MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 14 octobre 2014
MINE D'INFOS: 2 études inédites dressent un état des lieux de l’...
MINE D'INFOS: 2 études inédites dressent un état des lieux de l’...: Du tissu industriel français du médicament : Pour le Leem, il est urgent de consolider les positions françaises pour assurer la croissan...
2 études inédites dressent un état des lieux de l’appareil productif de médicaments en France
Du tissu
industriel français du médicament :
Pour le Leem, il est urgent de consolider les positions françaises
pour assurer la croissance industrielle de demain
Deux études inédites, réalisées à la
demande du Leem, dressent un état des lieux détaillé et prospectif de
l’appareil productif de médicaments en France. L’hexagone continue de compter
parmi les grands producteurs mondiaux de médicaments, mais ses positions
doivent aujourd’hui être renforcées. Recul des investissements, vieillissement
du portefeuille de produits, difficultés à capter les nouvelles productions… le
Leem interpelle les pouvoirs publics sur les mesures à prendre.
Dans un contexte marqué par une fragilisation globale du tissu productif
français, le maintien d’une activité industrielle de premier plan dans le
secteur pharmaceutique constitue un défi majeur. Ce défi concerne non seulement
l’emploi, mais aussi l’accès à l’innovation thérapeutique et l’indépendance
stratégique du pays en matière de santé. Plus qu’une photographie détaillée de
l’appareil de production français, les deux enquêtes publiées aujourd’hui analysent
la dynamique des investissements productifs pharmaceutiques et
biotechnologiques en France, et s’interrogent sur les moyens de relancer la
production hexagonale de médicaments.
Réalisées par les cabinets Arthur D. Little et Roland Berger, ces études
sont présentées dans le cadre d’un colloque que le Leem et Polepharma
organisent à Paris sous l’intitulé : « Production
pharmaceutique : la France face à ses responsabilités ! ».
Un recul des investissements productifs
La première étude, menée par le cabinet Arthur D. Little à la demande du
Leem et de Polepharma, porte sur le niveau et la nature des investissements
réalisés dans l’appareil productif français de médicaments et de vaccins. Elle
révèle qu’en 2013, les 224 sites pharmaceutiques et biotechnologiques français
ont investi 810 millions d’euros, ce qui correspond à un recul de 120 M€ par
rapport à la dernière enquête, qui portait sur l’année 2010.
La majeure partie de ces investissements (60 %) a été réalisée sur des
sites de production de médicaments chimiques, produits souvent matures et
exposés à court ou moyen terme à la concurrence des génériques. Relativement
modestes (entre 1 et 5 M€ en moyenne par site), ces investissements ne visent
généralement pas à développer les capacités de production ou à conquérir de
nouveaux marchés, mais à adapter l’outil de production aux évolutions
réglementaires.
Les investissements réalisés sur les sites biologiques (vaccins notamment)
représentent quant à eux 40 % des investissements observés sur la période.
Moins émiettés car répartis sur une trentaine de sites seulement, ils sont
souvent d’une plus grande ampleur et viennent soutenir la mutation vers le
biologique. Visant à l’extension des capacités et au développement vers
l’export, les investissements sur les sites biologiques ont, pour la plupart,
été décidés il y a plusieurs années (4 ou 5 ans), et sont maintenant entrés en
fin de cycle.
Sur un plan général, la baisse des investissements observée ces trois
dernières années soulève aujourd’hui des questions sur la croissance future de
la production industrielle française. « Les sites de
production, particulièrement ceux d’origine française hors ″Big Pharma″, ont
assez peu investi pour aller chercher la croissance à l’export hors
d’Europe », soulignent les auteurs de l’étude. Ainsi, plus de 2/3 des sites implantés en France ne sont pas homologués
pour exporter vers les Etats-Unis, pourtant premier marché mondial des produits
de santé. Pour les sites dépendants de laboratoires établis hors de France, la
décision d’investissement échappe très souvent (dans 80 % des cas) aux
responsables de sites. Or, vu des sièges internationaux, la complexité et
l’imprévisibilité du système français ne sont pas contrebalancées par une
perception plus fine des atouts français, et sont souvent jugées
dissuasives.
Une concurrence avant tout européenne
A ce constat de lente évaporation des investissements, s’ajoute celui
d’une fragilisation de l’appareil productif. Le cabinet Roland Berger s’est
attaché, à la demande du Leem, à cartographier le tissu industriel
pharmaceutique et à en analyser les forces et faiblesses. Côté forces, la
France demeure une grande puissance industrielle du médicament, avec une
contribution majeure à la balance commerciale (+ 8,8 Md€ en 2013), une
place de n°2 en Europe en termes d’emplois industriels (autant
que l’aéronautique), et une valeur sociétale (charges sociales, impôts et
taxes rapportés au pays) de l’ordre de 7,2 Md€.
Mais en dépit des importants atouts reconnus aux sites français, en termes
de savoir-faire, d’équipements, de productivité, les signaux de vigilance
s’accumulent. L’instabilité des décisions politiques, le poids de la fiscalité,
la complexité du droit social français et l’impact de l’évolution des prix en
France jouent un rôle important sur les décisions d’investissements.
Plus préoccupant, les 40 800 emplois directs de production
pharmaceutique sont générés par des molécules chimiques (pour 85 % d’entre eux)
et à forte maturité (pour 75 % d’entre eux). Ces emplois sont particulièrement
exposés, puisque les produits dont ils dépendent sont faiblement pris en
charge, positionnés sur des prix modestes, et exposés à court ou moyen terme à
la concurrence des génériques.
En dépit de son leadership dans la production de vaccins, la France affiche
des performances décevantes sur la production de médicaments biologiques (elle
ne produit que 3 % des anticorps monoclonaux consommés localement) et de
médicaments nouveaux. « La France est en forte difficulté
pour capturer les lancements de médicaments et assurer le renouvellement de son
activité industrielle, précise l’étude. La concurrence est avant tout
européenne ». Sur les 130 nouvelles molécules autorisées en Europe en 2012-2014,
seulement 8 seront produites en France. Par comparaison,
l’Allemagne en produira 32, le Royaume-Uni 28, l’Irlande 13, de même que
l’Italie.
Des mesures d’urgence pour maintenir et
renouveler la production française
Les études réalisées par Roland Berger et Arthur D. Little confirment en
grande partie les projections réalisées en 2012, déjà à la demande du Leem, et
formulent aujourd’hui une série de préconisations dont certaines sont déjà
défendues par les industriels :
Pour
préserver les volumes de production des médicaments traditionnels et les
emplois qui y sont rattachés, les deux cabinets préconisent notamment de
favoriser l’investissement et la localisation en France par l’outil fiscal
(crédit d’impôt sur les taxes pharmaceutiques), par la valorisation de la
production locale dans la fixation du prix ou encore par la reconnaissance
d’un ″Label Europe″ dans les procédures de marchés publics. Ils
conseillent d’encourager la production en France de médicaments génériques
en simplifiant la production précoce d’ ″autogénériques″ par les
détenteurs de princeps et en valoriser la production France/Europe dans la
fixation des prix. Enfin, en matière d’export, ils recommandent une
simplification des procédures d’exportation et une aide (sous forme de
crédit) pour l’homologation des sites.
Pour
stimuler l’investissement dans les productions d’avenir (notamment la
bioproduction), les
deux cabinets d’études préconisent d’améliorer les conditions d’accès au
marché, notamment par une réduction des délais d’obtention des
autorisations de mise sur le marché, des évaluations du service rendu et
de la fixation des prix. Ils recommandent plus de cohérence dans la
régulation des prix, notamment par une stabilité des prix pour les
produits très innovants ou par la mise en place d’une vision pluriannuelle
des niveaux de prix. Enfin, concernant les capacités de bioproduction, les
auteurs des deux études conseillent la mise en place d’un guichet unique
permettant la concentration des capacités de bioproduction et une
structuration de l’offre de formation.
« Nos grands voisins européens ont compris
que, pour attirer les investissements en santé, il fallait agir de façon
volontariste en termes de régulation, de fiscalité, d’accès au marché ou de
normes sociales. Ils ont compris qu’il fallait réunir les conditions de la
visibilité, de la lisibilité et de la prédictibilité, et offrir aux entreprises
des perspectives sur trois à cinq ans, analyse Patrick
ERRARD, président du Leem. Notre pays a longtemps été présenté
comme une référence en matière de recherche, de production et d’accès à
l’innovation dans le domaine pharmaceutique. Dans tous ces domaines, l’image
qu’elle véhicule est aujourd’hui brouillée. N’attendons pas pour redresser le
cap et doter notre pays d’une vraie politique industrielle. Quand on aime
l’entreprise, on préserve son outil de production ».
Etudes Roland Berger et Arthur D. Little à télécharger sur www.leem.org
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?: ARGUS PRESSE Titre : Dîner assurance santé : « Le numérique est-il un remède pour l'assurance santé ? Le client a pris le pouvo...
MINE D'INFOS: Inauguration de la SCI Groupe MGEFI
MINE D'INFOS: Inauguration de la SCI Groupe MGEFI: Crédit photo: François Beauclair 30 septembre 2014 18H Inauguration... Crédit photo: Mgefi ...des locaux de la SCI Group...
MINE D'INFOS: Le 30 Acacias retrouve le feu des projecteurs gr...
MINE D'INFOS: Le 30 Acacias retrouve le feu des projecteurs gr...: Paul-Emmanuel REIFFERS PDG de la célèbre agence Mazarine redonne vit au mythique Studio des Acacias Totalement rénové, ...
MINE D'INFOS: Le 30 Acacias retrouve le feu des projecteurs gr...
MINE D'INFOS: Le 30 Acacias retrouve le feu des projecteurs gr...: Paul-Emmanuel REIFFERS PDG de la célèbre agence Mazarine redonne vit au mythique Studio des Acacias Totalement rénové, ...
Le 30 Acacias retrouve le feu des projecteurs grâce à l'Agence Mazarine
J +1 Aujourd'hui, lendedmain de la fête... Les projecteurs sont éteints. Les invités sont partis le 30 Acacias à retrouvé son calme habituel. |
l’entreprise doit être un écrin permanent pour les oeuvres d’art contemporain.
Hier au soir La fête battait son plein... |
Paul-Emmanuel REIFFERS PDG de la célèbre agence Mazarine redonne vit au mythique Studio des Acacias |
Totalement rénové, ce lieu dédié à la photo et à la
vidéo accueillera les plus grands artistes.
A l’occasion de la Fiac, l’artiste britannique Mark Handforth, inaugure ce nouvel espace
pour une exposition unique de 15 jours.
Connu de tous les professionnels de l’image et de
la mode, le Studio des Acacias a accueilli les plus grands shooting d’artistes
photographes. Irving Penn, Richard
Avedon mais aussi Guy Bourdin ou encore Jean-Marie Perier, qui y
rassembla dans les années sixties toute la classe turbulente des quarante
artistes yéyés pour le magazine Salut les Copains…
Tandis que Francis Giacobetti immortalisait les
égéries du magazine LUI qui s’effeuillaient devant son objectif, l’artiste
amoureux de cet espace en devenait quelques années plus tard, le propriétaire.
Le
Studio des Acacias 2014 : nouvel espace consacré à l’art sous toutes ses formes
Le Studio des Acacias devient le nouveau lieu
parisien consacré au monde de la création et de l’art et entièrement dédié à
l’image sous toutes ses formes : photo, vidéo, arts numériques, scénographie
événementielle, installations...
Conçu tel un open-space de travail et de
rencontres, où artistes, illustrateurs, photographes, collectifs multimedias
entrechoqueront leurs disciplines, le Studio des Acacias se veut un nouveau
lieu d’expérimentation et de production, laboratoire de créativité et
catalyseur d’idées.
Il accueille désormais sur trois niveaux repensés
par Le cabinet d’architectes LAD/Terver Delcourt, un studio de production photo
& vidéo, des expositions d'artistes contemporains, français et
internationaux, et tout type d'événements liés au monde de l'art, de la culture
et de la mode.
Tout à la fois « work space » et lieu de vie, le
Studio des Acacias reste ouvert à toutes les formes d’expressions artistiques
et multidisciplinaires, afin d’y voir naître de nouvelles explorations et
collaborations.
A propos de Mark Handforth
Artiste britannique né à Hong Kong, Mark Handforth réside à Miami depuis plus de 20 ans. Il est diplômé de l’Académie
des Beaux-Arts de Francfort et de la Slade School of Fine Art de Londres. Il est plébiscité dans le monde entier pour ses
installations dans l’espace public.
Ses sculptures monumentales ont été régulièrement présentées aux Etats-Unis, à Central Park à New York, au Dallas
Museum of Art et au Museum of Contemporary Art de Chicago (MCA).
Digne héritier du Pop Art, il est connu pour ses sculptures détournant les objets du quotidien et mobilier urbain.
Bancs, lampadaires, panneaux signalétiques, vespas se trouvent ainsi re-présentés, extraits de leur contexte d’origine
et réinjectés de manière ludique dans des espaces d’exposition ou dans l’espace public.
La lumière est omniprésente dans son travail. Lumière fluorescente, lumière des bougies, lumière de la ville…
Dans ses oeuvres, les tubes lumineux deviennent des éclipses (Eclipse, 2003) ou des soleils levants (Rising Sun, 2003)
et le mobilier/éclairage urbain est plié, retourné et malmené non sans humour.
Sans cesser d’être un éclairage public, le lampadaire érigé Porte de Bagnolet devient ainsi une sculpture joyeuse et un
signal poétique à l’entrée de Paris (Twisted Lampost, Porte de Bagnolet, 2012).
A propos du Studio des Acacias
Ce studio historique, connu autrefois sous le nom de « Studio Carnot », a accueilli depuis les années 60 les plus grands
photographes. Irving Penn y avait ses habitudes au point d’y avoir fait installer un lit pour se reposer entre deux
séances. Avec Richard Avedon et Guy Bourdin, il y a shooté ses nombreuses séries pour Vogue. Jean-Marie Périer y
réunit toute la classe turbulente des Yéyés pour le magazine « Salut les copains »…
C’est également à cette même adresse que le magazine « LUI » a vu le jour et y a connu ses plus belles heures. Les
jeunes femmes dénudées, souvent célèbres, s’effeuillaient devant l’objectif de Francis Giacobetti.
A propos de Mazarine groupe
Mazarine est aujourd’hui le principal groupe de communication indépendant dédié à l’art, à la culture et au luxe.
Le groupe intègre l’ensemble des métiers de la communication : publicité, digital, event, design et édition.
Classé parmi les tous premiers groupe de communication français, Mazarine ne cesse de récolter chaque année de
nombreuses récompenses pour la qualité et la créativité de ses réalisations on et off line.
En juin 2014, Mazarine annonce la création de Mazarine Asia Pacific.
Le groupe Mazarine compte 300 collaborateurs.
A propos de Paul-Emmanuel Reiffers
Depuis plus de dix ans, Paul-Emmanuel Reiffers, fondateur du groupe Mazarine, tisse des liens entre l’Art et les
activités de son groupe.
Homme de création, il est avec sa filiale La Mode en Images, à l’origine des plus grands événements et défilés de mode
pour Louis Vuitton, Givenchy, Balenciaga…
Animé par l’idée que la création est un moteur pour ses collaborateurs, des « artisans d’art », il est convaincu que
l’entreprise doit être un écrin permanent pour les oeuvres d’art contemporain.
NDLR: Retrouvez sur le blog les photos de l'inauguration
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?: ARGUS PRESSE Titre : fonction publique d'état se sert de la mise en invalidité pour se débarrasser de ses effectif Témoignage ...
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?
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Quoi de neuf à la MGEFI ?
ARGUS PRESSE
Vous trouverez en cliquant sur ce lien, la version intégrale de l’article :
Le numérique est-il un remède pour l’assurance santé ?
publié avec l'aimable autorisation de la rédaction du magazine
Titre : Dîner assurance santé : « Le numérique est-il un remède pour l'assurance santé ?
Le client a pris le pouvoir. Il est désormais au cœur des stratégies des assureurs qui déploient des outils technologiques au service de leur relation client. Accès multicanal, optimisation des outils CRM, regroupement de moyens entre les acteurs pour faire
face à une concurrence exacerbée, fin des clauses de désignation des branches professionnelles, …le marché de l'assurance est en pleine mutation. L'adaptabilité des acteurs à ces nouvelles tendances est alors essentielle. D'autant plus que les mesures réglementaires se multiplient. Dans ce contexte, les outils numériques sont plus que jamais indispensables pour gagner en compétitivité et accompagner les nouveaux modes de relation. Quel est l'impact du numérique sur le métier des assureurs ? Quels sont les enjeux de ces mutations ? Comment s'adapter aux évolutions de demain ? Telles sont les questions qui ont été abordées par les participants du dîner organisé par Alliancy, le Mag, le 22 septembre 2014 à Paris dans les locaux de la rédaction. Antoine Catinchi DGA d'Istya et Jean-Claude Rouyre DG MGEFI au nombre des invités de la rédaction sont tous deux intervenus sur la fonctionnement de leur structure respective en la matière.
A lire dans : www.alliancy.fr du 8 /10/14
Crédit photo Alliancy |
Le numérique est-il un remède pour l’assurance santé ?
publié avec l'aimable autorisation de la rédaction du magazine
Titre : fonction publique
d'état se sert de la mise en invalidité pour se débarrasser de ses effectif
Témoignage sur le déroulement
de carrière d'un agent catégorie B de 1989 à 2014. Mention de l'information
diffusée par la MGEFI en matière de prévoyance.
A lire dans : blogs.mediapart.fr du 8/10/14
Titre : Entretien avec Serge
Brichet
Serge brichet a ete elu
président de la MFP le 30 juin 2014. Le successeur d'Alain Arnaud nous livre
son opinion sur la situation des fonctionnaires, de leur protection sociale et
donne les axes des grands chantiers qu'il estime nécessaire de conduire.
A lire dans : La revue de la Mutualité
Fonction Publique de sept 14
Titre : Un débat sur
l'adolescence
Annonce d'un débat sdur
l'adolescence organisé par les mutuelles MGEN, MGET, MNT et MGEFI le 14 octobre
prochain à 18H au Centre universitaire et pédagogique du Puy -en- Velay.
A lire dans : Le progrès du 11/10/14
et dans la version presse écrite du 14/10/14
Titre : Ça bouge dans notre région
Présentation des actions et événements santé dans la région. Toulon: collecte de veilles lunettes.
Mention de l'action de la Mutualité française, délégation du Var et les Mutuelles associées (la Mutuelle verte, EMOA Mutuelle du Var, MGEFI, MASFIP-Mutuelle du trésor, M G E N , La Mutuelle générale et la M N T ) récupèrent les lunettes usagées (de vue et solaires) ainsi que des étuis pour l'association Lunettes sans frontières qui les expédie dans plus de 90 pays.
A lire dans : Nice Matin du 11/10/14
Titre : MGET les 10 ans de l'IRPS
Réunis en Assemblée Générale, les 18 et 19 juin à Perpignan, les délégués de la Mutuelle Géné- rale Environnement et Tërritoires (MOET) ont réserve leur matinée débat à la célébration des 10 ans de l'Institut de Recherche en Pré- vention Santé (IRPS), créé en 2004.
La MGET, dès la création de l'IRPS, a su rassembler les experts les plus pointus. Mention d'autres partenariats de l'IRPS avec des mutuelles du groupe Istya MNT et MGEFI.
A lire dans : La revue de la Mutualité Fonction Publique de sept 14
lundi 13 octobre 2014
MINE D'INFOS: C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir ...: "Paris surprises 500 coups de cœur" de Marie Farman - Editions Mardaga Où déguster les meilleurs jambon-beurre ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir ...
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MINE D'INFOS: C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir ...: "Paris surprises 500 coups de cœur" de Marie Farman - Editions Mardaga Où déguster les meilleurs jambon-beurre ...
C'est à lire : un surprenant guide pour découvrir Paris
"Paris surprises 500
coups de cœur" de Marie Farman - Editions
Mardaga
Où
déguster les meilleurs jambon-beurre ? Quelles sont les 5 plus belles merceries
de la capitale ? Quelles sont les plus jolies vues sur la ville ?
Autant de
bonnes adresses que Paris surprises – 500 coups de cœur propose de vous
faire découvrir.
Paris hors des sentiers battus
L’idée principale de cet
ouvrage est de guider le lecteur vers des adresses différentes de celles
proposées par les circuits touristiques classiques. L’auteure a ainsi fait sa
sélection en se demandant « Que conseillerais-je à des amis qui voudraient découvrir
Paris ?
Paris suprises en poche, partez à la
chasse aux boutiques insolites, découvrez des passages secrets, repérez des terrasses
ensoleillées, des restaurants de quartier ou optez pour la visite de charmants
petits musées. Vous y trouverez entre autres, pour les fous de gastronomie 5
cours de cuisine à tester absolument, pour les noctambules 5 lieux où manger la
nuit ou pour les passionnés d’art les 5 plus beaux ateliers d’artiste à
visiter.
Amoureuse de Paris, pour
l’auteur chaque quartier regorge de trésors, qu’il s’agisse d’une cour cachée
derrière une porte cochère, d’une ruelle paisible au cœur de la jungle urbaine ou
d’une petite place bordée de cafés. Ce guide vous fera découvrir les subtils
détails de la capitale.
expériences singulières
Ce guide propose notamment
quelques expériences insolites, comme monter dans un bus dont le trajet permet d’admirer
les plus beaux monuments de Paris, aller pique-niquer dans un jardin secret en
plein cœur du quartier historique du Marais ou s’initier à l’art du thé dans
une maison d’exception.
Surprenant… même pour les
Parisiens !
Ce guide s’adresse autant
aux visiteurs de passage désireux d’éviter les « attrapes-touristes » qu’aux
résidents impatients de dénicher les perles de leur ville. Grâce aux plans
numérotés, vous localiserez sans peine chacun de ces trésors cachés.
Sommaire
120 ENDROITS OÙ BIEN
MANGER
45 ENDROITS OÙ BOIRE UN
VERRE
60 IDÉES SHOPPING
35 IDÉES DE LÈCHE-VITRINES
90 LIEUX POUR DÉCOUVRIR
PARIS
35 LIEUX OÙ SE CULTIVER
35 LIEUX POUR LES ENFANTS
20 ENDROITS OÙ SÉJOURNER
35 LIEUX OÙ SORTIR
25 ANECDOTES ET DÉTAILS
URBAINS
Pauline Bolac
Attachée de presse
Langage et Projets Conseils
01 53 26 42 10
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24 rue de
Saint Quentin - 75010 Paris
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MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet
MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet: Gabriel RICHET, membre de l'Académie nationale de médecine depuis 1980, nous quittés vendredi 12 octobre 2014, à l'âge...
MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet
MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet: Gabriel RICHET, membre de l'Académie nationale de médecine depuis 1980, nous quittés vendredi 12 octobre 2014, à l'âge...
MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet
MINE D'INFOS: Décès de Gabriel Richet: Gabriel RICHET, membre de l'Académie nationale de médecine depuis 1980, nous quittés vendredi 12 octobre 2014, à l'âge...
Décès de Gabriel Richet
Gabriel RICHET, membre de l'Académie nationale de médecine
depuis 1980, nous quittés vendredi 12
octobre 2014, à l'âge de 97 ans.
GABRIEL RICHET
(1916-2014)
Né en 1916 au cours de la 1ère
guerre mondiale, Gabriel Richet représentait la 4ème génération
d’une lignée illustre de médecins, tous professeurs à la Faculté de médecine de
Paris, dont son grand père, Charles Richet auquel le Prix Nobel fut décerné en
1913 pour la découverte de l’anaphylaxie.
Combattant et résistant
Gabriel Richet a 23 ans lorsque
la 2ème guerre mondiale éclata. Il vient juste d’être reçu à
l’internat des hôpitaux de Paris. Mobilisé, il participe à la campagne de
France et fut cité à l’ordre de son régiment. Après une courte captivité, il
revient à Paris où il reprend son activité médicale dans les hôpitaux. Toute sa
famille participe à la lutte contre l’occupant. Son père, Charles Richet est
déporté à Dachau, son frère Olivier à Dora et sa cousine, Jacqueline
Richet-Souchère à Ravensbrück. Sa mère, Marthe, est emprisonnée à Fresnes.
Gabriel Richet s’engage dès la libération dans l’armée qui, sous le
commandement du général Leclerc, libère Strasbourg en novembre 1944. Durant
tout le début de l’année 1945, les combats se poursuivent autour de la poche de
Colmar. Gabriel Richet y participe comme médecin des commandos de France. Il
est blessé, cité 3 fois à l’ordre de l’Armée et décoré de la Légion d’Honneur
par le Général de Gaulle en avril 1945.
Un des reconstructeurs de la médecine Française
d’après-guerre.
Démobilisé, Gabriel Richet
rejoint le service de Louis Pasteur Valléry Radot où il rencontre Jean
Hamburger qu’il suit à l’hôpital Necker pour créer en 1950 le 1er
service français de néphrologie. Il reste l’adjoint de Jean Hamburger pendant
10 ans. A Necker, il introduit le
traitement de l’insuffisance rénale aiguë par le rein artificiel, transformant
le pronostic des septicémies post-abortum
et des syndromes d’écrasement. Il participe à tous les travaux qui font la
renommée mondiale du service de néphrologie. Citons l’allogreffe rénale entre
mère et fils en 1952 qui ouvre la voie aux succès ultérieurs, le démembrement
des néphropathies glomérulaires par l’examen histologique des prélèvements
obtenus par biopsie rénale, les premières études des reins en microscopie
électronique, la démonstration que le pronostic létal de l’insuffisance rénale
chronique terminale dépend des troubles hydro-électrolytiques et non de
l’urémie. Dès 1955, il conceptualise avec Jean Hamburger et Jean Crosnier la
notion de réanimation médicale,
c’est-à-dire de correction des grandes fonctions métaboliques, vite étendue
avec succès à d’autres disciplines, ouvrant ainsi le nouveau secteur des soins
intensifs.
L'Ecole de néphrologie de Tenon
Après Necker, c'est Tenon où
Gabriel Richet crée un centre de néphrologie clinique et de recherches. Il y
reste de 1961 à sa retraite en 1985. Son premier souci est de réunir une équipe
avec Claude Amiel, Raymond Ardaillou et Liliane Morel-Maroger auxquels
s’adjoignent plus tard Françoise Mignon, Jean-Daniel Sraer, Pierre Ronco, Eric
Rondeau et bien d’autres encore. Avec l'aide de l’Assistance Publique-Hôpitaux
de Paris, qui fournit un terrain, il y construit un pavillon moderne
d’hospitalisation et de laboratoires ;
l’INSERM lui attribue la direction d’une Unité de recherches ; l’Université,
l’Association Claude Bernard et le CNRS contribuent à l’acquisition de matériel
et aux crédits de fonctionnement. Il aura ainsi créé, selon ses objectifs, un centre de soins performant et un foyer
intellectuel dont témoigne le nombre important de néphrologues français et
étrangers qui y furent formés.
Il est impossible d’énumérer
tous les travaux et découvertes qui jalonnent cette période de 24 ans. Gabriel
Richet avait sa propre équipe de recherches et fut le premier à décrire une
variété de cellules « sombres » rénales impliquées dans l’excrétion
des ions acides. Il laissa toujours à ses élèves une grande liberté dans leurs
sujets de recherches et se réjouissait de les voir acquérir une reconnaissance
internationale. A sa retraite, Gabriel Richet a laissé en héritage deux services de néphrologie, un
service d’explorations fonctionnelles, une unité INSERM, sans compter tous les
services de néphrologie de Paris et de province dirigés par ses élèves. L’élan
qu’il a donné fait que l’Hôpital Tenon occupe une place grandissante dans la
néphrologie mondiale. L’esprit alliant clinique et recherche qui y règne,
l’outil forgé et les néphrologues qui y travaillent portent la marque frappée
par Gabriel Richet sur cette discipline dont il a été un des créateurs.
Un des géants de la Néphrologie
mondiale
Il fut un membre fondateur de la
Société Internationale de Néphrologie, secrétaire général du premier congrès
mondial de néphrologie à Genève et Evian en 1960, président de la Société
Internationale de Néphrologie de 1981 à 1984. Parmi d’autres nombreuses
récompenses et Doctorats Honoris Causa, il fut le lauréat du prestigieux
Prix Jean Hamburger de cette même société en 1993. Gabriel Richet est Grand
Officier de la Légion d’Honneur.
Raymond Ardaillou,
Secrétaire perpétuel de l’Académie nationale de médecine
Pierre Ronco, Université Pierre et Marie Curie, Directeur de l’unité
INSERM 1155 ; Hôpital Tenon ; membre de l’Académie nationale de
médecine
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