Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 10 avril 2015

Best-of du 1er trimestre 2015

ILS ONT FAIT LE BUZZ 


HIT DES PAGES LES PLUS LUES DU 1er trimestre 2015:

Serge Brichet Pdt. de la #MGEFI et de la #MFP était ce matin l'invité du #cafenile


ALERTE INFO : Mine d'infos vient de franchir la barre des 4OO OO visites.

La dépêche du café nile de Serge Brichet est la plus lue pour 2015

Un grand merci aux lecteurs pour leur soutien.

En route  vers les 500 000...

En savoir plus
http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/04/400-000-cest-le-nombre-de-visites.html




























Retrouvez au fil de l'eau les actualités Mgefi sur : http://pressentinelle2.blogspot.fr/

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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Économie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.



AGENDA MGEFI

17 et 18 juin 2015
Assemblée générale de la MGEFI
au Palais du Pharo de Marseille
En savoir plus : http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/03/mgefi2015.html

A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements les plus graves et aux risques les plus lourds, qui peuvent intervenir tout au long de la vie, non couverts par le statut de la Fonction Publique.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
■  www.mgefi.fr



 
  
TRÈS BON WEEK-END





mardi 28 octobre 2014

Le LEEM met ses salariés en scène...

Entreprises du médicament : les salariés témoignent !



Le Leem lance aujourd'hui, sur Internet, une série de 12 vidéos-témoignages de salariés de l’industrie du médicament.

Le parti-pris a été de donner la parole à des collaborateurs, tous volontaires, pour qu'ils racontent – spontanément, avec leurs mots - leur métier et les convictions qui les animent. Ces vidéos ont été tournées sur leur lieu de travail, dans plusieurs entreprises en France (Janssen, Lilly, Novartis, Sanofi, Transgène…).

La série de mini-vidéos (d’une durée de 50" chacune) est diffusée sur Internet et les réseaux sociaux (Twitter, Linkedin, Facebook, Pinterest…). Elle constitue le premier volet d'une campagne visant à incarner et rendre plus proche l’industrie du médicament, souvent perçue comme anonyme et lointaine.

Cette plongée dans les coulisses des laboratoires devrait permettre à un large public de mieux saisir la réalité des entreprises du secteur et de leur fonctionnement. Les témoignages mettent en avant deux préoccupations constantes des salariés : la sécurité et l'innovation, au service des patients.

L’industrie du médicament compte 100.000 collaborateurs directs en France, dans plus de 150 métiers.
 
Pour consulter les 12 vidéos :

jeudi 6 mars 2014

ACADEMIES MEDECINE ET PHARMACIE : à propos de l'information médicament et santé

Pour une information du public scientifiquement fondée, impartiale, facilement accessible et
compréhensible dans le domaine du médicament
 


Rapport commun
de l’Académie nationale de médecine
et de l’Académie nationale de pharmacie

 

Au nom d’un groupe de travail commun :

 

Président : Gilles Bouvenot
Au titre de l’Académie nationale de médecine : Monique Adolphe, Gilles Bouvenot, Yves Chapuis, Jean-Paul Giroud, Patrice Queneau, Jean Sassard, Jean-Paul Tillement, avec la participation de Pierre Bégué et Michel Lhermitte

Au titre de l’Académie nationale de pharmacie : Alain Astier, François Chast, Jean-Pierre Foucher, Jean-Loup Parier


Liens d’intérêts:
Le rapporteur déclare un lien d’intérêt intellectuel : il a été membre du Collège de la Haute Autorité de santé (HAS) de 2004 à 2014 et a présidé la commission de la transparence de la HAS de 2003 à 2014.

 
L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles. Préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées, elles émettent un certain nombre de recommandations destinées à permettre de faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté, dans ce contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible pour le public. Ces recommandations s’adressent aux émetteurs d’informations les plus qualifiés que sont d’abord les pouvoirs publics et les autorités et agences de santé dont les trop nombreux silences, mais aussi le manque de réactivité et la production de messages peu adaptés au grand public ne permettent pas une présence suffisamment forte et visible dans les débats et polémiques ; ensuite à l’Assurance maladie qui devrait davantage donner accès aux très nombreuses données dont elle dispose et davantage les exploiter ; aux sociétés savantes qui doivent se garder de cautionner et de promouvoir des informations prometteuses mais non encore confirmées ; aux professionnels de santé qui restent les sources principales d’information du public et les meilleurs relais des informations émanant des autorités et dont la crédibilité des messages repose non seulement sur l’actualisation de leurs connaissances mais aussi sur leur indépendance; enfin, aux associations de patients et aux patients qui, dans leur quête d’informations, doivent prioritairement recourir à leurs médecins et à leurs pharmaciens, en particulier ne jamais interrompre brutalement un traitement en cours ou modifier sa posologie sans leur en avoir préalablement parlé et faire preuve de la plus grande prudence vis-à-vis de documents ou messages électroniques ou non dont l’origine et la qualité ne sont ni identifiées ni validées.
Recommandations

 
L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie :
rappellent que les médicaments, développés, évalués et surveillés avec la rigueur scientifique nécessaire, guérissent, soulagent et transforment la vie d’un nombre considérable de personnes ;
considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent, dans le public, à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles ;
sont de plus en plus préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées ;
ont décidé, dans le but de contribuer à faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté dans un contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible par le public, de faire les recommandations qui suivent.
 
Les Académies nationales de médecine et de pharmacie recommandent :


1. Aux pouvoirs publics :
d’amplifier les campagnes officielles en faveur du bon usage des médicaments, particulièrement lorsque la santé publique est en cause ;
d’adopter une politique de communication claire et pérenne en faveur de la vaccination, y compris par des campagnes ciblées ;
de poursuivre leur politique d’exigence en termes de déclaration d’intérêts éventuels, pour toute personne s’exprimant dans le domaine de la santé publique et en particulier dans celui du médicament ;
de s’assurer, en les coordonnant, de la cohérence des messages officiels issus des différentes institutions et autorités de santé ;
de faire en sorte que le contenu de la base publique de données sur le médicament :



- ne soit pas une simple compilation de monographies destinée aux professionnels, mais soit rendue accessible au grand public par un travail d’auteur et une rédaction plus appropriée à cet usage ;

- soit actualisée périodiquement et même conjoncturellement en cas de survenue d’un débat public ou d’une crise médiatique ;

- évolue dans les meilleurs délais vers un service public d’information en santé ;
de veiller à ce que la formation initiale des professionnels de santé comme le contenu et les modalités de leur développement professionnel continu soient indépendants de toute influence extérieure, y compris pour leur financement.

2. Aux Autorités et agences de santé :
d’intervenir en première ligne, rapidement, de manière non ambiguë et cohérente, face à la diffusion d’informations erronées, à plus forte raison en cas de polémique ou de crise, pour rappeler le canon de leur doctrine ;
de rappeler régulièrement mais aussi conjoncturellement que :



- tout médicament est « à risque » et que l’octroi de son Autorisation de mise sur le marché signifie que les avantages qu’il procure l’emportent sur les inconvénients ou les accidents qu’il est susceptible d’induire ;

- l’utilisation d’un médicament en dehors de son indication ou selon des modalités ne respectant pas son AMM peut avoir des effets délétères et ne se conçoit qu’à titre exceptionnel, dans un encadrement contrôlé.
d’améliorer la lisibilité de leurs prises de position et de leurs productions, d’en faire des synthèses en langage compréhensible par tous ;
de veiller à la clarté des informations fournies dans les notices situées dans les conditionnements ;
dans le domaine spécifique de l’automédication :

- d’apporter une information claire, pratique et adaptée sur tous les symptômes qui en sont justiciables ;

- de fournir une information validée sur la réelle efficacité des médicaments concernés.


3. A l’assurance maladie :
de développer ses campagnes médiatiques à destination du public et ses actions auprès des professionnels de santé, afin de contribuer à la dissémination à grande échelle d’informations scientifiquement fondées et validées ;
de donner accès aux épidémiologistes et d’exploiter davantage les très nombreuses données dont elle dispose qui sont non seulement susceptibles de mieux faire connaître les pratiques et de détecter les dérives mais encore, par le croisement avec d’autres bases de données comme le PMSI, d’imputer des accidents à un médicament donné et d’orienter de manière pertinente les messages et campagnes officiels.
 
 
Lire le rapport : http://www.calameo.com/books/003152624dd3b41568339