Nora ANSELL-SALLES

mardi 22 octobre 2013

STOPORISK : une application à installer d'urgence sur tous les iPhones et iPads


Les Français sont mauvais élèves en matière de secourisme, mais cela pourrait changer... L'application STOPORISK permet un apprentissage rapide, simple et ludique des gestes qui sauvent.

Dans sa note d'analyse de février 2013, le Centre d'analyse stratégique s'alerte : « Alors que 95 % des Norvégiens et 80 % des Autrichiens ont été initiés aux gestes qui sauvent, les Français, dans leur grande majorité, ne les maîtrisent pas et sont démunis en cas d'accident ».

Et il y a effectivement de quoi s'inquiéter... En France, moins d'une personne sur cinq, témoin d'un arrêt cardiaque, pratique les gestes de premiers secours (source : projet européen EuReCa). L'étude réalisée en septembre 2013 par l'institut Opinion Way conclut que la plupart des Français ne sauraient pas quoi faire s'ils étaient victimes ou témoins d'un accident de la route.... et que dire des accidents de la vie courante (chutes, brûlures, asphyxie...), responsables de 11 millions de blessés et 19 000 morts par an en France, soit presque cinq fois plus que les morts sur la route ?


Et vous, seriez-vous capable de porter secours à une personne en cas d'accident ou de malaise ?
[youtube width="690" height="388" video_id="AXUOTsiqjpw"]

Parce que l'initiation aux gestes qui sauvent n'est ni inscrite aux programmes scolaires, ni obligatoire pour l'obtention du permis de conduire, tout est question de volonté et d'initiative. C'est pourquoi la société Stoporisk, organisme de conseil en prévention des risques professionnels  a conçu l'application STOPORISK.
Parallèlement à une indispensable politique de prévention, nous sommes convaincus que l'enseignement à la pratique des gestes de premiers secours pourrait largement contribuer à faire baisser ces dramatiques statistiques.  

Julien Guillon, dirigeant de Spotorisk
L'application offre un apprentissage rapide, simple et ludique du secourisme. Les utilisateurs découvrent  au fil des quizz, les connaissances essentielles à savoir en fonction de l'incident et de sa victime.

Avec STOPORISK, tout le monde peut apprendre comment pratiquer les bons gestes de premiers secours sans faire d'erreur.?
Infos pratiques

Taille : 12.0 Mo
Langues : Français, Anglais
Compatibilité : Nécessite iOS 5.0 ou une version ultérieure. Compatible avec l'iPhone, l'iPad et l'iPod touch. Cette app est optimisée pour l'iPhone 5.
Tarif : 0,89 €

Pour télécharger l'application : https://itunes.apple.com/fr/app/stoporisk/id578884 528?mt=8 


A propos de STOPORISK


Ancien pompier, Julien Guillon a toujours perçu la formation comme un enjeu majeur dans la prévention des risques. Il décide donc de créer en janvier 2012.  STOPORISK, un organisme de conseil en prévention des risques professionnels qui propose de l'Audit, de la formation, toujours basée sur une pédagogie ludique, et de l'équipement en matière de sécurité pour les entreprises, centres de formation et collectivités.

Afin de permettre à un plus large public de s'initier aux gestes qui sauvent, la société a conçue l'application STOPORISK.


Facebook : http://www.facebook.com/pages/Stoporisk/1007990833 88618 

Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.relations-publiques.pro/9602/stoporisk- une-application-a-installer-durgence-sur-tous-les-iphones-et-ipads. html?camp=886225_0

 




 

 

 

 

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Bien manger, bien vivre L'EVEIL DE LA HAUTE LOIRE du 18 /10/213   Titre : « L'action sociale permet la...

La MGEFI dans la presse


Titre : Bien manger, bien vivre
L'EVEIL DE LA HAUTE LOIRE du 18 /10/213
 
Titre : « L'action sociale permet la différenciation mutualiste »
ESPACE SOCIAL EUROPEEN du 18 OCT/05 NOV 13

lundi 21 octobre 2013

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi: Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter l'hécatombe   Le Centre international de recherc...

LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi


Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter l'hécatombe
 
Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé vient de classer la pollution atmosphérique comme cancérigène certain. En effet, les scientifiques disposent de preuves suffisantes pour affirmer que l'exposition à la pollution de l'air extérieur provoque le cancer du poumon notamment.
 
Michèle Rivasi, députée européenne EELV, rappelle qu'avec 42.000 morts prématurées par an en France, la pollution de l’air extérieur, notamment due aux particules fines du diesel (classé lui aussi cancérigène en 2012), au dioxyde de soufre (SO2),  monoxyde d’azote (NO) ou encore à l'ozone (O3) "pèse particulièrement sur notre santé, et sur notre système de sécurité sociale. Je rappelle par ailleurs que la France est actuellement en contentieux européen pour non respect des seuils d’exposition des populations aux particules fines : elle encourt de très lourdes pénalités financières si elle ne se met pas rapidement en conformité avec la réglementation européenne".
 
Pour la députée écologiste, "il est indispensable d’orienter le crédit impôt compétitivité destiné aux industries automobiles vers la création de véhicules consommant deux litres d’essence aux 100 kilomètres. D'autre part, les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) ont vu leur financement baisser et le principe des zones d'actions prioritaires pour l'air (Zapa) a été abandonné car aucun dossier n'a été déposé par les villes candidates : l’absence de volonté politique gouvernementale sur ce sujet est déplorable".
 
En tant que présidente du Comité territorial Drôme-Ardèche d’AIR Rhône-Alpes (qui est une ASQAA) je suggère quelques solutions simples, à appliquer au niveau des villes pour permettre  de réduire l’exposition des habitants à cette pollution, notamment :
 
-              En matière d’urbanisme, les écoles, maisons de retraites et équipements sportifs de plein air devraient majoritairement être implantées loin des grands axes routiers ;
-              Les parkings relais avec navettes gratuites pour rejoindre le centre ville doivent être multipliés ;
-              Les poids lourds ne doivent plus se retrouver en ville, et les livraisons en ville pourraient se faire à partir de plateformes logistiques à l’extérieur des villes, en camion électrique.
 
Enfin, les enjeux sanitaires liés à la pollution atmosphérique ne doivent pas occulter un autre sujet tout aussi préoccupant, à savoir la pollution de l'air intérieur. "La fumée de tabac environnementale, l’amiante, le radon, le benzène, le formaldéhyde (formol), plus le dioxyde de carbone (CO2), souvent imputable à une mauvaise ventilation  peuvent provoquer l’apparition de certains cancers".
 

MINE D'INFOS: Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoi...

MINE D'INFOS: Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoi...: La Mutualité Française publie aujourd’hui l’édition 2013 du "Mémento Médicament". Celui-ci fournit une analyse des principales ...

Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoir sur le marché du médicament


La Mutualité Française publie aujourd’hui l’édition 2013 du "Mémento Médicament". Celui-ci fournit une analyse des principales données de ce marché et de son financement en direction des décideurs mutualistes et des acteurs de la politique du médicament. Cette nouvelle édition se penche plus particulièrement sur les prescriptions et les médicaments génériques comme levier d’amélioration de la qualité des soins.

 

Le paracétamol et les antiasthmatiques, premières molécules remboursées par les mutuelles, mais non génériquées !

 

Le paracétamol est, en France, la molécule la plus remboursée par les mutuelles. En 2012, elles ont consacré 117 millions d’euros aux remboursements de cet antalgique, en progression de +17,5% par rapport à 2011. Le paracétamol, mais aussi l’acide acétylsalicylique(1), sont toujours exclus du champ du répertoire des génériques en France, alors qu’une disposition législative de 2007 ouvre la possibilité réglementaire de créer des groupes génériques sans spécialité de référence.

 

Les antiasthmatiques administrés par voie respiratoire arrivent en deuxième position des remboursements des médicaments par les mutuelles. Or contrairement aux autres pays européens, les formes pharmaceutiques administrées par voie respiratoire ne peuvent pas être inscrites au répertoire des génériques.

 

La Mutualité Française demande donc l’élargissement du champ du répertoire des génériques aux molécules comme le paracétamol et l’acide acétylsalicylique, mais aussi aux antiasthmatiques, ainsi qu’une meilleure cohérence dans la politique de prix de ces molécules.

 

961 millions d’euros d’économies auraient pu être réalisées en 2012 si l’acceptation des médicaments génériques avait été totale, sans compter les gisements d’économies qui pourraient être réalisées avec l’élargissement du répertoire, de l’ordre de 400 millions d’euros.

 

 

Les prescriptions d’origine hospitalière comme frein au  développement des génériques

 

En 2012, les prescriptions d’origine hospitalière exécutées en ville ont représenté
5,8 milliards d’euros, soit 22,3% des remboursements de médicaments. En augmentation depuis plusieurs années, la majorité de ces prescriptions rédigées à l’hôpital concernent des médicaments sous brevet, notamment du fait d’un processus de référencement, avec pour conséquence la limitation du développement des génériques.

 

A ce sujet, la Mutualité Française demande le développement des mécanismes de régulation des dépenses hospitalières exécutées en ville, avec la mise en place de logiciels hospitaliers d’aide à la prescription permettant l’usage plus important des médicaments génériques.

 

La prescription en dénomination commune internationale (DCI): encore un trop faible recours

 

 Malgré les obligations réglementaires(2) et alors que l’usage de la DCI est un facteur clé de la sécurité sanitaire pour les patients, en France, seulement 12,3% des prescriptions des médecins sont libellés en DCI. C’est également une voie d’amélioration des pratiques des prescripteurs. Les marges de progression sont importantes notamment pour les médecins spécialistes qui réalisent en moyenne 6,9% de prescriptions en DCI contre 13,5% pour les généralistes.

 

Pour la Mutualité Française, prescrire en DCI permet d’améliorer la qualité des soins et leur efficience dans l’intérêt des patients, de diminuer les risques de surdosages, d’interactions médicamenteuses et d’allergies aux médicaments. Et comme l’a récemment souligné le sénateur Yves Daudigny dans son rapport parlementaire(3) rendu public le 17 octobre dernier, le développement de la prescription en DCI favorisera également la délivrance de médicaments génériques, aussi efficaces que les médicaments de marque et dont le coût est moins élevé pour la collectivité. La Mutualité Française préconise le renforcement de l’enseignement universitaire de la DCI et de ses nombreux avantages en matière de santé publique auprès des futurs médecins.

 

 

Vous trouverez, ci-joint, l’édition 2013 du « Mémento Médicament ».
Ce dépliant, accompagné de son commentaire détaillé est également disponible sur www.mutualite.fr, espace presse ou auprès du service de presse.

 

(1) Dénomination commune internationale (DCI) du nom de marque d'origine aspirine. La DCI mise en place par l’Organisation mondiale de la santé, désigne la substance active ou molécule contenue dans le médicament. C’est le vrai nom du médicament, contrairement à son nom de marque.

 

(2)Article 19 de la loi relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament adoptée, le 19 décembre 2011 qui prévoit que les prescriptions des médecins devront la mentionner d’ici le 1er janvier 2015.

 

(3) « Les médicaments génériques : des médicaments comme les autres », rapport déposé le 26 septembre 2013.

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.    
                         

NDLR : MGEFI et Mutualité Française

La MGEFI et son environnement                     
 

MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...

MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...: Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle Mercredi 18 décembre 2013   A l’occasion de la Journée ...

« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »




Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle

Mercredi 18 décembre 2013

 

A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension Artérielle (HTA), le 18 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) lance sa nouvelle campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! ». Un livret d’information téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org révèle aux patients les différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre tout au long de leur vie : consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme…

 

La prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en médecine générale1 et nécessite des visites régulières chez le médecin portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées par l’HTA en France2. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance, soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension » précise le Pr Jean-Jacques Mourad, cardiologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny). « Ces instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse, Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette brochure a l’ambition de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender sereinement pour une optimisation de leur prise en charge.

 

Aujourd’hui, « près de 12 millions de Français souffrent d’HTA ; près de 3 millions supplémentaires l’ignorent. Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr Xavier Girerd, cardiologue (CHU Pitié-Salpêtrière, Paris). Pour 2015, le CFLHTA avec plusieurs sociétés savantes3 impliquées dans l’hypertension artérielle se sont fixés, avec la Direction Générale de la Santé (DGS), l’objectif de traiter et de contrôler 70 % des patients hypertendus.

 

« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »

 

Rendez-vous à partir du 18 décembre sur le site www.comitehta.org

pour télécharger gratuitement le nouveau livret édité par le CFLHTA

A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA)

 

Créé en 1972, le CFLHTA est une association régie par la loi de 1901. Ses missions sont de :

mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique

                       

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées parle  reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie ainsi que sur les travaux de la Fondation pour la Recherche en HTA et de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension.



 
 
 
 

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MINE D'INFOS: Favoriser l'emploi des personnes souffrant d'un ha...: L’Institut Randstad et la Fédération des Aveugles et Handicapés Visuels de France, FAF, s’unissent pour favoriser l’emploi des personne...

Favoriser l'emploi des personnes souffrant d'un handicap visuel


L’Institut Randstad et la Fédération des Aveugles et Handicapés
Visuels de France, FAF, s’unissent pour favoriser l’emploi des personnes
en situation de handicap visuel !


A l'occasion de l’inauguration du nouveau siège de la FAF,  le 22 octobre à 16h30, Vincent MICHEL, Président de la FAF et Abdel AISSOU, directeur général du Groupe Randstad France, signeront une convention pour la mise en place d’un projet novateur : une hotline informatique dédiée aux personnes déficientes visuelles.
L’informatique a révolutionné le monde de l’entreprise et les méthodes de travail. Le numérique est un atout extraordinaire, également pour les personnes en situation de handicap visuel, qui grâce aux outils informatiques adaptés gagnent assurément en . Avec les logiciels adaptés, elles utilisent les suites bureautiques, consultent leurs courriels, accèdent aux principales fonctions des systèmes d’exploitation. Elles sont aussi compétentes que leurs collègues valides.

 
Mais que se passe-t-il lorsque leur matériel adapté « bugge ». Le collègue informaticien est compétent pour le parc informatique traditionnel mais pas sur les logiciels adaptés. C’est pourquoi, la FAF lance une hotline dédiée aux professionnels handicapés visuels, qui en poste, pourront faire appel aux services des informaticiens de la FAF pour les dépanner sur leurs lieux de travail, et ainsi faciliter leur intégration et/ou leur maintien dans l’emploi.

 

"L’intégration dans l’entreprise des personnes déficientes visuelles est une exigence légale mais aussi éthique. Elle correspond également à l’intérêt bien compris des entreprises, à la recherche constante de talents. Du talent, les personnes handicapées n’en manquent pas, de même qu’elles ne manquent pas de volonté pour surmonter leur handicap et donner le meilleur d’eux-mêmes. A cet égard, la capacité à surmonter obstacles et embûches est gage de volonté et de ténacité", précise Abdel Aïssou, directeur général du Groupe Randstad France.

 

"Il est heureux qu’un des tout premiers groupes chargés de l’insertion professionnelle dans notre pays et qu’une grande fédération de personnes aveugles et amblyopes aient uni leurs efforts pour favoriser l’insertion professionnelles des personnes handicapées visuelles. Il est inacceptable qu’à ce jour en France, un aveugle sur deux soit au chômage", souligne Vincent Michel, président de la FAF.

 

Cette union entre l’Institut Randstad et la FAF se nourrit de richesses humaines partagées et témoigne d’une dynamique d’entreprise forte car mobilisatrice de tous les talents. Ce sont ces valeurs déclinées en principe d’action qui fondent le partenariat
entre les deux institutions.

MINE D'INFOS: J -15« Santé, prévoyance, retraite : une protectio...

MINE D'INFOS: J -15« Santé, prévoyance, retraite : une protectio...: En partenariat avec     MGEFI, SMI, APGIS, COVEA   Miroir Social Vous invite au colloque Santé, prévoyance, ret...

J -15« Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » 4 novembre 2013 Maison des associations de solidarité


En partenariat avec

 

 

MGEFI, SMI, APGIS, COVEA

 

Miroir Social


Vous invite au colloque
Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir
Quel rôle pour l’entreprise ?


Lundi 4 novembre 2013
Maison des associations de solidarité
10/18 rue des terres au curé - 75013 Paris

 

Programme :

9h-9h15 Ouverture par Daniel Benamouzig, chercheur en sociologie au CNRS-Sciences Po et coordinateur du rapport de Terra Nova "Réinventons notre système de santé"

9h15-10h30 Réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale entre :
les âges;
les niveaux de salaire;
les catégories familiales;
les catégories professionnelles;
les tailles d’entreprise,...

Avec

Serge Brichet, président de la Mgefi
Bertrand Da Ros, directeur général de la mutuelle SMI
Corinne Prayez, directeur général de l'Apgis

Pause



10h45-12h15Quelle place à la négociation dans l'entreprise, dans les branches ?


Quelle est la place de la protection sociale dans la rémunération globale ? Est-ce sa place ?

Quel développement des formules individualisées au travers des sur-complémentaires et des retraites supplémentaires ? Sont-elles les futurs socles de la protection sociale de demain ?
En quoi les démarches de prévention des acteurs de la protection sociale peuvent-elles contribuer à la qualité de vie au travail ?

Avec


Bruno Serizay, avocat associé chez Capstan
Serge Lavagna, secrétaire national CFE-CGC
Brigitte Jumel, secrétaire générale de l'Union des Fédérations CFDT des fonctions publiques et assimilés
Philippe Pihet, secrétaire confédéral FO
Eric Aubin, secrétaire national de la CGT (sous réserve)
Patrick Poizat, secrétaire général adjoint confédéral CFTC
Denis Falcimagne, Entreprise & Personnel


12h15-12h30 Synthèse des partenaires

 

12h30 Cocktail déjeunatoire

 

Participation gratuite - Inscription obligatoire /Demande de renseignements : redaction@miroirsocial.com

 

Coup de projecteur sur la participation de la MGEFI au colloque

 


Comment réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale ?


 Une problématique depuis toujours au cœur même des préoccupations de la Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.
Serge Brichet, Pdt. de la MGEFI, apportera l’éclairage « spécifique » d’une mutuelle de la Fonction publique et présentera la stratégie mise en place au sein de sa propre organisation, lors du colloque « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » organisé par Miroir Social le 4 novembre prochain à la Maison des associations de solidarité.

Contact presse MGEFI:

Nora Ansell-Salles

nansellsalles@mgefi.fr / 06 70 74 15 42 


La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
www.mgefi.fr

vendredi 18 octobre 2013

Dépendance : des entreprises se mobilisent avec Responsage

 

ASAP Solutions lance, avec le soutien de Danone et de Bayard,

la plateforme multimédia Responsage pour aider les salariés

confrontés à la dépendance de leurs proches âgés.

 

Paris, le 18 octobre 2013. La perte d’autonomie d’un proche âgé est un facteur de stress majeur pour les collaborateurs. Toutes les entreprises en font le constat aujourd’hui. Les statistiques sur le vieillissement de la population pointent l’aggravation prévisible de la situation. Conscients de ce problème, Danone et Bayard ont participé fin 2012, aux côtés d’experts reconnus de la gérontologie et de la RSE (Responsabilité sociale des entreprises)*, à la création de la start up ASAP Solutions et de Responsage, sa plateforme d’information, d’orientation et de conseil autour de la dépendance d’un proche âgé.

 

Initiée en mai 2013 chez les deux actionnaires, la phase pilote vient de se terminer. Elle montre que cette initiative, unique en France, répond aux besoins des utilisateurs. Responsage a d’autre part reçu un accueil très positif des pouvoirs publics : la plateforme est en phase avec l’esprit du futur projet de loi Autonomie (anticipation, adaptation, accompagnement) lequel devrait être prêt en 2013 pour discussion au premier semestre 2014.

 

La dépendance, un problème de société grandissant, qui affecte directement les entreprises

 

Aujourd’hui, 4,3 millions de Français soutiennent un proche dépendant en assurant une présence ou en s'occupant de l'organisation des soins. Les employeurs sont concernés : 10 à 14% des salariés accompagnent un proche dépendant (1). 8 salariés aidants sur dix (soit 1,3 million de salariés) ont modifié leurs horaires de travail, et plus d’1 sur 3 ont réduit leur nombre d’heures (2).

 

 

Avec l’allongement de la durée de vie, c’est un véritable changement de société qui s’annonce : le nombre de personnes âgées de 85 ans et plus sera multiplié par près de 4 en 40 ans passant de 1,4 à 4,8 millions d’ici à 2050.

 

Responsage, une initiative d’entreprises pour les employeurs qui se mobilisent pour aider leurs collaborateurs concernés par l’accompagnement d’un proche dépendant

 

Les entreprises qui se penchent depuis nombre d’années sur les problématiques de santé au travail constatent l’acuité du problème. Pour les salariés, il y a urgence : fatigue, stress, moindre implication dans la vie professionnelle, temps libre réduit... Près de 40 % de ceux qui aident une personne lourdement dépendante se disent déprimés (3).

 

 

Pour aider leurs salariés à s’orienter sur ce sujet complexe, Danone et Bayard ont décidé de devenir actionnaires à hauteur de 49 % dans ASAP Solutions, l’entreprise qui porte la marque Responsage, et ce aux côtés d’experts de la gérontologie et de la RSE*, qui détiennent 51% des actions.

 

La plateforme est en cours de déploiement dans les deux entreprises actionnaires et chez d’autres clients. Tous les employeurs, publics ou privés, peuvent adhérer : la cotisation annuelle moyenne s’élève à 15 euros HT par salarié ayant droit.

 

(1) Malakoff Médéric - 2012

(2) Haut Conseil de la famille – 2011

(3) Etude Dress 2012 : Aider un proche âgé à domicile : la charge ressentie 2

 

 

Responsage, un service personnalisé et des réponses de proximité sur toutes les questions relatives à la dépendance

 

La plateforme multimédia Responsage répond à toutes les questions que peuvent se poser les salariés aidants. Elle informe, oriente et apporte des solutions concrètes qui soulagent les collaborateurs. Elle présente de nombreux atouts pour les entreprises abonnées :

 

- L’éventail des services proposés est vaste : les questions peuvent porter sur l’évaluation des besoins, une recherche d’hébergement (maison de retraite, court séjour de répit…), d’aide à domicile, d’équipements pour le domicile, sur les modes de financement, les aspects juridiques…

 

- Le suivi du salarié est personnalisé : contrairement à un site Internet, la plateforme mise sur une relation humanisée. Ainsi le salarié appelle un numéro (gratuit depuis un poste fixe) et présente sa situation à un interlocuteur unique. Celui-ci analyse la situation, qualifie la problématique que le salarié doit résoudre et ouvre un dossier personnel. Le conseiller élabore ensuite une réponse appropriée et la transmet au salarié par téléphone, puis par courriel dans les 72 heures. Un suivi est opéré à échéance régulière et la prestation est systématiquement évaluée.

 

- Une couverture nationale : que le salarié ou son proche soit à Paris ou en région, Responsage apporte des réponses géo localisées.

 

- Des conditions d’achat préférentielles pour les produits et services liés à la dépendance des personnes âgées : Responsage négocie des avantages pour les salariés.

 

Responsage respecte une stricte éthique. Les données confiées par les salariés sont confidentielles, elles ne sont ni transmises à l’entreprise, ni cédées ni vendues.

 

Responsage entend également faire oeuvre de prévention : elle aide les salariés à anticiper l’aggravation de la dépendance. Elle peut sensibiliser et former les managers pour qu’ils prennent mieux en compte les contraintes des salariés dans l’organisation de leur travail.

 

Responsage se positionne comme un pont entre les salariés et l’offre de services et de produits existants autour de la dépendance. Sa raison d’être est d’orienter et accompagner les salariés aidants, et d’apporter une réponse aux entreprises sur ce qui est devenu un problème de société.

 

 

Très innovante, la plateforme a reçu l’agrément du pôle de compétitivité mondial Finance Innovation en juin 2013.

 

§ *Joël Riou, président d’ASAP Solutions, est âgé de 48 ans. Il dirige une société de presse et de salons professionnels, Associés en Edition. Cette société édite notamment le mensuel professionnel Géroscopie pour les décideurs en gérontologie. La rencontre avec Bayard sur un projet éditorial lui permet de lancer l’aventure ASAP Solutions. Joël Riou est diplômé de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint Cyr, de l’IHEDN (64) et du MBA d’HEC.

 

§ *Jean-Renaud d’Elissagaray de Jaurgain, directeur général d’ASAP Solutions, a 54 ans. Il a occupé des fonctions de manager et consultant en stratégie (Bain & Cie). Il a été directeur général adjoint de Vigeo, directeur du développement de PhiTrust, directeur associé de Asp entreprises, directeur de GPS Santé, puis directeur associé de Bien@work/GPS Santé. Jean-Renaud d’Elissagaray est diplômé d’un MBA/MPPM Yale University et de l’ESC Reims.

 

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Contact

 ASAP – Solutions / Responsage : 18, rue Barbès – 92120 Montrouge

www.responsage.com