Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 8 octobre 2014

LA MUTUALITE FRANÇAISE ET L'UNAFAM S'UNISSENT POUR REPONDRE AUX FAMILLES TOUCHEES PAR LES MALADIES PSYCHIQUES



Le 10 octobre prochain, à l'occasion de la journée mondiale de la santé mentale, la Mutualité Française et l'Unafam signeront une convention dans le cadre du service Priorité Santé Mutualiste.


Aujourd'hui en France, plus de 2 millions de personnes souffrent de troubles psychiques sévères. Les maladies psychiques figurent au 3ème rang des maladies les plus fréquentes après le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Et on évalue à une sur cinq, le nombre de personnes qui souffrira de troubles psychiques au cours de sa vie.


A partir du 10 octobre, le service Priorité Santé Mutualiste dédié aux adhérents mutualistes et leur entourage, répondra aux questions en lien avec la santé mentale et les maladies psychiques. Depuis 2007, ce service, créé par la Mutualité Française, apporte des réponses concrètes et fiables aux questions sur la santé et le bien-être : les maladies, les traitements, les facteurs de risque et les modes de prévention. Il est disponible sur Internet à l'adresse www.prioritesantemutualiste.fr, au 39 35 ou au travers des Rencontres santé organisées sur tout le territoire.




L'unafam, union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques, apportera sa contribution à travers notamment le service « Ecoute-Famille » mis en place en 1997. Ce service gratuit, disponible au 01 42 63 03 03, est constitué de psychologues cliniciens formés à la psychopathologie et à l'écoute clinique au téléphone. Il s'adresse aux familles et amis de personnes atteintes de troubles psychiques.


« L'Unafam se réjouit de ce partenariat avec la Mutualité Française qui devrait permettre d'apporter des réponses et du soutien à un plus grand nombre de familles touchées par la maladie psychique». Philippe Charrier, président de l'Unafam.


« La souffrance psychique est un enjeu clé de santé publique », déclare Etienne Caniard, président de la Mutualité française. « Ce partenariat avec l'Unafam va permettre au mouvement mutualiste de mieux accompagner ses adhérents et leurs proches. Car c'est de la collaboration de l'ensemble des acteurs que dépend une meilleure prise en charge globale des malades ».


Plusieurs actions communes seront menées par la Mutualité Française et l'Unafam pour répondre au mieux aux adhérents mutualistes :

- Réponse en direct par l'unafam aux internautes lors d'un chat le 10 octobre à 11h

- Prise en charge par le service « Ecoute-Famille » de l'Unafam d'appels reçus par la plate-forme téléphonique Priorité Santé Mutualiste.

- Mise en ligne de contenus sur la santé mentale et le bien-être sur le site www.prioritesantemutualiste.fr




Contacts presse : Mutualité Française : Constance Baudry (06 85 29 82 22)/Christelle Cros (06 75 80 58 39)

Unafam : Elsa Ansquer (01 53 06 30 92)/Anne Pierre Noel (01 53 06 30 94).



La Mutualité Française
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit 450 mutuelles. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d'adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d'un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d'innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d'accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d'optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d'information, d'aide à l'orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d'unions régionales et ses services de soins et d'accompagnement. www.mutualite.fr





L'Unafam
Présidée par Philippe Charrier, l'Unafam est une association reconnue d'utilité publique, qui accueille, écoute, soutient, forme et accompagne les familles et l'entourage de personnes souffrant de troubles psychiques sévères depuis 1963. Elle a également pour mission de défendre les droits des malades psychiques.

Au sein de 120 délégations réparties sur tout le territoire, plus de 1700 bénévoles de l'UNAFAM se relaient toute l'année pour aller au plus près des familles afin de les aider à sortir de l'isolement et à faire face.

L'Unafam concentre son action au profit des personnes souffrant de troubles psychiques sévères, et de leurs proches, essentiellement des personnes atteintes de schizophrénies, de troubles bipolaires, de dépressions sévères et de troubles obsessionnels compulsifs.

L'unafam compte 13 000 adhérents et accueille chaque année près de 15 000 personnes.

L'Unafam est animée par la volonté d'intégrer les personnes malades psychiques dans la société et de leur offrir le plus d'autonomie possible.

www.unafam.org - N° Ecoute-famille : 01 42 63 03 03.

mardi 13 mai 2014

La Mutualité Française se mobilise durant la campagne des élections européennes


Dans le cadre de la campagne pour les prochaines élections européennes qui auront lieu le 25 mai 2014 en France, la Mutualité Française a décidé de sensibiliser les candidats en France aux grands enjeux pour le monde de la santé et pour les entreprises mutualistes de la complémentaire santé en mettant à leur disposition son « mémorandum européen ».

Avec ce document et les réunions qu’elle organise avec les candidats dans leurs régions respectives, la Mutualité Française compte mettre plus particulièrement en avant son engagement pour la reconnaissance de l’économie sociale et solidaire au niveau européen par le biais du statut de mutuelle européenne.

Selon Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, « le mémorandum européen est l’occasion pour la Mutualité Française de sensibiliser les partis et leurs représentants aux spécificités des mutuelles, notamment dans le cadre de la mise en oeuvre de Solvabilité II ».

Elle souhaite aussi donner corps à une réelle politique de santé publique à l’échelle européenne en particulier dans les domaines de la prévention et de l’accès aux données de santé.


Texte du  Mémorandum de la Mutualité Française:
 

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé. La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

lundi 7 avril 2014

La Mutualité Française s’étonne...

de certaines préconisations de la note du Conseil d’analyse économique « refonder l’assurance maladie »

 

La note des membres du Conseil d’analyse économique présentée au Premier ministre le 6 mars, « Refonder l’assurance maladie », met en lumière un certain nombre d’axes d’amélioration du système de santé. Le Conseil d’analyse économique pointe à juste titre le besoin d’un meilleur pilotage des dépenses de santé et préconise pour ce faire « une contractualisation [des complémentaires] avec les offreurs de soins ». « Cette préconisation va dans le sens des demandes répétées de la Mutualité Française » souligne Etienne Caniard.

 

En dénonçant la « liberté tarifaire » du secteur 2 et de « certains biens médicaux, notamment l’optique », comme source principale de l’aggravation du renoncement aux soins, les membres du Conseil d’analyse économique confortent également la Mutualité Française dans sa demande, récurrente, de mise en place d’une réelle maîtrise des tarifs. Néanmoins Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, « s’étonne de plusieurs préconisations qui pourraient aggraver certains déséquilibres actuels du système de santé ». En effet, les auteurs du rapport préconisent de couvrir à 100% les soins hospitaliers ce qui risque de générer « un appel d’air » vers les hôpitaux, coûteux et contraire à une bonne prise en charge des patients, alors même que l’ensemble des observateurs du système de santé s’accordent à dire :

 

- que la France se caractérise par un taux d’hospitalisation beaucoup plus important que celui existant au sein de pays comparables (30% d’hospitalisations en plus par rapport à la moyenne des pays de l’OCDE) ;

 

- que l’offre de premier recours doit être développée en créant de véritables parcours de soins conformément aux objectifs définis par la Stratégie nationale de santé. Enfin, souhaiter une concurrence accrue entre des complémentaires offrant des contrats au contenu administré offrirait peu d’intérêt, notamment parce qu’elle ne contribuerait ni à l’organisation du parcours de soins des patients, ni à la régulation de l’offre. « C’est au contraire une meilleure organisation du marché des complémentaires, par le biais d’un contrat solidaire et responsable rénové vers laquelle les pouvoirs publics doivent tendre » indique

Etienne Caniard appelant à « des propositions novatrices des pouvoirs publics sur la base d’un débat associant l’ensemble des acteurs ».

 

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents. Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques. Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé,

elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé. La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services

de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

vendredi 24 janvier 2014

Réseaux mutualistes conventionnés : la Mutualité Française satisfaite


La Mutualité Française prend acte avec satisfaction de la décision  du Conseil constitutionnel qui déclare la loi conforme à la Constitution
 
Le Conseil constitutionnel a rendu ce jour sa décision sur la saisine déposée le 26 décembre dernier contre la proposition de loi dite « Le Roux ». Cette loi, adoptée par le Parlement le 19 décembre 2013, met fin à l’interdiction pour les mutuelles d’améliorer le remboursement de leurs adhérents lorsqu’ils consultent un professionnel de santé avec lequel leur mutuelle a conclu une convention. Cette interdiction ne s’appliquait qu’aux mutuelles suite à un arrêt de la Cour de cassation de mars 2010.
 
La Mutualité Française prend acte de cette décision avec satisfaction. Elle souligne que la Cour des comptes, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), l'Inspection générale des finances (IGF) et l'Autorité de la concurrence avaient d’ailleurs recommandé en leur temps de légiférer en ce sens.
 

Sans perdre de vue que le champ du conventionnement ne s’applique qu’aux professionnels de santé dont le financement de l’assurance maladie est inférieur à 50%, Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, déclare que « les mutuelles vont désormais s’attacher à mettre en valeur les bénéfices du dispositif proposé par la loi pour les adhérents comme pour les professionnels de santé concernés afin de démontrer son utilité pour tous les acteurs ».

 
Ce texte permettra en effet d’améliorer la qualité des prestations, de réduire le reste à charge pour les patients, de réguler les tarifs et ceci dans le cadre de contrats signés avec les professionnels de santé qui le souhaitent.

 

À propos de la Mutualité Française
 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.
 
Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé. La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

vendredi 20 décembre 2013

Clauses de recommandation : La réaction d'Etienne Caniard


 

 

 
 

 

 
 

La Mutualité Française prend acte avec satisfaction de la décision du Conseil  Constitutionnel qui invalide le dispositif relatif aux

 « clauses de recommandation »

 
 





Le Conseil Constitutionnel a rendu ce jour une décision qui invalide, de facto, le dispositif introduit par la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014 relatif aux « clauses de recommandation ».





Ce dispositif avait pour but de favoriser, par le biais fiscal, les opérateurs en complémentaire santé recommandés par les branches professionnelles.





Le Conseil constitutionnel a considéré que la modulation du taux de forfait social entraîne une « rupture caractérisée de l’égalité devant les charges publiques »





La Mutualité Française prend acte de cette décision avec satisfaction.





Pour autant, « il ne faut pas perdre de vue les enjeux d’une véritable généralisation de la complémentaire santé telle que promise par le Président de la République » souligne Etienne Caniard.





La Mutualité Française rappelle en effet que la généralisation de l’accès à la complémentaire santé doit permettre à tous les Français d’accéder aux soins avec une couverture complémentaire de qualité.





Pour cela, l’élaboration des décrets sur les contrats solidaires et responsables sera déterminante. Le contenu des contrats solidaires et responsables rénovés, avec une fiscalité adaptée, équitable et incitative sera le garant d’une large mutualisation.





La Mutualité Française mettra tout en œuvre, aux côtés des pouvoirs publics, pour s’assurer que ces objectifs soient remplis.





À propos de la Mutualité Française
 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
 
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.
 
Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr
 
 
 
 







 
 
 










 

mardi 3 décembre 2013

« Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est concret »,

la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles

 
La Mutualité Française du 1er au 22 décembre 2013 reprend la parole dans les médias. Elle lance une campagne de communication dans la presse quotidienne nationale et régionale(1). A travers deux accroches qui utilisent un ton décalé, cette campagne interpelle le grand public sur les besoins en santé auxquels les mutuelles répondent concrètement.

 

 
 
 
 


Les deux accroches, « On peut vivre sans les mutuelles. Il suffit de n’être jamais malade » et « Vivre sans les mutuelles, ne serait-ce pas une solution à courte vue ? » soulignent le fait qu’aujourd’hui les mutuelles sont indispensables pour prendre en charge parfois jusqu’à 46% des soins courants remboursables, quand ce n’est pas la quasi-totalité pour certains secteurs comme l’optique.

 

Un renvoi sur le site www.mutualite.fr

 

Cette campagne renvoie au site de la Mutualité Française : www.mutualite.fr, pour expliquer en quoi une mutuelle est indispensable et quelles sont aujourd’hui les inégalités d’accès aux soins auxquelles les mutuelles souhaitent répondre. Les internautes peuvent y retrouver les propositions de la Mutualité Française.

 

(1) Cette campagne paraît dans la presse quotidienne nationale, « Le Journal du Dimanche », « Les Echos », « Le Parisien Aujourd’hui en France » et dans la presse quotidienne régionale. Elle est également présente sur internet sur les principaux sites d’information générale et de relais d’opinion : les sites de la PQR, lemonde.fr, liberation.fr, lefigaro.fr…

 

A propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

 

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


 



 
NDLR : MGEFI et Mutualité Française
 
La MGEFI soutient et s’associe pleinement à cette campagne





 

lundi 28 octobre 2013

La Mutualité Française est favorable à l’ouverture des données de santé et demande à être associée aux travaux sur ce sujet


Le 3 octobre 2013, Pierre-Louis Bras, inspecteur général des affaires sociales (IGAS), a remis à Marisol Touraine, Ministre des affaires sociales et de la santé, un rapport sur « la gouvernance et l’utilisation des données de santé ». Ce rapport préconise l’ouverture des données du Système d’information interrégimes de l’assurance-maladie (Sniiram) ainsi qu’une évolution de la gouvernance de l’accès aux données de santé s’appuyant sur un Haut conseil des données de santé doté d’un conseil scientifique et placé sous l’égide du ministère de la santé.

 

A la réception de ce rapport, la Ministre a pris la décision de confier au Directeur de la DREES la mise en œuvre de ses recommandations, tout en appelant à l’ouverture d’un débat public.

 

Dès 2003, la Mutualité Française a régulièrement pris position pour l’ouverture des données de santé assortie du strict respect de leur confidentialité et d’une exploitation non mercantile. Ces données du Sniiram qui concernent l’offre et la consommation de soins des assurés sociaux, leur montant comme leur description, donnent en effet une vision globale du recours de la population à notre système de santé et renseignent avec précision sur la nature des dépenses de santé des Français.

 

Dans l’intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité Française considère de ce fait que le partage et l’exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d’outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d’améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses.

C’est à cet effet que l’Institut des Données de Santé (IDS) a été créé en 2007. Indépendant du Sniiram et doté d’un pouvoir de contrôle, cet institut a organisé avec succès l’accès aux données du Sniiram dans un environnement sécurisé. Il a également contribué à une meilleure lecture des données de santé en produisant des tableaux de bords conçus comme des outils d’aide à la décision pour l’ensemble de ses membres (pouvoirs publics,  régimes d'assurance maladie obligatoire, Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, Union Nationale des Professionnels de santé, Collectif Interassociatif sur la Santé, Union Nationale des organismes d’assurance maladie complémentaire  et Fédérations hospitalières). L’IDS est aussi à l’origine de la mise en commun de données entre l’Assurance maladie obligatoire et les complémentaires santé pour améliorer la connaissance des restes à charge pour les patients, tout en préservant leur anonymat. 

 

C’est pourquoi, plutôt que la création d’une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité Française préconise une évolution de l’IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics tout en renforçant ses moyens d’action pour accélérer et sécuriser l’accès aux données de santé.

 

Favorable à un débat public sur l’ouverture des données de santé, la Mutualité Française souhaite y prendre toute sa part, tout en étant associée aux travaux à venir.

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

lundi 21 octobre 2013

Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoir sur le marché du médicament


La Mutualité Française publie aujourd’hui l’édition 2013 du "Mémento Médicament". Celui-ci fournit une analyse des principales données de ce marché et de son financement en direction des décideurs mutualistes et des acteurs de la politique du médicament. Cette nouvelle édition se penche plus particulièrement sur les prescriptions et les médicaments génériques comme levier d’amélioration de la qualité des soins.

 

Le paracétamol et les antiasthmatiques, premières molécules remboursées par les mutuelles, mais non génériquées !

 

Le paracétamol est, en France, la molécule la plus remboursée par les mutuelles. En 2012, elles ont consacré 117 millions d’euros aux remboursements de cet antalgique, en progression de +17,5% par rapport à 2011. Le paracétamol, mais aussi l’acide acétylsalicylique(1), sont toujours exclus du champ du répertoire des génériques en France, alors qu’une disposition législative de 2007 ouvre la possibilité réglementaire de créer des groupes génériques sans spécialité de référence.

 

Les antiasthmatiques administrés par voie respiratoire arrivent en deuxième position des remboursements des médicaments par les mutuelles. Or contrairement aux autres pays européens, les formes pharmaceutiques administrées par voie respiratoire ne peuvent pas être inscrites au répertoire des génériques.

 

La Mutualité Française demande donc l’élargissement du champ du répertoire des génériques aux molécules comme le paracétamol et l’acide acétylsalicylique, mais aussi aux antiasthmatiques, ainsi qu’une meilleure cohérence dans la politique de prix de ces molécules.

 

961 millions d’euros d’économies auraient pu être réalisées en 2012 si l’acceptation des médicaments génériques avait été totale, sans compter les gisements d’économies qui pourraient être réalisées avec l’élargissement du répertoire, de l’ordre de 400 millions d’euros.

 

 

Les prescriptions d’origine hospitalière comme frein au  développement des génériques

 

En 2012, les prescriptions d’origine hospitalière exécutées en ville ont représenté
5,8 milliards d’euros, soit 22,3% des remboursements de médicaments. En augmentation depuis plusieurs années, la majorité de ces prescriptions rédigées à l’hôpital concernent des médicaments sous brevet, notamment du fait d’un processus de référencement, avec pour conséquence la limitation du développement des génériques.

 

A ce sujet, la Mutualité Française demande le développement des mécanismes de régulation des dépenses hospitalières exécutées en ville, avec la mise en place de logiciels hospitaliers d’aide à la prescription permettant l’usage plus important des médicaments génériques.

 

La prescription en dénomination commune internationale (DCI): encore un trop faible recours

 

 Malgré les obligations réglementaires(2) et alors que l’usage de la DCI est un facteur clé de la sécurité sanitaire pour les patients, en France, seulement 12,3% des prescriptions des médecins sont libellés en DCI. C’est également une voie d’amélioration des pratiques des prescripteurs. Les marges de progression sont importantes notamment pour les médecins spécialistes qui réalisent en moyenne 6,9% de prescriptions en DCI contre 13,5% pour les généralistes.

 

Pour la Mutualité Française, prescrire en DCI permet d’améliorer la qualité des soins et leur efficience dans l’intérêt des patients, de diminuer les risques de surdosages, d’interactions médicamenteuses et d’allergies aux médicaments. Et comme l’a récemment souligné le sénateur Yves Daudigny dans son rapport parlementaire(3) rendu public le 17 octobre dernier, le développement de la prescription en DCI favorisera également la délivrance de médicaments génériques, aussi efficaces que les médicaments de marque et dont le coût est moins élevé pour la collectivité. La Mutualité Française préconise le renforcement de l’enseignement universitaire de la DCI et de ses nombreux avantages en matière de santé publique auprès des futurs médecins.

 

 

Vous trouverez, ci-joint, l’édition 2013 du « Mémento Médicament ».
Ce dépliant, accompagné de son commentaire détaillé est également disponible sur www.mutualite.fr, espace presse ou auprès du service de presse.

 

(1) Dénomination commune internationale (DCI) du nom de marque d'origine aspirine. La DCI mise en place par l’Organisation mondiale de la santé, désigne la substance active ou molécule contenue dans le médicament. C’est le vrai nom du médicament, contrairement à son nom de marque.

 

(2)Article 19 de la loi relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament adoptée, le 19 décembre 2011 qui prévoit que les prescriptions des médecins devront la mentionner d’ici le 1er janvier 2015.

 

(3) « Les médicaments génériques : des médicaments comme les autres », rapport déposé le 26 septembre 2013.

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.    
                         

NDLR : MGEFI et Mutualité Française

La MGEFI et son environnement                     
 

mardi 24 septembre 2013

La Mutualité Française accueille avec satisfaction la présentation de la stratégie nationale de santé


Lors des débats sur les échéances électorales de 2012, la Mutualité Française, qui fédère la quasi-totalité des mutuelles santé, avait insisté sur la nécessité de mettre en place un parcours de santé à partir des soins de premiers recours, ainsi que le tiers payant pour y accéder.

 

Elle accueille donc avec satisfaction la présentation de la stratégie nationale de santé par la Ministre des affaires sociales et de la santé et les 3 piliers de cette stratégie :

 

- le développement de la prévention à tous les âges de la vie,

- le parcours de santé organisé autour du patient et des soins de premier recours,

- la rénovation du pilotage du système de santé.

 

La Mutualité Française partage la volonté de mettre en place le tiers payant dans les soins de premiers recours qui permettra d'améliorer l'accès à des soins de qualité. La Mutualité Française participera activement aux travaux permettant d’y parvenir rapidement en respectant le rôle et la place de chacun : Assurance maladie obligatoire, Assurance maladie complémentaire et professionnels de santé.

 

La Mutualité Française accueille également avec satisfaction et impatience la généralisation de la complémentaire santé ainsi que la réorientation des aides publiques accordées aux garanties complémentaires vers les plus démunis. Elle réaffirme qu'une fiscalité volontariste est seule à même de permettre de développer des garanties solidaires et responsables.

 

Enfin, la Mutualité Française se félicite de la consécration de la démocratie sanitaire comme axe à part entière de la stratégie nationale de santé. Mouvement social historique, elle prendra naturellement toute sa place dans l’évolution envisagée. 

 

 

À propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr