Nora ANSELL-SALLES

jeudi 24 octobre 2013

Donner du sens à ses achats... c'est possible coup de projecteur sur Maisons du Monde

 
Partager une vision commune avec une ONG de terrain

 "Des actions concrètes : 400 fermiers engagés dans 40 villages en Inde et 7700 agriculteurs en Indonésie "

 
TFT et Maisons du Monde sont partenaires de 2 projets communautaires d’agro-foresterie dans les régions du Penjab et de l’Haryana en Inde et de coopératives villageoises en Indonésie. Les forestiers du TFT aident les communautés locales dans la gestion durable de leurs ressources en bois en vue d’obtenir la certification FSC® à terme. Les produits Maisons du Monde garantissent que le bois provient d’une forêt gérée de manière responsable, qui progresse vers la certification et a en plus fait l’objet d’un audit de traçabilité par les équipes du TFT chez le fournisseur. Notre client a aujourd’hui la possibilité de connaître l’histoire et la provenance de son produit en flashant un QR-Code.


 
 
Crédit photo Projet TFT
 


 Coup de projecteur sur 2 actions

Inde

Créer les premières plantations de Sheesham certifié au monde

Désormais, le Sheesham est cultivé spécifiquement par les agriculteurs et leur fournit une nouvelle source de revenus. Ainsi, 35 000 pieds de Sheesham ont déjà été plantés et plus de 400 fermiers parmi 40 villages sont impliqués dans ce projet. Certains ne possèdent pas encore de Sheesham mais désirent en planter dans leurs champs. Régulièrement, des plants leur sont distribués et des formations leur sont dispensées pour leur apprendre à cultiver le Sheesham de manière durable. La gamme Lubéron a été la 1ère gamme fabriquée à partir de cette essence à obtenir un label. Depuis, la gamme Stockholm bénéficie également de ce label.
 
Crédit photo Inde Sheesham



 
                                                                                    Crédit photo TFT inde Penjab collection coton                                                                                                        




Crédit photo Inauguration pojet sheeh XM cerémonie (Na) Tasha Stojkovic
 
Indonésie

Développer les forêts communautaires de teck

Ce partenariat se traduit par la distribution de milliers de semis de grande qualité, par la mise en place de programmes informatiques, de formation à l’audit interne ou de cartographie des essences.

Derrière chaque produit, une histoire…
Maisons du Monde s’engage dans la traçabilité d’une des essences de bois les plus utilisées dans la fabrication de ses meubles : le manguier, le sheesham, le teck et le mahogany. Grâce à un système d’étiquetage avec QRcode, les clients peuvent connaître la provenance de la parcelle et de l’arbre des meubles.

 " Toutes les 2 secondes, l'équivalent d'un terrain de football de forêt disparaît "

" 250 références certifiées chez Maisons du Monde"


Le Forest Stewardship Council®, organisation internationale non gouvernementale créée en 1993 a pour mission la gestion responsable des forêts du monde entier. Soutenu par les plus grandes associations écologistes (Greenpeace, WWF…), le FSC® est aujourd’hui considéré comme le système de certification forestière le plus crédible. Leurs exigences : respect des lois du pays, des populations autochtones et des travailleurs, préservation de la biodiversité et des ressources.Grâce à des audits annuels réalisés par des experts indépendants, les produits Maisons du Monde labellisés FSC® garantissent aux consommateurs la certification des bois issus des forêts FSC®.

 

Intégrer le Club des Entrepreneurs engagés pour la protection de la planète

 

1200 entreprises engagées dans 48 pays " " Maisons du Monde 3ème donateur des entreprises Françaises"


 
En 2013, Xavier Marie Président Fondateur de Maisons du Monde s’est engagé à verser à des associations environnementales 1% du chiffre d’affaires annuel généré par les meubles de la gamme « Envie d’Eco » soit plus de 1000 références dont le bois est issu de forêts gérées durablement. Le montant reversé chaque année porte ainsi Maisons du Monde au 3ème rang des plus gros donateurs parmi les 130 entreprises Françaises membres du « 1% for the Planet » en France et au top 10 du réseau au niveau mondial.

Maisons du Monde utilise le mécénat, en plus de ses nombreuses actions d’approvisionnement responsable, comme un moyen de pérenniser son activité et d’agir en faveur du développement durable.
 
 Impliquer les collaborateurs

Congés solidaires

Partager des émotions avec les populations du monde

 " 70 collaborateurs à la découverte des projets financés par Maisons du Monde "

 
Depuis 2011, Maisons du Monde donne la possibilité à ses collaborateurs de s’immerger dans un univers en rupture avec leur quotidien. Sur leurs congés payés, ces derniers partent à la charge de l’entreprise découvrir les activités des ONG financées par Maisons du Monde. Déjà 70 personnes, tirées au sort après acte de candidature, sont ainsi parties à la découverte de Madagascar, du Pérou, de l’Inde et du Népal accueillis par les populations locales. Cette formidable expérience humaine est aussi l’occasion de s’interroger sur notre rapport à la consommation, notre rôle dans le développement durable, celui de notre entreprise… Une aventure impossible à vivre seul ou via un tour opérateur car toutes les visites et les activités sont organisées par Maisons du Monde et liées aux projets financés.

 


Nous étions tous conscients de la chance que nous avions de vivre cette aventure. Nous avons apprécié de superbes paysages et découvert le mode de vie de populations éloignées, tout cela dans un cadre respectueux de l’environnement et dans une démarche d'aide au développement. Loin, tellement loin du tourisme de masse impersonnel ! Pierre du Service Informatique - À son retour du Pérou

 Avec Man & Nature
 
Conjuguer ensemble nature et développement

En 2012, Man & Nature était consacrée « Meilleure Initiative 2012 » par la Clinton Global Intiative fondée par l’ancien Président des Etats Unis d’Amérique.

Pour que frères et sœurs partagent la même enfance
 
L'association SOS Villages d'Enfants compte aujourd'hui plus de 545 villages parmi 133 pays et vient en aide à plus d'un million de bénéficiaires.

 
Depuis 2007, Maisons du Monde soutient SOS Villages d’Enfants à travers le village de Raïpur en Inde. Composée de 14 maisons, cette structure accueille 141 enfants orphelins ou abandonnés. Un jardin d’enfants permet également l’accueil de 40 jeunes élèves et l’embauche de 5 enseignants. Un programme de "Renforcement de la Famille" permet aussi de soutenir 300 enfants supplémentaires issus de 142 familles très vulnérables. Grâce à son action, Maisons du Monde se place parmi les 10 plus gros donateurs de SOS Villages d'Enfants France.


 

 

L'Agefiph et la 17e Semaine pour l'emploi des personnes handicapées

Plus que jamais mobilisés... autour de la formation !





L'Agefiph, pour la Semaine pour l'emploi des personnes handicapées 2013, se mobilise sur la thématique de la formation et de l'alternance qui sera le véritable fil rouge de la semaine.

Face à une situation économique difficile peu propice aux recrutements, l'Agefiph fait le pari de la formation des personnes handicapées qu'elle a élevée en priorité sur les années 2012-2015, en y consacrant jusqu'à un tiers de son budget global pour 2013 (147 M€).

Courant 2013, l'Agefiph a renforcé encore son implication sur le thème de la formation en abondant à nouveau son budget à hauteur de 15 M€, en mettant en place un plan alternance afin de développer l'accès des personnes handicapées aux contrats d'apprentissage et de professionnalisation, et en apportant un soutien aux mesures gouvernementales sur les emplois d'avenir et les contrats de génération en direction des personnes handicapées.


L’édition 2012 de la Semaine fut un bon cru avec 320 évènements recensés, 22 000 personnes handicapées touchées et 3 800 entreprises participantes. C’est ainsi un temps fort de mobilisation des entreprises et des personnes handicapées ainsi que l’occasion d’une diffusion amplifiée des messages de l’Agefiph auprès de l’opinion publique.



Depuis 2010, cette Semaine se déroule sous le signe du partenariat FIPHFP – Agefiph – L’Adapt. Une coordination qui se repère grâce au macaron commun présent sur tous les documents édités pendant cette période.

Chaque année, l’Agefiph s’investit, avec ses partenaires, dans de nombreuses actions sur le plan national. Plus de 300 évènements seront organisés sur tout le territoire, notamment grâce aux opérations Un jour, un métier en action, Job Studio, Job Studio Alternance et Handichat qui sont déclinés en région. Opérations en lien avec le fil rouge.



Retrouvez tout le programme dans le dossier de presse

Une grande première à l'Adacemie de Médecine...


LES MARDIS DE L'ACADEMIE  DE MEDECINE

Mardi 29 octobre 2013, 14h00

 

 

 

CONFERENCES INVITÉES

 

14h00 : Le Service de Santé des Armées par Jean-Marc DEBONNE (Médecin général des armées. Directeur central du service de santé des armées).

 

14h30 : La médecine générale : une jeune spécialité pleine d'avenir par (ancien Président du Collège  National des Généralistes enseignants - CNGE).

La médecine générale est aujourd'hui reconnue comme une discipline médicale universitaire à part entière. C'est l'aboutissement d'un long combat, emblématique d'une mutation à la fois de notre système soins et surtout des mentalités, dans le monde médical et l'opinion publique. Les avantages en termes d’efficience des soins comme de Santé publique sont évidents : la médecine générale est un observatoire indispensable de la population. L’expertise en médecine générale permet l’ajustement entre l’offre de soins, les demandes des patients et les besoins de santé.  L’articulation entre santé publique et médecine générale donne une dimension opérationnelle à cette expertise, avec des conséquences économiques  non négligeables. La littérature internationale montre que les systèmes de santé fondés sur des soins de santé primaires efficaces, avec des médecins généralistes possédant un haut niveau de formation, fournissent des soins plus rentables et plus efficaces que les systèmes moins orientés vers des soins de santé primaires. La légitimité de l’expertise en médecine générale est désormais acquise et sa pertinence est clairement établie : il appartient maintenant aux acteurs de soins et de santé d’en partager la nécessité.

 

Agences et  autorités de santé

(Organisateur : Michel HUGUIER)

 

Introduction par Guy NICOLAS (Membre de l’Académie nationale de médecine)

 

Communications

La décentralisation des responsabilités de l’État dans le domaine de la santé publique par Renaud DENOIX de SAINT MARC (Membre de l’Académie nationale de médecine. Vice-président du Conseil d’État honoraire)

 

Les agences nationales de sécurité sanitaires : constats et perspectives par Didier HOUSSIN (Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur) En près de vingt ans, le dispositif national d’expertise en matière de sécurité sanitaire, actuellement constitué de huit agences, a évolué dans sa composition mais il a perduré. S’il a permis un renforcement de la capacité de l’État à protéger la santé de la population, il n’a pas garanti une sécurité sanitaire totale. Le maintien des priorités données à la sécurité sanitaire dans le champ de la santé publique, la préservation d’une expertise scientifique crédible et de haut niveau, la contribution à relever le défi de la sécurité des soins et l’attention portée à l’organisation de la sécurité sanitaire au niveau européen détermineront l’avenir des agences nationales de sécurité sanitaire.

 

La Haute autorité de Santé (HAS) par Michel HUGUIER (Membre de l’Académie nationale de médecine ) et Claude ROSSIGNOL (Membre correspondant honoraire de l’Académie nationale de médecine) La Haute autorité de Santé (HAS) a été créée en 2004 avec trois missions principales : la certification des établissements de santé, la définition des affections de longue durée (ALD) et les recommandations de bonne pratique médicale. La certification des établissements de santé est onéreuse, en 2012, 22,4 millions. C’est une procédure lourde qui mobilise quatre-vingt-neuf agents de la HAS (de la direction de l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins), et six cent quatre-vingt-un experts visiteurs. Les éléments médicaux ne sont pris en compte que de façon très générale et théorique, ce qui a pu les faire qualifier par la Cour des comptes « d’angle mort ». S’adressant aux établissements dans leur ensemble, elle est amenée à se prononcer globalement sur des sites qui peuvent être de qualité très variées.

Quant aux définitions des ALD, leur imprécision permet une certaine souplesse d’interprétation pour les médecins conseils des caisses. A contrario, elle entraîne, de considérables disparités des taux standardisés d’admission en ALD d’une région à l’autre. Enfin, les recommandations de bonne pratique devraient reposer sur les résultats des études scientifiques les plus rigoureuses et dûment référencées. Ce n’est guère le cas, aboutissant à des documents qui manquent de rigueur, de clarté et de concision. En conclusion, les résultats de trois des missions de la HAS que nous avons analysées sont peu convaincants. La suppression de la HAS, générerait des économies de soixante-sept millions. La certification des établissements pourrait être remplacée par des inspections inopinées de l’Inspection générale des affaires sociales ou du service médical des caisses d’assurance maladie. La définition des ALD et les recommandations de bonne pratique médicale pourraient être assumées par les sociétés savantes ou les académies comme le prouve l’exemple de l’hypertension artérielle. Cette orientation irait dans la direction suggérée par le rapport de 2012 de l’Inspection générale des finances.

MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...

MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...: Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle Mercredi 18 décembre 2013   A l’occasion de la Journée ...

mercredi 23 octobre 2013

C'est à lire : Embarquement pour la Chine


 
Histoires et destinées françaises dans l’Empire du Milieu
de Christine Leang - Editions Pacifica
 
 
 

Monseigneur Favier, Auguste Boppe, le Consul Béchamp, Edith Mankiewicz, le Docteur Bussière, Roderick Egal, George Soulié de Morant... Des noms qui sont tombés dans l'oubli. Tous, pourtant, ont eu une histoire exceptionnelle. Ils ont foulé de leurs pieds la terre de Chine, à une époque où celle-ci n'était accessible qu'après des mois d'une longue traversée en bateau. Certains de ces personnages se sont même croisés ; d'autres ont fait face à leurs homologues locaux, parfois des hôtes, parfois des ennemis. De ce passage en Chine, tous en ont vu leur destin profondément transformés.

Des premiers missionnaires jésuites aux derniers diplomates, en passant par ces hommes qui ont bâti les concessions françaises, et ceux et celles qui sont allés chercher l'exil dans cette contrée lointaine, Embarquement pour la Chine nous invite à un voyage au cœur de l'Empire du Milieu, à travers les histoires et les destinées de ces Français qui ont découvert la Chine entre les années 1740 et 1950.

 

Christine Leang

Juillet 1980. Issue de la diaspora chinoise au Cambodge fuyant le régime khmer rouge, Christine Leang naît dans un camp de réfugiés à la frontière thaïlandaise. Dès lors, c’est toute sa vie qui sera empreinte de destinées historiques.

Février 2005. Christine Leang quitte Paris, où sa famille et elle ont trouvé refuge, et vient s’installer seule à Shanghai, étape incontournable de sa quête sur ses origines. En découvrant l’expérience des Français qui vécurent en Chine aux siècles précédents, elle fait un tout autre voyage, qui lui apporte un nouvel éclairage sur ses propres interrogations.

 

Radiofréquences et santé


les utilisateurs de portable ont besoin de messages clairs

 

L’Académie nationale de médecine a pris connaissance du rapport d’expertise de l’Anses rendu public le 15 octobre 2013, « Radiofréquences et santé. Mise à jour de l’expertise ».

Comme pour la précédente expertise collective de l’Afsset, publiée en 2009, l’Académie tient à souligner cette fois encore la qualité globale du rapport 2013 et l’effort considérable d’analyse de la littérature scientifique qui en font un document de référence.

L’Académie constate que sont validées les conclusions du rapport scientifique 2009 de l’Afsset etconfirmés les avis qu'elle a rendus à trois reprises sur ce sujet. Qu’il s’agisse des effets non cancérogènes sur le système nerveux central ou en dehors de lui, ou des effets cancérogènes en général, les quelque 2600 études publiées dans le monde sur ce sujet n’ont pas pu mettre en évidence de manière rigoureuse et reproductible un risque de cancer ou d’une autre pathologie organique dû à la téléphonie mobile ou au Wifi.

L’Académie craint cependant que l'ambiguïté des conclusions du rapport, mettant en évidence l'innocuité des radiofréquences tout en recommandant une réduction des expositions, n'inquiète inutilement les utilisateurs de téléphones portables, en particulier les personnes qui en font un usage important par obligation professionnelle.

L’Académie considère que conseiller de limiter les expositions sur des bases scientifiquement contestables revient à en abaisser de facto les normes. Alors que les experts ne le recommandent nulle part dans leur rapport, c'est la direction de l'Anses qui, comme cela s'était déjà produit en 2009, a décidé de ne communiquer que sur une nécessaire diminution des expositions, sans justification scientifique.

PLFSS 2014 : Déclaration du conseil d'administration de la Fédération des mutuelles de France

Le PLFSS qui est examiné à partir de cette semaine à l’Assemblée nationale a été rejeté par toutes les

instances auxquelles il a été soumis. Pire, aucune organisation sociale, aucun corps intermédiaire ne

l’a soutenu.

La représentation nationale ne peut pas ignorer ce fait majeur. Depuis son arrivée aux responsabilités,

le gouvernement n’a eu de cesse de vanter les mérites du « dialogue social ». Comment peut-il afficher

alors autant de mépris pour la démocratie sociale ?

Aujourd’hui, dans notre pays, plus de 10 millions de personnes ne peuvent se soigner correctement.
Alors que la France est la 5ème puissance économique mondiale et que notre pays n’a jamais produit



autant de richesses, cette situation est intolérable.

Loin d’apporter une réponse satisfaisante aux inégalités de santé qui sont de plus en plus criantes, le

PLFSS va conduire à segmenter encore plus les populations selon leur statut ou leur situation

financière.

En réservant l’accès à l’aide à la complémentaire santé aux seuls contrats choisis dans le cadre de la

mise en concurrence, le gouvernement remet en cause l’accès de ses bénéficiaires au droit commun.

En faisant le choix d’augmenter encore la fiscalité sur les contrats mutualistes malgré les engagements

du président de la République, le gouvernement prend la responsabilité d’éloigner encore plus les

personnes les plus précaires de la complémentaire santé.

En prévoyant de réduire encore les moyens alloués à l’hôpital public, la ministre de la Santé continue

la politique d’asphyxie du service public hospitalier et prend le risque d’une crise sanitaire majeure

dans le pays.

Pour toutes ces raisons, le PLFSS pour 2014 est inacceptable.

Le mouvement mutualiste poursuit un objectif : permettre un accès à des soins de qualité à toutes les

personnes, quels que soient leur âge, leur statut, leur profession ou encore leur lieu de résidence. Au

nom de l’intérêt général, nous ne pouvons pas accepter un texte qui nous éloigne de cet objectif.

L’heure est à la mobilisation !

Les Mutuelles de France font le choix de se mobiliser fortement pour que des réponses solidaires

soient apportées à l’explosion du renoncement aux soins. De nombreuses actions sont déjà prévues

dans le cadre de la campagne « une mutuelle pour tous » lancée en septembre par la FMF, et cette

campagne peut et doit s’amplifier.

Avec l’ensemble des militants mutualistes attachés à la Sécurité sociale et à notre système de

protection sociale solidaire, nous allons interpeller les parlementaires, les acteurs sociaux, les

associations, les syndicats, pour mettre un terme à la régression de notre système de protection sociale

solidaire et engager enfin le débat indispensable sur son avenir et son financement.

Montreuil, le 23 octobre 2013

Libres propos de Guillaume Cairou


Statut étudiant-entrepreneur : réaction de Guillaume Cairou, Président du Club des Entrepreneurs faisant suite à l'annonce de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève FIORASO.


Nous considérons que ces mesures vont dans le bon sens et tentent d'apporter une solution à un problème dont nous nous félicitons qu'il soit identifié par la Ministre.

Malheureusement, elles sont insuffisantes pour faire émerger « un Zuckerberg à la française ».

A l'heure où l'école traditionnelle apparaît en décalage avec le quotidien des jeunes, nous saluons la création d'un statut permettant d'accompagner et de protéger davantage le potentiel de ces potentiels entrepreneurs, mais regrettons que rien ne soit annoncé au sujet d'une facilitation des démarches administratives.

Que l'étudiant puisse enfin bénéficier des mêmes droits que ses camarades stagiaires, notamment en terme de protection sociale c'était attendu et c'est salutaire. Qu'il ne soit pas encouragé dans sa création d'entreprise et la réalisation du projet qu'il porte par une facilitation des démarches administratives, c'est en revanche un non-sens contreproductif.

Pour encourager l'entrepreneuriat des jeunes, nous attendons désormais :
· Qu'un étudiant ait la possibilité de faire un stage dans sa propre entreprise,
· Qu'un mentorat entrepreneurial dédié à l'accompagnement de ces jeunes hauts potentiels soit créé,
· Qu'un nouveau contrat de travail signé par les entreprises employant des jeunes âgés de moins de 30 ans au chômage, permet une réduction de 100% (pour les entreprises de moins de 250 employés) ou de 75% (pour les entreprises de plus de 250 employés) des cotisations d'assurance maladie durant 12 mois avec possibilité de prorogation,
· Que soit concrètement diminuée les démarches administratives qui pèsent sur les jeunes entrepreneurs car c'est pour eux l'un des obstacles les plus importants à la création d'entreprises,
· Que soit facilitée l'accès pour ces jeunes entrepreneurs aux services de développement de l'entreprise (incubateurs, conseils juridiques, etc). Les incubateurs d'entreprises et les sociétés de portage salarial sont devenus de puissants outils pour soutenir la création d'entreprises et favoriser la progression des taux de survie pour les jeunes start-ups comme l'a montré le dernier livre blanc du Club des Entrepreneurs. Qu'attendons-nous pour les encourager ?
· Que soit menée une campagne nationale de promotion destinée à sensibiliser et encourager l'esprit d'entreprise chez tous les jeunes étudiants français dès le collège afin de les sensibiliser à une véritable culture entrepreneuriale dont ils manquent cruellement.


Télécharger le livre blanc (format pdf) : https://www.dropbox.com/s/8v0fxgr4zbzjduh/Livre%20Blanc%20-%20Texte%20Final%202.pdf


Télécharger le livre blanc (format Word) : https://www.dropbox.com/s/nt2ye87koug3pre/Livre%20Blanc%20-%20Texte%20Final%202.docx

Télécharger le logo du Club: https://www.dropbox.com/s/ppao3ond0dnjsjk/Cde_logo_2013.jpg?m

Télécharger une photo de Guillaume Cairou : https://www.dropbox.com/s/l4nvfkp0e8pqss9/Guillaume_Cairou_Didaxis_MG_1625.jpg?m
 

Nomination au Ministère des Affaires sociales et de la Santé

Le professeur Benoît Vallet nommé directeur général de la santé au ministère des affaires sociales et de la santé


Le professeur Benoît Vallet, responsable de la clinique d’anesthésie-réanimation de l'hôpital Jeanne de Flandre au centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Lille, président de la commission médicale d'établissement du CHRU et président de la collégiale française des enseignants d’anesthésie-réanimation a été nommé directeur général de la santé en conseil des ministres, ce mercredi 23 octobre 2013, sur proposition de Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé.

Agé de 55 ans, Benoît Vallet, après des études de médecine à Paris-Ouest de 1978 à 1985, a été diplômé de la faculté de médecine de Lille en 1990. Il a ensuite été chef de clinique en anesthésiste-réanimation, puis praticien hospitalo-universitaire au CHRU de Lille. Après avoir soutenu une thèse d’université en 1994 et une habilitation à diriger des recherches en 1996, il est devenu professeur des universités – praticien hospitalier en 1998. Il a pris en 2005 la responsabilité de la fédération d’anesthésie-réanimation du CHRU de Lille, puis celle du pôle en 2010. Membre de la CME depuis 2001, il en a été élu président en 2011 et siège au directoire du CHRU. Il est également, depuis 2010, membre de la commission régionale de la santé et de . 

Benoît Vallet est membre de l’European Board of Anaesthesiology, président de l’European Multidiscipinary Joint Committee of Intensive Care Medicine et, depuis l’an dernier, secrétaire de l’European Board of Intensive Care Medicine.
 

C'est à lire ....



 

 Rémy MARQUIER

 

L’entrée en établissement d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) intervient généralement le plus tard possible, au moment où l’état de santé ou l’âge peuvent le justifier. L’enquête menée par la DREES auprès des résidents des EHPA en 2007 apporte des informations sur leurs conditions de vie, leur degré d’adaptation et d’intégration en EHPA. Le choix de l’établissement est d’abord motivé par sa situation géographique et sa réputation pour la personne âgée comme pour ses proches.

 

 


Mission Publications-Diffusion
Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees)
Ministère de l'Économie et des Finances
Ministère des Affaires sociales et de la Santé
Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social

MINE D'INFOS: Les normes de minceur : une comparaison internatio...

MINE D'INFOS: Les normes de minceur : une comparaison internatio...: La corpulence des femmes et des hommes varie fortement dans le monde. Les pratiques alimentaires et les activités physiques jouent un rô...

Les normes de minceur : une comparaison internationale


La corpulence des femmes et des hommes varie fortement dans le monde. Les pratiques alimentaires et les activités physiques jouent un rôle important, mais les normes corporelles ont aussi une influence. Utilisant une enquête sociale internationale sur la corpulence idéale dans 13 pays de 4 continents, Delphine Robineau et Thibaut de Saint Pol analysent les variations des idéaux corporels entre pays.

 

La valorisation de la minceur est plus ou moins forte selon les pays, et peut s’imposer davantage à l’un ou l’autre sexe. On peut distinguer quatre groupes de pays : ceux majoritairement européens telle la France, où la pression à la minceur est plus forte sur les femmes que sur les hommes. Des pays comme l’Uruguay où la minceur est davantage un idéal pour les hommes, une corpulence plus élevée étant préférée pour les femmes. Des pays où la minceur est peu valorisée pour les deux sexes comme l’Irlande. Enfin, la Corée du Sud, où la pression à la minceur est très forte sur les hommes comme sur les femmes.

 

L’écart entre corps désirable et corps réel est important dans nombre de pays. Dans un contexte social où les individus apparaissent responsables, voire coupables, de leur corpulence, l’insatisfaction qui en résulte quant à leur poids peut avoir des conséquences en termes de comportements, pouvant conduire à des régimes amaigrissants ou même à des dérèglements alimentaires. La France, pays à l’idéal féminin relativement mince et à la faible corpulence moyenne est, après la Corée du Sud, le pays où la volonté de perdre du poids est la plus fréquente chez les femmes : six Françaises sur dix déclarent vouloir perdre du poids.

En savoir plus : Institut national d'études démographiques : 133, boulevard Davout 75980 PARIS cedex 20 - FRANCE

MINE D'INFOS: PLFSS 2014 réactions d' Etienne Caniard

MINE D'INFOS: PLFSS 2014 réactions d' Etienne Caniard: Les souscriptions à une mutuelle seront plus chères, Etienne ... BFMTV.COM Le 22 octobre, Etienne Caniard , président de la Mutu...

PLFSS 2014 réactions d' Etienne Caniard



BFMTV.COM

Le 22 octobre, Etienne Caniard, président de la Mutualité française, s'est focalisé sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale, dans Good Morning ...



AssurProx

Le président de la Mutualité Française Etienne Caniard ne cache pas son désaccord à propos du projet de loi de finances de la Sécurité Sociale (PLFSS).

#AVC pas une minute à perdre... Mais qui appeler ? Et comment gérer l'Après ?


AVC Vite le 15, et après ?…

La vie continue

Deux Français sur trois déclarent connaître une personne ayant déjà fait un AVC¹

 


Paralysie, perte de la parole, troubles de la mémoire,… En moyenne, après un AVC, 41% des personnes touchées n’ont plus de séquelles, 25% présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance².

 

A l’occasion de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, la Fédération Nationale France AVC et la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV), soutenues par Bayer HealthCare, lancent une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ?… La vie continue » sur la prise en charge après un accident vasculaire cérébral.

 

Cette nouvelle campagne a pour vocation de sensibiliser les malades et leur famille aux bons gestes à adopter pour éviter les risques de récidive d’AVC : bonne observance du traitement, hygiène de vie, suivi médical,… Elle rappelle également l’importance d’appeler rapidement le 15 dès l’apparition d’un des trois symptômes majeurs de l’AVC³ afin de réduire au maximum les séquelles voire le risque de décès. D’après une étude Ifop/Bayer HeathCare¹, 76% des Français savent qu’il faut contacter les urgences (+7% par rapport à 2012) en cas de paralysie, perte de la parole ou troubles de la mémoire.

 

Chaque année, en France, environ 130 000 nouvelles personnes sont victimes d’un AVC4 ; 33 000 en meurent5 durant le 1er mois. L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6 et la 2ème cause de démence après la maladie d’Alzheimer7.

 

 

AVC : agir vite pour réduire les risques de mortalité et de séquelles

 

Visage paralysé, inertie d’un membre, troubles de la parole… Dès l’apparition de l’un de ces symptômes, il est urgent d’appeler le 15. Plus de 3 Français sur 4 le savent, soit 7 points de progression par rapport à 2012, selon le baromètre Ifop Bayer, réalisé en septembre 20131. Face à un AVC, 4H30 pour agir8. Chaque minute compte dès le premier symptôme et, le pronostic d’une personne souffrant d’AVC dépend de la rapidité de sa prise en charge. « Plus nous allons vite dans la prise en charge d’une personne faisant un AVC, moins le cerveau est abîmé. Les séquelles sont par conséquent moins graves et le risque de mortalité sensiblement diminué » affirme le Dr François Rouanet, neurologue, Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux Unité Neuro-Vascul

 

 

 64% des Français connaissent dans leur entourage au moins une personne ayant déjà eu un accident vasculaire cérébral¹.

 

 L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6. Après un AVC, 25% des patients présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance². « Les séquelles les plus fréquentes sont des difficultés pour marcher, pour parler mais aussi des problèmes de mémoire et d’attention, voire de dépression » explique le Dr François Rouanet.

 

Eviter le risque de récidive à tout prix

 

Après un premier AVC, le risque de rechute est important. Il est estimé entre 30% et 43% à 5 ans9. D’après l’étude Ifop/Bayer HealthCare¹, 98% des personnes interrogées considèrent qu’une rechute est probable pour une personne ayant déjà été victime d’un accident vasculaire cérébral.

Pour éviter au maximum tout risque de récidive, les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC tels que l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, le trouble du rythme cardiaque ou fibrillation atriale, ou encore le diabète..., doivent suivre un traitement adapté à leur pathologie. « Les personnes souffrant, par exemple, de fibrillation atriale prennent au long cours un anticoagulant pour fluidifier le sang et éviter ainsi la formation de caillots sanguins responsables de l’AVC » explique le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

 

2/3 des Français pensent qu’il faut arrêter de fumer pour éviter de refaire un AVC¹ ; 57% disent qu’il faut manger sainement¹.

 

En plus du traitement médicamenteux, les patients doivent adopter une bonne hygiène de vie au quotidien : « il faut manger de manière variée et équilibrée, avoir une activité physique régulière, réduire sa consommation d’alcool et arrêter le tabac pour les fumeurs » énonce le Dr François Rouanet.

 

Education thérapeutique : apprendre à vivre mieux avec sa maladie
 
Qu’est-ce qu’un AVC ? Pourquoi prendre un traitement à vie ? Comment éviter un AVC ou une rechute ? Comment récupérer après un AVC ? Pour répondre à toutes les questions que se posent les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC et/ou ayant déjà fait un AVC, certains hôpitaux proposent des séances d’éducation thérapeutique à l’instar du CHU de Montpellier. « Ces séances se déroulent soit individuellement avec un professionnel de santé, soit collectivement avec d’autres patients présentant les mêmes problématiques de santé comme la fibrillation atriale (FA) et deux soignants éducateurs qui animent l’atelier pédagogique » explique Angélique Lienhardt, infirmière-coordinatrice et membre de ChronEduc LR, réseau dédié à l’éducation thérapeutique du patient en Languedoc-Roussillon. « On y aborde le traitement anticoagulant pour les personnes souffrant de FA, l’importance de le prendre, le but de ce traitement et les effets secondaires afin que le patient vive mieux avec sa maladie et ne présente pas de complications. »
« Bien impliquer les patients dans leur traitement est un facteur majeur de cohérence de traitement, d’acceptation des médicaments et d’une meilleure observance » affirme le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

Vivre au quotidien après un AVC

« Les séquelles de l’AVC ont des répercussions sur la vie sociale et familiale des patients et de leur entourage. Toute la famille subit les conséquences d’un AVC » affirme le neurologue François Rouanet. Pour aider les patients à mieux vivre au quotidien après un AVC, différents professionnels de santé – médecin généraliste, cardiologue, neurologue, orthophoniste, kinésithérapeute, psychiatre, infirmier… – assurent leur prise en charge.

Des associations de patients telles que France AVC apportent également un soutien aux personnes ayant fait un AVC ainsi qu’à leur entourage en première ligne pour assurer le quotidien. « Chaque antenne de France AVC dans l’Hexagone développe des permanences téléphoniques afin d’apporter du soutien et des informations aux patients ainsi qu’à leur famille. Nous mettons en place des groupes de parole mais aussi différentes activités telles que du théâtre, des séances de gymnastique, des sorties culturelles pour rompre la solitude des malades et de leur famille » explique Françoise Benon, secrétaire nationale de France AVC. « La Société Française Neuro-Vasculaire joue un rôle important dans les campagnes d’informations aux côtés de France AVC et c’est cette parfaite synergie avec les antennes de France AVC, qui permet d’amplifier les messages » ajoute le Pr Thierry Moulin, Professeur de neurologie au CHU de Besançon et Président de la Société Française Neuro-Vasculaire.

 

Dans le cadre de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, Bayer HealthCare lance une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ? » sur plus de 500 radios et chaînes de télévision locales et web TV, du 21 octobre au 10 novembre, à travers un programme de 10 chroniques son/vidéo d’1 minute dans l’émission « Place à la Santé ».
Cette série donne la parole à deux médecins, cardiologue et neurologue, ainsi qu’à France AVC pour définir en termes simples :
• ce qu’est un AVC,
• les facteurs de risque,
• les répercussions d’un AVC sur le quotidien des patients,
• les moyens pour éviter la récidive,
• et le type de soutien apporté au patient et à son entourage…

10 spots radio sur la thématique AVC seront également diffusés sur France Bleu pendant la journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral du 29 octobre.

Plus d’informations sur www.avcvitele15.com

 

À propos de France AVC

France-AVC (Association loi 1901 d'aide aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC) a été créée en 1998 avec pour objectifs la prévention, l’information du public, des pouvoirs publics et des médias sur les accidents vasculaires cérébraux ; d’apporter une aide et un soutien aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC ; de développer l'éducation thérapeutique du patient et d’aider à la recherche sur les AVC.


 

À propos de la SFNV

Association loi 1901 créée en 1996, la Société Française NeuroVasculaire (SFNV) a pour objectif principal l'amélioration de la prise en charge des AVC. Elle est la société savante qui regroupe l'ensemble des professionnels concernés par les pathologies vasculaires cérébrales dont les accidents vasculaires cérébraux (AVC), leur diagnostic, traitement et prévention. Elle développe des actions selon plusieurs axes majeurs : les filières de soins, en lien avec les organismes institutionnels, dans le but de permettre à toute personne souffrant d'un AVC d'être prise en charge dans les meilleures conditions ; la formation des professionnels de santé ; la recherche, dans le but d'accroître les connaissances sur les AVC et de permettre ainsi d'améliorer le diagnostic et le soin.


 

À propos de Bayer HealthCare

Le groupe Bayer AG, basée à Leverkusen, (Allemagne) est une entreprise mondiale avec des compétences majeures dans le domaine de la santé, de la nutrition et des matériaux de haute performance. Filiale de Bayer AG, Bayer HealthCare compte 55 300 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires de 18,6 milliards d'euros pour l'année 2012. Présente dans plus de 100 pays c’est l'une des toutes premières entreprises innovantes au monde dans le secteur de la santé humaine et animale et des produits médicaux.

En France, Bayer HealthCare compte 1 254 collaborateurs, et est présente au travers de ses 5 divisions : Pharmacie, Diabète, Santé familiale, Santé animale, Radiology & Interventional. En permettant le diagnostic et le traitement des maladies, ses produits sont le gage d’un plus grand bien-être et d’une meilleure qualité de vie.