Nora ANSELL-SALLES

mercredi 26 novembre 2014

Santé dentaire : la Mutualité Française s’engage pour des soins accessibles et de qualité



 Les centres dentaires mutualistes participent au Congrès de l’Association Dentaire Française, du 26 au 29 novembre 2014 à Paris. C’est l’occasion de rappeler l’engagement de la Mutualité Française pour des soins accessibles et de qualité, alors que près d’un Français sur cinq a renoncé à des soins dentaires pour des raisons financières[1]. L’assurance maladie ne remboursant plus que 18 % des prothèses dentaires, la Mutualité Française poursuit l’objectif de diminuer le reste à charge des patients, via notamment ses centres dentaires et ses réseaux de soins.




 

Les centres dentaires mutualistes en 5 chiffres clés

460 centres dentaires mutualistes répartis dans 80 départements

1700 chirurgiens dentistes

1700 assistants dentaires

1200 fauteuils dentaires

45 laboratoires de prothèses dentaires

 

DES SOINS DENTAIRES ACCESSIBLES

Les 460 centres dentaires mutualistes pratiquent le tiers payant, permettant aux patients de ne pas avancer leurs frais de soins. Ils veillent à avoir une politique tarifaire calculée au plus juste, afin de maîtriser le reste à charge des patients.

 

Dans les zones urbaines où sont massivement pratiqués les dépassements d’honoraires, ils proposent des soins à des tarifs plus accessibles notamment sur la prothèse et l’orthodontie. Le prix d’un acte de prothèse dentaire dans un centre de santé mutualiste est ainsi de 18 % inférieur à celui pratiqué par les chirurgiens-dentistes libéraux. Pour une couronne (SPR 50), l’économie est de 12 %[2].

 

Les centres mutualistes contribuent à maintenir une offre de soins bucco-dentaire dans beaucoup de zones frappées par une désertification médicale croissante.

 

A côté des centres de santé, les mutuelles ont également constitué des réseaux de soins avec des chirurgiens-dentistes pour proposer aux patients des soins de qualité à un tarif négocié. Le reste à charge moyen pour une couronne céramo-métallique s’élève ainsi à 97 € au sein d’un réseau, contre environ 300 € en dehors[3].

 

UNE GARANTIE DE QUALITE

La qualité des soins est au cœur de l’engagement de la Mutualité Française. Les centres dentaires et les chirurgiens-dentistes membres des réseaux de soins se sont ainsi engagés à respecter un certain nombre de critères de qualité, sur la base d’un référentiel validé par la Haute Autorité de Santé.

 

Les centres dentaires sont parties prenantes de la transformation de l’organisation des soins, garante d’un haut niveau d’hygiène et de stérilisation des outils, avec notamment la présence systématique d’assistants auprès des chirurgiens dentaires. Ils sont également pionnier dans la révolution technologique du secteur, notamment grâce aux laboratoires dentaires mutualistes dotés des équipements les plus en pointe (imprimante 3D, …). Des expérimentations sont également en cours afin d’évaluer l’apport des nouveaux systèmes d’empreinte optique qui vont faire basculer les pratiques dentaires dans le monde digital.

 

La qualité de ces soins est reconnue par les patients. D’après le baromètre des centres de santé mutualistes, 97 % sont satisfaits des soins qu’ils y ont reçus. Ils apprécient particulièrement la qualité des professionnels de santé, la pratique du tiers payant et la proximité géographique des centres.

 NDLR : MGEFI et offre dentaire

Des prestations optimales pour assurer les soins dentaires de vos enfants                                 
  • Evolution de la Convention nationale dentaire                               
  • mgefi.fr : zoom sur votre espace Conseils et orientation                                
  • Couleurs MGEFI Novembre 2014                                
  • Le conventionnement dentaire pour les prothèses fixes                                
  • F.A.Q. Santé                               
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  • Internet                               
  • Prémi                               
  • Prémi Santé                                


  • À propos de la Mutualité Française
    Présidée   par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des   mutuelles santé en France, soit 450 mutuelles. Six Français sur dix sont   protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions   de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

    Les   mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après   la Sécurité sociale. Ce sont des sociétés de personnes à but non lucratif :   elles ne versent pas de dividendes. Régies par le code la Mutualité, elles ne   pratiquent pas la sélection des risques.

    Les   mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une   action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers   près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes :   établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et   d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes   âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs   adhérents tout au long de leur vie, elles mettent à leur disposition Priorité   Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de   soutien sur des questions de santé.

    La   Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la   santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et   d’accompagnement.
     
                                  
    Contacts   presse :
     
    Constance   BAUDRY / constance.baudry@mutualite.fr

    Christelle   CROS /christelle.cros@mutualite.fr


     

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    MINE D'INFOS: C'est à lire : Evelyne Delicourt journaliste sort...:     EVELYNE DELICOURT LES CHATS FLEURS GAURA ET NARCISSE       Nous ne mangeons pas dans une écuelle en arg...

    C'est à lire : Evelyne Delicourt journaliste sort deux charmants contes pour les enfants


     
     
    EVELYNE DELICOURT

    LES CHATS FLEURS

    GAURA ET NARCISSE
     
     
     
    Nous ne mangeons pas dans une écuelle en argent, nous n’avons pas d’Ipad comme Choupette la chatte de Carl. Mais nous sommes heureux de faire partie de la tribu des onze chats que Ombelline a recueilli. Elle nous a donné à chacun un nom de fleurs.

    Dans le premier conte, Narcisse, beau chat roux libre, rêveur mais ayant les pattes sur terre, vous raconte sa vie dans le jardin extraordinaire, ses rencontres avec la belle Duchesse, sa partie de golf…

    Dans le second livre, Gaura, chatte noire angora mystérieuse et fière vous narre d’autres aventures avec Léone la hérissonne, Pétronille la chèvre, Mattéo l’escargot, Chantal la cigale.

     
    Contes pour enfants

    NARCISSE 8 euros   GAURA  8 euros

    Port pour 1 livre 1,22  € 2 livres 2,00   3 livres 2,76 

    4 livres 4,00 €

     Pour une commande de 45 euros port gratuit

     

    À commander en librairie, sur Amazone ou aux Plumes d’Ocris www.editionplumesdocris.fr  (carte bleue)

     Ou directement (chèque) à l’auteure Evelyne Delicourt

    22 rue du Général Bertrand

    75007 Paris

    Pensez à donner les prénoms des enfants pour une dédicace personnalisée

     

    MINE D'INFOS: Idée décoration sapin de Noël pour les enfants

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    mardi 25 novembre 2014

    MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?

    MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?:   Argus presse   Titre : Optistya lance son appel d'offre pour renouveler son réseau, qui devient ouvert L'appel ...

    Quoi de neuf à la MGEFI ?

     
    Argus presse
     
    Titre : Optistya lance son appel d'offre pour renouveler son réseau, qui devient ouvert
    L'appel à candidature a été ouvert hier 17 novembre et se poursuivra jusqu'à la fin de l'année. Mention de la MGEFI.
    A lire dans opticien-presse.fr ( 19 novembre 2014)
     
    Titre : Le top 30 de la mutualité 2014 (Chiffres 2013 HT, en M€)
    Les mutuelles s’organisent pour amortir au mieux le choc de l’ANI, qui se traduira pour beaucoup d’entre elles par des transferts de portefeuille conséquents. Elles multiplient les actions tant en matière de distribution et de partenariats, que de communication ou de diversification. Mais l’exercice s’annonce délicat, voire même périlleux, car le positionnement massif des acteurs de toutes les familles de la complémentaire santé sur l’assurance collective va exacerber la concurrence et rogner les marges. Mention de la MGEFI dans le top 30 de la mutualité 2014 (Chiffres 2013 HT, en M€) la MGEFI au 18ème rang.
    A lire dans www.argusdelassurance.com ( 21 novembre 2014)
     
    Titre : Le top 30 des mutuelles par niveau de solvabilité 2014
    Le top 30 des mutuelles par niveau de solvabilité 2014 Les mutuelles s’organisent pour amortir au mieux le choc de l’ANI, qui se traduira pour beaucoup d’entre elles par des transferts de portefeuille conséquents. Elles multiplient les actions tant en matière de distribution et de partenariats, que de communication ou de diversification. Mais l’exercice s’annonce délicat, voire même périlleux, car le positionnement massif des acteurs de toutes les familles de la complémentaire santé sur l’assurance collective va exacerber la concurrence et rogner les marges. Mention de la MGEFI dans le top 30 des mutuelles par niveau de solvabilité 2014 MGEFI au 24ème rang.
    A lire dans www.argusdelassurance.com ( 21 novembre 2014 )
     
    Titre : Classement des groupements 2014
    Reprise du classement faisant apparaître la MGEFI Mention de la MGEFI Le top 30 de la mutualité 2014(Chiffres 2013 HT, en M€)la MGEFI est au 18ème rang et au 24ème rang par niveau de solvabilité 2014
    A lire dans www.argusdelassurance.com ( 21 novembre 2014)
     
    Titre : Classement
    Le top 30 de la mutualité 2014 Mention de la MGEFI dans le top 30 de la mutualité 2014 (Chiffres 2013 HT, en M€)la MGEFI est au 18ème rang et au 24ème rang par niveau de solvabilité 2014.
    A lire dans www.argusdelassurance.com ( 24 novembre 2014)
     
    Titre : Quel équipement au meilleur prix ?
    La correction de la déficience auditive est un des soins laissant le plus de reste à charge aux patients. De ce fait, trop peu de personnes malentendantes s'équipent, ce qui n'est pas sans risque. Voici nos pistes pour gagner en confort et qualité de vie, sans payer le prix fort.
    Dans le classement des 6 principaux réseaux d'audioprothésistes des complémentaires santé, Audistya dont la MGEFI est partenaire au sein du groupe Istya est le réseau le plus fort avec 2 900 audioprothésistes et un tarif moyen de 3 160 euros pour deux appareils et un complément de prise en charge de 100 à 150 euros selon le quotient familial (Pour les contrats MGEN ).
    A lire dans LE PARTICULIER ( DEC 14 )
     
    Titre : Le top 30 de la mutualité 2014
    Reprise du classement du Top 3O présenté plus haut
    A lire dans L'ARGUS DE L'ASSURANCE ( 21 NOV 14 )

    lundi 24 novembre 2014

    MINE D'INFOS: Anne-Marie Cozien - administratrice provisoire - d...

    MINE D'INFOS: Anne-Marie Cozien - administratrice provisoire - d...: Jeudi 4 décembre à 09h30 , Anne-Marie Cozien - administratrice provisoire - et l'équipe dirigeante de la LMDE, convient les journalis...

    Anne-Marie Cozien - administratrice provisoire - de la LMDE donne une conférence de presse le 4 décembre 2014


    Le 4 décembre dernier, Anne-Marie Cozien - administratrice provisoire - et l'équipe dirigeante de la LMDE, ont organisé  une conférence de presse au siège de la mutuelle étudiante.

     




    Retour sur les temps forts de la conférence


     
    La  conférence de presse a permis à Anne-Marie Cozien de revenir sur les événements intervenus depuis le 24 octobre dernier, date à laquelle le Conseil d’administration de la MGEN a officiellement renoncé d’adosser l’appareil de production LMDE.

    Précisions

    Les négociations avec la CNAMTS sur le transfert de la gestion du RO ont démarré dès que la LMDE a été officiellement informés de la décision de la MGEN. Ces dernières se déroulent dans le contexte peu favorable:

     - du changement de gouvernance au sein de la CNAMTS avec la nomination toute fraîche

    de Nicolas REVEL, son Directeur général,

    - et celui de la négociation du Contrat Pluriannuel de Gestion 2014 / 2017.

     

    Deux objectifs majeurs pour la LMDE:

    • Le transfert des personnels LMDE vers la CNAMTS.

    • La révision du cadre d’attribution des remises de gestion tant sur le poids des activités spécifiques des mutuelles étudiantes que sur le taux de réalisation qui pourra être conservé, post-transfert par LMDE.

     

    En tenant compte des évolutions de l’environnement des mutuelles étudiantes :

    • Le projet de loi de la Sénatrice, Mme PROCACCIA, visant à renvoyer les étudiants vers le régime général des parents et donc, à supprimer les mutuelles étudiantes.

    • Les évolutions en termes de dématérialisation des inscriptions universitaires qui génèrent nécessairement des conséquences sur l’affiliation à la sécurité sociale étudiante.

    • La montée en puissance de l’ANI dont les assurés de régime de sécurité sociale déléguée sont exclus (fonction publique et étudiants).

     

    Pour Anne-Marie Cozien l'avenir repose aujourd'hui sur :

    • La capacité des mutuelles étudiantes à regagner la confiance des étudiants et de leurs parents.

    • Les activités liées au RO qui évolueront nécessairement et devront être mises au profit du développement des activités de complémentaires santé et de nouveaux services à apporter aux jeunes.

     

    La LMDE pour assurer sa pérennité doit assurer sa solvabilité:

    Il faut rappeler que créée sans fonds propres positifs, et ayant enregistré des résultats négatifs sur plusieurs années, la LMDE subit aujourd’hui le handicap de son mode de construction.

    • La LMDE va se tourner vers ses créanciers initiaux, pour parvenir à une sortie de substitution.

     

    Le développement de la LMDE une nécessité absolue :

    • La possibilité d’élargir ses statuts à la catégorie « des jeunes » (16-28 ans) en plus des étudiants est envisagée, ainsi que les produits et les services à proposer à ce public.

    • La LMDE aura besoin de s’appuyer sur des partenariats adaptés.

    Toutes ces nouveaux enjeux interviennent hélas dans l’urgence. Le pari  et de taille...

    Mais de nouvelles discussions avec la MGEN sont prévues dès la semaine prochaine.

     

    La LMDE sur tous les fronts

    La LMDE vient de lancer une nouvelle une nouvelle campagne d’affichage « LMDE, la passion de l’avenir ».

    avec trois nouvelles affiches mettent en scène des étudiants et étudiantes ayant des projets ambitieux et passionnants, tout comme la LMDE.

     

    • Les solutions LMDE de prise en charge à l’international et les différents guides pour préparer son voyage pour les étudiants qui partent à l’étranger pour un stage ou des études (affiche n°1 « Julie »)

    • La Couverture Etudiant Etranger et l’accompagnement en langues étrangère pour les étudiants étrangers (affiche n°2 Djeynaba)

    • L’accompagnement pédagogique avec Réussite Bac pour les lycéens (affiche n°3 « Erwan »)

     

    Ces affiches sont destinés accueils et aux établissements


    Contact :Alexandra Richert
    RPpublics
    alexandra.richert@rppublics.com

    MINE D'INFOS: Florilège d'infos santé signées Gérad Bieth

    MINE D'INFOS: Florilège d'infos santé signées Gérad Bieth: Newsletter réalisée par Gérard Bieth  - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos c...

    Florilège d'infos santé signées Gérad Bieth


    Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale

    Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le (
    gerard@annuaire-secu.com)
     
    Florilège reproduit avec l'aimable autorisation de Gérad BIETH

    TIC santé - e-administration - services publics

    Seconde phase de déploiement de la DSN avec un périmètre élargi à de nouvelles déclarations sociales

    19/11/14 - La déclaration sociale nominative (DSN) permettra de simplifier les démarches des entreprises en remplaçant la quasi-totalité des déclarations sociales issues de la paie.

    Elle sera obligatoire à partir du 1er janvier 2016 mais d'ores et déjà la " phase 2 " de déploiement progressif  de la DSN a commencé. Le décret n° 2014-1371 du 17 novembre (JO du 18/11) vient encadrer cette nouvelle étape destinée notamment à étendre le périmètre de la DSN à de nouvelles déclarations sociales. Outre les modalités de mise en œuvre de la DSN, le décret vient également modifier le traitement de données nominatives relatif à cette déclaration. Les dispositions du décret sont applicables aux employeurs établis en métropole et dans le DOM de personnel salarié ou assimilé (à l'exclusion des particuliers employeurs), ayant recours à la DSN, qui ont versé pour l'année 2013 un montant égal ou supérieur à 2 millions d'€ de cotisations ou contributions sociales ou à 1 million d'€ lorsqu'ils ont recours à un tiers déclarant agissant pour un volume de cotisations ou de contributions égal ou supérieur à 10 millions d'€.

    Dans le cadre de la seconde phase de mise en œuvre de la déclaration sociale nominative, le décret élargit le nombre de déclarations des employeurs auxquelles la DSN se substitue au bordereau récapitulatif des cotisations et contributions sociales ; au tableau récapitulatif utilisé pour la régularisation des cotisations sociales de l'année civile ; à la déclaration des effectifs auprès des organismes du recouvrement compétents pour le régime général de sécurité sociale ; au relevé mensuel des contrats de travail temporaires ; aux attestations de salaires pour l'Assurance maladie au titre des AT/MP.
    En outre, le régime des déclarations des événements est simplifié pour le calcul des indemnités journalières de sécurité sociale et pour les fins de contrat de travail des CDD d'usage ainsi que pour les entreprises de travail temporaire et les associations intermédiaires. L'entrée en vigueur est immédiate sauf pour la substitution de la déclaration des effectifs qui nécessitera un arrêté.


     

    Agenda

    "Prévenir et accompagner les déficiences auditives et visuelles".
    Premier colloque de prévention du groupe Istya  vendredi 28 novembre 2014 Le colloque est en entrée libre mais il faut s'y inscrire pour bénéficier du repas et de la participation a l'un des ateliers.
     Le programme sur le blog Mine d'infos
    Le groupe Istya est une union mutualiste de groupe (UMG), créée en mai 2011, rassemblant le groupe MGEN, la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT), la Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie (MGEFI), la Mutuelle Générale Environnement et Territoires (MGET), la Mutuelle Civile de la Défense (MCDef) et la Mutuelle des Affaires Etrangères et Européennes (MAEE).
    Elections des représentants du personnel aux conseils des caisses d'assurance maladie du régime général
    La date de l'élection des représentants du personnel, initialement prévue le 11 décembre 2014, est fixée au 22 janvier 2015 - Arrêté du 13 novembre 2014 modifiant l'arrêté du 27 octobre 2014, JO du 22/11/14

     

    L'escroquerie de la semaine

    Polémique sur la maladie de Lyme : prison avec sursis pour deux "lanceurs d'alerte" - Le dossier sur le site de l'association Lyme Sans Frontières, 20 novembre 2014

    Deux professionnels de santé, partisans de méthodes alternatives de détection et de traitement de la maladie de Lyme, soutenus par des milliers de patients, ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Strasbourg à neuf mois de prison avec sursis pour "escroquerie" à l’assurance maladie et "exercice illégal de la pharmacie".
    "J'ai mis le doigt sur une anomalie, ça dérange", a commenté Viviane Schaller, reconnue coupable d'avoir, dans son laboratoire d'analyses biologiques, appliqué pendant des années un protocole de dépistage de la maladie non homologué par les autorités sanitaires - car les protocoles officiels sont, selon elle, inadaptés et ne permettent de détecter qu'une très faible proportion des cas. Elle devra rembourser 280 820 euros à la CPAM pour le remboursement des tests incriminés. "Dans cette histoire, le sort des malades, on s'en fiche, et a c'est scandaleux !", a ajouté cette diplômée en pharmacie, qui a annoncé à des milliers de patients, dans toute la France, qu'ils étaient porteurs de la maladie, alors que les tests "officiels" affirmaient le contraire. "Il y a en France une sous-estimation dramatique de cette maladie", a déclaré à la barre le Pr Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital universitaire Raymond Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine) et membre du Haut conseil de la santé publique. Les tests de détection "ont été calibrés il y a 30 ans de manière à ce que cette affection soit rare (…) et on n’est jamais revenu sur ce dogme", a-t-il déploré. Des lanceurs d'alerte condamnés comme de simples escrocs. La question se règlera peut-être en cour d'appel.


    Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 627 du 16 novembre 2014


     

    MINE D'INFOS: 1 Français sur 3 sera concerné par un incendie au ...

    MINE D'INFOS: 1 Français sur 3 sera concerné par un incendie au ...: Loi Morange Assystel prend les devants et présente DAF, le détecteur de fumée connecté !   Paris, le 18 novembre 2014 - Le 8...

    1 Français sur 3 sera concerné par un incendie au cours de sa vie...

    Loi Morange

    Assystel prend les devants et présente DAF, le détecteur de fumée connecté !

     

    Paris, le 18 novembre 2014 - Le 8 mars 2015 entrera en vigueur la loi N°2010-238 dite « Loi Morange » rendant obligatoire l’installation d’au moins un détecteur de fumée par logement. Afin de répondre à cette demande, Assystel, le spécialiste français de téléassistance, propose un nouveau type de détecteur : DAF, le détecteur de fumée connecté !

    1 Français sur 3 sera concerné par un incendie au cours de sa vie[1]
    (soit 1 incendie domestique toutes les 2 minutes en France).

     

    Déjà très concernée par la problématique des accidents domestiques chez les seniors et souhaitant répondre toujours plus à leurs besoins, Assystel complète désormais son offre avec DAF, un détecteur de fumée qui à la particularité d'être connecté 24h/24 et 7j/7 à son centre d'assistance. 

    DAF : le dernier né d’une famille d’objets connectés qui sauvent des vies !

    D’ici le 8 mars 2015, tous les foyers français devront être équipés de Détecteurs Autonomes Avertisseurs de Fumée.

    Protégeant déjà plus de 20 000 personnes grâce à Framboise son bijou connecté de téléassistance et Vital le détecteur de chute tout aussi connecté, Assystel a souhaité aller plus loin dans la sécurisation et le soutien à domicile des personnes âgées.

    Après Framboise et Vital, Assystel propose le petit dernier de la famille, DAF, un détecteur de fumée connecté, conforme à la norme EN 14604 et Radio Classe 1, co-conçu avec un spécialiste français de la détection automatique d’incendie.

    En proposant ce détecteur qui alerte automatiquement son centre d’assistance, Assystel apporte aujourd’hui une sécurité supplémentaire et unique à ses abonnés.


    Un dispositif de détection de fumée adapté aux personnes âgées

    En cas d’incendie, le premier réflexe est de quitter les lieux, encore faut-il le pouvoir… En effet, il est plus difficile pour une personne qui est alitée ou qui éprouve des difficultés à se déplacer d’évacuer rapidement son logement ou de prévenir les secours.
    Sans comptez que celles atteintes de troubles de l'audition ne pourraient peut être tout simplement pas entendre le détecteur sonner...

    Selon les statistiques provenant des pays ayant déjà rendu les détecteurs de fumée obligatoires, cette obligation a permis de réduire de 50% le nombre de décès en cas d’incendie.

    Il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin car il est important pour les personnes âgées, plus vulnérables de pouvoir également « connecter » leur détecteur afin d’être prises en charge rapidement en cas d’incendie. Et c’est justement l’avantage que propose celui d’Assystel !

    Le fonctionnement est simple : au moindre départ de fumée, quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, DAF, le détecteur de fumée connecté se met à sonner et envoie automatiquement une alarme au centre d’assistance d’Assystel basé en Champagne-Ardenne. Les opératrices mettent alors tout en œuvre pour secourir la personne dans les plus brefs délais.


    [1] Source : Ministère de l’écologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer

    A propos d’Assystel

    Créée en 1977, Assystel est un acteur historique sur le marché français de la téléassistance. Implantée dans les Ardennes et en Essonne, c’est une des rares entreprises à maitriser toutes les étapes de son métier : conception, fabrication, commercialisation et mise en service du matériel, réception des appels 365 jours par an et 24h24.

    A la présidence de l’entreprise, Jean-Paul PETIT et à la Direction Générale, Alexis ROCHE.

    En 2014, Assystel devient partenaire exclusif du Club Avantages GMF.

    Assystel en chiffres :
    Une centaine de collaborateurs en France métropolitaine et en Guadeloupe, Guyane et Martinique.
    20 000 abonnés en France Métropolitaine
    3000 installations par an
    5000 chutes traitées par an
    3,5 millions d’euros de CA en 2013
    Site internet : www.assystel.fr

     

    Marion DESHAYS

    Cabinet ESCAL Consulting

    Tél : +33 (0)1 44 94 95 73

    Fax : +33 (0)1 44 94 95 61

     
      

    vendredi 21 novembre 2014

    MINE D'INFOS: Insuffisance rénale chronique terminale: comment a...

    MINE D'INFOS: Insuffisance rénale chronique terminale: comment a...: Dans un contexte d’augmentation du coût de la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique terminale, la HAS et l’Agence de la bi...

    Insuffisance rénale chronique terminale: comment améliorer l'efficience de la prise en charge ?


    Dans un contexte d’augmentation du coût de la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique terminale, la HAS et l’Agence de la biomédecine ont modélisé les possibilités de changement dans la trajectoire de soins des patients et évalué leurs conséquences d’un point de vue clinique et économique. Elles publient leur rapport qui confirme que le développement de la transplantation rénale dans tous les groupes d’âge est une stratégie efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées. Au-delà de la transplantation, limitée par le nombre de greffons, les travaux montrent  qu’il est possible de faire évoluer la place des différentes modalités de traitement en développant la dialyse hors centre. Et qu’il existe plusieurs stratégies de dialyse alternatives, moins chères que la situation observée pour une efficacité équivalente.  

    L’insuffisance rénale chronique (IRC) est une maladie des reins d’évolution silencieuse : progressivement, la fonction de filtration des reins se détériore et peut évoluer vers un stade terminal (IRCT) nécessitant la mise en place d’un traitement de suppléance par dialyse ou transplantation rénale. Les dix modalités de traitement de l’IRCT prises en compte dans l’évaluation sont :
     

    • l’hémodialyse : en centre, en unité de dialyse médicalisée (UDM), en unité d’autodialyse, à domicile ;
    • la dialyse péritonéale : dialyse péritonéale automatisée (DPA) et dialyse péritonéale continue ambulatoire (DPCA), assistée ou non assistée par une infirmière sur le lieu de vie ;
    • la transplantation rénale (greffe) à partir de donneur décédé ou vivant.


    En France, du fait d’une augmentation régulière du nombre de patients, le coût de l’IRCT ne cesse de croître. Par ailleurs, les importantes disparités qui existent d’une région à l’autre dans le recours aux différentes modalités de traitement montrent qu’il existe des marges de manœuvre. La Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) et la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) ont saisi la Haute Autorité de Santé (HAS) et l’Agence de la biomédecine pour conduire une évaluation médico-économique des stratégies de prise en charge des patients en IRCT.
    L’objectif était d’évaluer les conséquences d’un point de vue clinique et économique de modifications dans les trajectoires de soins des patients entre les différentes modalités de traitement, en tenant compte des possibilités d’évolution par rapport à la situation observée et sans remettre en cause la liberté de choix des patients de leur modalité de traitement.



    Un travail en 3 étapes : revue de la littérature, réalisation d’une étude de coût et mise en place d’un modèle novateur
    Dans le cadre de leur partenariat, la HAS et l’Agence de la biomédecine, avec l’appui d’un groupe de travail pluridisciplinaire et multiprofessionel associant des représentants des patients, ont d’abord procédé à une analyse de la littérature, réalisé une étude de coût pour ensuite mener une évaluation médico-économique.
    Dans une première étape, la revue de la littérature internationale a fourni un état des connaissances sur l’évaluation médico-économique de la prise en charge de l’IRCT. Elle a également mis en évidence l’importance de conduire un travail à part entière sur l’analyse des possibilités de développement de la transplantation rénale en France qui a fait l’objet d’un volet spécifique publié en 2012.
    Dans une deuxième étape, une étude de coût a permis d’analyser les différences selon les modalités de traitement (prise en considération du lieu de prise en charge et de l’environnement médical et paramédical et non uniquement de la technique de traitement), les facteurs de variation liés aux caractéristiques cliniques des patients (âge et statut diabétique) et la position des patients dans la trajectoire de soins (démarrage du traitement, changement de traitement, décès). Elle a été réalisée à partir de l’analyse des données du système d’information de l’Assurance maladie. A titre d’exemple, elle montre que le coût moyen mensuel de traitement d’un patient avec une « prise en charge stable[1] » est de 7253€/mois pour l’hémodialyse en centre et de 4377€/mois pour l’autodialyse. Pour la dialyse péritonéale, le coût de la DPA assistée est de 5744€/mois et celui de la DPCA non assistée de 3774€/mois.
    Enfin, la dernière étape a consisté en une évaluation médico-économique des différentes stratégies de prise en charge fondée sur une approche par trajectoire. Ce travail a nécessité de développer un modèle permettant de prendre en compte les différentes modalités de traitement reçues au cours du temps par les patients depuis le démarrage du traitement de suppléance ainsi que les données de coûts associées à ces différentes modalités . Il a permis de simuler des changements de trajectoire des patients dans dix modalités de traitement et ainsi d’évaluer les conséquences en termes de coût et d’efficacité (espérance de vie) de différentes stratégies de prise en charge pour 6 groupes de patients : 18-44 ans, 45-69 ans et 70 ans et plus, et selon le statut diabétique.

    Partant de la place importante de l’hémodialyse en centre dans les trajectoires des patients relevées dans les données du registre REIN
    [2], et considérant qu’une partie des patients pouvaient être pris en charge différemment sans perte de chance, l’évaluation a voulu déterminer l’impact médico-économique de stratégies alternatives définies selon 4 axes : développement de la transplantation rénale ; développement de la dialyse hors centre ; préférence des patients pour des traitements qui favorisent leur autonomie et prise en charge à proximité du domicile des patients.

    La transplantation rénale efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées
    Dans tous les groupes d’âge, le développement de la transplantation rénale est une stratégie efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées. Dans le premier volet de leur travail, la HAS et l’Agence de la biomédecine préconisaient dès 2012 plusieurs pistes : développer la transplantation rénale à partir de donneurs décédés grâce à l’amélioration du recensement des donneurs, diminuer  le taux de refus et élargir le cercle de donneurs potentiels ; développer la transplantation à partir de donneurs vivants ; renforcer le suivi au long cours des donneurs et receveurs ; attribuer les greffons disponibles en tenant compte des exigences d’efficacité et d’équité.

    La rareté des greffons a justifié d’évaluer l’impact médico-économique de stratégies de dialyse avec des choix différents des pratiques observées à partir des données du registre REIN et en explorant plusieurs pistes : développer l’autonomie, la proximité de l’offre par rapport au domicile et la diversité des modes de prise en charge.


    Des stratégies alternatives différentes selon les groupes d’âge.
    Par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées, certaines sont efficientes : c’est le cas des stratégies fondées sur le développement conjoint de l’hémodialyse hors centre et de la dialyse péritonéale dans les trajectoires des patients de plus de 45 ans.
    Par ailleurs, par rapport à la stratégie de prise en charge observée, la plupart des stratégies alternatives évaluées apparaissent comme aussi efficaces et moins coûteuses :
    •           chez les patients d’âge intermédiaire (45-69 ans), les stratégies fondées sur le développement de la dialyse péritonéale non assistée au démarrage du traitement de suppléance suivi par l’hémodialyse en autodialyse ou en UDM dans les trajectoires des patients.
    •           chez les patients de plus de 70 ans, les stratégies fondées sur le développement de la dialyse péritonéale assistée au démarrage suivi par l’hémodialyse en UDM dans les trajectoires des patients.
    •           chez les patients jeunes (de moins de 45 ans), l’impact du développement des stratégies de dialyse est limité dans la mesure où ils vivent la plupart du temps avec un greffon fonctionnel.

    L’étude de coût qui a permis d’alimenter le modèle devra faire l’objet d’une actualisation régulière par l’Agence de la biomédecine et la Cnamts. Par ailleurs, l’outil de modélisation élaboré pour cette étude a vocation à être développé et pourra servir de socle à des études plus fines conduites au niveau régional. Les résultats pourront être utilisés par la DGOS et les ARS dans un objectif d’amélioration de l’adéquation entre les besoins de santé et l’offre de soins.


     
     
    [1] Une prise en charge stable correspond à un patient qui est resté au moins 9 mois dans la même modalité de traitement durant la période de l ‘étude.
    [2] REIN est le registre français des traitements de suppléance de l’IRCT basé à l’Agence de la biomédecine.

     


     



    Retrouvez les documents de la HAS et de l’Agence de la biomédecine en cliquant ici
    Retrouvez le volet 1 sur le développement de la transplantation rénale en cliquant ici

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    Les personnes vivant avec le VIH face aux discriminations en France métropolitaine

    Les personnes vivant avec le VIH, c’est-à-dire séropositives, ont accès en France à des traitements antirétroviraux qui contrôlent l’infection et devraient leur assurer une vie normale. Ce n’est pourtant pas le cas. Utilisant les données de l’enquête nationale représentative ANRS-VESPA2 menée en 2011, Élise Marsicano, Rosemary Dray-Spira, France Lert et Christine Hamelin décrivent les discriminations auxquelles ces personnes font face, que ce soit au travail, chez le médecin ou à l’hôpital, en famille, et distinguent celles liées à leur séropositivité de celles liées à d’autres motifs.

    Un quart des personnes séropositives vivant en France déclarent avoir subi des discriminations au cours des deux années précédentes. Le principal motif de discrimination est la séropositivité elle-même (13 % des personnes vivant avec le VIH). Viennent ensuite la couleur de peau, les origines ou la nationalité, ainsi que l’orientation sexuelle (5 % des personnes pour chacun de ces motifs). Les femmes séropositives immigrées d’Afrique subsaharienne et les usagères de drogue sont les plus nombreuses à témoigner de discriminations (près de 4 sur 10) tandis que les hommes séropositifs hétérosexuels non immigrés d’Afrique subsaharienne forment le groupe le moins concerné  (un peu plus d’un sur dix déclare des discriminations). Onze pourcent des personnes séropositives rapportent avoir subi des traitements discriminatoires au sein de la famille et 8 % dans les services de santé. Parmi les personnes qui travaillaient lors de l’enquête, soit la moitié de l’échantillon, 6 % rapportent des discriminations au travail. 


    Auteur-e-s : Élise Marsicano*, Rosemary Dray-Spira*, France Lert*, Christine Hamelin** et le groupe ANRS-Vespa2
    *Inserm U1018, Villejuif
    **Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yveline







     
     
     
     
     


     
     

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    MINE D'INFOS: Contrat responsable: les complémentaires santé dén...: La publication du décret sur le contrat responsable : les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité Les familles de co...

    Contrat responsable: les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité


    La publication du décret sur le contrat responsable :
    les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité


    Les familles de complémentaires santé – FNMF, FFSA, CTIP – prennent acte de la publication du décret relatif au contenu des contrats responsables.

    Elles constatent que le gouvernement n’a pas entendu leur demande concernant l’élaboration d’un nouveau cahier des charges simple, lisible et efficace au regard des remboursements pris en charge par les complémentaires santé.

    En particulier, elles regrettent l’instauration de multiples niveaux de plafonds et de planchers de remboursements prestations santé prévus par ce texte pour les dépenses de santé des assurés. Ces derniers vont devoir supporter une évolution de leurs contrats, dans des conditions d’opacité et d’extrême difficulté de compréhension des garanties offertes. Ce choix va à l’encontre d’une amélioration de l’accès aux soins des Français souhaitée par les complémentaires.

    Pour les trois présidents des familles d’assurance complémentaire, Etienne Caniard, Bernard Spitz, et Pierre Mie, ce décret constitue un choc de complexité.


    Contacts presse : CTIP
    Miriana Clerc
    01 42 66 92 58
    01 40 43 63 26
    clerc@ctip.asso.fr
    FFSA
    Benoît Danton
    01 42 47 93 80
     
    b.danton@ffsa.fr
    FNMF
    Constance Baudry
    01 40 43 30 21
     
    constance.baudry@mutualite.fr