Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 18 février 2015

Coup de projecteur sur la Lettre de Pascal Beau


Lu pour vous dans la Lettre éditée par Espace Sociale Européen Avec l'aimable autorisation de Pascal Beau. Abonnez-vous à sa Lettre qui est très intéressante. Amusez-vous à l'aide du lien http://www.cyber3d.fr/mine2/ à découvrir l'image en 3D

N°454 du 18 février 2015
RSI, les élus en colère !
Haro sur le RSI, le régime social des indépendants subit depuis quelques semaines une déferlante de contestations sur ses difficultés de qualité du service rendu. Dans un communiqué, les élus de la Caisse nationale pointent l'injustice d'une campagne de dénigrement et rappellent que les élus conscients des problèmes ainsi que les gestionnaires du régime ont déjà largement compensé les difficultés dues aux réformes du recouvrement, des procédures informatiques nées de décisions externes. Chaque mois, 25000 cotisants bénéficient en outre de délais de paiement pour leurs cotisations sociales.
DECRYPTAGE : Il ne faudrait pas avoir la mémoire courte ! La réforme qui plonge le régime des indépendants dans les difficultés fut imposée par l'Etat et non souhaitée par les acteurs et les élus du RSI…
Désignations : précisions de la Cour de cassation sur les "contrats en cours"
Dans sa décision du 13 juin 2013, le Conseil constitutionnel censurait les clauses de désignation, précisant toutefois que sa décision ne s'appliquait pas "aux contrats en cours ". La cour de cassation a donné son interprétation de cette notion dans un arrêt rendu le 11 février à propos d'une affaire dans laquelle un boulanger refusait de s'affilier à AG2R prévoyance, organisme désigné par les partenaires sociaux de sa branche. La cour d'appel de Chamberry avait donné raison au professionnel en se fondant sur la décision des sages. La haute juridiction a annulé cet arrêt et considéré que : "les contrats en cours sont les actes ayant le caractère de conventions ou accords collectifs ayant procédé à la désignation d'organismes assureurs pour les besoins du fonctionnement des dispositifs de mutualisation que les partenaires sociaux ont entendu mettre en place, voire les actes contractuels signés par eux avec les organismes assureurs en vue de lier ces derniers et de préciser les stipulations du texte conventionnel de branche et ses modalités de mise en œuvre effective". 
Plan cancer, avancées et retards
Le rapport sur les objectifs du 3ème plan cancer 2014-2019 remis à François Hollande confirme que nombre de mesures sont d'ores et déjà engagées sur le volet recherche et soins. A contrario, les cancers d'origine professionnelle et le principe du droit à l'oubli (pour favoriser l'accès aux assurances) sont les lésés du dossier.
 Retraites complémentaires: pas d'augmentation des cotisations pour le Medef
"On a une ligne rouge : on ne veut pas augmenter les cotisations, c'est une solution d'extrême facilité utilisée depuis des années en France" a déclaré Pierre Gattaz, président du Medef, mardi lors de l'ouverture des négociations sur les retraites complémentaires. Le représentant patronal estime que de "meilleures solutions" existent dont un recul de l'âge de départ à la retraite et des abattements temporaires ou définitifs sur la pension complémentaire. Les partenaires sociaux se réuniront à 4 reprises, d'ici fin juin, pour trouver le moyen de rééquilibrer l'Agirc-Arrco. 
"Sunshine act": 146 Ms € d'avantages pour
les professionnels de santé
Quelque 1 457 252 avantages consentis par les industriels aux professionnels de santé sont répertoriés sur la base de données gouvernementale instituée par le décret dit "Sunshine Act à la Française", entré en vigueur en 2013. Le cabinet de conseil Salesway a analysé les données publiées sur cette plateforme et estime qu'entre juillet et juin 2013 leur montant total atteint 146 Ms €. Les laboratoires pharmaceutiques sont les premiers à fournir ces "à-côtés"(106 Ms €) et les professionnels qui en bénéficient le plus sont les neurologues (un peu moins de 1 500 € chacun en moyenne), les cardiologues et les pneumologues (1 200 € en moyenne).
Un accord pour développer l'emploi dans
le secteur de la petite enfance
François Rebsamen, ministre du Travail et Laurence Rossignol, Secrétaire d'Etat chargée de la Petite enfance, ont cosigné lundi un accord cadre national d'Engagement de Développement de l'Emploi et des Compétences (EDEC) pour la petite enfance. Jusqu'à 5 Ms € seront mobilisés dans ce cadre (1,5 Ms € de l'Etat et 3,5 Md des organismes paritaires finançant la formation professionnelle).

Chute du solde du commerce extérieur pour l'industrie pharmaceutique sur le sol français ; +1,9 Md € en 2014 contre +4,6 Mds € en 2013 selon le Trésor.
14,7 Mds € de déficit prévisionnel pour le régime général et le FSV en 2015 selon la Cour des comptes qui juge la situation de la S.S. comme une anomalie.
Manifestation du 15 mars 2015 à Paris des professions de santé contre la réforme Touraine, l'UNOF, le syndicat des médecins généralistes de la CSMF appelle à rejoindre le mouvement.
32 Ms € perçus par les praticiens exerçant une activité libérale à l'AP-HP selon un rapport interne révélé par l'AFP. Une augmentation de 3,2% par rapport à 2012 alors que le nombre de praticiens hospitaliers exerçant une activité privée à l'hôpital a diminué de 5,6%.
Le GIP Union Retraite a arrêté son premier contrat d'objectifs de simplification et de mutualisation 2015-2018, selon PSI. Il comprend 4 axes dont la modernisation de l'offre de services rendus aux usagers en matière d'assurance vieillesse, ou mener à terme les chantiers réglementaires, en particulier le répertoire de gestion des carrières uniques (RGCU).
Un décret du 11 février renforce les garanties en matière de santé et de sécurité au travail dans la Fonction publique territoriale. http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000030228285&dateTexte=&categorieLien=id
Lettre éditée par - Prix 3 € - Sarl au capital de 86 000 € - RCS PARIS B 480 706 159 (2005B02166)
Principal associé : Pascal Beau - 22 rue Léon Jouhaux, 75010 Paris- Tél. : 01 53 24 13 00 - FAX. : 01 53 24 13 06.
Rédaction : Pascal Beau et Émilie Guédé (01 53 24 13 12). Administration /abonnements : Patricia Chinon (01 53 24 13 05) p.chinon@espace-social.com - Iconographie : Cocktail Santé (01 53 24 13 02). - Commission paritaire : N° 0316 T 87714 -
ISSN : N° 0999-7822. Tous droits de reproduction réservés.
L'autorisation d'effectuer des reproductions par reprographie doit être obligatoirement obtenue auprès du Centre français d'exploitationdu droit de copie (CFC) 20, rue des Grands-Augustins - 75006 Paris - Tél.: 01 44 07 47 70
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Santé connectée: pour ne pas perdre le fil...

COUP DE PROJECTEUR SUR LA SANTÉ CONNECTÉE

Résultats pour #DebatOrdre #santéconnectée

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mardi 17 février 2015


COUP DE PROJECTEUR SUR  Les RV 2015 Enquête Fondation Pfizer / Ipsos Santé Rapport au corps, relations amoureuses et sommeil des adolescents
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Les rendez-vous de la Fondation Pfizer en 2015

« Prévention ados, tout un scénario », 2ème édition de l’appel à projets
Rapport au corps, relations amoureuses et sommeil des adolescents : résultats de l’enquête Fondation Pfizer / Ipsos Santé « Bien dans sa tête, bien dans son corps » Forte du succès de l’appel à projets « Prévention ados, tout un scénario » initié en 2014 sur les comportements à risques la Fondation Pfizer, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche, lance, cette année, une deuxième édition portant sur la prévention santé des adolescents « Bien dans sa tête, bien dans son corps ».

Cette année, les élèves de 15 lycées volontaires de 8 académies* sont invités à réfléchir et échanger sur trois thématiques : le sommeil, les relations amoureuses et le rapport au corps des adolescents. L’objectif de cette démarche : écrire un scénario de prévention portant sur l’une des 3 thématiques qui sera, ensuite, soumis à un jury d’experts et un jury d’adolescents en mai. Les lauréats et le palmarès seront divulgués en juin et le scénario gagnant sera produit par la Fondation.

Conjointement à cet appel à projets, Ipsos Santé réalise, pour la Fondation Pfizer, une enquête intitulée « Bien dans sa tête, bien dans son corps » et subdivisée en trois parties :

les adolescents et le sommeil dont les résultats seront diffusés le 27 mars, à l’occasion de la journée nationale du sommeil

les adolescents et les relations amoureuses. Les résultats seront présentés courant avril

les adolescents et leur rapport au corps. Les résultats ainsi que ceux du baromètre Bien-être des adolescents seront dévoilés en juin.

Depuis 10 ans, la Fondation Pfizer initie et soutient des projets qui donnent la parole aux adolescents, permettant ainsi de faire valoir leurs opinions sur des sujets qui les concernent directement.
Découvrez la nouvelle édition de « Prévention Ados : tout un scénario ! » et toutes les actions de la Fondation Pfizer sur son site Internet www.fondation-pfizer.org

SERVICE DE PRESSE FONDATION PFIZER
Capital Image / Stéphanie Chevrel Catherine Raynaud
45, rue de Courcelles - 75008 Paris Déléguée générale de la Fondation Pfizer
Tél. : 01 45 63 19 00 - Fax : 01 45 63 19 20 Tél. : 01 58 07 43 35
info@capitalimage.net catherine.raynaud@pfizer.com www.capitalimage.net - @CapitalImageFr
* Amiens, Caen, Lille, Lyon, Orléans-Tours, Poitiers, Strasbourg et Toulouse
en partenariat avec
Suivez la Fondation sur twitter : @FondationPfizer
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jeudi 18 septembre 2014

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les ....

Claude Leicher : « Le sentiment de malaise est de plus en plus fort »

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les
revendications des médecins. Il précise leurs attentes face à la loi de santé en préparation et aux
négociations en cours avec l’assurance-maladie sur les accords interprofessionnels.


Vous avez récemment exprimé votre mécontentement, voire votre colère, devant les atermoiements du
gouvernement face aux mesures attendues par MG France dans le champ des soins primaires ? Est-ce que le


torchon brûle entre MG France et le gouvernement ?


MG France n’est pas du style à faire brûler les torchons, MG France est plutôt du style à se fâcher et à agir. Cela
fait deux ans que Marisol Touraine est en fonction dans le gouvernement de François Hollande. Elle a appris le
métier et développé son programme politique qui s’appelle Stratégie nationale de santé. Nous avons perçu une
volonté, exprimée dans les discours, d’engager un virage ambulatoire et un développement des soins
primaires.
A la lecture des premières mesures – qui d’ailleurs tardent à venir – nous percevons surtout un éclatement du
métier du médecin généraliste, avec des tâches qui sont confiées à d’autres professionnels, alors qu’elles sont
traditionnellement confiées au médecin traitant.
Il y a non seulement de la déception et de l’inquiétude, mais aussi de la colère qui commence à monter. Nous
constatons que la stratégie gouvernementale est à l’inverse de ce qu’il faut faire. On inquiète de plus en plus le
médecin généraliste, on renforce l’idée qu’on est déjà en train de préparer sa substitution. S’il n’y a plus de
médecin généraliste demain, par quelle profession va-t-on le remplacer ? Le sentiment de malaise est de plus
en plus fort. Tellement fort que les anciens s’en vont de plus en plus tôt et que les plus jeunes ne s’installent
pas, sauf si on leur organise un système dans lequel ils n’ont pas à investir de l’argent. Ces jeunes veulent bien
s’installer, mais sont tellement préoccupés par l'exercice libéral sinistré qu’il faut les accueillir dans des lieux où
ils n’auront pas d’inquiétude sur les charges qui pèseront sur eux. La catastrophe démographique annoncée est
arrivée. Les chiffres sont spectaculaires, comme en Ile-de-France où il n’y aura bientôt plus de généralistes.

Qu’attendez-vous désormais de la loi de santé ?


Il n'est pas trop tard pour rectifier le tir. Un exemple : le service territorial de santé au public. C’est le type
même de la chose « faite à l’envers ». Tout le monde est d’accord pour développer ce niveau du système de
santé. Mais, nous l’avons dit au gouvernement, c’est aux professionnels de santé de s’organiser : par exemple,
il leur revient de créer ou non une maison de santé. Le gouvernement reprend la proposition d’administration
ambulatoire des territoires de proximité par les Agences régionales de santé (ARS). Créer des commissions pour
gérer la territorialité n’est pas ce qu’il faut faire. Il faut à l’inverse donner des espaces de créativité et de liberté
aux professionnels pour qu'ils puissent organiser eux-mêmes leurs conditions de travail dans un cahier des
charges qui réponde aux besoins de santé de la population.
Si le gouvernement ne corrige pas sa copie, MG France luttera contre ce projet de d’administration du secteur
ambulatoire, à l'image de ce qui s’est fait de façon catastrophique dans le secteur hospitalier.

Où en êtes-vous du dossier de la coordination des soins et du travail en équipe dans vos négociations avec
l’assurance maladie ?


La première étape des accords touche un niveau de coordination autour d'un patient, organisé par les
professionnels entre eux - à deux, trois ou quatre -, dans un système qui doit être simple et accessible à tous

les professionnels de santé. La 2ème étape concerne la rémunération d’une équipe. La troisième s'adresse à


ceux qui veulent organiser la coordination sur un territoire, par exemple entre l’hôpital et la ville.
Mon inquiétude, c’est que l’assurance maladie joue un jeu chaloupé dans lequel elle a pour objectif de
diminuer les durées de séjour hospitalier, avec des accords qui privilégient les sorties d’hôpital. Or sur ce point,
nous voulons surtout des aides pour nous organiser en ambulatoire, autour de la fonction du médecin traitant,
en considérant que le médecin traitant est obligatoirement partie prenante de cette coordination, qui ne peut
être qu’à l’initiative des acteurs de terrain.
Nous avons l’impression que l’assurance maladie nous entraîne plutôt vers une direction presque unique : la
sortie de l’hôpital. Mais la coordination ne se limite pas du tout à l'organisation ville-hôpital. Il s'agit d’organiser
les équipes de soins primaires. Nous sommes en tension avec l’assurance maladie, et avec d’autres
organisations professionnelles qui ne veulent pas organiser les soins primaires et qui préfèrent mettre de
l’argent sur la technique, l’imagerie, l’hospitalisation. Il existe un vrai enjeu, qui est l’organisation du futur
virage ambulatoire. Mais nous avons besoin que l’assurance maladie comprenne et appuie mieux cet enjeu.

Les médecins attendent aussi des signes concrets, notamment une revalorisation des actes. Où en êtes-vous
sur ce dossier des rémunérations « complexes et peu lisibles » selon le dernier rapport de la Cour des
Comptes sur la Sécurité sociale ?


C’est un autre dossier. Nous ne le mélangeons pas avec la coordination des soins. MG France considère qu’il y
a une véritable discrimination conventionnelle. Je citerai deux exemples très précis : en 1990, on a interdit aux
médecins généralistes de choisir le secteur 2. En 2007, la discrimination s’est accentuée avec une consultation
à 25 euros pour tout le monde, sauf pour les généralistes. C’est inacceptable ! Les consultations sont de plus en
plus lourdes, mais restent bloquées à 23 euros. Certes, nous avons contribué à développer d’autres modes de
rémunération, mais ils restent insuffisants : 88 % de la rémunération d’un médecin généraliste sont basés sur la
rémunération à l’acte, et 23 euros ne peuvent pas rémunérer une consultation qui peut être amenée à traiter
5, 6 ou 7 problèmes différents, et qui inclut de surcroit des démarches de dépistage et de prévention. Cette
densité du contenu de nos consultations est le résultat du choix du patient qui veut « rentabiliser » sa
consultation. MG France veut toujours développer des rémunérations forfaitaires complémentaires, mais la
valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui pour la visite, que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cette densité est
le désir du patient qui veut « rentabiliser » sa consultation. MG France veut développer la rémunération
forfaitaire, mais la valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cela doit devenir
le tarif normal de toutes les visites à domicile. Ensuite, nous exigeons sans tarder une consultation de base à 25
euros, et à 28 euros lorsqu’il y a des actes de coordination (contact avec un autre médecin, lettre de liaison
avec un hôpital). Ce sont les premières étapes indispensables d’une revalorisation correcte de l’exercice de
médecin généraliste.

La Cour des comptes a rendu sa copie sur la gestion de la Sécu et de l’assurance-maladie. Partagez-vous son
analyse ?


Dès que les médecins généralistes interviennent dans le parcours de soins d’un patient, les économies se
produisent. Le bon usage du parcours de soins vers des correspondants ou vers l'hôpital et le bon usage des
produits comme les génériques, génèrent une économie d’un milliard et demi par an. C'est surtout aux
généralistes qu'on doit ces économies. La Cour des comptes dit qu’on peut faire encore mieux. C’est possible,
mais nous voulons que les bénéfices de ces économies reviennent en partie dans la poche des généralistes, qui
font des efforts depuis des dizaines d’années.
Les efforts de la maîtrise médicalisée des dépenses sont à imputer en totalité aux généralistes. La prescription
des indemnités journalières à bon escient, la prescription des génériques, le bon usage de dispositifs coûteux
sont à mettre au bénéfice des généralistes.
On ne fera pas plus que ce que nous faisons aujourd’hui si nous n’avons pas un retour sur investissement. La
revalorisation des actes demandée par MG France est auto-finançable par ces économies, et assez facilement.
Nous sommes prêts à relever le défi, mais en échange nous demandons au gouvernement une revalorisation
de nos actes de base. Si rien n’est fait nous irons vers des mouvements de contestation tarifaire. Et cela partira
de la base. Nous ne jouerons plus le jeu avec des politiques qui ne tiennent pas leur parole et ne donne à la
France aucun moyen de réussir le fameux « virage ambulatoire ».





 
COUP DE PROJECTEUR
Etienne CANIARD SUR TWITTER
 
Economies possibles en favorisant les génériques: 2 Md selon la @Courdescomptes https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
 
Recommandations de la @Courdescomptes sur les génériques: plus d'économies en responsabilisant les médecins https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
@Courdescomptes: "Les conventions avec les professions de santé: répondre aux besoins des patients": le bon sens! https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
Rénover les instruments de maîtrise de la dépense. Un rapport de la @Courdescomptes https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
La vraie fraude, le travail dissimulé: 20 à 25 Mds en 2012.https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 

 

jeudi 23 janvier 2014

Coup de projecteur sur l'Actualité MGEFI


Dernière minute

Le 29/01/2014 Serge Brichet, remettra avec Benoît Hamon l’œuvre d’art au lauréat du second prix ESS CIGAL...

.... en clôture du colloque "L'Economie sociale et solidaire : pour quelle dynamique ?" organisé le 29 janvier prochain de 15H à 18H par l'ESS CIGAL sous le haut patronage et en présence de Benoît HAMON, Ministre délégué chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation Ministère de l'économie et des finances, Centre d'activités sociales, culturelles et sportives 139-143 rue de Bercy, 75012 Paris.

En savoir plus: nansellsalles@mgefi.fr / Inscription : galilee.sp@hotmail.fr

 

Formation

Depuis 2008, la formation et le développement des compétences des collaborateurs sont au cœur de la politique RH de la MGEFI. Ainsi, après la création de sa propre cellule de formation interne en 2011, elle franchit aujourd’hui une nouvelle étape avec la mise en place du “Campus MGEFI”.

Structurer et organiser le partage des connaissances Si les sessions de formation présentielles* proposées et animées par la Direction de l’offre et de la qualité constituent un solide socle de connaissances au bénéfice d’un grand nombre de collaborateurs, la Direction des ressources humaines vise aujourd’hui de nouveaux objectifs en termes de formation interne en insufflant un esprit “Campus” dans la culture MGEFI :

 

Formaliser et pérenniser l’ensemble des savoir-faire et connaissances échangés au quotidien au sein des équipes ;

 

Améliorer la qualité de l’apprentissage par l’utilisation de technologies nouvelles ;

 

Faciliter l’accès aux ressources pour tous ;

Favoriser les échanges et la collaboration (notamment à distance) entre formateurs et stagiaires ;

 

Ainsi, les collaborateurs de la MGEFI bénéficieront prochainement d’une plateforme d’e-learning, “outil qui n’a absolument pas vocation à remplacer la formation présentielle, mais plutôt à la compléter, voire l’enrichir”, fait remarquer Fréderic Richert, de la Direction des ressources humaines, qui ajoute que “la MGEFI souhaite accroitre le nombre de formateurs internes et ainsi enrichir et formaliser l’offre existante”.

 

E-learning : quels atouts ? La dématérialisation des modules de formation via une plateforme d’el-learning présente plusieurs atouts pour la MGEFI.

En effet, ce type d’outil, dont le fonctionnement peut-être comparé à celui d’un site internet ou à celui des applications qu’un grand nombre d’entre nous utilise aujourd’hui sur smartphone ou tablette numérique, permet notamment :

 

De programmer des sessions visant un grand nombre de stagiaires, voire la totalité des collaborateurs d’une entreprise ;

 

Une utilisation répétée des modules de formation sans avoir à organiser de nouvelles sessions (pour des révisions ou pour de nouveaux collaborateurs par exemple) ;

 

Une interactivité que des supports classiques (papier, powerpoint) ne permettent pas ;

 

Un outil complémentaire pour les formateurs internes pour diffuser et valider l’apprentissage.

 

Tous acteurs de notre formation Ce campus, qui mêle donc formation présentielle et formation “virtuelle” illustre la volonté de la MGEFI de voir ses collaborateurs devenir “acteurs” de leur formation, tout au long de leur vie professionnelle.

 

En mettant à leur disposition des outils plus accessibles, plus attractifs et plus ludiques, elle marque son entrée dans l’ère de l’entreprise apprenante.

 

* Organisée sur place en présence de formateurs et de participantes

 

Baromètre 2013 « satisfaction adhérent»

Dans la continuité de sa démarche qualité et conformément aux exigences de la norme ISO 9001, la MGEFI a mis en place pour la deuxième année consécutive, un baromètre de satisfaction visant à “surveiller la perception de ses adhérents sur le niveau de satisfaction de leurs exigences”.

Mené par la cellule Animation qualité de la DOQ, ce chantier permet à la mutuelle,  non seulement   de suivre l’évolution de la performance de son système "Qualité" mais aussi  l’évolution de la "satisfaction" globale de ses  adhérents. L’analyse des résultats en fonction du profil  a permis à la MGEFI de mesurer par ailleurs  progrès accomplis.

 

Plus accessible et plus réactive Le plan d’action déployé à l’issue de la première enquête(1) de satisfaction permet aujourd’hui d’enregistrer un certain nombre de progrès sur les “basiques” de la satisfaction que sont la joignabilité, la simplicité des démarches pour l’adhérent ou les délais de réponse par courrier.

 

Si les résultats de cette enquête révèlent que la MGEFI a su consolider ses “basiques”, ils indiquent aussi que les attentes des adhérents portent davantage sur les prestations. En effet, le niveau de prise en charge sur les soins courants, l’optique, le dentaire et plus précisément  les dépassements d’honoraires apparaît aujourd’hui comme une attente majeure des adhérents. Attente qui sera au cœur de la réflexion  sur l’offre santé et la revalorisation des prestations menée par la mutuelle cette année.

 

(1) Enquête réalisée auprès de 1 392 adhérents représentatifs de la population protégée par la MGEFI.

 

Colloque MFP

A l'heure où  le Gouvernement s'apprête à  généraliser la complémentaire santé obligatoire en entreprise, la MFP pose la question des défis pour la protection sociale des agents publics et invite les Mutuelles de la Fonction publique, les Employeurs publics, les agents et leurs représentants syndicaux à s’interroger sur l’avenir de la protection sociale des fonctionnaires dans le cadre d'un colloque le 13 février 2014 dans l'Amphithéâtre de la MGEN . Serge Brichet interviendra au nom de la MGEFI sur deux thématiques :

-LES ENSEIGNEMENTS DES ACTUELS DISPOSITIFS DE PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE DES AGENTS PUBLICS

 

- QUEL SYSTÈME IDÉAL DE PROTECTION SOCIALE POUR LES  AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE?

En savoir plus : nansellsalles@mgefi.fr

 

Publication

Les actes du 11e Colloque professionnel Ipse du 22 novembre 2013 « Généralisation de la complémentaire santé : quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires » viennent d'être publiés. Rappelons que  Serge Brichet  était intervenu sur la « Généralisation de la complémentaire santé : quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ». 

Retrouvez le texte de l'intervention du président de la MGEFI et les actes du colloque sur le site de l'Institut de la protection sociale européenne (Inpes)  http://www.euroipse.org/11e-colloque-professionnel-ipse/





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mercredi 28 août 2013

Coup de projecteur sur la Prévoyance MGEFI


La couverture MGEFI comprend la santé, la prévoyance, les pertes de salaire, des services et l'accès à l'action sociale de la mutuelle de rattachement.

 

 

 

Perte de salaire

 

Fonctionnaire :

Incluse dans les 3 couvertures santé proposées par la MGEFI, cette garantie permet de répondre à la spécificité du régime de la Fonction publique.

 

Conjoint :

En tant que conjoint de fonctionnaire, vous pouvez également être couverts par la MGEFI face à la perte de revenus en cas d'arrêt maladie.

 

 

NDLR : MGEFI et PREVOYANCE

 

Le saviez-vous ?

 

Coup de projecteurs sur 9 exemples sur 79…

 

Rendez-vous sur mgefi.fr pour découvrir les autres

 

Qualité de la relation adhérent                               


                        

· 

 

La MGEFI certifiée pour la qualité de son service à l’adhérent !                                

·  Offre facultative : Plurio Obsèques                               

·  Offre facultative : Plurio Education                               

·  Offre facultative : Prémuo capital avantages                                 

·  Offre facultative : Plurio dépendance                                

·  Offre statutaire renforcée - Prémuo M022                               


 

Restons en contact durant l’été