Nora ANSELL-SALLES

jeudi 23 octobre 2014

Dernier avertissement au Gouvernement

1 an après l'affaire « Amélie » :

Face à l'inaction du gouvernement, l'Unapei adresse un dernier avertissement au gouvernement pour mettre en œuvre les mesures préconisées par Denis PIVETEAU

 

Un an après que l'Etat se soit désisté de son appel d'une décision le condamnant à trouver une place dans un établissement adapté aux besoins d'Amélie, jeune femme handicapée mentale, aucune mesure concrète n'a été prise par le gouvernement pour mettre fin à la situation dramatique de milliers de personnes handicapées sans solution.

 

Face à la pression médiatique, le gouvernement avait pourtant renoncé à son appel et s'était engagé à mettre en place des cellules de gestion des situations critiques. Il avait également demandé à Monsieur Denis PIVETEAU, conseiller d'Etat, de lui rendre un rapport afin de lui proposer des préconisations pour mettre fin à la situation de ces personnes handicapées qualifiées de « sans solution ». Compte-tenu de ces engagements, l'Unapei avait suspendu toutes les actions en justice concernant des personnes confrontées à des situations identiques à celle d'Amélie et de sa famille.

 

Un an après, le bilan est édifiant :

-         Il aura fallu 5 mois pour qu'Amélie puisse trouver une place dans un établissement qui se situe à plus de 400 kilomètres de ses parents, les contraignant à déménager.

-         Les cellules de gestion des situations critiques, lorsqu'elles sont effectivement mises en place dans les départements ne sont pas en mesure de trouver une solution. A cet égard, celles transmises par l'Unapei au gouvernement n'ont pas toute trouvé une réponse alors qu'il s'était engagé à les régler prioritairement.

-         De nombreux reportages, articles et ouvrages ont mis en exergue le scandale de la politique du handicap en France conduisant notamment plus de 6000 personnes handicapées à s'exiler en Belgique pour y être accueilli dans un établissement, la plupart du temps situé à plusieurs centaines de kilomètres de leur environnement familial.

-         Il y a 5 mois, Denis PIVETEAU a remis son rapport  intitulé "Zéro sans solution" dans lequel il propose plus de 130 mesures.

 

Depuis, qu'à fait le gouvernement ? RIEN. Aucune mesure proposée par le rapport PIVETEAU n'a reçu, ne serait-ce qu'un début de mise en œuvre. En outre, le gouvernement conforte la politique d'exil des personnes handicapées en préférant financer de nouvelles places dans des établissements en Belgique, au détriment du bien-être des personnes handicapées et de l'emploi en France.

 

Face à Ségolène Neuville, secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées, Christel Prado, présidente de l'Unapei lui indiquait lors de son congrès en mai dernier: « la colère gronde Madame la Ministre, la colère gronde... ». Mais le gouvernement n'agit ni ne réagit pas.

 

Aujourd'hui, en cette date anniversaire au gout amer, l'Unapei adresse un ultime avertissement au gouvernement afin qu'il prenne des mesures concrètes pour que cesse le calvaire des personnes handicapées et de leurs familles dont l'Etat bafoue les droits impunément.

 

À propos de l'Unapei :

Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis.

Créée en 1960, l'Unapei est la première association française représentant et défendant les intérêts des personnes handicapées mentales et de leurs familles. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres. L'Unapei est un mouvement national qui fédère 550 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).

L'Unapei en chiffres :

·         180 000 personnes handicapées accueillies

·         60 000 familles adhérentes des associations affiliées

·         3 100 établissements et services spécialisés

·         80 000 professionnels employés dans les associations et les établissements

Plus d'informations sur : www.unapei.org

MINE D'INFOS: Le CISS pour une autre politique du médicament

MINE D'INFOS: Le CISS pour une autre politique du médicament: Les conditions de l’arrivée sur le marché français d’un nouveau traitement de l’hépatite C, le sofosbuvir, suscitent l’émoi de l’opinion p...

Le CISS pour une autre politique du médicament

Les conditions de l’arrivée sur le marché français d’un nouveau traitement de l’hépatite C, le sofosbuvir, suscitent l’émoi de l’opinion publique du fait du prix auquel prétend le laboratoire qui le produit. D’autres médicaments ainsi que des dispositifs médicaux, parfois combinés entre eux, sont également annoncés : les industriels qui les produisent vont réclamer eux aussi des prix très élevés pour des innovations puissantes, dont nous avons besoin pour guérir ou améliorer la prise en charge de certaines maladies.
 


Si chacun comprend bien que les producteurs de ces biens de santé doivent être rémunérés pour leurs efforts de recherche et de développement comme pour la mise en production et la distribution, le citoyen ne peut qu’être saisi d’effroi devant des prix qui suggèrent un niveau de rémunération des actionnaires dénué de tout lien avec ce que peut supporter notre système d’assurance maladie universel et solidaire. De telles conditions de rémunération de l’industriel de santé exploitant un produit innovant vont-elles mettre en péril notre système d’assurance maladie ? Ce serait un risque considérable qu’il est inutile de courir. Il faut au contraire anticiper pour permettre la juste rémunération des entreprises autant que la sauvegarde durable de l’Assurance maladie.

 

C’est dans ce contexte que le CISS vient d’adresser à Madame Marisol Touraine une lettre ouverte réclamant l’ouverture d’une concertation nationale afin de programmer les évolutions normatives nécessaires dans la politique du médicament.

 

Trois raisons fondent cette lettre ouverte :

 

·        La nécessaire évolution du mode de fixation des prix, car malgré un mécanisme de régulation pour le sofosbuvir prévu au projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2015 : « La question du prix des médicaments, et celle de son impact sur l’accès aux soins, reste (…) entière et doit de notre point de vue être approchée dans un esprit de sauvegarde de l’accès aux soins de tous », écrit Danièle Desclerc Dulac, la présidente du CISS.

 

·        L’adaptation des processus d’évaluation et de ré-évaluation des médicaments et des dispositifs médicaux ainsi que le lien qu’il convient d’établir avec la fixation des prix. Questions toutes mises en exergue dans les conclusions des Assises du médicament en mars 2011. Questions toujours sans réponse près de quatre ans plus tard !

 

·        La transparence maintenant indispensable dans la décision publique en matière de médicaments et de dispositifs médicaux : « Comment comprendre (…) que votre projet de loi de santé (…) écarte résolument la désignation de représentants des usagers dans les instances ayant à traiter de ces sujets alors qu’il la consacre dans tous les autres sujets ? » s’étonne la présidente du CISS.

 


 

Au terme de sa lettre ouverte, le CISS, comme d’autres organisations de la société civile d’ailleurs, réclame l’ouverture d’une concertation nationale afin de programmer les évolutions normatives nécessaires, dès la prochaine loi de santé.


En savoir plus: www.leciss.org
 





 

MINE D'INFOS: Philippe Calmet invité du prochain café nile

MINE D'INFOS: Philippe Calmet invité du prochain café nile: Si les grandes lignes de la politique de Santé sont fixées par le Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits de femmes, les...

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Philippe Calmet invité du prochain café nile



Philippe Calmette,
Directeur Général de l’ARS du Limousin
 viendra débattre, le  29 octobre, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris), sur le thème :

 « ARS et territoires :
animatrices de l’efficience locale ou contrôleurs de l’action de l’Etat ? »
 
 
Si les grandes lignes de la politique de Santé sont fixées par le Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits de femmes, les Agences Régionales de Santé (ARS) sont confrontées à leur application dans les territoires. Leurs mises en œuvre, en effet, ne peuvent se faire de façon purement jacobine, dans une vision uniquement déconcentrée. Ce serait alors refuser le constat fait depuis longtemps de l’inégalité d’accès aux soins des populations de ce pays, du fait de la variété des déterminants de santé dans les territoires. L’équité est devenue une des valeurs de la politique de régionalisation.

 

De cette tradition jacobine remontant à Colbert, il convient, pour les ARS, de voir comment peut se développer un concept nouveau, que l’Observatoire de la Régionalisation a baptisé « déconcentralisation » : favoriser la mobilisation des acteurs locaux de la société civile en santé (patients, professionnels, élus locaux, etc.) en animant les projets territoriaux et en créant les facteurs d’incitation financière ou de moyens, tout en gardant un lien (allégé) avec Paris, sa volonté planificatrice mais sa légitimité quant à la décision politique.

 

Mais quelles sont les initiatives dont peuvent faire preuve les ARS ? De quelle marge de manœuvre disposent-elles ? Quels défis les ARS vont-elles devoir relever dans les prochaines années, à l’heure où la réforme des territoires est envisagée ?

 

Philippe Calmette, Directeur Général de l’ARS du Limousin viendra débattre, le mercredi 29 octobre prochain, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris), sur le thème :

 

« ARS et territoires : animatrices de l’efficience locale ou contrôleurs de l’action de l’Etat ? »

 

  
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MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014

MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014: Jeudi 16 octobre, le professeur Francis Juthier , chirurgien cardiaque au CHRU de Lille, a reçu un chèque de 11427 € des mains de Dominiqu...

MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014

MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014: Jeudi 16 octobre, le professeur Francis Juthier , chirurgien cardiaque au CHRU de Lille, a reçu un chèque de 11427 € des mains de Dominiqu...

Clôture des Journées de l’Avenir 2014

Jeudi 16 octobre, le professeur Francis Juthier, chirurgien cardiaque au CHRU de Lille, a reçu un chèque de 11427 € des mains de Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir, Ludocic Vaty, parrain des Journées de l’Avenir 2014 et de Paul Merliot, membre du comité directeur de la Ligue Nationale de Basket. Cette remise a été faite également en présence de Francis Formaglio, président de l’union régional Nord-Pas de Calais de la Mutualité Française, de Bernard Peroy de la Mutuelle Apreva, ainsi que des représentants des clubs de Lille et de Gravelines.

Le professeur Juthier a exposé l’avancée de ses travaux de recherches en chirurgie cardiaque puis a permis à ses visiteurs d’un jour de visiter les infrastructures du CHRU.

Ce chèque correspond à l’ensemble de la collecte qui a été mise en place dans le cadre du partenariat qui lie la LNB et la Fondation de l’Avenir. Depuis sept ans, au cours du mois d’avril, l’ensemble des clubs de Pro A et de Pro B offre à la Fondation de l’Avenir une visibilité au cours de l’un de leurs matchs à domicile. Depuis le décès brutal de Thierry Ruppert en 2013, la LNB, sous l’impulsion de son président Alain Béral, et la Fondation de l’Avenir, ont décidé de soutenir plus particulièrement les recherches sur les malformations cardiaques.

Le projet translationnel EA 2693, aussi appelé projet SAVE, porté par le professeur Juthier et son équipe, correspond pleinement aux valeurs du partenariat qui lie la Ligue Nationale de Basket et la Fondation de l'Avenir.

NDLR: MGEFI ET FONDATION DE L'AVENIR

Le Président fondateur de la Fondation Jean-Pierre Davant ainsi que le président actuel Etienne Caniard ont tous deux étés président de la MAI -Mutuelle des Agents des Impôts (l'une des mutuelles fondatrices de la MGEFI. Le président de la MGEFI Serge Brichet à été trésorier de la Fondation.

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■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 278 300 adhérents et 340 800 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

 ■ Un réseau de 800 militants.

 ■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya

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MINE D'INFOS: Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...

MINE D'INFOS: Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...: Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans ...

Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...

Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie


Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans des souffrances extrêmes, à l’âge de 15 ans et après 125 jours d’hôpital. De ces souffrances et du constat du manque de moyens des hopitaux pour accompagner les enfants en soins palliatifs, ses parents ont créé l’association Florian Fillet.



Actuellement, il existe les soins palliatifs pour les adultes, mais force est de reconnaître que pour les enfants, nous en sommes aux balbutiements.Face à l’urgence et au besoin de sensibiliser le plus largement possible, l’action de l’association Flo- rian Fillet est de promouvoir les soins palliatifs, d’organiser et d’intervenir dans l’accompagnement des enfants en soins palliatifs et/ou des enfants dont le pronostic vital est en jeu ; principalement en pédiatrie dans les établissements médicalisés (hôpitaux, cliniques, maisons de santé...) et à domicile.




Son action s’étend à l’accompagnement des proches. L’association peut, en cas de nécessité et en collaboration avec d’autres associations, intervenir dans l’accompagnement de toute personne dont le besoin est identifié.


Le bénévolat de l’association Florian Fillet répond à des objectifs précis :

 



· Organiser, en concertation avec les professionnels de santé, dans le respect des lois en vigueur concernant les soins palliatifs et la fin de vie, l’accompagnement des malades atteints d’une patho- logie grave, curable ou incurable, connue ou inconnue, et pouvant entraîner la mort. Que ce soit en institut médicalisé ou à domicile.

· Sensibiliser l’opinion publique et favoriser l’évolution des mentalités face à la maladie grave, à la fin de vie et à l’isolement que cela engendre.

· Collaborer avec les équipes soignantes et le corps médical sans jamais tenter de se substituer à eux mais avec la volonté de fournir toute aide susceptible de faciliter leur mission.

· Participer en permanence à l’étude des besoins en matière d’accompagnement des malades en soins palliatifs et/ou en fin de vie.

· Recueillir et partager les informations dans l’intérêt des patients.

· contact mail www.idccommunication.com

Nuit Blanche 2014

Au-delà de la Nuit : découvrez les œuvres
durables de Nuit Blanche 2014

Pour la première fois, une quinzaine de projets artistiques initiés pour Nuit Blanche demeurent jusqu’à la clôture de la FIAC, en association avec son programme « Hors les murs », ou de façon durable dans l’espace public. Une initiative de l’Exécutif parisien qui renforce la présence de l’art dans la ville.

Les œuvres qui demeurent jusqu’à la clôture de la FIAC
- Sambre, Les Docks - Cité de la Mode et du Design (13e). Mur ouvert / Installation
- Projection vidéo, Wanderlust (13e). Work in progress / Projection
- Jan Vorman, rue du Chevaleret (13e). Dispatchwork / Performance
- Antony Gormley, Place du Panthéon (5e). Another Time, 2012 / Installation
- Jacques Villeglé, Gare d’Austerlitz, Cour Seine (13e).
- Être étonné c’est un bonheur / Installation Hicham Berrada, Quai du Port d’Austerlitz (13e). Arche/Installation

Les œuvres durables

- L’Atlas, Mur-pignon 2-4 rue Domrémy (13e). Persiennes / Installation
- Borondo, Rue du Chevaleret (13e). Baptême / Installation
- YZ, Rue du Chevaleret (13e). LOST IN THE CITY – Ornament, 2014 / Installation
- SPY, Rue du Chevaleret (13e). I’m not a real Artist / Installation
- Tristan Eaton, Mur-pignon du 4-6 rue du Chevaleret (13e). LA 13 / Installation
- SWOON, Gare Masséna (13e). Gare Masséna / Installation
- François Morellet, Institut Imagine (13e). 3 arcs de néon inclinés à 0°, 90°, 45° / Installation
- Les frères Chapuisat, Hôpital Necker - Enfants malades (15e). Hyperfocus / Installation
- Vhils, Hôpital Necker - Enfants malades (15e). Scratching the surface / Installation

N’hésitez pas à contacter le service de presse pour avoir plus d’informations (visuels, descriptions, etc.) sur les œuvres mentionnées ci-dessus.

Et si on parlait de l’utilité sociale des mutuelles ? #RDVsolidaire par ...


MINE D'INFOS: Tout le monde chante contre le cancer : donnez un ...

MINE D'INFOS: Tout le monde chante contre le cancer : donnez un ...: Nicolas Rossignol Journaliste à TF1 et France Info recrute- en tant que président bénévole de l'association "Tout le monde chan...

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MINE D'INFOS: 1 Français sur 10 prêt à se faire soigner à l’étra...:   Parmi les 11% de Français qui affirment s’être déjà fait soigner à l’étranger (2%) ou y avoir pensé (9%), les soins visés concernent...

1 Français sur 10 prêt à se faire soigner à l’étranger[1]

 

Parmi les 11% de Français qui affirment s’être déjà fait soigner à l’étranger (2%) ou y avoir pensé (9%), les soins visés concernent très majoritairement le dentaire (67%) et sont liés à des motivations financières (66% évoquent le coût des soins inférieurs à ceux pratiqués en France) ou de délais d’attente (31% qui les jugent plus courts qu’en France, avec une pointe à 43% chez les personnes vivant dans des départements frontaliers).

 

Un symptôme des carences dans la prise en charge des soins dentaires en France

Cette prééminence du dentaire dans les intentions qu’auraient nos concitoyens à se faire soigner à l’étranger montre à quel point l’accès à ce type de soins est de loin le plus problématique en France pour la population générale. Si la qualité des professionnels n’est pas remise en cause, ce sont bien les questions d’accès aux soins, d’abord d’un point de vue financier et dans une moindre mesure en termes de délais, qui posent problème.

 

Le recours à des soins à l’étranger ne pouvant constituer une réponse sanitaire satisfaisante, cela rappelle l’urgence d’une mise à plat déjà revendiquée par le CISS des tarifs pratiqués par les chirurgiens-dentistes : ajustement des remboursements assurés par l’Assurance maladie obligatoire sur les soins conservateurs et les soins prothétiques, en contrepartie d’un encadrement des prix de ces derniers.

 

Le souci de l’après-soin et l’attachement au système de santé français

Car dans le dentaire comme dans les autres domaines, les réticences à choisir de se faire soigner à l’étranger sont grandes et largement majoritaires, d’abord du fait des craintes autour de l’après-soins : les difficultés relatives au suivi des soins après l’intervention et par rapport à un éventuel recours en cas d’accident médical sont évoquées, respectivement par 36% et 24% des 9 Français sur 10 qui n’envisagent pas de se faire soigner à l’étranger, comme raison principale à cela.

 

Par ailleurs, c’est l’attachement au système de santé français qui constitue l’explication de ce non-recours aux soins à l’étranger pour 31 % d’entre eux.

Nos concitoyens ont donc majoritairement conscience des problèmes de qualité que peut poser le recours aux soins à l’étranger. Ils attachent de l’importance à pratiquer leurs soins en France aussi pour contribuer à la qualité du système de santé français et à l’activité des professionnels qui y exercent. Il est essentiel de se donner collectivement les moyens de faire vivre cette source d’activité économique solidairement financée.

 

Dans la pratique, le dentaire représente 2,5 % des soins pratiqués à l’étranger remboursés par la Sécurité sociale

La prise en charge des soins à l’étranger reste principalement orientée vers les soins non programmés réalisés au cours d’un séjour à l’étranger notamment en cas d’urgence (hospitalisation par exemple) ou de soins ne pouvant être interrompus dans le cadre de maladies au long cours (dialyse notamment). C’est ce type de soins à l’étranger qui est de loin le plus pris en charge par la Sécurité sociale : parmi l’ensemble des prestations remboursées, environ 80 % sont liées à l’hospitalisation et 7% à la dialyse d’après le rapport 2013 du Centre national des soins à l’étranger.

 

Les assurés sociaux en France doivent être mieux informés de leurs droits quant à la prise en charge de soins effectués à l’étranger en fonction de règles spécifiques à chaque pays, à la condition que les soins en question fassent partie de ceux remboursés en France et dans la limite des tarifs conventionnels. Cette prise en charge est d’autant facilitée si les soins sont réalisés au sein d’un Etat membre de l’Union européenne (+ Islande, Liechtenstein, Norvège et Suisse) et que la personne détient une « carte européenne d’assurance maladie ».

 




[1] Enquête LH2 pour le CISS, réalisée auprès d’un échantillon de 1224 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, recrutés par téléphone et interrogés par Internet (il ne s’agit pas d’un access panel) les 8 et 9 octobre 2014.
 
 
 

Sécurité sociale

 

mercredi 22 octobre 2014

MINE D'INFOS: Concours d'applications pour les écrans tactiles d...

MINE D'INFOS: Concours d'applications pour les écrans tactiles d...: Paris lance un concours d’applications pour les écrans tactiles des futurs abris voyageurs La Ville ...

MINE D'INFOS: Concours d'applications pour les écrans tactiles d...

MINE D'INFOS: Concours d'applications pour les écrans tactiles d...: Paris lance un concours d’applications pour les écrans tactiles des futurs abris voyageurs La Ville ...

Concours d'applications pour les écrans tactiles des abris voyageurs...

Paris lance un concours d’applications pour les
écrans tactiles des futurs abris voyageurs

La Ville de Paris, en partenariat avec JCDecaux, lance un grand concours pour expérimenter des applications inédites sur les écrans tactiles des nouveaux abris voyageurs qui seront installés à partir de la fin de l’année 2014.

La Ville de Paris s’apprête à renouveler ses 2.000 abris voyageurs. Cet évènement, une première depuis 15 ans, va transformer en profondeur le mobilier urbain et le visage de la capitale.

Parmi ces nouveaux abris voyageurs, 100 seront équipés d’écrans tactiles de 32 pouces. Ils permettront de diffuser de l’information et des services numériques pour les Parisiens et les visiteurs. La Ville de Paris utilisera ces écrans pour délivrer des informations utiles et interagir avec les usagers.

La Ville souhaite accompagner la création de nouveaux services numériques. Elle lance aujourd’hui, en partenariat avec JCDecaux, un grand concours qui permettra d’offrir aux développeurs et aux entreprises une vitrine et une expérimentation grandeur nature. Les candidats retenus pourront tester leurs applications innovantes sur les écrans tactiles sur un ou plusieurs abris, pour une durée d’un an.

Différents types de services peuvent être envisagés, parmi lesquels :
  • d’information locale : géolocalisation, points d’intérêt, tourisme, orientation, etc ;
  • de proximité sans publicité : petites annonces de quartier ;
  • utilisant les données mises à disposition par la Ville de Paris dans le cadre de sa politique d’ouverture des données publiques (http://opendata.paris.fr ou  https://api.paris.fr) ;
  • ou tout service numérique utile aux usagers, aux Parisiens et aux touristes.
Par ce grand concours, la Ville de Paris poursuit sa politique de « living lab urbain », en faisant du territoire parisien un lieu d’expérimentation privilégié pour inventer les solutions de demain et faciliter le quotidien des voyageurs.
 
Les entreprises et développeurs peuvent postuler jusqu’au 24 novembre à 17h à l’adresse :http://www.paris.fr/concours-abrisvoyageurs

Les résultats du concours seront publiés courant décembre.

MINE D'INFOS: Adieu Micheline

MINE D'INFOS: Adieu Micheline: Crédit photo Evelyne Delicourt Massol Micheline FOURCADE   Une consoeur vient de nous quitter  pour laquelle nous avions tous bea...