MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mercredi 22 juillet 2015
MINE D'INFOS: Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Co...
MINE D'INFOS: Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Co...: Quel avenir pour la carte SIM ? Le Financial Times vient de révéler que les grands acteurs de la téléphonie, Apple et Samsung tra...
Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Condamnée à disparaitre ou à se réinventer ?
Quel avenir pour la carte SIM ? |
Le Financial Times vient de
révéler que les grands acteurs de la téléphonie, Apple et
Samsung travaillaient ensemble pour développer la première « e-SIM »,
une carte SIM qui permettrait à son détenteur de changer d’opérateur sans
changer de carte SIM. Enfin un peu d’innovation dans un secteur qui stagne
depuis 1991 !
Pourtant, dans le domaine de
l’Internet des Objets, la pérennisation des cartes SIM est un phénomène déjà
bien engagé depuis que Frédéric Salles, président de la société MATOOMA,
a conçu la première carte SIM universelle, qui capte tous les grands réseaux
téléphoniques sans interruption. Ce produit permet donc aux objets de
communiquer entre eux en permanence et en toute sécurité !
- Pourquoi peut-on penser que l’avenir de la carte SIM ne se trouve plus dans un smartphone mais bel et bien sur le marché de l’Internet des Objets ?
- Quel avenir peut-on envisager pour ces fameuses cartes SIM ?
- Comment expliquer que le marché de la téléphonie mobile réalise enfin son retard face à celui des objets connectés ?
Frédéric Salles, président de
Matooma et expert reconnu sur le marché de l’Internet des Objets, apporte sa
vision sur ces récentes évolutions du marché.
Victoria JOHNSTON
Cabinet ESCAL Consulting
Tel : 01 44 94 95 74
@ESCALCONSULTING
www.escalconsulting.com
mardi 21 juillet 2015
MINE D'INFOS: CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre g...
MINE D'INFOS: CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre g...: Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales ! Rappelons-les aux Caisses Primaires d’Assurance Maladie ...
CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales !
Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales ! |
Rappelons-les aux Caisses
Primaires d’Assurance Maladie
Une dérogation légale au
dispositif du « tiers-payant contre génériques » prévoit de maintenir la dispense
d’avance des frais lorsque la prescription indique « non substituable »…
Comme le
souligne la CNAMTS dans une réponse adressée au CISS par le directeur de la
CNAMTS en mai dernier, la faculté laissée par le Législateur aux prescripteurs
d’écarter la substitution du pharmacien en apposant la mention « non
substituable » sur l’ordonnance, est un principe qui en l’état des textes,
s’impose à l’ensemble des acteurs et doit, de ce point de vue, être respecté.
Il en va de même des dérogations législatives au principe du « tiers-payant
contre génériques », qui permettent de maintenir la dispense d’avance des frais
: elles doivent être respectées par les organismes chargés de mettre en œuvre
le remboursement des usagers.
L’entêtement des CPAM à ne pas
respecter la loi
Pourtant,
certaines CPAM émettent des consignes visant à l’application sans discernement
du dispositif du « tiers-payant contre génériques » à l’ensemble des lignes
prescrites, y compris pour les médicaments « non substituables ».
Pour
exemple, une CPAM de la région Midi-Pyrénées écrit très explicitement à ses
assurés que « le bénéfice du tiers-payant est réservé exclusivement à
l’acceptation du médicament générique par l’assuré y compris pour les
prescriptions médicales comportant la mention " non substituable " » (http://f.info.cpam-albi.fr/o/?s=1484-110cb-1F78-5256e1d-77).
Les patients n’ont pas à faire
les frais de la lutte contre les mentions « non substituables » dépourvues de
fondement médical
Si c’est à
bon droit que l’Assurance maladie veille au respect des critères médicaux qui
doivent présider à l’apposition, par les médecins, de la mention « non
substituable », il est abusif de sanctionner les patients à qui sont prescrits
ces médicaments.
Contrôler
le bien-fondé des prescriptions, ce n’est pas prendre des légèretés avec les
droits des usagers tels que reconnus dans la loi.
Et si on commençait par faire
respecter l’obligation de prescrire en DC pour éviter tout malentendu ?
L'utilisation
de la Dénomination Commune (DC) est en principe obligatoire depuis le 1er
janvier 2015 pour toutes les prescriptions effectuées par les professionnels de
santé habilités à le faire. Cette obligation a été confirmée le 14 novembre
dernier par la publication d'un décret.
Ce type de
prescription règlerait bien des problèmes aujourd’hui liés à la substitution
par les pharmaciens.
Mais là
encore, le droit des patients à qui sont prescrits des médicaments de marque
pour raisons médicales devra être respecté en vertu de la loi sur le
tiers-payant contre générique.
Chargée de veiller au respect
des droits de ses assurés, la CNAMTS doit rappeler les limites légales au
dispositif de « tiers-payant contre génériques » à l’ensemble de son réseau, et
s’assurer de leur respect sur l’ensemble du territoire.La persistance de telles pratiques donnera lieu, le cas échéant, à des recours de la part du CISS.
Contact presse :Marc Paris, responsable communication, mparis@leciss.org – 01 40 56 94 42 / 06 18 13 66 95
Lien vers le communiqué de presse du CISS
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MINE D'INFOS: La santé au travail : un enjeu clé du dialogue soc...: Participez au grand débat sur la Santé au travail et le Dialogue social organisé par CATEIS à l’auditorium du Stade de France, mercredi 3...
La santé au travail : un enjeu clé du dialogue social ?
Participez au grand débat sur la Santé au travail et le Dialogue social organisé par CATEIS à l’auditorium du Stade de France, mercredi 30 septembre 2015 Pour réserver votre place : cliquez ici |
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lundi 20 juillet 2015
MINE D'INFOS: A découvrir la Newsletter Annuaire secu.com
MINE D'INFOS: A découvrir la Newsletter Annuaire secu.com: Extraits de la Newsletter reproduite avec l'autorisation de son auteur Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-sec...
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Retraites - personnes âgées
16/07/15 - Le Comité de suivi des retraites (CSR), issu de la réforme Touraine, a pour objectif de rendre chaque année un avis public sur le respect des trois objectifs du système de retraite par répartition, relatifs au niveau des retraites, à l'équité entre les cotisants et à la pérennité financière du système. Les cinq membres du Comité sont deux économistes, une grande dirigeante du privé et des hauts fonctionnaires. Sa présidente, Yannick MOREAU, a remis au Premier ministre lundi 13 juillet 2015 son nouvel avis de 40 pages.
Sur le premier point, le comité de suivi estime qu'aujourd'hui, le système de retraites assure un taux de remplacement conforme aux objectifs définis par la loi. Cette situation devrait se maintenir au cours des dix prochaines années. Il juge nécessaire que des travaux soient menés sur une évolution des modes d’indexation des salaires portés au compte et des pensions susceptible de rendre le système de retraites moins dépendant de la croissance et de permettre une détermination plus explicite des montants de pension et des taux de remplacement garantis par le système. Le comité constate que le système de retraite permet aujourd’hui de répondre dans des conditions en moyenne satisfaisantes aux objectifs de niveau de vie relatif des retraités et les a, jusqu’à présent, préservés dans une large mesure des effets de la crise économique. Si les écarts de niveaux de vie constatés entre retraités résultent naturellement de la diversité de leurs parcours professionnels et des droits constitués, ils sont réduits par le système de retraites qui assure des taux de remplacement plus élevés pour les carrières modestes. Une vigilance particulière doit cependant être accordée à l’évolution des pensions les plus modestes, et notamment celle des plus âgés d’entre eux.
Concernant l'objectif de traitement équitable des assurés, même constat. Si la durée de carrière et la durée de retraite montrent une relative stabilité sur le long terme, il résulte des indicateurs de montant de la pension et de taux de cotisation une certaine dégradation du rendement du système de retraite entre la génération 1950 et la génération 1970, suivie d’une stabilisation jusqu’à la génération 1990. Cette dégradation relative ne remet pas en cause le caractère favorable du système de retraite français dans les comparaisons internationales et elle était inévitable pour assurer la pérennité de ce système car le rendement du système de retraite ne peut dépasser durablement le taux de croissance global de l’économie. Il conviendra cependant de s’assurer que la convergence vers ce régime de long terme se fasse avec le minimum d’à-coups. Ceci invite à la vigilance sur le partage de l’effort entre les générations, souligne le CSR. Si les inégalités de pensions entre hommes et femmes se réduisent de manière continue, les projections montrent toutefois des écarts persistants même à long terme. Ces projections appellent à renforcer les politiques d’égalité professionnelle et à maintenir en l’adaptant un système de droits familiaux de retraite, en accroissant le cas échéant son ciblage sur les femmes. Le comité renouvelle son souhait de poursuivre les travaux sur la situation comparée des droits à pension entre régimes.
Enfin, le CSR estime que la trajectoire de retour à l'équilibre financier d'ici 2020 des régimes de base et du fonds de solidarité vieillesse prévue par la réforme est compromise. Cet objectif ne sera pas atteint sans "amélioration de la conjoncture et/ou des mesures nouvelles" du fait de la révision à la baisse des hypothèses macro-économiques intervenue en 2015. Concrètement, en l'état actuel des choses, le déficit serait de 2,9 milliards d'euros en 2018 et "ce solde négatif pourrait augmenter entre 2018 et 2020" en raison de plusieurs éléments réglementaires" (arrêt des hausses de cotisations, fin progressive du relèvement de l'âge légal). A l’échéance de 2020, de même que pour la trajectoire de long terme, "les résultats de la négociation en cours sur les régimes complémentaires sont déterminants", souligne l'instance qui appelle le patronat et les syndicats à aboutir avant la fin de l'année 2015 à une réforme des régimes Agirc et Arrco. A long terme, dans des scénarios économiques favorables (1,5% d’augmentation de la productivité ou plus, scénario de référence retenu par la loi du 20 janvier 2014), et compte non tenu des négociations en cours sur l’AGIRC et l’ARRCO, l’équilibre financier du système dans son ensemble serait atteint à compter du milieu ou de la fin des années 2020. Avec des hypothèses de croissance plus faibles (moins de 1,5 % pour la productivité), l’équilibre ne serait pas atteint sans mesure complémentaire.
Au regard de l’analyse des indicateurs de suivi de notre système de retraites, le comité estime que "la situation et les perspectives du système de retraites ne s’éloignent pas de façon significative des objectifs définis par la loi" de janvier 2014. Aussi, iI ne formule pas de recommandations pour l’année en cours. Une conclusion favorable que Matignon n'a pas manqué de souligner lundi par communiqué.
"Les aléas de la croissance demeurent le principal défi auquel est confronté le système, défi auquel il conviendra d'apporter des réponses", concluait le premier avis. Une formule qui reste plus que jamais d'actualité. "Ce système est excessivement dépendant des évolutions de la croissance économique, ce qui fait tout l’intérêt d’une réflexion sur les modes d’indexation", écrit le CSR dans son second avis.
> Deuxième avis annuel du Comité de suivi des retraites - communiqué et avis
La commission des affaires sociales du
Sénat préconise un relèvement progressif de l’âge légal de départ en retraite à
64 ans
15/07/15 - La commission des affaires sociales de la Haute Assemblée, présidée par Alain Milon (Les Républicains), a adopté mercredi 15 juillet le rapport d’information sur la situation du régime de retraites réalisé au nom de la mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (MECSS) par Gérard Roche (UDI-UC).
Le rapport constate que notre système de retraite, qui représente 14 % de la richesse nationale et plus de 45 % des dépenses de protection sociale, fait face depuis le milieu des années 2000 à une forte dégradation du ratio cotisants / retraités. Celui-ci est en effet passé de 2,01 en 2005 à 1,76 en 2013. Selon les projections du rapport annuel du COR de juin 2015, ce ratio atteindrait 1,7 en 2018 et devrait continuer à diminuer pour atteindre 1,4 à partir de la fin des années 2040 pour se stabiliser ensuite. Creusé dans des proportions sans précédent par la crise économique et financière de 2008-2009, son déficit n’a qu’en partie été résorbé par les deux dernières réformes. Au vu des dernières projections du COR, le rapport constate également que notre système de retraite - régimes de base, FSV, Agirc et Arrco compris - reste insoutenable financièrement, à court comme à moyen/long termes. Si on se base sur le scénario central du COR, il en ressort qu'il n'y aura pas de retour prévisible à l'équilibre avant 2030, année où le nombre de retraités va se stabiliser autour de 31 % de la population active.
La commission des affaires sociales du Sénat juge donc indispensable de programmer une nouvelle réforme. Elle estime qu'il serait totalement déraisonnable d’augmenter une nouvelle fois le taux des cotisations vieillesse, alors que la compétitivité et l’emploi sont pénalisés depuis des années par un coût du travail trop élevé. Par ailleurs, le montant relatif des pensions par rapport aux revenus des actifs va d’ores-et-déjà mécaniquement baisser dans les années à venir en raison de l’indexation des pensions sur les prix et non plus sur les salaires. Suivant les conclusions du rapporteur Gérard Roche, la commission s’est de nouveau prononcée en faveur d’un relèvement des bornes d’âge de départ en retraite, comme elle l’avait fait lors de l’examen du PLFSS pour 2015. Seule une mesure de ce type est susceptible de produire un impact suffisamment significatif pour assurer, surtout à moyen et long terme, le retour à l’équilibre des régimes de retraite. La commission préconise un calendrier et une méthode : augmenter de 5 mois par an l’âge légal de départ en retraite au-delà du 1er janvier 2017 (62 ans pour les personnes nées en 1955). Il passerait ainsi à 62 ans et 5 mois en 2018, puis 62 ans et 10 mois en 2019, avec pour objectif d’arriver à 64 ans en 2024. Si les décisions relatives à la gestion des régimes complémentaires Agirc et Arrco relèvent exclusivement des partenaires sociaux, le rapporteur souhaite rappeler combien la mobilisation de l'outil des bornes d'âge est indispensable et appeler les syndicats de salariés à accepter des concessions sur ce point.
> Le rapport d'information de la MECSS du Sénat
TIC santé - e-administration - services publics
13/07/15 - Le DMP reste en toute petite forme à en croire le dernier pointage publié par l'ASIP Santé sur le site internet dmp.gouv.fr. 548 340 dossiers médicaux personnels ont été ouverts au 17 juillet 2015 (dont seulement la moitié est utilisée) contre 477 108 fin juillet 2014 (366 361 fin juillet 2013), soit seulement 71 200 dossiers de plus en un an. Le rythme de création hebdomadaire est tombé à près de 1370 DMP ouverts par semaine. Certaines régions sont plus actives que d'autres dans le déploiement (la Picardie reste largement en tête devant l'Aquitaine). A ce jour, 640 établissements hospitaliers sont équipés (+ 171 en un an). Moribond depuis son lancement et coûteux pour les contribuables, le DMP va-t-il enfin connaître un nouveau départ avec sa responsabilité confiée à la CNAMTS ? Nicolas Revel, le DG de l'Assurance maladie se donne deux ans. "Je souhaite déployer, dans un délai bref de deux ans, un DMP efficace en lien avec les professionnels qui doivent avoir envie de l'utiliser", déclarait-il, le 8 avril dernier devant la commission des Affaires sociales du Sénat.
> A consulter également la méticuleuse chronologie journalistique, régulièrement mise à jour par Philippe Ameline, sur l'interminable naufrage du DMP
Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 657 du 12 juillet 2015
·
1 - Avis de gros temps à la Caf de Vendée - L'article
de Ouest France
·
2 - L'Adircaf soutient le Directeur de
la Caf de Vendée - communiqué commun du 3 juillet 2015
·
3 - Retraites : ce qui change avec la
loi Macron - Tout sur la retraite 10 juillet 2015
·
2 - La Lettre de la Michodière 25-2015
du SNFOCOS
·
5 - CR de la réunion sur l'indemnisation des frais
professionnels par le SNADEOS CFTC
·
6 - La Fédération CFTC PSE évoque la Commission paritaire du système
différentiel du 1er Juillet 2015
MINE D'INFOS: Le coloriage un anti stress efficace
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MINE D'INFOS: Faire reculer le cancer ensemble c'est le pari de ...
MINE D'INFOS: Faire reculer le cancer ensemble c'est le pari de ...: Signature d'un accord-cadre entre l' Institut u niversitaire du cancer de Toulouse (IUCT) et les Laboratoires Pierre Fabre...
Faire reculer le cancer ensemble c'est le pari de l'Institut universitaire du cancer de Toulouse et des laboratoires Pierre Fabre
Signature d'un
accord-cadre entre l'Institut
universitaire
du cancer de Toulouse (IUCT)
et
les
Laboratoires Pierre Fabre
pour
« faire
reculer le cancer ensemble »
|
Il
s'agit du premier accord-cadre
passé
par l'IUCT
avec un partenaire
industriel
Toulouse le 8 juillet
2015 - Sous l'égide de Toulouse Métropole,
chef de file du développement économique de l'Oncopole, le Professeur André Syrota,
Président de l'Institut universitaire
du cancer de Toulouse (IUCT) et Bertrand Parmentier, Directeur Général
des Laboratoires
et Président de l'Institut de Recherche
Pierre Fabre (IRPF) ont
signé aujourd'hui le
premier accord-cadre mis en place entre l'IUCT et un partenaire industriel. L'IUCT a été créé il y a un an et
représente en
France un nouveau modèle
de coordination des soins de la recherche et de l'enseignement en
cancérologie. Les
Laboratoires Pierre Fabre ont fait de l'oncologie leur premier axe de
recherche et développement dans le domaine pharmaceutique. Grâce à cet accord, premier du genre pour
l'IUCT, les deux structures entendent
développer de nouveaux
partenariats médico-scientifiques et susciter de nouvelles opportunités
d'échanges, entre un maillage d'acteurs régionaux
et l'IRPF, dans le domaine de
l'oncologie, notamment
la médecine translationnelle et le domaine prometteur des traitements
immunologiques du cancer.
Ce
rapprochement portera principalement
sur la
mutualisation
de
plateformes de haute technologie, le développement de nouveaux candidats
médicaments, la
recherche clinique, l'animation scientifique de la région
Toulousaine dans le domaine des sciences de la vie et la mise
en commun d'un certain
nombre de prestations de nature scientifiques (achats
et
maintenance de matériel scientifique
notamment).
"L'Oncopole,
projet unique en Europe, est un symbole des ambitions réussies de notre
territoire. Il fait la fierté de tous. Véritable initiative solidaire entre
recherche publique et privée, ce protocole d'accord scientifique marque la
volonté des acteurs de l'Oncopole de travailler ensemble, dans un but commun: la
lutte contre le cancer", déclare Jean-Luc
Moudenc, Maire de Toulouse et Président de Toulouse Métropole.
L'ensemble des
acteurs du soin (39
établissements) et de la recherche en cancérologie
de
Midi-Pyrénées seront
impliqués dans cette dynamique.
Quelques exemples
d'actions communes à venir :
· Avancement des études exploratoires réalisées
par l'IRPF sur des candidats médicaments
en onco-hématologie
grâce à la mise à disposition par l'IUCT d'échantillons de tissus prélevés sur des patients
atteint par ce type de
tumeurs afin
d'identifier de nouvelles thérapies.
· Au-delà de ces phases
exploratoires, combinant
une approche médecine translationnelle, coordination ou réalisation de
nouveaux essais cliniques de phase I, II ou III en partenariat avec l'ensemble des structures de soins en cancérologie basées dans la
Région pour accélérer l'accès des patients aux nouvelles
thérapies.
· L'IUCT et l'IRPF organiseront ou
participeront conjointement à des colloques médico-scientifiques et programmes de formation
portant sur la lutte contre le
cancer et
mettront en place des animations
scientifiques au cœur de l'Oncopole.
Un comité de pilotage a d'ores et
déjà été mis en place
avec pour mission de recenser les projets susceptibles
d'être menés conjointement, d'étudier leur faisabilité et
de définir les conventions encadrant leur mise en œuvre.
« Le
continuum de la recherche fondamentale à la recherche clinique est indispensable
à la réussite de l'innovation en matière de recherche médicale. Ce qui est
particulièrement remarquable à Toulouse, c'est la présence simultanée des
acteurs de la recherche fondamentale et clinique et des praticiens au sein du
GIP IUCT et d'un industriel impliqué comme Pierre Fabre dans la R&D en
partenariat. L'organisation du GIP IUCT, avec ses membres fondateurs publics et
privés, est favorable au développement d'essais cliniques de phase 1 et 2
d'envergure. La signature de ce premier protocole d'accord est l'affirmation
de notre souhait de travailler ensemble »
a
commenté André Syrota Président du GIP IUCT de Toulouse Oncopole
« Tout
l'enjeu
de ces échanges entre les chercheurs de l'Institut de Recherche
et Développement
Pierre Fabre et l'IUCT est d'accélérer la mise au point de futurs traitements
contre le cancer, et nous nous réjouissons de la signature de cet accord-cadre
qui s'inscrit pleinement dans notre stratégie de développement de nos
compétences en médecine translationnelle. Il y a 12 ans, alors que la
catastrophe d'AZF venait de frapper l'agglomération toulousaine, Monsieur Pierre
Fabre imaginait que chercheurs, cliniciens et patients soient réunis sur un même
site dédié à la lutte contre le cancer. L'Oncopole et plus particulièrement ce
partenariat entre l'IUCT et Pierre Fabre en est aujourd'hui la concrétisation.
»
a déclaré Bertrand
Parmentier Directeur Général des Laboratoires Pierre Fabre.
Pour plus
d'informations :
IUCT : Dominique SOULIE soulie.d@chu-toulouse.fr 05 61 77 87 06 / 06 27 59 58 96
Laboratoires
Pierre Fabre : Valérie
ROUCOULES valerie.roucoules@pierre-fabre.com 01 41 42 36 92 / 06 20 88 61 65
CP_PF_IUCT_8juil2015_FR.doc
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