Nora ANSELL-SALLES

mercredi 27 avril 2016

Le « tourisme médical » pourrait rapporter 2,5 milliards d’euros et créer près de 30 000 emplois en cinq ans



Paris - New York, 26 avril 2016
INDIGOMED.NET
Des patients étrangers ?
Une ressource supplémentaire (et précieuse) pour nos
hôpitaux français et européens !

par Sandra Freeman

En France le « tourisme médical » pourrait rapporter 2,5 milliards d’euros et créer quelques 30 000 emplois en cinq ans ! Toutes les études prévoient l’explosion des voyages médicaux dans les prochains années, avec de villes entières qui se spécialisent dans cette activité à plusieurs milliards (Bangalore en Inde, Singapour, Hong Kong, Dubai…). Et la France dans tous ça?

Dans cette perspective, un duo d’entrepreneurs européens, Massimo di Cicilia, italien mais résident français depuis plus de 15 ans, et Anne Lepetit, médecin, ont a eu l’idée de développer, en France, un système innovant pour favoriser la mobilité internationale et l’accès aux soins.

Ce site internet, Indigomed.net, est une sorte de Airbnb de la médecine, pouvant connecter les patients internationaux, leurs médecins traitants et les établissements médicaux.

Lancé en version Beta à fin 2015, il est effectivement opérationnel depuis février 2016 mettant en relation des patients provenant principalement des Etats-Unis et du Moyen Orient et nos structures de soins françaises, des cliniques privées comme des hôpitaux publics.

L’APHP est aujourd’hui d’ailleurs un des partenaires d’Indigomed.net, tout comme d’autres hôpitaux parisiens (Fondation Rothschild, Institut Mutualiste Montsouris, Institut Curie…) et des hôpitaux en région, comme Les Nouvelles Cliniques de Nantes (Groupe Le Confluent), mais aussi des compagnies d’assurance, sous le suivi attentif des deux ministères, de la santé et des affaires étrangères.

« L’objectif, selon Massimo di Cicilia, PDG de indigomed.net, est d’apporter entre 5% et 15% de nouveaux patients en plus pour chaque hôpital, pour un tarif bien supérieur aux coûts de traitements d’un patient français ». L’accueil de cette population étrangère « pourrait permettre une augmentation de ressource de 20%, voir 30% pour certains hôpitaux, sans pour autant porter préjudice aux patients français en terme de disponibilité et d’accès aux soins, une vigilance accrue est prévu pour contrôler les temps d’accès aux établissements par le public prioritaire, les nationaux » projette le Pdg.

Mais attention, le projet n’implique pas pour autant de se lancer tous azimuts dans un business médical uniquement lucratif et Massimo di Cicilia se détourne du terme « tourisme médical » - utilisé depuis une dizaine d’années. Ce tourisme-là consiste à se faire soigner dans un autre pays que celui où l'on réside mais il concerne des services plus légers comme de la chirurgie esthétique ou des soins dentaires. Là, la cible est différente. « On traite du lourd ». Pour éviter tout amalgame, Massimo Di Cicilia préfère parler de « Travel for treatment » (« déplacement pour du traitement » en français), ou de « Cross Boarder treatment » (soit du « traitement sans frontière »). Et pour que le système soit sain, la rétribution en France se fait aux hôpitaux, non pas aux médecins.

L’étranger ici visé n’est d’ailleurs pas millionnaire! Celui-ci qui exigerait en plus du traitement, une qualité d’accueil et de prestations hôtelières de luxe. Le service Indigomed.net souhaite au contraire se développer sans « caste » et sans « VIP ». Le projet mise donc surtout sur des patients issus de la classe moyenne outre atlantique ou au moyen orient qui bénéficiera d’une bonne qualité de traitement, qui coûtera bien moins cher que dans leur pays de résidence, surtout les Etats Unis.

Quels avantages pour les hôpitaux et l’économie française? Avec la réduction des dotations de la part de l’Etat français, de plus en plus liées à une activité minimale, plusieurs établissements sont contraints d’arrêter leur activité ou de réduire les projets de recherche fondamentale. Ces ressources complémentaires pourront permettre d’y palier en partie.

A propos d’indigomed.net

indigomed.net est une plateforme d’échanges et de coordination médicale pour patients internationaux. Elle permets le transfer de dossiers médicaux entre des patients et leurs médecins et des hôpitaux ne se trouvant pas dans le même pays pour recevoir un deuxième avis médicaux on-line, une proposition de traitement et l’organisation du traitement.


Référencement acte II : entre assurance et inquiétude



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E-news MFP - Etre indispensable à des mutuelles indispensables, pour des êtres indispensablesAvril
2016 / n°10
E-news MFP - Etre indispensable à des mutuelles indispensables, pour des êtres indispensables
la MFP interpelle le gouvernement
Référencement acte II : entre assurance et inquiétude
Si la Ministre s’est voulue rassurante sur le cadre juridique de l’acte II du référencement, la publication du projet de circulaire suscite cependant de réelles inquiétudes.
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Une mobilisation déjà bien engagée en
Île-de-France
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La mobilisation s'accélère dans la région Auvergne Rhône-Alpes
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La Bretagne,
des parlementaires s'engagent, les actions s'enchaînent
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E-news MFP n°10 - Avril 2016 - Une publication de la Mutualité Fonction Publique,
Tour Maine Montparnasse BP 144 33 avenue du Maine 75755 Paris Cedex 15
Directeur de la publication : Didier Quercioli - Rédactrice en chef : Laurence Tribillac - Rédaction : Angéline Séguy -Création : Okó - Crédits Photos : MFP

mardi 26 avril 2016

ANTOINE BLONDIN 25 ans déjà...


ANTOINE BLONDIN
À l'occasion du 25e anniversaire de sa disparition, le 7 juin,
Jean Cormier, journaliste et un de proches d'Antoine Blondin,
avec  le petit-fils de l'écrivain,
et de nombreux témoignages - de Bernard Pivot à Jean-Pierre Rives -
rendent hommage à l'un des plus grands chroniqueurs sportifs et
l'auteur du cultissime "Singe en hiver".
Un ouvrage passionnant, drôle, épique où l'amitié se décline à tous les temps
Blondin
Jean Cormier est journaliste et un de proches d'Antoine Blondin depuis le début des années soixante. Compère des dernières années de sa vie (il a écrit Alcools de Nuit, avec lui et Roger Bastide), Jean Cormier ne lâche pas le flambeau. Symbad de Lassus est le petit-fils d'Antoine Blondin.
CONTACTS PRESSE
Jean Philippe Bertrand jeanphilippe.bertrand@artege.fr / 01 40 46 54 30 
Stefania Zuin stefania.zuin@artege.fr / 01 58 51 10 29

"Jouer collectif, c'est jouer gagnant !" Marcel Caballero

 
Vous trouverez dans les Brèves du CIRIEC-France d'avril 2016 :
- L'éditorial de Marcel Caballero : "Jouer collectif, c'est jouer gagnant !"
- Les travaux du CIRIEC, en particulier :
. Dîners-débats : "Santé financière des collectivités locales" et "La transversalité entre l'économie publique et l'économie sociale et solidaire au service de l'intérêt général"
. Congrès International
. Prix Edgard Milhaud
- La page du Conseil National des Chambres Régionales de l’Économie Sociale (Jean-Louis Cabrespines : "On ne peut vendre comme économie sociale et solidaire ce qui ne l'est pas")
- Contributions :
. Alain Coheur : "L'économie sociale et l'innovation sociale dans une perspective européenne"
. Michel Abhervé : "Une régression dans la place de l'ESS dans les nouveaux exécutifs régionaux"
. Jean-Philippe Milésy : "Moderne ? Réforme ?"
- L'actualité
- Les notes de lecture
- L'agenda des prochaines manifestations
Pour y accéder : CLIQUEZ ICI
Je vous en souhaite bonne lecture
Marcel CABALLERO
Vice-président du CIRIEC-France
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La Mutuelle Des Étudiants accélère sa transformation pour répondre toujours mieux aux attentes des étudiants




Après l’homologation du plan de sauvegarde de La Mutuelle Des Étudiants par le Tribunal de Grande Instance de Créteil, les administrateurs de la première mutuelle étudiante de France viennent d’adopter la nouvelle offre. 

L’objectif est d’offrir aux étudiants des prestations progressives qui répondent toutes à des enjeux majeurs pour la LMDE : qualité, solidarité et prévention. 

La Mutuelle Des Étudiants accélère sa dynamique de transformation, au bénéfice des étudiants, avec des fondamentaux solides et une vision à long terme. Le Tribunal de Grande Instance de Créteil, qui a homologué le plan de sauvegarde le 11 avril dernier, a indiqué que la LMDE présentait désormais « des perspectives sérieuses de redressement de son activité »

L’offre 2016-2017 en complémentaire santé a par ailleurs été entièrement repensée en vue de la prochaine campagne de rentrée universitaire. Elle vise à répondre toujours mieux aux besoins et attentes exprimés par les étudiants, avec plusieurs offres distinctes et des prestations progressives. Ainsi, chaque étudiant, en fonction de ses besoins et de sa situation, pourra choisir le bon niveau de couverture, avec un engagement fort en matière de qualité, de solidarité et de prévention.


CHAQUE MINUTE, UNE PERSONNE MEURT DU PALUDISME



25 AVRIL : JOURNÉE MONDIALE DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME

CHAQUE MINUTE, UNE PERSONNE MEURT DU PALUDISME
A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme lundi 25 avril, Coalition PLUS, union internationale d’associations communautaires luttant contre le sida dans 15 pays, dénonce les ravages du paludisme qui pourraient pourtant être évités. 

Des décès évitables
Plus de 214 millions de personnes sont atteintes du paludisme dans le monde[1] et chaque minute une personne en meurt[2]. Le paludisme est d’autant plus mortel quand il est combiné au VIH. Il entraine chez les personnes séropositives une augmentation de la charge virale, ce qui affaiblit davantage leurs défenses immunitaires déjà peu résistantes.
 
Selon l’UNICEF[3], les femmes enceintes infectées par le VIH ont deux fois plus de risques que celles séronégatives d’être touchées par une crise de paludisme au cours de leur grossesse. Chez les séropositives, le paludisme peut également provoquer un accouchement avant terme. 

Pourtant, le paludisme, qui se transmet par une simple piqûre de moustique, peut aujourd’hui être prévenu et traité. Les efforts déployés depuis les années 2000 à l’échelle mondiale ont permis de réduire de 60% la mortalité liée à l’épidémie. 

Une riposte efficace mais fragile
La communauté internationale dispose aujourd’hui des outils techniques et scientifiques pour prévenir et traiter les infections au paludisme. Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, qui finance près de 80% de la lutte mondiale contre le paludisme, a sauvé 17 millions de vies et distribué près de 600 millions de moustiquaires imprégnées d’insecticide, depuis sa création au début des années 2000.
L’Equateur est l’un des pays connaissant le plus fort recul du paludisme en Amérique latine. En 2014, 2 000 cas cliniques étaient dénombrés, contre 5 000 en 2009[4].

« Grâce aux financements du Fonds mondial, nous avons pu développer un réseau d’agents communautaires qui font la promotion des changements de comportements afin d’encourager la population à mieux se protéger. Ils deviennent un lien incontournable entre les communautés affectées par le paludisme et le système de santé national. Avant, les gens ici mouraient du paludisme. Maintenant, la maladie se prévient. Mais les acquis viennent d’être fragilisés par le tremblement de terre du 16 avril qui a frappé les zones du pays où le paludisme est le plus présent. Nous lançons un appel à la solidarité internationale », réagit Amira Herdoiza, directrice de l’association équatorienne Kimirina, membre de Coalition PLUS. 

Les progrès restent globalement fragiles. La lutte contre le paludisme se heurte à la résistance grandissante aux médicaments et aux insecticides, ainsi qu’à l’insuffisance de la couverture en traitements contre le sida. Si les efforts se relâchent, le nombre de décès liés au paludisme pourrait repartir à la hausse, y compris chez les malades du sida.

Augmenter les financements pour en finir avec le VIH et le paludisme
3,2 milliards de personnes – soit plus de la moitié de la population mondiale – restent exposées au risque de contracter le paludisme, en particulier dans les pays déjà fortement touchés par le sida. Il est donc nécessaire de redoubler d’efforts pour éliminer cette maladie qui peut se prévenir.

L’ONU s’est fixé l’objectif de mettre fin aux épidémies meurtrières que sont le sida, la tuberculose et le paludisme d’ici à 2030[5]. Les moyens pour mettre fin à ces épidémies sont connus, les études le démontrent, mais la mobilisation pour lutter contre ces fléaux doit être plus audacieuse. 

Cet automne, le Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme réunira les Etats donateurs pour qu’ils s'engagent financièrement pour les années 2017-2019 à lutter contre les trois pandémies dans les pays en développement.

« Si on n’agit pas maintenant, le paludisme repartira à la hausse et les avancées réalisées depuis 15 ans seront réduites à néant, alerte Hakima Himmich, présidente de Coalition PLUS. Nous appelons les Etats donateurs au Fonds Mondial, dont la France, à prendre la mesure de leurs responsabilités et à augmenter leur contribution financière afin que la planète soit débarrassée de ces épidémies ravageuses. »


[1] « Paludisme », Aide-mémoire n°94, OMS, Janvier 2016
[4] « Juntos contra la Malaria. Una acción de la comunidad », Corporación Kimirina, 2014
[5] Dans le cadre des Objectifs de Développement Durable, les Nations Unies affirment vouloir « d’ici 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose et au paludisme », dans l’objectif n°3 de la déclaration de l’Assemblée Générale des Nations Unies de septembre 2015 « Transformer notre monde d’ici 2030 : un nouveau programme d’action mondiale »: https://sustainabledevelopment.un.org/content/documents/7456Draft%20ZERO%20-%20Document%20final%20post%202015%20-%20Traduction%20de%20courtoisie%20FR%20-%20OIF.pdf

Satisfaction des patients hospitalisés : donnez votre avis en quelques clics !

Vous avez été hospitalisé... votre avis intéresse la Haute autorité
 
Depuis septembre 2015, chaque patient hospitalisé peut donner son avis sur son séjour dans un hôpital ou clinique en France grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne. À ce jour, 50 000 patients ont déjà participé. Avec le soutien du ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé (HAS) et le Collectif Interassociatif sur la santé (CISS) s'unissent pour faire connaître ce droit, mobiliser plus largement les Français et recueillir l'avis de toutes les personnes hospitalisées.
 
Les résultats de satisfaction seront publiés en fin d'année, établissement par établissement, et consultables sur le site www.scopesante.fr
 
Recueillir la satisfaction des patients est aujourd'hui incontournable pour mesurer et améliorer la qualité des soins dans les établissements de santé. C'est pourquoi – après plusieurs années d'expérimentation menées par le ministère – la HAS a débuté le recueil de l'indicateur « e-Satis » en septembre dernier afin de mesurer en continu, de manière fiable et contrôlée, l'expérience et la satisfaction des patients hospitalisés.
Un questionnaire de satisfaction envoyé par courrier électronique à tous les patients : exprimez-vous !
Depuis le 7 septembre dernier, les patients hospitalisés dans l'un des 1 511 établissements ayant une activité de médecine, chirurgie ou d'obstétrique (MCO) sont appelés à donner leur avis.
 
En pratique, chaque patient est désormais sollicité pour communiquer son adresse électronique lors de son admission (condition indispensable pour accéder au questionnaire). Puis, pour toute hospitalisation d'au moins 48h, le patient reçoit par courriel deux semaines après sa sortie, un lien vers un questionnaire de satisfaction sécurisé. En moins de 10 minutes, il peut donner son avis sur :
 
- son accueil dans l'établissement,
- sa prise en charge (information, délais d'attente, respect de l'intimité/confidentialité, gestion de la douleur,…),
- sa chambre et ses repas,
- l'organisation de sa sortie.

Un score de satisfaction pour chaque établissement bientôt publié
A partir des réponses des patients, un score de satisfaction sera calculé pour chaque établissement de santé concerné. Ce score sera publié sur le site www.scopesante.fr[1] en fin d'année et permettra :
 
- à chaque Français de connaitre le niveau de satisfaction obtenu par chaque établissement et de comparer les établissements de santé entre eux ;
- aux hôpitaux et cliniques de connaître l'avis de leurs patients et de s'améliorer.
 
Retrouvez les documents en cliquant ici

Arrêts de travail : les médecins généralistes refusent d'être les boucs émissaires


jeudi 21 avril 2016
MG France apprend avec consternation qu'un patient vient d'ouvrir le feu sur une femme médecin généraliste de l’Isère, heureusement sans la blesser. Parce qu’un arrêt de travail lui avait été refusé ! MG France assure ce médecin de sa compréhension et de son soutien.

Au lieu de chercher les vraies explications aux différences constatées dans le nombre d’arrêts de travail, qui tiennent aux conditions de travail, au contexte social et aux pathologies, certains ont choisi de faire du prescripteur un bouc émissaire.

On voit à travers ce fait divers très violent que le prescripteur est un professionnel qui, dans la quasi totalité des cas, assume ses responsabilités.

Puisque certains, dans des émissions radiophoniques, se plaisent à dénigrer notre profession, MG France tient aujourd’hui à dire aux médecins généralistes notre solidarité, notre admiration et notre soutien.

Ni les maires, ni l'assurance maladie, ni les pouvoirs publics, ni la presse ne devraient s’autoriser à faire du médecin généraliste un bouc émissaire. Cet événement nous le rappelle douloureusement.




Contacts :
MG France - 13 rue Fernand Léger, 75020 Paris Tél 01 43 13 13 13 - Fax: 01 43 13 13 10 mgfrance@mg-france.fr
  • Dr Claude LEICHER
  • Dr François WILTHIEN
  • Dr Jacques BATTISTONI

Référence du communiqué de presse :
N° 393 (à rappeler en cas de demande d'information complémentaire)
Président
Claude Leicher 1er vice-président
François Wilthien
Secrétaire Général
Jacques Battistoni Secrétaire gal adjoint
Jean-Louis Bensoussan
Trésorier
Gilles Urbejtel Trésorier adjoint
Bernard Plédran
Membre de droit
Jean-Claude Soulary