Nora ANSELL-SALLES

mercredi 28 novembre 2012

MINE D'INFOS: Optistya, nouveau nom du réseau MGEN

MINE D'INFOS: Optistya, nouveau nom du réseau MGEN: Optistya est le nouveau nom du réseau de 2 035 opticiens lancé par le groupe MGEN en 2008. Au I" janvier, Optistya sera aussi destiné aux...

MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard

MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard: «Construire un parcours de soins plus cohérent» Libération Etienne Caniard , de la Mutualité française, défend la constitution de rése...

MINE D'INFOS: Responsabilité sociétale :

MINE D'INFOS: Responsabilité sociétale :: L’évaluation AFAQ 26000 pour distinguer les bonnes pratiques L’ISO 26000, 1 ère norme internationale sur la responsabilité sociétale...

MINE D'INFOS: Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!

MINE D'INFOS: Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!:   Le Congrès de l’ADF, est le rendez-vous annuel de toute la profession dentaire. Le thème du Congrès de l’ADF 2012 est   « Garder le s...

Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!


 
Le Congrès de l’ADF, est le rendez-vous annuel de toute la profession dentaire. Le thème du Congrès de l’ADF 2012 est  «Garder le sourire». C’est un clin d’œil qui concerne à la fois les patients et les praticiens. L’enquête réalisée par Opinionway pour l’ADF permettant d’évaluer le niveau de satisfaction des Français par rapport à leur sourire et de savoir si les Français osent sourire et découvrir leurs dents vous sera présentée, lors de la conférence inaugurale, mercredi 28 novembre à 12H  au Palais des Congrès – Salon Petite Etoile d’Or du Palais des Congrès (4ème niveau)

Parmi les sujets abordés lors de cette conférence de presse :

-       -                 L’odontologie durable : pour que prise en charge dans le temps rime avec « Garder le sourire ». Le docteur Giovannoli, Président du Congrès ADF 2012 expliquera que l’odontologie durable a comme principale mission de prévenir d’abord, de soigner ensuite et de maintenir surtout. C’est une prise en prise en charge dans le temps pour un résultat dans le temps.

-          La Sécurité des patients. La  profession dentaire est citée en exemple par les autorités de santé –DGS / HAS. A l’occasion de la 2e semaine de la sécurité des patients initiée par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé, le  docteur Philippe Rocher - Président de la Commission des dispositifs médicaux de l’ADF expliquera ce que font les chirurgiens-dentistes pour garantir la sécurité de leurs patients. 

-          Parodontites : 1 Français sur 2 concerné. Le docteur Philippe Bouchard - Président du Conseil scientifique du Congrès ADF 2012 expliquera le lien sous-estimé entre les maladies parodontales,  l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

-          Le docteur Paul Cattanéo, présentera les dernières avancées de la technologie dentaire: fini la fraise, fini les prises d’empreintes à l’aide de pâtes élastiques, et dans peu de temps,  des implants biologiques aussi vrais que la dent naturelle….

Une visite des deux expositions phares du Congrès 2012 sera organisée après la conférence de presse

-          l’espace innovation au niveau 4 : les 10 innovations de l’année seront présentées.

-       L’espace développement durable au niveau 2 illustré par un cube géant et transparent contenant les déchets d’un mois d’activités d’un cabinet dentaire (papiers, cartons, serviettes jetables, plateaux …). Ce cube symbolise l’engagement des  chirurgiens – dentistes en faveur du développement durable. L’exposition est constituée de panneaux d’information et de conseils pour mettre en pratique le Développement Durable au cabinet dentaire, d’animations interactives (calculateurs équivalents carbone des déchets produits, prix des traitements des déchets). Un Guide du chirurgien-dentiste éco-responsable sera largement diffusé.

Responsabilité sociétale :


L’évaluation AFAQ 26000 pour distinguer les bonnes pratiques

L’ISO 26000, 1ère norme internationale sur la responsabilité sociétale, vient d’être publiée. Comment l’organisme peut-il démontrer qu’il mène des actions concrètes en faveur du développement durable et assume pleinement sa responsabilité sociétale ? AFNOR Certification propose l’évaluation AFAQ 26000 qui permet à tout organisme, quelles que soient sa taille et ses activités, de faire reconnaître les efforts qu’il a engagés et de susciter une dynamique de progrès.

 

La responsabilité sociétale est la contribution des organismes - entreprises, collectivités, ONG, syndicats… - au développement durable.

Elle se traduit par la volonté de l’organisation d’assumer la responsabilité des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement, et d’en rendre compte. Le développement durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite des adaptations et des efforts constants. L’évaluation AFAQ 26000 passe au crible l’ensemble des pratiques d’une organisation ainsi que ses résultats sur les 3 piliers du développement durable (économique, social et environnemental).

 

L’organisme évalué obtient une note sur 1000 qui correspond à l’un des quatre niveaux de maturité du modèle d’évaluation (Engagement, Progression, Maturité et Exemplarité).

Il bénéficie ainsi d’un véritable état des lieux avec une feuille de route qui lui permettent  d’estimer la pertinence de sa politique de responsabilité sociétale selon la norme ISO 26000, et d’identifier les points forts et les points faibles de ses pratiques.

Stratégie de responsabilité sociétale, intégration de la responsabilité sociétale dans le management, ressources humaines et conditions de travail, ancrage territorial, production, consommation, protection du consommateur…tous ces points sont analysés par une équipe d’évaluateurs extérieurs experts, spécialement qualifiés.

 

AFNOR Certification dispose de plus de 3 ans de retours d’expérience avec l’évaluation développement durable AFAQ 1000NR. Une centaine d’organisations ont déjà fait évaluer leurs pratiques. Aujourd’hui, AFAQ 1000NR laisse la place à AFAQ 26000.

 

De la norme ISO 26000 à l’évaluation AFAQ 26000

Les réponses de chaque organisation en terme de responsabilité sociétale sont différentes et leur pertinence dépend du contexte de chacune.

Le développement durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite des progrès, des efforts et des adaptations constants.

La responsabilité sociétale ne fait donc pas appel à un jugement binaire « Je suis développement durable » ou «  Je ne le suis pas ». L’évaluation de la maturité pour faire reconnaître les efforts des organisations tout en suscitant une dynamique de progrès est la solution la plus pertinente en termes éthiques et techniques.

Pour en savoir plus : www.afnor.org

 

AFNOR Certification est, en France, le premier organisme de certification et d’évaluation de systèmes, services, produits, compétences. L’un des premiers au niveau mondial, cette société du Groupe AFNOR propose les deux marques les plus connues du marché : AFAQ et NF. Elle délivre plus de 500 prestations différentes. Accréditée en France et à l’étranger, elle offre un véritable service de proximité grâce à ses 27 implantations sur les 5 continents et à ses 13 délégations régionales françaises. Elle mobilise 1500 auditeurs qualifiés pour répondre aux besoins de ses clients répartis sur plus de 60000 sites de par le monde.

 

Alerte Etienne Caniard


«Construire un parcours de soins plus cohérent»
Libération
Etienne Caniard
, de la Mutualité française, défend la constitution de réseaux de santé : Recueilli par Éric Favereau Libération C'est aujourd'hui que les ...

Optistya, nouveau nom du réseau MGEN


Optistya est le nouveau nom du réseau de 2 035 opticiens lancé par le groupe MGEN en 2008. Au I" janvier, Optistya sera aussi destiné aux adhérents de la MGET de la MCDef et de la MAEE puis aux adhérents de la MGEFI et de la MGF. Au total, 3,5 millions de personnes y auront accès.

 

NDLR : A lire également dans la rubrique "fiche métier" de l'Opticien Lunetier  ( OCT 12 )  un article sur la  gestion des adhérents "Spécialiste de prestations santé prévoyance"

mardi 27 novembre 2012

MINE D'INFOS: Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs ...

MINE D'INFOS: Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs ...: Pour une politique de transparence dans les établissements de santé :   bilan, nouveautés et perspectives   des indicateurs de qualité et...

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MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard

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MINE D'INFOS: 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir

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MINE D'INFOS: Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille...:     Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ...

MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...

MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...: L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et   l’Institut Curie organisen...

Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et crise économique


L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et  l’Institut Curie organisent, dans le cadre de Paris Sciences et Lettres, un séminaire.


Mercredi 5 décembre 2012


Santé, Crise économique
 Quel est l’impact de la crise sur le système de santé, son financement et la qualité des soins ?
La santé, facteur de surendettement ? Ou facteur de croissance ?

 

 

Institut Curie, Accueil 8h45 - 9h-12h30 Amphi Constant Burg
12 rue Lhomond, Paris 5e

 

 

 

Inscription obligatoire par mail : christine.roulliere@wanadoo.fr

 

 

 

 

En partenariat avec :
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation  Privée, La  Fédération des  Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés  non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé

Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille !


 

 

Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ZENEO® en association avec un médicament traitant la polyarthrite rhumatoïde. Ce dispositif innovant permet aux patients de s’auto-administrer les doses prescrites en toute sécurité. Une révolution dans le monde médical et une avancée majeure pour l’entreprise. Explications.

 

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie dégénérative inflammatoire chronique qui se caractérise par une atteinte articulaire souvent bilatérale et symétrique. Evoluant par poussées vers la déformation et la destruction des articulations atteintes, elle nécessite notamment un traitement intensif et long. Dans la quasi majorité des cas, il se traduit par des injections d’antalgiques classiques, d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou de corticostéroïdes à faible dose. Des traitements de fonds existent également.

 

 

ZENEO®, un dispositif médical d’injection sans aiguille, attendu par les patients

 

« Pour soulager les personnes atteintes par la polyarthrite rhumatoïde tout en évitant les injections avec seringues et aiguilles ou des traitements parfois difficiles à suivre, Crossject a mis au point ZENEO®, un  dispositif d’injection sans aiguille, conçu pour faciliter l’auto-administration de médicaments injectables » explique Patrick Alexandre, PDG de Crossject.

 

ZENEO® est une innovation qui répond à des enjeux majeurs de santé publique encore non satisfaits :

 

-       Elimine la phobie de l’injection par aiguille qui affecte 10% de la population qui refuse pour cette raison de suivre le traitement médical (25% de la population est réticente),

-       Réduit le « stigma social » en améliorant la qualité de vie des patients par un dispositif auto-administrable qui banalise les traitements chroniques injectables qui sont ainsi mieux acceptés,

-       Favorise l’observance des traitements. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le mauvais suivi des thérapies chroniques est un problème mondial qui affecte 50% des patients.

-       Supprime les risques de contamination virale accidentelle des personnels de soin et de l’entourage des patients.

-       Accélère la prise en charge des situations d’urgence par sa simplicité d’usage pour sauver des vies ; ceci pour de nombreuses maladies telles que les allergies ou l’asthme où la rapidité d’intervention est déterminante.

Explications dans le communiqué ci-joint

5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir


La Fondation de l’Avenir remettait, le 21 novembre dernier, les Prix des Chirurgiens de l’Avenir aux étudiants les plus prometteurs du Master 2 de Sciences Chirurgicales (Universités Paris Sud et Paris Est-Créteil).

C’est dans la magnifique salle du conseil de l’Université Paris Descartes (Paris 5e) que s’étaient réunis universitaires, médecins, étudiants et mutualistes, pour assister à la 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir.

Cet événement organisé en partenariat avec les Universités Paris Sud et Paris Est-Créteil (représenté par le Pr. Eric Allaire), avec le soutien de l’Académie Nationale de Chirurgie (représentée par son président, le Pr. Jacques Baulieux) est destiné à récompenser les meilleurs travaux réalisés dans le cadre du Master 2 de Sciences Chirurgicales.

La cérémonie, animée par Michel Sirven (membre du directoire de la FDA) a débuté après la conférence du Pr. Dominique Franco, professeur de chirurgie digestive à l'Université Paris-Sud, sur le thème : " Quels défis pour la chirurgie de demain?".

Comme chaque année, les prix étaient répartis en 3 parcours : Neurosciences, Cancérologie et 3R (Régénération, Réparation, Remplacement), avec une dotation de 3000€ chacun, et 6000€ pour le prix spécial du jury (tous parcours confondus).

Le lauréat du parcours  Neurosciences, Michel Nassar, a reçu son prix des mains de Véronique Faure  (membre du directoire de la FDA) et du Pr. Evelyne Emery (responsable du parcours Neurosciences du master). Son travail portait sur les surdités liées à l'infection foeto maternelle à cytomégalovirus.

C’est Dominique Lebrun (trésorière de la FDA) et le Pr. Marc Pocard (responsable du parcours Cancérologie du master) qui ont eu l’honneur de remettre le prix du parcours Cancérologie à Chetana Lim, pour son travail sur les métastases des cancers colorectaux.

Quant au prix du parcours 3R, il a été remis à Pierre Lhommet, par le Pr. Emmanuel Martinod, (responsable du parcours 3R du master) et Anne Mounolou (secrétaire générale de la FDA) pour son étude sur la thérapie cellulaire cardiaque.

 

Enfin, le prix spécial du Jury a été décerné à Adeline Decambron, des mains du Pr. Pierre Bonfils et de Dominique Letourneau, respectivement président du conseil scientifique et président du directoire de la Fondation de l’Avenir. Son travail portait sur des matériaux "biohybrides" pour la réparation osseuse.

Chantons pour la Recherche Médicale en Ophtalmologie Ouverture des inscriptions pour les chorales !

 
Retina France est heureuse d’annoncer à toutes les chorales que la 18ème édition de Mille chœurs pour un regard est lancée et que toutes les chorales peuvent participer à cet événement choral au profit de la Recherche Médicale en Ophtalmologie.

Les concerts de chorales auront lieu les 22, 23 et 24 mars 2013 sur toute la France et les inscriptions sont ouvertes jusqu’à fin janvier.

C’est la chanteuse ENZO ENZO, aux couleurs pop-jazzy qui parraine cette opération et qui offre à toutes les chorales inscrites, la possibilité d’intégrer à leur répertoire la chanson « La même lune que moi » dont les partitions seront envoyées gratuitement.

 

Chaque année, les artistes sont de plus en plus nombreux à s’investir pour alerter le public sur les maladies, « la vue est un des domaines dans lequel il faut se mobiliser pour permettre à la Recherche d'avancer » confie Enzo Enzo.

En 2012, Retina France a contribué au versement d’un million d'euros à la Recherche Médicale en Ophtalmologie, soit le financement de nombreux programmes et bourses de recherche dans des laboratoires Inserm et CNRS. La thérapie génique, les facteurs de croissance, le génotypage etc. sont autant d’axes de recherche soutenus par l’association, reconnue d’utilité publique.


En 2012, 650 concerts ont été donnés et 1800 chorales ont donné de leur voix pour le plus grand bonheur du public. L'originalité de "Mille chœurs pour un regard" consiste en l'organisation de centaines de concerts partout en France.

L'association fournit aux chorales l'ensemble des supports de communication (partitions, affiches, programmes, tracts, billets….) et prend en charge les frais d'organisation avec le concours de la SACEM.


Il s’agit pour les chorales d’un rendez-vous incontournable, musical et solidaire !


Pour participer rien de plus simple, rendez-vous sur le site internet www.retina.fr ou contactez l’association :

 

RETINA FRANCE

2 chemin du Cabirol- 31770 COLOMIERS


Contact : Stéphanie Garcia : mille.choeurs@retina.fr.

 

Alerte Etienne Caniard


Mutuelles, assurances : est-ce si différent ?
AgoravoxTv
Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD président de la mutualité française. Pardon, mais tout à voir si on regarde la ...

SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des études


Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

    Lundi 3 décembre 2012

17h00 - 20h00

  AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand

16, rue Claude Bernard. 75005 Paris

 

  (Re)passez votre certificat d’études !

 

17h00

DU CERCLE VICIEUX DE BRENNER AU CERCLE VERTUEUX DE L’OMS

André AURENGO - Paris VI

17h15

CÔTÉ SCIENTIFIQUE : UNE ÉTUDE PEUT EN CACHER UNE AUTRE...

Claude MONNERET : du « sans parabènes » à la une

André AURENGO : téléphones portables : du débat sur toute la ligne

Louis-Marie HOUDEBINE : on peut tout faire dire à des rats...

18h15

CONTEXTE : DEBAT PUBLIC OU MEDIATIQUE ?

Sylvestre HUET (Libération)

Marc MENNESSIER (Le Figaro)

18h45

SUIVI POLITIQUE : DÉCIDER ou décider de poursuivre les études

Un parlementaire

19h15 – 20h00

LE POINT DE VUE DE L'OPINION

Interventions du public et réponses aux questions posées par mail lors de l'inscription.

 

Si vous souhaitez assister, merci de vous inscrire


Ateliers Santé - Environnement                       

Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

Dans le cadre du Diplôme Inter Universitaire (DIU) Santé - Environnement de Paris 5, Paris 6 et Paris 7, des ateliers ouverts sont organisés quatre fois par an pour éclairer le public sur les sujets qui font débat en santé dans sa nouvelle dimension environnementale et sociétale.

Ces ateliers sont conçus comme des « travaux pratiques » dans un objectif essentiellement pédagogique, afin de rendre compte de l'état des connaissances scientifiques mais aussi de leur évaluation, voire de leur interprétation, à tous les niveaux du débat public, depuis l'alerte jusqu'à la décision.

Deux premiers ateliers, en 2011 et 2012, sur la question des pesticides et la prise en charge des personnes électrohypersensibles ont permis de valider la pertinence de cette formule argumentaire et interactive, et d'envisager d'autres réunions sur le même modèle courant 2013.

Lundi 3 décembre 2012, de 17h00 à 20h00, les « 3e Ateliers santé-environnement » poseront la question de la validité des études telles qu'elles s'imposent aujourd'hui en référence incontournable, mais souvent discutable, à la fois sur le plan médiatique et dans un nouveau contexte de décision politique.

A partir d'exemples précis, des scientifiques, des journalistes et des décideurs démontreront, de leur point de vue, différent et complémentaire, parfois conflictuel, les difficultés actuelles et les contraintes de l'information et de la décision en santé.

Pour répondre avec des arguments validés et référencés aux incompréhensions et aux inquiétudes de nos concitoyens.

Pour fournir à ceux qui ont la responsabilité d'informer et de décider une grille de lecture adaptée aux conditions d'exercice et à l'éthique de leur métier.

 

Posez vos questions par courriel : claire.zaslavsky@upmc.fr

Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs de qualité et de sécurité des soins


Pour une politique de transparence dans les établissements de santé :  bilan, nouveautés et perspectives  des indicateurs de qualité et de sécurité des soins

 

Dans le cadre de la deuxième édition de semaine de la sécurité des patients, qui se tient du 26 au 30 novembre 2012, Jean Debeaupuis, directeur général de l'offre de soins et le professeur Jean-Luc Harousseau, président de la Haute Autorité de Santé (HAS), ont restitué ce jour les résultats des indicateurs de qualité et de sécurité des soins 2011.

Tous deux saluent l'action des établissements de santé : depuis près de six ans, ceux-ci se sont engagés dans cette démarche en participant au déploiement de ces indicateurs, véritable outil de pilotage de la qualité et de la sécurité des soins pour les établissements et de transparence à destination des usagers.

 

Les résultats sont d'ores et déjà accessibles sur le site de diffusion publique Platines  : www.platines.sante.gouv.fr

 

A ce jour, 16 indicateurs existent : 7 pour la lutte contre les infections nosocomiales - généralisés par la DGOS - 9 pour la qualité et la sécurité de la prise en charge du patient - QUALHAS, généralisés par la HAS.

Chaque établissement a 2 mois à compter de ce jour pour mettre à la disposition du public ses résultats individuels assortis de données de comparaison, permettant ainsi une information au plus près de l'usager.

 

C'est précisément à destination des établissements - et plus globalement, de tous les acteurs qui diffusent des informations comparatives utilisant les indicateurs : journalistes, opérateurs de soins etc - que la HAS a élaboré un guide publié aujourd'hui. Ce guide méthodologique de diffusion publique des indicateurs doit les aider à améliorer la qualité de leur communication et son impact auprès du public.

 

La HAS et la DGOS entendent porter de manière forte l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins.

Ainsi, en plus de l'extension des indicateurs QUALHAS aux secteurs de la psychiatrie et de l'hospitalisation à domicile, la HAS diffuse cette année un indicateur dans le domaine de la cancérologie sur une étape clé de la prise en charge au travers des réunions de concertation pluridisciplinaire (RCP) et l'indicateur de pratique clinique sur l'évaluation du risque d'escarre en HAD.

 

Pour continuer à progresser sur le champ de la sécurité des patients, plusieurs changements marquent l'évolution du tableau de bord des infections nosocomiales, avec des indicateurs de 2ème génération :

-        plus exigeants sur les actions et les résultats,

-        plus spécifiques sur les grands risques graves et évitables avec de nouveaux indicateurs : l'indicateur composite de lutte contre les infections du site opératoire (ICA-LISO) et l'indicateur composite de maîtrise de la diffusion des bactéries multi-résistantes (ICA-BMR).

De la même façon, les indicateurs de qualité et de sécurité de la prise en charge de la HAS en cours de généralisation visent à mesurer la qualité et la sécurité des soins pour des prises en charge cliniques fréquentes afin de compléter un dispositif transversal aux pratiques hospitalières.

 

Le site Platines, plateforme de diffusion publique des indicateurs, connaît de nouvelles avancées telles que  l'introduction des secteurs de l'hospitalisation à domicile (HAD), de la santé mentale ainsi qu'une évolution de son ergonomie et la recherche d'établissement par géolocalisation.

 

Enfin, afin de prolonger la recherche sur le développement d'indicateurs, un appel à projet conjoint au ministère chargé de la santé et à la HAS est prévu, dans le but de financer des nouveaux projets de recherche pour les années 2013-2016.

 

Des thèmes prioritaires sont d'ores et déjà envisagés, tels que la satisfaction des patients, l'amélioration du parcours de soins, le management des ressources humaines,  l'évaluation de la qualité en psychiatrie et la sécurité des prises en charge.

Plus d'informations :


 


 

 

MINE D'INFOS: Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résulta...

MINE D'INFOS: Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résulta...: Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une pr...

Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS


Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé

 

Convaincue que l'organisation en réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé : niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en optique.

 

Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé

 

Constat :: Un accès aux soins difficile, notamment dans le secteur de l’optique

 

La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.

 

Les contraintes financières se concentrent sur deux postes de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.

 

Concernant les soins optiques, plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour des raisons financières.

 

En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des verres progressifs.

 

 

2 Français sur 3 portent des lunettes correctrices.

Plus de 4 porteurs de lunettes sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.

 

Le renoncement aux soins optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.

 

 

 

Enquête auprès d’’utiilliisateurs de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats de l’enquête IPSOS4

 

Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.

 

Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.

 

Des comportements exigeants et des achats éclairés

 

Comme pour les porteurs de lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement avant d’acheter, 65% :

 

46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des opticiens,

 

44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui resterait à leur

charge,

 

26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs opticiens,

 

35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.

 

Les critères de choix de l’opticien agréé sont très centrés sur le reste à charge :

 

74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,

 

71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres et/ou des montures proposés.

 

Ces acheteurs ont également des exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été des critères de choix importants.

 

 

Une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles

 

81% des acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs 71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.

 

Les différences portent principalement sur la satisfaction quant :

 

· au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,

 

 

· au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les porteurs de lunettes correctrices en population générale,

 

· aux services/offres proposés, 87% vs 79%,

 

· au montant du remboursement, 83% vs 72%.

 

 

La satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant satisfaits.

 

 

Un réseau d’’optiiciiens agréés,, c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?

 

Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans le secteur de l’optique.

 

Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés. Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.

 

Le principe du réseau

 

Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité, de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés, pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.

 

En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent. Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du  besoin en équipement.

 

Aujourd’hui, 7 700 opticiens sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000 opticiens en France.

 

Lutter contre un système inflationniste

 

A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen constaté hors réseaux.

 

Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau, le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.

 

Investir dans la qualité

 

En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.

 

Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7 700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le secteur de l’optique.

 

Leur engagement à offrir les prestations au meilleur rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les patients comme pour le secteur de l’optique.

 

Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est accrue.

 

 

Les réseaux d’opticiens agréés :: pour lutter contre les idées reçues

 

 

Avec les réseaux, les adhérents n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.

 

FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune façon à l’adhérent le choix de son

opticien.

 

Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.

 

En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé, sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis conventionnellement avec les opticiens agréés.

 

L’adhérent bénéficie d’une prise en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.

 

 

Les réseaux permettent aux mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.

 

FAUX - Les réseaux permettent un meilleur contrôle des prix au bénéfice des

adhérents.

 

La part de l’optique dans le total des prestations des mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14% entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.

 

Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.

 

Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer les prestations rendues à l’adhérent.

 

Les mutuelles investissent massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.

 

3. Les réseaux baissent la qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.

 

FAUX - Les réseaux proposent toutes les gammes d’équipement optique.

 

La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques des produits de santé.

 

Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex : conditions de service après-vente).

 

 

Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de gamme », « milieu de gamme » ainsi

qu’à des produits dits « haut de gamme ».

 

Les réseaux permettent au contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.

 

4. Les réseaux agréés ne sont pas accessibles partout sur le territoire.

 

FAUX - Les réseaux sont conçus en fonction de la couverture du territoire.

 

La couverture du territoire est l’un des principaux critères de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.

 

Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.

 

Les mutuelles ont aussi pour objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères précis et mesurables.

 

 

Seules les grandes enseignes peuvent être agréées par les mutuelles.

 

FAUX - Les réseaux sont ouverts à tous sur des appels d’offres libres et transparents.

 

Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits, etc.

 

Les réseaux d’opticiens agréés accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.

 

 

6. Les réseaux de soins détruisent l’industrie optique française.

 

FAUX - Il existe autant de ‘’Made in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.

 

Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés, se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.

 

Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.

 

1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête sur le renoncement aux soins, 2011.

2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.

3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les

bénéficiaires gérés par les organismes de base.

4 Cette enquête a été réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.

 

Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr