Nora ANSELL-SALLES

vendredi 26 février 2016

#24H24Semaines la mobilisation s'emplie



En cette fin de semaine, les organisateurs de la campagne de mobilisation ont exprimé un premier GRAND merci à toutes celles et ceux qui  les ont écouté, avec qui ils ont beaucoup échangé et qui commencent à se mobiliser... La campagne se déroule sur #‎24SEMAINES  Il reste donc du temps pour éviter la casse de la protection sociale des agents publics ! Bon courage aux équipes qui relaient la campagne sur le terrain. Pour sa part Serge Brichet ne ménage ni son temps ni sa peine pour frapper aux portes des élus.


VU POUR VOUS: le forum de la DGFIP c'est lui aussi emparé de la campagne cette semaine.

Best-of du 26 février 2016

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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Économie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.




A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 
■ clip institutionnel 2015 https://vimeo.com/132203098?ref=tw-share
■  www.mgefi.fr




TRÈS BON WEEK-END

jeudi 25 février 2016

11ème édition de la Semaine Nationale du Rein du 5 au 12 mars 2016 !

COMMUNIQUE DE PRESSE

Prendre soin de ses reins : c’est vital… dès l’enfance !

Paris – Le 17 février 2016. La FNAIR (Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux) réalise, pour la 11e année consécutive, une opération de sensibilisation et de dépistage anonyme et gratuit sur tout le territoire français.

Pour une prise en charge précoce de l’insuffisance rénale
« Prendre soin de ses reins : c’est vital… dès l’enfance ! », telle est la thématique de cette Semaine Nationale du Rein. Les champs de prévention des maladies rénales chroniques et leur diagnostic précoce sont trop souvent négligés, et ce malgré l’existence de recommandations. La Semaine Nationale du Rein a donc un double objectif : sensibiliser le grand public aux problématiques relatives aux maladies rénales et favoriser un dépistage et une prise en charge précoces.

Cette année encore, l’actrice Aurélie Vaneck est la marraine de la Semaine Nationale du Rein.
 
Epidémiologie des maladies rénales
Près de 3 millions de personnes en France sont atteintes d’une maladie rénale. Un fléau qui ne cesse de progresser puisque plus de 10 000 personnes (+2 % par an) chaque année apprennent qu’elles souffrent d’une insuffisance rénale chronique terminale nécessitant un traitement de suppléance (dialyse ou greffe).

33 686 personnes sont porteuses d’un greffon rénal et 10 736 patients sont en attente d’une greffe de rein tandis que 42 501 patients dialysent.1
Un constat alarmant qui pourrait être amélioré par un dépistage précoce.

Se faire dépister pour mieux protéger ses reins
Pour plus d’un tiers des personnes qui souffrent d’une insuffisance rénale chronique (IRC), le diagnostic est posé au dernier moment : ils doivent alors dialyser en urgence. Les précédentes éditions des Semaines Nationales du Rein ont permis à de nombreuses personnes s’étant faites dépister d’aller consulter un néphrologue (environ 10 % des personnes dépistées). Le thème de cette année met en particulier l’accent sur l’importance de la préservation du capital néphronique, dès l’enfance. Les néphrons sont ces minuscules unités fonctionnelles (leur nombre est estimé à 1 million par rein) au sein desquelles s’effectue la filtration du sang et l’élaboration de l’urine.
Malheureusement, une maladie qui ne serait pas détectée à temps peut les détruire de manière irréversible. L'insuffisance rénale chronique n'est pas exceptionnelle chez l'enfant ; son incidence est de l'ordre de 7 à 12 par million d'habitants et par an2.

La priorité est donc donnée au dépistage ainsi qu’à l’information. Des stands d’information se tiendront également afin de présenter les campagnes de prévention mises en place. La Semaine Nationale du Rein est l’occasion d’informer le grand public et les professionnels de santé sur ce problème de santé publique qui mériterait un véritable investissement de la part des pouvoirs publics. Les maladies rénales peuvent être dépistées en amont évitant ainsi des traitements lourds et irréversibles.

1 Dernier Rapport REIN disponible 2013, Réseau Epidémiologie et Information en Néphrologie
2 Insuffisance rénale chronique chez l’enfant. M. Broyer. EMC (Elsevier SAS, Paris), Pédiatrie, 4
- 084 – D- 25, 2006




Ce qu’il faut savoir :
- Il est inutile de prendre rendez-vous : les sites participant accueillent le public aux heures et dates indiquées.

- Il est inutile d’être à jeun pour se faire dépister. Une seule condition : avoir plus de 18 ans ou venir en présence de ses parents ou responsables légaux pour se faire dépister si vous êtes âgés de moins de 18 ans.

Le Programme de la 11e Semaine Nationale du Rein

Des actions de dépistage et de nombreux stands d’informations et de sensibilisation sont organisés, partout en France, en direction du grand public. Sans rendez-vous, toutes celles et ceux souhaitant vérifier le bon fonctionnement de leurs reins peuvent se rendre sur les stands d’information et de dépistage pour bénéficier d’un dépistage gratuit ou obtenir des renseignements sur les maladies rénales.

Rendez-vous sur www.semainedurein.fr pour connaître, région par région, la liste des actions mises en œuvre et des centres d’accueil.

A propos de la FNAIR
Créée en 1972, la Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux est une association loi 1901, reconnue d’utilité publique depuis 1991, qui représente 76 187 personnes dialysées et greffées du rein que compte la France. Afin d’améliorer la qualité de la vie et des soins des personnes souffrant d’insuffisance rénale, les actions que mène la FNAIR s’organisent à plusieurs niveaux :


- Améliorer et développer la prévention de la maladie rénale chronique et sa connaissance épidémiologique à tous les stades,


- Améliorer l’accompagnement thérapeutique des personnes à risque et des personnes concernées par l’insuffisance rénale, impliquant la mise en place d’un dispositif structuré et homogène d’orientation, d’information et de suivi des personnes sur le territoire national,


- Renforcer le rôle de porte-parole des personnes insuffisantes rénales et leurs proches,


- Obtenir que la greffe devienne le traitement de première intention pour les personnes dont l’annonce du diagnostic d’insuffisance rénale en stade terminal a été posée.


La FNAIR, ce sont 24 associations régionales au service des personnes atteintes de maladies rénales et de leurs proches, qui se sont fédérées pour, ensemble, être plus fortes. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.fnair.asso.fr

59 % des Français, estime que la loi Hamon représente une incitation à changer d’assurance



Communiqué de presse
Paris, le mercredi 17 février 2016

L'observatoire des factures courantes :
les cotisations d’assurances

Sondage JeChange.fr / OpinionWay
Dans le cadre de son observatoire des factures courantes, , premier comparateur généraliste dédié à la réduction des factures courantes auprès des particuliers, dévoile ce jour un sondage exclusif, réalisé par OpinionWay. Cette enquête d'opinion inédite porte sur l'impact que l'entrée en vigueur de la loi Hamon comme la mise en place de la mutuelle d'entreprise obligatoire ont provoqué chez les Français. De même, elle éclaire sous un jour nouveau les rapports entretenus entre ces derniers, leurs cotisations d'assurance et leurs assureurs.


La loi Hamon, une nouvelle donne entre assureurs et assurés
Depuis son entrée en vigueur, la loi Hamon amène les Français à reconsidérer leurs prestations d’assurance. Selon eux, son premier effet est de forcer les assurances à adapter leurs prestations pour séduire, en proposant une offre plus personnalisée (82 % d’accord). Second élément, les Français estiment que depuis cette loi, ils sont davantage attentifs à leurs tarifs d’assurance (77 %).
Dans le même temps qu’elle a développé leur vigilance, la loi Hamon a créé une attente de la part des Français quant à la baisse des tarifs d’assurance. 73 % d’entre eux estiment que les compagnies seront amenées à réduire leurs tarifs.
Pour 59 % des Français, cette loi représente une incitation à changer d’assurance dans les prochains mois.
Après les factures d’énergie (51 %), les cotisations d’assurance représentent le second type de dépenses contraintes que les Français aimeraient réduire (39 %), loin devant le budget consacré aux télécoms (9 %).
Réduire des cotisations d’assurance parfois obscures, un enjeu pour la moitié des Français
Lorsqu’ils examinent leurs assurances, près d’un Français sur deux estime qu’il lui serait possible de faire des économies ou d’augmenter ses garanties en changeant d'assureur.
La principale assurance pour laquelle les Français ont ce sentiment est l’ assurance habitation et responsabilité civile (56 %).
Certaines assurances, moins répandues au sein de la population, comme la garantie des accidents de la vie ou la protection juridique, apparaissent également comme perfectibles pour la moitié des personnes qui y ont souscrit (respectivement 53 et 52 %), qu’il s’agisse de diminuer le tarif ou, pour le même tarif, d’améliorer les prestations.
Enfin, l’on constate qu’un Français sur deux (51 %) estime également qu’il pourrait réduire sa cotisation d’assurance santé ou de mutuelle.

Pour 59 % des Français, au moins un de leurs contrats d'assurance reste obscur.
S’ajoutant à ce constat mitigé sur le rapport qualité-prix de leurs prestations, les Français rendent compte d’une certaine difficulté de lecture de leurs cotisations d’assurance. 59 % d’entre eux estiment qu’au moins une de leurs polices d’assurance est difficile à lire.
Plus en détail, il apparaît que les primes d'assurances les moins répandues dans la population sont également les plus complexes à déchiffrer pour ceux qui y ont souscrit : 53 % des personnes ayant souscrit à une protection juridique et 49 % des personnes ayant souscrit à une garantie accidents de la vie en témoignent.
Plus courantes, les assurances habitation (complexes pour 43 %), assurances santé (41 %) et assurances auto (37 %), laissent tout de même perplexes près de quatre Français sur dix.
L’obligation par l’entreprise de fournir une mutuelle à ses salariés, une bonne mesure pour les Français et une vraie responsabilité pour l’entreprise
Pour une large majorité des Français, la loi obligeant les entreprises à fournir une mutuelle à leurs salariés et le prélèvement direct de la mutuelle sur le salaire qui l’accompagne sont de bonnes mesures (respectivement 74 % et 78 %). Les salariés du privé, principaux concernés par ces changements, s’y montrent majoritairement favorables : 76 % considèrent que ces deux aspects sont positifs.
78 % des Français pensent que la mutuelle d'entreprise obligatoire est une bonne mesure.
Le rattachement à une mutuelle d’entreprise n’est finalement pas un phénomène nouveau pour les salariés du privé : 64 % d’entre eux, avant même cette réforme, étaient affiliés à la mutuelle de leur entreprise. Au sein des 34 % restant, la réforme divise. 17 % ont choisi de se rallier à la mutuelle de leur entreprise, en abandonnant la mutuelle souscrite auparavant, 17 % ont choisi d’entreprendre des démarches afin de conserver leur propre mutuelle.
La satisfaction des salariés quant à l’obligation des entreprises à leur fournir une mutuelle apparaît ainsi comme le fruit d’une habitude et d’un certain confort.
Il apparaît en effet que pour les salariés, laisser la gestion de la mutuelle à son entreprise est une solution pratique et sûre. 64 % d’entre eux font en effet confiance à leur entreprise pour choisir une mutuelle adaptée à leurs besoins et même 56 % s’avouent soulagés de ne pas avoir à se préoccuper eux-mêmes de leur mutuelle.
64 % des salariés ont confiance en leur entreprise pour choisir leur mutuelle.
69 % des salariés, et une nouvelle fois, particulièrement les moins de 35 ans (78 %), s’estiment également heureux de ne pas recevoir de factures supplémentaires, du fait du prélèvement direct sur le salaire.
Confiance et soulagement du salarié impliquent néanmoins une véritable vigilance de la part de l’entreprise. Malgré ces aspects très positifs, les salariés restent attentifs à la qualité des prestations qui leur sont fournies et à la clarté de celles-ci.
Le sentiment qu’ils pourraient bénéficier de meilleurs tarifs ailleurs est toujours présent chez 52 % des salariés, qui ont également l’impression de ne plus pouvoir maîtriser eux-mêmes leurs choix de santé (51 %).
On identifie également une source de clivage autour de la question de la fiche de salaire, dont la lecture risque d’être encore plus compliquée suite à cette réforme. 42 % des salariés estiment qu’ils auront du mal à identifier les éléments concernant leur santé sur leur fiche de salaire et 42 % pensent qu’ils auront du mal à identifier les informations relatives à l’assurance maladie de celles relatives à la mutuelle.