Nora ANSELL-SALLES

vendredi 21 mars 2014

Les PSAD appellent les pouvoirs publics à sauver l’aide à l'observance

Pour mieux aider les malades souffrant d’apnées du sommeil,
les prestataires de santé à domicile appellent les pouvoirs publics à sauver le modèle innovant de l’aide à l’observance
 
Paris, le 18 mars 2014


Avant tout un bénéfice pour le malade, le nouveau dispositif de télésuivi de l’observance a pour impact de lui permettre d’être mieux accompagné, de renforcer son observance au traitement et de prévenir les conséquences nombreuses des apnées du sommeil
(maladies cardiovasculaires, accidents de la route, hypertension artérielle, ….) Sans télésuivi et hors période de démarrage du traitement, le malade non observant est plus difficilement identifiable et ne peut bénéficier en moyenne que d’un accompagnement 2 fois par an.

Depuis près de 2 ans, à la demande des pouvoirs publics, les prestataires de santé à domicile (PSAD), les fabricants et les médecins pneumologues se sont engagés dans la mise en œuvre de ce dispositif. Les résultats sont là : 150.000 patients, soit près d’un quart des 600.000 patients concernés, bénéficient aujourd’hui du télésuivi et 92 % d’entre eux en sont satisfaits.[1]

Le Conseil d’Etat a suspendu en référé le 14 février l’arrêté de nomenclature (LPP) de prise en charge par pression positive continue des patients atteints d'apnées du sommeil qui encourageait le télésuivi des patients et de leur observance. En réponse, le Ministère vient de publier le 27 février dernier un avis tarifaire à 19 €, dégradant le tarif pour le remboursement des prestations. En revenant au tarif précédent (sans télésuivi), les pouvoirs publics rendent aléatoire la pérennisation du déploiement de ce dispositif. Or, cela a représenté un investissement cumulé de près de 100 millions d’euros pour l’ensemble des acteurs concernés, ainsi qu’une profonde transformation des organisations et des systèmes d’information des PSAD.

Le tarif de 19 € proposé par le Comité Economique des Produits de Santé (CEPS) est inacceptable pour les PSAD,
car il ne permet pas de financer le dispositif de télésuivi et son fonctionnement dans des conditions convenables, ce que les pouvoirs publics savent parfaitement des 2 années de négociations antérieures.

Ceci conduira, dans les faits, à arrêter le déploiement de cette innovation voire à déséquiper les patients bénéficiant déjà de cette technologie. C’est une évidente perte de chance pour les patients.
En faisant ainsi, les pouvoirs publics mettent un terme à ce qui a été pendant plus d’un an une expérience unique au monde par son ambition et sa dimension, une expérience qui positionnait la France dans le camp de l’innovation de santé.

La Fédération des Prestataires de Santé à Domicile demande instamment au Ministère de la Santé et au Ministère du Redressement productif et de l’économie numérique de proposer une réunion de sortie de crise dans les meilleurs délais, ne serait-ce que pour envoyer un signal positif aux acteurs impliqués dans ce projet à leurs côtés depuis la première heure.
Dans l’attente de la décision du Conseil d’Etat, ils demandent aux pouvoirs publics d’envisager une solution alternative et transitoire qui pourrait passer par l’instauration d’un double tarif, avec un prix sans télésuivi et un prix pour les patients télésuivis avec l’accord explicite de ces derniers et sans lien entre observance et remboursement.

_______________________

Accompagnant plus de 1,2 million de patients, les prestataires de santé à domicile (PSAD) sont des acteurs clés du parcours de soins du patient : à la charnière entre les professionnels de santé, le patient et son entourage, les 16 000 professionnels (infirmiers, pharmaciens, techniciens, …) des PSAD permettent aux patients de recevoir à domicile certains traitements lourds nécessitant des appareillages complexes, dans de bonnes conditions de qualité, de sécurité et d’efficience. Chaque année, ce sont plus de 400M€ qui sont investis par les PSAD dans ces appareillages pour le compte de l’Assurance Maladie.
La Fédération des prestataires de santé à domicile représente les différents types de prestataires quels que soient leur taille, leur structure capitalistique, leurs métiers et les schémas de mise en œuvre des prescriptions. La Fédération se fixe comme objectifs de contribuer à l’amélioration de la qualité et de la sécurité de prise en charge des patients à domicile et à l’efficience globale du système de santé.
Elle est membre du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM) et de la commission d’évaluation des dispositifs et technologies de santé (CNEDiMTS) de la Haute autorité de santé (HAS).

[1] (Sondage Opinion Way pour la Fédération de Prestataires de santé à domicile réalisé en janvier 2014 auprès de 1012 personnes extraits d’une base de 9 054 patients équipés de télésuivi)
 

Libres propos : à propos de la recommandation temporaire d’utilisation accordée au baclofène

Communiqué de presse des organisations syndicales de psychiatres et des sociétés savantes de psychiatrie à propos de la recommandation temporaire d’utilisation accordée au baclofène


L'Agence de sécurité sanitaire et du médicament (ANSM) a publié le 14 mars 2014 une recommandation temporaire d'utilisation (RTU) pour le baclofène dans l'addiction à l'alcool ou en vue de la réduction majeure d'une consommation excessive d'alcool. C'est une nouvelle possibilité thérapeutique dont l'utilisation est ainsi reconnue et facilitée, à côté de la prise en charge psychologique et psychothérapique qui demeure le plus souvent nécessaire pour les patients atteints de ces troubles.

Nous rappelons que les addictions sont des troubles mentaux relevant donc de la psychiatrie et que les médecins généralistes sont en première ligne pour traiter les patients qui en sont atteints. Nous rappelons aussi que l'addictologie n'est pas une spécialité médicale reconnue par l'ordre des médecins.

Nous nous permettons d'attirer l'attention sur les modalité complexes de cette RTU, notamment en ce qui concerne les avis requis. Pour les doses supérieures à 180 mg, il nous paraît restrictif de limiter cet avis, qui serait obligatoire et collégial, aux CSAPA et aux services hospitaliers spécialisés en alcoologie (sur quels critères ?), dans la mesure où le baclofène est un médicament psychotrope que les psychiatres ont la capacité de prescrire par eux-mêmes. En revanche, si le prescripteur le souhaite, en cas de prescription de doses supérieures à 180 mg, ou même avant, un autre avis peut être demandé à des médecins plus expérimentés, le prescripteur étant capable de décider si cet avis lui est nécessaire et de choisir à qui le demander. L'avis requis lorsque le seuil de 120 mg est dépassé nous paraît inutile.

Nous relevons aussi dans les contre-indications une "co-morbidité psychiatrique (psychose, notamment schizophrénie, psychose maniaco-dépressive et dépression d'intensité sévère)". Si ces contre-indications de précaution paraissent justifiées pour des non-spécialistes, elles ne le sont plus lorsque le prescripteur est un psychiatre, capable d’apprécier l’équilibre bénéfice/risque. L'expérience montre que les patients pour lesquels l'ANSM contre-indique le baclofène y sont sensibles, et que ce traitement, malgré les effets secondaires psychiques qu'il peut entraîner, peut leur être fort utile, à condition que toutes les précautions d'utilisation soient observées et qu'une prise en charge étroite par un spécialiste en psychiatrie soit assurée. En l’état, il s’agirait, pour des cas graves, d’une perte de chance apparaissant comme une discrimination vis-à-vis de la maladie mentale.

Nous demandons que la RTU soit modifiée sur ces deux points, car sinon elle risque de ne pas répondre à des conditions de mise en œuvre optimales pour l'ensemble des patients susceptibles d'en bénéficier, ou plus simplement, de ne pas être appliquée.



Collège national pour la qualité des soins en psychiatrie (CNQSP)

Collège national des universitaires de psychiatrie (CNUP)

Fédération française de psychiatrie (FFP)

Intersyndicale de défense de la psychiatrie publique (IDEPP)

Syndicat national des psychiatres privés (SNPP)

Syndicat des psychiatres d’exercice public (SPEP)

Syndicat des psychiatres français (SPF)

Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH)

Syndicat des psychiatres salariés de la Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres (SP CFE-CGC)

Syndicat universitaire de psychiatrie (SUP)

Union syndicale de la psychiatrie (USP)

 





Fondation de l'Avenir clôture appel d'offres dans 48H

Santé : le premier site de personnalisation de carte de diabétique

En France, 3,5 millions de personnes environ sont atteints de diabète soit près de 4,5 % de la population. Cependant, rares sont les personnes souffrant de diabète qui reçoivent lors de leur dépistage une carte de diabétique. Lorsqu’elle est remise, cette carte est souvent de qualité médiocre et se limite à un simple bout de papier. Elle n’est donc pas évolutive et ne permet pas d’apposer une photo d’identité.

Il est également impossible d’en obtenir une nouvelle afin de mettre à jour les informations qui y figurent.

Cette carte n’est donc pas adaptée au quotidien d’un diabétique.

 Ma carte de diabétique, le premier site de personnalisation de carte de diabétique en ligne, répond à ce besoin et permet de prévenir les personnes qui entourent le diabétique ainsi que les services de secours en cas de malaise, de perte de connaissance ou bien encore dans le cas d'un accident de voiture.

Ma carte de diabétique, très utile aux personnels de santé sert à avoir une information claire et rapide et ainsi à mettre en place un traitement adapté. Elle permet également aux proches ou simplement à un passant dans la rue de connaître les gestes et les bons reflexes à adopter en cas de malaise ou de perte de connaissance.

 Vidéo de présentation : http://player.vimeo.com/video/73445755

 www.macartedediabetique.fr permet de réaliser directement en ligne une carte de diabétique personnalisée. Cette carte en PVC de dimensions 86 x 54 mm et 0.76 mm d'épaisseur (même format qu’une carte bleue), protégée contre les rayures, chocs et frottements, mais également contre l'humidité et les variations de chaleur, permet d’avoir à portée de main toutes les informations importantes et nécessaires à l’entourage et aux personnels de santé en cas de malaise ou de perte de connaissance.

 
Le site permet de créer une carte avec toutes les informations à jour :

  Traitement

  Coordonnées de la personne diabétique

  Date de naissance

  Personne à prévenir en cas d’urgence

  Réflexes à adopter

  Photo d’identité

  Commentaires

 

et tout cela dans des designs actuels et tendances.

 

 Une fabrication 100% française aux portes des Alpes, plus précisément à Grenoble.

Des frais de port offerts pour une livraison standard à destination de la France Métropolitaine.

Une livraison sous 48h grâce à une maîtrise complète de la fabrication qui permet une expédition le jour même pour toutes commandes effectuées avant midi.

 

A propos :

Macartedediabetique.fr, un service à disposition des diabétiques, fondé par un diabétique !

Benoît GIULIANI, diabétique depuis 2003.

Suite à un Bac Scientifique, 3 années à l’EGC Valence(Ecole de Gestion et de Commerce de Valence) pour y passer un Bachelor puis 2 années en tant que responsable commercial dans une société spécialisée dans la publicité par l'objet, Benoît crée son

   
     entreprise, ScooPRINT, en 2010. Fort de son expérience, Benoît GIULIANI créé Ma Carte de Diabétique fin 2013.  

 
« L’idée m’est venue en rangeant mon portefeuille et en tombant sur ma carte de diabétique, vieille de 10 ans et déjà périmée depuis 8 ans sans trouver où la réactualiser ! »

 
Benoît s’entoure alors de Valentin (Développeur) et Clémence (Graphiste) avec qui il crée l’interface de personnalisation et de vente en ligne www.macartedediabetique.com

L'objectif de Benoît est de proposer un service de personnalisation de cartes de diabétique afin d'accompagner et de rassurer les diabétiques ainsi que leurs proches en accélérant le transfert d'informations au secours lors d'un accident, qu'il soit lié ou non au diabète.

 
PPI : 9,90€ la carte frais de port inclus.

(tarif dégressif à partir de plusieurs cartes)

MINE D'INFOS: C'est à lire : le recueil de Roland Sicard des bo...

MINE D'INFOS: C'est à lire : le recueil de Roland Sicard des bo...: Roland Sicard 1 er Présentateur des "4 vérités" sur France 2 viens de publier "leurs 4 Vérités" chez Albin-Michel,...

C'est à lire : le recueil de Roland Sicard des bons mots de nos politiques


1erPrésentateur des "4 vérités" sur France 2 viens de publier "leurs 4 Vérités" chez Albin-Michel, un recueil des meilleurs bons mots de nos politiques



« Oui, l’humour politique est le plus souvent cruel. Il appuie là où ça fait mal. Il s’amuse à tourner l’autre en ridicule. A caricaturer. Une arme redoutable, à manier avec talent.

Seuls quelques-uns de ces bons mots entreront dans l’Histoire. Pourtant, les grands enfants que nous sommes restés se plaisent à en jouer. Et ça fait un bien fou ! Une conviction : tous auraient mérité de figurer dans le programme du vaste mouvement créé par Pierre Dac, Le parti d’en rire ! » Roland Sicard

 
 
 
 

MINE D'INFOS: Le Best-of de la semaine

MINE D'INFOS: Le Best-of de la semaine: a franchi la barre des 202 163 visites aujourd'hui   HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE LA SEMAINE:  200 000 c...

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jeudi 20 mars 2014

Quoi de neuf du côté des droits des malades ?



 

u Des droits individuels qui progressent

u restant assombris par des points noirs inacceptables

u appelant une montée en puissance des droits collectifs

 

 

 

Un sentiment d’information qui progresse, insuffisamment en pratique

Le niveau d’information ressenti par les usagers progresse dans toutes les situations concernant leur santé, mais c’est toujours sur les aspects pratiques de la démarche de soins que l’information passe le moins bien : les modalités d’accès à son dossier médical ainsi que les recours et les démarches en cas de problème grave lié aux soins sont les points sur lesquels les usagers se déclarent toujours le moins bien informés (respectivement 30% et 27% d’entre eux disent être mal informés en la matière).

 

C’est donc quand il s’agit de se pencher sur l’information pratique, utilisable par les usagers dans leur recours au système de santé, et non plus sur le sentiment théorique d’information, qu’on voit les carences informationnelles subsister.

 

 

Internet et santé : la suspicion toujours de mise, en particulier pour les personnes en ALD

Si la perception d’Internet progresse parmi l’ensemble des usagers comme outil d’information en matière de santé, la confiance vis-à-vis des services de santé en ligne reste faible en particulier chez les personnes les plus concernées par la maladie : ces services n’inspirent confiance qu’à 25% des usagers, et même à seulement 15% des personnes se déclarant en affection longue durée (ALD).

 

 

Les droits des malades liés à la fin de vie sont parmi les plus méconnus, et nombre de droits élémentaires encore ressentis comme mal appliqués

Si la notoriété des droits qui s’appliquent aux personnes malades et aux usagers du système de santé apparaît en progression pour l’ensemble de ceux suivis par notre baromètre, ceux qui restent les plus mal connus sont en lien avec les situations de fin de vie. L’actualité médiatique a récemment rappelé les difficultés dans la mise en œuvre des droits sur la fin de vie, visiblement sans permettre aux usagers de prendre pleinement conscience de ces droits :

-       17% des personnes ne savent pas qu’elles peuvent refuser ou interrompre un traitement, 29% pensent que ce droit est mal appliqué ;

-       20% des personnes ne savent pas qu’elles peuvent rédiger des directives anticipées pour leur fin de vie, et 35% pensent que ce droit est mal appliqué.

 

De même, en ce qui concerne la possibilité d’exercer un recours pour une indemnisation en cas de problème grave lié aux soins, 22% ne connaissent toujours pas cette possibilité et 33% pensent qu’elle est mal appliquée.

 

Enfin des droits aussi élémentaires que l’accès au dossier médical ou l’information sur le coût des soins, même s’ils progressent, restent ressentis comme mal appliqués par plus d’1/3 des usagers (respectivement 34% et 35%).

 

 

AERAS : recul des déclarations de refus d’assurance en raison de l’état de santé, auquel plus d’une personne sur dix - et près du quart des personnes en ALD - dit encore avoir été confrontée

Si le pourcentage de personnes disant avoir été confrontées à des refus d’assurance baisse de 7 points entre 2013 et 2014 (passant de 20% à 13%), la diminution est moins importante pour celles déclarant avoir été confrontées à une proposition d’assurance avec exclusion de garanties (16%, -3 points) ou à une proposition d’assurance avec surprime (15%, -4 points).

 

Globalement, le pourcentage de personnes ayant été confrontées, elles-mêmes ou un de leurs proches, à au moins une de ces trois situations passe de 32% en 2013 à 25% en 2014. Parmi ces 25% de personnes confrontées à une difficulté d’assurance, la notoriété d’AERAS progresse considérablement : + 23 points. Toutefois, lorsque les personnes rapportent des recours au dispositif AERAS, il ne semble avoir permis de répondre aux difficultés que dans 22% des cas contre 52% où il ne l’a pas permis.

 

 

Refus de soins et dessous de table : des cas plus fréquents chez les personnes en ALD

4% des usagers disent avoir été victimes de discrimination de la part d’un professionnel ou d’un établissement de santé qui leur a refusé l’accès aux soins. Cette proportion monte à 9% pour les personnes en ALD (près de 1 sur 10), et même à 12% chez les ouvriers.

 

5% des usagers disent avoir été confrontés à une demande de « dessous de table » de la part d’un professionnel de santé, au cours des trois dernières années. Un chiffre qui a presque doublé par rapport au résultat obtenu à la même question dans une enquête précédente de 2007.

Les plus confrontées à cette dérive : celles qui sont en ALD sont 8% à déclarer s’être vu réclamer « une somme en espèce sans facturation » par un professionnel de santé. Un sujet dont les organismes de contrôle des professionnels de santé doivent s’emparer au risque que leur soit reproché son aggravation future si elle se confirmait.

 

 

Légitimité confirmée des associations pour représenter et défendre les intérêts des malades et usagers

Les associations restent en tête des organisations reconnues comme les plus légitimes par les usagers pour les représenter et les défendre : ils sont 60% à leur accorder cette légitimité (+ 8 points par rapport à 2013).

 

 

  

 

Les associations se voient largement confirmer aux yeux des usagers une légitimité certaine à les représenter et les défendre : un signe supplémentaire de l’urgence à ce que la puissance publique engage l’An II de notre démocratie sanitaire, recommandé notamment par le récent rapport remis à la ministre de la Santé.

 

La pleine expression des droits collectifs des usagers, qui passe en particulier par la reconnaissance politique et financière des modalités de leur représentation, est maintenant l’étape indispensable à une meilleure mise en œuvre des droits individuels.

 

Les travaux en cours sur la stratégie nationale de santé, et la loi de santé qui devrait en découler, ne sauront passer à côté de cette priorité.

 
  Accéder au rapport d’enquête du baromètre en vous rendant sur cette page du site du CISS :


 

MINE D'INFOS: Colloques "Activités physiques et sportives : un e...

MINE D'INFOS: Colloques "Activités physiques et sportives : un e...: Découvrez le programme: http://fr.calameo.com/read/0031526246d8db94d2f20

Colloques "Activités physiques et sportives : un enjeu pour la santé" - 1er avril - 14h00 - locaux MGEN Paris 15e

Découvrez le programme:
http://fr.calameo.com/read/0031526246d8db94d2f20

NDLR : MGEFI et Activités physiques

AGL MGEFI PARIS
Les adhérents parisiens sont conviés
Le 28 mai 2014  de 11H30 à 13H

Table ronde

Activité physique et Santé :
Gardez le rythme, gardez la santé!
Espace Charenton

327, rue de Charenton 75012 Paris

Métro ligne 8 Station : Porte de Charenton - Tram T3 : Station : Porte de Charenton:

Bus : Ligne PC 2Arrêt : Porte de Charenton Ligne 87 Arrêt : Charenton jardinier Ligne 111 Arrêt : Porte de Charenton

Par la route : Périphérique sortie : Porte de Charenton Porte de Bercy

 
 Inscription presse : nansellsalles@mgefi.fr

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MINE D'INFOS: 1ere web TV dédiée aux enfants et aux parents à pr...: sur www.pipi-au-lit.net .     L’énurésie nocturne touche près de 6% des enfants de 6 à 10 ans et concerne 3% des enfants de 11 à ...

MINE D'INFOS: Les verres progressifs + chers pas forcément meill...

MINE D'INFOS: Les verres progressifs + chers pas forcément meill...: 60 Millions de Consommateurs – mensuel d’avril 2014   Verres progressifs Les plus chers ne sont pas forcément les meilleurs… ...

Les verres progressifs + chers pas forcément meilleurs...


60 Millions de Consommateurs – mensuel d’avril 2014

 

Verres progressifs

Les plus chers ne sont pas forcément les meilleurs…

 

Dans son mensuel d’avril, en vente en kiosque aujourd’hui, 60 Millions de consommateurs s’est intéressé aux verres progressifs et publie les résultats d’une étude inédite qui apporte deux enseignements forts.

·         Des verres progressifs de génération plus ancienne, donc moins chers, peuvent apporter une qualité de vision et un confort pour les utilisateurs aussi satisfaisants que des verres de dernière génération

·         A niveau de gamme similaire, les verres Varilux d’ Essilor, la marque leader, ne sont pas forcément les plus appréciés des utilisateurs quand ils ont le choix.

 

Pour obtenir ces résultats, le centre d’essais comparatifs de l’Institut national de la consommation a demandé à 53 volontaires de tester chacun trois verres différents : un de milieu de gamme et deux de haut de gamme, dont un Varilux d’Essilor. Les produits ont tous été testés à « l’aveugle » par des panélistes de 45 à 65 ans, sur une période de quatre semaines.

Au terme de cette étude, aucun verre n’a été mal noté par les utilisateurs, mais 20 personnes ont choisi de conserver les verres de milieu de gamme, 20 autres les verres haut de gamme de la marque concurrente d’Essilor, et 13 seulement les verres haut de gamme d’Essilor, pourtant les plus chers de l’échantillon.

 

Conclusions : ni les verres de dernière génération, ni les verres Varilux d’Essilor ne sont incontournables pour obtenir une bonne qualité de vision. L’étude prouve par ailleurs qu’on peut s’équiper de verres de qualité à moindre prix. En effet, le verre le mieux noté par les utilisateurs coûte 100€ sous la marque distributeur d’une enseigne optique low cost, contre 230 euros pour son équivalent vendu sous le nom d’une grande marque!

 

Aujourd’hui, pour choisir des verres progressifs en toute connaissance de cause les consommateurs devraient :

·         être mieux informés sur l’origine et la qualité des produits qu’on leur propose,

·         avoir la garantie qu’une véritable concurrence s’exerce entre les différents fabricants.

NDLR: MGEFI et Optique



optistya                               
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    1ere web TV dédiée aux enfants et aux parents à propos de l’énurésie nocturne

     
     

    L’énurésie nocturne touche près de 6% des enfants de 6 à 10 ans et concerne 3% des enfants de 11 à 14 ans.
     

    Pour améliorer le dépistage et la prise en charge de l’énurésie, le laboratoire Ferring lance la 1ère webTV dédiée à ce problème, sur le site http://www.pipi-au-lit.net/. Créée à partir de nombreux témoignages d’enfants postés sur le site, « Tout savoir sur le pipi au lit » reprend les questions les plus fréquentes soulevées par les enfants énurétiques. « J’ai 8 ans, pourquoi je fais encore pipi au lit ? Pourquoi ça m’arrive à moi et pas aux autres enfants ? Je suis invité samedi soir chez un copain, j’ai peur d’y aller car j’ai peur de faire pipi au lit ».

    Le Dr Christophe Philippe, pédiatre en région parisienne, répond, en images, à 10 questions, posées par des enfants, dans un langage simple et compréhensible par les plus jeunes.

    A propos de l’énurésie nocturne :  www.pipi-au-lit.net.