Nora ANSELL-SALLES

mercredi 16 janvier 2013

Avec Respir@dom, la télémédecine devient une réalité


 
Le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) touche 5 à 7%1 de la population des pays occidentaux. En France, plus de 500 0002 patients sont traités par ventilation à Pression Positive Continue (PPC). Ce traitement qui repose sur l’utilisation d’une machine et d’un masque à domicile, permet d’éviter l’aggravation de leur état de santé. Mais 20 à 33%3 d’abandons sont constatés au cours des 4 premiers mois avec 90% des arrêts de traitement qui surviennent au cours de cette période4.
Respir@dom est le premier programme de télémédecine qui associe à la fois un recueil des données en temps réel depuis les machines PPC, le support et l’accompagnement des patients. Cette prise en charge par télésuivi est actuellement réservée à 200 patients inclus dans l’étude d’évaluation médico-économique qui se terminera le 30 novembre 2013. Ce service sera ensuite généralisé à toutes les personnes concernées qui peuvent d’ores et déjà s’informer et s’entraider sur le portail dédié www.respiradom.fr.
 

Respir@dom va renforcer l’accompagnement médical des patients apnéïques sous traitement respiratoire à domicile

Le traitement par PPC supprime l’augmentation du risque de maladies cardiovasculaires et métaboliques chez les patients apnéïques et limite les accidents de la route en diminuant la somnolence des patients traités. Il repose sur l’utilisation d’un appareil de PPC qui envoie de l’air sous pression dans les voies aériennes supérieures grâce à un masque appliqué sur le visage. Pour un traitement efficace, la durée minimale au cours de laquelle le masque doit être porté au cours de la nuit est estimée entre 3h et 4h. Pour en ressentir les bénéfices thérapeutiques, les patients doivent donc s‘habituer à porter ce masque toutes les nuits, ce qui s’avère complexe pour certain.

Avec Respir@dom, les appareils de PPC deviennent communicants en envoyant des données (durée d’utilisation pendant la nuit, existence ou non de fuites, évaluation des apnées résiduelles), tous les jours, via le réseau GPRS, vers un Dossier Médical Sommeil (DMS) sécurisé. Parallèlement, le patient dispose, dans son DMS, d’un espace sécurisé où il est encouragé à évaluer son confort et sa motivation sous traitement. Les données que l’appareil envoie sont analysées automatiquement dans le DMS et donnent lieu à des alertes techniques en cas d’anomalies. Par ailleurs les données rentrées par le patient sur son ressenti peuvent, elles aussi, générer des alertes cliniques.

Respir@dom c’est aussi un espace pour s’informer, partager et s’entraider

Outre cette fonction de suivi médical, Respir@dom fédère une dynamique d’information et d’entraide permettant aux patients apnéiques de mieux se connaître et d’être pleinement acteurs de leur prise en charge.

Le portail d’information et d’échanges respiradom.fr est régulièrement enrichi par des articles sur les apnées, le sommeil et les progrès des traitements. Les internautes peuvent y trouver de nombreux conseils de spécialistes du sommeil, ponctués de dialogues, échanges et soutiens ainsi que les trucs et astuces rédigés par les patients eux-mêmes quant à l’utilisation de leur appareil de PPC

Sur Respiradom.fr, les internautes peuvent aussi consulter des vidéos pédagogiques et s’exercer à un serious game (ou jeu sérieux) Inspiratio, les pouvoirs du masque magique, pour s’approprier la maladie d’une manière ludique, seul ou en famille.

Respir@dom en résumé

·         Un système de recueil à distance des données de la machine à PPC, qui informe le prestataire de santé et le médecin sur l’état du traitement du patient, et les alertes en cas de difficultés identifiées ;

·         Un espace sécurisé sur un Dossier Médical Sommeil (DMS) en ligne, avec un tableau de bord récapitulatif du traitement pour les professionnels de santé et grâce auquel le patient peut évaluer ses progrès ou ses difficultés ;

·         Un espace public et communautaire sur le site respiradom.fr dédié aux apnées du sommeil, qui comporte des informations sur la maladie et le traitement, un serious game, des vidéos, des forums, des groupes de discussion et la possibilité d’ouvrir son propre blog.


Toute la mise en place de l’échange des données nécessaire à l’activité de télémédecine de Respir@dom s’est construite dans le respect des règles de sécurité, de confidentialité et d’intégrité du système d’information conformément aux règles édictées par la CNIL et l’ASIP, et le décret de télémédecine du 19 octobre 2010.

 

 

 
Sources : 1 - Rapport sur le thème du sommeil – Ministère de la Santé 2006 ;
2- Comité Economique des Produits de Santé (CEPS) ; 3- Sparrow, Thorax 2010; 4- Rolfe, Am Rev Respir Dis 1991
 

 

 

 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
Contacts presse :
LJ Com
Nathalie Garnier / 01 45 03 89 95
n.garnier@ljcom.net

www.ljscope.com
 
 
 
 
Réseau Morphée
Paul-Eric Lefèvre / 06 17 56 89 99
pe.lefevre@respiradom.com
www.respiradom.fr
 

Sélectionné par la DGCIS dans le cadre des Investissements d’avenir et soutenu par l’ARS d’Ile-de-France, Respir@dom est un projet collaboratif coordonné par le Réseau Morphée qui regroupe des médecins spécialistes du sommeil, des industriels du secteur médical, des associations de patients et des prestataires de santé à domicile :

mardi 15 janvier 2013

MINE D'INFOS: Complémentaire santé pour tous les salariés :

MINE D'INFOS: Complémentaire santé pour tous les salariés :: une déception programmée ?   A la grande surprise des acteurs de santé, et en particulier de ceux représentant les usagers qui n’ont à...

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS : Jacques DRAUSSIN

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS : Jacques DRAUSSIN: Lorsque l’enfant paraît   Entre les effets secondaires des pilules destinées à préserver les femmes   des grossesses non-désirées e...

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS : Jacques DRAUSSIN

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS : Jacques DRAUSSIN: Lorsque l’enfant paraît   Entre les effets secondaires des pilules destinées à préserver les femmes   des grossesses non-désirées e...

Complémentaire santé pour tous les salariés :


une déception programmée ?

 A la grande surprise des acteurs de santé, et en particulier de ceux représentant les usagers qui n’ont à aucun moment été associés à la proposition, l’accord sur la sécurisation de l’emploi débouche notamment sur la création d’une obligation de complémentaire santé pour tous les salariés en France.

 
Le principe d’une telle disposition pourrait présager d’une meilleure couverture santé pour un nombre important de salariés, en particulier au sein des petites et très petites entreprises, qui ne pouvaient jusqu’à présent bénéficier de contrats collectifs dont on sait pourtant qu’ils sont en général plus protecteurs que les contrats individuels.
 

Toutefois, nous craignons que cette avancée pour l’accès aux soins se révèle, en l’état, illusoire :

 

-       D’abord parce que le fait de rendre les complémentaires systématiques pour tous les salariés pourra servir de prétexte à entériner le retrait de l’Assurance maladie, en permettant d’accentuer plus encore les transferts de charges du régime obligatoire vers celui des complémentaires.

 

-       Cela alors que, contrairement à ce qui est laissé entendre par le qualificatif de « complémentaire santé généralisée », une partie de nos concitoyens n’y aura toujours pas accès puisqu’elle ne concernera que les salariés. Nombre d’étudiants, de retraités, de professions indépendantes, de personnes sans emploi…, resteront confrontés aux difficultés d’accès aux contrats individuels de complémentaires santé, difficultés encore augmentées du fait que les contrats collectifs seront par ailleurs plus courants : ceux qui ne pourront toujours pas y avoir accès se verront donc d’autant plus discriminés.

 
-       Ensuite, y compris pour ceux qui pourront en bénéficier, la couverture proposée est insuffisante pour permettre un réel accès aux soins, en particulier à ceux faisant l’objet d’un renoncement pour raison financière à savoir le dentaire, l’optique et les actes ou consultations avec dépassements d’honoraires. En effet, la protection proposée est annoncée comme étant bien inférieure à celle de la CMU-C, ce qui n’est pas acceptable pour assurer un accès satisfaisant aux soins requis par la population.

 
Pour les représentants des usagers, une complémentaire santé généralisée ne peut s’entendre que comme réellement universelle, c’est-à-dire accessible à l’ensemble de nos concitoyens dans des conditions encadrées qui assurent à la fois un tarif juste et équilibré pour chacun des souscripteurs, ainsi qu’un panier de soins garanti. Deux conditions indissociables pour dépasser les inégalités connues entre les niveaux de prise en charge proposés par les complémentaires santé suivant qu’elles sont souscrites dans un cadre individuel ou collectif.

 ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR
APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer
France Parkinson - FSF - La CSF - Le LIEN - Les Aînés Ruraux - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde - ORGECO

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

Lancement de Respir@dom :

un programme unique dans le monde combinant télémédecine et plate-forme communautaire pour les patients apnéiques français

Le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) touche 8% de la population des pays occidentaux. En France, plus de 500 000 patients* sont traités par ventilation à Pression Positive (PPC). Ce traitement reposant sur l’utilisation d’une machine et d’un masque nécessite un accompagnement personnalisé et justifie de profiter des dernières innovations technologiques en matière d’e-santé. Dédié aux patients apnéiques, le programme Respir@dom est inédit. Il n’existe pas actuellement d’autres programmes dans le monde associant un suivi médical à distance et une plate-forme d’information et d’entraide pour le patient apnéique.



En savoir plus : www.ljscope.com

LIBRES PROPOS : Jacques DRAUSSIN


Lorsque l’enfant paraît

 

Entre les effets secondaires des pilules destinées à préserver les femmes  des grossesses non-désirées et les effets collatéraux des happenings de rue censés préserver la société des grossesses préfabriquées, la parentalité aura décidément été au cœur de l'actualité sanitaire et sociale de la semaine.

La contraception accoucherait donc de progestatifs dégénérés à l'insu de notre plein gré, alors que le mariage « pour tous », sonnerait le tocsin d'une cellule familiale façonnée tout à la fois par les siècles, les saintes Ecritures et l'ami Ricoré.

Une femme, un homme, des enfants. Les disciples de Frigide Barjot – égérie des boites de nuit germanopratines et des sacristies intégristes – ont bien tort de se faire peur car il est probable que le modèle de base ait encore un peu d'avenir.

A force de jurer leurs Grands Dieux qu'ils ne sont pas homophobes, les opposants au mariage gay [l'expression « mariage pour tous » est une escroquerie de cul béni] auront d'ailleurs fini par en légitimer le principe.

D'accord pour reconnaître l'union de 2 hommes ou de 2 femmes. D'accord pour leur accorder les mêmes droits en matière d'impôts, de succession ou de réversion des retraites. D'accord  sur tout, sauf sur la définition de la famille. On voudrait tant la garder dans son cocon d'éternité que ceux-là mêmes qui se prétendaient presque  « gay-friendly » samedi ont entonné dimanche des chants d'intolérance terribles parce qu'égrenés avec la sérénité doucereuse d'une bonne conscience dégoulinante.

Qu'on l'accepte ou non, la famille a changé. Inutile de s'appesantir sur la litanie des chiffres : en 2012, on aura compté davantage de naissances hors mariage qu'au sein des couples civilement unis. 2,8 millions d'enfants vivent dans une famille monoparentale et 1,6 million dans une famille recomposée, plusieurs dizaines de milliers déjà dans une famille homoparentale.

Cette vérité là est plus probante et incontestable que celle du nombre de manifestants arrivés sur le Champ de Mars le 13 janvier.

L'adoption ouverte aux couples homosexuels bouleversera-t-elle le schéma traditionnel de la famille ? En ce début d'année 2013, 28.000 foyers  - bien hétéro comme il faut – sont en demande d'adoption… qui ne peut être satisfaite, faute d'enfants adoptables ici comme ailleurs. Un afflux, même massif, de dossiers déposés par des couples homosexuels ne changerait pas grand-chose  au problème.

Reste la délicate question de la Procréation Médicalement Assistée – heureusement retirée du projet de loi sur le mariage – qui devrait logiquement être débattue, non pas dans le cadre d'un texte à venir sur la famille, mais dans celui d'une réforme de la loi de bioéthique.

C'est cette loi qui fixe la règle de la PMA. 2 conditions impératives sont nécessaires [outre celle de vivre en couple déclaré depuis au moins 2 ans]. La première condition est « une infertilité dont le caractère pathologique a été médicalement diagnostiqué ». La seconde est le risque de « transmission à l'enfant ou à un membre du couple, d'une pathologie grave ».

Inutile de préciser que l'homosexualité en tant que telle ne peut être invoquée pour en justifier le recours… sauf à être considérée comme une cause d'infertilité définitive ou une maladie transmissible !

Pour obtenir gain de cause, Frigide Barjot et ses ouailles devraient donc se contenter d'une bataille juridique si elles voulaient espérer obtenir gain de cause sur le chapitre de la filiation.

La démarche s'avère évidemment moins télégénique mais, curieusement, c'est sans doute du côté de la bioéthique qu'elles trouveraient les appuis qui leur manquent en dehors de la morale confessionnelle.

Jacques DRAUSSIN

 

 

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Audistya, le nouveau réseau de l'audition du groupe Istya Depuis le 1er janvier 2013, les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe ...

La MGEFI dans la presse


Audistya, le nouveau réseau de l'audition du groupe Istya

Depuis le 1er janvier 2013, les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe Istya ont la possibilité de bénéficier des avantages proposés par le nouveau réseau de l’audition « Audistya », créé à l’initiative de la MGEN (Mutuelle générale de l’Éducation nationale).

…/…

Le nouveau réseau est actuellement ouvert aux adhérents du groupe MGEN, de la MGET, de la MCDEF et de la MAEE. « Sous réserve d’approbation par leurs assemblées générales respectives, les adhérents de la MGEFI et de la MCF2 devraient en bénéficier courant 2013 », peut-on lire dans un communiqué émis par le nouveau réseau.

 

Lire l’article : www.audio-infos.eu (10 janvier 2013)

 

 

Réseaux mutualistes : le groupe Istya investit dans l'audioprothèse et l'optique

Composé de six mutuelles (dont le mastodonte MGEN), le groupe Istya, qui couvre 5,5 millions de Français, a fait le choix depuis le 1er janvier 2013 de développer deux réseaux mutualistes, l'un portant sur l'audioprothèse, l'autre sur l'optique.

…/…

(1) En plus du groupe MGEN, Istya est composé de la mutuelle nationale des territoriaux (MNT), la mutuelle générale environnement et territoires (MGET), la mutuelle générale de l' économie , des finances et de l' industrie ( MGEFI ), la mutuelle civile de la défense (MCDef) et la mutuelle des affaires étrangères et européennes (MAEE).

 

Lire l’article : www.lequotidiendumedecin.fr (11 janvier 2013)

 

 

Le réseau optique MGEN devient Optistya et s'adresse à 700 000 bénéficiaires de plus

Au 1er janvier 2013, le réseau d'opticiens partenaires MGEN s'est ouvert aux adhérents d'autres mutuelles du groupe Istya, créé en mai 2011 et poids lourd de la complémentaire santé. Il se nomme aujourd'hui Optistya et couvre désormais, outre les bénéficiaires de la MGEN, ceux de la MGET, de la MCDef, de la MAEE, de la MGEFI et de la MCF

 

Lire l’article : www.acuite.fr (11 janvier 2013)

 

 

Le régime de Sécu étudiant sur la sellette

 

La phase expérimentale du programme mutualiste de prévention du risque cardio-vasculaire s’est achevée fin décembre

 

.…/…

Si les suites à donner à l’expérimentation ne sont pas arrêtées (l’analyse médicale complète n’interviendra qu’au second semestre 2013), « tout plaide pour une généralisation », juge Serge Brichet, président de la Mgefi. Il liste les vertus du dispositif : 1/Une « approche globale » avec une prise en charge préventive « en amont et en aval du risque » ; 2/l’espoir d’une « amélioration de l’état de santé » de l’assuré ; 3/« la capacité à terme de maîtriser le reste à charge et de baisser les dépenses de la mutuelle.»

 

Lire l’article : PROTECTION SOCIALE INFORMATIONS (09 JAN 13)

lundi 14 janvier 2013

Veille Mine d'Infos

Veille Mine d'Infos

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Quel avenir pour le projet Tensioforme?   La phase expérimentale du programme mutualiste de prévention du risque cardio-vasculaire ...

La MGEFI dans la presse


Quel avenir pour le projet Tensioforme?

 

La phase expérimentale du programme mutualiste de prévention du risque cardio-vasculaire s’est achevée fin décembre.

 

…/…

 

Si les suites à donner à l’expérimentation ne sont pas arrêtées (l’analyse médicale complète n’interviendra qu’au second semestre 2013), « tout plaide pour une généralisation », juge Serge Brichet, président de la Mgefi. Il liste les vertus du dispositif : 1/Une « approche globale » avec une prise en charge préventive « en amont et en aval du risque » ; 2/l’espoir d’une « amélioration de l’état de santé » de l’assuré ; 3/« la capacité à terme de maîtriser le reste à charge et de baisser les dépenses de la mutuelle.»

 

Lire l’article  de Cécile Almendros  Protection sociale Informtions du 9 janvier 20132
 
 



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Protection Sociale Informations n°863 du 09 janvier 2013. Couverture de Protection Sociale Informations. Protection sociale informations est l'outil ...

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MINE D'INFOS: AUTO-ENTREPRENEURS : RESULTATS DU GRAND SONDAGE NA...: Ludovic Badeau, PDG d’Evo Portail, site leader en matière d’accompagnement des auto-entrepreneurs a réalisé une grande enquête auprès d...

AUTO-ENTREPRENEURS : RESULTATS DU GRAND SONDAGE NATIONAL


Ludovic Badeau, PDG d’Evo Portail, site leader en matière d’accompagnement des auto-entrepreneurs a réalisé une grande enquête auprès des bénéficiaires du régime. 90 % des personnes interrogées affirment leur attachement à ce modèle économique qui a changé leur vie tout en leur permettant d’être autonome financièrement. Mais aussi de viser un développement entrepreneurial à long terme. Explications. 
 
Mieux cerner la population auto-entrepreneuriale, ses exigences, ses envies, ses réussites et son avenir. Tel est l'objectif que vient d’atteindre Ludovic Badeau, PDG d’Evo’Portail qui, grâce à une enquête réalisée auprès d’un échantillon de 700 auto-entrepreneurs vient de rendre public les résultats.

Une « photographie » globalement positive et encourageante qui montre que 9 auto-entrepreneurs sur 10 n’auraient pas créé leur structure sans ce régime. La plupart des sondés affirment également que l’auto-entreprise permet de répondre à leur besoin d’autonomie financière ; tout ceci en ayant une visée entrepreneuriale à long terme.

Ne pas toucher aux acquis.

 40 % d’entre eux désirent dans un avenir prochain, opter pour le régime de droit commun après avoir validé leur expérience auto-entrepreneuriale.

A l’heure où le gouvernement s’apprête à réformer ce régime, une très grande majorité s’élève contre toute évolution. 50 % des sondés expliquent qu’ils abandonneront leur activité si la souplesse et la simplicité fiscale et sociale changent profondément.

Au-delà, l’enquête pointe quelques données sociologiques et financières importantes. 24 % des auto-entrepreneurs ont réalisé au cours de l’année 2012, un chiffre d’affaires s’échelonnant entre 1000 et 5000 €. 31 % d’entre eux ont généré + de 10000 euros. Ce qui permet de bien attester de la complémentarité financière apporté par le régime mais aussi sa capacité à générer des revenus stables et fréquents.

 

Les personnes interrogées recouvrent une pyramide des âges assez hétérogène, montrant notamment que le régime est largement plébiscité par les jeunes. 40 % ont entre 18 et 39 ans. Mais aussi par les quadras et quinquas expérimentés qui représentent 47 %. Les retraités et + de 60 % ferment la marche avec 13 % ; leur régime leur permettant de générer un revenu jusqu’à l’âge légal de départ en retraite ou vient compléter leur pension.

Diversité des activités.

« Plus généralement, le régime de l’auto-entreprise montre à quel point il permet de travailler ou s’épanouir dans des secteurs variés » explique Ludovic Badeau.  33 % des participants exercent une activité de services aux entreprises. 25 % s’orientent vers les services  à la personne. 22 % optent pour l’artisanat. Enfin, 19 % préfèrent une activité de commerce.

Ce sondage national a été effectué par EVO’PORTAIL à l’occasion des Assises de l’Auto-Entrepreneur et réalisé entre le 25/12/2012 et le 10/01/2013 sur internet auprès de 700 auto-entrepreneurs, en activité durant l’année 2012, âgés entre 20 ans et 70 ans, à travers toute la France, métropole et DOM-TOM.

 

 

A propos d’Evo’Portail :

Créé par Ludovic Badeau en avril 2010, Evo’Portail est une plateforme venant en aide aux auto-entrepreneurs. Leader en matière d’assistance, la société basée à Paris compte une moyenne de 15 salariés rompus aux règles fiscales et sociales qui encadrent l’auto-entrepreneuriat. Elle accompagne les bénéficiaires du régime dans leurs différentes démarches notamment administratives. Ceci par téléphone avec un conseiller personnel  qui assiste  chaque individu dans ses démarches de création, de lancement d’activité et de maîtrise du régime. Evo’Portail aide aussi à acquérir les bonnes méthodes et faire les bons choix à travers les différents dispositifs du régime (création de factures et devis, relance d’impayés). Enfin, Evo’Portail conseille les auto-entrepreneurs dans leur dialogue et correspondances avec les différents organismes d’Etat.

Plan neige et verglas


Depuis le 15 novembre, les services municipaux sont en alerte pour affronter l’hiver et sécuriser la circulation des piétons, des bus, voitures et deux-roues en cas  d'intempéries hivernales.

 

Hier soir à partir de 21h20, les services de la propreté de Paris ont déclenché un salage préventif des 600 km de chaussées prioritaires de la capitale : couloirs de bus, voies rapides – périphérique et voies sur berges –, voies dont la pente est supérieure à 5%. Le sel permet d'accélérer la fonte de la neige, à raison de 2cm par heure. Ce salage est terminé.

 

A partir de 13h, la Ville procèdera au salage emplacements des marchés alimentaires, pour qu’ils puissent se tenir dans les meilleures conditions demain, ainsi que des 20.000 point dits singuliers, stratégiques pour les piétons : 17 147 passages piétons, 324 escaliers, 703 bouches de métro, 1 933 abribus, 196 ponts.

 

De la neige est susceptible de tomber sur Paris en soirée, avant de laisser place à des averses en fin de nuit. Les services de la Ville continuent d’effectuer une veille météorologique permanente.

 

En cas de chute de neige, chacun doit se préparer à agir.

Les riverains, propriétaires, locataires ou occupants de boutiques, magasins et de tous locaux ayant immédiatement accès sur la voie publique, ont l'obligation de déblayer devant chez eux. Ils doivent dégager le trottoir sur toute la longueur de la façade et sur une largeur allant jusqu’à quatre mètres et effectuer un salage préventif, Le cas échéant, après avoir balayé la neige les parisiens peuvent procéder au salage. La Ville de Paris rappelle qu'il est préférable d'éviter d'utiliser les voitures individuelles et les deux roues motorisés pendant ces perturbations climatiques. Les transports en commun sont à privilégier.

 

La Ville de Paris rappelle en outre que, dès que la température est inférieure à 2°C, le balayage est suspendu pour maintenir le sel, ainsi que le lavage pour éviter la formation de verglas dangereux pour la sécurité des piétons. En cas d’épisode neigeux important, la collecte des déchets ménagers pourrait le cas échéant être légèrement perturbée.

 

La Ville de Paris fournira toutes les informations utiles en cas d'intempéries par voie de presse et sur les journaux électroniques et sur le site www.paris.fr.

L'obésité facteur de risque de la maladie d'Alzheimer ?


La relation entre obésité et maladie d’Alzheimer vient d’être prouvée expérimentalement par les chercheurs de l’INSERM et de l’Université Nord de France. Principalement soutenus par la Fondation Coeur et Artères et publiés dans la revue Diabètes, ces travaux réalisés chez la souris renforcent l’idée du lien entre anomalies métaboliques et développement des démences.


Touchant plus de 860 000 personnes en France, la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées représentent la première cause de perte des fonctions intellectuelles liée à l’âge.
Selon l’INSERM, l'équipe « Alzheimer & Tauopathies » de l’unité mixte de recherche 837 (Inserm/Université Lille 2/Université Lille Nord de France) dirigée par le Dr. Luc Buée, en collaboration avec l'unité mixte de recherche 1011 « Récepteurs nucléaires, maladies cardiovasculaires et diabète », vient de montrer, chez la souris, que les sujets obèses ont des risques accrus de développer des symptômes liés à la maladie d’Alzheimer.


Pour parvenir à ce résultat, de jeunes souris transgéniques, qui développent progressivement avec l’âge, une neurodégenerescence liée à la protéine Tau, ont reçu durant 5 mois un régime riche en graisse, induisant une obésité progressive. A l’issue du régime, les souris obèses ont développé une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau.
Cette étude fournit la preuve expérimentale de la relation entre l'obésité et les pathologies liées à la protéine Tau dans un modèle de neurodégénérescence de la maladie d’Alzheimer. Elle indique par ailleurs que la résistance à l’insuline, présente dans le diabète de type 2, ne serait pas le facteur aggravant, contrairement à ce qui était suggéré dans les précédentes études, selon l’INSERM.
"Ces résultats sont importants car ils nous permettent de confirmer le rôle délétère de l'obésité sur les maladies neurodégénératives. Nos travaux actuels et futurs vont mesurer l'impact des protéines Tau sur les fonctions métaboliques, et nous permettront, à terme, de mieux traiter les importants facteurs de risques cardiovasculaires induits par l'obésité, comme l'hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie" a confié l’un des auteurs de l’étude, David Blum (chargé de recherche à l'Inserm), à la Fondation Coeur et Artères.
Pour en savoir plus sur le programme financé par la Fondation Coeur et Artères, voir l'interview du Dr Buée : http://www.fondacoeur.com/pr-luc-buee
Basée à Lille, la Fondation Coeur et Artères soutient la recherche et la prévention des maladies cardiovasculaires et leurs facteurs de risque (diabète, obésité, excès de cholestérol et hypertension artérielle…). Aujourd’hui, la Fondation finance de nombreuses recherches. Sa mission consiste également à informer, prévenir et donner les clés qui permettent à chacun de mieux se protéger contre les maladies cardiovasculaires. Reconnue d’utilité publique, la Fondation Coeur et Artères fait appel aux partenariats avec les entreprises, au mécénat, ainsi qu’aux dons des particuliers.
Pour en savoir plus sur la Fondation Coeur et Artères et les maladies cardiovasculaires : www.fondacoeur.com