Nora ANSELL-SALLES

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lundi 16 février 2015

Télémédecine : une campagne vidéo pour informer le grand public et et soutenir la dynamique de déploiement

Dans le but de réduire les fractures territoriales, de garantir aux Français la permanence et la continuité des soins auxquels ils ont droit, de développer les prises en charge pluridisciplinaires et d’améliorer la qualité des pratiques professionnelles, la stratégie nationale de santé lancée par Marisol Touraine, ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, facilite le recours aux nouvelles technologies et, parmi elles, à la télémédecine. Ce recours a d’ailleurs été confirmé dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2014, via le lancement d’expérimentation dans 9 régions de nouveaux actes de télémédecine pour lutter contre les déserts médicaux, dans les secteurs ambulatoire et médico-social.

Un sondage récent* montre chez les Français une prise de conscience de l’intérêt de la télémédecine : près des deux tiers des personnes interrogées estiment en effet qu’elle peut améliorer la qualité de la prise en charge médicale et pallier le manque de professionnels dans certains territoires. Si la possibilité de bénéficier d’un acte médical réalisé à distance apparait comme une avancée technologique alliant sécurité et disponibilité des soins, une partie importante de nos concitoyens considère cependant qu’un entretien médical ou une consultation requièrent une proximité physique et un contact direct, au risque dans le cas contraire d’altérer la qualité de la relation soignants–soignés.

C’est précisément pour répondre à ces craintes – et éviter qu’elles ne constituent un frein au déploiement du dispositif – qu’une action de promotion de la télémédecine a été conçue par le ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes en lien avec le Collectif interassociatif sur la santé (CISS).
Support phare de cette action : une vidéo démontrant la valeur ajoutée du recours à la télémédecine vis-à-vis, d’une part, du cœur de cible que constitue le grand public – usagers et patients – pour valoriser une pratique médicale à part entière, sécurisée et « humanisée » et, d’autre part, des professionnels de santé – médicaux et non médicaux – pour aider à la connaissance d’initiatives et susciter la création de projets.
La vidéo illustre 3 modalités concrètes de prise en charge via le prisme de projets particulièrement exemplaires : « Télé AVC Artois-Hainaut » (centre hospitalier de Lens), « Le suivi clinique à domicile (SCAD) de patients insuffisants cardiaques » (centre hospitalier universitaire de Caen), « La prise en charge de patients détenus au sein d’une Unité Sanitaire » (hôpitaux de Lannemezan).
Par le biais de ces 3 situations, les bénéfices de la télémédecine sont immédiatement compréhensibles : égal accès aux soins et amélioration des délais de prise en charge, maintien de la qualité du diagnostic par un partage des informations rapide et performant entre professionnels de santé, limitation des complications liées à une prise en charge trop tardive – en particulier pour les accidents vasculaires cérébraux (AVC) –.
Cette vidéo socle de la campagne sera complétée de 3 vidéos « focus », dont la diffusion se fera de manière échelonnée. Chacune de ces 3 vidéos reviendra de manière plus détaillée sur l’une des prises en charge présentées dans la vidéo socle : patients victimes d’AVC, malades chroniques, patients détenus.

Pour la télémédecine, tout se joue maintenant. Avec cette action commune de promotion, le ministère et le collectif souhaitent faire acte de pédagogie auprès du grand public pour mieux faire connaître cette nouvelle modalité de prise en charge médicale, mais aussi auprès des professionnels de santé pour soutenir la dynamique croissante constatée sur le terrain et inciter localement à la création de nouveaux projets , sous l’égide des agences régionales de santé (ARS).
Egalement intégrable dans une page html avec le code suivant :
<iframe src="http://static.videos.gouv.fr/player/video/13819" width="600" height="400" frameborder="0" scrolling="no"></iframe>
* Sondage Vivavoice réalisé pour le CISS entre septembre et octobre 2013 auprès de 1 023 personnes

Contacts presse :- Direction générale de l'offre de soins (DGOS) : Alexandra Béchard - 01 40 56 47 43 - alexandra.bechard@sante.gouv.fr
- Collectif Interassociatif Sur la Santé (CISS) : Marc Paris - 01 40 56 94 42 - mparis@leciss.org

mardi 1 avril 2014

Florilège d'infos santé selectionnées par Gérard BIETH


Préconisations E-SANTE 2014 - Le Livre Blanc de la e-santé du CATEL


29/03/14 - Le Club des acteurs de la télésanté (Catel) est un réseau multidisciplinaire de compétences en télésanté né en 1997 qui rassemble près de 20 000 acteurs concernés, des secteurs de la santé, du social, de la formation, des services à la personne, ... : institutionnels, collectivités territoriales, industriels, professionnels de santé, réseaux associatifs, chercheurs, étudiants. Cet ouvrage, dévoilé à l'occasion des journées de la "Télésanté 2014" organisées par le Catel les 27 et 28 mars 2014, constitue une synthèse de réflexions collectives et de préconisations pour le développement de la e-santé identifiées en 2013 par le groupe de travail multidisciplinaire coordonné par le Catel. Découvrez les 12 préconisations dans la version synthétique du livre disponible en ligne.


Par ailleurs, une dépêche TIC Santé du 28 mars cite Philippe Burnel, délégué à la stratégie des systèmes d'information de santé (DSSIS) au ministère des Affaires sociales et de la Santé, qui a indiqué en ouverture des journées de la "Télésanté 2014" qu'une liste de simplifications normatives destinée à lever les freins au déploiement de la télémédecine sera présentée début juin. Il s'est réjoui du succès de l'appel à candidatures lancé auprès des ARS qui souhaiteraient s'engager dans les expérimentations de télémédecine prévues dans la LFSS pour 2014. Selon Philippe Burnel, 23 des 26 ARS ont déposé leur candidature pour conduire des expérimentations portant "sur la réalisation d'actes de télémédecine pour des patients pris en charge, d'une part, en médecine de ville et, d'autre part, en structures médico-sociales". Les premiers dossiers seront sélectionnés début avril.
Source : Télémédecine : une liste de simplifications pour débloquer la voie présentée début juin

Sanofi lance un annuaire médico-social en ligne


26/03/14 - Le laboratoire Sanofi vient de mettre en ligne sur son site un Annuaire Médico-Social pour aider les professionnels de santé et leurs patients à identifier un établissement de santé ou une structure d'accompagnement social  Ce service réalisé en collaboration avec l'ONPC, éditeur de l'Annuaire Sanitaire et Social, référence près de 45 000 structures sur tout le territoire, avec une mise à jour permanente des informations (hôpitaux et cliniques, SSR, services, soins et hospitalisation à domicile, structures de prise en charge psychologique ou psychiatrique, établissements pour personnes âgées et patients Alzheimer, consultations et centres anti-douleur, réseaux de santé, hébergement social…). Ce service accessible sur tous les supports (Smartphone, tablette, ordinateur) est destiné à l'ensemble des acteurs de santé pour faciliter la prise en charge, l'orientation et le parcours de soins des patients.

Il peut également être proposé comme aide aux patients eux-mêmes (identifier une maison de retraite, un centre d'action social, un service d'aide à domicile…). Il propose deux types de recherches : express (par mot clé et par localisation) et thématique (au sein de 11 rubriques avec une hiérarchisation optimisée).
> Consulter l'Annuaire Médico-Social

 

Agenda

·         Lors du 12e Colloque professionnel Ipse qui s'est tenu le 21 mars 2014 sur le thème " Généralisation de la complémentaire santé et pilotage de branche : quelles conséquences ? ", Brice Lepetit, chef du bureau 3C à la Direction de la Sécurité sociale (DSS) a annoncé la parution d'une série de décrets " pour la mi-mai ", portant sur la définition du haut degré de solidarité, le contenu du panier de soins minimal ANI, et sur la procédure de mise en concurrence des organismes assureurs en cas de recommandation. Si la date buttoir du 1er janvier 2016 à laquelle tous les salariés devront bénéficier d'une complémentaire santé, sera conservée, la DSS ne serait pas opposée à une poursuite des négociations de branche au-delà du 30 juin 2014 (source : Veille Mine d'Infos MGEFI N°85 du 28 mars 2014)

    

·         Le 8 avril 2014 : Journée MAS (Management, Actualité, Stratégie) organisée par l'EN3S à Paris sur le thème : Le management socio-économique, comment libérer les performances cachées ? Une journée pour trouver de nouvelles opportunités d'efficience avec des ressources limitées. Encore quelques places disponibles
 

La vidéo de la semaine

·Et si c'était un AVC - sur Youtube mai 2013
Les AVC sont la troisième cause de mortalité en France. 130 milles personnes sont touchées chaque année par un accident vasculaire cérébral. Une animation réalisée avec le concours du ministère des affaires sociales et de la santé, du collège national des cardiologues français et avec le soutien de la MGEN. Signalée par le groupe privé "ce qu'internet dit de la Sécu"


 

Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 595 du 23 mars 2014


·         2 - Accès aux Lettres circulaires et d'information de l'Ucanss

·         3 - Lettre de la Michodière 10-2014 du 21 mars 2014 - SNFOCOS

·         4 - L'actualité du SNADEOS CFTC

·         5 - Documents de support concernant l'INC du 26 mars 2014 - site Ucanss


 

 

 

Source : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
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vendredi 28 mars 2014

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La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 350 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
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mercredi 23 octobre 2013

#AVC pas une minute à perdre... Mais qui appeler ? Et comment gérer l'Après ?


AVC Vite le 15, et après ?…

La vie continue

Deux Français sur trois déclarent connaître une personne ayant déjà fait un AVC¹

 


Paralysie, perte de la parole, troubles de la mémoire,… En moyenne, après un AVC, 41% des personnes touchées n’ont plus de séquelles, 25% présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance².

 

A l’occasion de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, la Fédération Nationale France AVC et la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV), soutenues par Bayer HealthCare, lancent une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ?… La vie continue » sur la prise en charge après un accident vasculaire cérébral.

 

Cette nouvelle campagne a pour vocation de sensibiliser les malades et leur famille aux bons gestes à adopter pour éviter les risques de récidive d’AVC : bonne observance du traitement, hygiène de vie, suivi médical,… Elle rappelle également l’importance d’appeler rapidement le 15 dès l’apparition d’un des trois symptômes majeurs de l’AVC³ afin de réduire au maximum les séquelles voire le risque de décès. D’après une étude Ifop/Bayer HeathCare¹, 76% des Français savent qu’il faut contacter les urgences (+7% par rapport à 2012) en cas de paralysie, perte de la parole ou troubles de la mémoire.

 

Chaque année, en France, environ 130 000 nouvelles personnes sont victimes d’un AVC4 ; 33 000 en meurent5 durant le 1er mois. L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6 et la 2ème cause de démence après la maladie d’Alzheimer7.

 

 

AVC : agir vite pour réduire les risques de mortalité et de séquelles

 

Visage paralysé, inertie d’un membre, troubles de la parole… Dès l’apparition de l’un de ces symptômes, il est urgent d’appeler le 15. Plus de 3 Français sur 4 le savent, soit 7 points de progression par rapport à 2012, selon le baromètre Ifop Bayer, réalisé en septembre 20131. Face à un AVC, 4H30 pour agir8. Chaque minute compte dès le premier symptôme et, le pronostic d’une personne souffrant d’AVC dépend de la rapidité de sa prise en charge. « Plus nous allons vite dans la prise en charge d’une personne faisant un AVC, moins le cerveau est abîmé. Les séquelles sont par conséquent moins graves et le risque de mortalité sensiblement diminué » affirme le Dr François Rouanet, neurologue, Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux Unité Neuro-Vascul

 

 

 64% des Français connaissent dans leur entourage au moins une personne ayant déjà eu un accident vasculaire cérébral¹.

 

 L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte6. Après un AVC, 25% des patients présentent un handicap léger ou modéré et 34% ne peuvent marcher sans assistance². « Les séquelles les plus fréquentes sont des difficultés pour marcher, pour parler mais aussi des problèmes de mémoire et d’attention, voire de dépression » explique le Dr François Rouanet.

 

Eviter le risque de récidive à tout prix

 

Après un premier AVC, le risque de rechute est important. Il est estimé entre 30% et 43% à 5 ans9. D’après l’étude Ifop/Bayer HealthCare¹, 98% des personnes interrogées considèrent qu’une rechute est probable pour une personne ayant déjà été victime d’un accident vasculaire cérébral.

Pour éviter au maximum tout risque de récidive, les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC tels que l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, le trouble du rythme cardiaque ou fibrillation atriale, ou encore le diabète..., doivent suivre un traitement adapté à leur pathologie. « Les personnes souffrant, par exemple, de fibrillation atriale prennent au long cours un anticoagulant pour fluidifier le sang et éviter ainsi la formation de caillots sanguins responsables de l’AVC » explique le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

 

2/3 des Français pensent qu’il faut arrêter de fumer pour éviter de refaire un AVC¹ ; 57% disent qu’il faut manger sainement¹.

 

En plus du traitement médicamenteux, les patients doivent adopter une bonne hygiène de vie au quotidien : « il faut manger de manière variée et équilibrée, avoir une activité physique régulière, réduire sa consommation d’alcool et arrêter le tabac pour les fumeurs » énonce le Dr François Rouanet.

 

Education thérapeutique : apprendre à vivre mieux avec sa maladie
 
Qu’est-ce qu’un AVC ? Pourquoi prendre un traitement à vie ? Comment éviter un AVC ou une rechute ? Comment récupérer après un AVC ? Pour répondre à toutes les questions que se posent les patients présentant un facteur de risque élevé de faire un AVC et/ou ayant déjà fait un AVC, certains hôpitaux proposent des séances d’éducation thérapeutique à l’instar du CHU de Montpellier. « Ces séances se déroulent soit individuellement avec un professionnel de santé, soit collectivement avec d’autres patients présentant les mêmes problématiques de santé comme la fibrillation atriale (FA) et deux soignants éducateurs qui animent l’atelier pédagogique » explique Angélique Lienhardt, infirmière-coordinatrice et membre de ChronEduc LR, réseau dédié à l’éducation thérapeutique du patient en Languedoc-Roussillon. « On y aborde le traitement anticoagulant pour les personnes souffrant de FA, l’importance de le prendre, le but de ce traitement et les effets secondaires afin que le patient vive mieux avec sa maladie et ne présente pas de complications. »
« Bien impliquer les patients dans leur traitement est un facteur majeur de cohérence de traitement, d’acceptation des médicaments et d’une meilleure observance » affirme le Pr Jean-Marc Davy, cardiologue, CHU Montpellier.

Vivre au quotidien après un AVC

« Les séquelles de l’AVC ont des répercussions sur la vie sociale et familiale des patients et de leur entourage. Toute la famille subit les conséquences d’un AVC » affirme le neurologue François Rouanet. Pour aider les patients à mieux vivre au quotidien après un AVC, différents professionnels de santé – médecin généraliste, cardiologue, neurologue, orthophoniste, kinésithérapeute, psychiatre, infirmier… – assurent leur prise en charge.

Des associations de patients telles que France AVC apportent également un soutien aux personnes ayant fait un AVC ainsi qu’à leur entourage en première ligne pour assurer le quotidien. « Chaque antenne de France AVC dans l’Hexagone développe des permanences téléphoniques afin d’apporter du soutien et des informations aux patients ainsi qu’à leur famille. Nous mettons en place des groupes de parole mais aussi différentes activités telles que du théâtre, des séances de gymnastique, des sorties culturelles pour rompre la solitude des malades et de leur famille » explique Françoise Benon, secrétaire nationale de France AVC. « La Société Française Neuro-Vasculaire joue un rôle important dans les campagnes d’informations aux côtés de France AVC et c’est cette parfaite synergie avec les antennes de France AVC, qui permet d’amplifier les messages » ajoute le Pr Thierry Moulin, Professeur de neurologie au CHU de Besançon et Président de la Société Française Neuro-Vasculaire.

 

Dans le cadre de la 11ème journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral, Bayer HealthCare lance une nouvelle campagne d’information « AVC Vite le 15, et après ? » sur plus de 500 radios et chaînes de télévision locales et web TV, du 21 octobre au 10 novembre, à travers un programme de 10 chroniques son/vidéo d’1 minute dans l’émission « Place à la Santé ».
Cette série donne la parole à deux médecins, cardiologue et neurologue, ainsi qu’à France AVC pour définir en termes simples :
• ce qu’est un AVC,
• les facteurs de risque,
• les répercussions d’un AVC sur le quotidien des patients,
• les moyens pour éviter la récidive,
• et le type de soutien apporté au patient et à son entourage…

10 spots radio sur la thématique AVC seront également diffusés sur France Bleu pendant la journée mondiale contre l’accident vasculaire cérébral du 29 octobre.

Plus d’informations sur www.avcvitele15.com

 

À propos de France AVC

France-AVC (Association loi 1901 d'aide aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC) a été créée en 1998 avec pour objectifs la prévention, l’information du public, des pouvoirs publics et des médias sur les accidents vasculaires cérébraux ; d’apporter une aide et un soutien aux patients et aux familles de patients victimes d'AVC ; de développer l'éducation thérapeutique du patient et d’aider à la recherche sur les AVC.


 

À propos de la SFNV

Association loi 1901 créée en 1996, la Société Française NeuroVasculaire (SFNV) a pour objectif principal l'amélioration de la prise en charge des AVC. Elle est la société savante qui regroupe l'ensemble des professionnels concernés par les pathologies vasculaires cérébrales dont les accidents vasculaires cérébraux (AVC), leur diagnostic, traitement et prévention. Elle développe des actions selon plusieurs axes majeurs : les filières de soins, en lien avec les organismes institutionnels, dans le but de permettre à toute personne souffrant d'un AVC d'être prise en charge dans les meilleures conditions ; la formation des professionnels de santé ; la recherche, dans le but d'accroître les connaissances sur les AVC et de permettre ainsi d'améliorer le diagnostic et le soin.


 

À propos de Bayer HealthCare

Le groupe Bayer AG, basée à Leverkusen, (Allemagne) est une entreprise mondiale avec des compétences majeures dans le domaine de la santé, de la nutrition et des matériaux de haute performance. Filiale de Bayer AG, Bayer HealthCare compte 55 300 collaborateurs et a réalisé un chiffre d’affaires de 18,6 milliards d'euros pour l'année 2012. Présente dans plus de 100 pays c’est l'une des toutes premières entreprises innovantes au monde dans le secteur de la santé humaine et animale et des produits médicaux.

En France, Bayer HealthCare compte 1 254 collaborateurs, et est présente au travers de ses 5 divisions : Pharmacie, Diabète, Santé familiale, Santé animale, Radiology & Interventional. En permettant le diagnostic et le traitement des maladies, ses produits sont le gage d’un plus grand bien-être et d’une meilleure qualité de vie.