Nora ANSELL-SALLES

mardi 28 mai 2013

MINE D'INFOS: ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE...

MINE D'INFOS: ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE...: à l’occasion de AG de REIMS – Qu’attendez-vous de l’AG de Reims ? Cette AG se situe en plein cœur d’une actualité sociale et ...

ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE BRICHET FAIT UN POINT D'ETAPE


à l’occasion de AG de REIMS

 
 
– Qu’attendez-vous de l’AG de Reims ?
Cette AG se situe en plein cœur d’une actualité sociale et mutualiste particulièrement dense, marquée notamment par l’ANI, et les problématiques qu’il soulève, ainsi que le travail engagé par les mutuelles de fonctionnaires concernant la gestion du RO.
Autant de dossiers à forts enjeux stratégiques pour la MGEFI pour qui ces derniers mois furent marqués par son adhésion à l’UMG ISTYA.
Nos travaux permettront également d’engager une réflexion sur l’adaptation de notre système contributif.
- Comment se concrétise votre adhésion à Istya ?
Nous sommes désormais totalement impliqués dans les instances de l’Union et participons à de nombreux travaux techniques et politiques : actuariat, systèmes d’information, solvabilité, gestion des contrats collectifs, ressources humaines, coordination politique, prévention, communication,…
Au rythme de ces derniers, Istya poursuit sa structuration et se révèle de plus en plus comme un acteur majeur de notre environnement mutualiste.
– C’est la première fois, qu’à l’occasion d’une table ronde consacrée aux évolutions de la Protection Sociale, la MGEFI invite à débattre un économiste de la santé …
… avec d’éminents représentants des familles mutualistes, fonctionnaire et interprofessionnelle.
La volonté de la MGEFI est de pouvoir ouvrir et enrichir sa réflexion sur les grands sujets d’actualité.
Même si le débat interne est nécessaire, il pourrait se révéler moins pertinent si nos analyses n’étaient jamais confrontées aux visions extérieures.
Pour nous c’est aussi une façon de conforter les connaissances de nos délégués.
– Quels sont les prochains défis pour la MGEFI ?
Le futur référencement, au premier chef d’entre eux, sans minorer les autres dossiers stratégiques !
A quelques « encablures » de la prochaine procédure nous travaillons, avec la Mutualité Fonction Publique et les Fédérations syndicales, pour proposer des adaptations règlementaires au dispositif existant.
En interne, nous poursuivons toutes les actions destinées à améliorer la qualité du service à l’adhérent.
Cette démarche constante à la MGEFI, devrait d’ailleurs tout prochainement être reconnue avec la certification de la Mutuelle pour sa relation adhérents.
 

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...: DONNEZ UN COUP DE POUCE vous aussi à la recherche de Laurence … en faisant naviguer cette « bouteille à la mer » sur votre réseau …. ...

Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...


DONNEZ UN COUP DE POUCE vous aussi à la recherche de Laurence… en faisant naviguer cette « bouteille à la mer » sur votre réseau….

 
 

Laurence recherche un poste de senior: en relations presse/publiques ; événementiel ; agence de communication, ou intégré, sur Paris.

 

Laurence a travaillé 6 ans aux "Galeries Lafayette" et + de 10 ans dans différentes agences.

 

Elle possède une vraie expertise: "Art de vivre", "Maison", "Grande consommation", et "Evénementiel".

 

Outre de solides compétences rédactionnelles et relationnelles. Elle est à la fois: dynamique, sérieuse, souple, curieuse d'esprit, et s'adapte avec aisance.

 

Très motivée, elle est prête à se lancer un nouveau challenge!

Détail d'importance elle est disponible à partir du 3 juin 2013.

 

Pour entrer en contact avec Laurence pour recevoir son CV, ou pour tout complément d’information, conseil etc. n'hésitez pas à la joindre en direct : tankere.laurence@neuf.fr


 

Si votre structure recherche un profil similaire au sien. Laurence peut bien sûr adresser son cv au service RH. Elle est à votre écoute pour une mise en relation, lettre de motivation adaptée, rdv téléphonique ou physique...

 

Un grand merci par avance, du coup de pouce donné à Laurence

 

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...:     BOUTEILLE A LA MER   Pour Laurence qui recherche un poste d’ Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . ...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...:     BOUTEILLE A LA MER   Pour Laurence qui recherche un poste d’ Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . ...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS: Coup de pouce   Christophe,   chdevos@free.fr   Passionné de communication recherche poste Rédacteur...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...: Sandrine, jeune graphiste,  à la recherche d'un poste de graphiste + option illustration , sur Paris et sa région . Un grand...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume ...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume ...:   Parution du 5e volume « Le captif de Raguse » dans le cycle Cinquecento (romans historiques) Venise, La Sérénissime, au...

C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume du cycle Cinquecento vient de paraître aux Editions de l'Astronome


 
Parution du 5e volume
« Le captif de Raguse »
dans le cycle Cinquecento (romans historiques)



Venise, La Sérénissime, au début du XVIe siècle

Comment comprendre que Laura Bagarotto, jeune femme noble de Padoue, arrivée à Venise en 1509, dépouillée de ses titres et de sa fortune pour trahison envers l'État, soit autorisée à se fiancer au Grand Chancelier de la République en 1514 ?

Un cycle de romans qui évoque les guerres d’Italie, qui fait revivre la Venise de la Renaissance, depuis ses bas-fonds, ses lieux de plaisir, la vie quotidienne de ses rues, jusqu’à l’intérieur de ses palais, de ses fêtes, des assemblées politiques... et qui évoque les peintres et les grandes figures de ce temps.

Des romans documentés, nourris de vérité historique, de vérité psychologique, de sensibilité à l’art et de poésie.

 5 titres parus / 1 titre à paraître


Chaque ouvrage comprend un cahier de 8 pages d’illustrations couleur

MINE D'INFOS: L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fa...

MINE D'INFOS: L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fa...:   Tribune de Michèle Rivasi publiée ce matin sur le site du Huffington Post :   http://www.huffingtonpost.fr/michele-rivasi/abblat...

L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fausse solution?


 
Tribune de Michèle Rivasi publiée ce matin sur le site du Huffington Post :

 
http://www.huffingtonpost.fr/michele-rivasi/abblation-agelina-jolie-fausse-solution_b_3342277.html

lundi 27 mai 2013

MINE D'INFOS: C'EST A LIRE:INFERNO le dernier Dan Brown se dévor...

MINE D'INFOS: C'EST A LIRE:INFERNO le dernier Dan Brown se dévor...: Inferno   de Dan Browon - Editions Jean-Claude Lattès   Dans ses best-sellers internationaux, Da Vinci Code , Anges et Démons et Le ...

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MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...: Sandrine, jeune graphiste,  à la recherche d'un poste de graphiste + option illustration , sur Paris et sa région . Un grand...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES   En 2008, Sanofi a créé le Labo...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS : UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES     En 2008, Sanofi a créé le Labo...

Contrefaçons de médicaments...



LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS

UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES
 
En 2008, Sanofi a créé le Laboratoire Central d’Analyse des Contrefaçons (LCAC) à Tours pour recevoir tous les  produits Sanofi nécessitant une vérification du caractère  contrefaisant. Son objectif est de détecter les faux  médicaments grâce à une équipe dédiée d’experts et à  des technologies de pointe. Ce laboratoire fait partie de  la division Développement Industriel et Innovation de  Sanofi et répond ainsi au besoin d’anticiper l’innovation dans un domaine en constante évolution.

» Qui adresse les produits au laboratoire ?

La plus grande part des produits reçus par le laboratoire provient de la surveillance des marchés effectuée par Sanofi : achats tests dans des pays à risque et sur des produits sensibles, aussi bien sur Internet qu’en pharmacie. L’autre partie provient des douanes, de la police, des autorités de santé et des professionnels de santé. Les patients peuvent également signaler un produit suspect aux filiales.


» Quelles sont les missions du laboratoire ?

»Procéder aux examens techniques des emballages et notices ainsi qu’aux analyses chimiques les plus poussées des échantillons suspects des produits les plus fréquemment contrefaits.


» Concevoir des méthodes d’analyse et les diffuser au plan mondial pour permettre à chaque site industriel du groupe, dans n’importe quelle partie du monde, d’examiner et d’analyser avec les mêmes critères tous les produits suspects correspondant à ceux fabriqués par le groupe.


» Centraliser les « cartes d’identité » correspondant aux contrefaçons répertoriées, au sein d’une base de données centrale et unique, seule capable d’effectuer les rapprochements entre les diverses contrefaçons.


Parmi les groupes pharmaceutiques, le LCAC représente une des formes les plus accomplies. Le processus mis en place est poussé très loin, notamment avec la constitution des cartes d’identité. Le LCAC contribue à la formation des douaniers du monde entier grâce au portail IPM (Interface Public Members) de l’OMD en l’alimentant en informations utiles aux douaniers pour détecter les contrefaçons des produits. Cet outil permet aux douaniers de disposer d’éléments concrets sur le terrain et de mieux détecter les contrefaçons des produits.



» Comment détecter un faux en quatre étapes ?


La traçabilité

Le premier niveau d’évaluation consiste à effectuer une recherche d’informations dans la base de données pour savoir si le produit a bien été fabriqué sur un site de Sanofi. Numéro de lot, date de fabrication, emballage, etc, tous les éléments sont analysés. Si des erreurs apparaissent, une action est enclenchée.


L’examen visuel minutieux

Le produit est détaillé « à la loupe » : polices d’impression,techniques d’impression des emballages, empreintes de gravure, pattes de collage sur les étuis... font l’objet de comparaisons basées sur l’imagerie.


L’analyse chimique générale

L’empreinte chimique est observée grâce à des techniques de spectroscopie qui permettent d’obtenir un premier niveau de lecture de la composition du produit et de le comparer aux caractéristiques des produits de référence, stockées dans les bases de données.


Ces trois étapes permettent, dans la grande majorité des cas, de dire rapidement s’il s’agit d’un médicament contrefait ou non.


L’analyse chimique précise

Si la contrefaçon est confirmée, la dernière étape est déclenchée. Elle consiste à poursuivre le niveau d’analyse chimique afin de savoir si le produit contient du principe actif, des composés toxiques... Cette composition plus fine est recherchée à travers des techniques de chromatographie, gazeuse ou liquide, qui permettent d’identifier des composés inconnus à l’état de trace ou en quantités plus importantes.



» Que faites-vous des informations collectées ?



Nathalie Tallet

Responsable

du LCAC



En l’espace de cinq ans, les effectifs du laboratoire ont plus que doublé, passant de cinq à douze collaborateurs. « Au-delà du volume d’activité, c’est surtout l’évolution du métier et le développement de nouvelles expertises qui sont importants. », estime Nathalie Tallet.


« En 2008, lors du démarrage de l’activité, nous étions plutôt sur des techniques standardisées de contrôle qualité. Depuis, nous avons développé des expertises plus spécifiques ». Celles-ci permettent par exemple d’être plus rapides, de développer des techniques pour les grands volumes... Ce n’est donc pas tant le volume que l’expertise qui nécessite d’avoir des compétences plus variées et des équipes plus structurées.


Environ 3 000 produits ont été analysés en 2012, pour 200 cas confirmés de produits falsifiés. Si le nombre des médicaments analysés ne connaît pas de bouleversement, il n’en est pas de même de la nature des produits analysés. Nathalie Tallet insiste sur la nécessité pour le laboratoire d’être à la pointe des techniques pour être en mesure de répondre aux enjeux de la diversité croissante des produits : « toutes les classes thérapeutiques sont concernées par la falsification. Le portefeuille de produits analysés devient très vaste ».


De nouvelles formes pharmaceutiques sont également touchées par la contrefaçon. Si, en 2008, les formes sèches étaient largement concernées, de plus en plus de produits injectables (traitant les cancers des pathologies lourdes) sont désormais touchés par ce fléau.


Depuis 2008, le Laboratoire a analysé environ 20 000 produits suspects.

MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans

MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans: L’Institut Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins En avril, l’Institut Curie a ouvert l’u...

Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans


L’Institut Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins

En avril, l’Institut Curie a ouvert l’unité Adolescents Jeunes Adultes (AJA), qui accueille désormais en hospitalisation les patients âgés de 15 à 25 ans. Cette nouvelle structure permet d’adapter la prise en charge du jeune patient à la spécificité de cette période de sa vie, marquée par la construction identitaire, la transformation du corps et l'acquisition de l'autonomie. Elle est l’aboutissement de plusieurs années de travail collaboratif entre les équipes qui traitent les adultes et celles  qui soignent les enfants.

Vous trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous un communiqué de presse relatif à la prise en charge des adolescents et jeunes adultes en cancérologie à l’Institut Curie.
http://curie.fr/sites/default/files/cp-cancers-adolescents-24mai2013.pdf




Retrouvez les communiqués et dossiers de presse dans espace presse sur http://www.curie.fr 

MINE D'INFOS: Enquête PACE : les Français face aux cancers Labor...

MINE D'INFOS: Enquête PACE : les Français face aux cancers Labor...: Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux...

Enquête PACE : les Français face aux cancers Laboratoires Lilly


Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux nouveaux traitements

Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.

En France, lesprincipaux résultats de l’enquête révèlent que 59% de la population sont satisfaits des avancées effectuées ces vingt dernières années dans la lutte contre le cancer¹. En revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à disposition des molécules innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées par l’ensemble des personnes auditées dans le monde.

Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ13% de la mortalité mondiale2. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2011 à 147 5003.

Une bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes

Les résultats de l’enquête PACE soulignent la bonne compréhension en oncologie de la population générale. A l’image des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce du diagnostic n’est plus synonyme de mort assurée (contre 65% des Américains)¹. Cet optimisme relatif est partagé par les patients (67%)¹ et les personnels soignants (56%)¹.

34% des Français estiment également que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En effet, le taux de décès attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de 14 % chez la femme, en vingt ans, en France¹.

Cependant, certains clichés persistent chez les Français interrogés :
            ®     
46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
            ®     
70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.

« Le niveau de connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe. On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque » explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est atteint d’un cancer » affirme-t-il.

« Au-delà de l’envie du malade d’en savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le niveau de connaissance sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information disponible » ajoute Bernard Delcour, Président de l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).

 

60% des Français pointent du doigt le délai d’attente trop long pour l’accessibilité des patients aux molécules innovantes¹

 

59% de la population estiment que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt dernières années¹ ; la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs satisfaite du financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue que ne partagent pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹ qui attendent davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé par une bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête PACE¹.

 

Autre point important soulevé par 60% de la population française¹ : le temps d’attente beaucoup trop long des patients pour accéder aux produits innovants. En effet, les patients sont 86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels soignants¹. Pour la recherche et le développement de nouveaux produits innovants, 77% des Français attendent plus de coopérations au niveau international¹. Et 3 personnes sur 4 souhaitent une meilleure collaboration entre les différents acteurs de la lutte contre le cancer¹, à savoir les pouvoirs publics, les ONG, les institutions académiques et les entreprises du médicament, afin d’accélérer les progrès en oncologie.

 

« Avant d’être autorisées sur le marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent autorisées bien avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris le dessus. On cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers et sanitaires. Une telle approche très réglementée est antinomique avec une démarche d’innovation. La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut viser une démarche plus globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie des malades, développer des approches projets qui garantissent un haut niveau de sécurité sanitaire tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais. Tout cela convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.

« Le public n’a pas conscience de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie et de la notion de « service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un produit est jugé à la fois sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le Professeur Philippe Rougier.

 

Optimiser l’accès des patients aux essais cliniques pour leur faire bénéficier des traitements innovants et faire avancer la recherche

 

Les résultats de l’enquête PACE mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les patients puissent participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la population générale¹ considèrent que les essais cliniques offrent aux patients l’opportunité de faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un traitement meilleur. Actuellement, seulement 15% des patients en France ont déjà participé à un essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir jamais abordé ce sujet avec leur médecin¹.

 

« Le rôle des médecins pour optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très important. Cela demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais de types différents : les essais cliniques peuvent être menés par  les industriels, en particulier pour évaluer les  nouveaux produits, ces essais ne pouvant inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le gouvernement à travers  les programmes hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés savantes » précise le Professeur Rougier.

Enfin, 89% de la population française ne verraient aucune objection à ce que les médecins et les chercheurs exploitent leurs données médicales pour améliorer la recherche en oncologie¹. Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider les autres malades¹.

 

« Le cancer n’attend pas, les malades non plus ! »

MINE D'INFOS: Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs...

MINE D'INFOS: Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs...:     Dans le cadre de sa contribution à la régulation par la qualité et l'efficience, la HAS mène des travaux d'évaluation ...

Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs sont-ils équivalents au regard de leur efficacité et de leur coût ?


 

 

Dans le cadre de sa contribution à la régulation par la qualité et l'efficience, la HAS mène des travaux d'évaluation médico-économique. Dans cette logique, la HAS a procédé à l'évaluation des différentes classes d'antihypertenseurs en s'appuyant notamment sur un modèle médico-économique innovant. L'évaluation menée par la HAS a révélé des disparités de prix non justifiées entre les différents traitements au regard de leurs bénéfices cliniques. A partir de cette expertise, la HAS aujourd'hui fournit aux décideurs des éléments pour conduire une harmonisation  du prix des différents traitements.

 

L'hypertension artérielle (HTA)* est un facteur de risque d'accidents cardiovasculaires et d'accidents vasculaires cérébraux. Elle concerne plus de 14 millions d'adultes en France avec 1,2 million de nouveaux cas par an. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, l'HTA aurait été responsable de 18% des décès dans les pays riches en 2004 et de 45% des décès d'origine cardiovasculaire. Il existe des traitements médicamenteux et non médicamenteux pour éviter ces événements. Le coût pour l'Assurance maladie des traitements médicamenteux de l'HTA a été estimé à plus de 2 milliards d'euros par an en France.

 

A la demande du Ministère de la santé, la Haute Autorité de Santé (HAS) a été chargée d'examiner les stratégies thérapeutiques médicamenteuses les plus efficientes dans la prise en charge de l'hypertension artérielle (HTA). Dans la suite des évaluations menées depuis 2008 comme la réévaluation des stents ou l'évaluation des statines, la HAS a mené une évaluation médico-économique, comparant les 5 principales classes d'antihypertenseurs sur le critère de l'efficience, qui met en regard des dimensions cliniques (efficacité, tolérance et persistance**) et des dimensions économiques (coûts du traitement médicamenteux et de la prise en charge des événements associés notamment cérébro et cardiovasculaires).

 

Les 5 classes médicamenteuses évaluées sont celles qui ont démontré leur efficacité en termes de morbi-mortalité cérébro et cardiovasculaire :

 

 

· les diurétiques thiazidiques (DIUth),

· les bêtabloquants (BB),

· les inhibiteurs calciques (ICa),

· les inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC),

MINE D'INFOS: C'est à lire : un livre bien utile pour décryper l...

MINE D'INFOS: C'est à lire : un livre bien utile pour décryper l...: « Décrypter les ÉTIQUETTES » de Rachel Frély – Editions Larousse Les étiquettes alimentaires à la loupe.   À l’heure où il est...

C'est à lire : un livre bien utile pour décryper les étiquettes ....


« Décrypter les ÉTIQUETTES » de Rachel Frély – Editions Larousse

Les étiquettes alimentaires à la loupe.

 

À l’heure où il est tant question de traçabilité, voici enfin un guide complet

pour décoder facilement les étiquettes des produits alimentaires

et connaître toutes les astuces pour bien choisir ses produits.

 

 

Dans cet ouvrage unique en son genre :

 

= La signification précise de tous les termes (nectar de fruit, label rouge, gélifiant E406, sans sucre ajouté, à l’ancienne, allégé, source de fibres, produit de l’agriculture biologique…).

= Les codes, les logos, les mentions légales ou facultatives et leur signification.

= Les astuces pour faire les bons choix (différencier le bon gras du mauvais, évaluer la teneur réelle en sel ou en sucre d’un produit, repérer les ingrédients clés, ne pas se laisser berner par des mentions alléchantes mais sans valeur…).

 

Avec de nombreux exemples d’étiquettes passées au crible pour 16 grandes catégories de produits alimentaires (produits laitiers, jus de fruits, conserves, viandes…).

L’outil indispensable pour devenir un consommateur averti !

Rachel Frély est journaliste et auteure. Spécialisée dans les domaines de la santé, du bio et des plantes médicinales,elle a écrit plus de 20 ouvrages dans ces domaines. Elle écrit également pour plusieurs magazines.