Nora ANSELL-SALLES

mardi 11 septembre 2018

Cancer du poumon : faut-il le dépister ?


Faut-il instaurer un dépistage organisé du cancer du poumon ?

A l'inverse du cancer du sein ou du cancer colorectal, il n'existe pas de campagne nationale de dépistage pour le cancer du poumon, pourtant le plus meurtrier chez l'homme.

Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le September 6, 2018 , mis à jour le September 6, 2018

Faut-il dépister de façon précoce les cancers du poumon ? Le débat fait rage depuis plusieurs années entre les spécialistes. En effet, aux Etats-Unis, un vaste essai mené en 2011 a montré que le dépistage précoce permettait de faire baisser la mortalité par cancer du poumon de 20%. 

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Une expérience menée à Créteil

Concernant la France, la Haute autorité de santé (HAS) a rejeté cette idée en 2016. Mais pour évaluer le bénéfice d'un tel dépistage, le centre hospitalier intercommunal de Créteil (CHIC) mène en ce moment une vaste étude auprès de 500 patients. Comme Martine et Eric, ces volontaires seront suivis pendant cinq ans, avec plusieurs examens : tests respiratoires, prises de sang et trois scannersthoraciques à un an d'intervalle.

Voir aussi sur Allodocteurs.fr

Cancer du poumon : le progrès des traitements

Pourquoi n'y a-t-il pas de dépistage du cancer du poumon ?

Détecter le cancer du poumon avant même qu'il ne soit visible

Quels sont les symptômes du cancer du poumon ?

Un cancer du poumon peut-il se déclarer longtemps après l'arrêt du tabac ?

Peut-on dépister le cancer du poumon avec une prise de sang ?

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Cancer du poumon Poumons

Vos commentaires

Par erik06140

 
Le 06/09/2018 16:37:49

NON il y a qu a voir le depitage du cancer de la prostate ou du seins menant a des operations des mutilations inutiles un dépistage oui mais suivant l age les risques et ne pas imposer des pelevement de cellules tres invasifs et douloureux pour des fois rien du tout

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Innovation et santé

Comment Progelife veut devenir une biotech spécialiste des maladies rares


 Par Maëva Gardet-Pizzo  |  06/09/2018, 20:40  |  666  mots

 

 

Située à Marseille, la TPE développe des traitements contre les maladies rares impliquant un vieillissement accéléré. Ses découvertes pourraient également servir contre des pathologies plus répandues.

90% des maladies rares ne trouvent aucun traitement à ce jour, que ce soit pour guérir ou simplement pour améliorer les conditions de vie des personnes concernées.
La création de Progelife en 2014 vise justement à apporter des solutions à ces personnes, spécialement aux enfants atteints de maladies provoquant un vieillissement accéléré du corps entier ou d'une partie de celui-ci. A l'origine de l'entreprise, des recherches conduites par une équipe universitaire et l'Inserm qui ont permis, en 2003, de découvrir la mutation génétique à l'origine de la Progeria. "Cette maladie touche 300 personnes dans le monde, 12 en Europe. Il s'agit d'un vieillissement accéléré des enfants. Ils ont leur premier infarctus du myocarde à cinq ans et à treize ans, ils en paraissent soixante",explique Pierre Cau, directeur scientifique de l'entreprise. "Depuisnous travaillons pour trouver un traitement qui améliorerait leurs conditions de vie".
Une première combinaison de deux médicaments est découverte et publiée en 2008. Découverte qui donne lieu à un essai thérapeutique de 2008 à 2013. Les résultats sont encourageants. Le traitement testé permet de réduire la toxicité de la progérine, protéine à l'origine de la maladie. En 2015 Progelife, qui a alors un an, brevète une autre famille de molécules permettant non seulement de réduire la toxicité de la progérine mais aussi d'en empêcher la fabrication.
En parallèle, elle s'intéresse à une autre pathologie : la xeroderma pigmentosum, plus connue sous le nom moins barbare de maladie des "enfants de la Lune". Un peu moins rare que la Progeria, elle concerne 3 000 à 5 000 patients dans le monde. Elle est causée par la mutation d'un gène qui empêche la réparation des lésions dues à l'exposition aux rayons UV. Un dysfonctionnement à l'origine d'une prédisposition jusqu'à 10 000 fois plus élevée que la moyenne d'avoir un cancer de la peau. Depuis 2016, Progelife développe un traitement à partir d'un peptide (petite molécule) découvert grâce à travaux de l'Inserm de Bordeaux dont elle a obtenu une licence en 2015.

Des découvertes transposables à des maladies plus communes

Si les maladies rares sont souvent boudées par l'industrie pharmaceutique, Pierre Cau assure que les découvertes en la matière peuvent servir à un grand nombre de pathologies. "Les mécanismes que l'on repère sont similaires à ceux de maladies plus répandues. Par exemple, dans le cas de la Progeria, il existe une trentaine de maladies rares qui, selon la littérature, pourraient bénéficier de nos recherches. Qui plus est, nous produisons tous de la progérine en vieillissant. Nous pourrions, à terme, trouver des manières d'améliorer le vieillissement dans la population générale".
Même raisonnement quant à la maladie des "enfants de la Lune" dont le traitement pourrait servir contre les cancers de la peau. Un marché d'envergure puisqu'on recense huit millions de nouveaux cas chaque année en Europe.

A la recherche de financeurs

Prochaines étapes donc : le lancement d'un essai clinique contre la maladie des "enfants de la Lune" pour une mise sur le marché du traitement d'ici 2025. Concernant la Progeria "nous sommes à la moitié du chemin", estime Pierre Cau. "Nous avançons pas à pas pour améliorer la qualité de ce qui a été fait afin de convaincre les investisseurs". Car si l'entreprise reçoit des fonds publics et privés (dont ceux de l'AFM Téléthon), elle est à la recherche de nouveaux financements. Elle a en effet besoin de 6 à 10 millions d'euros pour poursuivre son ambition, celle de devenir "une biotech spécialisée dans les maladies rares impliquant un vieillissement". Une expertise qui lui permettrait à terme de proposer des traitements contre les cancers de la peau liés aux UV ou aux greffes, contre diverses maladies inflammatoires, ainsi que certaines myopathies et des maladies du lysosome. Et Pierre Cau de conclure : "Nous avons les bonnes molécules. Nous voulons aller au bout et fournir aux malades des médicaments qui amélioreront leurs conditions de vie".

Extension possible de la CMU : point de vue des mutuelles


Extension possible de la CMU : les mutuelles sont perplexes

 Par latribune.fr  | 11/09/2018, 9:30  | 443  mots

 

 

Ceux touchant juste un peu "trop" d'argent pour avoir droit aujourd'hui à la CMU-C pourront bénéficier d'une CMU élargie, à coût réduit.(Crédits : Regis Duvignau)Le gouvernement envisage d'étendre la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) pour généraliser l'accès à une assurance santé, mais le président de la Mutualité française, Thierry Beaudet, redoute "une forme de nationalisation" du secteur.

La piste d'une extension de la CMU (couverture maladie universelle) à plusieurs millions de Français pour qu'ils bénéficient d'une complémentaire santé se précise. Thierry Beaudet, le président de la Mutualité française, a confirmé lundi à l'AFP qu'un projet de fusion de la CMU-C et d'un autre dispositif, l'ACS (l'aide au paiement d'une complémentaire santé), a bien été présenté en juillet par la Direction de la Sécurité sociale lors d'une réunion avec les fédérations des sociétés d'assurance, des mutuelles et des institutions de prévoyance.
Cette réforme, qui viserait à réduire les taux de non-recours élevés (30% pour la CMU-C, plus de 50% pour l'ACS), pourrait, en effet, faire partie du "plan pauvreté" qu'Emmanuel Macron doit annoncer jeudi. Pour préparer le terrain, le chef de l'Etat a d'ailleurs passé lundi cinq heures dans un centre d'ATD Quart Monde pour rencontrer des personnes touchées par la grande pauvreté.

Une réforme qui fragilise les mutuelles ?

Jusqu'à présent, les personnes seules ayant des revenus entre 730 et 980 euros par mois n'avaient droit qu'à un dispositif intermédiaire, à savoir l'ACS, une subvention leur permettant d'obtenir, par exemple, une réduction sur le coût d'une mutuelle. Demain, si le projet est adopté, ils pourraient bénéficier d'une couverture calculée en fonction de la situation de leur foyer. Nos confrères de RTL parlaient hier d'un coût qui pourrait varier "de quelques euros à 30 euros maximum par mois et par personne".
Pour Thierry Beaudet, "tout ce qui tend vers la simplification va dans le bon sens", affirmant que la Mutualité française était demandeuse d'une refonte des deux dispositifs pour tenir compte du "100% Santé", le remboursement intégral de certaines lunettes, prothèses dentaires et audioprothèses promis par le chef de l'Etat.

"Il me paraîtrait surprenant que l'onassiste à une forme de nationalisation. Je n'avais pas compris que le 100% Santé, c'était le 100% Sécu", a-t-il ajouté. Ce scénario "inquiète particulièrement les mutuelles, qui font les efforts de solidarité" dans le cadre de l'ACS et qui "pourraient se retrouver fragilisées par une réforme mal calibrée", a-t-il mis en garde, réclamant "une égalité de traitement" avec la Sécu.


Les assureurs restent prudents

Du côté des assureurs, "on voudra continuer à être présents" sur ce marché, mais "tout dépendra des conditions d'application" une fois la fusion actée, indique une responsable de la Fédération française de l'Assurance.
"On peut prendre acte de ce choix, puis discuter des paramètres", comme "l'indemnisation des frais de gestion", explique-t-elle.
(avec AFP)
 

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Le plan pauvreté devrait élargir la CMU complémentaire


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COMMENTAIRES

margueritte a écrit le 11/09/2018 à 11:27 :

Le gouvernement a pris pour une fois une bonne mesure, maintenant il faut combattre les lobbys des mutuelles

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nofutur a écrit le 11/09/2018 à 10:57 :

comme d'hab la contradiction d'une mutuelle étendue et obligatoire refait jour, alors pourquoi ne pas étendre le forfait de base, ça sera pareil ... bah de toute façon on mourira tous de la polution, du chomage ou du manque de logement

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Citoyen blasé a écrit le 11/09/2018 à 9:48 :

On ne va pas pleurer, il y a deux ans ma mutuelle a connu une augmentation de... 60% totalement injustifiée, puisque je ne suis jamais malade (on va quand même toucher du bois... ), mais légalement permise, pour des raisons exposées franchement douteuses.

Les assurances ont été trop habituées à se faire biberonner par l'etat français imposant aux citoyens de s'assurer pour tout et rien donnant une manne d'argent à ces multinationales alors qu’elles ne l'ont absolument pas mérité.

De subventions étatiques en légalisation de l'évasion fiscale, ces sociétés là, dorénavant incapables de se remettre en question, ne comptant plus que sur l’assistanat pour la concurrence mondiale que du coup elles perdent, ne sont plus que des mégas-parasites pour les citoyens.

Ou le bilan dramatique de la compromission entre politiciens et hommes d'affaires qui a généré une économie de minables.

"Australie : Après les banques, les fonds de pension mis en cause" https://www.latribune.fr/depeches/reuters/KCN1LR0FZ/australie-apres-les-banques-les-fonds-de-pension-mis-en-cause.html

"Un pasteur baptiste a ainsi raconté à la commission d'enquête de quelle manière son fils, atteint de trisomie 21, avait acheté une police d'assurance sans comprendre à quoi il s'engageait à la suite d'un appel téléphonique de Freedom Insurance Group "

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Note de conjoncture

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/11/20002-20180911ARTFIG00059-les-creations-d-emplois-ont-marque-le-pas-au-deuxieme-trimestre.php?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

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Qu’est-ce que la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) ?

10/09/2018

La cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE) est la deuxième composante de la contribution économique territoriale (CET) due par les entreprises et les travailleurs indépendants qui génèrent un certain montant de chiffre d’affaires . Cette taxe est instaurée au profit des collectivités territoriales. Mais comment fonctionne cette cotisation ? Qui en est redevable ? Explications.

Qu’est-ce que la CVAE ?

La cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) est l'une des composantes de la contribution économique territoriale (CET) avec la cotisation foncière des entreprises (CFE).
Elle est assise sur la valeur ajoutée produite au cours de la période de référence. La valeur ajoutée est déterminée, entre autre, à partir du chiffre d'affaires.
Lire aussi : Tout savoir sur la cotisation foncière des entreprises (CFE)Entrepreneurs, vous pouvez peut être bénéficier du plafonnement de la contribution économique territoriale (CET)

Qui est concerné par la CVAE ?

Toute entreprise ou personne exerçant une activité professionnelle non salariée et qui génère un chiffre d’affaires hors taxe supérieur à 500 000 €est redevable de la CVAE. Et ce, quel que soit le statut juridique, l’activité ou le régime d'imposition.
Cependant, toutes les entreprises ou personnes exerçant une activité professionnelle non salariée et dont le chiffre d'affaires est supérieur à 152 500 € ont l’obligation de faire une déclaration de valeur ajoutée et des effectifs salariés, même si elles ne sont pas, au final, redevables de la CVAE.

À savoir
La CVAE n'est pas due lors de l'année de création d’une entreprise.

Lire aussi :Changement de régime d'imposition : comment ça marche ?

Comment est calculé le montant de la CVAE ?

Le montant de la CVAE est calculé en fonction de la valeur ajoutée produite, selon l'opération suivante : (valeur ajoutée x taux effectif d'imposition) + [(valeur ajoutée x taux effectif d'imposition) x 1 %].
Le taux d'imposition effectif (réel et non théorique) appliqué est obtenu selon un barème progressif (après dégrèvement pris en charge par l'État) variable, en fonction du chiffre d’affaires réalisé au moment du versement des acomptes et du solde.
Taux d'imposition de la CVAE en fonction du chiffre d'affaires
Chiffre d'affaires hors taxe
Taux effectif d'imposition
Moins de 500 000  €
0 %
Entre 500 000 € et 3 millions  €
0,5 %  x [(CA - 500 000 €) / 2,5 millions €]
Entre 3 millions € et 10 millions  €
0,5 % + 0,9 % x (CA - 3 millions €) / 7 millions €
Entre 10 millions € et 50 millions  €
1,4 % + 0,1 % x (CA - 10 millions €) / 40 millions €
Plus de 50 millions  €
1,5 %
Source: service-public.fr
Lire aussi :Fonctionnement de la taxe sur les véhicules des sociétés (TVS)

Comment effectuer la déclaration de la CVAE ?

Quelle que soit la date de clôture de l’exercice, la déclaration de CVAE doit être effectuée par toutes les entreprises réalisant plus de 152 500 €de chiffres d’affaires hors taxe. Cette déclaration doit être effectuée de manière dématérialisée au plus tard :

le 2e jour ouvré suivant le 1er mai (soit entre le 3 et le 5 mai) : via le formulaire n°1330-CVAE ;


Pour les cas particuliers listés ci-dessous, la déclaration doit être effectuée :

dans les 60 jours suivant la cessation d'activité en cours d'année ;


dans les 60 jours suivant le jugement d'ouverture d'une procédure collective(sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire), sauf si l'ouverture de la procédure ne met pas fin à l'activité (dans ce cas, seule la déclaration n°1329-DEF doit être transmise dans les 60 jours).


Lire aussi : Tout savoir sur la taxe d'apprentissage

Modalités de paiement de la CVAE

Dans tous les cas le paiement de la CVAE s’effectue par voie électronique. Lorsque la CVAE est supérieure à 3 000 €, deux acomptes de 50 % de la cotisation due doivent être versés, à l'appui d'un formulaire spécifique, selon la périodicité suivante :

au plus tard le 15 juin pour le premier acompte ;


au plus tard le 15 septembre pour le second acompte.


Si la CVAE ne dépasse pas 3000 €, elle est payée en un seul règlement (pas d’acompte).
L'année suivant celle de l'imposition, les redevables de la CVAE doivent procéder à la liquidation définitive via la déclaration n°1329-DEF transmise de façon dématérialisée au plus tard le 2e jour ouvré suivant le 1er mai de l'année n+1, accompagnée le cas échéant du versement du solde correspondant.
Lire aussi : 2 types d’imposition au choix pour votre entreprise : l'impôt sur les sociétés ou l'impôt sur le revenu | Impôt sur les sociétés, comment ça marche ?
Publié initialement le 15/01/2018

Tout savoir sur la CVAE

Sur service-public.fr


Sur impots.gouv.fr


Ce que dit la loi

Code général des impôts : article 1586 à 1586 nonies


Bofip-Impôts sur l'application de la CVAE


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Coup de projecteur sur la société de la longévité


Communiqué de presse - Paris, le 11 septembre 2018
 

A l’occasion de la sortie du film « Les vieux fourneaux », le Groupe VYV, 1eracteur d’assurance santé en France,  a organisé le 10/09/2018 une projection-débat sur le thème de la « société de la longévité ».
Parie le 11 septembre 2018 - Le Groupe VYV s’affirme comme l’entrepreneur du mieux-vivre et entend contribuer, par son engagement militant, aux débats de fond qui traversent la société. Favoriser le vivre-ensemble fait partie des thèmes de l’économie sociale et solidaire auxquels le groupe souhaite apporter des solutions innovantes, globales, durables et performantes.
Face au vieillissement de la société dû à l’allongement de la durée de vie, face aux mutations de la structure familiale, à la possibilité de vivre plus longtemps et en meilleure santé, la question de la place des seniors dans la société se pose : comment les personnes âgées sont-elles aujourd’hui perçues ? Quelle place la société leur réserve-t-elle ? Comment créer et développer de nouvelles solidarités intergénérationnelles ?
Pour Isabelle Hébert, directrice des services innovants du Groupe VYV et directrice générale de la MGEN : « Vivre plus longtemps est une chance, vieillir bien entouré et dans la dignité est une nécessité. Les mutuelles du Groupe VYV conduisent une réflexion sur les conséquences de la perte d’autonomie, développent des solutions sanitaires et sociales et agissent pour rendre accessible une complémentaire santé pour les retraités. Pour progresser, nous devons à la fois apprendre des initiatives locales, en France et ailleurs et enrichir notre vision des rapports intergénérationnels. »
Le Groupe VYV s’engage à accompagner et protéger chacun tout au long de la vie, notamment les seniors, à travers une réflexion permettant d’imaginer les solutions de demain dans les domaines de la prévention, de la retraite, de la protection financière, du logement adapté... Pour favoriser le bien vieillir, le Groupe VYV propose, avec VYV Care 1er opérateur non lucratif de soins et de services, un réseau sur tout le territoire de plus de 300 établissements destinés notamment aux personnes âgées ou en situation de dépendance, dont 165 Ehpad et résidences autonomie.
Le Groupe VYV se positionne jour après jour comme une véritable fabrique d’innovation et de protection sociale et solidaire au bénéfice de ses adhérents et de ses clients.

Relations presse de VYV: Agence HAVAS
Pressevyv@havas.com

Le coup de griffe de Jacques Draussin



Infolettre n° 307
mardi 11 septembre 2018Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Un Ricard-chichon, sinon rien
Alors qu’on s’interroge encore en haut lieu sanitaire français sur l’opportunité d’autoriser l’usage du cannabis thérapeutique, les firmes alcoolières internationales n’en sont plus à se poser la question et, en pariant sur la légalisation du récréatif, ont déjà pris un – bon - coup d’avance.
On peut dire que l’happy hour a sonné depuis un moment pour les géants du secteur : l’américain Constellation Brands [notamment propriétaire de Corona] vient de prendre le contrôle de Canopy Groth, spécialisé dans la production de cannabis thérapeutique et se dit fin prêt à tester la commercialisation d’une boisson enrichie au chanvre indien là où la consommation récréative est ou sera prochainement autorisée. Idem pour Heineken et quelques autres grands brasseurs de bière et de business qui flairent le vent nouveau du binge drinking.
Chez Pernod-Ricard, on n’a pas l’intention de rester les bras croisés sur le zinc pendant que la concurrence peaufine son entrée sur le futur marché de l’apéro-cannabinoïdé. Compte tenu de la législation hexagonale, l’avenir immédiat du rapprochement entre fumette et bibine n’est certes pas garanti ; en revanche, il l’est déjà outre-Atlantique dans 9 Etats américains et, dès la mi-octobre, il le sera au Canada.
La proximité du consommateur-type d’alcool avec celui de cannabis partout dans le monde occidental fait fantasmer le producteur du « petit jaune » qui sait mieux que quiconque utiliser les plantes et les marchés porteurs.
« Qui a fumé boira » promettent les prédicateurs du paradis psychotrope. « Un Ricard-chichon, sinon rien » répondent les amateurs anisés.
Jacques DRAUSSIN

Boissons et céréales bio



Boissons de céréales BIO
LIMA élargit sa gamme de Yannoh® Instant à 3 nouvelles boissons chaudes et aromatiques SANS CAFEINE & SANS GLUTEN « Cacao », « Chaï » et « Epeautre »

Avec ces trois nouvelles saveurs Yannoh® Instant, LIMA multiplie les occasions de se faire plaisir avec de savoureuses boissons à base de céréales biologiques. « Cacao », « Chaï » et « Epeautre » ces alternatives au café combleront les adeptes de boissons chaudes et aromatiques. Composées de plantes et de céréales (orge, seigle) torréfiées et certifiées en Agriculture Biologique, ces boissons sont saines, naturelles et sans gluten. Amateurs de chocolat, de sensations épicées ou de saveurs plus douces, il y en a pour tous les goûts et toutes les occasions. A l’heure du petit-déjeuner, à la pause ou le soir avant de se coucher, les Yannoh de Lima sont prêts à déguster … en un instant : il suffit de mélanger 1 à 2 cuillères à café dans une tasse d’eau

Informations complémentaires
* Prix : +/- 6.60 € TTC (Yannoh Instant Cacao et Yannoh Chaï) / +/- 5,90 € TTC (Yannoh Instant Epeautre)
* Conditionnement : 175 g et 90 g pour le Yannoh Instant Epeautre
* Distribution : magasins et réseaux de magasins biologiques et diététiques

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