Nora ANSELL-SALLES

mercredi 13 février 2013

MINE D'INFOS: Si l'info sécu vous intéresse...

MINE D'INFOS: Si l'info sécu vous intéresse...: Dossier pharmaceutique : deux millions de consultations par semaine et un nouvel hébergeur 05/02/13 - Lors d'une conférence de presse...

Si l'info sécu vous intéresse...


Dossier pharmaceutique : deux millions de consultations par semaine et un nouvel hébergeur


05/02/13 - Lors d'une conférence de presse le 31 janvier 2013, relayée par une dépêche TIC Santé, la présidente de l'Ordre national des pharmaciens a tiré un bilan positif du dossier pharmaceutique (DP), notant que 97 % des officines y sont maintenant raccordées et ont créé, au 28 janvier, plus de 24 millions de dossiers.

 Mieux, le DP est consulté en moyenne deux millions de fois par semaine. 663 établissements de santé se sont portés volontaires pour mettre en place le système au sein de leur pharmacie à usage intérieur (PUI), sur 2 600 au total en France. 29 conventions ont été signées et quatre établissements sont déjà installés. Le DP va changer d'hébergeur en 2013. Avant l'été, Docapost (filiale de La Poste) remplacera Santeos. Concernant les fonctionnalités, une étude pilote débutera en janvier sur la mise en place d'un système "d'information remontante", pendant de "l'information descendante" déjà en place et qui permet à l'Ordre de communiquer rapidement auprès des pharmaciens toute information sur des alertes sanitaires (dernièrement utilisée pour Diane 35 et de ses génériques). Le DP va se tourner vers l'évaluation avec, à la mi-mars, un appel à candidatures lancé par l'Ordre pour faire des études selon trois axes : les pratiques professionnelles des pharmaciens, ce qui a changé socialement entre professionnels de santé et l'impact médico-économique sur l'organisation des soins. Enfin, la présidente de l'Ordre a souligné l'intérêt des données anonymes relatives au médicament issues du DP dans un contexte de suivi sanitaire. La loi permet à trois acteurs, le ministère de la Santé, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et l'Institut national de veille sanitaire (InVs) d'y accéder. Elle a indiqué à ce titre que l'Ordre avait transmis des données sur les pilules sans vouloir préciser lesquelles.
> Dépêche TIC Santé

Transparence, transparence, transparence !


08/02/13 - Décidément, la transparence dans le domaine de la santé et de ses technologies semble devenu un concept très en vogue. Rappelons d'abord l'appel à la transparence sur les données de santé au service de la santé publique (voir ma Lettre n° 538), dont le site dédié vient d'être mis à jour avec entre autres une intervention de la ministre Fleur Pellerin.

 N'oublions pas les déclarations du LEEM, qui dans le cadre de la loi Bertrand (le "Sunshine Act" à la française) se déclare désormais favorable à la transparence des pratiques. La fédération LESSIS n'est pas en reste, avec la poursuite de son "opération transparence" sur les pratiques dans le domaine des systèmes d'information hospitaliers. Mais c'est une autre transparence que viennent de pointer plusieurs média, à commencer par le site Actusoins qui a mis en lumière les fuites de dossiers nominatifs des patients de plusieurs hôpitaux français, ouverts à tous les vents et disponibles par une simple requête avec Google. Cet épisode éclaire le fossé croissant qui se creuse entre des mesures de sécurité toujours plus lourdes er contraignantes imposées par les services de l'Etat dans le domaine des données de santé et la pratique des utilisateurs, notamment hospitaliers, qui ridiculisent l'arsenal technique et réglementaire.
> Le site sur la transparence des données de santé
> "2013, An I de la transparence"
> "Les données médicales confidentielles accessibles sur le web" - ActuSoins 8 février 2013
> Blog du Monde Big Browser 5 février 2013

 

Les sites français de vente en ligne de médicaments sans ordonnance fleurissent dans la confusion


06/02/13 - Depuis le 31 décembre dernier, la vente en ligne de médicaments sans ordonnance est possible en France, depuis la publication du décret d'application de l'ordonnance du 19 décembre qui transposait les dispositions européennes.

Les Echos font un point de situation sur le Web. "Un peu plus d'un mois plus tard, un certain désordre règne dans le paysage de la vente en ligne". Ainsi, "la création de nouveaux sites n'est en principe pas autorisée avant le mois d'avril afin de laisser aux ARS et au Conseil de l'Ordre chargés de les homologuer le temps de s'organiser", rappelle le responsable de LaSante.net, l'un des deux sites d'officines qui avaient devancé le décret. Mais voilà, "de nombreux sites ont fleuri depuis le début de l'année, sans la moindre autorisation", ne respectant pas la réglementation. Les infractions constatées "ne sont d'ailleurs pas toujours délibérées car les textes ne brillent pas par leur simplicité", constate le quotidien qui souligne que "la France est le seul pays européen à limiter le commerce en ligne aux seuls médicaments en accès direct (situés devant le comptoir) et non à l'ensemble des produits sans prescription. Avec de surcroît des critères incompréhensibles".
De son côté, Michel-Edouard Leclerc regarde de près la vente en ligne de médicaments. Le distributeur estime que "la vente sur Internet se soldera par une baisse moyenne de 20 à 30 % à terme. Le problème, avec le système actuel, c'est que les pharmacies qui vont se lancer sur le Web n'auront pas les moyens logistiques d'une livraison nationale"...
> L'article des Echos du 5 février 2013

Sources :

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

MINE D'INFOS: Le chiffre :

MINE D'INFOS: Le chiffre :: 2,15 jours C’est le délai moyen pris par les affaires juridiques pour répondre aux demandes internes de la MGEFI. Sources : Généra...

Le chiffre :


2,15 jours

C’est le délai moyen pris par les affaires juridiques pour répondre aux demandes internes de la MGEFI.

Sources : Génération MGEFI N° 52 de Février 2013

mardi 12 février 2013

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: MUT ECHO (FEVRIER 2013 )   Titre : Comprendre l'impact de l'environnement sur la santé

La MGEFI dans la presse


MUT ECHO (FEVRIER 2013 )

 

Titre : Comprendre l'impact de l'environnement sur la santé

MINE D'INFOS: Communauté MGEFI

MINE D'INFOS: Communauté MGEFI:   Je souhaite créer une   « Communauté MGEFI » sur twitter et Vidéo Pour partager Actus et Infos Et élargir « encor...

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MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Deux articles   à lire dans le N° JAN/FEV 2013 DE   Valeurs Mutualistes de   Titre : 2358 centres d'audioprothèses pour...

MINE D'INFOS: Fédération pour la recherche sur le cerveau FRCneu...

MINE D'INFOS: Fédération pour la recherche sur le cerveau FRCneu...: La décennie à venir doit être celle du cerveau !   Alerte de la FRCneurodon*   Plus d’1 personne sur 10 souffre d’une maladie...

Fédération pour la recherche sur le cerveau FRCneurodon


La décennie à venir doit être celle du cerveau !  Alerte de la FRCneurodon*

 

Plus d’1 personne sur 10 souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050…

 

« Touchant directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être "cause d’intérêt national". Il relève plus que jamais de la vocation de la FRCneurodon de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ». Arnaud Brunel, Président de la FRCneurodon

 

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteurs, intellectuels et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…,

 

 

 Parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme…,

 

La Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRCneurodon), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemblant 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau** lance une alerte à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 avec le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ».

 

La conférence de presse est organisée le mercredi 20 février 2013 à 9h00

à LCL -  19, boulevard des Italiens 75002 Paris

 

La FRCneurodon présentera lors de la conférence de presse ses objectifs et ses missions 2013-2015 et les fondements de son alerte.

 

Déroulé de la conférence : 

 

Introduction par le Président de la FRCneurodon, Monsieur Arnaud Brunel

Présentation de la FRCneurodon, lecture du alerte

 

Etat des lieux sur les maladies du cerveau et leur recherche en 2013 : Incidence, conséquences sociales et économiques, fonds alloués…, par André Nieoullon, Président du Conseil Scientifique de la FRCneurodon, Professeur à l’Institut de Biologie du Développement de Marseille-Luminy, CNRS-Université de la Méditerranée.

 

Comprendre les maladies du cerveau : les défis de la recherche par Catherine Lubetzki, vice-Présidente du Conseil scientifique de la FRCneurodon, Professeur en Neurologie, praticien hospitalier à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière

 

Information et sensibilisation du public : collecte, exercices en ligne, exposition… par Elisabeth Ilinski, Directeur délégué de la FRCneurodon

 

Conclusion par Arnaud Brunel

 

*La FRCneurodon rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC / Huntington France / La Fondation Motrice).

 

**Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, démences et autres maladies neuro-dégénératives, épilepsie, sclérose en plaques, accidents vasculaires cérébraux), les maladies psychiques (anxiété, dépression, addiction, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs) et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives).Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.

 

 

Inscription presse :


 

 

La MGEFI dans la presse

Deux articles  à lire dans le N° JAN/FEV 2013 DE  Valeurs Mutualistes de
 
Titre : 2358 centres d'audioprothèses pour le meilleur choix auditif
 
Titre : La garantie du meilleur choix optique !
 
 

La Mutualité Française salue la mise en œuvre d’une stratégie nationale de santé ambitieuse et inscrite dans la durée.


 
 La Mutualité Française salue les 10 orientations définies par le gouvernement. Celles-ci prennent en compte la globalité des besoins des patients et l’association nécessaire de l’ensemble des acteurs concernés pour la mise en place à moyen terme d’un réel parcours de soins.
 
L’intégration de toutes les dimensions de la santé, la prévention, les soins de suite, les enjeux sanitaires et médico-sociaux ainsi que ceux relatifs à la recherche « va dans le bon sens » déclare Etienne CANIARD.
 
Le Président de la Mutualité Française se félicite également de la cohérence du plan proposé par le gouvernement avec les propositions faites par la Mutualité au moment de son congrès de Nice en octobre 2012, en particulier la généralisation de la complémentaire santé, indispensable à l’accès aux soins, annoncée par le Président de la République.
 
La Mutualité Française prendra toute sa place dans ce chantier qui reprend l’essentiel des orientations qu’elle a développées lors de son dernier congrès et attend désormais le démarrage rapide des travaux.
 
 
À propos de la Mutualité Française
 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.
 
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
 
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.
 
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr
 
NDLR : MGEFI et Etienne Caniard
 
Le président de la FNMF a été le second président après Jean-Pierre Davant de la MAI Mutuelle des Agents des Impôts  l’une des mutuelles fondatrice de la MGEFI .

Une nouvelle souris ergonomique


URBAN WIRELESS ERGO MOUSE est une souris ergonomique verticale et sans fil. Elle permet d’adopter une position naturelle qui préserve des maux, désormais très répandus, de la main, du poignet et du bras !

  
 Jamais sans ma souris !

 
On ne peut actuellement plus se passer d’ordinateur et de cet outil de travail si indispensable : la souris !

 
De nos jours, nous sommes tous over connectés ! Il faut dire que la plupart d’entre nous passe toute la journée au bureau derrière un écran à cliquer sans cesse, alors forcément cela fatigue les mains et les poignets !

 
Et une fois de retour at home, nous sollicitons encore nos poignets fatigués pour naviguer sur le web, regarder des photos…  Bref, on ne s’arrête jamais de cliquer ! La souris et vous, c’est une grande histoire d’amour mais qui peut mal finir…

 
En effet, les souris ordinaires font adopter une posture qui n’est clairement pas naturelle. A la longue, cette posture contre nature peut causer de véritables souffrances connues sous le nom de TMS (troubles musculo-squelettiques).

 

Il faut savoir que les TMS représentent l’une des questions les plus préoccupantes en termes de santé au travail car ils augmentent constamment.
 

En France, pour l’année 2011, on a recensé 43 000 cas de TMS, c’est près de 10% de plus que pour 2010. Le syndrome du canal carpien représente quant à lui l’une des premières causes d’intervention chirurgicale avec de 80 000 à 100 000 opérations par an chez les 25-59 ans ! Personne n’est à l’abri, alors avant que ce ne soit votre tour : réagissez !
 

URBAN WIRELESS ERGO MOUSE, c’est aussi simple qu’une poignée de main !

Avec une souris classique, lors de la prise en main, il se produit une cassure au niveau du poignet et une flexion au niveau des os de l’avant-bras qui peuvent entraîner des douleurs ainsi qu’un syndrome dit « syndrome du canal carpien ».

 

Pour éviter les picotements et les engourdissements de doigts qui peuvent s’étendre de la main au poignet et même jusqu’au bras, URBAN FACTORY propose une souris ergonomique verticale qui permet d’adopter une position naturelle.

Verticale, la souris URBAN WIRELESS ERGO MOUSE est plus haute que les autres évitant ainsi de faire pivoter l’avant-bras.

 
En fait, celle-ci est pensée comme une poignée de main car la paume est inclinée vers l’intérieur et non plus vers le bas comme avec les souris classiques. Ainsi, la main reste dans l’axe de l’avant-bras et le poignet n’est plus « brisé ».


Une souris bien-être !

 
Non filaire, cette souris est une vraie petite championne ! Elle est rapide et précise grâce à sa technologie laser avec un capteur optique ! Elle a aussi quatre boutons qui facilitent la prise en main et l’adaptation à une souris verticale. URBAN WIRELESS ERGO MOUSE ne risque pas de faire faux bond à son utilisateur car elle est dotée d’un système d’économie d’énergie !

  

A propos d’Urban Factory

 
Fondée en 2007 par Thierry Zeitoun, URBAN FACTORY est désormais une marque de référence dans le domaine de la bagagerie et des accessoires informatiques. Toujours attentive aux tendances actuelles et sans cesse à l’affût des évolutions de la mode, URBAN FACTORY a su affirmer un positionnement marqué par l’innovation et l’originalité. La stratégie de la marque est de répondre aux besoins actuels de mobilité en adressant une vaste cible de consommateurs grâce à la diversité de ses gammes. Les produits développés sont toujours marqués de la « French Touch » d’URBAN FACTORY alliant qualité, tendance et fonctionnalités ! Aujourd’hui, la marque a su conquérir le marché français via des points de vente incontournables tels que la FNAC et AUCHAN ou encore grâce à des distributeurs de renom comme BANQUE MAGNETIQUE, TECHDATA, INGRAM, ETC et NORIAK. D’autre part, URBAN FACTORY poursuit son développement à l’international via des accords de distribution déjà effectifs en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Allemagne et au Moyen Orient.

 

LIBRES PROPOS signés Jacques DRAUSSIN



L'étalon dans l'estomac

Nos fidèles lecteurs [il y en a !] nous donnent quitus d'au moins une qualité : le chiffon rouge des peurs médicales ne fait pas partie de notre boite à outils éditoriale.
Loin de nous donc l'idée de vouloir transformer en scandale sanitaire une arnaque à la consommation, quelle qu'en soit l'ampleur.

Pourtant, il est difficile de ne pas mettre en doute la réalité de la fameuse « traçabilité » agroalimentaire qui devrait, nous assure-t-on, quasiment permettre d'appeler par son prénom le steak que l'on sert dans notre assiette.

Que la viande de son hachis Parmentier arrive de Roumanie par l'intermédiaire de traders néerlandais puis chypriote, achetée par un sous-traitant du Sud-ouest pour le compte d'un grossiste de Lorraine travaillant via le Luxembourg pour 15 marques internationales de surgelés et autant de distributeurs… c'est déjà dur à avaler.

Mais qu'on ne se préoccupe à aucun moment, malgré une kyrielle de contrôles sanitaires et douaniers successifs, de distinguer entre le cheval et le bœuf amènerait le plus crédule d'entre nous à soupçonner les services vétérinaires de ne pas être en mesure de repérer une trichine chevaline en ne cherchant qu'un prion bovin, voire de laisser passer les traces d'un remède de cheval de type phénylbutazone…

Toute la filière viande se retrouvait hier soir à Bercy pour trancher la question de la consommation. Ce sont les mêmes qui pourraient bientôt prendre le chemin de l'avenue de Ségur pour tailler une petite bavette sanitaire.

Jacques DRAUSSIN

Désormais, retrouvez également Bien Sûr Santé sur 21 chaines TV régionales de la TNT, en association avec l'émission quotidienne « Place à la Santé ». Cette semaine, 5 émissions sur le thème : « Faut-il croire à la prévention ? ».

Vidéos à découvrir sur
www.biensur-sante.com


Pathologie bucco-dentaire / un nouveau diplôme ?


L’Académie nationale de médecine a pris acte de la création du Diplôme d'Études Spécialisées en Chirurgie Orale pour pallier l’insuffisance prévisible du nombre de stomatologistes et de chirurgiens-dentistes exerçant la chirurgie buccale. Si la création du DESCO relève d’une volonté louable sur ce point, les difficultés de sa mise en œuvre objectivent des obstacles qui ne pourront être franchis qu’après une meilleure coordination entre les facultés d’odontologie et les facultés de médecine. Dans l’état actuel, il est à craindre que les disparités nationales fassent remettre en question ce premier pont jeté entre l’odontologie et la médecine.

L’Académie nationale de médecine recommande :

- une précision claire et rapide du périmètre d’activité thérapeutique des futurs diplômés DESCO et en particulier les interventions chirurgicales autorisées, en pleine concertation avec les disciplines qui partagent le même champ d’application. Ceci est d’autant plus urgent que des équivalences ont déjà été attribuées à des chirurgiens-dentistes ;

- la mise en place d'une commission universitaire nationale mixte médicale et odontologique, pour aplanir les difficultés rencontrées dans l’application des réglementations concernant ce diplôme médico-odontologique DESCO ;

- la poursuite du rapprochement, qui vient d'être amorcé entre l’odontologie et la médecine, en partie grâce au DESCO, afin que tous les acteurs de soins concernés puissent œuvrer à l'amélioration de la prise en charge des soins bucco-dentaires de l'ensemble de la population.


Rapport intégral sur simple demande

lundi 11 février 2013

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