Nora ANSELL-SALLES

jeudi 5 février 2015

L'écho de la Fondation de l'Avenir


Echo 387 : La Fondation de l'Avenir lance son appel d'offres 2015
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nansellsalles
05/02/2015 13:17
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Fondation de l'Avenir : Accélérateur de progrès médical L'écho de la Fondation
05/02/2015 - N° 387
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La Fondation de l'Avenir lance son appel d'offres 2015

Comme chaque année, la Fondation de l'Avenir lance son appel à projets pour soutenir la recherche médicale appliquée, maillon essentiel entre la recherche fondamentale et l'application clinique. Les projets soumis en 2015 à la Fondation de l’Avenir s’inscrivent dans les objectifs de santé publique définis par la Mutualité Française. Ils doivent impérativement concerner des applications diagnostiques ou thérapeutiques dans l’un des thèmes suivants :
  • Thérapeutiques chirurgicales nouvelles ou alternatives à la chirurgie et modèles expérimentaux,
  • Innovations dans la prise en charge des handicaps, y compris les handicaps sensoriels,
  • Applications de la thérapie cellulaire et de l’ingénierie tissulaire aux organes solides,
  • Innovations thérapeutiques en psychiatrie.
Les projets peuvent impliquer des nouvelles technologies de l'information et de la communication ou des dispositifs de robotique.
Attention : sont considérées comme hors champ de l'appel d'offres les recherches pour lesquelles on ne peut prévoir de retombées directes en clinique humaine, à court ou moyen terme, et les sujets de recherches fondamentales.
La date limite d'envoi est fixée au 20 mars 2015.



Agenda Fondation
Remise de la bourse Casden du jeune chercheur
Jeudi 5 février à Nantes
Les 7e prix des chirurgiens de l’Avenir sur Vimeo
Présentation des prix et des lauréats par Eric Allaire, Dominique Letourneau et Marc Pocard


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mercredi 4 février 2015

MINE D'INFOS: Retour d'expérience de la mise en place de la sol...

MINE D'INFOS: Retour d'expérience de la mise en place de la sol...: Interview Rose Saillard de la MGEN Livre son regard sur la mise en place de la   solution ACCEO       « Les s...

Retour d'expérience de la mise en place de la solution ACCEO à la MGEN


Interview
Rose Saillard de la MGEN
Livre son regard sur
la mise en place de la  solution ACCEO

 

 

 

« Les services proposés par Acceo étaient pour nous concrets, réactifs et déployables sur tout le territoire ». Rose Saillard, Déléguée nationale de MGEN, explique la mise en place de la solution Acceo.

 

MGEN se définit comme un acteur global de la santé et une référence solidaire, quelle est votre politique en matière de handicap ?

MGEN a été créée en 1946, juste après la seconde guerre mondiale. Il y avait à l'époque beaucoup de mutilés et de blessés. Le handicap s'est donc inscrit dans notre action, dès le départ. Aujourd'hui, nous avons 1,9 millions d'adhérents et 3,7 millions de personnes protégées (avec les familles). Une personne déclarée en situation de handicap ne paye pas de supplément. Toutes les prestations sont incluses dans son contrat d'adhésion. La loi 2005 est une très bonne loi, même s'il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

 

Vous êtes la première mutuelle à avoir mis en place l'offre Acceo en juillet 2013, qu'est-ce qui vous a séduit dans cette solution ?

Le service était concret et réactif et, critère décisif pour nous, déployable sur tout le territoire. Nous avions besoin d'un dispositif à visée nationale. Nous sommes allés rencontrer les équipes d'Acceo à St Maur des Fossés. Elles connaissent parfaitement leur sujet et elles nous ont proposé de nous accompagner. Nous avons d'abord déployé un numéro unique, formé 8 personnes dans nos centres d'appels et largement communiqué auprès de nos adhérents. Aujourd'hui, la solution Acceo peut aussi être utilisée via notre site web. Le pictogramme de l'oreille barrée est visible sur toutes nos pages depuis un bandeau latérale fixe.

 

Quels sont vos projets ?

Nous sommes sur le point d'étendre l'offre Acceo à notre réseau d'accueil physique. C'est une véritable logique d'accessibilité pour tous. Nous équipons nos bureaux de boucles magnétiques, de bandes podotactiles, d'écrans de grande taille, de toilettes accessibles. En ce qui concerne les personnes sourdes et malentendantes, nous allons utiliser des caméras de manière à proposer Acceo sur tous les sites, pour nos adhérents qui viennent sur place. Nous allons déployer le dispositif dès la fin de l'année et sur le premier semestre 2015. Nous proposerons par ailleurs dès janvier 2015 cette solution à notre réseau d'opticiens agréés, Optistya. Enfin, l'étape suivante, c'est d'équiper nos 33 établissements de soins (Ehpad, centres de santé, établissements de soins de suite). Les projets ne manquent pas !

 

En savoir plus sur Acceo : www.acce-o.fr

 

Une approche de santé avec pour objectif non pas de prolonger la vie, mais de gagner de l’espérance de vie en bonne santé

Fontalvie distingué par BPI France Excellence

Dirigé par le Dr Jacques Desplan, le groupe Fontalvie déploie depuis près de 25 ans une approche révolutionnaire de la santé ayant pour objectif non pas de prolonger la vie, mais de gagner de l’espérance de vie en bonne santé.

Lauréat du prix de l’innovation 2014 le 19 décembre dernier par le Club des 500 ; le groupe Fontalvie a été distingué lundi 2 février 2015 par Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance pour son potentiel de croissance et d’innovation.

Une distinction qui récompense l’audace et l’approche révolutionnaire de la santé du Groupe qui n’hésite pas à investir massivement pour élargir son offre de prévention santé et accélérer son développement au service de l’humain.

Le groupe Fontalvie, 25 ans de recherche au service de la santé

La recherche et l’innovation constituent l’ADN du groupe Fontalvie depuis son origine. 5% du CA est consacré à la Recherche depuis la création du groupe en 1991. De nouveaux outils de dépistage et une amélioration de la prise en charge par le développement de thérapies non médicamenteuses (activité physique, nutrition, sommeil, gestion des émotions) sont quelques exemples d’innovations impulsées par la Recherche.

Fort de 25 ans de recherche et développement, le groupe a développé deux projets majeurs dans l’alimentation santé et l’optimisation santé qui se sont concrétisés à travers : Les Halles Solanid et R-Révolution Santé ouverts fin 2014.

En 2014, Fontalvie a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 30 M€, le groupe emploie à ce jour 430 salariés, et possède quatre cliniques privées, trois établissements dans le secteur de l'alimentation santé (Les Halles Solanid à Osséja dans les Pyrénées-Orientales, à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal, et à Lodève) et un centre d’optimisation santé à Montpellier.

A propos de Fontalvie

Dirigé par le Dr Jacques Desplan, le Groupe Fontalvie déploie depuis 1991 une approche révolutionnaire de la santé dont l’objectif est d’améliorer la qualité de vie de chacun. Sa méthode : une approche thérapeutique globale et innovante dédiée à la prévention, qu’elle soit primaire, secondaire, ou tertiaire pour que chacun devienne acteur de sa santé.
Le groupe est structuré en trois domaines : Le pôle Réhabilitation santé composé de 4 cliniques dont 3 cliniques du Souffle, le pôle Alimentation santé composé de 3 unités et un nouveau pôle Optimisation santé créé en septembre 2014.
 
Chiffres clés
Effectif : 430 salariés
CA consolidé 2013 : 32 M€

3000 patients par an pour des séjours de 4 semaines
1 pneumologue sur deux est prescripteur des Cliniques du Souffle
5% du chiffre d’affaires alloué chaque année à la Recherche

MINE D'INFOS: Accès aux données de santé : Leciss publie une le...

MINE D'INFOS: Accès aux données de santé : Leciss publie une le...: Accès aux données de santé :   Des acteurs du monde de la santé réclament une nouvelle écriture de l’article 47 du projet de loi ...

Accès aux données de santé : Leciss publie une lettre ouverte....


Accès aux données de santé :

 Des acteurs du monde de la santé

réclament une nouvelle écriture de l’article 47 du projet de loi de santé.



Dans une lettre ouverte adressée aujourd’hui 4 février 2015, des acteurs du monde de la santé réclament une nouvelle rédaction de l’article 47 du projet de loi de santé qui traite de l’accès aux données de santé.


Ils estiment nécessaire de faire évoluer la rédaction du projet de loi pour se rapprocher du consensus d’acteurs dégagé par la Commission « Open Data » mise en place par la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé au premier semestre de l’année 2014.


Ils estiment qu’il faut résolument mettre en place un système d’accès aux données de santé plus simple, efficace, lisible pour nos concitoyens, soucieux des deniers publics et source d’emplois potentiels.


C’est la raison pour laquelle, ils réclament la relance des travaux de la commission présidée par Franck Von Lennep, directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et de la statistique, et de Philippe Burnel, délégué à la stratégie des systèmes d’information de santé.



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Contacts presse :

- CISS : Marc Paris / 01 40 56 94 42 / 06 18 13 66 95 / mparis@leciss.org
- FNMF : Constance Baudry / 01 40 43 30 21 / constance.baudry@mutualite.fr






 Copie de la lettre ouverte signée par Mme Desclerc Dulac, Présidente du CISS ; Messieurs Caniard, Président de la FNMF ; et Sicard, Président du Comité d’experts de l’IDS.





Madame Marisol Touraine

Ministre des Affaires sociales

et de la Santé

14, Avenue Duquesne

75007 PARIS

Paris, le 04 février 2015



Lettre ouverte



Objet : Accès aux données de santé



Madame la Ministre,

Le projet de loi de santé que vous avez présenté en Conseil des ministres le 15 octobre 2014

vient prochainement en discussion devant l’Assemblée nationale.

Dans son article 47, il contient des dispositions qui portent sur l’accès aux données de santé.

Les signataires de cette lettre ont été surpris de sa rédaction. Pour de nombreuses raisons.

D’abord, parce que le consensus entre les acteurs publics et privés de la santé issu des travaux

de la commission « Open Data », commission que vous aviez vous-même mise en place, a été

écarté au profit d’options qui n’ont jamais été discutées ou approuvées par eux. Nous pensons

que la démocratie, particulièrement quand il s’agit de l’ouverture des données de santé de nos

concitoyens, se grandit à respecter les consensus d’acteurs plutôt qu’à ouvrir des risques de

fracture avec les attentes de la société civile.

Ensuite, le projet de loi conduit à la création d’un système national des données de santé

concentrant à un niveau jamais atteint en France, et même dans le monde, des données à

caractère sanitaire et social de nos concitoyens, y compris des données collectées par des

acteurs privés. Certaines de ces données étant en outre collectées sans le consentement des

personnes.

…/.

…/.

Ce choix a pour conséquence la construction d’un régime particulièrement complexe et

restrictif pour l’accès aux données, loin du consensus d’acteurs évoqué plus haut. Or, nous

sommes nombreux à avoir besoin d’accéder à ces données : pour optimiser la gestion de

l’offre de soins, créer des services innovants ou donner l’alerte, en fonction de nos différentes

missions. Cela contribue au renforcement de l’efficacité des politiques publiques, de la

démocratie sanitaire, de la recherche.

Ce projet de loi n’affirme donc pas de droits nouveaux en matière d’accès aux données pour

tous ceux qui gèrent le système de santé ou qui concourent à une meilleure connaissance en

santé.

Enfin, l’article 47 du projet de loi de santé fait disparaître l’Institut des données de santé (IDS)

tel qu’il existe aujourd’hui. Pourtant, une gouvernance participative, dans laquelle la société

civile est présente, est indispensable dans un tel domaine. Aussi, nous ne pouvons nous

résoudre à la transformation de l’IDS en Institut « national » des données de santé sans

aucune garantie quant à la composition, aux missions et aux moyens de cet institut.

Madame la Ministre, la date de dépôt des amendements devant la commission des affaires

sociales nous laisse deux semaines pour faire émerger un nouveau consensus. Nous croyons

que cela est possible. Nous vous demandons d’en prendre l’initiative.

Nous pensons qu’il faut résolument mettre en place un régime d’accès aux données de santé

plus simple, efficace, lisible pour nos concitoyens, soucieux des deniers publics et source

d’emplois potentiels.

Sous l’égide des co-présidents de la commission « Open Data », Messieurs Von Lennep et

Burnel, si vous acceptiez de leur donner une telle mission, les acteurs publics et privés de la

santé pourraient faire émerger, dans un délai compatible avec l’examen du projet de loi, des

propositions d’amendements conformes au consensus qu’ils ont exprimé au sein de cette

commission et répondant aux buts de simplicité, d’efficacité, de lisibilité et de croissance

évoqués plus haut.

Nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de notre haute considération.

Danièle Desclerc Dulac,

Présidente du CISS

Etienne Caniard,

Président de la FNMF

Didier Sicard,

Président du Comité d’experts

de l’Institut des données de santé

MINE D'INFOS: C'est à lire : nouveautés Larousse en primeur

MINE D'INFOS: C'est à lire : nouveautés Larousse en primeur: NOUVEAUTÉS ANIMAUX – NATURE Avril-Mai 2015 COLLECTION LAROUSSE PRATIQUE - Le guide de la survie douce en pleine nature, par François Co...

C'est à lire : nouveautés Larousse en primeur


NOUVEAUTÉS ANIMAUX – NATURE
Avril-Mai 2015


COLLECTION LAROUSSE PRATIQUE

- Le guide de la survie douce en pleine nature, par François Couplan
Pour vivre en autosuffisance dans les bois… et chez soi ! Passer du temps dans la nature permet d’apaiser le corps et l’esprit et de retrouver une véritable harmonie. Se préparer avant le départ, apprendre à s’orienter, à se nourrir, à trouver de l’eau, à faire du feu… et, de retour chez soi, supprimer le superflu et se concentrer sur l’essentiel.
Mise en vente le 28 avril 2015
Prix : 14,90 €

- L’école des chiots, par Agnès Matthys en partenariat avec la SPA
Une méthode très complète pour apprendre pas à pas les bases et les gestes d’une éducation réussie. L’arrivée du chiot, le chiot dans la famille, l’apprentissage de la propreté, de la solitude, la socialisation, le travail de la gamelle… et la méthode du clicker-training basée sur l’éducation positive.
Mise en vente le 21 avril 2015
Prix : 9,90 €

- Le guide de l’apiculteur amateur, par Alethea Morrison
Toutes les techniques pas à pas pour réussir sa première saison d’apiculture, de l’installation de la ruche à la récolte de miel. Un vrai guide d’initiation pour récolter son premier miel.
Mise en vente le 31 mars 2015
Prix : 12,90 €


COLLECTION MINI LAROUSSE

- Oiseaux de compagnie, par Brigitte Bulard-Cordeau
35 espèces d’oiseaux de compagnie classées par ordre alphabétique : Amazone à front bleu, Bengali rouge, Canari du Harz, Mainate religieux… Pour chaque espèce, l’auteure propose une fiche signalétique qui donne toutes les indications indispensables pour l’identifier : nom, famille, origine, taille, couleur, description…
Mise en vente le 21 avril 2015
Prix : 3,90 €


COLLECTION PETIT LAROUSSE ILLUSTRÉ

- Le petit Larousse de la pêche en eau douce, par Michel Luchesi
On y trouve tous les poissons d’eau douce et une fiche d’identité pour chaque poisson. L’auteur présente l’écologie des milieux aquatiques, le matériel et l’équipement nécessaires, les bons appâts, les amorces et la réglementation de la pêche
Mise en vente le 7 avril 2015
Prix : 22,90 €


HORS COLLECTION

- Petit manuel à l’usage de ceux qui vivent retirés du monde
par Gill Bridgewater – Nouvelle présentation

Savoir trouver le lieu idéal pour vivre à l’écart et vivre en harmonie avec la nature : le potager bio, la maison écologique, les petits élevages (poules, chèvres, avoir une ruche…), travailler à la campagne (les métiers saisonniers, le tourisme rural…). Pour tous les robinsons qui s’ignorent !
Mise en vente le 7 avril 2015
Prix : 19,90€

En savoir plus : Retrouvez tous les titres sur www.editions-larousse.fr

MINE D'INFOS: Objets connectés, avez-vous donc une âme ?

MINE D'INFOS: Objets connectés, avez-vous donc une âme ?: ED ITO Objets connectés, avez-vous donc une âme ? Il existe aujourd'hui 97 000 applications en santé et bientôt peut-être pres...

Objets connectés, avez-vous donc une âme ?

EDITO
Objets connectés, avez-vous donc une âme ?
Il existe aujourd'hui 97 000 applications en santé et bientôt peut-être presque autant de prix pour récompenser les plus performantes.
Nous sommes désormais davantage connectés qu'un taulard en liberté probatoire et le rétrograde docteur Knock serait bien inspiré d'interroger le docteur click pour savoir, finalement, si ça nous grattouille ou si ça nous chatouille.
Notre balance envoie chaque matin des alertes sur l'iphone de notre nutritionniste qui s'assure auprès de notre cardiologue que nous marcherons bien 10 000 pas dans la journée en consultant notre montre qui contrôle en permanence notre fréquence cardiaque, notre tension artérielle, notre glycémie et notre humeur.
Toutes ces mesures sont rassemblées dans un concept si justement nommé le « soi quantifié » qui devrait représenter un marché de quelque 26 milliards de dollars dans moins de 2 ans.
La situation pourrait s'avérer un tantinet anxiogène si n'existaient pas déjà une kyrielle d'applications nous permettant de gérer notre temps de sommeil.
Dire que tant de nos amis sur Facebook s'inquiètent que quelques pans de leur vie privée soient accessibles au tout venant du Web ! Dire que la Commission Informatique et Libertés se préoccupe davantage de la manière dont sont administrés les abonnés à cette newsletter que des conditions dans lesquelles les informations sur leur indice de masse corporelle et la fréquence de leurs rapports intimes vont, via d'autres sites bien sûr, rejoindre le big data.
Avec la e-santé, les interrogations éthiques sur l'Arlésienne qu'est devenu le Dossier Médical Personnel sont aussi drolatiques aujourd'hui que celles de ce vieil Alphonse Lamartine sur le statut des objets inanimés au XIXe siècle.
Jacques DRAUSSIN
Précédant la Journée mondiale contre le cancer, Marisol Touraine se rend aujourd'hui à Bordeaux. Elle visite ce matin l'entreprise de biotech Poietis et cet après-midi le Centre Régional de Lutte contre le Cancer du Sud-Ouest.

ACTUEXPRESS
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Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com


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MINE D'INFOS: Une mère de famille tue son fils handicapé mental...

MINE D'INFOS: Une mère de famille tue son fils handicapé mental...: « Rouen, 2 fév 2015 (AFP) - Une mère de famille a tué son fils handicapé mental, près de Rouen, avant de prévenir les autorités, auxq...

Une mère de famille tue son fils handicapé mental

« Rouen, 2 fév 2015 (AFP) - Une mère de famille a tué son fils handicapé mental, près de Rouen, avant de prévenir les autorités, auxquelles elle a expliqué que la victime était en proie à des crises de violences, ont indiqué lundi les gendarmes de Seine-Maritime. »


REACTION DE L'UNAPEI

Combien de drames devrons-nous compter pour que la France mette fin aux situations critiques de milliers de familles d'enfants handicapés condamnées à l'exclusion et l'isolement ?
L'Unapei est horrifiée de constater encore une fois l'échec de notre société qui laisse des familles en souffrance commettre l'irréparable.
Qui est responsable de l'acte de désespoir de cette mère

Faute de solution d'accueil, de très nombreuses personnes handicapées sont contraintes de rester au domicile de leurs parents. C'est pourtant un droit fondamental qui leur est reconnu par la loi. En 2013, l'Unapei, aux côtés de la famille Loquet, dont la fille Amélie jeune adulte atteinte du syndrome de Prader-Willi, de troubles autistiques et de troubles envahissants du développement n'avait pas de solution d'accueil depuis plus d'un an, a obtenu la condamnation de l'Etat dans une procédure d'urgence pour défendre le droit a?? compensation et le droit a?? la vie pour les personnes handicapées.
Cette décision de justice aurait dû assurer l'effectivité des droits des personnes handicapées. Elle constituait un article qui s'ajoutait à la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen, et un espoir pour l'ensemble des personnes handicapées et leurs familles.

Malgré la mise en place par le gouvernement d'un dispositif de gestion des situations critiques après « l'affaire Loquet », la situation ne s'est pas améliorée.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : la CNSA déclarait fin octobre 2014 que seules 1/3 des situations dont elle a eu connaissance ont été résolues.

« Les familles sont abandonnées à un destin inacceptable que nul être humain ne peut supporter sans songer à commettre l'irréparable. L'Unapei demande l'application stricte du droit à compensation. Les lois bafouées conduisent à des existences amputées, et c'est indigne d'une société fraternelle fondée sur la déclaration universelle des droits de l'homme. » déclare Christel Prado, présidente de l'Unapei.

À propos de l'Unapei :
Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis.
Créée en 1960, l'Unapei est la première association française représentant et défendant les intérêts des personnes handicapées mentales et de leurs familles. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres. L'Unapei est un mouvement national qui fédère 550 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).
L'Unapei en chiffres :
· 180 000 personnes handicapées accueillies
· 60 000 familles adhérentes des associations affiliées
· 3 100 établissements et services spécialisés
· 80 000 professionnels employés dans les associations et les établissements
Plus d'informations sur : www.unapei.org

Contact presse : Coralie Beylot - 01 44 85 50 83 - c.beylot@unapei.org

Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : 2015_02_02Homicide.pdf


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