Nora ANSELL-SALLES

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samedi 2 mars 2013

Sidaction 2013


 

Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

samedi 23 février 2013

Sidaction 2013


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :


Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

lundi 18 février 2013

« Maladies chroniques, maladies invisibles :


quel soutien le web social apporte-t-il au patient ?
Comment contribue-t-il à l’avancée des connaissances médicales ? »

Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, l’impact sur le quotidien est souvent double. Elles doivent non seulement faire face à la gestion d’une maladie « à vie », mais également à l’isolement. En effet, les symptômes dits « invisibles » comme la fatigue ou les douleurs sont souvent mal compris par leur entourage. Le web social leur permet d'échanger avec une communauté de personnes qui vivent la même chose qu'eux. Premier réseau social dédié aux patients et à leurs proches, Carenity met à la disposition de ses membres une information médicale de qualité, des espaces communautaires sécurisés et modérés et des applications personnalisées de suivi de leur état de santé.

Maladies chroniques : de plus en plus de patients en France…

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la maladie chronique est « un problème de santé qui nécessite une prise en charge sur une période de plusieurs années ou plusieurs décennies ». Les maladies chroniques touchent près de 15 millions de personnes en France et constituent un enjeu majeur de santé publique.

Pour répondre aux besoins spécifiques des personnes concernées par les maladies chroniques que le réseau social Carenity a été fondé en 2011 par Michael Chekroun. Il s’adresse aux patients et à leurs proches pour leur permettre de suivre l’évolution de la maladie et des traitements, d’échanger au sein d’espaces sécurisés grâce à des applications personnalisées, et de faire progresser les connaissances médicales en participant à des enquêtes en ligne. Carenity regroupe en février 2013 plus de 12 000 membres au sein de 41 communautés de patients, un chiffre qui a triplé en 1 an. A terme, plus de 1 000 pathologies, y compris de nombreuses maladies rares, seront proposées afin de donner à un maximum de patients, ainsi qu’à leurs proches, la possibilité de se retrouver entre eux et d’échanger.

Des maladies souvent invisibles et silencieuses

Certaines maladies chroniques sont dites « invisibles », explique le Professeur Jean-Marie
Le Parc, rhumatologue à l'hôpital Ambroise Paré (Boulogne-Billancourt)

Certaines maladies sont en outre « silencieuses », c’est-à-dire qu’elles sont présentes sans que les symptômes ne soient perceptibles. Le Docteur Corinne Antoine, néphrologue à l’Hôpital Saint Louis (Paris), mentionne le cas de l’insuffisance rénale.

 

Quant à la maladie de Crohn, maladie inflammatoire des intestins. « Elle évolue de façon imprévisible par poussées successives », explique le Professeur Yoram Bouhnik, gastroentérologue à l'hôpital Beaujon (Paris).

 

La « double peine » de la maladie chronique invisible : résultats de l’enquête menée auprès des patients

Les malades chroniques dont la pathologie n’est pas reconnue par l’entourage proche ou professionnel subissent une forme de « double peine ». Une enquête a été menée par Carenity auprès de 279 patients inscrits sur le site, souffrant de spondylarthrite ankylosante, de la maladie de Crohn ou d’insuffisance rénale.

La combativité caractérise le mieux l’état d’esprit du patient, même s’il est confronté à l’incompréhension des autres.

 

 
Au-delà du soutien : l’échange d’information, y compris scientifique
 

 

 

 
Internet a sans nul doute constitué une révolution pour de nombreuses personnes atteintes de maladies chroniques. « Les premiers forums ou listes de discussion ont permis à des personnes qui avaient peu de chances de se rencontrer dans la vraie vie, mais qui partageaient une expérience commune en matière de santé, d’échanger facilement », observe Madeleine Akrich, sociologue et directrice du Centre de Sociologie de l'Innovation (CSI) des Mines ParisTech. Dans ces nouvelles « communautés » est apparue une notion de « soutien mutuel », poursuit-elle, « similaire à des groupes de parole associatifs, mais qui déborde de ce cadre. Car au-delà du soutien, il y a un vrai échange d’information, jusqu’à l’information scientifique. »
Les premières expériences de forums ouverts, anonymes, sans modération, ont montré leurs limites, mais « une liste de discussion (qui est par définition réservée à des membres inscrits) constitue une communauté de fait qui s’autorégule et s’autocontrôle », estime Madeleine Akrich. « Les informations qui circulent dans ce genre d’espace sont souvent de meilleure qualité que celles éventuellement données par un médecin non spécialiste de la question, poursuit-elle. Une étude souvent citée sur un forum consacré au cancer du sein a montré que lorsqu’une information fausse était mentionnée, des rectificatifs étaient apportés en quelques heures, selon un principe collaboratif efficace. »

Un réseau social comme Carenity est plus qu’un prolongement de ces échanges « car il y a une dimension de collecte de données sécurisées, organisée par une instance extérieure », observe Madeleine Akrich. En outre, poursuit-elle, « dans des pathologies mal comprises, l’exploration collective que peuvent réaliser les patients est susceptible d’apporter des connaissances nouvelles ». Pour la sociologue, « la notion d’invisibilité n’est pas la motivation essentielle qui pousse les patients à adhérer à des réseaux sociaux. En effet, les personnes s’inscrivent certes pour rechercher du soutien, mais aussi et surtout pour mieux comprendre la pathologie. Elle revêt néanmoins une grande importance lorsque les personnes souffrent d’un problème de santé mal identifié des professionnels ou attribué à des causes psychologiques pures : faire en sorte que leur pathologie soit mieux reconnue et prise en compte par le corps médical est alors une motivation profonde des patients pour se rassembler », relève Madeleine Akrich.
 

Le réseau social comme espace d’échange libre

« Dans une maladie inflammatoire chronique des intestins (MICI), les contraintes et les difficultés sont grandes par rapport à l’image de soi, la vie sociale, la vie professionnelle, etc. », souligne Corinne Devos, patiente experte et bénévole de l’Association François Aupetit (AFA). Et pourtant, « c’est invisible », poursuit-elle. « Sur un réseau social, on peut sortir de l’isolement, s’exprimer sans tabou, et se nourrir de l’expérience des autres. Au-delà du partage d’expérience, on arrive dans le partage des solutions et des ressources, et cela devient un élément moteur, positif, comme un véritable interlocuteur. »
Le « carnet de bord » de Carenity « permet de suivre l’évolution de sa maladie », explique Corinne Devos. « Ainsi, on ne retient pas uniquement les mauvais moments comme on a tendance à le faire avec sa seule mémoire. C’est une fonction intéressante au niveau de l’historique des événements. »

L’expertise du patient appelée à devenir un service professionnel ?

Corinne Devos a suivi 40h de formation, en compagnie de professionnels de santé, pour intervenir comme patiente experte dans des programmes d’éducation thérapeutique du patient (ETP). Elle réalise également du « coaching santé » pour l’AFA et s’interroge sur des formules qui permettraient à terme « de valoriser cette expertise ». « Un patient ne pose pas les mêmes questions à un autre patient qu’au médecin », souligne-t-elle. « Il interroge sur le quotidien de la maladie, les difficultés au travail, dans le couple, en famille, etc., c’est-à-dire l’expérience et le vécu du patient expert. Il est important d’être formé pour ne pas simplement inciter les autres à faire comme soi. Chacun doit aller vers des solutions adaptées à sa situation. »
« Le patient expert qui devient éducateur thérapeutique diplômé comme un infirmier devrait pouvoir être rémunéré pour ses services à terme »,
conclut-elle. « On pourrait sinon penser que l’un est moins compétent, moins professionnel que l’autre. »

Carenity en pratique

Carenity met gratuitement à la disposition de ses membres une information médicale de qualité, des espaces communautaires sécurisés et des applications personnalisées de suivi de santé. Construit sur le principe d’une plateforme collaborative de patient à patient, Carenity facilite le partage d’informations de santé entre membres de façon anonyme et sécurisée. Le contenu médical a été élaboré en collaboration avec des professionnels de santé et les espaces de discussion font l’objet d’une modération quotidienne par des community managers salariés de Carenity.

L'apport de Carenity dans la vie du malade chronique selon l'enquête

 

 
Suivre sa santé, mieux connaître sa pathologie, créer et animer son réseau
 

 

 

 
Le suivi régulier d’une maladie chronique est important et notamment l’observance rigoureuse du traitement. Plusieurs indicateurs permettent au membre de Carenity de renseigner selon la fréquence qu’il souhaite son état de santé (forme physique, humeur, poids, sommeil, etc.), et de partager des informations sur ses traitements. Un tableau de bord représente graphiquement l’évolution des données renseignées et l’historique du suivi de la maladie, qui peut être partagé avec le médecin pour un dialogue plus fructueux. Un agenda permet de gérer les prises de rendez-vous et les événements médicaux.

Un contenu médical actualisé et varié est proposé aux membres de Carenity pour les aider à mieux appréhender leur condition. Des médecins spécialistes décrivent la pathologie à travers plusieurs rubriques. Des forums thématiques sont animés et modérés quotidiennement par des community managers de Carenity. Cette partie propose également quizz, enquêtes et sondages, ainsi que de nombreux outils pratiques : lexique médical, base de médicaments, contacts d’associations de patients…

Comme les réseaux sociaux généralistes, Carenity offre la possibilité de créer son groupe d’amis et d’interagir avec lui selon le niveau de proximité souhaité.
Carenity est un site entièrement gratuit pour ses membres. Ses revenus proviennent essentiellement de la commercialisation d’études réalisées à partir d’enquêtes anonymisées auprès de ses utilisateurs. L’objectif est de traduire les expériences individuelles des patients en connaissances mobilisables par des chercheurs et des industriels pour favoriser la mise au point, par les professionnels compétents, d’une meilleure offre de soins et de services médicaux.
 

Le modèle Carenity : une philosophie ?


Carenity repose sur une « conviction profonde », explique Michael Chekroun. « Longtemps on a écouté la seule parole du médecin pour comprendre les besoins des malades. Nous sommes en train de changer de paradigme : le web collaboratif, ou web 2.0, permet aujourd’hui de recueillir des informations pertinentes issues de la « vraie vie » du patient ». Ainsi, à la connaissance scientifique du médecin s’ajoute « la connaissance profane du patient », note Michael Chekroun. Ces informations, anonymes et agrégées, constituent de précieuses « données en vie réelle » que les industries de santé peuvent prendre en compte dans la mise au point de nouveaux traitements ou services médicaux. « La grande majorité de nos utilisateurs reconnaît que ces données anonymes permettent de créer une intelligence collective contribuant au progrès des connaissances médicales, et que cela constitue par ailleurs un outil puissant pour faire entendre la voix des patients », relève Michael Chekroun.

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 



Sidaction 2013


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 


Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.


L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.


Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.


Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :




Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

vendredi 8 février 2013

Lancement du prochain sidaction


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

   

Paris, le 7 février 2013 - La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 

Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore,  vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

 

L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

  

Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs  pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

 

Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet : www.sidaction.org

Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS


NDLR : MGEFI ET SIDA


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30 nov. 2012 – Cadureso - La MGEFI soutient la journée de lutte contre le sida. A l'initiative du secrétariat général des Ministères Economique et Financier, ...


 

lundi 21 janvier 2013

« Maladies chroniques, maladies invisibles : quel soutien le web social apporte t-il au patient ? Comment contribue-t-il à l'avancée des connaissances médicales ? »



Michael Chekroun, fondateur de Carenity a le plaisir de vous convier au Point Presse :

« Maladies chroniques, maladies invisibles : quel soutien le web social apporte t-il au patient ? Comment contribue-t-il à l’avancée des connaissances médicales ? »

 
Autour des regards croisés d’une sociologue, d’une patiente experte et de médecins référents.

 
Le 15 février 2013 à 9H30

à l’Hôtel de l’Arcade 9, rue de l’Arcade 75008 Paris


Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, l’impact au quotidien est souvent double. Elles doivent faire face non seulement à la gestion d’une maladie « à vie », mais également à l’isolement. En effet, les symptômes dits « invisibles » de ces maladies, comme la fatigue ou les douleurs, sont souvent mal compris par leur entourage. Pas étonnant donc que ces malades aient un besoin particulier d’échanger et de partager leur expérience avec d’autres. Et c’est aujourd’hui au travers des réseaux sociaux qu’ils s’expriment. Alors, comment le web social a-t-il permis de répondre aux besoins et aux attentes des malades et quelles sont les perspectives offertes par ces nouveaux outils ?

 
Vous trouverez en pièce jointe l’invitation relative à cet événement.

 

Nous vous remercions par avance de bien vouloir nous informer de votre participation ou de nous contacter pour tout complément d’information :
 
 

Contacts presse :      
Alexandra DELEUZE & Gabrielle ISSAVERDENS
Email :a.deleuze@ljcom.net / g.issaverdens@ljcom.net

jeudi 17 janvier 2013

Lancement du programme SHE, un programme européen de soutien aux femmes vivant avec le VIH


Programme SHE : Aider les femmes séropositives  à retrouver une estime de soi et à devenir autonomes

Quand annoncer sa séropositivité à sonpartenaire ? Comment gérer au mieux sa vie sexuelle ? Quels sont ses droits quand on est une femme vivant avec le VIH ?...
Les femmes infectées par le VIH pourronttrouver réponses à leurs questions dans un programme unique de soutien, SHE (Strong, HIV Positive, Empowered Women), consultable gratuitement sur le site internet :
www.sheprogramme.fr.
Le programme SHE a été élaboré par des femmes infectées par le VIH, des associations de patients et des médecins spécialisés dans le suivi de patients atteints du VIH ; il est soutenu par Bristol-Myers Squibb.   
SHE a vocation à aider les femmes et les jeunes filles atteintes du VIH à mieux vivre avec le VIH, à développer leur autonomie et à reprendre confiance en elles, grâce, entre autres, à la mise en place de groupes d’entraide.
« Les inégalités physiologiques, culturelles, sociales et économiques, parfois cumulées et vécues par les femmes, les placent dans des situations fragilisantes face au VIH/sida, elles se retrouvent souvent isolées du fait des difficultés à révéler et à gérer leur statut séropositif » témoigne Hélène Freundlich, coordinatrice de l’action « Femmes & Migrantes » à Sida Info Service.
Chaque seconde une femme est contaminée par le VIH dans le monde
[1]. En 2010 en France, les femmes représentaient 32% des personnes nouvellement dépistées séropositives, dont 13% ayant moins de 25 ans[2]. En 2009, en France 48 000 femmes étaient infectées par le VIH[3].

SHE : un programme de soutien dédié aux femmes séropositives

Associations de patients, médecins spécialisés dans la prise en charge de patients atteints de VIH et femmes séropositives ont collaboré ensemble en Europe afin de mettre au point un programme unique, SHE, destiné plus spécifiquement aux femmes porteuses du virus du sida, afin de répondre aux questions qu’elles peuvent se poser.

« Lors de ma participation à l’élaboration du programme SHE, j’ai été stupéfaite du peu d’intérêt et de données qu’il y avait dans la littérature sur la thématique des femmes séropositives. En effet, les thèmes de la recherche chez les femmes séropositives se limitent souvent à la procréation en oubliant les aspects sociaux, économiques, psychologiques et les effets secondaires des traitements… Ces différentes thématiques sont traitées dans le programme SHE et sont destinés aux femmes séropositives et au personnel de santé afin d’optimiser la prise en charge et la qualité de vie des patientes » indique le Dr Stéphanie Dominguez, PH Service d’Immunologie Clinique Hôpital Henri Mondor, Créteil.

 

La boîte à outils du programme SHE - divisée en sept modules - permet aux femmes séropositives désireuses de venir en aide aux autres femmes et adolescentes malades d’organiser des groupes de paroles pour aborder toutes les questions qu’elles se posent et ainsi essayer de vivre mieux avec le VIH.
« La richesse du programme SHE est l’ensemble de ses thématiques qui nous permet de mener la discussion, d’abord entre les accompagnatrices, ce qui est très enrichissant, puis avec le groupe. Cette boite à outils officie comme un guide et nous permet de cadrer les échanges » affirme Bernadette Rwegera, directrice de l’association Ikambere.

Des échanges entre pairs, bénéfiques aux femmes et jeunes filles atteintes de VIH pour améliorer leur qualité de vie

Discrimination, rejet, violence, précarité, isolement…., sont le lot de nombreuses femmes atteintes du VIH. « La grande majorité des femmes qui viennent à Ikambere souffrent de discrimination liée à leur séropositivité. Certaines ont été exclues par leur mari ou leur famille ; d’autres ont été licenciées. Ces femmes se trouvent plongées dans une grande précarité et dans une profonde détresse émotionnelle. Nous les aidons avec nos partenaires à trouver un logement puis on commence le travail de soutien », témoigne Bernadette Rwegera.

Différents groupes de discussion entre pairs sont organisés dans les associations de patients ou à l’hôpital. Les participantes échangent sur une thématique du programme SHE et font part de leur expérience, des difficultés rencontrées, de leurs peurs, de leurs succès. « A l’annonce de sa séropositivité, la femme pense que sa vie est terminée. En venant à ces groupes de paroles où elle rencontre des femmes malades comme elle, elle échange, pose toutes les questions qu’elle souhaite même les plus dérangeantes. En participant à ces différents groupes de soutien, elle se reconstruit et imagine une vie après l’annonce de la maladie. Notre objectif est que les femmes atteintes de VIH retrouvent une estime de soi et deviennent autonomes » explique la directrice d’Ikambere, Bernadette Rwegera.

 

Une optimisation de la prise en charge

Contraception, grossesse, ménopause... Les femmes ont des spécificités dont il faut tenir compte dans leur prise en charge médicale. Le programme SHE permet aux professionnels de santé d’être sensibilisés à ces problématiques.

« Les réunions et les outils du programme SHE m’ont déjà fait changer d’attitude sur des questions liées à l’annonce du diagnostic, le dépistage, les traitements… Par exemple, je suis plus exigeante sur les questions gynécologiques. Je réclame le compte-rendu de consultations gynécologiques pour connaître le contraceptif employé afin d’éviter les interactions médicamenteuses avec les traitements que je prescris. SHE est un programme de sensibilisation dont les médecins ont besoin » assure le Docteur Stéphanie Dominguez.

 

[1]ONUSIDA2011. Disponible sur  www.unaids.org/en/resources/infographics/20120608gendereveryminute/ dernier accès janvier 2013.
[2]
Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire – InVS.  L’infection à VIH-sida en France en 2009-2010 : découvertes de séropositivité, admissions en ALD et pathologies inaugurales de sida. 29 novembre 2011. Disponible sur www.invs.sante.fr/content/download/23800/134355/version/15/file/BEH_43_44_2011.pdf. Dernier accès janvier 2013
[3]
Rapport ONUSIDA/OMS 2010. Disponible sur

 

Retrouvez toutes les thématiques de la boîte à outils, de plus amples informations et des vidéos gratuitement sur :


 

Association ayant participé pour la France à l’élaboration du Programme SHE :
Sida Info Service,
www.sida-info-service.org/

 
A propos de Bristol-Myers Squibb
Bristol-Myers Squibb est une entreprise biopharmaceutique globale, dont la mission est de découvrir, développer et mettre à disposition des médicaments innovants pour aider les patients à vaincre des maladies graves. Pour plus d’information, visitez www.bmsfrance.fr