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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 6 mars 2020
coronavirus et vidéo conférence
Communiqué de presse – 6 mars 2020
Coronavirus et visioconférence :
Glowbl se mobilise pour l'enseignement, la formation et le travail à distance
Lyon – L’épidémie de coronavirus apparue en Chine en décembre dernier apporte son lot de conséquences sur le territoire français qui est passé le 28 février dernier au stade 2. Fermetures d’écoles, mesures préventives des entreprises, annulations d’événements… autant de mesures barrières et de décisions qui pourraient s’amplifier avec le passage probable au stade 3, correspondant à « l’épidémie proprement dite ». Dans ce contexte, l’entreprise française Glowbl se mobilise pour répondre efficacement aux organisations, écoles et universités contraintes de déployer en urgence des outils de classes virtuelles et de réunions en ligne.
Assurer la continuité pédagogique
Des écoles ferment, d’autres se préparent à cette éventualité. Déjà des milliers d’élèves sont coupés nets dans leur apprentissage. La question est de savoir si la France est prête à pallier ce chamboulement en permettant aux étudiants et aux élèves d’être formés à distance à travers des outils digitaux. La filière EdTech française est riche de solutions. Il suffit de se pencher sur l’association EdTech France qui, à elle seule, regroupe plus de 240 entreprises innovantes qui mènent déjà des projets 100 % digitaux avec succès.
A titre d’exemple, depuis 2 ans déjà, l’école Cyber-Classe dispense des cours aux classes du collège au lycée. Cet établissement scolaire 100 % virtuel propose un projet éducatif destiné à des jeunes en rupture avec le système scolaire classique. Chaque jour, les cours de langues, de mathématiques ou de philosophie sont dispensés via Glowbl en temps réel entre les professeurs et les élèves, dans un cadre très proche de la réalité : les salles sont personnalisées, intuitives et tournées vers les interactions humaines.
Améliorer le télétravail
Le Code du Travail prévoit dans son article L1222-11 : « En cas de circonstances exceptionnelles, notamment de menace d'épidémie, ou en cas de force majeure, la mise en œuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés ».
Cette solution de prévention au sein des entreprises est d’ailleurs encouragée par la Ministre du travail, Muriel Pénicaud, qui a appelé à « adapter les conditions de travail, en télétravail ou en arrêt de travail ». Pour être optimales, ces conditions nécessitent d’être adaptées aux besoins des salariés. Ils ont besoin de pouvoir interagir en visioconférence tout en manipulant une grande variété de contenus. Ils vont organiser des réunions de travail, « brainstormer » avec leurs collègues ou encore assurer des rendez-vous clients, tout en gardant leurs réflexes quotidiens.
L’urgence de la situation nécessite des solutions légères et Glowbl, accessible directement dans le navigateur, a mis en place un processus de déploiement de licences nominatives permettant à une entreprise de doter des vagues de salariés de leurs propres salles virtuelles qui deviennent, pendant les semaines d’alerte, leur deuxième bureau.
Proposer une alternative face à l’annulation d’événements en présentiel
L’annulation de grands événements s’enchaînent et les annonces retentissent particulièrement fort : le Mobile World Congress, l’AWS Summit de Paris qui sera remplacé par une grande manifestation virtuelle…
Moins médiatiques, ce sont tous les événements programmés qui sont mis en danger : les formations commercialisées par les organismes de formation, les conférences d’entreprises etc.
Avec le salon Big Data Paris, Glowbl a déjà expérimenté les salons virtuels en prévoyant des webinars interactifs entre les exposants et le public. L’organisme de formation Comundi a démarré sa transition il y a quelques mois déjà en digitalisant des sessions de formation venant étoffer leur offre. Les classes virtuelles, accessibles sans installer de logiciel, peuvent être généralisées et le lien URL d’accès direct remplace l’adresse de la salle de formation.
A propos de Glowbl
Glowbl est une plateforme de visioconférence collaborative qui permet, grâce à son interface unique, de se réunir et d’interagir en temps réel au sein d’espaces en ligne personnalisés. Glowbl redonne la place à de vrais échanges humains par des expériences illimitées permettant de partager tous ses contenus et de reproduire les interactions de la vie réelle dans le cadre de réunions en ligne, de classes virtuelles, d’agences virtuelles et de webinars.
Pour en savoir plus
Bérengère Pery – press@glowbl.com
jeudi 5 mars 2020
Femmes, femmes, femmes
Un exemple flagrant est celui de l'entrepreneuriat. Interrogées, 63% des femmes considèrent avant même de se lancer qu'elles rencontreront plus d'obstacles que leurs homologues masculins. Elles sont également 65% à avouer avoir peur de l'échec.
Ce qui est vrai pour l'entrepreneuriat l'est aussi dans d'autres domaines : les femmes ont tendance à s'auto-censurer et à s'imposer des limites pour se conformer à un schéma stéréotypé et genré.
Mais comment sortir de cette impasse ? Pour Delali APEDO-Amah, entrepreneure et experte en stratégie d'accomplissement, la réponse est à chercher du côté du développement personnel. Plutôt que d'attendre que le monde change, il faut commencer par se changer soi-même !
L'idée est d'oser adopter un autre mindset pour sortir d'un carcan imposé et se donner enfin le droit :
- d'avoir des rêves pour son propre épanouissement, et pas uniquement celui des autres ;
- et surtout de les concrétiser à travers un projet de vie à son image.
A travers B'KELI, sa plateforme activatrice de bonne humeur, elle propose une méthode exclusive pour en finir enfin avec les phases cycliques d'échec.
Au programme : de la musique, de la joie et des techniques entrepreneuriales éprouvées au service du déploiement des destinées humaines et des entreprises.
Nous feriez-vous le plaisir d'annoncer le concept B'KELI ?
Souhaiteriez-vous participer à une session "j'aime" liée au thème Musique&Joie lors de la journée de la femme le dimanche 8/03, ou à un autre moment ?
Pour en savoir plus :
Délali APEDO-AMAH - contact@bkeli.com - 06 98 00 32 21.
Pour en savoir plus
Dossier de presse : https://www.relations-
Site web : https://www.bkeli.com
Facebook : https://fr-fr.facebook.com/
Instagram : https://www.instagram.com/
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Nouveau réfrigérateur bien utile pour les caravanes...
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Ne laissez pas les moustiques vous gâcher la vie!
Le Laboratoire Source Origine présente REPULSTICK® :
le 1er auto diffuseur nomade contre les moustiques et les tiques.
Après plusieurs années de recherche et d’essais, le Laboratoire Source Origine présente REPULSTICK®, premier auto diffuseur nomade nouvelle génération qui protège contre les moustiques (dont le moustique tigre) et les tiques, vecteurs de maladies telles que le chikungunya, le paludisme, la dengue ou la maladie de Lyme.
REPULSTICK® est issu de la fusion des polymères et des huiles essentielles, dont l'Eucalyptus Citronné et le Géraniol, reconnues pour leurs activités anti-insectes et anti-parasitaires. REPULSTICK® se compose d’une pastille répulsive et d’un support qui se porte au poignet ou à la cheville.
Dispositif 100 % naturel, testé par les Universités de Tours et de Neuchâtel (Suisse).
Protection de 360 heures en continu ou 45 jours à raison de 8 heures par jour.
Contact:
Alexandra Monsacré
06 08 93 76 00
mardi 3 mars 2020
Vente de médicaments en ligne
Décrié par les officinaux, ce projet est pourtant bien timide pour soutenir les pharmacies en ligne françaises, en retard face à leurs concurrentes européennes :
- Autorisation des entrepôts déportés : enfin !
- Plus d'obligation d'embaucher des pharmaciens pour vendre des crèmes anti-rides
- Création d'une plateforme unique de vente en ligne : un voeu pieu !
La pharmacie https://lasante.net/ salue ces propositions progressistes dont le seul but est d'offrir aux patients un service moderne et adapté.
En savoir plus:
Constance Coquerel - contact@lasante.net - 06 20 31 63 00
Lire le communiqué de presse sur Internet
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Programme de la journée annuelle de l'ADOM du 20 mars 2020
Le Coronavirus serait en fait un "petit joueur"
Infolettre n° 371 mardi 3 mars 2020 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur- | |
Covid-19, petit joueur ? On a beau se dire que 3 000 morts sur une population mondiale de 7,8 milliards d’individus, c’est peu et qu’à la date du 3 mars 2020 la probabilité d’être contaminé par le coronavirus est encore très inférieure à celle de décrocher le pactole à l’Euro-million de ce soir [l’espoir en moins, cela va sans dire…], beaucoup vont quand même choisir d’essayer de dénicher un masque chirurgical à la pharmacie du quartier au lieu de faire valider leur grille au bar-tabac du coin. Il est vrai que, si l’on veut se réconforter, mieux vaut ne pas trop se pencher sur l’histoire des pandémies. Il aura en effet fallu à peine 5 ans à la peste noire pour décimer la moitié de la population européenne au Moyen-âge, moins de deux ans à la grippe espagnole pour faire davantage de victimes que la première guerre mondiale et, si l’on met à part la nostalgie des événements de mai 68, quelques semaines seulement à la grippe de Hong Kong pour inscrire à son tableau de chasse planétaire un bon petit million de personnes. Au regard des scores très modestes du SRAS et de Ebola [respectivement 775 et 11 000 décès] qui nous ont pourtant fait sacrément flipper, seul le sida peut revendiquer une place de choix dans le Guiness Book des pandémies virales avec ses 30 millions de morts [et, soit dit en passant, toujours 6.000 contaminations annuelles supplémentaires en France]. Certes, comparaison n’est pas raison mais le Covid-19, en grande partie grâce aux progrès de l’infectiologie, fait quand même figure de petit joueur à ce stade de la compétition internationale et la France de nain sanitaire avec ses 191 cas et ses 3 décès. [La loi du mort kilométrique] Dans les écoles de journalisme, on enseigne depuis des lustres la loi du « mort kilométrique ». De quoi s’agit-il ? C’est basique mais facile à vérifier : plus un événement survient près de chez nous, plus il suscite d’émotion. Tant que le Coronavirus restait confiné du côté de l’Empire du milieu, de ses 80.000 malades et de ses 2 912 morts, les plus paranos choisissaient seulement de boycotter les restaurants chinois. Désormais, avec une centaine de cas repérés dans tout l’Hexagone, ce sont nos voisins de palier auxquels il n’est plus question de serrer la main et nos enfants qu’on devrait se résoudre à ne plus embrasser. Alors, au seuil du stade véritablement épidémique, ce serait sans doute nuire à la santé publique que de vouloir encore mettre en perspective la loi du mort kilométrique et la théorie de la relativité. Pourtant, si l’on peut aujourd’hui risquer une statistique optimiste, 98 % des individus porteurs du Covid-19 guérissent. Sauf évolution contraire, la quasi totalité de ceux qui nous ont fait l’amitié de lire cette Griffe ont toutes les chances de pouvoir réitérer la semaine prochaine. Si nous sommes en mesure de l’écrire bien sûr. Jacques DRAUSSIN | |
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Actualités du programme PASS
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Surloyer: témoignage de Gisèle Mahier
mercredi 26 février 2020
Face au risque de contaminations, les Français adoptent-ils les bons gestes de prévention...
Infographie_Ifop_Diogene_2020.02.21.pdf
Rapport_Ifop_Diogene_2020.02.25c.pdf
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"Pépé le putois", du mythe à la réalité... Les Français(es) sont-ils vraiment devenus propres ? Enquête sur l'évolution des comportements d'hygiène corporelle et domestique des Français (1951-2020)
En 1951, le magazine Elle dirigé alors par Françoise Giroud publiait une enquête qui fit scandale en mettant en évidence les conditions déplorables d'hygiène corporelle des Françaises qui souffraient encore, en cette période de reconstruction, d'un manque criant d'accès au confort sanitaire de base (ex : eau chaude, salle de bain ou douche). Soixante-dix ans après cette enquête qui confirmait les clichés sur le manque de propreté du Français - illustré alors à Hollywood par le personnage malodorant de « pépé le putois » oscarisé en 1949 -, l'Ifop publie une nouvelle étude qui permet de faire le point sur la propreté des Français dans un contexte de Coronavirus où le respect des bonnes pratiques en la matière est plus que jamais d'actualité : l'application des règles d'hygiène de base comme le lavage des mains après être allés aux WC ou avoir pris les transports en commun étant désormais un enjeu de santé publique. Réalisée pour le compte de Diogène France, société de nettoyage insalubre spécialisée dans les logements de victimes du syndrome de Diogène, cette enquête montre que, si globalement l'hygiène des Français a radicalement changé depuis les années 1950, une part de la population reste encore éloignée des standards de propreté et des bons usages face aux infections virales saisonnières.
1) Une toilette complète pas toujours quotidienne
2) Une amélioration du confort sanitaire de base qui ne se traduit pas toujours par la prise d'une douche quotidienne
3) Une fréquence de lavage des cheveux qui reste très genrée...
4) Face aux risques de transmission de virus comme le Coronavirus, le comportement des Français en matière de lavage des mains est problématique
5) Des sous-vêtements pas toujours changés à un rythme quotidien
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l'Ifop :
Loin d'être un sujet futile pouvant prêter à sourire, le manque d'hygiène corporelle des Français constitue aujourd'hui un véritable enjeu de santé publique au regard de cette étude qui montre qu'on ne peut plus le réduire à un cliché déconnecté de toute réalité... Car en dépit des larges progrès observés depuis l'après-guerre, des "poches de saleté" persistent dans certaines catégories de la population comme les hommes, les personnes âgées et isolées, ce qui explique sans doute pourquoi l'hexagone reste en retard au regard des standards de propreté : la France étant classée au 50ème rang sur 63 pays en matière d'hygiène des mains d'après une enquête internationale publiée en 2015 (Win Gallup International). Or, dans le contexte à haut risque du Coronavirus, l'application des règles d'hygiène de base comme le lavage des mains n'est plus seulement un devoir envers et pour soi-même mais aussi un devoir envers les autres.
Tel : 0661003776
POUR CITER CETTE ETUDE , IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE : « Étude Ifop pour Diogène-France.fr réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 31 janvier au 3 février 2020 auprès d'un échantillon de 2 005 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine. »
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mardi 25 février 2020
Le coup de griffe de Jacques Draussin...
Infolettre n° 370 mardi 25 fevrier 2020 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com | |
Punaise de lit ou cheval de bataille ? Que le gouvernement se préoccupe de l’invasion des punaises, après tout pourquoi pas ? Mais, contrairement à ce que de méchants esprits pourraient insinuer, l’action de sensibilisation lancée vendredi dernier par le ministre de la Ville et du Logement ne consiste nullement à donner un coup d’arrêt à la recrudescence des nuisibles au sein de la majorité. Il ne faut donc pas prendre au pied de la lettre l’URL de la campagne qui sonne, au choix, comme un slogan, une prière ou un aveu : stop-punaises.gouv.fr. Il serait également malvenu de voir dans cette initiative un encouragement implicite en direction d’Agnès Buzyn à reprendre l’une des propositions phares du programme de Benjamin Griveaux prévoyant, non le déplacement de la gare de l’Est, mais la création d’un « service municipal dédié aux punaises de lit ». Un dispositif de prévention qu’à titre personnel l’ex-candidat aurait sans doute aimé voir être mis en place plus tôt. Face à la pandémie de Covid-19, la mobilisation contre les punaises de lit peut, c’est vrai, sembler un peu dérisoire et pourtant, des bancs de la gauche à ceux de l’extrême droite, la totalité des groupes parlementaires se mobilisent avec une touchante unanimité pour cette cause qui pourrait, si cela continue, être surclassée en priorité de santé publique. Derrière Jean-Luc Mélenchon, les députés de La France Insoumise ont même exigé un plan national d’éradication* avec, pour faire bonne mesure, la mise en place d’un encadrement des prix pratiqués par les professionnels et, histoire d’afficher un positionnement écolo-disruptif, une interdiction des traitements chimiques. Après la réforme du système de retraite, la punaise de lit sera-t-elle le prochain cheval de bataille à l’Assemblée ? Celles z’et ceux que le débat démocratique démange n’y trouveront sans doute rien à redire. Jacques DRAUSSIN *Véridique | |