|
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Affichage des articles dont le libellé est Coup de projecteur. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Coup de projecteur. Afficher tous les articles
mercredi 18 février 2015
Coup de projecteur sur la Lettre de Pascal Beau
Santé connectée: pour ne pas perdre le fil...
COUP DE PROJECTEUR SUR LA SANTÉ CONNECTÉE Résultats pour #DebatOrdre #santéconnectée
Top /
Tout
Amusez-vous à l'aide du lien http://www.cyber3d.fr/mine2/ à découvrir l'image en 3D
|
mardi 17 février 2015
Les rendez-vous de la Fondation Pfizer en 2015
« Prévention ados, tout un scénario », 2ème édition de l’appel à projets
Rapport au corps, relations amoureuses et sommeil des adolescents : résultats de l’enquête Fondation Pfizer / Ipsos Santé « Bien dans sa tête, bien dans son corps » Forte du succès de l’appel à projets « Prévention ados, tout un scénario » initié en 2014 sur les comportements à risques la Fondation Pfizer, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, lance, cette année, une deuxième édition portant sur la prévention santé des adolescents « Bien dans sa tête, bien dans son corps ».
Cette année, les élèves de 15 lycées volontaires de 8 académies* sont invités à réfléchir et échanger sur trois thématiques : le sommeil, les relations amoureuses et le rapport au corps des adolescents. L’objectif de cette démarche : écrire un scénario de prévention portant sur l’une des 3 thématiques qui sera, ensuite, soumis à un jury d’experts et un jury d’adolescents en mai. Les lauréats et le palmarès seront divulgués en juin et le scénario gagnant sera produit par la Fondation.
Conjointement à cet appel à projets, Ipsos Santé réalise, pour la Fondation Pfizer, une enquête intitulée « Bien dans sa tête, bien dans son corps » et subdivisée en trois parties :
les adolescents et le sommeil dont les résultats seront diffusés le 27 mars, à l’occasion de la journée nationale du sommeil
les adolescents et les relations amoureuses. Les résultats seront présentés courant avril
les adolescents et leur rapport au corps. Les résultats ainsi que ceux du baromètre Bien-être des adolescents seront dévoilés en juin.
Depuis 10 ans, la Fondation Pfizer initie et soutient des projets qui donnent la parole aux adolescents, permettant ainsi de faire valoir leurs opinions sur des sujets qui les concernent directement.
Découvrez la nouvelle édition de « Prévention Ados : tout un scénario ! » et toutes les actions de la Fondation Pfizer sur son site Internet www.fondation-pfizer.org
SERVICE DE PRESSE FONDATION PFIZER
Capital Image / Stéphanie Chevrel Catherine Raynaud
45, rue de Courcelles - 75008 Paris Déléguée générale de la Fondation Pfizer
Tél. : 01 45 63 19 00 - Fax : 01 45 63 19 20 Tél. : 01 58 07 43 35
info@capitalimage.net catherine.raynaud@pfizer.com www.capitalimage.net - @CapitalImageFr
* Amiens, Caen, Lille, Lyon, Orléans-Tours, Poitiers, Strasbourg et Toulouse
en partenariat avec
Suivez la Fondation sur twitter : @FondationPfizer
@FondationPfizer
jeudi 18 septembre 2014
Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les ....
Claude Leicher : « Le sentiment de malaise est de plus en plus fort »
Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les
revendications des médecins. Il précise leurs attentes face à la loi de santé en préparation et aux
négociations en cours avec l’assurance-maladie sur les accords interprofessionnels.
Vous avez récemment exprimé votre mécontentement, voire votre colère, devant les atermoiements du
gouvernement face aux mesures attendues par MG France dans le champ des soins primaires ? Est-ce que le
torchon brûle entre MG France et le gouvernement ?
MG France n’est pas du style à faire brûler les torchons, MG France est plutôt du style à se fâcher et à agir. Cela
fait deux ans que Marisol Touraine est en fonction dans le gouvernement de François Hollande. Elle a appris le
métier et développé son programme politique qui s’appelle Stratégie nationale de santé. Nous avons perçu une
volonté, exprimée dans les discours, d’engager un virage ambulatoire et un développement des soins
primaires.
A la lecture des premières mesures – qui d’ailleurs tardent à venir – nous percevons surtout un éclatement du
métier du médecin généraliste, avec des tâches qui sont confiées à d’autres professionnels, alors qu’elles sont
traditionnellement confiées au médecin traitant.
Il y a non seulement de la déception et de l’inquiétude, mais aussi de la colère qui commence à monter. Nous
constatons que la stratégie gouvernementale est à l’inverse de ce qu’il faut faire. On inquiète de plus en plus le
médecin généraliste, on renforce l’idée qu’on est déjà en train de préparer sa substitution. S’il n’y a plus de
médecin généraliste demain, par quelle profession va-t-on le remplacer ? Le sentiment de malaise est de plus
en plus fort. Tellement fort que les anciens s’en vont de plus en plus tôt et que les plus jeunes ne s’installent
pas, sauf si on leur organise un système dans lequel ils n’ont pas à investir de l’argent. Ces jeunes veulent bien
s’installer, mais sont tellement préoccupés par l'exercice libéral sinistré qu’il faut les accueillir dans des lieux où
ils n’auront pas d’inquiétude sur les charges qui pèseront sur eux. La catastrophe démographique annoncée est
arrivée. Les chiffres sont spectaculaires, comme en Ile-de-France où il n’y aura bientôt plus de généralistes.
Qu’attendez-vous désormais de la loi de santé ?
Il n'est pas trop tard pour rectifier le tir. Un exemple : le service territorial de santé au public. C’est le type
même de la chose « faite à l’envers ». Tout le monde est d’accord pour développer ce niveau du système de
santé. Mais, nous l’avons dit au gouvernement, c’est aux professionnels de santé de s’organiser : par exemple,
il leur revient de créer ou non une maison de santé. Le gouvernement reprend la proposition d’administration
ambulatoire des territoires de proximité par les Agences régionales de santé (ARS). Créer des commissions pour
gérer la territorialité n’est pas ce qu’il faut faire. Il faut à l’inverse donner des espaces de créativité et de liberté
aux professionnels pour qu'ils puissent organiser eux-mêmes leurs conditions de travail dans un cahier des
charges qui réponde aux besoins de santé de la population.
Si le gouvernement ne corrige pas sa copie, MG France luttera contre ce projet de d’administration du secteur
ambulatoire, à l'image de ce qui s’est fait de façon catastrophique dans le secteur hospitalier.
Où en êtes-vous du dossier de la coordination des soins et du travail en équipe dans vos négociations avec
l’assurance maladie ?
La première étape des accords touche un niveau de coordination autour d'un patient, organisé par les
professionnels entre eux - à deux, trois ou quatre -, dans un système qui doit être simple et accessible à tous
les professionnels de santé. La 2ème étape concerne la rémunération d’une équipe. La troisième s'adresse à
ceux qui veulent organiser la coordination sur un territoire, par exemple entre l’hôpital et la ville.
Mon inquiétude, c’est que l’assurance maladie joue un jeu chaloupé dans lequel elle a pour objectif de
diminuer les durées de séjour hospitalier, avec des accords qui privilégient les sorties d’hôpital. Or sur ce point,
nous voulons surtout des aides pour nous organiser en ambulatoire, autour de la fonction du médecin traitant,
en considérant que le médecin traitant est obligatoirement partie prenante de cette coordination, qui ne peut
être qu’à l’initiative des acteurs de terrain.
Nous avons l’impression que l’assurance maladie nous entraîne plutôt vers une direction presque unique : la
sortie de l’hôpital. Mais la coordination ne se limite pas du tout à l'organisation ville-hôpital. Il s'agit d’organiser
les équipes de soins primaires. Nous sommes en tension avec l’assurance maladie, et avec d’autres
organisations professionnelles qui ne veulent pas organiser les soins primaires et qui préfèrent mettre de
l’argent sur la technique, l’imagerie, l’hospitalisation. Il existe un vrai enjeu, qui est l’organisation du futur
virage ambulatoire. Mais nous avons besoin que l’assurance maladie comprenne et appuie mieux cet enjeu.
Les médecins attendent aussi des signes concrets, notamment une revalorisation des actes. Où en êtes-vous
sur ce dossier des rémunérations « complexes et peu lisibles » selon le dernier rapport de la Cour des
Comptes sur la Sécurité sociale ?
C’est un autre dossier. Nous ne le mélangeons pas avec la coordination des soins. MG France considère qu’il y
a une véritable discrimination conventionnelle. Je citerai deux exemples très précis : en 1990, on a interdit aux
médecins généralistes de choisir le secteur 2. En 2007, la discrimination s’est accentuée avec une consultation
à 25 euros pour tout le monde, sauf pour les généralistes. C’est inacceptable ! Les consultations sont de plus en
plus lourdes, mais restent bloquées à 23 euros. Certes, nous avons contribué à développer d’autres modes de
rémunération, mais ils restent insuffisants : 88 % de la rémunération d’un médecin généraliste sont basés sur la
rémunération à l’acte, et 23 euros ne peuvent pas rémunérer une consultation qui peut être amenée à traiter
5, 6 ou 7 problèmes différents, et qui inclut de surcroit des démarches de dépistage et de prévention. Cette
densité du contenu de nos consultations est le résultat du choix du patient qui veut « rentabiliser » sa
consultation. MG France veut toujours développer des rémunérations forfaitaires complémentaires, mais la
valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui pour la visite, que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cette densité est
le désir du patient qui veut « rentabiliser » sa consultation. MG France veut développer la rémunération
forfaitaire, mais la valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cela doit devenir
le tarif normal de toutes les visites à domicile. Ensuite, nous exigeons sans tarder une consultation de base à 25
euros, et à 28 euros lorsqu’il y a des actes de coordination (contact avec un autre médecin, lettre de liaison
avec un hôpital). Ce sont les premières étapes indispensables d’une revalorisation correcte de l’exercice de
médecin généraliste.
La Cour des comptes a rendu sa copie sur la gestion de la Sécu et de l’assurance-maladie. Partagez-vous son
analyse ?
Dès que les médecins généralistes interviennent dans le parcours de soins d’un patient, les économies se
produisent. Le bon usage du parcours de soins vers des correspondants ou vers l'hôpital et le bon usage des
produits comme les génériques, génèrent une économie d’un milliard et demi par an. C'est surtout aux
généralistes qu'on doit ces économies. La Cour des comptes dit qu’on peut faire encore mieux. C’est possible,
mais nous voulons que les bénéfices de ces économies reviennent en partie dans la poche des généralistes, qui
font des efforts depuis des dizaines d’années.
Les efforts de la maîtrise médicalisée des dépenses sont à imputer en totalité aux généralistes. La prescription
des indemnités journalières à bon escient, la prescription des génériques, le bon usage de dispositifs coûteux
sont à mettre au bénéfice des généralistes.
On ne fera pas plus que ce que nous faisons aujourd’hui si nous n’avons pas un retour sur investissement. La
revalorisation des actes demandée par MG France est auto-finançable par ces économies, et assez facilement.
Nous sommes prêts à relever le défi, mais en échange nous demandons au gouvernement une revalorisation
de nos actes de base. Si rien n’est fait nous irons vers des mouvements de contestation tarifaire. Et cela partira
de la base. Nous ne jouerons plus le jeu avec des politiques qui ne tiennent pas leur parole et ne donne à la
France aucun moyen de réussir le fameux « virage ambulatoire ».
COUP DE PROJECTEUR
Etienne CANIARD SUR
TWITTER
Economies
possibles en favorisant les génériques: 2 Md selon la @Courdescomptes
https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale
…
Recommandations de
la @Courdescomptes sur les génériques:
plus d'économies en responsabilisant les médecins https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale
…
Rénover les
instruments de maîtrise de la dépense. Un rapport de la @Courdescomptes https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale
…
La vraie fraude,
le travail dissimulé: 20 à 25 Mds en 2012.https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale
…
jeudi 23 janvier 2014
Coup de projecteur sur l'Actualité MGEFI
Dernière minute
Le 29/01/2014
Serge Brichet, remettra avec Benoît Hamon l’œuvre d’art au lauréat du second
prix ESS CIGAL...
.... en clôture du
colloque "L'Economie sociale et solidaire : pour quelle dynamique ?"
organisé le 29 janvier prochain de 15H à 18H par l'ESS CIGAL sous le haut
patronage et en présence de Benoît HAMON, Ministre délégué chargé de l'économie
sociale et solidaire et de la consommation Ministère de l'économie et des
finances, Centre d'activités sociales, culturelles et sportives 139-143 rue de
Bercy, 75012 Paris.
En savoir plus: nansellsalles@mgefi.fr / Inscription
: galilee.sp@hotmail.fr
Formation
Depuis 2008, la
formation et le développement des compétences des collaborateurs sont au cœur
de la politique RH de la MGEFI. Ainsi, après la création de sa propre cellule
de formation interne en 2011, elle franchit aujourd’hui une nouvelle étape avec
la mise en place du “Campus MGEFI”.
Structurer et
organiser le partage des connaissances Si les sessions de formation présentielles* proposées et animées par la
Direction de l’offre et de la qualité constituent un solide socle de connaissances
au bénéfice d’un grand nombre de collaborateurs, la Direction des ressources
humaines vise aujourd’hui de nouveaux objectifs en termes de formation interne
en insufflant un esprit “Campus” dans la culture MGEFI :
Formaliser et pérenniser l’ensemble des savoir-faire et
connaissances échangés au quotidien au sein des équipes ;
Améliorer la qualité de l’apprentissage par l’utilisation
de technologies nouvelles ;
Faciliter l’accès
aux ressources pour tous ;
Favoriser les échanges et la collaboration (notamment à
distance) entre formateurs et stagiaires ;
Ainsi, les collaborateurs de la MGEFI bénéficieront
prochainement d’une plateforme d’e-learning, “outil qui n’a absolument pas
vocation à remplacer la formation présentielle, mais plutôt à la compléter,
voire l’enrichir”, fait remarquer Fréderic Richert, de la Direction des
ressources humaines, qui ajoute que “la MGEFI souhaite accroitre le nombre
de formateurs internes et ainsi enrichir et formaliser l’offre existante”.
E-learning : quels
atouts ? La dématérialisation des modules
de formation via une plateforme d’el-learning présente plusieurs atouts pour la
MGEFI.
En effet, ce type d’outil, dont le fonctionnement peut-être
comparé à celui d’un site internet ou à celui des applications qu’un grand nombre
d’entre nous utilise aujourd’hui sur smartphone ou tablette numérique, permet
notamment :
De programmer des sessions visant un grand nombre de
stagiaires, voire la totalité des collaborateurs d’une entreprise ;
Une utilisation répétée des modules de formation sans avoir
à organiser de nouvelles sessions (pour des révisions ou pour de nouveaux
collaborateurs par exemple) ;
Une interactivité que des supports classiques (papier,
powerpoint) ne permettent pas ;
Un outil complémentaire pour les formateurs internes pour
diffuser et valider l’apprentissage.
Tous acteurs de notre formation Ce campus, qui mêle donc
formation présentielle et formation “virtuelle” illustre la volonté de la MGEFI
de voir ses collaborateurs devenir “acteurs” de leur formation, tout au long de
leur vie professionnelle.
En mettant à leur disposition des outils plus accessibles,
plus attractifs et plus ludiques, elle marque son entrée dans l’ère de
l’entreprise apprenante.
* Organisée sur place en
présence de formateurs et de participantes
Baromètre 2013 «
satisfaction adhérent»
Dans la continuité
de sa démarche qualité et conformément aux exigences de la norme ISO 9001, la
MGEFI a mis en place pour la deuxième année consécutive, un baromètre de
satisfaction visant à “surveiller la perception de ses adhérents sur le niveau
de satisfaction de leurs exigences”.
Mené par la
cellule Animation qualité de la DOQ, ce chantier permet à la mutuelle, non seulement de suivre l’évolution de la performance de
son système "Qualité" mais aussi
l’évolution de la "satisfaction" globale de ses adhérents. L’analyse des résultats en
fonction du profil a permis à la MGEFI de
mesurer par ailleurs progrès accomplis.
Plus accessible et plus réactive Le plan d’action déployé à
l’issue de la première enquête(1) de satisfaction permet aujourd’hui
d’enregistrer un certain nombre de progrès sur les “basiques” de la
satisfaction que sont la joignabilité, la simplicité des démarches pour
l’adhérent ou les délais de réponse par courrier.
Si les résultats de cette enquête révèlent que la MGEFI a
su consolider ses “basiques”, ils indiquent aussi que les attentes des
adhérents portent davantage sur les prestations. En effet, le niveau de prise
en charge sur les soins courants, l’optique, le dentaire et plus
précisément les dépassements
d’honoraires apparaît aujourd’hui comme une attente majeure des adhérents.
Attente qui sera au cœur de la réflexion
sur l’offre santé et la revalorisation des prestations menée par la
mutuelle cette année.
(1) Enquête réalisée auprès de 1
392 adhérents représentatifs de la population protégée par la MGEFI.
Colloque MFP
A l'heure où le Gouvernement s'apprête à généraliser la complémentaire santé
obligatoire en entreprise, la MFP pose la question des défis pour la protection
sociale des agents publics et invite les Mutuelles de la Fonction publique, les
Employeurs publics, les agents et leurs représentants syndicaux à s’interroger
sur l’avenir de la protection sociale des fonctionnaires dans le cadre d'un
colloque le 13 février 2014 dans l'Amphithéâtre de la MGEN . Serge Brichet
interviendra au nom de la MGEFI sur deux thématiques :
-LES ENSEIGNEMENTS DES ACTUELS DISPOSITIFS DE PROTECTION
SOCIALE COMPLÉMENTAIRE DES AGENTS PUBLICS
- QUEL SYSTÈME
IDÉAL DE PROTECTION SOCIALE POUR LES
AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE?
En savoir plus : nansellsalles@mgefi.fr
Publication
Les actes du 11e
Colloque professionnel Ipse du 22 novembre 2013 « Généralisation de la complémentaire
santé : quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les
complémentaires » viennent d'être publiés. Rappelons que Serge Brichet
était intervenu sur la « Généralisation de la complémentaire santé :
quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires
».
Retrouvez le texte
de l'intervention du président de la MGEFI et les actes du colloque sur le site
de l'Institut de la protection sociale européenne (Inpes) http://www.euroipse.org/11e-colloque-professionnel-ipse/
Abonnez-vous au blog «Mine
d’Infos» via:
Libellés :
actualité,
Baromètre,
Benoît Hamon,
Colloque,
Coup de projecteur,
E-learning,
Economie sociale,
Formation,
MFP,
MGEFI,
satisfaction,
Serge Brichet
mercredi 28 août 2013
Coup de projecteur sur la Prévoyance MGEFI
La couverture MGEFI
comprend la santé, la prévoyance, les pertes de salaire, des services et
l'accès à l'action sociale de la mutuelle de rattachement.
Perte de salaire
Fonctionnaire :
Incluse dans les 3 couvertures
santé proposées par la MGEFI, cette garantie permet de répondre à la
spécificité du régime de la Fonction publique.
Conjoint :
En tant que conjoint de fonctionnaire, vous pouvez
également être couverts par la MGEFI face à la perte de revenus en cas d'arrêt
maladie.
NDLR : MGEFI et PREVOYANCE
Le saviez-vous ?
Coup de projecteurs sur 9 exemples sur
79…
Rendez-vous sur mgefi.fr pour découvrir
les autres
Restons en
contact durant l’été
Inscription à :
Articles (Atom)