Nora ANSELL-SALLES

jeudi 3 octobre 2013

Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets :


Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions

Se laver régulièrement les mains, ne pas tousser devant un bébé, porter un masque… De simples gestes de prévention permettent de préserver les tout-petits en réduisant les risques de bronchiolite. Pourtant, les gestes ne sont pas toujours bien connus et mis en pratique par les Français. Seulement 6 personnes sur 10 se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper d’un nourrisson1. Très contagieux, les virus responsables de la bronchiolite affectent les bronches des bébés et peuvent être responsables de complications nécessitant une hospitalisation. A l’approche des premiers froids, l’Inpes rappelle les réflexes à avoir pour limiter les risques de transmission dans un livret d’information en ligne : « La bronchiolite ».

 

 

Faire la chasse aux virus de la bronchiolite en adoptant les bons réflexes !

 

Selon les résultats d’une enquête menée par l’Inpes en 2012, les Français ont plutôt conscience de la nécessité des gestes de prévention face aux virus de l’hiver : 79% d’entre eux déclarent adopter au moins une précaution vis à vis des infections respiratoires de l’hiver. Sachant que le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur une surface inerte2 comme les jouets, tables, poignées de porte…il faut faire attention de ne pas échanger les effets personnels des différents enfants de la famille (biberons, couverts, etc.) et de les laver soigneusement. Les mains étant un moyen de transport idéal des virus, il est important de se les laver régulièrement et de se couvrir la bouche avec le coude quand on tousse. En période d’épidémie, quelques autres gestes simples sont à adopter. Si certains d’entre eux sont devenus pour la plupart des Français un réflexe, certains restent encore peu adoptés.

 

Les gestes les plus adoptés par les Français pour diminuer les risques de transmission :

 

Ne pas embrasser un bébé sur le visage ou sur les mains en cas de rhume et de toux. Même si deux tiers (67 %) des parents d’enfants de moins de 5 ans ne les embrassent jamais quand ils sont malades, 8% continuent à le faire souvent voire systématiquement.

 

Se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon pendant au moins trente secondes, particulièrement avant de s’occuper d’un bébé.

Le lavage de mains arrive en tête des gestes de précaution pour protéger les enfants de moins de 2 ans spontanément cités : 22% des Français et 34 % des parents d’enfants de moins de 5 ans. Néanmoins, seulement 59% des Français se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper des nourrissons. Par ailleurs, 37 % de l’ensemble de la population (29 % des parents) n’utilisent pas systématiquement le savon quand ils se lavent les mains à l’eau. Concernant les solutions hydro-alcooliques, elles se sont largement répandues (plus des trois quarts de la population en a déjà utilisées) ; elles sont plus plutôt utilisées à l’extérieur de la maison (51% déclarent les utiliser fréquemment à l’extérieur du domicile vs 33 % à l’intérieur).

 

Des habitudes à améliorer …

 

Eternuer et tousser en se couvrant la bouche avec le coude, le bras/la manche ou un mouchoir jetable. Quasiment tous les Français se couvrent la bouche en cas d’éternuement ou de toux (98%) principalement avec la main (48%) et plus rarement avec le coude (11%). Le réflexe de se couvrir la bouche avec le coude est plus fréquent chez les parents d’enfants de moins de 5 ans. Ils sont 19% à le faire.

 

1 Etude Inpes / BVA – novembre 2012 – échantillon national représentatif de 1206 personnes dont 306 parents de moins de 5 ans.

2 Kramer A, Schwebke I, Kampf G. How long do nosocomial pathogens persist on inanimate surfaces? A systematic review. BMC infectious

diseases. 2006;6:130. Epub 2006/08/18.

2

Porter un masque chirurgical pour s’occuper d’un bébé (en vente en pharmacie).

Peu de parents de jeunes enfants ont recours au masque pour éviter de contaminer leur entourage lorsqu’ils sont enrhumés ou grippés : ils sont 6 % à l’utiliser souvent ou systématiquement.

 

Mis à part ces conseils d’hygiène, il est important d’éviter les visites de personnes malades (enrhumées, notamment) ou d’éviter de leur rendre visite avec un bébé. Il faut aussi éviter d’emmener un nourrisson dans des lieux publics où il risquerait d’être en contact avec des personnes malades (centres commerciaux, transports en commun…), surtout s’il a moins de 6 mois.

 

S’il est indispensable d’adopter quelques gestes pour préserver son bébé des virus, il est aussi important de le laisser dans un environnement approprié : sain, non enfumé, aéré quotidiennement et maintenu à une température à 19 degrés.

 

Parents, tout comprendre et tout savoir sur la bronchiolite

 

Qu’est-ce que la bronchiolite ? Comment limiter les risques de transmission du virus ? Que faire si son bébé est malade ? Les parents se posent fréquemment des questions en période hivernale.

 
Afin de répondre à leur inquiétude et leurs interrogations, l’Inpes met à leur disposition un livret d’information qui permet de faire le point sur la maladie : « La bronchiolite ». Ce livret est téléchargeable sur le site www.inpes.sante.fr. Il est mis gratuitement à disposition du grand public chez les médecins, pédiatres, kinésithérapeute, dans les crèches et à la CAF.



NDLR : MGEFI et BRONCHIOLITE
 
 
 
 
bronchiolite bb                               
  • Bronchiolite : campagne annuelle d'info nov-avril enfants 0-2 ans                               
  • Bronchiolite                     
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    MINE D'INFOS: Silver économie : une nouvelle norme fixe des régl...:     Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le...

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    MINE D'INFOS: Présence de restaurants McDonald’s et obésité font...:    La « mal bouffe » est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail scientifique n’avait jamais réussi à démont...

    Présence de restaurants McDonald’s et obésité font bon ménage dans le monde


       La « mal bouffe » est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail scientifique n’avait jamais réussi à démontrer aucun lien entre les deux. C’est désormais chose faite avec l’étude réalisée par une équipe de médecins de l’hôpital Avicenne à Bobigny (93), que vient de publier le Journal of Internal Medicine dans son numéro d’aout 2013.

       Cette étude, qui porte sur 75% de la population mondiale et 95% des restaurants McDonald’s dans le monde, montre une corrélation très nette entre l’incidence de l’obésité et la densité des restaurants McDonald’s. D’après les auteurs, le taux d’obésité varie de moins de 5% pour une densité « faible » à plus de 10% pour une densité « moyenne » et dépasse les 20% quand la densité est « très forte » (voir graphique en PJ).

       Certes, ce travail n’établit pas de lien direct de cause-à-effet entre le surpoids et la chaîne américaine de restauration rapide, mais il met le doigt sur une forte association entre la présence de ce type de restaurants et l’obésité. Il montre à quel point leur implantation est parfaitement associée aux modifications des modes de vie et aux conséquences en terme de surpoids. 

     

    Pr Frédéric Lapostolle

    SAMU 93 - UF Recherche-Enseignement-Qualité

    Université Paris 13, Sorbonne Paris Cité, EA 3509

    Hôpital Avicenne, 125, rue de Stalingrad, 93009, Bobigny, France

    Silver économie : une nouvelle norme fixe des régles du jeu en téléassistance pour améliorer la qualité des services pour les personnes fragilisées, vulnérables, âgées ou handicapées.


     
     
    Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le haut tout un secteur en fixant des exigences pour garantir la qualité des prestations de téléassistance, dans le respect de la vie privée et des données personnelles de près de 560 000 personnes fragiles en France.
     
    La publication de cette norme résulte d’un travail collaboratif des pouvoirs publics, d’associations d’usagers, fabricants de matériels et prestataires de services à la personne* signalant une volonté d’autoréguler et de structurer un marché en plein développement. Avec une population mondiale qui vieillit (900 millions de personnes âgées dans le monde), le champ économique ouvert par l’avancée en âge constitue un potentiel de croissance unique pour les entreprises françaises : 53 % de la demande française sera le fait des âgés en 2015 (Source CREDOC)[1].
     
    La norme NF X50-520 « Qualité de service en téléassistance » définit la téléassistance comme « un service à la personne qui permet à toute personne fragilisée, vulnérable, âgée ou handicapée de pouvoir être mise en contact et en relation dans le cadre de son maintien à domicile avec des prestataires de téléassistance 24h/24, 7 jours sur 7, et de bénéficier d’un soutien et d’une assistance en situation de difficulté et/ou de besoin".
     
    La norme précise les spécifications d’une prestation de service de téléassistance et décrit les étapes de la réalisation du service : accueil et information, traitement de la demande, installation du matériel et mise en service, réalisation de la prestation, gestion des appels, entretien / maintenance, suivi, facturation et encaissement et clôture de la prestation et les compétences associées à chacune. Elle délivre une terminologie ainsi que des recommandations sur la mesure et l’amélioration continue de la qualité du service. Des méthodes de mise en œuvre pour le traitement des réclamations, la gestion des conflits, l’évaluation de la qualité de service perçue par le client, l’analyse des dysfonctionnements et la mise en place d’actions correctives et préventives sont proposées dans le document.
    La reconnaissance de la téléassistance comme un « service à la personne » a permis d’opérer une séparation claire entre les activités pouvant recourir à des techniques similaires mais destinées, d’une part à un public totalement différent et nécessitant, d’autre part des compétences professionnelles différentes. La norme précise également les exigences permettant d’identifier l’adéquation entre le matériel proposé et la situation du client, ainsi que celle permettant d’assurer la fiabilité des équipements dans le cadre de la réalisation d’une prestation de téléassistance à domicile.
    Les activités exclues du domaine d’application de la norme : la télésurveillance, la visioassistance, la vidéosurveillance, les caractéristiques techniques des équipements, la téléassistance dans les établissements de soins et dans les établissements d’hébergement à caractère médico-social.
    Pour commander la norme NF X50-520 - Qualité de service en téléassistance http://www.boutique.afnor.org/norme/nf-x50-520/qualite-de-service-en-teleassistance/article/809420/fa180323
    * Liste des membres de la commission de normalisation QSTACN « Qualité de service en téléassistance », ayant élaboré ce projet de norme :
    ADF (Assemblée des Départements de France) ; AFNOR Certification ; AFOC (Association Force Ouvrière Consommateur) ; Agence Régionale Santé Ile de France ; AIMV (Association de services à la personne) ; Alexia Sibony ; ANSP (Agence Nationale Services à la Personne) ; Arnoux Conseil ; ASIPAG (Association Solutions Innovantes Pour l'Autonomie et Gérontechnologies) ; ASSECO CFDT ; Association ALERTE ; Association Cogitey – coordination gérontologie ; Assystel, ASTIC Conseil, BCL Conseils, CASSIOPEA (Conseil Assistance Services Solidarité Information et Orientation sur les Personnes Agées ou handicapées) ; CNAV (Caisse nationale d’assurance vieillesse) ; Centre National de Référence Santé ; CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) ; Conseil Général de la Creuse/ Jeunesse et solidarités; Crédit Mutuel ARKEA ; Custos SAS ; Datacet ; DGCIS/STCAS (Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services) ; Doro ; Equinoxe Tele Assistance ; Europ Assistance France ; FNAAFP/CSF (Fédération Nationale des Associations de l'Aide Familiale Populaire) ; FNG (Fondation Nationale de Gérontologie) ; FREGIF (Fédération des Réseaux de santé Gérontologiques d'Ile-de-France) ; FESP (Fédération des Entreprises de Service aux Particuliers) ; Handeo ; Hôpital Charles Foix ; INC Hebdo ; Intervox Systèmes, IP Assistance, La poste – Dion Courrier ; Le défenseur des droits ; Mutualité Sociale Agricole/ Caisse Centrale ; On Medio/ Gerontechnologie.net ; Philoe Conseil ; Centre de recherche en Gestion de l’Ecole Polytechnique ; Présence Verte Association Nationale (à l’origine du projet de norme) ; Présence Verte SA ; Santé Service UNA Services ; Sciences Po/ IEP Paris ; Securitas France ; SeniorAlerte ; Serena ; Solem ; Synergie/ La maison de l’autonomie ; Telecom Design ; Ubiquiet ; UNCCAS (Union Nationale des Centres Communaux et Intercommunaux pour l’Action Sociale) ; Université Paris Dauphine ; NPDM ; VIVAT.
    Qu'est-ce qu'une norme volontaire ?
    Une norme volontaire est un document de référence publié par AFNOR, faite de manière itérative et collaborative avec le concours actif des professionnels fédérés de manière représentative (industriels, consommateurs, associations, syndicats, collectivités locales…). Elle fournit des principes et des exigences pour une activité ou ses résultats. 33 000 normes volontaires sont aujourd’hui en vigueur. Seules 1% sont rendues obligatoires par la réglementation. Revues systématiquement et a minima tous les cinq ans pour lutter contre toute obsolescence, les professionnels décident leur maintien, mise à jour ou annulation. Sur les 1942 nouveaux documents publiés en 2012, 1224 étaient des révisions. 1543 normes ont été retirées des collections.
    A propos d’AFNOR
    L'association AFNOR et ses filiales constituent un groupe international au service de l'intérêt général et du développement économique. Il conçoit et déploie des solutions fondées sur les normes, sources de progrès et de confiance. Les missions d'intérêt général sont assurées par l'association dans le cadre d'un décret qui lui confère l'animation et la coordination du système français de normalisation, la représentation des intérêts français dans les instances européennes et internationales de normalisation, l'élaboration et la diffusion des normes.
    Ses filiales - formation, évaluation et certification, réseau international - quant à elles, exercent des activités de marché dans un environnement concurrentiel et en respectent strictement les règles. La direction générale du Groupe est assurée par Olivier Peyrat.
     
     
    NDLR : MGEFI et AFNOR
     

    MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF

    MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF: NOMINATION François Rauch François Rauch est nommé Directeur de la communication et de l'information de la Mutualité Française. ...

    mercredi 2 octobre 2013

    Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

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    Nomination à la FNMF

     
    François Rauch

    François Rauch est nommé Directeur de la communication et de l'information de la Mutualité Française. Il a pris ses fonctions le 1er octobre 2013.


    Agé de 49 ans, François Rauch est ancien élève de l'école normale supérieure et diplômé de l'institut d'études politiques de Paris.

    Responsable de la communication interne au sein de la Direction financière du groupe Renault en 1990, puis chargé de communication et de relations institutionnelles auprès du Président de Radio France Internationale en 1991. En 1996, il rejoint Crédit Agricole SA comme chargé de communication auprès du Président et du Directeur général pour prendre en 2005 les fonctions de Secrétaire général de Crédit Agricole Leasing & Factoring.



    A propos de la Mutualité Française

    Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d'adhérents.

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

    Les mutuelles disposent également d'un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d'innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d'accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d'optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d'information, d'aide à l'orientation et de soutien sur des questions de santé.

    MINE D'INFOS: Portrait intimiste du Pdt de la MGEFI

    MINE D'INFOS: Portrait intimiste du Pdt de la MGEFI: Portraits Pour découvrir des personnalités sous un autre angle. Capitaine militant en provenance de la Canebière Serge Brichet, ...

    mardi 1 octobre 2013

    MINE D'INFOS: Ouverture de la base de données publique des médic...

    MINE D'INFOS: Ouverture de la base de données publique des médic...: Base de données publique des médicaments : Marisol Touraine pose la première pierre du service public d’informations en santé ...

    MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

    MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible: la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant. La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles et malv...

    MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

    MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible: la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant. La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles et malv...

    MINE D'INFOS: 6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les dro...

    MINE D'INFOS: 6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les dro...: Rapport annuel de notre ligne Santé Info Droits Avec plus de 7.500 sollicitations traitées par nos écoutants juristes en 2012 , le r...

    6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les droits des malades


    Rapport annuel de notre ligne Santé Info Droits

    Avec plus de 7.500 sollicitations traitées par nos écoutants juristes en 2012, le

    rapport de notre ligne Santé Info Droits apporte une photographie fine et concrète des



    difficultés rencontrées par les personnes confrontées à des problèmes de santé dans

    toute leur diversité, mais aussi par rapport à leurs conséquences sur la vie sociale,

    professionnelle et personnelle…

    Mêlant analyses chiffrées et verbatim issus des sollicitations traitées, cet Observatoire

    détaille les situations concrètes qui font que, souvent encore, il peut être difficile de

    voir ses droits en tant que personne malade reconnus et mis en œuvre.
    L’évolution des thématiques abordées en lien avec l’actualité des préoccupations des usagers
    Les 5 principales thématiques, réunissant plus de 85% des sollicitations, restent inchangées :

    1/ droits des usagers du système de santé (démographie médicale, secret professionnel, accès aux informations

    médicales, discrimination et refus de soins, fin de vie, accidents médicaux…) ;

    2/ accès et prise en charge des soins (carte vitale, frais de transports médicaux, CMU, forfait hospitalier, ALD…) ;

    3/ revenus de remplacement (arrêt de travail et invalidité) ;

    4/ accès à l’emprunt et à l’assurance ;

    5/ travail.

    Parmi celles-ci, les sous-thématiques qui ont connu les plus fortes augmentations depuis l’année précédente

    témoignent des sujets de préoccupation des usagers et recoupent assez précisément ceux sur lesquels le CISS se

    bat au quotidien pour les défendre et les représenter. C’est notamment le cas pour les deux principales

    thématiques au sein desquelles les questions qui ont le plus augmenter portent sur :

    - la démographie médicale,

    - l’information sur le coût des soins,

    - les dépassements d’honoraires,

    - le recueil du consentement,

    - le respect du secret professionnel,

    - les médicaments génériques,

    - la complémentaire santé,

    - l’aide médicale d’Etat,

    - la prise en charge des frais de transports sanitaires.
    Santé Info Droits : l’information des usagers au cœur de l’action du CISS
    Une analyse qui montre les interactions et le lien essentiel qui existent entre notre mission d’information des

    usagers et notre action en matière de défense de leurs droits. Une analyse qui démontre que nos revendications

    s’appuient indéniablement sur une conjonction d’indices perçus au plus proche du terrain grâce aux différents

    relais dont on dispose et au premier rang desquels se trouve l’Observatoire sur les droits des malades que

    constituent notre ligne Santé Info Droits (0 810 004 333, numéro Azur, également joignable au 01 53 62 40 30 / lundi, mercredi et

    vendredi 14h-18 ou mardi, jeudi 14h-20h).

    NB : Document téléchargeable au format pdf sur www.leciss.org, ou disponible en service de






    presse en adressant une demande à communication@leciss.org
     
     
     
     
     

    HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

    la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant.


    La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles


    et malvoyants à suivre, en toute autonomie, la saison 2013/2014… Une première dans le Championnat de France !


    En association avec HandiCaPZéro, la LFP propose un tout nouveau guide et un dispositif web entièrement adaptés.


    En braille, audio et caractères agrandis, le guide comprend le calendrier complet des journées, une présentation des clubs et les effectifs de la nouvelle saison...


    En ligne, retrouvez tout au long de la saison sur handicapzero.org, les résultats, les classements officiels, la composition des équipes une heure avant le coup d'envoi… Le tout en provenance directe du site de la LFP grâce à un web service dédié.



    suivre la saison 2013 -2014


    - le guide de la Ligue 1 (version braille, audio ou caractères agrandis) est gratuit et se commande sur handicapzero.org ou au 0800.39.39.51 (appel gratuit depuis un poste fixe).




    - l'info web est disponible sur handicapzero.org rubrique sport - Ligue 1






    la LFP en bref


    La Ligue de Football Professionnel réglemente le football professionnel français. A ce titre la LFP organise et gère quatre compétitions : la Ligue 1 (380 matches), la Ligue 2 (380 matches), la Coupe de la Ligue (44 matches) et le Trophée des Champions (1 match). La LFP est le premier organisateur de spectacle vivant de France, avec plus de 800 matches par saison, plus de 10 millions de spectateurs (dont 7,3M pour la Ligue 1, 2,6M pour la Ligue 2 et 0,5M pour la Coupe de la Ligue). Lors de la saison 2012-2013, la Ligue 1 comptait 73 diffuseurs dans 216 territoires et 33 langues.





    HandiCaPZéro en bref


    HandiCaPZéro (créée en 1987) facilite l'autonomie quotidienne des personnes aveugles et malvoyantes.
    En partenariat avec des entreprises et des collectivités, l'association propose gratuitement des dispositifs accessibles : éditions adaptées (braille, caractères agrandis, audio Daisy), web... dans les domaines de l’information, la santé, l’emploi, la vie pratique, le sport, les loisirs...
    handicapzero.org.





    Ouverture de la base de données publique des médicaments



    Base de données publique des médicaments :



    Marisol Touraine pose la première pierre

    du service public d’informations en santé
    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a ouvert ce jour la première base de données publique qui recense l’ensemble des informations disponibles sur les médicaments.

    Hébergée sur medicaments.gouv.fr, cette base de données marque la première étape du projet du Gouvernement de mettre en place un service public d’information en santé.

    En effet, comme l’a rappelé Marisol Touraine lors de la présentation des grands axes de la Stratégie nationale de santé, chaque Français doit pouvoir accéder aisément à une information fiable, qu’elle concerne des médicaments, des établissements ou des professionnels de santé.



    Sous le pilotage de la direction générale de la santé, la base de données publique des médicaments regroupe des données issues de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Assurance maladie (CNAMTS). Elle fournit des informations sur l’intégralité des spécialités pharmaceutiques commercialisées sur le marché français ou dont l'arrêt de commercialisation date de moins de deux ans.
    Sont présentés pour chaque médicament les indications, les précautions d’emploi, les contre-indications, les autorisations de mise sur le marché, le statut au regard de la commercialisation, le prix, le taux de remboursement et des informations relatives à la sécurité d’emploi. Des icones indiquent si le médicament est délivré uniquement sur prescription, s’il est remboursé par la sécurité sociale et s’il appartient à un groupe générique. 2



    Ces informations peuvent être facilement, grâce à la fonction d’autocomplétion, recherchées par le nom du médicament ou de son principe actif.

    La base est accessible sur ordinateur, une version spécifique ayant été développée pour les mobiles et tablettes.
    L’accès à la base se fait à l’adresse medicaments.gouv.fr qui offre un espace dédié exposant au grand public de manière pédagogique et transparente ce qu’est un médicament, comment il est commercialisé, avec quelles précautions il doit être utilisé, comment déclarer les effets indésirables éventuels…



    Sur ce même espace, l’internaute pourra déclarer un effet indésirable, dans le but d’améliorer les signalements des professionnels et des patients eux-mêmes.

    Pour la première fois, des informations simples et de référence sont publiées sur un endroit unique et répondent aux questions que se posent les citoyens sur le médicament.

    La base de données publique des médicaments évoluera dans les prochains mois afin de répondre aux suggestions que ne manqueront pas de faire les citoyens et les professionnels de santé, en particulier la mise à disposition de recommandations.




    Retrouvez la présentation animée de cette base sur http://www.sante.gouv.fr/clip-base-de-donnees-medicaments.html


     

    Festival du Tatouage de Chaude-Aigues 2014


    Les 13 et 14 septembre 2013, Stéphane Chaudesaigues était présent à la Convention de Tatouage de Pittsburgh (USA). Il avait accepté d’en être l’invité d’honneur à la demande de son ami Shane o’Neill, reconnu comme l’un des meilleurs tatoueurs réalistes au monde, couleurs et noirs et gris et organisateur de cette Steel City Tattoo Convention. Durant cette première convention de rentrée, Stéphane Chaudesaigues a officiellement annoncé l’organisation du 2e Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues, les 4, 5 et 6 juillet 2014.

    Chaudes-Aigues. Plus besoin de présenter désormais ce petit village cantalien de 1.000 âmes. Quand on aborde le sujet, Stéphane Chaudesaigues -dont le nom éponyme laisse entendre qu’il doit y avoir une histoire emplie d’émotion entre les deux- s’enflamme : «Surtout connue pour ses thermes et ses sources, Chaudes-Aigues a vibré en 2013 le temps d’un week-end fabuleux, sous les dermographes de plus de 140 artistes tatoueurs venus de 26 pays. L’occasion rêvée de faire découvrir un métier, une passion, mais aussi une région d’exception, aux paysages magnifiques encore préservés». Mais pour ce grand nom du tatouage, c’est aussi «une aventure qui, à un moment de ma vie, m’a conduit à une forme d’aboutissement personnel et professionnel. Celui d’œuvrer moi-même, sur la terre de mes ancêtres, pour construire et bâtir à mon tour, avec mes outils, mes moyens et mon époque».

    Réitérer cette rencontre, doublée du pari fou de faire venir encore plus de tatoueurs et de festivaliers nationaux et internationaux, est un enjeu qui fait à nouveau vibrer toute la famille Chaudesaigues ! «Nous avions délibérément communiqué en 2013 sur un symbole fort» commente Stéphane Chaudesaigues. «Un symbole si puissant que, bien souvent, on pourrait ne plus le remarquer : la famille. La ou les familles d’ailleurs. Car il y a celle que l’on a, celle que l’on crée et celle à laquelle on appartient sans s’en rendre compte, finalement. Je souhaitais faire découvrir -et espérais  faire se rencontrer- mes deux familles : ma communauté professionnelle et les habitants d’un petit village, niché à 750 mètres d’altitude dans l’étroite vallée du Remontalou, sur les terres du Caldaguès, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal».
    Si l’on peut parler de succès pour la première édition, c’est bien de celui-là : la rencontre réussie d’une communauté, celle du tatouage, et des Auvergnats.

    Chaudes-Aigues et le Cantal In’k the Skin -le Cantal on l’a dans la peau-
    Reconnue à l’international comme étant la plus familiale et la plus atypique convention de tatouage, la deuxième édition se devra de s’inscrire dans cette même filiation. Les plus grands noms ont déjà fait acte de candidature. Le public de festivaliers, amateurs ou avertis, va donc à nouveau affluer vers cette terre cantalienne assez peu coutumière de performances dermographiques ! La fête, Stéphane y tient : «Plus qu’un moment inoubliable, dans le Cantal, pour vivre et découvrir la planète tattoo, ce sera l’occasion de nous retrouver, d’échanger et de partager autour de notre passion. Se faire tatouer, certes. Mais aussi profiter, une nouvelle fois, en famille, avec nos enfants et tous nos amis. Découvrir ou redécouvrir un pays, une région, mais aussi des valeurs. Le Cantal In’k, c’est tout simplement faire la fête !».
    La fête dans la convention. Mais aussi la fête autour ; sur les quais et dans les rues de ce paisible petit bourg.

    Du 4 au 6 juillet 2014, Chaudes-Aigues, capitale mondiale du tatouage…mais pas que !
    Chaudes-Aigues, future concurrente de Cannes et de Saint-Tropez ? Il n’y avait un pas… que Stéphane Chaudesaigues va s’employer à faire franchir à toute la commune ! Même si la Place du Gravier ne peut égaler la Croisette, ou si le Remontalou, avant d’aller se jeter dans le Truyère, ne réussit pas à se charger d’effluves marines, c’est quand même un Festival à part entière qui verra se mêler néophytes, amateurs, caldaguès* et fans du tatouage.

    Parmi ces derniers se trouvent nombre de passionnés des années 50.  Alors, l’idée a jailli de la créativité jubilatoire de Stéphane, telle l’eau coulant de la Source du PAR : Cadillac, Ford Mustang, et autres Chevrolet aux chromes rutilants serviront d’écrin à un Concours de PIN’UP.


    Le premier prix sera un voyage à Las Vegas. Le second prix, deux menus dégustation chez Serge Vieira, Bocuse d’or 2005 et 2 étoiles au Guide Michelin, dans son fabuleux Restaurant au château du Couffour.

     

    Ces deux prix seront décernés par un jury particulièrement averti. Mais aussi par le public qui pourra voter pour la candidate dont la tenue, le maquillage, l’élégance l’auront le plus séduit. De nombreuses autres récompenses seront décernées également au plus bel équipage (voiture + chauffeur).


    Voitures et concurrentes peuvent d’ores et déjà se préinscrire sur : contact@festival-tatouage.com


    Le Cantal In’k the skin, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal, en Auvergne, les  4, 5 et 6 juillet 2014 ; plus qu’une convention du tatouage, une véritable histoire d’amour.
    *habitants de Chaudes-Aigues
    Affiche du Festival 2014
    - Photo Stéphane Chaudesaigues- Shane O’Neil
    Communiqué de presse

    Contrats responsables : position de la FNMF


    En alourdissant le prix des complémentaires santé, cette taxation aggrave les difficultés d'accès aux soins, a fait valoir Etienne Caniard à l'adresse du ...




     

    Mélange boisson énergisante-alcool, une hécatombe : des alternatives existent !


    Le fameux vodka-Redbull est entré aujourd’hui dans les habitudes de consommation des jeunes adultes. 2/3 des 18-34 ans ont déjà l’habitude de mélanger boissons énergisantes / boissons alcoolisées et c’est devenu en quelques années la boisson la plus vendue en boite de nuit.

     

    Mais quels sont les risques? La caféine présente en très (trop ?) forte quantité dans les boissons énergisantes masque les effets de l’alcool et accélère le rythme cardiaque, pouvant aller de la tachycardie à la crise cardiaque.

     

    Des alternatives existent ! La société TRENDY DRINK, jeune entreprise parisienne fondée en 2011 par Pierre-Michel Couturier, a lancé, il y a maintenant un an, une nouvelle boisson alcoolisée GO ON, à base de vodka Française, guarana, ginseng, gingembre. Leurs cocktails aux extraits naturels de plantes sont garantis sans caféine, taurine,  colorant ni conservateur. Surfant sur les vertus de ces plantes utilisées depuis des millénaires de manière traditionnelle ou en vitamine, le fondateur de la marque explique : « Notre objectif avec cette boisson est d’apporter avec un cocktail prêt à servir, une alternative responsable aux mélanges boisson énergisante / boisson alcoolisée. Nous avons alors travaillé notre boisson autour de 3 axes :
    - une formulation responsable sans caféine ou tout autre produit aux noms étranges et parfois inconnus qu’on trouve dans les boissons énergisantes.


    - Une marque et un packaging branchés qui correspondent aux nouvelles habitudes de consommation et aux nouvelles tendances en aromatisation.


    - Un degré d’alcoolémie à 12,9% similaire au champagne pour que  le consommateur, contrairement aux mélanges artisanaux, puisse contrôler sa consommation.
    Pour appuyer notre démarche nous avons été accompagnés par le CERVIA (centre régional de valorisation et d’innovation agroalimentaire) et subventionnés dans le cadre de l’ARAQ (l’Aide Régionale à l’Alimentation de Qualité) »
    .

     

    Alors pour que la consommation d’alcool reste un plaisir, préférez le coup de foudre à la crise cardiaque !

     

    En savoir plus sur GO ON et TRENDY DRINK: www.go-on.fr / www.trendydrink.com

     

    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.