Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 6 février 2013

Performances des entreprises, et si ça passait par la qualité de vie au travail ?

La Confédération organise une table ronde intitulée "Performances des entreprises, et si ça passait par la qualité de vie au travail ?" jeudi 28 février 2013, de 14 heures à 18 heures, à la Maison de la CFE-CGC :


Cette rencontre, animée par Carole Couvert, secrétaire générale de la CFE-CGC, s'articule autour de deux parties :


- 14h/15h30 : "Dans quelle mesure la qualité de vie au travail est un moyen pour agir sur la performance de l'entreprise ?"
avec François Dubreuil, directeur de projets à Entreprise&Personnel et Jean Kaspar, consultant en Stratégies Sociales.

- 15h30/16h00 : pause

- 16h00/17h30 : "De façon concrète, comment améliorer la qualité de vie dans l'entreprise ?"
avec William Dab, professeur de la chaire "Hygiène et sécurité" du CNAM et coordinateur du Réseau francophone de formation en santé au travail , François Dupuy, auteur de "Lost in management" et Jean-Christophe Sciberras, président de l'Association Nationale des DRH (ANDRH).

La Confédération est représentée par Bernard Salengro, secrétaire national CFE-CGC
en charge des Conditions de travail, du Handicap et de la Santé.

Pour télécharger l’invitation :

http://www.cfecgc.org/content/externals/docs.php?action=open&id=1194

N'hésitez donc pas à vous inscrire dès maintenant.

lundi 28 janvier 2013

A propos des troubles urinaires…


À noter :

Les moments où une femme est le plus exposée aux troubles urinaires :

• au début de sa vie sexuelle

• à la ménopause

• en voyage

• en cas de fatigue ou de stress.

Conseils en prévention des troubles urinaires :

• Boire suffi samment au quotidien et en plus grande quantité en cas de voyage

ou de fortes chaleurs (minimum 1,5 litre d’eau par jour)

• Veiller à une hygiène intime rigoureuse, en se lavant avec un produit adapté

• Aller aux toilettes dès que l’envie se fait sentir

• Penser également à uriner après un rapport sexuel

• Traiter une constipation chronique ou occasionnelle

• Éviter de porter des vêtements trop serrés et de la lingerie en matière synthétique.

En cas d’infection urinaire déclarée et si les troubles s’accompagnent de fi èvre ou de

douleurs lombaires, il est impératif de consulter un médecin.

 

Tout complément alimentaire doit être utilisé dans le cadre d’une alimentation variée et

équilibrée et d’un mode de vie sain. www.manger-bouger.fr

 

Trois nouvelles formules à base d’extrait de Cranberry en pharmacie Urisanol en sticks, gélules ou flash

lundi 3 décembre 2012

C'est à lire : « Une femme jour après jour » autoportraits au fil de la vie de Laurence Dugas-Fermon - Éditions Les Cavaliers de l’orage


Marre du reality show ? Le regard sur soi n’est pas obligatoirement synonyme de nombrilisme et de superficialité. Suivre une personne au jour le jour peut aussi et avant tout être une expérience profonde, esthétique, émouvante et juste.
Laurence Dugas-Fermon a eu ce courage : une femme au plus près d’elle-même livre ses émotions intimes, communes bien souvent à chacun de nous, dans un témoignage où les mots discourent avec les images
Ce travail, aussi troublant par sa sincérité que par sa poésie, est à mille lieues de ce à quoi nous sommes habitués. Ici l’intime est une confidence, le quotidien une grâce, et la proximité une invitation à regarder plus loin.
De page en page, en se livrant la femme se délivre, et nous conduit par un chemin de douceur vers le plus mystérieux que soi.

Ined : La fin de vie en France


Les décisions médicales en fin de vie en France

 

Au-delà des quelques cas d’euthanasie faisant l’actualité, qui concernent souvent des personnes jeunes lourdement handicapées, les médecins et les équipes hospitalières accompagnent chaque jour la fin de vie de patients âgés. Les décisions susceptibles d’abréger la vie sont-elles fréquentes ? Par qui sont-elles prises ? Sophie Pennec, Alain Monnier, Silvia Pontone et Régis Aubry nous livrent les premiers résultats de l’enquête La fin de vie en France menée par l’Institut national d’études démographiques cinq ans après l’adoption de la loi Leonetti.

 

Près de la moitié des décès (48 % en 2010) est précédée d’une décision médicale ayant pu hâter la mort du patient. Le plus souvent les traitements n’ont pas été administrés dans l’intention de provoquer la mort. Il s’agit de décisions destinées à intensifier le traitement de la douleur (27 %), ne pas instaurer un traitement susceptible de prolonger la vie (14 %) ou arrêter un tel traitement (3 %). Des médicaments ont été donnés afin de mettre délibérément fin à la vie dans seulement moins de 1 % des cas. Les décisions prises s’appuient donc dans leur grande majorité sur les dispositions de la loi Leonetti qui permet sous certaines conditions de limiter ou d’arrêter un traitement, ou d’administrer des médicaments afin de soulager les souffrances du patient.

 

Toutefois, la loi encadrant ces décisions n’est pas encore totalement connue ou respectée : les décisions de fin de vie ne sont pas toujours discutées avec les patients et les équipes soignantes. La loi donne par ailleurs la possibilité à chacun de rédiger à l’avance des directives anticipées et ainsi d’exprimer des souhaits pour sa fin de vie en cas d’incapacité de participer à la décision. Seuls 2,5 % des patients le font.

 
Pour plus d’information sur cette étude, vous pouvez contacter :

-  Sophie PENNEC (Chercheuse à l’Institut national d’études démographiques), tél. : +33 (0)1 56 06 21 51, (secrétariat : +33 (0)1 56 06 20 47), pennec@ined.fr

- Régis AUBRY (Observatoire), raubry@chu-besancon.fr

mardi 20 novembre 2012

LES MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE


Mardi 20 novembre 2012, 14h00

 

La fin de vie, l’Académie prend position (Mission Sicard) par Denys PELLERIN (Membre de l’Académie nationale de médecine

 

Présentation et vote du rapport

Pharmacovigilance : actualités et perspectives par Jean-Louis MONTASTRUC et Jean-Paul TILLEMENT

 

la pathologie immuno-fœtale

 

Présentation  par Paul VERT (Membre de l’Académie nationale de médecine)

 

 Conférence invitée

Le transfert placentaire des immuno-globulines par Elisabeth ELEFANT (Membre correspondent de l’Académie nationale de médecine, Centre de reference sur les agents tératogènes, Hôpital Trousseau - Paris)

 

 Communications

Glomérulopathie extra-membraneuse par immunisation materno-foetale par Pierre RONCO (Membre correspondant de l’Académie nationale de médecine, Néphrologie, Hôpital Tenon – PARIS) , Hanna DEBIEC

Les glomérulopathies extra-membraneuses (GEM) anténatales par alloimmunisation materno-fœtale sont une nouvelle entité due au passage transplacentaire d’anticorps maternels qui se fixent sur les podocytes des glomérules fœtaux et induisent une maladie rénale. Les anticorps pathogènes sont dirigés contre l’endopeptidase neutre (EPN)/CD10. Les mères, apparemment bien portantes, sont génétiquement déficientes en EPN et s’immunisent dès la première grossesse contre l’EPN/CD10 présente sur les cellules placentaires. Cette maladie que nous avons identifiée maintenant dans cinq familles représente la première cause prouvée de pathologie d’organe induite par alloimmunisation materno-fœtale. Les futures grossesses chez les mères immunisées étant à haut risque pour le fœtus, il est impératif de mettre au point des stratégies thérapeutiques visant à éliminer les anticorps pathogènes, voire à induire une tolérance spécifique, ce qui nécessite au préalable l’identification des épitopes reconnus.

 

Un modèle d’immunisation foeto-maternelle : le lupus néonatal

par Zahir AMOURA, Laurent ARNAUD, Alexis MATHIAN (Médecine interne 2 - Centre national de référence labellisé Lupus - Pitié-Salpêtrière – Paris)

Le lupus néonatal regroupe des manifestations liées à la transmission passive des anti-Ro/SSA et anti-La/SSB maternels. Il se traduit diversement, selon les cas, par une éruption cutanée qui disparaît avec la clairance des anticorps maternels, une atteinte hématologique ou hépatique, ou des complications neurologiques. La complication majeure est la constitution d’un bloc auriculo-ventriculaire congénital (BAVc) qui survient sur un cœur indemne de cardiopathie malformative. Les anticorps anti-Ro/SSA sont nécessaires mais néanmoins insuffisants pour entraîner un BAVc. La fréquence du BAVc chez les femmes porteuses d’un anticorps anti-SSA/Ro est estimée à 1 à 2 % et le risque de récurrence est de 10 à 17 %. Les mères de ces nouveau-nés sont soit asymptomatiques, soit atteintes de lupus érythémateux disséminé (LED) ou de syndrome de Sjögren (SS) .L’hypothèse physiopathologique qui prévaut actuellement fait intervenir une translocation des antigènes SSA/Ro et SSB/La à la surface des cardiocytes fœtaux apoptotiques où ils sont liés par les anticorps anti-SSA/Ro maternels. Ces cardiocytes recouverts par les anticorps anti-SSA/Ro sont phagocytés par les macrophages qui produisent en réponse des cytokines telles que le TNF et le TGFβ. Ce relargage de TGFβ favorise la transdifférenciation des fibroblastes en myofibroblastes qui sont des cellules capables d’entraîner un phénomène de fibrose, et par voie de conséquence la destruction du tissu de conduction. Le BAVc complet est définitif et est associé à une morbidité (nécessité d’implanter un pace maker dans les deux tiers des cas) et une mortalité (16 à 19 %) faisant toute la gravité de ce syndrome.

mardi 16 octobre 2012

SCOLARISATION DES ELEVES HANDICAPES


SCOLARISATION DES ELEVES HANDICAPES :

L'Unapei se félicite du lancement des travaux sur la professionnalisation des auxiliaires de vie scolaire (AVS).

 

Suite à la publication du rapport de la concertation sur la refondation de l'école et conformément à l'annonce du Président de la République, le groupe de travail sur la professionnalisation de l'aide humaine aux élèves en situation de handicap est aujourd'hui constitué. L'Unapei, membre du groupe de travail veillera à ce que les élèves handicapés aient enfin la garantie d'un accompagnement de qualité.

 

« Nous soulignons la cohérence des travaux engagés dans la refondation de l'Ecole par le Ministre de l'Education nationale. La concertation a été fructueuse.  Elle a permis de relancer la problématique de l'accompagnement des élèves handicapés et a conduit à la constitution d'un groupe de travail en vue de la professionnalisation de ces personnels indispensables à la réussite des élèves handicapés. Nous souhaitons que les travaux reposent sur une logique de réponse aux besoins de chaque élève en fonction de ses compétences, de son potentiel et de ses difficultés » déclare Christel Prado, présidente de l'Unapei.

 

L'Unapei espère que les travaux aboutiront et tient à rappeler qu'il est de la responsabilité de l'Education nationale d'assurer l'accompagnement des élèves handicapés à l'école. En effet, en 2009 un groupe de travail avait été constitué par le gouvernement précédent sur ce même sujet. Faute d'accord entre les ministères de l'Education nationale et du handicap sur le financement de ces personnels, les propositions n'avaient pu voir le jour.

 

L'Unapei réaffirmera ses positions, convaincue qu'être auxiliaire de vie scolaire doit constituer un véritable choix de carrière avec des possibilités d'évolution qui assureront la qualité de l'accompagnement et la réussite des élèves handicapés.

 

Selon l'Unapei, l'AVS doit avoir des compétences spécifiques. Sa mission est d'établir avec l'enfant une relation de confiance et de favoriser son autonomie, de faciliter son accès aux apprentissages et sa participation à la vie du groupe et d'instaurer une relation de qualité avec la famille. Pragmatique, l'Unapei souhaite que l'accompagnement proposé réponde aux besoins de l'élève handicapé dans une logique de parcours et non plus de filière.

 

À propos de l'Unapei

Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis :

Créé en 1960, l'Unapei est le premier mouvement associatif français œuvrant pour la représentation et la défense des intérêts des personnes handicapées mentales. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres.

L'Unapei est un mouvement national qui fédère 600 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).

L'Unapei en chiffres :

·         180 000 personnes handicapées accueillies

·         60 000 familles adhérentes des associations affiliées

·         3 000 établissements et services spécialisés

·         75 000 professionnels employés dans les associations et les établissements

Plus d'informations sur : www.unapei.org