MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mercredi 28 novembre 2012
MINE D'INFOS: Optistya, nouveau nom du réseau MGEN
MINE D'INFOS: Optistya, nouveau nom du réseau MGEN: Optistya est le nouveau nom du réseau de 2 035 opticiens lancé par le groupe MGEN en 2008. Au I" janvier, Optistya sera aussi destiné aux...
MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard
MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard: «Construire un parcours de soins plus cohérent» Libération Etienne Caniard , de la Mutualité française, défend la constitution de rése...
MINE D'INFOS: Responsabilité sociétale :
MINE D'INFOS: Responsabilité sociétale :: L’évaluation AFAQ 26000 pour distinguer les bonnes pratiques L’ISO 26000, 1 ère norme internationale sur la responsabilité sociétale...
MINE D'INFOS: Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!
MINE D'INFOS: Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!: Le Congrès de l’ADF, est le rendez-vous annuel de toute la profession dentaire. Le thème du Congrès de l’ADF 2012 est « Garder le s...
Les Français sont-ils fiers de leurs dents !!!
Le Congrès de l’ADF,
est le rendez-vous annuel de toute la profession dentaire. Le thème du Congrès
de l’ADF 2012 est «Garder le sourire». C’est un clin d’œil qui concerne à la
fois les patients et les praticiens. L’enquête
réalisée par Opinionway pour l’ADF permettant d’évaluer le niveau de
satisfaction des Français par rapport à leur sourire et de savoir si les Français
osent sourire et découvrir leurs dents vous sera présentée, lors de la conférence
inaugurale, mercredi 28 novembre à 12H au
Palais des Congrès – Salon Petite Etoile d’Or du Palais des Congrès (4ème
niveau)
Parmi les sujets abordés lors de
cette conférence de presse :
- - L’odontologie durable :
pour que prise en charge dans le temps rime avec « Garder le sourire ». Le
docteur Giovannoli, Président du Congrès ADF 2012 expliquera que l’odontologie
durable a comme principale mission de prévenir d’abord, de soigner ensuite et
de maintenir surtout. C’est une prise en prise en charge dans le temps pour un
résultat dans le temps.
- La Sécurité
des patients. La profession dentaire
est citée en exemple par les autorités de santé –DGS / HAS. A l’occasion de la
2e semaine de la sécurité des patients initiée par le Ministère des
Affaires sociales et de la Santé, le
docteur Philippe Rocher - Président de la Commission des dispositifs médicaux
de l’ADF expliquera ce que font les chirurgiens-dentistes pour garantir la sécurité
de leurs patients.
- Parodontites
: 1 Français sur 2 concerné. Le docteur Philippe Bouchard - Président du
Conseil scientifique du Congrès ADF 2012 expliquera le lien sous-estimé entre
les maladies parodontales, l’obésité et
les maladies cardiovasculaires.
- Le docteur
Paul Cattanéo, présentera les dernières avancées de la technologie dentaire:
fini la fraise, fini les prises d’empreintes à l’aide de pâtes élastiques, et
dans peu de temps, des implants
biologiques aussi vrais que la dent naturelle….
Une visite des deux expositions
phares du Congrès 2012 sera organisée après la conférence de presse
- l’espace
innovation au niveau 4 : les 10 innovations de l’année seront présentées.
- L’espace développement
durable au niveau 2 illustré par un cube géant et transparent contenant
les déchets d’un mois d’activités d’un cabinet dentaire (papiers, cartons,
serviettes jetables, plateaux …). Ce cube symbolise l’engagement des chirurgiens – dentistes en faveur du développement
durable. L’exposition est constituée de panneaux d’information et de conseils
pour mettre en pratique le Développement Durable au cabinet dentaire, d’animations
interactives (calculateurs équivalents carbone des déchets produits, prix des
traitements des déchets). Un Guide du chirurgien-dentiste éco-responsable sera
largement diffusé.
Libellés :
Congrès de l’ADF,
dents,
Développement Durable,
Français,
L’odontologie durable,
Parodontites,
patients,
sécurité,
Sourire
Responsabilité sociétale :
L’évaluation AFAQ 26000 pour distinguer les bonnes
pratiques
L’ISO
26000, 1ère norme internationale sur la responsabilité sociétale,
vient d’être publiée. Comment l’organisme peut-il démontrer qu’il mène des
actions concrètes en faveur du développement durable et assume pleinement sa
responsabilité sociétale ? AFNOR Certification propose l’évaluation AFAQ
26000 qui permet à tout organisme, quelles que soient sa taille et ses
activités, de faire reconnaître les efforts qu’il a engagés et de susciter une
dynamique de progrès.
La
responsabilité sociétale est la contribution des organismes - entreprises,
collectivités, ONG, syndicats… - au développement durable.
Elle se
traduit par la volonté de l’organisation d’assumer la responsabilité des
impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement, et d’en
rendre compte. Le développement durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite
des adaptations et des efforts constants. L’évaluation AFAQ 26000 passe au
crible l’ensemble des pratiques d’une organisation ainsi que ses résultats sur
les 3 piliers du développement durable (économique, social et environnemental).
L’organisme
évalué obtient une note sur 1000 qui correspond à l’un des quatre niveaux de
maturité du modèle d’évaluation (Engagement, Progression, Maturité et
Exemplarité).
Il bénéficie
ainsi d’un véritable état des lieux avec une feuille de route qui lui
permettent d’estimer la pertinence de sa
politique de responsabilité sociétale selon la norme ISO 26000, et d’identifier
les points forts et les points faibles de ses pratiques.
Stratégie
de responsabilité sociétale, intégration de la responsabilité sociétale dans le
management, ressources humaines et conditions de travail, ancrage territorial,
production, consommation, protection du consommateur…tous ces points sont
analysés par une équipe d’évaluateurs extérieurs experts, spécialement qualifiés.
AFNOR
Certification dispose de plus de 3 ans de retours d’expérience avec l’évaluation
développement durable AFAQ 1000NR. Une centaine d’organisations ont déjà fait évaluer
leurs pratiques. Aujourd’hui, AFAQ 1000NR laisse la place à AFAQ 26000.
De la
norme ISO 26000 à l’évaluation AFAQ 26000
Les réponses
de chaque organisation en terme de responsabilité sociétale sont différentes et
leur pertinence dépend du contexte de chacune.
Le développement
durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite des progrès, des efforts
et des adaptations constants.
La
responsabilité sociétale ne fait donc pas appel à un jugement binaire « Je suis
développement durable » ou « Je ne le
suis pas ». L’évaluation de la maturité pour faire reconnaître les efforts des
organisations tout en suscitant une dynamique de progrès est la solution la plus
pertinente en termes éthiques et techniques.
Pour en
savoir plus : www.afnor.org
AFNOR
Certification est, en France, le premier organisme de certification et d’évaluation
de systèmes, services, produits, compétences. L’un des premiers au niveau
mondial, cette société du Groupe AFNOR propose les deux marques les
plus connues du marché : AFAQ et NF. Elle délivre plus de 500 prestations
différentes. Accréditée en France et à l’étranger, elle offre un véritable
service de proximité grâce à ses 27 implantations sur les 5
continents et à ses 13 délégations régionales françaises. Elle
mobilise 1500 auditeurs qualifiés pour répondre aux besoins de ses
clients répartis sur plus de 60000 sites de par le monde.
Alerte Etienne Caniard
«Construire un parcours de soins plus cohérent»
Libération
Etienne Caniard, de la Mutualité française, défend la constitution de réseaux de santé : Recueilli par Éric Favereau Libération C'est aujourd'hui que les ...
Libération
Etienne Caniard, de la Mutualité française, défend la constitution de réseaux de santé : Recueilli par Éric Favereau Libération C'est aujourd'hui que les ...
Optistya, nouveau nom du réseau MGEN
Optistya est le nouveau nom du réseau de 2 035 opticiens lancé par le groupe MGEN en 2008. Au I" janvier, Optistya sera aussi destiné aux adhérents de la MGET de la MCDef et de la MAEE puis aux adhérents de la MGEFI et de la MGF. Au total, 3,5 millions de personnes y auront accès.
NDLR : A lire également dans la rubrique "fiche métier" de l'Opticien
Lunetier ( OCT 12 ) un article sur la gestion des adhérents "Spécialiste de
prestations santé prévoyance"
mardi 27 novembre 2012
MINE D'INFOS: Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs ...
MINE D'INFOS: Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs ...: Pour une politique de transparence dans les établissements de santé : bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs de qualité et...
MINE D'INFOS: SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des ...
MINE D'INFOS: SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des ...: Paris 5 / Paris 6 / Paris 7 Lundi 3 décembre 2012 17h00 - 20h00 AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand 16, rue Claude Be...
MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard
MINE D'INFOS: Alerte Etienne Caniard: Mutuelles, assurances : est-ce si différent ? AgoravoxTv Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD présid...
MINE D'INFOS: Chantons pour la Recherche Médicale en Ophtalmolo...
MINE D'INFOS: Chantons pour la Recherche Médicale en Ophtalmolo...: Retina France est heureuse d’annoncer à toutes les chorales que la 18 ème édition de Mille chœurs pour un regard est lancée et que to...
MINE D'INFOS: 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir
MINE D'INFOS: 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir: La Fondation de l’Avenir remettait, le 21 novembre dernier, les Prix des Chirurgiens de l’Avenir aux étudiants les plus prometteurs du ...
MINE D'INFOS: Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille...
MINE D'INFOS: Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille...: Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ...
MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...
MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...: L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et l’Institut Curie organisen...
Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et crise économique
L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et
Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et l’Institut Curie organisent, dans le cadre de
Paris Sciences et Lettres, un séminaire.
Mercredi 5 décembre 2012
Santé, Crise économique
Quel est l’impact de la crise sur le système de santé, son financement et la qualité des soins ?
La santé, facteur de surendettement ? Ou facteur de croissance ?
Institut Curie, Accueil 8h45 - 9h-12h30 Amphi Constant Burg
12 rue Lhomond, Paris 5e
12 rue Lhomond, Paris 5e
Inscription obligatoire par mail : christine.roulliere@wanadoo.fr
En partenariat avec :
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation Privée, La Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation Privée, La Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé
Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille !
Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une
licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ZENEO®
en association avec un médicament traitant la polyarthrite rhumatoïde. Ce
dispositif innovant permet aux patients de s’auto-administrer les doses
prescrites en toute sécurité. Une révolution dans le monde médical et une avancée
majeure pour l’entreprise. Explications.
La polyarthrite rhumatoïde est une maladie dégénérative
inflammatoire chronique qui se caractérise par une atteinte articulaire souvent
bilatérale et symétrique. Evoluant par poussées vers la déformation et la
destruction des articulations atteintes, elle nécessite notamment un traitement
intensif et long. Dans la quasi majorité des cas, il se traduit par des
injections d’antalgiques classiques, d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou
de corticostéroïdes à faible dose. Des traitements de fonds existent également.
ZENEO®, un dispositif médical d’injection sans
aiguille, attendu par les patients
« Pour soulager les personnes atteintes par la
polyarthrite rhumatoïde tout en évitant les injections avec seringues et
aiguilles ou des traitements parfois difficiles à suivre, Crossject a mis au
point ZENEO®, un dispositif d’injection
sans aiguille, conçu pour faciliter l’auto-administration de médicaments
injectables » explique Patrick Alexandre, PDG de Crossject.
ZENEO® est une innovation qui répond à des enjeux majeurs
de santé publique encore non satisfaits :
- Elimine la
phobie de l’injection par aiguille qui affecte 10% de la population qui refuse
pour cette raison de suivre le traitement médical (25% de la population est réticente),
- Réduit le «
stigma social » en améliorant la qualité de vie des patients par un dispositif
auto-administrable qui banalise les traitements chroniques injectables qui sont
ainsi mieux acceptés,
- Favorise l’observance
des traitements. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le mauvais suivi
des thérapies chroniques est un problème mondial qui affecte 50% des patients.
- Supprime les
risques de contamination virale accidentelle des personnels de soin et de l’entourage
des patients.
- Accélère la
prise en charge des situations d’urgence par sa simplicité d’usage pour sauver
des vies ; ceci pour de nombreuses maladies telles que les allergies ou l’asthme
où la rapidité d’intervention est déterminante.
Explications dans le communiqué ci-joint
Explications dans le communiqué ci-joint
5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir
La Fondation de l’Avenir
remettait, le 21 novembre dernier, les Prix des Chirurgiens de l’Avenir aux étudiants
les plus prometteurs du Master 2 de Sciences Chirurgicales (Universités Paris
Sud et Paris Est-Créteil).
C’est dans la magnifique salle du conseil de l’Université
Paris Descartes (Paris 5e) que s’étaient réunis universitaires, médecins, étudiants
et mutualistes, pour assister à la 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir.
Cet événement
organisé en partenariat avec les Universités Paris Sud et Paris Est-Créteil
(représenté par le Pr. Eric Allaire), avec le soutien de l’Académie Nationale
de Chirurgie (représentée par son président, le Pr. Jacques Baulieux) est
destiné à récompenser les meilleurs travaux réalisés dans le cadre du Master 2
de Sciences Chirurgicales.
La cérémonie, animée
par Michel Sirven (membre du directoire de la FDA) a débuté après la conférence
du Pr. Dominique Franco, professeur de chirurgie digestive à l'Université
Paris-Sud, sur le thème : " Quels défis pour la chirurgie de
demain?".
Comme chaque année,
les prix étaient répartis en 3 parcours : Neurosciences, Cancérologie et 3R (Régénération,
Réparation, Remplacement), avec une dotation de 3000€ chacun, et 6000€ pour le
prix spécial du jury (tous parcours confondus).
Le lauréat du
parcours Neurosciences, Michel Nassar, a reçu son prix
des mains de Véronique Faure (membre du
directoire de la FDA) et du Pr. Evelyne Emery (responsable du parcours
Neurosciences du master). Son travail portait sur les surdités liées à
l'infection foeto maternelle à cytomégalovirus.
C’est Dominique
Lebrun (trésorière de la FDA) et le Pr. Marc Pocard (responsable du parcours
Cancérologie du master) qui ont eu l’honneur de remettre le prix du parcours
Cancérologie à Chetana Lim, pour son travail sur les métastases des cancers
colorectaux.
Quant au prix
du parcours 3R, il a été remis à Pierre Lhommet, par le Pr. Emmanuel
Martinod, (responsable du parcours 3R du master) et Anne Mounolou (secrétaire générale
de la FDA) pour son étude sur la thérapie cellulaire cardiaque.
Enfin, le prix spécial du Jury a été décerné à Adeline Decambron,
des mains du Pr. Pierre Bonfils et de Dominique Letourneau, respectivement président
du conseil scientifique et président du directoire de la Fondation de l’Avenir.
Son travail portait sur des matériaux "biohybrides" pour la réparation
osseuse.
Chantons pour la Recherche Médicale en Ophtalmologie Ouverture des inscriptions pour les chorales !
Retina France est heureuse d’annoncer
à toutes les chorales que la 18ème édition de Mille chœurs pour un
regard est lancée et que toutes les chorales peuvent participer à cet événement
choral au profit de la Recherche Médicale en Ophtalmologie.
Les concerts de
chorales auront lieu les 22, 23 et 24 mars 2013 sur toute la France et les
inscriptions sont ouvertes jusqu’à fin janvier.
C’est la chanteuse
ENZO ENZO, aux couleurs pop-jazzy qui parraine cette opération et qui offre à
toutes les chorales inscrites, la possibilité d’intégrer à leur répertoire la
chanson « La même lune que moi » dont les partitions seront envoyées
gratuitement.
Chaque année, les
artistes sont de plus en plus nombreux à s’investir pour alerter le public sur
les maladies, « la vue est un des domaines dans lequel il faut se mobiliser
pour permettre à la Recherche d'avancer » confie Enzo Enzo.
En 2012, Retina
France a contribué au versement d’un million d'euros à la Recherche Médicale en
Ophtalmologie, soit le financement de nombreux programmes et bourses de
recherche dans des laboratoires Inserm et CNRS. La thérapie génique, les
facteurs de croissance, le génotypage etc. sont autant d’axes de recherche
soutenus par l’association, reconnue d’utilité publique.
En 2012, 650 concerts ont été donnés et 1800 chorales ont donné de leur voix pour le plus grand bonheur du public. L'originalité de "Mille chœurs pour un regard" consiste en l'organisation de centaines de concerts partout en France.
L'association
fournit aux chorales l'ensemble des supports de communication (partitions,
affiches, programmes, tracts, billets….) et prend en charge les frais
d'organisation avec le concours de la SACEM.
Il s’agit pour les chorales d’un rendez-vous incontournable, musical et solidaire !
Pour participer rien de plus simple, rendez-vous sur le site internet www.retina.fr ou contactez l’association :
RETINA FRANCE
2 chemin du
Cabirol- 31770 COLOMIERS
Alerte Etienne Caniard
Mutuelles, assurances : est-ce si différent ?
AgoravoxTv
Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD président de la mutualité française. Pardon, mais tout à voir si on regarde la ...
AgoravoxTv
Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD président de la mutualité française. Pardon, mais tout à voir si on regarde la ...
SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des études
Paris 5 / Paris 6
/ Paris 7
Lundi 3 décembre 2012
17h00 - 20h00
AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand
16, rue Claude Bernard. 75005 Paris
(Re)passez votre certificat d’études !
17h00
DU CERCLE VICIEUX
DE BRENNER AU CERCLE VERTUEUX DE L’OMS
André AURENGO - Paris VI
17h15
CÔTÉ SCIENTIFIQUE
: UNE ÉTUDE PEUT EN CACHER UNE AUTRE...
Claude MONNERET : du « sans parabènes » à la une
André AURENGO : téléphones portables : du débat
sur toute la ligne
Louis-Marie
HOUDEBINE : on peut tout
faire dire à des rats...
18h15
CONTEXTE : DEBAT
PUBLIC OU MEDIATIQUE ?
Sylvestre HUET (Libération)
Marc MENNESSIER (Le Figaro)
18h45
SUIVI POLITIQUE :
DÉCIDER ou décider de poursuivre les études
Un parlementaire
19h15 – 20h00
LE POINT DE VUE DE L'OPINION
Interventions du
public et réponses aux
questions posées par mail lors de l'inscription.
Si vous souhaitez assister,
merci de vous inscrire
Ateliers Santé -
Environnement
Paris 5 / Paris 6
/ Paris 7
Dans le cadre du
Diplôme Inter Universitaire (DIU) Santé - Environnement de Paris 5, Paris 6 et
Paris 7, des ateliers ouverts sont organisés quatre fois par an pour éclairer
le public sur les sujets qui font débat en santé dans sa nouvelle dimension
environnementale et sociétale.
Ces ateliers sont
conçus comme des « travaux pratiques » dans un objectif essentiellement pédagogique,
afin de rendre compte de l'état des connaissances scientifiques mais aussi de
leur évaluation, voire de leur interprétation, à tous les niveaux du débat
public, depuis l'alerte jusqu'à la décision.
Deux premiers
ateliers, en 2011 et 2012, sur la question des pesticides et la prise en charge
des personnes électrohypersensibles ont permis de valider la pertinence de
cette formule argumentaire et interactive, et d'envisager d'autres réunions sur
le même modèle courant 2013.
Lundi 3 décembre
2012, de 17h00 à 20h00, les « 3e Ateliers santé-environnement » poseront la question de la
validité des études telles qu'elles s'imposent aujourd'hui en référence
incontournable, mais souvent discutable, à la fois sur le plan médiatique et
dans un nouveau contexte de décision politique.
A partir
d'exemples précis, des scientifiques, des journalistes et des décideurs démontreront,
de leur point de vue, différent et complémentaire, parfois conflictuel, les
difficultés actuelles et les contraintes de l'information et de la décision en
santé.
Pour répondre avec
des arguments validés et référencés aux incompréhensions et aux inquiétudes de
nos concitoyens.
Pour fournir à
ceux qui ont la responsabilité d'informer et de décider une grille de lecture
adaptée aux conditions d'exercice et à l'éthique de leur métier.
Posez vos questions par courriel : claire.zaslavsky@upmc.fr
Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs de qualité et de sécurité des soins
Pour une politique de transparence dans les établissements
de santé : bilan, nouveautés et
perspectives des indicateurs de qualité
et de sécurité des soins
Dans le cadre de la deuxième édition de semaine de la sécurité des patients,
qui se tient du 26 au 30 novembre 2012, Jean Debeaupuis, directeur général de
l'offre de soins et le professeur Jean-Luc Harousseau, président de la Haute
Autorité de Santé (HAS), ont restitué ce jour les résultats des indicateurs de
qualité et de sécurité des soins 2011.
Tous deux saluent l'action des établissements de santé :
depuis près de six ans, ceux-ci se sont engagés dans cette démarche en participant au déploiement
de ces indicateurs, véritable outil de pilotage de la qualité et de la sécurité
des soins pour les établissements et de transparence à destination des usagers.
Les résultats sont d'ores et déjà
accessibles sur le site de diffusion publique Platines
: www.platines.sante.gouv.fr
A ce jour, 16 indicateurs
existent : 7 pour la lutte contre les infections nosocomiales - généralisés par
la DGOS - 9 pour la qualité et la sécurité de la prise en charge du patient -
QUALHAS, généralisés par la HAS.
Chaque établissement
a 2 mois à compter de ce jour pour mettre à la disposition du public ses résultats
individuels assortis de données de comparaison, permettant ainsi
une information au plus près de l'usager.
C'est précisément à destination
des établissements - et plus globalement, de tous les acteurs qui diffusent des
informations comparatives utilisant les indicateurs : journalistes, opérateurs de
soins etc - que la HAS a élaboré un guide publié aujourd'hui. Ce guide
méthodologique de diffusion publique des indicateurs doit les aider à
améliorer la qualité de leur communication et son impact auprès du public.
La HAS et la DGOS entendent
porter de manière forte l'amélioration de la qualité et de la sécurité des
soins.
Ainsi, en plus de l'extension
des indicateurs QUALHAS aux secteurs de la psychiatrie et de l'hospitalisation à
domicile, la HAS diffuse cette année un indicateur dans le domaine de la cancérologie
sur une étape clé de la prise en charge au travers des réunions de concertation
pluridisciplinaire (RCP) et l'indicateur de pratique clinique sur l'évaluation
du risque d'escarre en HAD.
Pour continuer à progresser sur
le champ de la sécurité des patients, plusieurs changements marquent
l'évolution du tableau de bord des infections nosocomiales, avec des indicateurs de 2ème génération :
- plus
exigeants sur les actions et les résultats,
- plus spécifiques
sur les grands risques graves et évitables avec de nouveaux indicateurs :
l'indicateur composite de lutte contre les infections du site opératoire
(ICA-LISO) et l'indicateur composite de maîtrise de la diffusion des bactéries
multi-résistantes (ICA-BMR).
De la même façon, les
indicateurs de qualité et de sécurité de la prise en charge de la HAS en cours
de généralisation visent à mesurer la qualité et la sécurité des soins pour des
prises en charge cliniques fréquentes afin de compléter un dispositif
transversal aux pratiques hospitalières.
Le site Platines,
plateforme de diffusion publique des indicateurs, connaît de nouvelles avancées telles que l'introduction des secteurs de
l'hospitalisation à domicile (HAD), de la santé mentale ainsi qu'une évolution de son
ergonomie et la recherche d'établissement par géolocalisation.
Enfin, afin de prolonger la
recherche sur le développement d'indicateurs, un appel à projet conjoint au
ministère chargé de la santé et à la HAS est prévu, dans le but de financer des
nouveaux projets de recherche pour les années 2013-2016.
Des thèmes prioritaires sont
d'ores et déjà envisagés, tels que la satisfaction des patients, l'amélioration
du parcours de soins, le management des ressources humaines, l'évaluation de la qualité en psychiatrie et
la sécurité des prises en charge.
Plus d'informations :
MINE D'INFOS: Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résulta...
MINE D'INFOS: Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résulta...: Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une pr...
Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS
Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des
utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une
priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé
Convaincue que l'organisation en
réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en
optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête
par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment
acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé
: niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en
optique.
Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès
d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée
au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé
Constat :: Un accès aux soins
difficile, notamment dans le secteur de l’optique
La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories
sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en
France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre
eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.
Les contraintes financières se concentrent sur deux postes
de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant
les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.
Concernant les soins optiques,
plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour
des raisons financières.
En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très
faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense
facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les
ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est
quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des
verres progressifs.
2 Français sur 3 portent des
lunettes correctrices.
Plus de 4 porteurs de lunettes
sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête
IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.
Le renoncement aux soins
optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés
du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.
Enquête auprès d’’utiilliisateurs
de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats
de l’enquête IPSOS4
Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des
Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un
opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.
Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour
les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles,
notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction
augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre
eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec
des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.
Des comportements exigeants et
des achats éclairés
Comme pour les porteurs de
lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès
d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement
avant d’acheter, 65% :
46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des
opticiens,
44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui
resterait à leur
charge,
26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs
opticiens,
35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.
Les critères de choix de l’opticien
agréé sont très centrés sur le reste à charge :
74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé
pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,
71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres
et/ou des montures proposés.
Ces acheteurs ont également des
exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de
vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été
des critères de choix importants.
Une satisfaction globalement
plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par
les mutuelles
81% des acheteurs auprès d’opticiens
membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs
71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.
Les différences portent
principalement sur la satisfaction quant :
· au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,
· au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les
porteurs de lunettes correctrices en population générale,
· aux services/offres proposés, 87% vs 79%,
· au montant du remboursement, 83% vs 72%.
La satisfaction augmente avec le
renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé
sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant
satisfaits.
Un réseau d’’optiiciiens agréés,,
c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?
Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour
faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans
le secteur de l’optique.
Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés.
Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer
la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser
le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.
Le principe du réseau
Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les
opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité,
de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des
appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité
de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite
les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire
partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs
adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés,
pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de
services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une
prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.
En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur
entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent.
Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait
inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour
certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur
le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du besoin en équipement.
Aujourd’hui, 7 700 opticiens
sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000
opticiens en France.
Lutter contre un système
inflationniste
A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles
gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement
optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen
constaté hors réseaux.
Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau,
le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.
Investir dans la qualité
En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les
mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.
Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de
prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7
700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs
pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le
secteur de l’optique.
Leur engagement à offrir les prestations au meilleur
rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de
façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les
patients comme pour le secteur de l’optique.
Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie
complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre
des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient
sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés
augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans
inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à
charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est
accrue.
Les réseaux d’opticiens agréés ::
pour lutter contre les idées reçues
Avec les réseaux, les adhérents
n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.
FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune
façon à l’adhérent le choix de son
opticien.
Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou
non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.
En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé,
sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus
juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance
de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis
conventionnellement avec les opticiens agréés.
L’adhérent bénéficie d’une prise
en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.
Les réseaux permettent aux
mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.
FAUX - Les réseaux permettent un
meilleur contrôle des prix au bénéfice des
adhérents.
La part de l’optique dans le total des prestations des
mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14%
entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement
leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.
Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un
rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement
de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle
et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.
Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire
leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux
permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer
les prestations rendues à l’adhérent.
Les mutuelles investissent
massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur
des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.
3. Les réseaux baissent la
qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.
FAUX - Les réseaux proposent
toutes les gammes d’équipement optique.
La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations
au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires
continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques
des produits de santé.
Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent
à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex :
conditions de service après-vente).
Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de
gamme », « milieu de gamme » ainsi
qu’à des produits dits « haut de gamme ».
Les réseaux permettent au
contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et
définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.
4. Les réseaux agréés ne sont
pas accessibles partout sur le territoire.
FAUX - Les réseaux sont conçus en
fonction de la couverture du territoire.
La couverture du territoire est l’un des principaux critères
de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.
Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que
tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.
Les mutuelles ont aussi pour
objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du
territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères
précis et mesurables.
Seules les grandes enseignes
peuvent être agréées par les mutuelles.
FAUX - Les réseaux sont ouverts à
tous sur des appels d’offres libres et transparents.
Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent
indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les
conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits,
etc.
Les réseaux d’opticiens agréés
accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes
qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.
6. Les réseaux de soins détruisent
l’industrie optique française.
FAUX - Il existe autant de ‘’Made
in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.
Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés,
se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres
correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.
Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez
les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.
1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête
sur le renoncement aux soins, 2011.
2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en
Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.
3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant
correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les
bénéficiaires gérés par les organismes de base.
4 Cette enquête a été
réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est
effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes
correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon
est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de
mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la
Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par
les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.
Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr
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