Nora ANSELL-SALLES

mardi 26 février 2013

FEDERATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU



 




« Touchant  directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être « cause d’intérêt national ». Il relève plus que jamais de la vocation de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ».


Arnaud Brunel, Président de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemble 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau**.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau a pour vocation de :

Permettre au public de mieux comprendre le rôle du cerveau, son fonctionnement et ses maladies et informer des dernières avancées de la recherche en neurosciences.

Aider les chercheurs à mieux connaître le cerveau, son fonctionnement et ses maladies en contribuant financièrement à leurs travaux.

Militer pour la mise en place d’une vraie politique de santé centrée sur les maladies du cerveau.

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteur intellectuel et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…

parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau alerte l’opinion à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 sur le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ! ».

« Pour que les chercheurs travaillent et trouvent, il leur faut des moyens. C’est pour cela que la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau collecte tout au long de l’année et pendant la Semaine du cerveau sous le label « Neurodon ». Elle finance, en complément des associations membres, la recherche sur le cerveau. Celle-ci devrait être aujourd’hui la priorité pour préserver la santé de tous les citoyens ».

Professeur André Nieoullon, Président du conseil scientifique de

la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

*La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union Nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC (accidents vasculaires cérébraux) / Huntington France / La Fondation Motrice (paralysie cérébrale)).

**La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau se bat pour vaincre les maladies du cerveau. Toutes sans exception, de la plus répandue à la plus rare.

Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, la Sclérose en plaques, l’AVC, l’Atrophie multisystématisée, la dystonie, la Chorée de Huntington, les tumeurs cérébrales, la paralysie cérébrale, la Sclérose Latérale Amyotrophique) et les maladies psychiques et psychiatriques (anxiété, dépression, addictions, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs… et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives). Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.



Alerte de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La décennie à venir doit être celle du cerveau !

1/ Les maladies du cerveau sont en augmentation constante…

Plus d’1 Français sur 10

souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler

entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050*.

2/ Les maladies du cerveau sont des maladies violentes et dramatiques…

Le cerveau est l’organe clé de notre corps. Il nous permet de penser, de bouger, d’avoir des émotions…

Tout le reste de notre corps dépend de lui.

3/ Les maladies du cerveau sont un fléau social …

Bombes à retardement, les maladies du cerveau, sont pour la plupart des maladies chroniques, les patients doivent être soignés pendant 20 à 30 ans… leur coût est considérable pour la société.

Les
enjeux économiques sont à la mesure de la fréquence de ces maladies, du handicap associé et des dépenses hospitalières engendrées.


4/ La recherche sur les maladies du cerveau ne bénéficie pas

des fonds publics qu’elle mérite…

Les fonds publics alloués à la recherche sur le cancer sont deux fois plus importants que ceux attribués à la recherche sur les maladies du cerveau, alors que ces dernières coûtent à la société environ deux fois plus !**

5/ Comprendre les maladies du cerveau est un défi majeur.

Perte progressive et insidieuse de la conscience, perte de motricité, état de dépendance physique et morale, autonomie ébranlée…es maladies du cerveau sont des maladies pour lesquelles seule la recherche peut prévenir, freiner et enfin stopper l’évolution.

La recherche sur les maladies du cerveau est un enjeu à l’échelle mondiale pour le XXI
ème siècle. Les traitements qui, jusqu’à présent, n’étaient que symptomatiques et palliatifs devront être plus efficaces, préventifs et curatifs. Pour cela, il faut percer à jour le cerveau et son « code neural » !


Parce que la recherche sur le cerveau est la clé de notre futur, parce qu’il est impératif de s’organiser pour assurer un mieux-être aux patients et familles concernés.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau fait front commun et revendique la mise en place d’une vraie politique de santé sur les maladies du cerveau

Maladies du cerveau : donnez avant qu’elles ne vous rattrapent !

www.frc.asso.fr

Pour donner cliquer neurodon

D'un blog à l'autre : Miroir social et Mine d'Infos


"Mine d'Infos" passe la barre des 47 000 visites

févr. 21

Ouvert en septembre dernier pour accompagner les veilles hebdomaires MGEFI, le blog "Mine d'infos" vient de franchir la barre des 47 000 visites.

A ce jour 1 521 informations ont étés publiées sur le blog.

le hit parade des pages les plus vues de la semaine :


24 oct. 2012


15 févr. 2013


18 févr. 2013, 1 commentaire


19 févr. 2013


18 févr. 2013

montre que le but de départ du blog, qui était de mettre en ligneen temps réel et régulièrement des informations liées à la MGEFI et au groupe Istya, est atteint. En effet depuis la création du blog les informations concernant la Mutuelle des Agents des Impôts et le groupe Istya se classent à la 1ère place en terme de pages les plus vues.

Le second objectif qui était de mettre à disposition des personnes qui ne reçoivent pas les veilles MGEFI une partie des contenus de façon simple et informelle aussi.

UN GRAND MERCI AUX LECTEURS DE MIROIR SOCIAL

Les statistiques concernant les sources du trafic :











montrent que www.miroirsocial.com arrive en 3ème position.

Dans les prochains jours Mine d'Infos qui annonce déjà les cafés Miroir, publira occasionnellement, avec l'accord préalable de Miroir social,des informations en libres accès sur Miroir avec à chaque fois, bien sûr, le lien vers le portail de Miroir social.

ENQUETE DE LECTORAT : si vous avez 5 minutes devant vous....

Vos réponses aux 10 questions de ce court questionnaire de satisfaction en ligne permettront d’améliorer le blog:


http://pressentinelle2.blogspot.fr/


NDLR : MGEFI et Miroir Sociale

À la MGEFI, les salariés sont les acteurs du changement ...

www.ressources-solidaires.org › ... › Miroir socialEn cachePartager
Le résultat de recherche a été partagé sur Google+. Voir le post
16 mars 2012 – Le 6 mars 2012, la MGEFI a parrainé un « café social» organisé par le Miroir Social sur le thème de la capacité d'adaptation des entreprises ...
 

MINE D'INFOS: A propos des complémentaires santé

MINE D'INFOS: A propos des complémentaires santé:   Bataille acharnée sur la complémentaire santé : liberté ou solidarité ? L'accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvie...

MINE D'INFOS: La Cour de cassation reprend la Poste

MINE D'INFOS: La Cour de cassation reprend la Poste: La Cour de Cassation rappelle à La Poste le principe du « à travail égal, salaire égal » Les salariés de La Poste sont plus de 100 00...

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin: Médicament : sûr que c'est sûr ? L'Assemblée Nationale débat cet après-midi de la sécurité sanitaire du médicament. En pl...

LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin


Médicament : sûr que c'est sûr ?




L'Assemblée Nationale débat cet après-midi de la sécurité sanitaire du médicament.

En pleine mélasse Mediatorienne qui voit les indemnisations « rapides » des victimes s'engluer chaque jour à l'épreuve de la réalité des préjudices déclarés, au cœur des cérémonies de spiritisme célébrées par les intégristes anti-labos et au centre de la polémique contraceptive et générationnelle, les discussions s'annoncent aussi chaudes… que stériles.

Sans être oiseau de mauvais augure, on est déjà à peu près certain qu'il ne sortira rien de ce nouveau débat de Chambre que des échanges assassins sur les responsabilités respectives des majorités successives.

De 15h00 jusqu'à plus soif, on va se balancer à la face les scandales sanitaires que ni les uns ni les autres n'auront pu éviter ou même vu venir, malgré les changements de nom et de statut des agences chargées de garantir la qualité des produits de santé, malgré la chasse aux liens d'intérêts entre experts médicaux et industrie pharmaceutique.

Pas folle, c'est cette même industrie pharmaceutique – pourtant conspuée par tous les bords politiques – qui a pris les devants dans une lettre adressée hier aux députés et formule des propositions que les élus se seraient grandis à discuter aujourd'hui sans son aide.

Recherche, épidémiologie et surveillance post-AMM forment les 3 domaines de mesures que les entreprises du médicament ont soumis aux députés. Les observateurs attentifs de l'action des lobbyistes ne manqueront pas de remonter aux sources d'inspiration parlementaire à l'issue du débat.

Jacques DRAUSSIN

La Cour de cassation reprend la Poste



Les salariés de La Poste sont plus de 100 000 à pouvoir exiger le même complément poste que leurs collègues fonctionnaires (...)

A propos des complémentaires santé




L'accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013 avait supprimé les « clauses de désignation » qui permettent aux partenaires sociaux d'une branche de désigner un opérateur de complémentaire santé unique pour toutes les entreprises du champ. Sous la pression du lobby assurantiel, les entreprises avaient gagné la liberté de choix de leur assureur. Mais, sous l'influence de FO et de l'UPA, l'avant-projet de loi transposant l'accord rétablit la possibilité de ces « clauses de désignation ». Ce sont les principes de liberté et de solidarité qui s’affrontent (...)

lundi 25 février 2013

LIBRES PROPOS : signés Julien Blanchet Président de la FAGE


Lettre Ouverte de la FAGE (Fédération des Associations Générales Étudiantes) destinée à l'ensemble des présidents d'organisations étudiantes.


Cette lettre a vocation à appeler ces derniers à prendre conjointement leur responsabilité pour la étudiante, notamment en se joignant à la demande de la FAGE de mettre en place d'une commission d'enquête interministérielle. 

La FAGE très attachée au régime de sécurité sociale étudiante souhaite par ce biais mettre en lumière les difficultés, tant gestionnaires que financières des mutuelles étudiantes afin trouver une solution pérenne pour la santé des étudiants.

 

A Paris, le 25 février 2013

 


 Les récentes actualités n’ont pas ménagé le régime étudiant de sécurité sociale. Ces charges ne sont pas les premières, et c’est par un perpétuel combat que nous tous, membres d’organisations représentatives des étudiants, avons pu préserver ce régime spécifique. Ce combat, lors des moments les plus difficiles -comme la proposition de diminution de la remise de gestion, la remise en question de l’exonération de la taxe sur les contrats d’assurance- nous l’avons mené ensemble, faisant passer avant tout intérêt, celui des étudiants. Nous avions alors pris avec courage nos responsabilités de représentants des étudiants de France.

 Si l’histoire de ce régime a parfois été rugueuse, passionnelle et délicate, c’est aujourd’hui la survie même d’une prise en compte des spécificités de santé des étudiants qui est menacée. Menacée, car remise en question par de nombreuses polémiques sur la gestion qu’en font les mutuelles étudiantes. Menacée, car largement remise en question par les étudiants eux-mêmes, notamment sur la qualité du service.

 La FAGE s’est toujours érigée en soutien au régime étudiant de sécurité sociale. Ce dernier doit répondre aux besoins spécifiques des étudiants, en termes de prévention, de service et d’accompagnement. La FAGE porte de manière intrinsèque et historique l’héritage de la création des Oeuvres et l’implication dans les problématiques de santé des étudiants. Créatrices des Oeuvres, engagées dans les prémices de l’avènement du régime de sécurité sociale étudiante et de la mutualité étudiante, les associations étudiantes ne peuvent accepter que pour des manquements de gestion, structurels ou contextuels, cette prise en compte spécifique périclite.

 Cependant, force est de constater qu’aujourd’hui, les organismes de gestion du régime spécifique ne sont plus en mesure d’assurer leurs missions avec l’efficience que les étudiants sont en droit d’attendre.

Nous sommes tous responsables devant les étudiants que nous représentons. Aussi, si au moment le plus critique pour le devenir de notre régime spécifique, nous ne prenons pas, chacun, le courage d’interroger ces organes et leur gestion, nous porterons tous -et de manière indéniable- le poids de l’effondrement de cet acquis.

 En tant que garants de la santé des étudiants, en tant que défenseurs de leurs intérêts matériels et moraux, nous ne pouvons fermer les yeux sur les entraves qui se posent au bon fonctionnement du régime étudiant. Nous devons savoir et être en mesure d’expliquer avec transparence la manière dont est utilisé l’argent de nos pairs.

 La FAGE et son réseau invitent donc toutes les organisations étudiantes représentatives à prendre leurs responsabilités, dans l’intérêt des étudiants de France, et à s’associer à sa demande de déclenchement d’une commission d’enquête interministérielle en lien avec l’Inspection Générale des Affaires Sociales. De même, c’est collectivement que nous devons faire appel à l’Autorité de Contrôle des Organismes de Sécurité Sociale et à l’Autorité de Contrôle des Assurances et des Mutuelles, qui ont fait les preuves par le passé de leur clairvoyance sur le dossier des organismes de gestion de la sécurité sociale étudiante.

Alors que certains voient un acharnement médiatique à l’encontre des mutuelles étudiantes, il est urgent de faire la lumière sur les pratiques réelles et la gouvernance de ces dernières. Cette urgence est de mise puisque d’après nos informations les rapports de la Cour des Comptes sur les organismes gestionnaires du régime étudiant, prévus pour la fin du mois de mars, ne seront pas plus flatteurs que l’enquête réalisée par l’UFC-Que Choisir.

 Face aux difficultés que rencontrent les mutuelles étudiantes, nous nous devons de prendre cette responsabilité collective, en ayant le courage d’interroger, sans a priori et en toute indépendance, ce système et la gestion qui en est faite. Ouvrir le champ des possibles afin de garantir une prise en compte des spécificités sanitaires étudiantes, avec pour seul objectif la défense de nos pairs est indispensable. Pour cela, nous ne devons exclure aucune réponse possible quant à l’architecture du système de protection sociale étudiante et à la gouvernance des différents acteurs gestionnaires.

 Espérant pouvoir compter sur vous et sur votre sens des responsabilités pour ne défendre qu’un seul intérêt, celui de l’ensemble des étudiants.

 

Julien Blanchet

Président de la FAGE

 

 

Courrier adressé à :

Emmanuel ZEMMOUR - Président de l’UNEF

Cindy PETRIEUX - Présidente de la Cé

Antoine DIERS - Président de l’UNI-M-et

Steven DA CRUZ - Président du PDE

Copie à :

Mme Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires Sociales et de la Santé,

Mme Geneviève FIORASO, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche

M Benoît HAMON, Ministre délégué à l’Economie Sociale et Solidaire et à la Consommation,

Mme la Sénatrice Catherine PROCACCIA

M le Sénateur Ronan KERDRAON

Mme Vanessa FAVARO, Présidente de la LMDE

M Cédric CHEVALIER, Président du réseau emeVia

Semaine de la continence : le périnée de l'enfance au grand âge (anatomie, recherche, sport, etc.)


Le périnée est une entité anatomique méconnue qui joue un rôle clé dans la continence comme dans la sexualité
. Grâce à la recherche, le périnée est de mieux en mieux connu.


La prochaine Semaine de la Continence Urinaire, organisée par l'Association Française d'Urologie, du 8 au 13 avril prochain,
aura pour objectif de faire le point sur la connaissance de cette région anatomique au rôle crucial, chez la femme, l'homme et l'enfant, et surtout de donner des clés pour l'entretenir tout au long de la vie.


La conférence de presse de présentation, le 22 mars prochain, à 11 heures
(lire l'invitation jointe), sera l'occasion de rencontrer un urologue chercheur en anatomie, des urologues et une kinésithérapeute, spécialistes de la continence. Elle sera aussi l'occasion de présenter une récente étude évaluant le retentissement de la course sur la continence des marathoniennes.
 

14e édition du Colloque des Jeunes Chercheurs

 



Organisé par Vaincre la Mucoviscidose

le 26 février à l'institut Pasteur




Les forces vives de la recherche sur la mucoviscidose se rassembleront à l'Institut Pasteur à Paris lors du 14

e Colloque des Jeunes Chercheurs.
Un événement fédérateur pour les 180 chercheurs, jeunes chercheurs et responsables de laboratoires participant, et un rendez-vous incontournable pour la communauté scientifique autour de la maladie.


Une journée pour dynamiser la recherche sur la mucoviscidose




Vaincre la Mucoviscidose a créé ce Colloque unique

en France pour permettre aux différents acteurs scientifiques de faire converger leur expertise autour de la mucoviscidose et de favoriser les collaborations.

Cette journée est donc l'occasion pour les masters, doctorants et post-doctorants travaillant sur un sujet relatif à la mucoviscidose de présenter leurs travaux.

Jean Lafond, Président de Vaincre la Mucoviscidose, ouvrira ce colloque et accueillera les 180 participants pour une journée d'échanges autour de séances plénières et de sessions dédiées à la présentation des posters des jeunes chercheurs.

En fin de journée, les membres du Conseil Scientifique attribueront le prix du meilleur poster et les prix des deux meilleures présentations orales.



Un colloque scientifique dans la logique de la stratégie pluridisciplinaire de l'association




La majorité des stratégies de recherche fondamentale et clinique dans le cadre de la mucoviscidose seront abordées (cf. programme de la journée)
·

Traitement de l'origine de la maladie
·

Traitement de l'infection
·

Travaux en Biologie Cellulaire / Immunologie


Vaincre la Mucoviscidose s'investit sur l'ensemble de ces stratégies notamment en finançant 70 projets de recherche sélectionnés par son Conseil Scientifique, à hauteur de 2,7 millions d'euros en 2013.




Une soirée d'échanges aura lieu



le 25 février, la veille du Colloque des Jeunes Chercheurs, au siège de l'association (181 rue Tolbiac - 75013 Paris).

Dès 19h, Vaincre la Mucoviscidose accueillera autour d'un cocktail dînatoire les chercheurs, patients et élus de l'association pour un échange transversal.



Vaincre la Mucoviscidose soutient les jeunes chercheurs également au niveau européen




Forte de cette dynamique nationale, l'association a initié en 2007 le Colloque européen des jeunes chercheurs, l'European Young Investigator Meeting. Le Colloque européen fera suite au Colloque français, à l'Institut Pasteur du 27 février au 1

er mars 2013 en collaboration avec cinq autres associations européennes et la Société européenne de mucoviscidose (ECFS).



A propos de la maladie



La mucoviscidose est une maladie rare, génétique et mortelle qui touche principalement les voies respiratoires et le système digestif. En France, 200 enfants naissent chaque année avec cette maladie et 2 millions de personnes sont porteurs sains du gène de la mucoviscidose sans le savoir.




Vaincre la Mucoviscidose est une association reconnue d'utilité publique, agréée par le Comité de la charte du don en confiance et habilitée à recevoir des legs, des donations et des assurances-vie.



Actualisation des données sur les contraceptifs oraux combinés (COC)


L’ANSM met à jour son dossier « Pilules estroprogestatives et risque thromboembolique veineux », disponible sur le site Internet de l’Agence. Elle présente l’avancement du plan d’actions sur les contraceptifs oraux combinés (COC), les données de pharmacovigilance recueillies entre le 4 et le 31 janvier 2013 et l’évolution de l’utilisation des COC.

 

Dans le cadre de son plan d’actions, l’ANSM s’engage à publier régulièrement les nouvelles données disponibles sur les risques et l’évolution des pratiques liées à l’utilisation des COC en France.

Actualisation des signalements de vigilance

 

La publication au 4 janvier 2013 des effets indésirables déclarés dans la base nationale de pharmacovigilance depuis 1985, avait fait apparaître un total de 567 notifications et 13 cas de décès par événements thromboemboliques veineux, rapportés chez des femmes recevant une contraception orale combinée. Ces données ne reflètent pas la fréquence de survenue de ces événements en vie réelle car le système de pharmacovigilance est un système d’alerte et non pas un système d’observation de la santé de la population. La pharmaco-épidémiologie permet en la matière une meilleure approche du risque. Ces deux outils sont complémentaires.

 

Entre le 4 et le 31 janvier 2013, période durant laquelle le risque des pilules contraceptives a été fortement médiatisé, 36 nouveaux cas (31 thromboses veineuses et 5 thromboses artérielles) dont 10 étaient survenus il y a plus de 3 mois ainsi que 2 décès, survenus en 1999 et 2012, ont été enregistrés dans la base nationale de pharmacovigilance.

L’ANSM va publier régulièrement le bilan des notifications d’événements thrombotiques veineux et artériels à partir des données de la base nationale de pharmacovigilance.

 

Afin de mesurer les conséquences sanitaires sur la population française des pilules des différentes générations, l’ANSM mène également des études pharmaco-épidémiologiques en « vie réelle », dont les étapes seront prochainement communiquées. Ces études reposent sur la base SNIIRAM (source CNAMTS) et du PMSI.

 

 

Evolution de l’utilisation des COC

 

L’utilisation des COC a rapidement évolué depuis la fin de l’année 2012. Ces changements font suite à la recommandation de l’ANSM auprès des prescripteurs de privilégier les pilules de 2ème génération et à la mise en œuvre du plan d’actions de l’Agence.

 

La vente des COC de 3ème et 4ème générations a diminué d’environ 25 % quand on la compare à la même période de l’année précédente. Cette baisse a été simultanément accompagnée d’une hausse de la vente des COC de 2ème génération (de l’ordre de 16 %).

 

Ce mouvement de report vers les COC de 2ème génération s’est donc largement amorcé et devrait se poursuivre dans les semaines et mois à venir. Cependant, ce report n’est pas total, une baisse de l’ordre de 3,5% des ventes de COC toutes générations confondues ayant été observée. Les données du Conseil national de l’ordre des pharmaciens (CNOP) suggèrent que ce report pourrait être différent selon l’âge des femmes avec un moindre report chez les jeunes filles.

Ces données vont continuer à être surveillées avec attention par l’ANSM. Leur mise à jour périodique vise à éclairer de façon rétrospective la réalité de la situation en France et à mesurer de façon prospective l’impact des mesures déjà prises pour prévenir les risques.

 

L’ANSM rappelle qu’il existe une palette importante de moyens de contraception et que les professionnels de santé restent les meilleurs interlocuteurs pour informer et aider les femmes à choisir le moyen de contraception qui leur est le plus adapté.

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