Nora ANSELL-SALLES

mercredi 7 octobre 2015

MINE D'INFOS: la FNMF tiendra sa 1ère convention internationale ...

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la FNMF tiendra sa 1ère convention internationale le 20 octobre 2015


La Mutualité Française tiendra sa première convention internationale le Mardi 20 Octobre 2015 de 13h30 à 17h au siège de la FNMF (255 rue de Vaugirard/ 75015 Paris).
L’objectif de cette convention est notamment de présenter l'action de la mutualité française au plan international.

Ce sera donc l’occasion de faire un premier point d’activité du programme PASS après les 9 premiers mois de son existence.
 

Pour plus d’informations, contacter :

Victor Roulet
Chargé d’affaires publiques
Pôle influence Europe et Relations Internationales
victor.roulet@mutualite.fr
00 33 1 40 43 22 18

Faire le choix de la Solidarité...

Communiqué de presse commun de la Mutualité Française, de la CFDT, du Ciss, de la Fnar, de la Fnath et de l'Unsa

http://www.mutualite.fr/…/faire-le-choix-de-la-solidarite-…/

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MINE D'INFOS: 70 ANS DE LA SECU: Retour sur les principales cont...: Retrouvez les les principales contributions des participants aux # 70ansSécu sur Twitter sur http:// ow.ly/T4aCI

70 ANS DE LA SECU: Retour sur les principales contributions


Retrouvez les les principales contributions des participants aux sur Twitter sur

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MINE D'INFOS: Numéros spéciaux, surtaxés ou non : une nouvelle t...:   Numéros spéciaux, surtaxés ou non : une nouvelle tarification à partir du 1er octobre 2015 Publié le 29 septembre 2015 - Dire...

Numéros spéciaux, surtaxés ou non : une nouvelle tarification à partir du 1er octobre 2015



 
Numéros spéciaux, surtaxés ou non : une nouvelle tarification dès le 1er octobre 2015

Publié le 29 septembre 2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)




Numéros spéciaux en 08, numéros courts : à partir du 1er octobre 2015, le système de tarification de ces numéros de téléphone dont certains sont « surtaxés » est clarifié.

Numéros spéciaux en 08, numéros courts : à partir du 1er octobre 2015, le système de tarification de ces numéros de téléphone dont certains sont « surtaxés » est clarifié.

Pour le consommateur, la facturation des appels a toujours été jusqu'ici difficile à comprendre :

  • Comment reconnaître facilement les numéros surtaxés des autres ?
  • Qui est payé et qu'est-ce qui est payé quand le tarif de la communication est majoré ? Le service rendu par le centre appelé ou bien l'opérateur de téléphonie ?
  • Pourquoi le tarif varie selon qu'on appelle d'un fixe ou d'un mobile le même numéro spécial ?

Chaque type de numéro correspondra à un code couleur :

  • vert pour les numéros gratuits,
  • gris pour les numéros banalisés,
  • violet pour les numéros majorés.

Pour le consommateur, le tarif de ces appels distinguera deux éléments à savoir le prix de la communication téléphonique (C), c'est-à-dire le coût de sa collecte et son acheminement technique, et le prix du service (S) délivré par le centre appelé.

Sur cette base :

  • numéros gratuits, le coût sera nul,
  • numéros banalisés : le coût se limitera au prix de la communication téléphonique (C) et sera égal au prix d'une communication locale, calculée sur la base du tarif d'une communication vers un fixe. Ce coût pourra être nul pour ceux qui disposent d'un forfait mobile illimité,
  • numéros majorés : le coût sera égal de la communication téléphonique (C) auquel s'ajoute un prix du service rendu (S). Pour le premier, il s'agit d'une communication calculée sur la même base que précédemment. Pour le second, le prix du service sera soit à la durée, soit à l'appel (au maximum 0,80 € TTC/min ou 3 € TTC/appel).

  Attention :

À compter de cette date, le coût sera le même que l'appel soit passé depuis un téléphone fixe ou depuis un téléphone mobile.

Pour en savoir plus



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mardi 6 octobre 2015

MINE D'INFOS: Troubles bipolaires : diagnostiquer plus tôt pour ...

MINE D'INFOS: Troubles bipolaires : diagnostiquer plus tôt pour ...:     Saint Denis, le 06 octobre 2015 Troubles bipolaires : diagnostiquer plus tôt pour réduire le risque suicidaire Classé parmi...

Troubles bipolaires : diagnostiquer plus tôt pour réduire le risque suicidaire

   
Saint Denis, le 06 octobre 2015

Troubles bipolaires :
diagnostiquer plus tôt pour réduire le risque suicidaire

Classé parmi les 10 pathologies les plus invalidantes selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble bipolaire débute généralement chez l'adolescent ou le jeune adulte et nécessite une prise en charge tout au long de la vie. Il s'agit d'un trouble complexe, difficile à diagnostiquer, et il s'écoule en moyenne 10 ans entre son apparition et la mise en place d'un traitement adapté. La Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd'hui un document pour favoriser le diagnostic précoce de ce trouble, éviter les complications mais également développer les échanges entre médecins généralistes et psychiatres sur cette maladie.

Le trouble bipolaire est l'une des pathologies psychiatriques les plus graves, qui conduit à des tentatives de suicide : 1 malade sur 2 fera au moins une tentative de suicide dans sa vie et 15 % décèderont par suicide. En France, on estime qu'entre 1 et 2,5 % de la population est touchée par ce trouble, mais ce chiffre serait sous-évalué.
Le trouble bipolaire alterne des épisodes maniaques ou hypomaniaques (agitation, élévation de l'humeur, idées de grandeur) et des épisodes dépressifs avec des moments de rémission. Cette maladie entraîne pour le patient une vulnérabilité chronique et reste diagnostiquée trop tardivement. En plus de favoriser les risques associés à la maladie comme le suicide, les hospitalisations ou les comorbidités, un diagnostic tardif peut également avoir des conséquences désastreuses sur la vie sociale, familiale et professionnelle des patients.
Dans le cadre de son programme pluriannuel en santé mentale (2013-2016), la HAS publie aujourd'hui une fiche pratique afin de permettre aux médecins traitants de reconnaître ce trouble et d'agir plus précocement.


Un trouble difficile à diagnostiquer
Le diagnostic du trouble bipolaire est complexe pour différentes raisons. Les différents types d'épisodes ne se manifestent pas de manière équivalente : les épisodes dépressifs sont prédominants et plus nombreux tandis que les épisodes de manie - et surtout d'hypomanie - peuvent passer inaperçus pour le médecin comme pour le patient qui les subit. Il s'agit également d'une maladie qui débute précocement et qui peut être associée à d'autres pathologies psychiatriques (addictions, troubles anxieux, troubles des conduites, etc.) ou être confondu avec une schizophrénie, par exemple.

Toujours y penser face à une dépression : rechercher des antécédents de manie ou d'hypomanie et certains indicateurs de bipolarité
Face à un trouble dépressif, y compris en l'absence d'antécédent(s) connu(s) de manie ou d'hypomanie, il faut systématiquement rechercher des arguments en faveur d'un trouble bipolaire.
Durant cette démarche, il faut s'employer à rechercher :

  1. d'éventuels antécédents d'hypomanie/manie passés inaperçus ;
  2. des indicateurs de bipolarité : une survenue de dépression avant 25 ans, des antécédents familiaux de trouble bipolaire, un changement brutal dans le fonctionnement psychique, plus de 3 antécédents d'épisodes dépressifs, des symptômes dépressifs atypiques, des tentatives de suicides répétées ou encore une réaction anormale à un traitement antidépresseur.
Que faire ? Collaborer avec un psychiatre pour établir un diagnostic et mettre en place une prise en charge adaptée
En cas de suspicion, le médecin traitant doit réaliser un entretien et un examen cliniques pour établir un diagnostic, évaluer la sévérité du trouble bipolaire et le risque suicidaire. Selon l'urgence (cas d'un épisode maniaque ou risque élevé de suicide par exemple), une hospitalisation peut être envisagée.
Si le médecin traitant envisage l'existence d'un trouble bipolaire, il doit adresser le patient à un psychiatre afin de confirmer le diagnostic, prescrire le traitement adapté et mettre en place un suivi conjoint. La collaboration entre le médecin traitant et le psychiatre est primordiale à chaque étape. Il est également conseillé d'associer les proches, au moment du diagnostic comme lors du suivi, ainsi que les autres professionnels de santé en contact avec le patient.


Y penser également chez l'adolescent
Les troubles bipolaires débutent majoritairement dans les dernières années de l'adolescence entre 15 et 19 ans. Même si à cet âge les variations d'humeur peuvent être courantes et non pathologiques, il faut être attentif aux changements de comportements en rupture avec le fonctionnement habituel de l'adolescent (repli sur soi, décrochage scolaire, conduites à risque, prises de substances psychoactives,…). Par ailleurs, devant une tentative de suicide d'un adolescent ou d'un adulte jeune, il est impératif de rechercher un trouble bipolaire. Les épisodes mixtes (associant simultanément ou par alternance rapide les symptômes maniaques et dépressifs) durant lesquels le risque suicidaire est majeur sont en effet plus fréquents à cet âge.
Pour en savoir plus :
- lire le communiqué de presse en ligne
- accéder à la fiche mémo


HAUTE AUTORITE DE SANTE
Responsable du service presse :
Florence GAUDIN
Contact presse :
Xabi VELAZQUEZ
01 55 93 73 18

contact.presse@has-sante.fr





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MINE D'INFOS: La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la q...: COMMUNIQUE DE PRESSE Saint Denis La Plaine, le 1 er octobre 2015 La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la qualité...

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MINE D'INFOS: La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la q...: COMMUNIQUE DE PRESSE Saint Denis La Plaine, le 1 er octobre 2015 La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la qualité...

La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la qualité des soins et des coûts

COMMUNIQUE DE PRESSE

Saint Denis La Plaine, le 1er octobre 2015

La Haute Autorité de Santé face aux enjeux de la qualité des soins et des coûts

A l'occasion de son 10e anniversaire, la Haute Autorité de Santé organise un nouveau colloque sur la régulation par la qualité et l'efficience, cap que s'est fixé l'institution depuis plusieurs années et auquel elle entend associer de plus en plus les patients. Elle entend ainsi animer le débat et montrer ses contributions sur des thématiques majeures à l'heure où le financement de notre système de santé solidaire est bousculé.

Depuis sa création par la loi de 2004, la Haute Autorité de Santé remplit ses missions dans deux directions complémentaires : d'une part améliorer la qualité des soins et des pratiques professionnelles pour chaque citoyen, et d'autre part participer à la régulation du système de soins afin de pérenniser son principe solidaire. Parmi les travaux qu'elle a réalisés, la HAS a notamment rendu des avis d'efficience sur les médicaments et dispositifs médicaux les plus innovants et les plus coûteux, mis en place une certification des établissements de santé plus exigeante et développé des indicateurs de qualité destinés à servir de levier d'amélioration de la qualité et de moyen d'information des patients.
Aujourd'hui, ces enjeux sont majeurs, avec une exigence toujours plus forte en termes de qualité des soins et une problématique exacerbée du financement de notre système de soins en relation avec l'allongement de l'espérance de vie et l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques mais également avec l'arrivée de produits de santé innovants et très coûteux. Après les nouveaux traitements de l'hépatite C, c'est à présent dans le domaine de la cancérologie que le coût de l'innovation demande réflexion. En effet les nouveaux médicaments, les thérapies ciblées et l'immunothérapie (anti-PD1 et anti PDL1, etc.) vont bouleverser les prises en charge mais vont générer des impacts budgétaires colossaux.

Rationaliser sans rationner l'évaluation des médicaments et dispositifs médicaux
Depuis deux ans, la HAS a mis en œuvre l'évaluation de l'efficience des médicaments et dispositifs médicaux afin de faciliter la négociation d'un prix objectif entre l'Etat et les industriels. Sont concernés par ce dispositif les produits de santé innovants qui sont susceptibles d'entrainer une importante amélioration du service médical rendu et d'avoir un impact significatif sur les dépenses de l'assurance maladie. La négociation du prix des traitements présentés au remboursement s'appuie désormais sur des données de rapport coût-efficacité, comme ceux de l'hépatite C par exemple, très innovants mais très coûteux.
Au 29 septembre 2015, la Commission économique et de santé publique a rendu 30 avis d'efficience dans lesquels les ratios coûts/résultats associés aux produits évalués sont très variables, allant de moins de 10 000 €/Qaly (années de vie gagnées ajustées sur la qualité de vie) à plus de 200 000 €/Qaly.
Pour la HAS, l'évaluation des produits de santé appelle une adaptation des méthodes et du cadre juridique actuels. Elle rappelle sa volonté de voir de nouveaux mécanismes d'évaluation apparaître comme la valeur thérapeutique relative qui remplacerait le Service Médical Rendu (SMR) et l'Amélioration du Service Médical Rendu (ASMR). Une évaluation comparative et une clarification des critères sont indispensables pour répondre aux enjeux des innovations thérapeutiques coûteuses qui arrivent sur le marché. De même le renforcement de l'évaluation médico-économique avec une réflexion sur les impacts budgétaires et la clarification des avis d'efficience viendrait compléter la mission de la HAS de faciliter l'accès à l'innovation et de limiter toute perte de chance pour le patient que lui a confiée la loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 (article 51) .
En outre, et pour compléter le développement de l'approche médico-économique, comme il l'a fait en 2014 pour les nouveaux traitements de l'hépatite C, le Collège de la HAS a décidé de prendre position sur une nouvelle classe de traitements, les anti-PD1 (à la fois très efficaces et très couteux), dont l'évaluation est programmée à la Commission de la transparence et à la Commission d'évaluation économique et de santé publique. Cette nouvelle classe de médicaments dans le cancer, par leur efficacité, par leur efficience et par le nombre de patients à qui ils sont destinés, posent la question de leur prix.

Inciter à l'amélioration de la qualité et de la sécurité en s'appuyant sur la certification et le développement des indicateurs pour la qualité et la sécurité des soins
La HAS met en œuvre une certification de chaque établissement de santé français, évaluation externe de la qualité des soins et des prises en charge dans un objectif d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. La procédure déployée depuis 2014 est plus exigeante, avec de nouvelles méthodes de visite que sont l'audit de processus complété par la méthode du patient-traceur. Elle entend aller vers une gestion des risques et de la qualité plus continue, progressivement personnalisée à chaque établissement et avec des méthodes qui permettent de mieux regarder la réalité des prises en charge du patient tout en impliquant davantage encore les professionnels de santé.
Parallèlement, avec le ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé participe depuis 2012 à une expérimentation de l'incitation financière à l'amélioration de la qualité (IFAQ). Plus de 200 établissements de santé volontaires ont été sélectionnés (parmi les établissements exempts de réserve dans le cadre de la certification). Le modèle d'incitation financière repose sur des résultats des indicateurs de qualité et de sécurité des soins généralisés, des résultats de certification et des résultats en termes d'informatisation des systèmes d'information hospitaliers. En décembre 2014, 93 établissements ont finalement reçu des aides financières pouvant aller jusqu'à 600 000 €. En juin 2014, un nouvel appel à candidatures a été lancé afin de poursuivre la montée en charge du dispositif (article 51 de la Loi de financement de la Sécurité sociale 2015) et de tester de nouveaux indicateurs de spécialité ainsi que l'indicateur issu du recueil de la satisfaction du patient hospitalisé (e-Satis). 490 établissements ont été retenus et les meilleurs d'entre eux seront rémunérés en décembre 2015. En 2016, le processus d'incitation financière à l'amélioration de la qualité sera généralisé et tous les établissements de santé MCO pourront concourir pour cette incitation.

Une implication ambitieuse des usagers et de leurs représentants
L'ambition de la HAS est d'améliorer l'interaction entre soignants et soignés. Cet engagement ne peut se limiter à une simple diffusion de connaissances par la HAS au travers de ses publications scientifiques et médicales. Aussi, la HAS s'engage pleinement au travers de plusieurs actions : présence de représentants d'usagers au sein de la Commission de la Transparence et de Commission nationale d'évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé, création d'une commission spécifique dédiée à l'information du patient, formalisation de la participation des usagers à la certification des établissements de santé et aboutissement logique de la démarche la mise en place d'un indicateur de satisfaction des patients en établissement de santé.

Accéder :
- au communiqué de presse en ligne
- au dossier de presse

HAUTE AUTORITE DE SANTE
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MINE D'INFOS: Issa SISSOUMA, Directeur Général de l’Union Techni...

MINE D'INFOS: Issa SISSOUMA, Directeur Général de l’Union Techni...: Voir la version en ligne Les utilisateurs de Tablettes et de Smartphones ont eu ces derniers jours des difficultés à accéd...

Issa SISSOUMA, Directeur Général de l’Union Technique de la Mutualité du Mali

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Issa SISSOUMA, Directeur Général de l’Union Technique de la Mutualité du Mali

Economiste de la santé, Issa SISSOUMA a travaillé à l'Union Technique de la Mutuelle du Mali depuis mai 1998 comme Responsable au Développement avant d'en devenir le Directeur général en septembre 2006. Il est membre du Comité Consultatif de la Mutualité Sociale au sein de l'UEMOA. Expert en Développement des mutuelles de santé, il a effectué des missions au Burkina Faso, Togo, Bénin et en Guinée Conakry et au Mali dans le cadre de la mise en place de l'assurance maladie obligatoire. Il répond à nos questions. ... Lire plus



Assemblée Générale de la Mutuelle Générale des Fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire
(MUGEF-CI) – 29 aout 2015

La Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire (Mugef-ci) a organisé le samedi 29 août 2015, une Assemblée générale ordinaire aux fins de faire le bilan des activités de l’année 2014 mais aussi de présenter le projet de création du Groupe mutualiste MUGEFCI. ... Lire plus



La loi sur le régime d'assurance maladie universelle au Burkina Faso enfin votée le 5 septembre 2015

A l’instar de plusieurs pays de la zone UEMOA, le législateur burkinabé a finalement voté, le 05 septembre dernier, la loi portant sur le Régime d’Assurance Maladie Universelle au Burkina Faso. Comme c’est déjà le cas au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire, la loi prévoit un rôle significatif dans l’extension de la couverture Santé, pour les mutuelles. ... Lire plus



Soutenance de mémoire le 22 septembre dernier à Paris pour Soro Mamadou et Touré Laciné

Monsieur SORO Mamadou, Président de l’UAM AFRO et Monsieur TOURE Laciné, Directeur Général de la Mugef-ci, (de droite à gauche sur la photo), à l’issue d’une année de formation en gouvernance mutualiste, ont soutenu leurs mémoires de Master, le Mardi 22 septembre dernier à Paris. Dans l’attente des résultats définitifs, nous les félicitons pour leur implication dans cette formation de haut niveau. ... Lire plus



L’UTM, membre malien de l'AIM, a été sélectionnée pour bénéficier d'un programme de la Commission européenne

L'UTM (Union Technique de la Mutualité) a récemment été sélectionnée par la Commission européenne pour bénéficier d'un programme européen (SOCIEUX) visant à renforcer les capacités des organismes d’assurance maladie afin de promouvoir le développement de systèmes de protection sociale efficaces. ... Lire plus



Conférence biennale 2015 de la Fédération internationale des coopératives et mutuelles d’assurance, (ICMIF en anglais)
Du 06 au 09 0ctobre 2015, USA – Minneapolis

Dans quelques jours, se tiendra à Minneapolis (USA) la Conférence biennale 2015 d’ICMIF, le plus grand rassemblement mondial dans le domaine de l’assurance coopérative/mutuelle, qui fournit aux acteurs de pointe du secteur l’occasion de se rassembler et de construire leurs réseaux. ... Lire plus



Réunion de l'Association Internationale de la Mutualité (AIM) et de l’Union Africaine de la Mutualité (UAM)
Du 02 au 04 mars 2016, Côte d’Ivoire – Abidjan

Du 02 au 04 mars 2016, la capitale ivoirienne ouvrira ses portes à une réunion de haut niveau visant à présenter les atouts du mouvement mutualiste dans la mise en place des couvertures maladie universelles en Afrique. Le comité de pilotage est constitué de l’AIM, l’UAM, l’UAM AFRO, de la MASMUT et du PASS. ... Lire plus



Couverture Maladie Universelle : la réaction d’Adama NDYIAYE, Président de la FANAF

Monsieur Adama Ndiaye, Président de la Fédération des Sociétés d’Assurances de Droit National Africaines (FANAF) a accordé une interview au magazine web Financial Afrik, portant sur la participation des compagnies d’assurances privées dans la mise en œuvre de la Couverture Maladie Universelle (CMU). ... Lire plus



Rencontre avec Alain Yvergniaux, Président du Groupe EVOA–
11 septembre 2015

EVOA est une holding française visant la création d’activités génératrices de revenus en Afrique de l’Ouest et en Bretagne en créant ou prenant des participations dans des jeunes entreprises à fort potentiel de créations d’emplois et de valeur ajoutée. ... Lire plus



Le mutualisme, un remède contre la crise

Nous vous proposons également la lecture d’un article intéressant paru dans l’édition du 09 septembre 2015 dans le journal « Les Echos » rédigé par Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes français et Olivier Pastré, professeur à l'université Paris-VIII. ... Lire plus



Bienvenue à  qui remplace Prisca SAHIRY au poste d’Adjointe au Directeur du PASS. Dernièrement au Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, elle est diplômée de l’ENA, titulaire d’une Maîtrise en Droit des Affaires, d’une Maîtrise en Anglais et d’un Certificat en gestion des projets. ... Lire plus


  • 06 - 09 0ctobre 2015, USA
    International Cooperative and Mutual Insurance Federation (ICMIF) Biennal Conference à Minneapolis
  • 8 octobre 2015, Côte d’Ivoire
    Séminaire avec les journalistes de Côte d’Ivoire
  • 8 – 17 Octobre 2015, Maroc
    4e salon nation de l’économie sociale et solidaire à Casablanca
  • 20 Octobre 2015, France
    Première édition de la Convention Internationale de la FNMF à Paris
  • 20 – 22 Octobre 2015
    11e réunion du Bureau de l’AISS à Genève
  • 02 – 04 Mars 2016
    Réunion AIM-UAM « promotion du mouvement mutualiste africain à Abidjan »


PASS est le programme d’appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L’objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu’il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d’ouvrage, PASS permet l’établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteurs mutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l’Union Africaine de la Mutualité.

Ce programme est initié, financé et conduit par : Fnmf, Mgen, Mgefi, Mnt, Matmut, Casden. Il est soutenu au plan international par l’AISS, l’AIM et l’ICMIF, et au plan français par la MSA.
Pour plus d’informations :
www.pass-mut.org
Immeuble « Les Arcades »
Avenue Franchet d’Esperey, le Plateau

01 BP 4080 Abidjan 01 - Abidjan – Côte d’Ivoire

Fixe : 00 225 20 25 74 96

Mail : mutualite.pass@gmail.com







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MINE D'INFOS: Top 5 du mois: Le site internet de la MGEFI à enregistré  48 109 visites en septembre 2015 Top 5 https://www.mgefi.fr/public/Infos-Diverses/...

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