Nora ANSELL-SALLES

mardi 3 décembre 2013

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MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »   Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des ...

54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE


Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »

Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au 24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.



PLUS D’UN FRANÇAIS SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ

Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus préoccupantes.


"Ce chiffre important répond à la multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot, Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.


‘’Les campagnes de santé publique, les informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence Capital Image


Damien Philippot

’Dans la crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress, précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut Médiascopie.



* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2). Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013 auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

** Auteur de « Les mots de la crise », Editions Eyrolles, 2013



 LA TELEVISION RESTE LE CANAL LE PLUS UTILISÉ POUR SUIVRE L’INFORMATION SANTÉ


42% des personnes interrogées (contre 53% en 2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).

36% se rendent sur les sites Internet d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.


"La consommation d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.



‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion. Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé ; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.



59% DES FRANÇAIS VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS


Après avoir entendu parler d’un sujet santé dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que 18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59% vont modifier certains de leurs comportements.


35% VONT ALLER CONSULTER LEUR MEDECIN

Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.


‘’Les Français vont chercher sur Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet


**Sondage A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée de 18 ans et plus



MAIS DEUX FRANÇAIS SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE


Attentifs à l’information santé, les Français se montrent cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information : 69% déclarent qu’elle est souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44% estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger qu’elle est souvent inutile.



En matière d’information santé comme d’ ‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité, des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.



« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé depuis 25 ans. Nous sommes très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre. Nous donnons la parole à tous les acteurs de la santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.


Stéphanie Chevrel


« Les résultats de cette étude sont un message encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie, utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.



 

Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie, les slides et les itws vidéos sur


www.capitalimage.net - www.acteursdesante.fr

 

 

A propos de Capital Image :

« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.


NDLR : MGEFI et Baromètre Santé des Fonctionnaires.



· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête

 L’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI
 
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
 
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

 
Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI

Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
 
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent  majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

 Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9% n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2% sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30%. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10% semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont « aidés » et 12,9% sont « aidants ».

Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime  que son travail a un impact sur sa santé.

Un besoin d'information et de prévention

Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leur médicament.

63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.

Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur les risques cardiaques.


En conclusion

Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents.

En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par les conclusions de cette enquête.

                                                                       

* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.

 2)    5 populations distinctes : MFP Services comprenant les agents des différents ministères (hors Education Nationale), les adhérents de la MGEFI, de la MMJ de la MCDEF et de la MGAS.

  
LA RETRAITE

Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite, principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas d'activité extérieure.

LE PROFIL DES RÉPONDANTS MGEFI

59,2% de femmes et 40,8% d'hommes. 

51,5% ont plus de 60 ans.

48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.

41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.

73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.


Adoption de la loi sur l'expérimentation des maisons de naissance

L’UNSSF salue l’adoption de l’expérimentation des maisons de naissance
L’UNSSF prend acte du vote de mesdames et messieurs les députés du 28 novembre 2013 autorisant l’expérimentation des maisons de naissance pour une durée de 5 ans.
L’UNSSF, premier syndicat des sages-femmes, porte ce projet des maisons de naissance de longue date, considérant qu’il offre aux femmes ayant des grossesses physiologiques une prise en charge adaptée et aux professionnels de la filière maïeutique une marge de manœuvre signifiante.
Les maisons de naissance s’inscrivent dans le projet plus vaste de l’UNSSF de la prise en charge de la grossesse et de l’accouchement physiologiques en France. C’est un premier pas significatif que l’UNSSF salue.
L’UNSSF poursuit son travail de longue haleine pour que soient reconnues les compétences des sages-femmes, professionnels de santé de premier recours dans la prise en charge de la santé des femmes permettant de préserver accès aux soins de qualité et prévention en périnatalité.
 

MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...

MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...: la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles   La Mutualité Française du 1 er au 22 décembre 2013 re...

« Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est concret »,

la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles

 
La Mutualité Française du 1er au 22 décembre 2013 reprend la parole dans les médias. Elle lance une campagne de communication dans la presse quotidienne nationale et régionale(1). A travers deux accroches qui utilisent un ton décalé, cette campagne interpelle le grand public sur les besoins en santé auxquels les mutuelles répondent concrètement.

 

 
 
 
 


Les deux accroches, « On peut vivre sans les mutuelles. Il suffit de n’être jamais malade » et « Vivre sans les mutuelles, ne serait-ce pas une solution à courte vue ? » soulignent le fait qu’aujourd’hui les mutuelles sont indispensables pour prendre en charge parfois jusqu’à 46% des soins courants remboursables, quand ce n’est pas la quasi-totalité pour certains secteurs comme l’optique.

 

Un renvoi sur le site www.mutualite.fr

 

Cette campagne renvoie au site de la Mutualité Française : www.mutualite.fr, pour expliquer en quoi une mutuelle est indispensable et quelles sont aujourd’hui les inégalités d’accès aux soins auxquelles les mutuelles souhaitent répondre. Les internautes peuvent y retrouver les propositions de la Mutualité Française.

 

(1) Cette campagne paraît dans la presse quotidienne nationale, « Le Journal du Dimanche », « Les Echos », « Le Parisien Aujourd’hui en France » et dans la presse quotidienne régionale. Elle est également présente sur internet sur les principaux sites d’information générale et de relais d’opinion : les sites de la PQR, lemonde.fr, liberation.fr, lefigaro.fr…

 

A propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

 

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


 



 
NDLR : MGEFI et Mutualité Française
 
La MGEFI soutient et s’associe pleinement à cette campagne





 

MINE D'INFOS: Observatoire Français des Retraites – 12ème éditio...

MINE D'INFOS: Observatoire Français des Retraites – 12ème éditio...: Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI   Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la...

Observatoire Français des Retraites – 12ème édition


Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite, Le projet de réforme jugé insuffisant ne permet pas de sauver le système

 

- Nouveaux records d’inquiétude chez les actifs

- Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation,

- La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

- La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite décline.

 

Alors qu’un nouveau projet de réforme des retraites fait l’objet des dernières navettes parlementaires entre l’Assemblée Nationale et le Sénat, la douzième édition de l’Observatoire des Retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1) fait le point sur le jugement des Français sur le sujet :

Ce projet de réforme parvient-il à apaiser leurs inquiétudes sur leurs conditions de vie au moment de leur retraite ? Le contenu du projet est-il connu ? Les incite t-il à épargner davantage en vue de leur retraite ?

 

(Publié dans Liaisons Sociales Magazine du lundi 2 décembre 2013)

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite

 

Six mois après la dernière vague d’analyse, le haut niveau d’appréhension à l’égard du montant de leur retraite (80% en avril dernier) ne faiblit pas. Des records d’inquiétude sont même battus en ce qui concerne leur niveau de vie au moment de leur retraite (73% ; +2 points par rapport à avril 2013), leur capacité à vivre de façon indépendante (61% ; +3) et leur santé et accès aux soins à ce moment de leur vie (61% ; +4). Globalement, les Français n’ont jamais été aussi inquiets au sujet de leur future retraite depuis 2009 et la mise en place de cet Observatoire.

Les craintes progressent en particulier chez les actifs occupés : 87% (+1 point par rapport à avril dernier) s’inquiètent du montant de leur retraite ; 79% (+2) de leur niveau de vie à ce moment de leur vie, 67% (+5) de leur capacité à vivre de manière indépendante et 67% (+7) de leur santé et accès aux soins.

 

Si les femmes demeurent plus inquiètes que les hommes par la perspective de leur retraite (ce qui s’explique par leurs carrières plus souvent interrompues et des niveaux de salaires moindres), les écarts ont tendance à se réduire par rapport à avril dernier : l’inquiétude progresse surtout chez les hommes.

 

Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation, et les mesures sont diversement appréciées

 

Si 82% des Français déclarent avoir entendu parler de la réforme des retraites actuellement en discussion au Parlement, seuls 22% parmi eux savent précisément quelles en sont les principales dispositions.

 

 

(1) Enquête réalisée par téléphone les 8 et 9 novembre 2013 auprès d’un échantillon national représentatif de 1025 personnes âgées de 15 ans et plus.

 

Mal connue, la réforme est mal jugée et suscite colère (57% contre 53% en 2010 et même 69% des 45-59 ans ou encore 73% des personnes dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 €) et résignation (56% la citent parmi les deux principaux sentiments qui leur viennent spontanément à l’esprit, en particulier dans les catégories les plus favorisées).

Les mesures sont très diversement appréciées :

Ø Sont approuvés :

 

- la création du compte pénibilité est saluée par 91% des Français dont 56% « tout à fait » (et même 67% des ouvriers).

- Le maintien de l’âge légal de départ en retraite à 62 ans est maintenant acquis, approuvé par 56% des Français, actifs comme inactifs.

Ø Sont désapprouvés :

 

- L’allongement progressif de la durée de cotisation de 41,5 à 43 ans est désapprouvé par 55% des français et même 63% des actifs,

- Le report de la revalorisation des retraites du 1er avril au 1er octobre est désapprouvé par 54% des Français et 65% des retraités

- La hausse des cotisations sociales payées par les employeurs et les salariés est rejetée par 66% des Français et 71% des actifs.

 

La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

Pour une large majorité de Français, la réforme actuellement en discussion n’est donc ni suffisante (78% dont 41% qui considèrent même qu’elle ne l’est « pas du tout »), ni même ambitieuse (70% dont 41% « pas du tout ») ou juste (69% dont 40% « pas du tout »). Elle ne permet pas non plus d’assurer la sauvegarde du système des retraites (69% dont 38% « pas du tout »).

Ils n’ont pas changé d’opinion par rapport à avril dernier, où une large majorité (63 %) des interviewés plébiscitait la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités).

 

La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite a décliné

Pour une majorité de Français, cette réforme n’a pas d’impact sur les intentions d’épargne en préparation de la retraite.

Probablement d’autres facteurs, notamment les difficultés économiques croissantes de nombre de ménages, contribuent à expliquer le lent déclin de la part de Français ayant épargné d’une manière ou d’une autre en vue de leur retraite : 53% en 2009, 49% jusqu’en avril dernier et désormais 47%.

 

Les Français qui ont le plus tendance aujourd’hui à abandonner l’idée d’épargner en vue de leur retraite sont les Français les plus modestes : aujourd’hui, 22% des ouvriers ou encore 20% des Français dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 € ont abandonné l’idée de pouvoir compléter leur retraite par leur épargne.

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L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an, depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite, avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…

 

NDLR : MGEFI ET COREM
 
Corem                               
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    MINE D'INFOS: 2 Français sur 3 favorables à la vente de médicame...: 40% des français ont des difficultés à acheter leurs produits offline En seulement 1 an, la vente sur Internet a pris 2,1% de part ...

    2 Français sur 3 favorables à la vente de médicaments sur Internet


    40% des français ont des difficultés à acheter leurs produits offline En seulement 1 an, la vente sur Internet a pris 2,1% de part de marché en parapharmacie

     

     

    1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, dévoile les résultats d'une étude sur les pratiques de consommation des médicaments et produits de parapharmacie réalisée dans la rue auprès de plus 700 personnes représentatives de la population française. http://www.1001pharmacies.com

     

     

    "Ce qui est apparait dans les résultats de ce sondage, c'est que les Français veulent de nouveaux services liés à leur santé. Ils veulent que leur rapport à la consommation de médicaments et de parapharmacies évolue vers plus de facilité, de souplesse et de rapidité". 

    Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 

     

     

    Même si les applications mobiles sont en pleine expansion, les Français privilégient encore les commandes sur Internet (72,93%) ou par téléphone (44,61%). Ce qui est clair, c'est qu'ils veulent pouvoir acheter leurs médicaments sur ordonnance directement online sans obligatoirement passer par une pharmacie physique. Cette demande est encore plus forte que pour les produits OTC ou de parapharmacie. 

     

     

    Quel type de produits êtes-vous susceptible d'acheter par internet ?
    Médicament sur ordonnance
    82.71%
    Médicament sans ordonnance
    61.4%
    De la parapharmacie
    33.83%

     

     

    Moins d'attente pour obtenir les médicaments

    Les Français ne veulent plus être tributaires des horaires de fermeture des pharmacies physiques et des contraintes de leurs emplois du temps et veulent pouvoir récupérer  leurs médicaments rapidement. Ainsi, 41% des Français rencontrent de nombreuses difficultés pour se procurer leurs médicaments ou produits de parapharmacie.

     

     

    Plus de 68% des Français ne veulent pas attendre plus de 6 heures avant d'avoir leurs produits.

     

     

    Détails des temps d'attentes :

     


     

    Rencontrez-vous parfois certaines de ces difficultés pour vous procurer vos médicaments et produits de parapharmacie ?
    Horaires incompatibles
    14.29%
    Problème de transport
    1.92%
    Manque de temps
    20.21%
    Problème de stationnement
    6.97%
    Problème de disponibilités des produits
    18.47%
    Ne rencontre aucun problème
    59.06%

     

     

    Ce sondage a été réalisé en novembre 2013 sur un panel de plus de 700 personnes interrogées dans la rue à proximité des gares et habitant dans les villes de Paris, Marseille, Lyon, Nice, Toulouse et Montpellier.

     

    Descriptif des personnes interrogées :

    Femmes : 59,4% / Hommes : 40,6%

    Ages : 50,25% entre 18 et 30 ans - 26,79% entre 31 et 50 ans - 20,13% entre 51 et 70 ans - 2,83% plus de 71 ans

    Lieux d'habitation : zone rurale 21,46% - zone urbaine 59,73% - périphérie 18,8%

    Situation familiale : seul 19,8% - en couple 40,6% - en famille 32,78% - en colocation 5,66% - NC 1,16%

     

     

    1001Pharmacies en 3 chiffres :
    150.000 visiteurs uniques chaque mois.
    12 000 produits référencés
    Un réseau national de 212 pharmacies

     

     

    A propos de 1001Pharmacies

    1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS dont le siège social est basé à Lunel(34). Co-fondée en septembre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web , et Sabine Safi , Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de parapharmacie sur internet. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34).

    Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com