, étudiants…)
 
100 % gratuit, il se base sur les critères officiels d'attribution. Depuis quelques jours, ses fonctionnalités et son efficacité ont été étendues. Vous pouvez tester le simulateur en cliquant sur le lien ci-dessous et/ou regarder la vidéo d’explication du simulateur.