Nora ANSELL-SALLES

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mardi 1 mars 2016

Mobilisation des agents publics : je me demande pourquoi...


 
Je me demande pourquoi...


Je viens de lire dans le magazine de la MGEFI, un article titré "Agents publics, notre protection sociale est-elle menacée ?". La mutuelle semble monter au créneau avec les syndicats.

Cette question, qui semble d'actualité revient un peu partout, y compris sur les réseaux sociaux : #24H24Semaines fait  allusion à cette campagne de  mobilisation d'information de la Mutualité Fonction Publique soutenue par pas moins de 8 organisations syndicales.

Si l'on en croit les propos évoqués la protection sociale des agents publics serait menacée... 

Une démarche intéressante pour autant dès lors qu'il s'agit de sauvegarder nos droits.

Je me demande s'il est possible d'avoir des précisions sur les menaces qui pèseraient sur notre protection sociale?




La réponse du blog Mine d'Infos


La protection sociale des agents publics est en effet menacée au regard de celle des salariés du privé. Ainsi depuis le 1er janvier tous les salariés bénéficient d'une couverture santé avec au minimum 50 % d'aide de l'employeur dans la cotisation. Comme cette disposition est obligatoire, les remboursements peuvent être plus élevés car tous les salariés sont obligés d' y adhérer.

Alors que pour les agents publics, l’État verse une subvention qui ne représente que 3 % par agent. 

De plus, quand un salarié est en arrêt de maladie : la Sécurité sociale lui verse 50 % d'indemnités journalières et au-delà, l'employeur complète y compris pour les 3 jours de délai de carence. Certaines sociétés prennent même à leur charge la invalidité et décès des conjoints de leurs salariés à hauteur de 75 %. C'est sans doute pour cela que  le 4ème jour de délai de carence a été abandonné... Lorsqu'un agent de l’État est en arrêt de maladie il ne perçoit qu'un demi-traitement, s'il n'a pas souscrit de couverture complémentaire, car la Sécurité sociale ne lui verse pas d'indemnités journalières et l'État ne complète pas. 

Pour tout complément d'information sur la campagne de la Mutualité Fonction Publique rendez-vous sur : MFP.FR/MOBILISATIONFONCTIONPUBLIQUE! Ou sur Mgefi.fr


Vous souhaitez apporter une précision, sur le sujet traité, ou poser une question d'autre général


Postez un commentaire. Pour toute question sur un cas personnel rapprochez-vous de votre conseiller mutualiste.

lundi 22 février 2016

#24H24Semaines CA BOUGE en IDF

#24H24Semaines une bonne initiative ce clip vidéo de Michel Médioni
https://www.facebook.com/mutualitefonctionpublique/videos/600852686729549/

lundi 19 janvier 2015

MG France annonce une grève le 5 février prochain

Le comité directeur de MG France, déterminé à intensifier la pression sur le gouvernement, annonce une nouvelle journée de grève le 5 février
jeudi 15 janvier 2015
Le comité directeur de MG France s’est réuni à Paris le 15 janvier pour analyser les réponses du gouvernement aux revendications des généralistes portées par le mouvement de mobilisation qui s’est amplifié depuis le 23 décembre. Ce mouvement s’impose par son ampleur et par sa durée comme l’un des événements majeurs survenus dans le paysage médical depuis de nombreuses années.
Les médecins généralistes déplorent l’absence de réponses concrètes à leurs revendications et sont déterminés à intensifier leur pression sur le gouvernement.

La chute démographique de la médecine générale va s’amplifier dans les cinq ans à venir.
L’indifférence du gouvernement veut-elle dire que la menace sur l’accès aux soins de proximité ne le concerne pas ?

MG France mobilise les médecins généralistes :
MG France refuse l’obligation du tiers-payant. L’accès aux soins est une préoccupation constante de MG France qui rappelle que le tiers-payant n’est possible que s’il est simple et garanti: une facture unique, un règlement unique, une garantie de paiement.
MG France exige la fin de la discrimination et l’arrêt de la maltraitance dont sont victimes les médecins généralistes.
Parmi toutes les spécialités médicales, les généralistes sont les seuls exclus de la majoration MPC portant la valeur de la consultation à 25 euros. Parmi tous les médecins, les généralistes sont les seules victimes d’une politique de harcèlement des caisses d’assurance maladie qui porte notamment sur les arrêts de travail et sur leurs prescriptions. Parmis tous les professionnels de santé les médecins généralistes sont les seuls à voir leur profession progressivement démantelée.
MG France exige la reconnaissance de la place de la médecine générale dans notre système de santé, avec des moyens et des outils adaptés.
MG France réclame un investissement sur les soins de proximité et rappelle les besoins spécifiques des médecins généralistes :
  • Une formation continue spécifique, répondant aux besoins de santé de la population, indemnisée 8 journées par an pour les médecins du secteur 1.
  • Une protection sociale de nature à permettre l’installation des jeunes médecins
  • Un forfait structure permettant de bénéficier de moyens de secrétariat.
  • Une rémunération de la coordination des soins.

MG France demande enfin des dispositions spécifiques pour l’accessibilité aux soins des personnes handicapées auprès de leur médecin traitant. 85% des cabinets de médecine générale en secteur 1 ne seront pas aux normes notamment à cause du coût disproportionné des travaux. MG France demande que ce problème soit géré par des dispositions spécifiques concernant les médecins généralistes qui se déplacent auprès des patients concernés.
MG France lance de nouvelles actions :
MG France appelle les médecins généralistes à utiliser tous les moyens à leur disposition pour faire entendre leurs attentes et leur impatience auprès du gouvernement.
  • MG France appelle les médecins généralistes à fermer à nouveau leurs cabinets le jeudi 5 février pour signifier leur colère auprès du gouvernement.
  • MG France appelle les médecins généralistes à poursuivre la grève des gardes débutée en décembre.
  • MG France appelle à la poursuite de la grève administrative lancée début janvier. Arrêt de l’utilisation des téléservices de l’Assurance-Maladie, grève de la télétransmission dès lors qu’elle ne pénalise pas les patients.
  • MG France demande à chaque généraliste d’interpeller patients et responsables politiques sur le risque que fait peser sur la santé publique l’abandon de la médecine générale par le gouvernement.
MG France invite la presse à une conférence de presse au siège du syndicat le mercredi 21 janvier à 11h pour évoquer les suites du mouvement.
Cette conférence de presse aura lieu en présence de médecins généralistes qui ont commencé à pratiquer la consultation à 25€ et la visite à 56€.

Mots clés : mobilisation, grève, soins primaires

Contacts :
  • Dr Claude LEICHER
  • Dr François WILTHIEN 
  • Dr Jacques BATTISTONI 

Référence du communiqué de presse :
N° 344 (à rappeler en cas de demande d'information complémentaire)
 

Président
Claude Leicher 1er vice-président
François Wilthien
Secrétaire Général
Jacques Battistoni Secrétaire gal adjoint
Jean-Louis Bensoussan
Trésorier
Gilles Urbejtel Trésorier adjoint
Bernard Plédran
Membre de droit
Jean-Claude Soulary

MG France Membre du coll�ge de la m�decine          g�n�rale MG France - 13 rue Fernand Léger, 75020 Paris   Tél 01 43 13 13 13 - Fax: 01 43 13 13 10 
mgfrance@mg-france.fr
Copyright 2013 MG France. Tous droits réservés

 



 

vendredi 17 janvier 2014

Mobilisation devant le siège de l'AP-HP le 18 janvier


 

Mobilisation devant le siège de l’AP-HP le 18 janvier pour sauver le service d'oncologie pédiatrique de l'hôpital Poincaré de Garches

L’unité d'oncologie pédiatrique de l'hôpital Poincaré de Garches (92) est menacée de fermeture après le départ en retraite de son chef de service Nicole Delépine, prévu en juillet 2014. Parents d’enfants cancéreux, médecins, associations et citoyens se mobilisent pour sauver ce service qui propose des soins spécifiques et personnalisés aux enfants atteints de cancer. Ils dénoncent les protocoles standardisés imposés par le ministère de la Santé et la direction de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP).



- Conférence de presse vendredi 17 janvier à Villeurbanne-


- Manifestation samedi 18 janvier devant le siège de l’AP-HP à Paris
-

 

"Il en va des chances de survie d’enfants atteints de cancer". Bernard Frau, porte-parole de l’association Ametist (Aide aux malades en traitement individualisé en spécialité tumorale), tire la sonnette d’alarme. L’association se mobilise depuis plusieurs mois suite aux menaces de fermeture du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital Poincaré de Garches après le départ en retraite de son chef de service, le docteur Nicole Delépine.


Un schéma thérapeutique adapté à chaque patient menacé


Depuis plus de 30 ans, le docteur Delépine est responsable de cette unité unique en France qui propose aux enfants atteints de cancer un schéma thérapeutique éprouvé qui applique à chaque patient le meilleur traitement connu en fonctions des données acquises de la science. Cette méthode de soins spécifiques consiste à intervenir le plus rapidement possible sur la tumeur, à engager une chimiothérapie générale, à mettre en place une chirurgie permettant d’éviter toute mutilation et, après la guérison, un suivi de l’enfant jusqu’à l’âge adulte.


Soins personnalisés contre soins standardisés et uniformes


Ces protocoles de soins entièrement personnalisés, adaptés à chaque patient et, si besoin, modifiables s’opposent radicalement aux protocoles standardisés imposés par le ministère de la Santé. Le monopole mis en place par le ministère, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris et l’Institut national du cancer (INCa) à travers les "plans cancer" conduit à la suppression de toute possibilité de choix thérapeutique. "L’unité du docteur Delépine est le seul recours hors de ce monopole uniforme, centralisé et autoritaire, explique Bernard Frau. Depuis les menaces de disparition du service, de nombreuses familles sont dans l’impasse et le désarroi, quand ce n’est pas la colère qui domine".


Marisol Touraine et Martin Hirsch muets


Malgré le silence de la ministre de la Santé Marisol Touraine et du directeur de l’AP-HP Martin Hirsch à qui ont été adressées des lettres ouvertes, la mobilisation ne faiblit pas. Soutenus par une pétition qui compte 18000 signataires, les membres de diverses associations accompagnant les enfants atteints du cancer (Ametist, Regarde la vie, SOS Lenny), les parents d’enfants malades, des médecins et de simples citoyens organisent diverses manifestations pour sauver le service du docteur Delépine.

Le Docteur Nicole Delépine viendra expliquer à la presse son combat pour une prise en charge individualisé du cancer dans son service d’oncologie de l’hôpital Poincaré de Garches. Elle dira pourquoi il est indispensable que perdure cet espace de liberté, unité qui a été reconnue en 2004 par le ministère de la Santé dans le cadre d'un accord entre le Ministère, l'Assistance Publique et les associations. Le docteur Delépine sera accompagnée de Bernard Frau, porte-parole de l’association Ametist.


 


Conférence de presse vendredi 17 Janvier à 11h30 dans le salon de l'hôtel ARIANA
163 cours Emile Zola - 69100 Villeurbanne

 

Les associations Ametist, Regarde la vie, SOS Lenny, les familles, et les soutiens multiples informent les autorités qu’elles se réuniront devant le siège de AP-HP samedi 18 janvier à 15 heures, avenue Victoria, 75004 Paris

 


A propos de l'association AMETIST


Ametist est une association de parents d'enfants qui sont ou ont été soignés dans l'unité d'oncologie pédiatrique dirigée par le docteur Nicole Delépine. En font également partie des médecins et des personnes privées, unis par la volonté de soutenir une entreprise originale qui applique un traitement personnalisé aux jeunes malades atteints de cancers infantiles, au sein de l'Assistance publique de Paris. Les membres de l’association  Ametist offrent un soutien matériel et moral aux malades et à leur famille, défendent le maintien de l’unité et préservent sa spécificité, oeuvrent pour son fonctionnement et sa reconnaissance et participent à l’information sur l’organisation et le développement de l’oncologie.



Pour plus d’informations :


Le site de l’association Ametist : http://www.ametist.org
Le site du Docteur Delépine : http://www.nicoledelepine.fr
Pétition en ligne : http://www.ametist.org/association_ametist_petition.php

Lettre au président de la République Francois Hollande :
http://www.nicoledelepine.fr/nicoledelepine-lettre-au-president-hollande-pour-le-maintien-du-service-du-docteur- delepine-237.html


Lettre ouverte à Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP :
www.ametist.org/association-ametist-127-lettre_ouverte_a_martin_hirsch_directeur_general_de_lap- hp.html


Lettre ouverte au ministre de la Santé Marisol Touraine :
www.nicoledelepine.fr/nicoledelepine-lettre-ouverte-ministre-sante-delepine-223.html



jeudi 10 octobre 2013

« ETATS GENERAUX DE LA PREMATURITE » :


MEDECINS, PARENTS ET POLITIQUES APPELLENT A LA MOBILISATION
POUR LA MISE EN PLACE D’UN « PLAN PREMATURITE »

La prématurité c’est 6.6% de l’ensemble des naissances vivantes en France, 7,4% (morts nés inclus) soit 60 000 enfants qui naissent prématurés tous les ans et c’est 15 millions de naissances dans le monde. Ce chiffre est en régulière augmentation et place la France au 10e rang en Europe.
La prématurité est la principale cause de décès chez les nouveau-nés. La grande prématurité (naissance avant 7 mois de grossesse) est responsable de 5% de séquelles neurologiques sévères et de 35% d’anomalies neurodéveloppementales modérées ou mineures. La très grande prématurité (naissance avant 6 mois de grossesse) est associée à 4 fois plus de difficultés scolaires.
Face à ce constat, l’association SOS Préma et la Société Française de Néonatologie décidaient en octobre 2012 de fonder le Collectif Prématurité. Leur objectif : dresser un état des lieux de la prématurité en France et proposer des axes d’actions à mener pour en améliorer la prévention et la prise en charge.
Un an après, fort des échanges initiés mais préoccupés par l’absence d’une volonté politique propre à redresser une situation toujours plus préoccupante, le Collectif Prématurité organise les premiers Etats Généraux de la Prématurité à l’Assemblée Nationale, sous le Haut Patronage de Madame Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé et en présence de Mme Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des Droits des Femmes. Avec cet événement, le Collectif appelle à la mobilisation de tous pour alerter les pouvoirs publics et aboutir à la mise en place d’un « Plan pour la Prématurité ».



Lire l'intégralité de l'information presse


 Télécharger la frise sur le parcours du prématuré en France


Pour en savoir plus, rendez-vous sur
 

jeudi 25 juillet 2013

vendredi 19 juillet 2013

Statut de mutuelle européenne :


Mobilisation de la Mutualité Française pour l'adoption du statut avant mai 2014

 

La consultation de la Commission européenne sur l’opportunité d’un statut de mutuelle européenne, qui s’est achevée le 14 juin, a recueilli 340 réponses parvenues de toute l’Europe. Ce signal fort de la part des citoyens européens et de la société civile a été entendu par la Commission européenne. Diego Canga Fano, le chef de cabinet d’Antonio Tajani, Vice-président de la Commission européenne, a ainsi annoncé le 10 juillet, lors de l’Intergroupe Services Publics réuni à Bruxelles, le lancement par la Commission d’une étude d’impact, dernière étape avant la rédaction d’un projet de statut.

 

La Mutualité Française, qui fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, a largement contribué à la mobilisation autour de la consultation sur l’opportunité d’un tel statut, en y associant ses partenaires tant sur le plan national qu’européen. Elle accueille favorablement le lancement de cette étude d’impact et se mobilise désormais avec ses partenaires français et européens pour que le projet de statut soit présenté d’ici la fin de la mandature européenne, avant mai 2014.

 

Rappelons que le Parlement européen avait adopté en mars 2013 le rapport de l’eurodéputé italien, Luigi Berlinger, en faveur d’un statut de mutuelle européenne, reflétant ainsi l’expression majoritaire des 3 000 entreprises qui fonctionnent sous une forme mutualiste en Europe et apportent leurs services à plus de 230 millions de citoyens européens, en employant plus de 350 000 salariés(1).

 

La mobilisation de la Mutualité Française sur le statut de la mutuelle européenne illustre sa volonté d’agir pour que les mutuelles, au même titre que les sociétés de capitaux, puissent agir à l’échelle européenne, et notamment mener des activités transfrontalières, étendre le modèle mutualiste à toute l’Europe et constituer des groupes mutualistes européens.

 

(1) Source : Rapport PANTEIA - 2012

 

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.

lundi 8 avril 2013

Sidaction 2013 : Vous avez jusqu 'au 18 avril pour faire un don


Après les trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

 

 

dimanche 7 avril 2013

Sidaction 2013 : appel aux dons


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

samedi 6 avril 2013

Sidaction 2013: tous les dons comptent...


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

vendredi 5 avril 2013

Sidaction 2013 : c'est parti


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

 

 
Sidaction 2013, www.sidaction.org, mobilisation, soutien, médias, partenaires, recherche, sida, SMS

jeudi 4 avril 2013

Sidaction 2013 : J- 1


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

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