Nora ANSELL-SALLES

mercredi 23 janvier 2013

Sécurité des patients - erreurs médicales


6 ans après sa mise en place, l'accréditation, premier dispositif français d'analyse des événements indésirables, monte en puissance

 

En matière de sécurité du patient, la Haute Autorité de Santé a pour objectif de réduire le nombre d'évènements indésirables liés aux soins. Parmi les leviers dont elle dispose, l'accréditation en constitue un volet important. Cette démarche de gestion des risques médicaux basée sur le volontariat des médecins doit permettre d'améliorer la qualité des pratiques professionnelles, de réduire le nombre d'événements indésirables associés aux soins et d'en limiter les conséquences. Pour être accrédités, les médecins, au sein de leur spécialité, déclarent chaque année des évènements porteurs de risques (EPR) et participent à un programme de réduction des risques incluant la mise en œuvre de recommandations et des formations spécifiques. La HAS dresse le bilan de cette démarche mise en place depuis 6 ans et présente de nouveaux outils mis au point : Solutions pour la Sécurité des Patients (SSP) et EPR remarquables.

 

 
Un premier bilan encourageant et riche d'enseignements

Lancée en 2007, le dispositif de l'accréditation concerne aujourd'hui 18 spécialités médicales dans les secteurs suivants : gynécologie-obstétrique, anesthésie-réanimation, chirurgie, spécialités interventionnelles ainsi que les activités d'échographie obstétricale, de réanimation et de soins intensifs. 11 400 médecins sont engagés dans la démarche sur 35 000 professionnels de santé potentiellement concernés par le dispositif, soit un ratio de 1/3.

Depuis le lancement du dispositif, ce sont près de 52 400 EPR qui ont été enregistrés dans la base de retour d'expérience (base REX), avec une forte progression ces deux dernières années : +45 % en 2011, +35% en 2010.

 

Dix-huit programmes de réduction des risques sont également développés et réactualisés annuellement par les organismes agréés des spécialités. Ces programmes mettent en évidence des situations à risque, reflets des principales préoccupations en matière de risque des médecins (111 sont définies aujourd'hui pour les 18 spécialités) et exigent des médecins la mise en œuvre de recommandations professionnelles (58 sont définies aujourd'hui pour les 18 spécialités). La réponse du praticien à ces exigences est évaluée annuellement par un expert de sa spécialité et conduit à l'attribution ou au retrait de l'accréditation.

Les programmes des spécialités peuvent proposer des recommandations professionnelles et des solutions pour la sécurité du patient (SSP) directement issues de l'analyse de la base de retour d'expérience (base REX).

 

De l'événement porteur de risque aux solutions concrètes pour la sécurité des patients

Les EPR apportent une information particulièrement utile sur la nature des complications et sur les moyens de les gérer. Ces informations concernent des champs aussi différents que l'acte de soins (pratiques médicales et soignantes), l'utilisation de médicaments ou de matériels que les aspects organisationnels de l'établissement de santé, la gestion des informations ou la gestion des hommes.

 

Par exemple, l'analyse des 9 000 EPR déclarés en 2011 a fait ressortir l'influence importante de l'équipe de soins dans la genèse des événements, puisque le dysfonctionnement de l'équipe est retrouvé dans 25 % des EPR avec une prédominance de problèmes de communication entre professionnels de santé. La HAS a déjà lancé une réflexion sur ce thème et débuté une expérimentation dans plusieurs services.

L'analyse des causes des événements dans la base de retour d'expérience permet aux organismes agréés de rechercher des solutions pour la sécurité du patient permettant de réduire les risques identifiés.

 

·        Un outil novateur : les Solutions pour la Sécurité du Patient (SSP)

L'approche traditionnelle de la sécurité du patient est souvent centrée sur la prévention, autrement dit sur l'évitement des problèmes et pas assez sur leur récupération quand, malgré tout, ils surviennent.

Une approche novatrice et récente en gestion du risque incite à essayer de se préparer à l'imprévu, c'est-à-dire à s'interroger sur la gestion des complications quand elles surviennent. Cela se concrétise par des SSP, Solutions pour la Sécurité du Patient, que la HAS élabore avec les professionnels selon une méthodologie particulière en insistant sur leurs mises en œuvre (accompagnement) et leurs impacts.

Concrètement, il s'agit de procédures qui, sans négliger les aspects de prévention, vont s'intéresser à la récupération pour pouvoir limiter les conséquences d'un événement indésirable. Les deux premières solutions parues en 2012 sont « réduction des erreurs de site d'exérèse de lésions cutanées » et « confusion entre antiseptique et anesthésique injectable ». Une quinzaine de SSP sont en cours d'élaboration pour une diffusion prévue en 2013.

 

·        EPR remarquables

Depuis 2012, des événements jugés remarquables pour leur aspect pédagogique sont mis en exergue dans des publications courtes afin de sensibiliser les professionnels sur des situations à risques identifiées dans la base de retour d'expérience.

Les événements analysés les plus intéressants sont communiqués aux professionnels et aux établissements. Ce partage permet à chacun de prendre conscience du risque potentiel de certaines situations et de rechercher localement des moyens pour s'en prémunir.

 

Un niveau d'exigence plus élevé et des perspectives ouvertes par la mise en place du DPC

La délivrance de l'accréditation est conditionnée par le respect, par le médecin engagé, des exigences définies par la HAS et sa spécialité en lien avec les associations de patients, impliquées dans le dispositif depuis sa conception. Cet engagement volontaire dans une démarche active de réduction des risques dans son exercice professionnel est vérifié annuellement par l'organisme agréé et la HAS et conditionne l'entrée et le maintien du médecin dans le dispositif. Les rejets de demandes d'accréditation et retraits d'accréditation représentent 10% des décisions prises par le Collège de la HAS. Les noms des médecins accrédités sont consultables sur le site internet de la HAS.

Après une phase d'acculturation nécessaire à l'ensemble des acteurs, la HAS et les organismes agréés élèvent progressivement le niveau d'exigence : en termes de qualité des déclarations, de respect des exigences du programme de la spécialité et des délais. Un renforcement de l'accompagnement des médecins et une assistance aux utilisateurs (Hotline du service évaluation et amélioration des pratiques de la HAS) sont associés à ce changement.

 

Pour valoriser les acquis de l'accréditation et poursuivre son déploiement auprès des professionnels de santé, notamment auprès des équipes hospitalières, plusieurs évolutions sont envisagées :

- expérimenter la gestion des risques en équipe pour l'intégrer dans les dispositifs d'accréditation, de certification et de développement professionnel continu (DPC), l'accréditation pouvant d'ailleurs concourir au respect de l'obligation de DPC.

- mobiliser les moyens, les supports et les procédures de l'accréditation pour favoriser la gestion des évènements indésirables notamment des évènements indésirables graves.

 

Pour la HAS, la mise en place du DPC représente une opportunité pour promouvoir l'accréditation auprès d'un public plus large de spécialités et de médecins.

 

Consultez les documents de la HAS sur www.has-sante.fr

 

MINE D'INFOS: Communiqué de presse conjoint Ministère de l'Intér...

MINE D'INFOS: Communiqué de presse conjoint Ministère de l'Intér...: Le Premier Ministre a confié au ministère de l’Intérieur le soin d’activer la cellule interministérielle opérationnelle afin de coordonner ...

Communiqué de presse conjoint Ministère de l'Intérieur, Ministère des Affaires Sociales et de la Santé et Ministère de l'Ecologie, du Développement Durable et de l'Energie

Le Premier Ministre a confié au ministère de l’Intérieur le soin d’activer la cellule interministérielle opérationnelle afin de coordonner l’action des différents ministères impliqués dans le suivi de la situation de la société « Lubrizol » implantée à Rouen. Sont notamment concernés, les ministères de l’Intérieur, des Affaires sociales et de la Santé et de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie.

 
Un point de situation a été fait en liaison avec l’exploitant et les services déconcentrés de l’Etat en Haute-Normandie.

 
Il est confirmé que, depuis l’arrêt de l’exploitation industrielle lundi soir, les émanations entraînent des nuisances olfactives qui ne présentent pas de risque pour la santé.

 
Conformément à ses obligations, l’exploitant a présenté aux services de l’Etat un processus technique pour rendre complètement inertes les produits industriels, et ainsi, mettre un terme aux émanations et aux désagréments qu’elles entraînent.

 
Le processus technique proposé par l’exploitant est en cours d’examen. Après cet examen et prise en compte des modalités techniques nécessaires, il sera mis en œuvre par la société, sous contrôle des services de l’Etat. Les opérations pourraient dans ce cas commencer en début de soirée.

MINE D'INFOS: Pilules de 3ème et 4ème générations

MINE D'INFOS: Pilules de 3ème et 4ème générations: Pilules de 3 ème et 4 ème générations Un numéro vert pour répondre aux questions des femmes : 0 800 636 636 (appel gratuit)     ...

Pilules de 3ème et 4ème générations


Pilules de 3ème et 4ème générations

Un numéro vert pour répondre aux questions des femmes :

0 800 636 636 (appel gratuit)
  
A la demande de Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ouvre un numéro vert gratuit pour informer les femmes sur les pilules  ontraceptives, à partir du mercredi 23 janvier.

 

Le débat médiatique actuel a généré de nombreuses questions chez les femmes, notamment utilisatrices de contraceptifs oraux. Elles ont besoin d’informations fiables sur les pilules de 3e et 4e générations, et doivent être rassurées et incitées à se tourner vers leur prescripteur pour envisager le moyen contraceptif le plus adapté à leur situation.

 

Du lundi au samedi, de 9h à 20h, une équipe de téléopérateurs, encadrée par un médecin et des sages-femmes, répondra aux questions que les femmes se posent sur leurs pilules de 3e et de 4e générations :

 

_ De quelle génération est ma pilule ?

 

_ Je prends une pilule de 3ème ou 4ème génération, dois-je l’arrêter ?

 

_ Qu’est-ce qu’une thrombose veineuse ?

_ …

 

Cette plateforme téléphonique fait partie du dispositif développé par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé pour informer, guider et favoriser le bon usage de ces médicaments.

 

Un plan d’actions visant à renforcer la sécurité d’une contraception est également en cours de réalisation.

 

Ainsi, l’ANSM

- a mené une campagne d’information auprès des professionnels de santé (médecins, sages-femmes, pharmaciens) afin que la pilule de 1ère et 2ème générations soit systématiquement privilégiée. L’usage des pilules de 3ème et 4ème générations doit être l’exception, et non pas la règle.

 

- a saisi l’Agence européenne du médicament d’une demande de modification de l’autorisation de mise sur le marché en ce sens.

 

- rend publiques les données de pharmacovigilance (suivi et surveillance des effets indésirables).

 

La confiance des femmes dans la contraception est un enjeu majeur de santé publique. Le débat actuel ne doit en aucun cas jeter le discrédit sur les méthodes contraceptives.

 

 
Pour plus d’information sur la pilule contraceptive :

 


 

ANSM : http://ansm.sante.fr/

mardi 22 janvier 2013

MINE D'INFOS: Evolution de la fonction RH en entreprise - Expert...

MINE D'INFOS: Evolution de la fonction RH en entreprise - Expert...: Plus de la moitié des enseignants-chercheurs de l'IAE de Paris ont collaboré à la dernière version de l'Encyclopédie des RH, sous la coor...

Evolution de la fonction RH en entreprise - Expertise de l'IAE de Paris


Plus de la moitié des enseignants-chercheurs de l'IAE de Paris ont collaboré à la dernière version de l'Encyclopédie des RH, sous la coordination de José ALLOUCHE, Professeur en Sciences de Gestion à l’IAE de Paris.

 La 3è édition de cette "Bible des RH" traite de l’ensemble du champ de la GRH avec 281 contributions rédigées par 260 auteurs : universitaires, praticiens d’entreprise, consultants, hauts fonctionnaires, syndicalistes.

Evolution de la fonction RH

Par rapport à la précédente édition parue en 2006, le contexte de crise économique et financière s’est aggravé et impacte fortement l’univers des entreprises et des organisations. Dans ce contexte, de nouveaux thèmes et de nouvelles pratiques émergent et font évoluer la fonction RH, parmi lesquels on peut citer :

1/ les restructurations d’entreprise et les suppressions d’emploi ;

2/ l’intégration des pratiques de RSE ;

3/ Les conséquences de la mondialisation sur l’organisation du travail et la gestion des RH ;

4/ Les risques psychosociaux.

Expertise de l’IAE de Paris en GRH

La GRH représente un des axes majeurs de la recherche en sciences de gestion à l’IAE de Paris. Deux chaires consacrées à ces problématiques ont été créées ; en 2009, la Chaire Mutations-Anticipations-Innovations (MAI , J.ALLOUCHE en assure la direction scientifique avec G.SCHMIDT et il a lancé en 2012 la Chaire Responsabilité Globale et Capital Immatériel dont il assure la direction.

Le Master des Ressources humaines, créé en 1975 à l’IAE de Paris constitue l’un des plus anciens programmes de l’Institut, il vient de fêter son 1000è diplômé.

Plus d'informations dans le Communiqué afférent.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et pour toute demande d'interview d'un expert de l'IAE de Paris sur un sujet RH que vous prépareriez.

Contact :

Elodie AUPRETRE

Agence MCM

04 91 31 47 37

Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale


Fiche de synthèse

 

Répondant à un engagement du président de la République et du Premier ministre, le plan pluriannuel

contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale est le fruit d’un travail de concertation inédit avec

l’ensemble des acteurs des politiques de solidarité : les services de l’État, les collectivités territoriales,

les associations, les partenaires sociaux, les chercheurs et experts, ainsi que les personnes en situation

de pauvreté elles-mêmes. L’élaboration de ce plan a mobilisé plus de 20 ministères.

 

Cinq grands principes structurent la nouvelle approche du Gouvernement

_ Un principe d’objectivité : face à l’ampleur et à la diversité des situations de pauvreté, on ne peut

plus continuer à considérer les pauvres et les précaires comme une minorité marginale, peu ou prou

responsable de sa situation.

_ Le principe de non-stigmatisation : c’en est fini de la dénonciation de la paresse ou de la

malhonnêteté des ménages modestes. Les personnes en situation de pauvreté ou de précarité

veulent s’en sortir, le sens des politiques sociales est de les y aider.

_ Le principe de participation des personnes en situation de pauvreté à l’élaboration et au suivi

des politiques publiques : comme l’a illustré la préparation de la conférence nationale, la parole des

personnes directement concernées par les difficultés sociales enrichit les propositions politiques de

leur expertise.

_ Le principe du “juste droit” : sans oublier la question de la fraude sociale, il est urgent de s’attaquer

au phénomène du non-recours aux droits sociaux. Le Gouvernement entend, à travers la notion de

juste droit, s’assurer que l’ensemble des citoyens bénéficient de ce à quoi ils ont droit, ni plus, ni

moins.

_ Le principe de décloisonnement des politiques sociales : la solidarité prend maintenant place

dans chaque pan de l’action publique. La conception et la mise en oeuvre interministérielles de ce

plan en sont l’illustration. Ce principe va de pair, sur le terrain, avec un changement des pratiques,

dans le sens d’une meilleure coordination des acteurs, publics, associatifs et privés, autour de

l’accompagnement des personnes.

Répondre à l’urgence et structurer la politique de solidarité du Gouvernement

Les mesures proposées dans le plan visent tout à la fois à répondre à l’urgence sociale du moment et

à structurer la politique de solidarité du Gouvernement sur le long terme. Pour chacune d’entre elles,

un ministère chef de file a été identifié et des éléments de calendrier ont été précisés. Ces mesures

ont été classées selon 3 axes de réforme :

_ Réduire les inégalités et prévenir les ruptures.

_ Venir en aide et accompagner vers l’insertion.

_ Coordonner l’action sociale et valoriser ses acteurs.

 

 

Plan pluriannuel

contre la pauvreté

et pour l’inclusion sociale

Les instances de pilotage pour l’évaluation et la territorialisation du plan

_ Un Comité Interministériel de Lutte contre les Exclusions réuni tous les ans, pour un bilan d’étape.

_ Une consultation régulière du CNLE et d’un conseil informel des personnalités qualifiées qui ont piloté

les groupes de travail préparatoires à la Conférence nationale contre la pauvreté.

_ Des instances de concertation thématiques animées par les ministères.

_ Une mission de suivi, d’évaluation et de déclinaison territoriale du plan, confiée à François Chérèque.

Les principales mesures adoptées

_ L’engagement d’un rattrapage du niveau du RSA socle, de 10%, en sus de l’inflation, d’ici 2017,

avec une première revalorisation de 2% en septembre 2013.

_ Une hausse simultanée, en septembre 2013, du plafond de la CMU complémentaire, de façon à faire

entrer 750 000 personnes de plus dans ce dispositif et celui qui l’accompagne, l’aide à l’acquisition

d’une complémentaire santé (ACS).

_ L’instauration d’une “garantie” jeunes pour les 18-25 qui ne sont ni en emploi, ni en formation, en

situation d’isolement et de grande précarité. Ce contrat, qui ouvre droit à un accompagnement

intensif, à des propositions adaptées de formation ou d’emploi, et à une allocation d’un montant

équivalent au RSA, sera lancé en septembre prochain sur 10 territoires, avant d’être généralisé.

_ Une aide aux familles monoparentales ou nombreuses en situation de pauvreté, à travers une

augmentation du montant de l’allocation de soutien familial (ASF) et une majoration du complément

familial (CF). Cette mesure s’intègre aux objectifs de la mission confiée à Bertrand Fragonard,

président du Haut conseil de la famille, pour une révision de l’architecture des prestations familiales.

_ Un investissement massif dans l’hébergement et l’accès au logement, avec d’abord des mesures

d’urgence : 9 000 places de plus - hébergement classique et accueil des demandeurs d’asile - pour

en finir avec la gestion “au thermomètre” de l’hébergement d’urgence. Avec ensuite des mesures

structurelles d’accès au logement, qui bénéficieront d’un effort budgétaire équivalent.

_ L’allongement de la durée des contrats aidés, qui devra tendre vers une durée moyenne de 12 mois,

pour donner plus de souplesse et, quand cela est nécessaire, plus de temps aux parcours d’insertion

des personnes éloignées de l’emploi durable.

_ Le lancement d’une réforme du RSA activité, qui souffre d’un taux de non-recours record (68%), en

articulation avec la Prime pour l’Emploi ; un groupe de travail devra rendre ses conclusions pour le

projet de loi de finances pour 2014.

_ Un renforcement de l’accès aux crèches pour les enfants de familles en situation de pauvreté ; sur

chaque territoire, le nombre d’enfants en accueil collectif issus de ces familles devra refléter la

composition de la population locale, avec un minimum de 10%.

_ La création d’un registre national des crédits aux particuliers (dit “fichier positif”) pour participer à la

lutte contre le surendettement, et d’un observatoire de l’inclusion bancaire, qui appréciera publiquement

les pratiques des banques envers leurs clients en difficulté financière.

Fiche de synthèse

MINE D'INFOS: NRJ Music Awards 2013 (Cannes) : les artistes se m...

MINE D'INFOS: NRJ Music Awards 2013 (Cannes) : les artistes se m...: C’est dans le cadre des NRJ Music Awards 2013 à Cannes (France) le samedi 26 janvier 2013 à 20h50 que le Lions Club International et NR...

MINE D'INFOS: NRJ Music Awards 2013 (Cannes) : les artistes se m...

MINE D'INFOS: NRJ Music Awards 2013 (Cannes) : les artistes se m...: C’est dans le cadre des NRJ Music Awards 2013 à Cannes (France) le samedi 26 janvier 2013 à 20h50 que le Lions Club International et NR...

NRJ Music Awards 2013 (Cannes) : les artistes se mobilisent pour les enfants atteints du cancer


C’est dans le cadre des NRJ Music Awards 2013 à Cannes (France) le samedi 26 janvier 2013
à 20h50 que le Lions Club International et NRJ Group s’unissent pour une

vente aux formats enchères au profit des enfants atteints de cancer.


Ce sont les artistes nationaux et internationaux participants à la prestigieuse cérémonie
qui se mobilisent et offriront des objets dédicacés pour cette vente sur eBay.


C'est l'évènement musical de l'année !

En direct, la 14ème édition des NRJ Music Awards de Cannes en présence de nombreuses célébrités !


Comme chaque année, la cérémonie récompensera les stars françaises et internationales préférées du public. Et sur la scène du Palais des Festivals se succèderont tous les artistes qui ont marqué l'année 2012. Mashup ici : http://www.nrj.fr/videos-3964/clips-4022/media/video/642183-nrj-music-awards-mashup-2013-.html


La vente aux enchères initiée et organisée par Jean-Philippe Akerib Président du Lions Club et NRJ se déroulera sur eBay avec les mises à prix à 1€, ouverte donc à toutes et tous, elle débutera le dimanche 27 janvier à l’issu de la soirée de remise des prix en tapant les mots clés :

NRJ Music Awards 2013 + nom de l’artiste.


100% des dons récoltés = 100% des dons reversés

C’est pourquoi des artistes nationaux et internationaux, la 1ère radio musicale de France, la 1ère ONG mondiale se mobilisent pour redonner le sourire à ces enfants, de l’espoir à leurs parents - Parce que Un enfant sur 440 est touché avant l'âge de 15 ans, dont la moitié avant 5 ans - Les cancers sont les maladies les plus meurtrières chez les enfants de moins de 15 ans. (Enfants & Santé)


Ils sont tous là, le véritable phénomène mondial avec plus d'un milliard de vues pour sa vidéo « Gangnam Style », PSY sera présent lors de la cérémonie, tout comme Carly Rae Jepsen qui a marqué l'année avec son hit « Call me Maybe ». Les deux stars s'affronteront dans les catégories « révélation internationale de l'année » et « chanson internationale de l'année ».

Egalement attendus sur la croisette, les cinq membres du groupe One Direction , la superstar Alicia Keys et la révélation internationale Birdy.


Du côté des artistes français, M Pokora et Keen V tenteront de remporter un trophée dans la catégorie « Artiste Masculin Francophone de l'année », tout comme Jenifer , Shy'm et Amel Bent   dans la catégorie « Artiste Féminine Francophone de l'année ». Tal, nominée dans la catégorie « Révélation Francophone de l'année », et Mylène Farmer seront également présentes sur le tapis rouge.

 

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin: Fabrique de malades [et de lieux communs] Quel est l'avantage concurrentiel de l'ouvrage du Dr Boukris sur celui des Pr Debré et Even,...

LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin