Nora ANSELL-SALLES

vendredi 24 janvier 2014

Pas assez de dons de cerveau post mortem pour la recherche


Vieillissement cérébral et Démences
 
L’Académie nationale de médecine appelle au don post-mortem de cerveau
pour la recherche
 
LE DON DE CERVEAU post-mortem Un don gratuit qui peut rapporter gros à la recherche...

 


Ne pas confondre :

 
- don du corps

- don d'organes

Le prélèvement de cerveau pour la recherche et le prélèvement d’organes pour la greffe, ne sont pas réalisés par les mêmes équipes. Néanmoins ils ne sont pas incompatibles. Mais, il est rare que la mort cérébrale survenue chez un patient dont le cœur bat toujours (par exemple après un accident de la route) soit compatible avec la recherche sur le cerveau.

 

Objectif RECHERCHE

 

-  sur des affections fréquentes et invalidantes, dramatiques non seulement pour le patient mais aussi pour sa famille

-  dans un contexte de pénurie (tabou, manque d'information)

-  en l'absence de modèles animaux

-  malgré les progrès de l'imagerie

 

QUI ?

 

- malades, mais aussi et surtout cerveaux sains

 

COMMENT ?

 

Une démarche simple et gratuite

garantie de l'anonymat

 

En pratique...

Les associations de malades et la FRC informent leurs adhérents et le grand public de l’existence et de l’intérêt du « don de cerveau post mortem pour la recherche » (site internet, campagnes de presse, etc.).

Les personnes intéressées contactent la coordinatrice Marie-Claire Artaud qui répond à leurs questions et leur adresse, sur demande écrite, un formulaire d’autorisation de prélèvement qu’ils peuvent remplir avec l’aide de leur médecin traitant ou de leur neurologue. Les patients qui retournent le formulaire signé reçoivent un dossier complet comprenant une carte de donneur. Leur consentement fait l’objet d’un traitement informatisé. Le formulaire de consentement comporte une clause permettant de contacter le médecin du donneur de façon à réunir un dossier clinique. Ces dossiers confidentiels sont couverts par le secret médical et sont gardés sous clef.

Au moment du décès, les proches contactent la coordinatrice qui se charge d’organiser le prélèvement (tous les jours, week-ends et jours fériés inclus). Le transport du corps sans mise en bière doit s’effectuer dans les 24 heures qui suivent le décès. Le corps est acheminé jusqu’au centre de prélèvement le plus proche où un neuropathologiste effectue le prélèvement. Le corps est aussitôt rendu à la famille qui a toute liberté pour organiser les funérailles.

 

 

 

 

Une moitié du prélèvement est prise en charge par le neuropathologiste qui, après examen, décrit les lésions cérébrales et porte le diagnostic de la maladie. L’autre moitié du prélèvement est échantillonnée. Les échantillons sont portés à basse température et transportés dans de la carboglace à l’unité centrale, localisée à la Plate-Forme des Ressources Biologiques. Les échantillons sont étiquetés, enregistrés, et rangés par la coordinatrice.

 

Les chercheurs qui souhaitent obtenir des échantillons adressent à la Neuro-CEB leur projet de recherche, qui est soumis à un comité scientifique. Les échantillons sont reconditionnés, adaptés aux caractéristiques du projet et envoyés aux chercheurs.

 

Le coût d’un prélèvement, associé à l’examen du cerveau, a été évalué à 1000 euros, et le coût du transport du corps oscille entre 600 et 1200 euros. L’intégralité des frais est prise en charge par la Neuro-CEB. La mise en bière et les funérailles restent à la charge de la famille.

 

 

LA PLATE-FORME DE RESSOURCES BIOLOGIQUES

 

Réseau de don du cerveau post mortem pour la recherche, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Pr. Charles Duyckaerts et Marie-Claire Artaud, respectivement administrateur et coordinatrice

 

Depuis 2006, la mise à disposition des échantillons de tissus cérébraux indispensables à la recherche est assurée par une biobanque nationale : le GIE Neuro-CEB, qui repose sur un réseau de 15 centres de prélèvements hospitaliers.

Ce réseau de don de cerveau post mortem pour la recherche a été mis en place, ce qui est unique au monde, grâce à la mutualisation des efforts de quatre associations de malades : CSC (Connaître les syndromes cérébelleux), la Fondation ARSEP (pour la recherche sur la sclérose en plaque), France Alzheimer et France Parkinson.

 

L’entretien d’une banque de tissus humains implique une logistique lourde et coûteuse. Outre la collection de cerveaux de la Neuro-CEB, plusieurs biobanques coexistent à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière. Des locaux ont été spécifiquement aménagés afin de mutualiser les moyens. Depuis septembre 2007, 14 congélateurs à -80°C et 6 cuves à azote liquide abritent, à la Plate-Forme de Ressources Biologiques, des banques de cerveaux (neuro CEB), de tissus musculaires (AFM, Association Française contre les Myopathies), de cellules sanguines et de tumeurs (APHP).

 

- un réseau de centres de neuropathologie partout en France ( Aix/Marseille, Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand, Créteil, Lille, Lyon, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Rouen, Toulouse, Strasbourg)

- plus de 400 hémi-encéphales ont été collectés par le GIE Neuro-CEB grâce au consentement préalable de personnes malades (Alzheimer et maladies apparentées, Parkinson et maladies apparentées, syndromes cérébelleux, sclérose en plaques) et de personnes non atteintes de ces pathologies (témoins pour les recherches).

- 1700 autres personnes ont déclaré au GIE Neuro-CEB leur consentement à un prélèvement de leur cerveau à leur décès.

- Une cinquantaine de projets de recherche ont bénéficié d’échantillons mis à disposition par le GIE Neuro-CEB

- une vingtaine de publications scientifiques en ont résulté.

 

www.neuroceb.org  N° Vert : 0 800 531 523

 

Pour toute information contacter la coordinatrice :  Marie-Claire Artaud-Botté

01 42 17 74 19 /   marie-claire.artaud@neuroceb.org



 

Vieillissement cérébral et Démences
 
L’Académie nationale de médecine appelle au don post-mortem de cerveau pour la recherche


La réunion FRANCE-QUÉBEC, organisée pour la deuxième fois par l’Académie le 21 Octobre 2013, avec l’aide de la Délégation Générale du Québec à Paris, avait pour thème la recherche sur le vieillissement cérébral et les maladies neurodégénératives. Les présentations ont permis de faire le point sur de multiples avancées. Il est possible de noter, par exemple, l’importance des systèmes GABA-Glutamatergiques, du mécanisme de transconformation de type « Prion », des modulateurs de phosphorylation de la protéine tau, des micro-ARN, d’oligomères du peptide A, des facteurs environnementaux… Cependant, quelle que soit la piste explorée, la recherche bute aujourd'hui sur un obstacle majeur: la pénurie de cerveaux à étudier induite par la disparition programmée de l'autopsie scientifique en France.

·         Seuls 0,11 % seulement des décès en 2911 ont été suivis d’une autopsie médicale en 2011.

·         Les espoirs mis dans l’autopsie virtuelle par échographie, scanner X, ou imagerie par résonance magnétique (IRM) pour remplacer l’autopsie médicale n’ont pas, jusqu’ici, été exaucés du fait du grand nombre  de discordances (32 à 42%) et de l’ impossibilité des études de biologie moléculaire .

Or, sans les autopsies, même rares - notamment celles pratiquées hors de France - on n’aurait pas montré, par exemple, que :

      contrairement à ce que laisse supposer un excès de langage, la maladie d’Alzheimer ne représente qu'une partie des démences dégénératives et que la fréquence des démences « mixtes », notamment dégénératives et vasculaires, a été largement sous-estimée,

 

      certaines des lésions qui caractérisent plusieurs démences dégénératives surviennent dès l’enfance ou l’adolescence [6]. 

 

C’est pourquoi, l'Académie nationale de médecine, comme elle l'a déjà fait à plusieurs reprises, recommande que:

       le nom de la personne de confiance, seule décisionnaire après le décès du patient, soit systématiquement indiqué au médecin traitant, et que ses coordonnées soient notées lors de toute hospitalisation ;

       l'autorisation du don d'organe post-mortem en vue d'une greffe soit élargie au don de cerveau pour aider la recherche ;

      le développement des centres de ressources biologiques (neurothèques, tumorothèques, centres de maladies rares...) soit poursuivi pour permettre la conservation et l’exploitation des dons post mortem, dans le strict respect de l’éthique et de l’anonymat.   

 

Références

[1] ARDAILLOU R, HAUW JJ. Modifications à apporter à la législation sur les centres de ressources biologiques. Bull. Acad. Natle Méd., 2009, 193, no 3, 729-738,

[2] BOUREL M., ARDAILLOU R. Les centres de ressources biologiques dans les établissements de soins.  Bull. Acad. Natle Méd., 2002, 186, 1551-1564,

[3] HAUW J-J. Les différentes variétés d’autopsie. Proposition pour un renouveau de l’autopsie médicale et scientifique. Bull. Acad. Natle Méd., 2001, 829-38.

[4] HAUW J-J. Mort annoncée de l’autopsie médicale chez l’adulte. Perte de la solidarité après la mort. Revue hospitalière de France; 2013, 552, 62-65.

[5] JOUANNET P, ARDAILLOU R, CHAPUIS Y. Avis sur le projet de loi relatif à la bioéthique adopté à l’Assemblée Nationale en première lecture le 15 février 2011.  Bull. Acad. Natle Méd., 2011, 195, 733-740.

[6] TILLEMENT J-P, HAUW J-J, PAPADOPOULOS V. Le défi de la maladie d’Alzheimer. Synergies franco-québécoises. Lavoisier, Médecine-Sciences, 2013, 104 p.
 
 

FIN DE VIE: la position de l'Académie de médecine


ACADEMIE  NATIONALE DE MEDECINE

Communiqué de presse / 20 janvier 2014

 

FIN DE VIE

l’Académie nationale de médecine réitère sa position

 

L’Académie nationale de médecine est très sensible à la situation de M. Vincent Lambert et à celle de sa famille, telle qu’elle a été rendue publique. Elle est aussi très attentive aux conclusions du Tribunal administratif de Châlons-sur-Marne, à l’encontre de la décision prise par les médecins hospitaliers. Cette décision des médecins avait été longuement précédée de toutes les procédures prescrites par la Loi de 2005, dite Loi Léonetti.

Coïncidence des faits, cette douloureuse affaire survient au moment où le Président de la République rappelle sa détermination à tenir son engagement électoral n° 21 visant à légaliser «une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité ». Cela illustre combien serait réductrice et inadaptée une législation complémentaire à la Loi de 2005, dite Loi Léonetti. Votée à l’unanimité par le Parlement, elle a permis de préciser le droit des malades et le devoir des médecins dans ces circonstances.

L’Académie nationale de médecine, de longue date très impliquée dans cette réflexion, tient à rappeler la position qu'elle a rendue publique en décembre 2012, à l’occasion du rapport de la Commission Sicard relative à la Fin de vie. Elle tient à préciser qu’il convient de faire la distinction formelle entre « Fin de vie » et « Arrêt de vie ».

           

I- L’arrêt de vie, en réponse à une demande volontaire à mourir alors que la vie en elle-même n’est ni irrémédiablement parvenue à son terme ni immédiatement menacée, ne peut être assimilée à un acte médical. Sans équivoque, quand bien même il s’agirait « seulement » d’une aide au suicide, il s’agit d’une euthanasie active. Il n’est pas dans la mission du médecin de provoquer délibérément la mort. Aucun médecin ne saurait consentir à donner la mort. Aucun médecin ne saurait se voir imposer par la loi de transgresser cet interdit fondateur.

 

II- Le terme « fin de vie » recouvre des situations humaines bien distinctes qui n’autorisent aucun amalgame avec la situation précédente.

 

En toutes circonstances,au-delà des traitements devenus inefficaces, refusant tout acharnement thérapeutique, auquel doivent alors être substitués des soins palliatifs, les médecins et les personnels soignants doivent savoir refuser également toute obstination de soins et y substituer l’accompagnement de la fin de vie, désormais imminente et inévitable.  Cette démarche est du devoir du médecin, quelle que soit la diversité des situations individuelles, quel que soit l’âge auquel survient la fin de vie, du fait de la maladie où d’accident. Il en est de même dans toutes les circonstances de l’inéluctable fin de vie du grand âge. C’est là un problème de santé publique devenu majeur dans notre société du fait de l’accroissement de la longévité. La démarche médicale première de « l’accompagnement » est le soulagement de la douleur, la sédation. Elle doit également comporter un accompagnement humain, affectif et spirituel, tant de la personne que  de son entourage.

 

 

 

III- L’Académie nationale de médecine a déjà tenu clairement à faire apparaître les interrogations éthiques nouvelles qui ont surgi du fait des conséquences de certains échecs de techniques de plus en plus audacieuses, rendues possibles du fait des progrès de la médecine. Ces situations douloureuses peuvent être observées dans le cadre de la prise en charge de certaines pathologies vasculaires sévères (dont  les AVC) qui n’épargnent pas les jeunes, et qui furent longtemps rapidement suivies du décès. Elles sont aussi le fait des traumatismes cérébraux et médullaires, liés notamment aux accidents de la circulation, dont la fréquence et la gravité se sont trouvées amplifiées au sein des jeunes. C’est le cas de Vincent L. Dans ces circonstances, la personne devenue, de façon définitive, physiquement totalement dépendante, survit grâce à des soins constants et très lourds, dispensés dans un cadre institutionnel spécialisé ou dans leur entourage, avec générosité.

 

On ne peut confondre deux situations totalement différentes selon que la personne est ou non demeurée consciente et en capacité relationnelle lui permettant de faire valoir ses droits et d’exprimer sa volonté qui, en  toutes circonstances, doit être respectée.

 

L’Académie nationale de médecine rappelle qu’elle estime que dans l’une et l’autre de ces situations, la loi Léonetti de 2005, en l’état, définit clairement le cadre de la réflexion dont découlera la réponse :

Reconnaître le fait qu’il ne s’agissait  que d’une survie.

Accepter la décision de substituer aux soins prolongés, légitimement obstinés, mais sans doute devenus déraisonnables, le meilleur accompagnement possible du terme différé de cette survie.

 

Les modalités de cet accompagnement ne diffèrent pas de celles qui s’imposent au médecin dans l’accompagnement de toute fin de vie. Cette démarche ne saurait être qualifiée d’ « assistance médicale au suicide » ou de « suicide assisté ».

 

L’Académie nationale de médecine reconnaît que les questionnements les plus délicats surgissent des situations telles que celle de Vincent L. La dépendance physique est totale, mais, en l’absence de toute communication, l’incertitude demeure sur la persistance possible d’un certain niveau de conscience. Cette situation dite « pauci relationnelle » rend impossible le recueil de l’expression de la volonté de la personne.

 

L’Académie nationale de médecine tient ici à souligner que, sans qu’il soit besoin pour cela de légiférer à nouveau, il devient nécessaire de faire progresser dans notre société la notion et l’expression des directives anticipées. Dans les situations d’urgence, s’imposent la sincérité et la transparence des informations données d’emblée (au patient ou à sa personne de confiance, ou à sa famille) sur les traitements entrepris, leurs succès escomptés, mais aussi les échecs toujours possibles, et leurs conséquences probables.

 

L’Académie nationale de médecine souhaite ne pas être tenue à l’écart du débat annoncé par Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé au soir du 16 janvier, dès après qu’a été rendu public le jugement du Tribunal administratif, accélérant de ce fait le débat plus général déjà en cours sur « la fin de vie ».

 

 

 

Références

-          - D. Pellerin. Contribution à la réflexion publique des citoyens sur l’accompagnement des personnes en fin de vie (Mission Sicard). Bull. Acad. Natle, Med. 2012, n° 9, 1843-1870, séance du 11 déc. 2012

-          - D. Pellerin et J.R. Le Gall. Ne pas confondre « fin de vie » et « arrêt de vie », Février 2013. http://www.academie-medecine.fr/communique-de-presse-ne-pas-confondre-fin-de-vie-et-arret-de-vie/

 

 

 

 

 

MINE D'INFOS: 2014 : Sidaction a 20 ans

MINE D'INFOS: 2014 : Sidaction a 20 ans:   Il y a 20 ans Pierre Bergé et Line Renaud unissaient leurs forces en créant l’association Ensemble contre le sida devenue aujourd’hui S...

MINE D'INFOS: Concours VIH Pocket Films, dernière ligne droite !...

MINE D'INFOS: Concours VIH Pocket Films, dernière ligne droite !...:   31 janvier : dernier délai pour déposer sa vidéo. La seconde édition du concours VIH Pocket Films se déroule actuellement e...

Concours VIH Pocket Films, dernière ligne droite !

 
31 janvier : dernier délai pour déposer sa vidéo.


La seconde édition du concours VIH Pocket Films se déroule actuellement et il est encore temps d’y participer !


Ce concours a pour objectif d’informer les jeunes sur le VIH et les sensibiliser aux risques sexuels. C’est pourquoi nous invitons les jeunes âgés de 15 à 25 ans à réaliser une vidéo à partir de leur téléphone portable sur le thème de la prévention ou de la vie avec le VIH.


Les participants peuvent s’inscrire et déposer leurs vidéos jusqu’au 31 janvier prochain en se rendant sur notre site Internet : www.sidaction.org/



Pour les informations pratiques :

Pour déposer une vidéo : http://vih-pocket-films.sidaction.org/



Ce concours bénéficie du soutien des ministères de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative.

Un jury d’élite sélectionnera les dix meilleurs films. Les vainqueurs se verront remettre un prix à l’occasion du Sidaction qui se déroulera les 4, 5 et 6 avril 2014. Les dix films sélectionnés permettront de réaliser un outil pédagogique diffusés dans l’ensemble des structures dépendant des ministères partenaires.


Retrouvez toutes les informations sur notre site Internet : https://www.sidaction.org/ewb_pages/v/vih-pocket-films.php


2014 : Sidaction a 20 ans


 
Il y a 20 ans Pierre Bergé et Line Renaud unissaient leurs forces en créant l’association Ensemble contre le sida devenue aujourd’hui Sidaction. 20 ans de combat sur tous les fronts : recherche, prévention et aides aux malades. 20 ans après, Sidaction est devenue un acteur incontournable de la lutte contre le sida.

A l’occasion de cet anniversaire, Sidaction organisera tout au long de l’année les événements suivants :


Le dîner de la mode : 23 janvier


Le dîner de la mode de Sidaction, qui clôture les défilés de haute-couture, organisé en partenariat avec la Fédération française de la Couture se tiendra le jeudi 23 janvier 2014 au Pavillon d’Armenonville à partir de 19h30. Il réunira 700 personnes du monde de la mode, des médias, de la culture…Sidaction bénéficiera du soutien de Potel et Chabot, premier traiteur parisien à avoir signé le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire en partenariat avec le ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. La précédente édition avait permis de collecter 728 000 euros.


Le concours VIH Pocket Films


La seconde édition du concours VIH Pocket Films,concours national lancé en octobre dernier en partenariat avec les ministères de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Fôret, des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative se clôture le 31 janvier prochain. Un jury d’élite sélectionnera les dix meilleurs films qui permettront de réaliser un outil pédagogique diffusé dans l’ensemble des structures dépendant des ministères partenaires.





Le Sidaction 2014 : 4, 5 et 6 avril

20 ans après le 1er Sidaction multichaînes, 20 médias partenaires porteront les couleurs de Sidaction et relayeront les messages de sensibilisation, d’information, de mobilisation et d’appels à don. Pour faire un don, un seul numéro à retenir : le 110, la ligne du don et notre site Internet : www.sidaction.org. Ensemble, unissons nos efforts afin de faire de cet événement médiatique unique un succès.



Le Candlelight Day : 25 mai


Le Candlelight Day, journée du mémorial international de lutte contre le sida, est un événement qui invite le public à se mobiliser en mémoire des personnes vivant avec le VIH et de celles disparues.

Sidaction l’organisera pour la 3e fois sur l’Artère, au Parc de la Villette à Paris..


La Convention nationale : 6 et 7 juin

Les 6 et 7 juin 2014, Sidaction organise la 6e Convention nationale de lutte contre le sida à l’Hôtel de ville de Paris. Cet événement réunira les principaux acteurs de la lutte contre le sida en France et dans les pays en développement sur la thématique « La lutte contre le sida : quelles perspectives pour demain ? »


La sortie d’un nouvel album


Pascal Obispo renouvelle la belle aventure de « Sa raison d’être » et « Noël Ensemble » en réunissant un grand nombre d’artistes dans un album attendu pour la fin de l’année 2014. L’ensemble des œuvres musicales réalisées par Pascal Obispo a permis de collecter 14 millions d’euros depuis 1998.


Le 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida


Sidaction se mobilisera pour la journée mondiale de lutte contre le sida en organisant une chaine de solidarité et de nombreuses manifestations sur l’ensemble du territoire.


Sidaction : 20 ans de lutte sur tous les fronts

Dès sa création en 1994 par Pierre Bergé et Line Renaud, l’association a fondé son organisation sur un principe essentiel : réunir la recherche et le milieu associatif. Cette union permet aujourd’hui à Sidaction d’intervenir dans tous les domaines pour faire face à l’évolution de l’épidémie.


20 ans de Sidaction ce sont notamment 2 100 projets de recherche et de soins financés en France, l’accès aux soins pour plus de 700 000 personnes dans le monde et 1 850 projets d’aides aux malades en France.


Au cours de ces 20 dernières années, la recherche a considérablement progressé et permet désormais aux personnes atteintes ayant accès aux traitements de vivre mieux et plus longtemps avec le VIH. Néanmoins, on meurt toujours du VIH/sida, aucune guérison n’est possible et aucun vaccin préventif ou thérapeutique n’a pu être élaboré. De plus, l’épidémie ne faiblit pas et certaines données restent alarmantes, notamment chez les populations les plus jeunes. 35 millions de personnes vivent avec le VIH de part le monde et on estime le nombre de décès à 1,6 million.


Le chemin parcouru est déjà une belle réussite mais les défis restent nombreux. C’est pourquoi notre combat continue et plus que jamais Sidaction se mobilise afin que cet anniversaire ne soit pas un aboutissement mais le point de départ d’un nouvel élan dans cette lutte que nous menons ensemble contre le sida.




 

MINE D'INFOS: A l'honneur cette semaine sur le blog Mine d'Infos...

MINE D'INFOS: A l'honneur cette semaine sur le blog Mine d'Infos...: a franchi la barre des 161 819 visites aujourd'hui   HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE LA SEMAINE: 29/01/2014 Colloque ...

A l'honneur cette semaine sur le blog Mine d'Infos


a franchi la barre des

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L'économie sociale et solidaire : pour







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La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
■ www.mgefi.fr
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
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■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
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TRES BON WEEK-END A TOUS

 

 

jeudi 23 janvier 2014

MINE D'INFOS: "L'économie sociale et solidaire : pour quelle dyn...

MINE D'INFOS: "L'économie sociale et solidaire : pour quelle dyn...: -France, GALILEE.sp, en partenariat avec AD-PA et avec le soutien de BFM,  Banques Populaires, MFP, MGEFI et OFI Asset Management,Sous ...

"L'économie sociale et solidaire : pour quelle dynamique ?"


-France, GALILEE.sp, en partenariat avec AD-PA
et avec le soutien de BFM,  Banques Populaires, MFP, MGEFI et OFI Asset Management,Sous le haut patronage et en présence du Ministre délégué chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation, Benoît HAMON, organisent à BERCY le 29 janvier 2014-01-23 de 15h à 18h un colloque autour du  thème :

"L'économie sociale et solidaire : pour quelle dynamique ?"



Suivre l’événement sur Twitter : #ESSCIGAL

 PROGRAMME



15h00 – 15h15 : Ouverture et présentation des travaux

Catherine GRAS, présidente de Galilée.sp, Alain ARNAUD, président du CIRIEC-France et Pascal CHAMPVERT, président d'AD-PA

15h15- 16h15 : L'ESS en France, ses apports à l'économie et à la société : une dynamique de succès, des projets présents et plus que jamais l'envie de servir !  

Table ronde modérée par Yannick GIRAULT, administrateur de Galilée.sp en associant les regards croisés
de Thierry BEAUDET, président de la MGEN et Vice Président de la Mutualité Française,
de Jean-Louis CABRESPINES, président du CEGES,
de Marcel CABALLERO, vice-président du CIRIEC-France,
et de Jean-Philippe POULNOT, président de la Fondation du Chèque déjeuner

16h15 – 17h15 : ESS, concurrence et marché : avec quel cadre européen lutter à armes égales sans perdre son âme ?

Table ronde modérée par Pierre GOUDIN, administrateur de Galilée.sp en associant les regards croisés
de Jean-Louis BANCEL, président du Crédit Coopératif,
de Jean-Luc de BOISSIEU, secrétaire général du Groupement des Entreprises Mutuelles d'Assurances (GEMA),
d'Axel de MARTENE, conseiller au cabinet de Michel BARNIER, Commissaire Européen chargé du marché intérieur et des services
de Jorge de SA, président du CIRIEC-Portugal
et de Denis STOKKINK, président du think tank Pour La Solidarité

17h15 – 17h30 : intervention de Benoît HAMON, Ministre délégué chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation

17h30-18h00 : remise du Prix « CIGAL » par Benoît HAMON

18h00 – 19h00 : Cocktail de clôture au centre d'activités sociales, culturelles et sportives du Ministère de l'économie et des finances




Lien vers le livret :

En double cliquant sur les logos vous accédez aux sites.

 

NDLR : Serge Brichet, président de la MGEFI, présent au colloque , remettra en clôture de la manifestation, en compagnie du Ministre Benoît Hamon et du représentant de la BFM l’œuvre d’art


 
Contact et inscription : galilee.sp@hotmail.fr

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