MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 3 décembre 2013
MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...
MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé » Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion de...
MINE D'INFOS: Adoption de la loi sur l'expérimentation des maiso...
MINE D'INFOS: Adoption de la loi sur l'expérimentation des maiso...: L’UNSSF salue l’adoption de l’expérimentation des maisons de naissance L’UNSSF prend acte du vote de mesdames et messieurs les déput...
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MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...
MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé » Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des ...
MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...
MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé » Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des ...
54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE
Une étude Ifop/Capital Image « les Français et
l’information santé »
Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à
l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au
24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus
préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent
anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont
pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des
connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec
leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur
Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le
rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs
d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.
PLUS D’UN FRANÇAIS
SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ
Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français
indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus
préoccupantes.
"Ce chiffre important répond à la
multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois
de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot,
Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.
‘’Les campagnes de santé publique, les
informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie
et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et
justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur
santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence
Capital Image
Damien Philippot
‘’Dans la
crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes
symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt
une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils
observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système
étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur
souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress,
précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche
médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut
Médiascopie.
* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2).
Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013
auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population
française âgée de 18 ans et plus.
** Auteur de « Les mots de la crise », Editions
Eyrolles, 2013
42% des personnes interrogées (contre 53% en
2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la
suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).
36% se rendent sur les sites Internet
d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.
"La consommation
d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut
paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies
graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se
renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.
‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort
de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il
reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information
santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion.
Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé
; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils
apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.
59% DES FRANÇAIS
VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS
Après avoir entendu parler d’un sujet santé
dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que
18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus
précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59%
vont modifier certains de leurs comportements.
35% VONT ALLER
CONSULTER LEUR MEDECIN
Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés
dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément
après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la
relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit
à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.
‘’Les Français vont chercher sur
Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou
tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec
Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un
bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou
moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet
**Sondage
A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un
échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée
de 18 ans et plus
MAIS DEUX FRANÇAIS
SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE
Attentifs à l’information santé, les Français se montrent
cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information
: 69% déclarent qu’elle est
souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est
toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44%
estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger
qu’elle est souvent inutile.
En matière d’information santé comme d’
‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La
responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la
parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une
bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue
des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment
pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité,
des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.
« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé
depuis 25 ans. Nous sommes
très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours
la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous
allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons
à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre.
Nous donnons la parole à tous les acteurs de la
santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est
importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos
informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons
donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.
Stéphanie Chevrel
« Les résultats de cette étude sont un message
encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs
d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie,
utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des
sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais
aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.
Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie,
les slides et les itws vidéos sur
www.capitalimage.net
- www.acteursdesante.fr
A
propos de Capital Image :
« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.
NDLR : MGEFI et
Baromètre Santé des Fonctionnaires.
· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les
risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la
Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude
auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception
qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux
encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en
œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque
santé : la prévention comme démarche de santé publique.
Le succès du baromètre
auprès des adhérents de la MGEFI
Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI,
sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de
45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond
à une véritable attente.
Une bonne attitude
vis-à-vis de la santé
Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état
de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une
perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont
une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent majoritairement
à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux
professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à
prendre des médicaments non prescrits.
Des disparités
importantes
Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter
d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment
cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI
que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un
nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont
« aidés » et 12,9% sont « aidants ».
Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé
(les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son
sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime que son
travail a un impact sur sa santé.
Un besoin
d'information et de prévention
Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu
exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives
à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une
maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur
problème de santé et leur médicament.
63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la
mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur
lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI
sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.
Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et
des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du
tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des
informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de
l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur
les risques cardiaques.
En conclusion
Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les
trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de
cerner une partie des attentes des adhérents.
En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre
d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents,
actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par
les conclusions de cette enquête.
* MFP Services est délégataire
de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21
mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.
LA RETRAITE
Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite,
principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de
nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des
retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas
d'activité extérieure.
LE PROFIL DES
RÉPONDANTS MGEFI
59,2% de femmes et 40,8% d'hommes.
51,5% ont plus de 60 ans.
48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.
41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires
de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.
73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.
Libellés :
54%,
Baromètre,
Damien Philippot,
Denis Muzet,
Editions,
étude Ifop/Capital Image,
Eyrolles,
Français,
MGEFI,
PREOCCUPES,
questions,
SANTE,
santé,
Stéphanie Chevrel
Adoption de la loi sur l'expérimentation des maisons de naissance
L’UNSSF salue l’adoption de
l’expérimentation des maisons de naissance
L’UNSSF prend acte du vote de
mesdames et messieurs les députés du 28 novembre 2013 autorisant l’expérimentation
des maisons de naissance pour une durée de 5 ans.
L’UNSSF, premier syndicat des
sages-femmes, porte ce projet des maisons de naissance de longue date,
considérant qu’il offre aux femmes ayant des grossesses physiologiques une
prise en charge adaptée et aux professionnels de la filière maïeutique une
marge de manœuvre signifiante.
Les maisons de naissance
s’inscrivent dans le projet plus vaste de l’UNSSF de la prise en charge de la
grossesse et de l’accouchement physiologiques en France. C’est un premier pas
significatif que l’UNSSF salue.
L’UNSSF
poursuit son travail de longue haleine pour que soient reconnues les
compétences des sages-femmes, professionnels de santé de premier recours dans
la prise en charge de la santé des femmes permettant de préserver accès aux
soins de qualité et prévention en périnatalité.
Libellés :
adoption,
expérimentation,
l’expérimentation des maisons de naissance,
Loi,
maisons,
naissance,
périnatalité,
prévention,
UNSSF
MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...
MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...: la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles La Mutualité Française du 1 er au 22 décembre 2013 re...
« Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est concret »,
la Mutualité Française
en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles
La Mutualité Française du 1er au 22 décembre
2013 reprend la parole dans les médias. Elle lance une campagne de
communication dans la presse quotidienne nationale et régionale(1).
A travers deux accroches qui utilisent un ton décalé, cette campagne interpelle
le grand public sur les besoins en santé auxquels les mutuelles répondent concrètement.
Les deux accroches, « On peut vivre sans les
mutuelles. Il suffit de n’être jamais malade » et « Vivre sans
les mutuelles, ne serait-ce pas une solution à courte vue ? »
soulignent le fait qu’aujourd’hui les mutuelles sont indispensables pour
prendre en charge parfois jusqu’à 46% des soins courants remboursables, quand
ce n’est pas la quasi-totalité pour certains secteurs comme l’optique.
Un renvoi sur le site www.mutualite.fr
Cette campagne renvoie au site de la Mutualité Française : www.mutualite.fr, pour expliquer en quoi une
mutuelle est indispensable et quelles sont aujourd’hui les inégalités d’accès
aux soins auxquelles les mutuelles souhaitent répondre. Les internautes peuvent
y retrouver les propositions de la Mutualité Française.
(1) Cette campagne paraît dans la presse quotidienne nationale,
« Le Journal du Dimanche », « Les Echos », « Le Parisien Aujourd’hui en France »
et dans la presse quotidienne régionale. Elle est également présente sur
internet sur les principaux sites d’information générale et de relais d’opinion
: les sites de la PQR, lemonde.fr, liberation.fr, lefigaro.fr…
A propos de la Mutualité
Française
Présidée par
Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles
santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une
mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et
quelque 18 millions d’adhérents.
Les mutuelles
interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité
sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes :
elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne
pratiquent pas la sélection des risques.
Les
mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une
action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers
près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes :
établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et
d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées
et aux personnes en situation de handicap, etc.
Pour
accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes
de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le
service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions
de santé.
La
Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la
santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et
d’accompagnement.
NDLR :
MGEFI et Mutualité Française
La
MGEFI soutient et s’associe pleinement à cette campagne
MINE D'INFOS: Observatoire Français des Retraites – 12ème éditio...
MINE D'INFOS: Observatoire Français des Retraites – 12ème éditio...: Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la...
Observatoire Français des Retraites – 12ème édition
Union Mutualiste
Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI
Nouveaux records
d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite, Le projet de réforme
jugé insuffisant ne permet pas de sauver le système
- Nouveaux records
d’inquiétude chez les actifs
- Mal connu, le
projet de réforme des retraites suscite colère et résignation,
- La réforme en
discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système
- La proportion de
Français qui a épargné en vue de sa retraite décline.
Alors qu’un
nouveau projet de réforme des retraites fait l’objet des dernières navettes
parlementaires entre l’Assemblée Nationale et le Sénat, la douzième édition de
l’Observatoire des Retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1)
fait le point sur le jugement des Français sur le sujet :
Ce projet de
réforme parvient-il à apaiser leurs inquiétudes sur leurs conditions de vie au
moment de leur retraite ? Le contenu du projet est-il connu ? Les incite t-il à
épargner davantage en vue de leur retraite ?
(Publié dans Liaisons
Sociales Magazine du lundi 2 décembre 2013)
Nouveaux records
d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite
Six mois après la
dernière vague d’analyse, le haut niveau d’appréhension à l’égard du montant de
leur retraite (80% en avril
dernier) ne faiblit pas. Des records d’inquiétude sont même battus en ce qui
concerne leur niveau de vie au moment de leur retraite (73% ; +2 points par
rapport à avril 2013), leur capacité à vivre de façon indépendante (61%
; +3) et leur santé et accès aux soins à ce moment de leur vie (61% ;
+4). Globalement, les Français n’ont jamais été aussi inquiets au sujet de leur
future retraite depuis 2009 et la mise en place de cet Observatoire.
Les craintes
progressent en particulier chez les actifs occupés : 87% (+1 point par rapport à
avril dernier) s’inquiètent du montant de leur retraite ; 79% (+2) de leur
niveau de vie à ce moment de leur vie, 67% (+5) de leur capacité à vivre de
manière indépendante et 67% (+7) de leur santé et accès aux soins.
Si les femmes
demeurent plus inquiètes que les hommes par la perspective de leur retraite (ce qui s’explique par leurs
carrières plus souvent interrompues et des niveaux de salaires moindres), les
écarts ont tendance à se réduire par rapport à avril dernier : l’inquiétude
progresse surtout chez les hommes.
Mal connu, le
projet de réforme des retraites suscite colère et résignation, et les mesures
sont diversement appréciées
Si 82% des
Français déclarent avoir entendu parler de la réforme des retraites
actuellement en discussion au Parlement, seuls 22% parmi eux savent précisément
quelles en sont les principales dispositions.
(1) Enquête
réalisée par téléphone les 8 et 9 novembre 2013 auprès d’un échantillon
national représentatif de 1025 personnes âgées de 15 ans et plus.
Mal connue, la réforme est mal jugée et suscite colère (57%
contre 53% en 2010
et même 69% des 45-59 ans ou encore 73% des personnes dont le revenu mensuel
net du foyer est inférieur à 1200 €) et résignation (56% la citent parmi
les deux principaux sentiments qui leur viennent spontanément à l’esprit, en
particulier dans les catégories les plus favorisées).
Les mesures sont
très diversement appréciées :
Ø Sont approuvés :
- la création du
compte pénibilité est saluée par 91% des Français dont 56% « tout à fait » (et
même 67% des ouvriers).
- Le maintien de
l’âge légal de départ en retraite à 62 ans est maintenant acquis, approuvé par
56% des Français, actifs comme
inactifs.
Ø Sont désapprouvés
:
- L’allongement
progressif de la durée de cotisation de 41,5 à 43 ans est désapprouvé par
55% des français et même 63% des actifs,
- Le report de
la revalorisation des retraites du 1er avril au 1er octobre est désapprouvé par 54%
des Français et 65% des retraités
- La hausse des
cotisations sociales payées par les employeurs et les salariés est rejetée
par 66% des Français et 71% des actifs.
La réforme en
discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système
Pour une large
majorité de Français, la réforme actuellement en discussion n’est donc ni
suffisante (78% dont 41% qui
considèrent même qu’elle ne l’est « pas du tout »), ni même ambitieuse (70%
dont 41% « pas du tout ») ou juste (69% dont 40% « pas du tout »). Elle
ne permet pas non plus d’assurer la sauvegarde du système des retraites (69%
dont 38% « pas du tout »).
Ils n’ont pas
changé d’opinion par rapport à avril dernier, où une large majorité (63 %) des
interviewés plébiscitait la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du
système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les
plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public
et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités).
La proportion de
Français qui a épargné en vue de sa retraite a décliné
Pour une majorité
de Français, cette réforme n’a pas d’impact sur les intentions d’épargne en
préparation de la retraite.
Probablement
d’autres facteurs, notamment les
difficultés économiques croissantes de nombre de ménages, contribuent à
expliquer le lent déclin de la part de Français ayant épargné d’une manière ou
d’une autre en vue de leur retraite : 53% en 2009, 49% jusqu’en avril
dernier et désormais 47%.
Les Français qui
ont le plus tendance aujourd’hui à abandonner l’idée d’épargner en vue de leur
retraite sont les Français les plus modestes : aujourd’hui, 22% des ouvriers ou
encore 20% des Français dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à
1200 € ont abandonné l’idée de pouvoir compléter leur retraite par leur
épargne.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons
Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an,
depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite,
avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…
NDLR : MGEFI ET COREM
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MINE D'INFOS: 2 Français sur 3 favorables à la vente de médicame...
MINE D'INFOS: 2 Français sur 3 favorables à la vente de médicame...: 40% des français ont des difficultés à acheter leurs produits offline En seulement 1 an, la vente sur Internet a pris 2,1% de part ...
2 Français sur 3 favorables à la vente de médicaments sur Internet
40% des français ont des difficultés à acheter leurs
produits offline En seulement 1 an, la vente sur Internet a pris 2,1% de part
de marché en parapharmacie
1001Pharmacies.com, premier
portail de vente en ligne de produits de santé, dévoile les résultats d'une étude
sur les pratiques de consommation des médicaments et produits de parapharmacie
réalisée dans la rue
auprès de plus 700 personnes représentatives de la population française. http://www.1001pharmacies.com
"Ce qui est apparait dans les résultats
de ce sondage, c'est que les Français veulent de nouveaux services liés à leur
santé. Ils veulent que leur rapport à la consommation de médicaments et de
parapharmacies évolue vers plus de facilité, de souplesse et de rapidité".
Cédric O'Neill, Pharmacien et
co-fondateur de 1001Pharmacies.
Même si les applications mobiles sont en pleine expansion,
les Français privilégient encore les commandes sur Internet (72,93%) ou par téléphone
(44,61%). Ce qui est clair, c'est qu'ils veulent pouvoir acheter leurs médicaments
sur ordonnance directement online sans obligatoirement passer par une pharmacie
physique. Cette demande est encore plus forte que pour les produits OTC ou de
parapharmacie.
Quel type de produits êtes-vous
susceptible d'acheter par internet ?
|
|
Médicament sur ordonnance
|
82.71%
|
Médicament sans ordonnance
|
61.4%
|
De la parapharmacie
|
33.83%
|
Moins d'attente pour obtenir les
médicaments
Les Français ne veulent plus être tributaires des horaires
de fermeture des pharmacies physiques et des contraintes de leurs emplois du
temps et veulent pouvoir récupérer leurs
médicaments rapidement. Ainsi, 41% des Français rencontrent de nombreuses
difficultés pour se procurer leurs médicaments ou produits de parapharmacie.
Plus de 68% des Français ne
veulent pas attendre plus de 6 heures avant d'avoir leurs produits.
Détails des temps d'attentes :
Rencontrez-vous parfois
certaines de ces difficultés pour vous procurer vos médicaments et produits
de parapharmacie ?
|
|
Horaires incompatibles
|
14.29%
|
Problème de transport
|
1.92%
|
Manque de temps
|
20.21%
|
Problème de stationnement
|
6.97%
|
Problème de disponibilités des produits
|
18.47%
|
Ne rencontre aucun problème
|
59.06%
|
Ce sondage a été réalisé en novembre 2013 sur un panel de
plus de 700 personnes interrogées dans la rue à proximité des gares et habitant
dans les villes de Paris, Marseille, Lyon, Nice, Toulouse et Montpellier.
Descriptif des personnes
interrogées :
Femmes : 59,4% / Hommes : 40,6%
Ages : 50,25% entre 18 et 30 ans - 26,79% entre 31 et 50
ans - 20,13% entre 51 et 70 ans - 2,83% plus de 71 ans
Lieux d'habitation : zone rurale 21,46% - zone urbaine
59,73% - périphérie 18,8%
Situation familiale : seul 19,8% - en couple 40,6% - en
famille 32,78% - en colocation 5,66% - NC 1,16%
1001Pharmacies en
3 chiffres :
150.000 visiteurs
uniques chaque mois.
12 000 produits référencés
Un réseau national
de 212 pharmacies
A propos de 1001Pharmacies
1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé
SAS dont le siège social est basé à Lunel(34). Co-fondée en septembre 2012 après
2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste
Web , et Sabine Safi , Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com
est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs
produits de parapharmacie sur internet. 1001pharmacies a obtenu dès son
lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union
Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34).
Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com
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