Nora ANSELL-SALLES

vendredi 7 octobre 2016

Colloque international 14/10/02016 à Grenoble "LES SYSTÈMES DE FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN AFRIQUE FRANCOPHONE"



COLLOQUE INTERNATIONAL


 «LES SYSTÈMES DE FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN AFRIQUE FRANCOPHONE : QUELLES POLITIQUES ET QUELS PARTENARIATS»?

 14 OCTOBRE 2016

 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE GRENOBLE ALPES
Boulevard de la Chantourne
Salle Gilbert FAURE

                                             

                               

                             

                                  CONTEXTE ET JUSTIFICATION
Quelques indicateurs socio-sanitaires en Afrique en 2010:
- Taux de mortalité: plus de 100 décès pour mille
- Taux de mortalité maternelle: plus de 500 décès pour 100 000 naissances vivantes
- Espérance de vie: à peine supérieure à 50 ans
- Taux d'utilisation des structures sanitaires: moins de 30%
Le vieil adage: «mieux vaut prévenir que guérir» est le substrat sur lequel repose  toute politique de sécurité sociale. La sécurité sociale peut se définir ainsi comme tout programme de protection sociale créé par la législation ou quelque autre disposition obligatoire visant à fournir aux citoyens un certain degré de sécurité lorsqu'ils sont confrontés aux risques sociaux: vieillesse, survivants, incapacité, invalidité, chômage, maternité, enfants à charge, maladie. Selon les estimations de l’AISS, moins de 25% de la population mondiale ont accès à une sécurité sociale suffisante et les niveaux de la couverture varient fortement d'un pays à l'autre, et même à l'intérieur des frontières nationales.

Alors que les économies les plus riches bénéficient d'une couverture presque universelle, les pays d'Afrique sub-saharienne offrent une couverture à moins de 10% de leurs populations. L'exclusion de la sécurité sociale en général et de la protection contre le risque maladie en particulier affecte une partie importante des populations africaines, notamment les plus vulnérables. Confrontés à la cruciale problématique du financement de la santé et de l'accessibilité aux soins, le développement de programmes et de systèmes de sécurité sociale de même que leur renforcement et leur extension constituent les défis majeurs que ces pays doivent relever dans le cadre de leurs différentes stratégies de lutte contre la pauvreté.

Il faut rappeler qu’aux lendemains des indépendances, les gouvernants avaient adopté la politique de gratuité des soins dans les structures sanitaires publiques. Malheureusement, la crise économique des années 80 et les plans d'ajustements structurels successifs ont remis en cause cette gratuité et les Etats, n'ayant plus de ressources suffisantes pour assurer le financement harmonieux du  secteur, ont dû instituer la politique de recouvrement des coûts à travers la participation des populations à la prise en charge de leurs frais de santé. Cette nouvelle approche dite Initiative de Bamako conçue par l’OMS et l’UNICEF en 1987, se traduit par le recouvrement du coût des médicaments puis, en 1994, par le recouvrement généralisé des coûts de santé.

On notera cependant que ces mesures, inspirées principalement par le souci d’améliorer l’offre de soins publique et d’impliquer les populations à la gestion du système, sont intervenues dans un contexte de grande paupérisation des populations, notamment, celles des secteurs informel et rural. Par conséquent, ces mesures n'ont pas permis, contrairement aux attentes, de générer suffisamment de ressources pour redynamiser les activités du secteur de la santé. Bien au contraire, elles ont contribué à éloigner davantage les populations, particulièrement les plus démunies, des structures sanitaires et à aggraver  la dégradation continue de l’offre de soins publique.

  Ainsi, les pays dont les systèmes de santé sont fragiles et les infrastructures de santé publique de base insuffisantes ne peuvent pas faire face à des chocs soudains, qu’il s’agisse d’un changement climatique ou d’un virus incontrôlable. Face à l'épidémie de la maladie à virus Ebola (MVE), par exemple, les systèmes de santé de la Guinée, du Libéria et de la Sierra Leone se sont écroulés. Les populations ont cessé de recevoir – ou de chercher – des soins pour traiter d’autres maladies, telles que le paludisme, qui cause pourtant davantage de décès que le virus Ebola chaque année.

 Tirant leçon de l’échec de l’Initiative de Bamako, les pays francophones d’Afrique s’engagent aujourd’hui sur la voie de l’assurance maladie universelle comme réponse à la problématique cruciale du financement de la santé et de l'accessibilité aux soins. Surtout que, dans la continuité des conclusions du G20 de Cannes en novembre 2011, l’Assemblée Générale des Nations Unies a, à l’initiative de la France,  adopté le 12 décembre 2012 une résolution en faveur de la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) dans les pays du Sud.

  Cependant, il faut relever que l’Assurance Maladie (de même que l’ensemble des régimes de systèmes de sécurité sociale), née en Europe au 19è siècle avec la révolution industrielle et l’émergence du salariat, a été le fruit et l’aboutissement de nombreuses et longues conquêtes historiques du corps social. Dans le contexte africain, l’assurance maladie obligatoire est plutôt l’émanation d’une volonté politique affichée. Cette initiative qui, ailleurs, a permis d’apporter des progrès considérables au bien-être des populations, peut être envisagée pour les sociétés africaines en pleine mutation et au sein desquelles la promotion d’une culture proactive et préventive gagne de plus en plus de terrain. A condition que les Etats ne ratent pas le virage par manque de vision et de stratégie d'approche car d' importantes et pertinentes interrogations demeurent:
                     Les pays à faible revenu peuvent-ils faire croître harmonieusement des mécanismes d’assurance maladie obligatoire?
                     La situation financière des populations surtout les plus démunies, peut-elle leur permettre de contribuer efficacement au financement du système?
                     Quels mécanismes sont à envisager pour capter les cotisations des acteurs du secteur informel, dans des régimes non déclaratifs comme ceux des pays africains où ce secteur occupe plus de 80% des emplois?
                     Comment mettre en adéquation un système de santé et une offre de soins très souvent inopérants avec une politique d’assurance maladie universelle efficace?
                     Comment,  au plan psychologique, concilier les croyances étiologiques voire les recours thérapeutiques des populations locales avec les systèmes d’épargne santé?
En un mot, comment faire de l'Assurance maladie obligatoire une réalité africaine, authentique et endogène, garant de sa pérennisation?

Les pays africains doivent pouvoir décider librement de leur conception du développement économique et social de même que les outils permettant de réaliser ce développement. Cependant, nous croyons que dans le cadre de la globalisation et de la solidarité internationale, les initiatives engagées sur le continent peuvent bénéficier de l’expertise extérieure, chaque fois que cela est possible, dans le respect et la considération mutuels.

  Le colloque que nous vous proposons a pour objectif essentiel de mobiliser  à l'automne prochain, le 14 octobre, experts africains et français, à Grenoble, Ville solidaire, Capitale des Alpes, dans le but de produire et proposer aux décideurs africains des outils de partenariat actif et d’accompagnement en matière de politiques publiques concernant la mise en œuvre des mécanismes d’assurance maladie universelle; de faire des propositions de solutions concrètes et endogènes de long terme. En gardant à l’esprit que des dispositifs d'assurance maladie efficaces dans les pays en développement contribueront à alléger un tant soit peu les pressions migratoires au Nord car la recherche de la sécurité en matière de santé fait également partie des nombreux déterminants des flux migratoires.

             Parrainage:
                     Monsieur Claude EVIN, Ancien ministre de la Santé
                     Madame Geneviève FIORASO, Ancienne Ministre de l'Enseignement supérieur, députée de l'Isère

Présidence scientifique:
                     Monsieur Pierre MICHELETTI, professeur associé à Sciences Po, Ancien président de Médecins du Monde,
                     Madame Clotilde OHOUOCHI, ancienne ministre de la Santé et de la Sécurité sociale de Côte d'Ivoire
                      Monsieur Olivier VERAN, Médecin neurologue.




                                    PROGRAMME



08h-09h         ACCUEIL

09h-09h15      CIVILITÉS:

- Mot d'accueil du comité d'organisation: Clotilde Ohouochi/Michel Baffert
- Discours de Bernard Macret, Adjoint au Maire de Grenoble aux Solidarités Internationales
- Discours d'ouverture du colloque par Madame Géneviève Fioraso, Député de l'Isère, Ancienne Ministre de l'Enseignement Supérieur
  

1)               Première table-ronde

09h15-09h30: PRÉSENTATION DU COLLOQUE

Intervenant: Dr Pierre MICHELETTI
Enseignant à la faculté de médecine et à l’IEP de Grenoble
Vice-président d’Action Contre la Faim
Ancien président de Médecins du Monde
09h30-09h45: SANTE ET DROITS DE L'HOMME
Intervenants: Me David HUARD
                      Me Aurélie MARCEL
De l'Institut des Droits de l'Homme du Barreau de Grenoble

09h45-10h:  SYSTEMES DE SANTE ET DIAGNOSTIC DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE EN AFRIQUE
Intervenant: Assane DIOP
Ministre conseiller à la Présidence de la République du Sénégal
Ancien Ministre de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal
Ancien Ministre du Travail et de l'Emploi du Sénégal
Ancien Directeur Exécutif du BIT

10h-10h15: LE PROJET DE L'ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE (AMU) EN CÔTE D'IVOIRE: LECONS D'UNE EXPERIENCE

Intervenant: Madame Clotilde OHOUOCHI
Ancienne Ministre de la   Solidarité, de la Santé et de la Sécurité sociale de Côte d’Ivoire
10h15-10h45: Échanges
Modérateur: Bernard POUYET
Président de l'Apardap
  

2)  Deuxième Table-ronde
10h45-11h: ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE ET CONCEPTION ÉTIOLOGIQUE EN AFRIQUE
Intervenant: Professeur Dédy SERI
Socioanthropologue, Professeur des Universités/Université Félix Houphouët-Boigny
Abidjan, Côte d’Ivoire

11h-11h15: L’ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE, FACTEUR DE COHÉSION SOCIALE, INSTRUMENT DE CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ
Intervenant: Madame Edith ITOUA
Conseiller auprès du Président de la République en charge de la Protection sociale et du Dialogue social
République du Congo (Brazzaville)


11h15-11h30: LES FINANCEMENTS INNOVANTS ET LA PRISE EN COMPTE DES PLUS PAUVRES DANS LE DISPOSITIF DE L'ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE

Intervenant: Donatien ROBE
Consultant indépendant en Protection sociale


11h30- 11h45: LA PROBLEMATIQUE DU RECOUVREMENT DE LA COTISATION DU SECTEUR INFORMEL AU TITRE DE L'ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE
Intervenants:
1) Direction de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale du Bénin

2) Ibrahim El ALI
Président de l'Ong Bluegreen

11h45-12h15: Échanges
Modérateur: Dr Patrick BAGUET
Président de Humacoop

Pause


3) Troisième table-ronde:
 13h30-14h: L'INNOVATION TECHNOLOGIQUE AU SERVICE DES SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE

Intervenants:
Philippe ISSART
PDG de LOMACO (Location de Matériel de Comptabilité)
Jérémie ZIRI
Consultant LOMACO
14h-14h15: ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE EN AFRIQUE: QUELS PANIERS DE SOINS ET DE SERVICES POUR UNE PRISE EN CHARGE EFFICACE?
Intervenant: Docteur Bernard GASTAUD
Médecin de Santé publique
Chargé d'Enseignements
Assesseur de la section des Assurances sociales du Conseil National de l'Ordre des Médecins
Ancien Maire de La Brigue (France)

14h15-14h30: ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE ET POLITIQUE DU MEDICAMENT EN AFRIQUE

Intervenant: Docteur Louis TEULIERES
Médecin
Ancien conseiller près Les Entreprises du Médicament (France)

14h30-15h: Échanges

Modérateur: Stéphane BESANCON
Président de Santé Diabète

4) Quatrième table-ronde

15h-15h15: RÔLE ET PLACE DES PARTENAIRES BI ET MULTILATERAUX DANS LE PROCESSUS DE MISE EN OEUVRE DE L'ASSURANCE MALADIE EN AFRIQUE

Intervenant: Olivier VERAN
Médecin Neurologue

15h15-15h30: GOUVERNANCE ET PLACE DES PARTENAIRES SOCIAUX DANS LE SYSTEME DE L'ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE

Intervenant: Félix Atchadé
Médecin Président du Centre de Recherche sur le Développement Humain (CREDHU)

15h30-15h45:  LE PROJET PASS: LES MUTUELLES, VECTEURS DU DÉPLOIEMENT DE LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE

Intervenant: Victor ROULET
Chargé d'affaires publiques/ Pôle influence Europe et Relations internationales
Direction des Affaires publiques
Mutualité Française

15h45-16h15: Échanges

Modérateur: Christophe JOBAZE
Infirmier Diplômé d’État
 

16h15-16h45: Conclusion

- Perspectives: Clotilde Ohouochi
- Remerciements: Amar Thioune
- Mot de clôture: Ministre Assane Diop

 17h: COCKTAIL DE L’AMITIÉ

                                                             
                                                           

RELATION PRESSE

Clotilde OHOUOCHI
clotildeohouochi@gmail.com / 07 61 15 85 69
Inscription, demande d'interview, photo, et texte des intervenants


Partenaire de la manifestation:
LOMACO; OS'Business; AlterEgaux Isère; La Ville de Grenoble; CHU Grenoble Alpes;Institut des Droits de l'Homme du Barreau de Grenoble;Humacoop; L'Ordre des Avocats du Barreau de Grenoble; Institut d’Études Politiques (Sciences Po) /Grenoble;Solidarité Internationale Isère Autiste; Santé Diabète; Akonda Eine-Welt-Café (Hambourg-Allemagne); Aide Médicale et Développement; Médecins du Monde

jeudi 6 octobre 2016

Les intérimaires sont-ils plus heureux que les salariés ?

Les intérimaires sont-ils plus heureux que les salariés ?
Les salariés travaillent plus sans être satisfaits de leur salaire
68% des intérimaires veulent conserver leur statut...
quand 57% des salariés aimeraient en changer !
Paris, 4 octobre 2016
Qapa.fr, 1ère plateforme digitale de travail en France, a posé les mêmes questions à deux panels composés de salariés et d'intérimaires afin de connaître leurs opinions sur différents critères de leurs statuts respectifs. Des résultats qui cassent certains clichés. Lien officiel : www.qapa.fr
Méthodologies : Qapa.fr a interrogé 16.215 personnes avec l'envoi d'un emailing et sur le réseau social Facebook durant la période du 22 septembre au 29 septembre 2016. Profils des personnes interrogées : 46% d'hommes et 54% de femmes. Répartition des âges : Entre 18 et 24 ans : 21%, entre 25 et 34 ans : 30%, entre 35 et 44 ans : 26%, entre 45 et 54 ans : 17%, entre 55 et 64 ans : 6%, plus de 65 ans : 0%. Répartition par statuts : 41% d'intérimaires et 59% de salariés.
"Etre salarié ne rime pas nécessairement avec facilité. En effet, certains clichés tendent à montrer le statut d'intérimaire comme précaire et peu intéressant. Force est de constater que les salariés semblent finalement être moins satisfaits de leur condition que les intérimaires qui travaillent moins d'heures mais ont l'envie d'en faire plus et de ne surtout pas changer de statut."
Stéphanie Delestre, fondatrice de Qapa.fr
Qui veut travailler plus ?
Logiquement, les intérimaires effectuent dans l'ensemble moins d'heures que les salariés. Ainsi 59% des intérimaires travaillent entre 20 et 35 heures par semaine quand 54% des salariés effectuent entre 35 et 45 heures hebdomadaires. Dans les deux cas, 48% des intérimaires et 41% des salariés sont satisfaits de leur nombre d'heures effectuées. Cependant, les intérimaires sont plus nombreux (43%) à déclarer vouloir travailler plus que les salariés (32%).
Combien d'heures travaillez-vous par semaine ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Moins de 20h
34%
10%
Entre 20h et 35h
59%
32%
Entre 35h et 45h
6%
54%
Plus de 45h
1%
4%
Etes-vous satisfait(e) de votre nombre d'heures ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Oui
48%
41%
Non, je voudrais travailler plus
43%
32%
Non, je voudrais travailler mois
9%
27%
Encore plus d'argent...
Même si tous les travailleurs dans leur grande majorité aimeraient avoir un salaire beaucoup plus élevé, les intérimaires sont tout de même largement moins nombreux (seulement 56%) à vouloir gagner davantage que les salariés (plus de 74%).
Etes-vous satisfait(e) de votre salaire ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Oui
44%
26%
Non, je voudrais gagner plus
56%
74%
... Mais pas toujours plus de travail
Les intérimaires sont bien loin de se reposer sur leurs lauriers. En effet, ils sont plus de 52% à déclarer vouloir avoir plus de missions, de travail et de responsabilités alors que de leur côté, les salariés sont plus de 51% à être satisfaits de leur situation.
Etes-vous satisfait(e) de votre travail, de vos missions, de vos responsabilités ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Oui
37%
51%
Non, je voudrais en avoir plus
52%
28%
Non, je voudrais en avoir moins
11%
21%
Le changement c'est... au choix !
Pour la grande majorité des intérimaires, pas question de changer quoi que ce soit. 68% sont ainsi contre le fait de devenir salariés. Ce qui n'est pas les cas des salariés qui sont plus de 57% à être prêts à changer de statut.
Voudriez-vous changer de statut ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Oui
32%
57%
Non
68%
43%
Qui trouve du travail plus facilement ?
Pour ce qui est de l'employabilité, les salariés semblent avoir beaucoup plus de difficultés pour décrocher un job. Ainsi, 65% avouent trouver difficilement du travail quand plus de 76% des intérimaires déclarent en obtenir facilement et rapidement.
Trouvez-vous facilement et rapidement du travail ?
Réponses
Intérimaires
Salariés
Oui
76%
35%
Non
24%
65%
Qapa.fr en chiffres :
6 000 nouveaux inscrits chaque jour en moyenne
Plus de 4,5 millions de candidats inscrits soit 1 inscrit toutes les 14 secondes
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