Nora ANSELL-SALLES

mercredi 6 novembre 2013

92% des Français se soignent sans les conseils d'un médecin


Sondage 1001Pharmacies : quel est le premier reflex quand vous êtes malade ?

 


N°1 : les médicaments à disposition

N°2 : les médicaments sans ordonnance

N°3 : l'attente du rétablissement

N°4 : le rendez-vous médical

N°5 : les produits naturels

 

"Les Français n'ont-ils plus confiance en leur Docteur ? Alors que nous savons pertinemment qu'il peut-être très dangereux pour la santé de se soigner sans l'avis préalable d'un médecin, il semble que les Français prennent tous les risques en se fiant à leur propre jugement et consomment des médicaments non utilisés, sans ordonnance ou attendent leur rétablissement avec des recettes de grand-mère."

Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 

  

1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, dévoile les résultats d'un sondage réalisé sur Internet auprès d'un panel de 20 000 consommateurs français (membres inscrits sur la plateforme 1001Pharmacies) et sur plus de 2 900 internautes sur Facebook.


 

Médicaments non consommés, sans ordonnance, produits naturels ou simple attente de rétablissement, les Français pratiquent à 92% l'automédication.

Avec plus de 60% de réponses, il est clair que les Français sont adeptes du recyclage de médicaments. Pour gagner du temps ou de l'argent, les malades préfèrent ouvrir leurs boites à pharmacie personnelles et piocher dans les médicaments à leur disposition, faisant fi de tout avis ou contre-indication médicale.

 

N°1 Je me soigne avec les médicaments à ma disposition 60%

N°2 Je me soigne avec des médicaments accessibles sans ordonnance 20%

N°3 J'attends que ça passe 8%

N°4 J'appelle mon Docteur  8%

N°5 Je me soigne avec des produits naturels  4%

 

Docteur Google

En amont de cette prise de décision, la recherche sur Internet semble être en pleine augmentation. Les Français recherchent ainsi activement des réponses ou des avis sur leurs symptômes afin d'établir eux-mêmes un diagnostique.

 

 

1001Pharmacies en 3 chiffres :

150.000 visiteurs uniques chaque mois.

12 000 produits référencés

Un réseau national de 185 pharmacies

 

 

A propos de 1001Pharmacies

1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS dont le siège social est basé à Lunel(34). Co-fondée en septembre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web , et Sabine Safi , Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de parapharmacie sur internet. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34).

Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com
 

NDLR : MGEFI et MEDICAMENTS

Médicaments : une base de données en ligne pour mieux vous informer                     
  • Triangle noir pour les médicaments sous surveillance renforcée                               
  • Rechercher un professionnel de santé                     
  • Médicaments à vignette blanche, bleue ou orange                     
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    MINE D'INFOS: TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques...

    MINE D'INFOS: TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques...: Usages et pratiques de Twitter en France: Focus sur les Twittos actifs     Culture RP | 6 novembre 2013 09:03 | URL : http://cu...

    TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques ?



     

     


     

    Le Pôle AURA MUNDI – veille et analyse des médias en ligne – de l’Argus de la presse présente les résultats du deuxième volet de son enquête sur les usages et les pratiques de Twitter en France, consacré aux personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement.

    Retrouver l’infographie de l’étude ici

     

    L’USAGE DE TWITTER EN FRANCE

    Le 1er volet de l’enquête (publié en avril dernier) montrait qu’aujourd’hui, 5% des Français détiennent un compte Twitter et l’utilisent actuellement. Si Twitter est devenu un outil incontournable, peu de Français utilisent donc réellement cet outil au quotidien.

    Ce 2e volet de l’enquête s’intéresse plus particulièrement à ces 5% de Twittos actifs : Ipsos a ainsi réalisé pour le pôle Aura Mundi de l’Argus de la presse une enquête auprès de 500 personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement, afin de comprendre de manière détaillée qui ils sont et comment ils utilisent Twitter.

    « Twitter fait partie du Paysage de la communication en France, et la mesure précise des usages de ce nouvel outil, des attentes et motivations de ses utilisateurs reste encore rare.
    Cette étude nous apprend comment le réseau social établit de nouvelles relations entre l’information et les publics. Nous sommes ravis de faire progresser la connaissance du secteur avec ces résultats chiffrés. Ils donnent à réfléchir et confirment que la surveillance et l’analyse de ces avis doit trouver sa place aux côtés de l’ensemble des médias. Une démarche devenue nécessaire pour garder le contrôle de sa réputation et inspirer de nouvelles communications », précise Arnaud Steinkuhler, Directeur du pôle AURA MUNDI.


     

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?: Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ? La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (...

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    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...

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    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...

    Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement dans la lutte contre l'antibiorésistance


    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, ont reçu ce jour les représentants du Conseil supérieur de l’ordre des vétérinaires et les organisations syndicales vétérinaires.

    Cette réunion a permis de poser les bases d'un engagement de la profession vétérinaire pour réduire le recours aux antibiotiques critiques, dont la maîtrise est impérative pour la santé humaine, en médecine vétérinaire.

    Le plan Écoantibio a d'ores et déjà permis de réduire le recours aux antibiotiques de 40% en 5 ans en médecine vétérinaire. Cependant, les efforts doivent être poursuivis pour les antibiotiques critiques, dont la consommation a fortement augmenté dans certaines filières.

    Il est convenu que la mesure sur le découplage initialement envisagée sera utilement remplacée par plusieurs dispositions qui seront introduites dans le projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt : inscription dans la loi d'un objectif chiffré de réduction de la consommation d'antibiotiques critiques, mise en place de vétérinaires référents, encadrement renforcé des prescriptions par des recommandations de bonne pratique, élaborées sous l'égide de l'ANSES.

    Un groupe de travail associant les vétérinaires, le ministère des Affaires sociales et de la Santé, et le ministère de l'Agriculture, se réunira pour étudier les modalités de mise en œuvre des engagements de la profession et notamment des dispositions qui seront insérées dans le projet de loi.

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?: Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ? La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (...

    Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ?
    La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (2003) en faveur de l'ouverture des données de santé, notamment celles du SNIIRAM. "Dans l'intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité considère que le partage et l'exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d'outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d'améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses" affirme-t-elle.
    En revanche, l'organisme prend ses distances avec la proposition du rapport de Pierre-Louis Bras d'une gouvernance par le ministère de la Santé, s'appuyant sur un haut conseil des données de santé et la remise en cause parallèle du rôle de l'Institut des données de santé (IDS). "Plutôt que la création d'une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité française préconise une évolution de l'IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics". La Mutualité française réaffirme enfin son souhait de participer au futur débat national sur les données de santé.
    De son côté, le CISS souligne un "surprenant paradoxe". D'un côté, l'accès aux données des patients par des sociétés privées intervenant pour le compte des hôpitaux publics afin d'optimiser le codage des activités des établissements (récente polémique autour du secret médical) se fait sans grande émotion du côté des responsables publics et de l'autorité de régulation. Ce que le représentant des patients qualifie de "pétaudière". Et de l'autre côté, "quand il s'agit de données anonymes, nous assistons à un « déploiement d'inertie » sans mesure pour interdire leur accès à tous ceux qui pourraient y trouver de l'intérêt pour la collectivité". L'organisation d'un débat public sur l'ouverture des données de santé, annoncée à plusieurs reprises par le Premier ministre, est régulièrement repoussée. "Ce débat semblait en vue pour octobre 2013 avant que le mois ne s'écoule … sans débat", s'impatiente le CISS.
    La Mutualité Française est favorable à l'ouverture des données de santé et demande à êtreassociée aux travaux sur ce sujetOpen data en santé : pas de débat, pas de chocolat ! - communiqué presse CISS 31 octobre 2013Importante fuite de données pour une cinquantaine d'hôpitaux équipés d'un logiciel de gestion des urgences - dépêche APM
    Le projet de loi visant à "simplifier les relations entre l'administration et les citoyens" adopté par le Parlement
    Le projet de loi a été définitivement adopté après un dernier vote de l'Assemblée le 31 octobre. La principale disposition du texte prévoit que "le silence gardé pendant deux mois par l'autorité administrative sur une demande vaut décision d'acceptation", et non plus rejet. Une ordonnance fixera les procédures concernées et celles qui ne le seront pas.
    Le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnance certaines mesures de simplification administrative, notamment la mise en place d'un droit de saisine de l'administration par courrier électronique, qui pourra avoir valeur de lettre recommandée (même lorsqu'un texte exige le recours à une lettre recommandée). Il est également prévu que l'administration puisse contacter les usagers par lettre recommandée électronique dès lors que ces usagers en auront accepté le principe. A l'initiative du gouvernement, un nouvel article a été introduit pour que puissent être prises par voie d'ordonnance les dispositions permettant l'application du principe "Dites-le nous une fois". Il s'agit de systématiser les échanges d'informations entre administrations afin d'éviter que les mêmes informations ne soient demandées plusieurs fois aux citoyens et aux entreprises. La CNIL devra donner son avis sur les données qui pourront être échangées entre administrations.
    Le dossier législatif du site de l'Assemblée nationale

    Le blog personnel du directeur de la CNAF
    Ouvert quand il était encore directeur de l'ARS, ce blog propose ses points de vue, ses coups de cœur, ses engagements. A signaler un billet du nouveau patron de la CNAF sur sa prise de fonction en réaction à un article du Canard enchaîné qu'il n'a visiblement pas apprécié. Découvert par la page Facebook "Ce qu'Internet dit de la Sécu"
    Le blog
    La vidéo de la semaine
    La MECSS de l'Assemblée nationale poursuit ses auditions dans le cadre du financement de la branche Famille
    Le 24 octobre 2013, elle recevait Mireille Elbaum, présidente du Haut Conseil du financement de la protection sociale, François Fondard, président de l'Union nationale des associations familiales et enfin Thomas Fatome, le directeur de la sécurité sociale. La vidéo des auditions (1 h 04)
    Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 575 du 27 octobre 2013 :
    Préparation interne au 54e concours d'entrée à l'EN3S - Liste des candidats admis
    Papy flingueur chez les retraités de Marseille - Le Canard enchainé du 23 octobre 2013 sur le site du Snfocos-caf13
    La dynamisation des carrières des agents de direction. Journée d'information du 15 novembre 2013 (Ucanss)
    Centralisation +++ C'est le sens profond du nouveau décret sur le contrôle interne à la Sécu. Le dernier papier de Frédéric Buffin
    Compte rendu de la RPN ADD du 18 octobre 2013 - SNADEOS CFTC
    RMPP : courrier au Président du COMEX - SNADEOS CFTC
    Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le
    Un grand bravo : La newsletter Annuaire Sécu de Gérard Bieth désormais payante depuis le numéro du 20 octobre 2013 rencontre un vif succès Les demandes de devis continuent d'affluer Les conditions d'abonnement

     
     

    La HAS ne reconnaît pas d'utilité au dosage de vitamine D* en routine

    Le traitement par vitamine D est nécessaire dans certaines situations cliniques, pour autant dans la plupart des cas, doser cette vitamine dans le sang n'apporte pas de renseignements utiles pour les professionnels de santé. On assiste toutefois à une augmentation du nombre de dosage sanguins de la vitamine D. Dans ce contexte, la Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd'hui un état des lieux de l'utilité établie du dosage sanguin de la vitamine D dans la prise en charge des patients.

     

    La HAS a évalué l'utilité de réaliser un examen biologique recherchant la quantité de vitamine D (25 OHD) dans le sang dans différentes situations cliniques pour prévenir, suivre ou traiter des pathologies éventuellement associées. La HAS précise que ce travail n'a pas porté sur l'intérêt d'un traitement par vitamine D, ni sur les doses à utiliser.

     

    Doser la vitamine D ne présente aucune utilité démontrée dans un grand nombre de situations cliniques

     

    Les situations cliniques analysées par la HAS et pour lesquelles elle conclut à une absence d'utilité du dosage sanguin en vitamine D sont les suivantes :

    mortalité, chute, performance fonctionnelle, cancer colorectal, cancer du sein, cancer de la prostate, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, allergie, maladies auto-immunes, diabète de type II, maladie rénale chronique, grossesse, maladies infectieuses, performances cognitives, profil lipidique, mucoviscidose. Les données recueillies lors de cette évaluation fondée sur l'analyse de la littérature et la position des experts d'un groupe de travail ne permettent pas de déterminer une utilité clinique du dosage de vitamine D.

     

    Concernant les personnes à risque de fracture, la HAS relève une étude suggérant un intérêt du dosage de la vitamine D chez les personnes âgées, mais encore trop peu étayée pour que la HAS puisse recommander le dosage systématique dans cette situation.

     

    Un dosage à réserver à ce jour à des indications limitées

     

    La HAS recommande de réserver le dosage sanguin de vitamine D au diagnostic de rachitisme et d'ostéomalacie, aux mentions des AMM** des médicaments de l'ostéoporose et à certaines situations particulières : personnes âgées faisant des chutes répétées, suivi ambulatoire de l'adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation, traitement chirurgical de l'obésité chez l'adulte.

     

    La nécessité de mener des études, particulièrement dans le cas des personnes à risque de fracture

     

    La HAS recommande donc la réalisation d'études de qualité sur l'utilité du dosage, dans toutes les situations pour lesquelles les données disponibles sont aujourd'hui insuffisantes pour en apporter la preuve. Dans le cas des personnes à risque de fracture, la HAS recommande des études visant notamment à confirmer l'existence d'une valeur seuil utile à la décision thérapeutique.

     

    Consultez les documents en cliqu ant ici

    PLFSS : Un risque de nivellement par le bas de la qualité des équipements optiques des Français


    Le projet de loi de Financement de la sécurité sociale 2014 (article 45) introduit deux mesures ayant un impact direct sur l’accès aux équipements optique et aux modalités de prises en charge.

    "Si sur le fond, les mesures liées à l’optique peuvent apparaitre intéressantes, leur rédaction laisse clairement présager le renforcement des inégalités sociales et économiques, la mise à mort de notre système de protection sociale à la Française et de la filière optique au profit des complémentaires santé, seules vraies gagnantes des différentes mesures en cours de discussion !"
    explique Christian Roméas, président du SynOpE.

    La première mesure vise à étendre le dispositif CMUC aux bénéficiaires de l’ACS (700 000 personnes environ). La détermination de ces tarifs est renvoyée à la négociation conventionnelle tripartite. Mme La Ministre avertit : si la négociation n’aboutit pas, elle tranchera par décret !

    "Mais quelle négociation Mme la Ministre ? Dans la mesure où vous la promettez sans cesse mais ne la mettez jamais en place !"

    s'insurge Christian Roméas.

    La seconde mesure concerne tous les français qui bénéficient d’une complémentaire santé par le biais des Contrats responsables (93% des contrats). Le gouvernement veut fixer un montant minimal de prise en charge et un plafond tarifaire.

    Si nous sommes favorables à étudier la détermination d’un plancher et d’un plafond de remboursement, cela ne doit s’envisager QUE dans la concertation avec les professionnels de l’optique mais tel n’est pas le cas !

    Les professionnels de santé directement concernés n’ont même pas été consultés sur cette mesure.
    La rédaction du texte revient à fixer de manière déguisée des tarifs imposés au secteur de l’optique ! Avec des milliers de perte d’emplois à la clé !

    Ce plafond tarifaire sera-t-il basé sur le tarif de responsabilité qui n’a pas été modifié depuis plus de 30 ans ? Et sans qu’aucune étude d’impact économique n’ait été réalisée ?

    Faut-il accepter de mettre à mort la filière optique française au profit des seules complémentaires santé et au détriment de la qualité des produits optique accessibles aux français ?


    Le SynOpE attend de la Ministre de la Santé qu’elle mette ENFIN en œuvre la concertation avec les professionnels de l’Optique qu’elle ne cesse de promettre mais que nous attendons toujours, alors que pendant ce temps là, les mesures pleuvent

    NDLR : MGEFI ET OPTIQUE
    La MGEFI et sa vision de l'optique avec Optistya                     
    Rechercher un professionnel de santé                     
    Remboursement des équipements d'optique vendus en ligne
    Foire aux questions sur la santé                     
    F.A.Q. Santé                     
    Foire aux questions sur la prévoyance                     
    Foire aux questions pratiques                     
    Réaliser vos simulations                      
    Fiches pratiques santé                     
    La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya
     
     

     
     
     

    MINE D'INFOS: Hôtel-Dieu: le point du dossier

    MINE D'INFOS: Hôtel-Dieu: le point du dossier: L’accueil des patients en urgence est maintenu à l’Hôtel-Dieu Conformément aux engagements pris par   la ministre des Affaires social...

    MINE D'INFOS: Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Ex...

    MINE D'INFOS: Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Ex...:   La commission des affaires économiques du Sénat, présidée par M. Daniel Raoul (Soc – Maine-et-Loire), examinera 259 amendements de séanc...

    Hôtel-Dieu: le point du dossier


    L’accueil des patients en urgence est maintenu à l’Hôtel-Dieu

    Conformément aux engagements pris par  la ministre des Affaires sociales et de la Santé, l’Hôtel-Dieu continue et continuera d’accueillir les patients qui s’y présentent en urgence 24h/24, 7j/7.

     

    La prise en charge de ces patients est assurée par des médecins urgentistes et par une équipe paramédicale dans un environnement technique sécurisé (plateau technique d’imagerie et de biologie, ambulance du Service Médical d’Urgences et de Réanimation (SMUR) disponible 24 h sur 24, lits d’hospitalisation complète en médecine).

     

    L’Agence Régionale de Santé considère que cette organisation correspond aux dispositions réglementaires caractérisant une structure d’urgence telle que définie dans le code de la santé publique (art. R 6123-1 et R 6123-6). Elle n’envisage donc pas de lui retirer son autorisation d’activité d’accueil des urgences. 

     

    Comme cela est déjà le cas depuis plusieurs années, les patients nécessitant une prise en charge lourde (accidents cardiaques, polytraumatologie, accident vasculaire cérébral, …) font l’objet d’une régulation médicale en lien avec le SAMU de Paris et sont directement orientés par les services de secours  vers les autres structures d’urgences et services spécialisés de Paris.

     

    Par ailleurs, il faut rappeler que l’activité d’urgence ophtalmique et  le service d’urgence médico-judiciaire sont maintenus à l’Hôtel-Dieu.

     

    Au  cours des 9 premiers mois de cette année, en dehors des patients amenés par les services de secours (environ 30 patients par jour), le Service des urgences de l’Hôtel-Dieu a accueilli en moyenne près de 70 patients par jour dont la quasi-totalité n’a pas nécessité d’hospitalisation. 

     

    Enfin, il est créé un comité de suivi et d’évaluation pour assurer le suivi du dispositif, garantir une évaluation de la sécurité et de la qualité de la prise en charge des patients et prendre en compte le fonctionnement des urgences parisiennes. Ce comité,  présidé par le Directeur Général de l’ARS, associe l’AP-HP et la Ville de Paris et a vocation à se réunir mensuellement.

     

    Accueil des patients en urgence à l’Hôtel-Dieu

    Questions / Réponses

     

    Qu’est-ce qui justifie l’évolution de l’Hôtel-Dieu ?

     

    L’évolution de l’Hôtel-Dieu est préfigurée, puis inscrite, dans les plans stratégiques de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris depuis plusieurs années déjà (plans stratégiques 2005-2009, puis 2010-2014). Ce n’est donc pas une décision récente. Elle a été approuvée par le Conseil de surveillance, la communauté médicale de l’AP-HP, la collégiale des urgentistes, et ce à plusieurs reprises.

     

    Cette évolution se justifie par :

     

    La vétusté des locaux, incompatible avec la mise en œuvre d’activités techniques lourdes et avec la qualité et la sécurité des soins requises par les activités cliniques en hospitalisation conventionnelle.

     

    L’élaboration d’un projet médical cohérent d’hôpital universitaire de santé publique, fonctionnant sur un mode entièrement ambulatoire, ouvert sur la ville, et comportant une consultation sans rendez-vous ouverte 24 h sur 24 (et à des tarifs opposables) et des consultations spécialisées.

     

    La transition vers cet hôpital universitaire de santé publique a été planifiée. Plusieurs services ont été répartis dans d’autres hôpitaux parisiens :

     

    Le service de nutrition à la Pitié Salpêtrière en 2008 

    Le service d’hématologie à Saint Antoine en 2009

    Le service de chirurgie digestive à Cochin en 2011

    Le service de pneumologie au Val-de-Grâce, la chirurgie thoracique et la réanimation à Cochin au début de 2013.

     

    Quelles sont les activités présentes aujourd’hui sur le site de l’Hôtel-Dieu ?

     

    La médecine interne

    Le service d’accueil des urgences (SAU)

    La médecine physique et de réadaptation

    L’ophtalmologie

    La diabétologie

    La cancérologie

    L’hôpital de jour de cardiologie et hypertension artérielle

    L’immunologie infectiologie (VIH)

    La médecine nucléaire

    La psychiatrie

    Un centre de diagnostic, de consultations et de prélèvements

    La pharmacie : cytotoxiques, collyres et pharmacie hospitalière, dont une activité importante de dispensation aux patients externes

    La biologie : laboratoire de réponse rapide

    L'imagerie

    Les pathologies professionnelles et le sommeil

    La médecine du sport (centre d’investigation de médecine du sport)

    Espace Santé Jeunes

    Unité médico-judiciaire (UMJ)

    Salle CUSCO (hospitalisation de patients gardés à vue)

    PASS (permanence d’accès aux soins de santé)

     

    Concernant l’accueil des patients en urgence qu’en est-il ?

     

    Le service des urgences de l’Hôtel-Dieu accueille environ 100 patients chaque jour. 7O de ces patients viennent à l’Hôtel-Dieu par leurs propres moyens. Ils continueront d’être pris en charge 24 h / 24 par des médecins urgentistes et une équipe paramédicale dans un environnement technique sécurisé (plateau technique d’imagerie et de biologie, ambulance SMUR, lits d’hospitalisation).

     

    Ainsi, les Parisiens disposeront au centre de la ville d’un service d’accueil organisé pour les prendre en charge 24 h/ 24 dans de bien meilleures conditions qu’aujourd’hui.  

     

    Ce service, qui disposera de lits de médecine en aval au cas où la situation d’un patient en nécessiterait l’utilisation, répond aux critères d’une structure d’urgence telle que définie dans le Code de la santé publique (art. R 6123-1 et 6123-6). L’Agence Régionale de Santé n’envisage donc pas de lui retirer son autorisation d’activité d’accueil des urgences. 

     

    Comme cela est déjà le cas depuis plusieurs années pour certaines situations urgentes (accidents cardiaques, accident vasculaire cérébral, …) les patients nécessitant une prise en charge lourde sont directement orientés par les services de secours sur les autres établissements de l’Assistance publique qui disposent de services adéquats.

     

    Le transfert des patients lourds vers les autres établissements parisiens ne va-t-il pas engorger ces établissements ? 

     

    Ce sont environ 30 patients par jour qui seront répartis sur les autres établissements de Paris (Cochin, La Pitié Salpêtrière, Saint Antoine, Saint Louis, Lariboisière) en fonction des lieux où ils seront pris en charge dans la ville. Cela représente 5 à 6 patients supplémentaires par établissement, ce qui est tout à fait supportable par ces établissements dont les moyens ont été renforcés.

     

    dnf - Hôtel-Dieu, le pire est l'ennemi du mauvais

    Réaction de Bernard Granger

     

    Vous vous souvenez de ce titre d’Alfred de Musset, Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. Cette formule ne s’applique pas aux urgences de l’Hôtel-Dieu, dont on a annoncé hier la fermeture tout en disant qu’elles restaient ouvertes.

     

    Trois projets s’affrontent pour cet hôpital, et leur synthèse paraît improbable, malgré les aptitudes de nos autorités.

     

    Le premier projet est rétrograde, le deuxième immobiliste et le troisième transformiste. Ils sont aussi mauvais les uns que les autres.

     

    Le premier est défendu par l’axe CGT-parti de gauche-verts. Il consiste à refaire de l’Hôtel-Dieu un hôpital traditionnel, pour lutter contre le « désert médical au centre de Paris ». La densité médicale dans Paris est très faible, c’est bien connu. Les coûts de réhabilitation de ce vieil hôpital construit au 19e siècle sont prohibitifs et rendent ce projet inacceptable aux yeux de l’administration de l’AP-HP, de la Mairie de Paris, de l’ARS et du gouvernement.

     

    Le deuxième projet consiste à ne pas bouger de la situation actuelle (avant mûre réflexion et au moins jusqu’aux élections municipales). C’est le projet défendu par l’axe Mairie de Paris-gouvernement-Elysée. On apprend par les documents de l’ARS ci-joints que la crispation autour du service d’accueil des urgences de l’Hôtel-Dieu concerne 70 malades par jour en moyenne : de quoi faire trembler la Capitale et la République !

     

    Le troisième projet, celui de « l’hôpital universitaire de santé publique » (comprenne qui pourra), défendu par l’axe direction générale de l’AP-HP-présidence du conseil de surveillance de l’AP-HP, consiste dans un premier temps à utiliser les locaux de l’Hôtel-Dieu pour un dispensaire ouvert 7/24, ce qui est présenté comme le fin du fin de la modernité. Le reste du projet est une sorte de fourre-tout pour occuper les 58 000 m2 de cette vieille bâtisse.

     

    La CME centrale de l’AP-HP a voté plusieurs motions sur l’Hôtel-Dieu et débattu de cette question à de nombreuses reprises. Elle a condamné les deux premiers projets et attend pour se prononcer sur le troisième, qui ne l’emballe guère, ni au plan médical, ni au plan financier.

     

    Ces journées convulsionnaires (s’il y avait un neurologue à l’Elysée, il lui faudrait user d’un puissant antiépileptique) ponctuées de déclarations tonitruantes et de pantalonnades de plus ou moins bon goût lassent la communauté hospitalière, à la fois celle de l’Hôtel-Dieu, qui travaille dans des conditions matérielles et morales de plus en plus insupportables, et celle des autres hôpitaux, qui se débat dans des difficultés dont la résolution est occultée par le psycho-drame de l’Hôtel-Dieu.

     

    Voici ce que m’écrivait un collègue marseillais : « « J'ai été externe aux urgences de notre Hôtel Dieu et sa démédicalisation a pris 20 ans et sa vente pour être transformé en hôtel (Intercontinental) a pris 10 ans de plus.

     

    À Paris les restructurations ont 20 ans de retard sur la province et nous avons vécu tout cela avant vous. » Sachant que la fermeture de l’Hôtel-Dieu de Paris est évoquée en effet depuis 20 ans, nous en concluons que dans 10 ans nous assisterons au dernier épisode de cette lamentable histoire.

    Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Examen des amendements de séance

     La commission des affaires économiques du Sénat, présidée par M. Daniel Raoul (Soc – Maine-et-Loire), examinera 259 amendements de séance déposés sur ce texte ce mercredi 6 novembre au matin.

    Le projet de loi relatif à l’économie sociale et solidaire reconnaît et conforte un autre modèle de développement économique et social, complémentaire des modèles classiques, en soutenant les entreprises du secteur (coopératives, mutuelles, associations, fondations, entreprises sociales) qui redonnent du pouvoir aux salariés et parties prenantes tout en favorisant l’emploi local, le soutien aux personnes en situation de fragilité, la lutte contre les inégalités et le renforcement de la cohésion territoriale.

    Lors d’une première réunion, le 16 octobre dernier, le texte du projet de loi a été adopté par la commission avec des modifications importantes. À l’initiative de son rapporteur, M. Marc Daunis (Soc – Alpes maritimes) et des autres sénateurs, la commission a notamment :

    – précisé et renforcé l’échelle des rémunérations qui conditionne l’accès à l’agrément « entreprise solidaire d’utilité sociale » ;

    – introduit une définition de l’innovation sociale qui facilite sa promotion ;

    – prévu l’information des salariés, tout au long de la vie de l’entreprise, sur les possibilités de reprise ;

    – inclus dans la définition générale des coopératives une référence aux grands principes coopératifs reconnus au niveau international ;

    – conforté l’aspect pédagogique de la procédure de révision des sociétés coopératives, tout en l’étendant et en l’adaptant à diverses familles du secteur ;

    – autorisé les coopératives artisanales à mettre en œuvre des politiques commerciales communes.

    L’examen du projet de loi en séance, sur la base du texte adopté par la commission au cours de sa première réunion, aura lieu les 6 et 7 novembre prochains.

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