MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 21 mai 2013
MINE D'INFOS: Vente de médicaments sur Internet :
MINE D'INFOS: Vente de médicaments sur Internet :: 1001Pharmacies soutient l'avis de l'Autorité de la concurrence défavorable au "Code de Bonnes Pratiques" ...
Vente de médicaments sur Internet :
1001Pharmacies soutient l'avis de l'Autorité de la concurrence défavorable au "Code de Bonnes Pratiques"
"Les pharmaciens français doivent pouvoir se battre à armes égales sur Internet avec leurs concurrents et homologues européens. C'est la santé des Français et la pérennité de notre réseau d'officines qui sont en jeu".
Sabine Safi, co-fondatrice et Directrice Générale de 1001Pharmacies.
Paris, 20 mai 2013. 1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, s'engage aux cotés de l'Autorité de la Concurrence et recommande 3 actions à engager pour le développement online des Pharmaciens : une concertation contre les aberrations, des prix libres et un accompagnement numérique.
Autorisée depuis le 1er janvier 2013 en France, la vente de médicaments en ligne était soumise à un arrêté relatif "aux bonnes pratiques de dispensation" jusqu'à ce mercredi 15 mai 2013. En effet, l'Autorité de la concurrence a rendu un avis défavorable sur ce guide de bonnes pratiques jugé trop restrictif : "un ensemble important d'interdictions et de restrictions (...) non justifiées par des considérations de santé publique, qui visent à limiter le développement de la vente en ligne de médicaments par les pharmaciens français, voire même à dissuader ces derniers d'utiliser ce canal de vente".
Le Code de Bonnes Pratiques proposé par le gouvernement «marginalisait les officines françaises en les privant d'opportunités nouvelles de développement », notamment grâce au canal Internet. Un blocage évident alors que les pharmacies européennes vendent déjà en ligne auprès des consommateurs français sans être assujetties aux restrictions légales en vigueur sur le territoire français.
Les pharmacies françaises subissaient jusqu'à présent cette concurrence déloyale sur Internet. Suite à l'autorisation de vente en ligne, il est maintenant du devoir des pouvoir publics et des institutions de permettre aux pharmaciens français de rattraper leur retard sur leurs voisins Belges et Allemands et de récupérer rapidement les parts de marché perdues.
Les 3 recommandations de 1001Pharmacies
1. La concertation contre les aberrations
Ouvrir le dialogue avec l'ensemble des acteurs du secteur, le Gouvernement et les instances concernées (pharmaciens d'officines, spécialistes de l'e-Commerce, associations de consommateurs, associations de patients, élus locaux, etc.) afin d'éliminer des dispositions aberrantes (comme d'obliger les pharmaciens à ne proposer sur Internet que des produits en stock dans l'officine) issues d'une méconnaissance de la réalité économique, du mode de fonctionnement de cette profession et des besoins des consommateurs.
2. Des prix libres
Les médicaments autorisés à la vente en ligne sont des produits dont le prix est totalement libre, donc variable d'une officine à l'autre. Les pharmaciens doivent donc conserver cette liberté et laisser jouer la libre concurrence, tout en garantissant le bénéfice consommateur.
3. Un accompagnement numérique
La vente en ligne de médicaments va dans le sens de l'histoire. Le gouvernement et les autorités de santé doivent aujourd'hui accompagner cette transition et en expliquer les enjeux aux acteurs du marché.
1001Pharmacies : un remède pour la disparition des officines
La plateforme de vente en ligne 1001Pharmacies a été spécialement conçue afin de donner aux pharmaciens français les moyens et les outils adaptés pour développer des services de e-commerce tout en leur garantissant un cadre légale.
"Le complément d'activité de la vente en ligne ne doit pas échapper aux officines. Lorsque l'on sait qu'une pharmacie disparait tous les trois jours, les professionnels doivent pouvoir compter sur tous les canaux de vente pour survivre et développer leur activité."
Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.
MINE D'INFOS: TRIBUNE DE JEAN-PIERRE DAVANT
MINE D'INFOS: TRIBUNE DE JEAN-PIERRE DAVANT: TRIBUNE DE JEAN-PIERRE DAVANT Jean-Pierre DAVANT vient de publier dans Lesechos.fr une tribune initiée par Jean-Pierre Davant et c...
TRIBUNE DE JEAN-PIERRE DAVANT
TRIBUNE DE
JEAN-PIERRE DAVANT
Jean-Pierre
DAVANT vient de publier dans Lesechos.fr une
tribune initiée par Jean-Pierre Davant et cosignée par de nombreuses
personnalités politiques, de la santé, du sport, du monde de l’entreprise et de
la protection sociale (24 signataires).
Cette
tribune souhaite interpeller les pouvoirs publics sur la nécessité de donner une place majeure au sport dans les politiques de
santé publique, au profit de l’économie de santé
et des individus.
Elle fait
des propositions concrètes notamment dans le cadre de la redéfinition des
contrats responsables et de la prévention de la dépendance, deux des chantiers
déterminants des mois à venir.
Lien vers
lesechos : http://bit.ly/YYfVS7
Liste des 25 signataires
• Bernard AMSALEM, Président de la Fédération Française d’Athlétisme
• Gérard ANDRECK, Président de la MACIF
• Edwige AVICE, Ancienne Ministre et Présidente de la Fondation du Sport Français Henri Sérandour
• Roselyne BACHELOT, Ancienne Ministre de la Santé et des Sports
• Jacques BASCOU, Maire de Narbonne
• Thierry BEAUDET, Président du Groupe MGEN
• Thierry BOUILLET, Co-fondateur de la CAMI Sport et Cancer, médecin spécialisé en oncologie médicale et en radiothérapie,
• François CHÉRÈQUE, Président de Terra Nova
• Jean-Pierre DAVANT, Président de l’Imaps, Président du Conseil de Surveillance de la Fondation Gustave Roussy et ancien Président de la Mutualité Française
• Philippe DEJARDIN, Coordonnateur des centres de prévention AGIRC-ARRCO, médecin gériatre et médecin du sport,
• Joël DELPLANQUE, Président de la Fédération Française de Handball
• Stéphane DIAGANA, Champion du monde d’athlétisme
• Daniel HAVIS, Président du Groupe Matmut
• Alain JUPPÉ, Maire de Bordeaux et ancien Premier Ministre
• Philippe MACHU, Président de l’UFOLEP (Union Française des Œuvres Laïques d'Education Physique)
• Jean-Louis PROVOST, Fédération Française EPMM Sports pour Tous
• Josy REIFFERS, Président d’UniCancer et Adjoint au Maire de Bordeaux
• Franck RIBOUD, PDG de Danone
• Roland RIES, Sénateur - Maire de Strasbourg
• Jean-Pierre SIUTAT, Président de la Fédération Française de Basketball
• Jean-François TOUSSAINT, Directeur de l'IRMES (Institut de Recherche bio-Médicale et d'Epidémiologie du Sport), médecin et professeur de physiologie à l’université Paris Descartes
• Gérard TRÉMÈGE, Maire de Tarbes
• Marc TRUFFAUT, Président de la Fédération Française du Sport Adapté
• Thomas TURSZ, Directeur Général Honoraire de l'Institut Gustave Roussy (IGR), Professeur Émérite de Cancérologie à l'Université Paris-Sud (Paris XI) et Président du Conseil scientifique de l'Imaps
• Guy VALLENCIEN, Chirurgien urologue et professeur à l’Université Paris Descartes
En savoir plus
Raphaëlle Joubert
Directrice
de la communication et du développement internet
Imaps
255 rue de
Vaugirard
75015
Paris
NDLR : MGEFI et Jean-Pierre
DAVANT
JP DAVANT est le Président fondateur
de la MAI- Mutuelle des Agents des Impôts, l’une des mutuelles fondatrices de
la MGEFI
MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...
MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...: BOUTEILLE A LA MER Pour Laurence qui recherche un poste d ’Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . L...
MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...
MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...: BOUTEILLE A LA MER Pour Laurence qui recherche un poste d ’Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . L...
MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS
MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS: Coup de pouce Christophe, chdevos@free.fr Passionné de communication recherche poste Rédacteur-journaliste, cha...
Bouteille à la mer de Christophe DEVOS
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MINE D'INFOS: Vers une contraception mieux adaptée au profil de ...
MINE D'INFOS: Vers une contraception mieux adaptée au profil de ...: Dans le cadre de la conférence de presse de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et à l'occasion d...
Vers une contraception mieux adaptée au profil de chacun
Dans le cadre de la conférence de presse de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et à l'occasion du lancement le 18 mai de la campagne « La contraception qui vous convient existe» de l'INPES, la Haute Autorité de Santé met à la disposition des pouvoirs publics, des professionnels de santé et du grand public des outils pour répondre aux problématiques liées à la contraception.
Malgré un taux de contraception élevé en France, il subsiste un nombre important de grossesses « non prévues ». Un tiers de ces grossesses est dû à l'absence de contraception tandis que les deux autres tiers surviennent sous contraception. La Haute Autorité de Santé (HAS) s'est intéressée aux moyens d'agir. Après avoir publié deux documents fin mars, elle met aujourd'hui à la disposition des pouvoirs publics et des professionnels de santé des outils pour répondre aux besoins des femmes.
Deux grossesses non prévues sur 3 surviennent alors qu'une méthode contraceptive est utilisée. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : tout d'abord, il y a un écart entre l'efficacité théorique d'une méthode contraceptive et son efficacité en vie réelle. En effet, la méthode utilisée par la personne n'est pas toujours la plus adaptée à sa situation personnelle. Par ailleurs, il existe en France une notion de « norme contraceptive » qui est utilisée pour caractériser les pratiques contraceptives au cours de la vie. En France, cette norme se traduit par un recours au préservatif en début de vie sexuelle, à l'utilisation de la pilule dès que la vie sexuelle se régularise et au recours au dispositif intra-utérin (DIU) comme alternative à la pilule à partir de 30 à 35 ans, une fois que les femmes ont eu les enfants qu'elles désiraient. Le manque d'information sur les autres possibilités de contraception et cette norme sociale guident souvent le choix et n'aident pas à identifier la méthode la plus adaptée à ses besoins.
Afin de répondre à ce besoin d'information sur les méthodes de contraception disponibles, la HAS a diffusé fin mars un document de synthèse. Celui-ci rassemble toutes les informations sur les méthodes jugées très efficaces par l'OMS et permet aux professionnels de santé de proposer une méthode efficace à chaque personne qui le demande. Ce document était accompagné d'une fiche mémo reprenant les conseils à donner aux femmes pour trouver une contraception adaptée à son propre cas. En effet, la HAS a souhaité souligner l'importance du libre choix de la personne concernée afin que soit prise avec le prescripteur la décision la plus adaptée à son profil.
La HAS complète aujourd'hui cette publication par celle de fiches mémo par situation clinique (au nombre de 8) et d'un rapport sur les freins et les leviers pour le choix d'une contraception adaptée.
Des freins au choix d'une contraception adaptée ...
La HAS rend aujourd'hui public un rapport sur les freins et les leviers à la contraception. Précédé d'un état des lieux des pratiques contraceptives actuelles et des dispositifs d'accès à la contraception, ce rapport met en lumière les difficultés d'accès au choix d'une contraception adaptée et des leviers pour y remédier.
Les freins sont de plusieurs types et concernent les professionnels de santé comme les usagers. Côté professionnels de santé, la HAS a identifié notamment le manque d'actualisation des connaissances sur les méthodes de contraception, ainsi que les conditions d'exercice médical qui peuvent parfois entraver l'accès à une consultation uniquement dédiée à la contraception, pourtant primordiale pour une bonne information de la personne.
Côté usagers, certains freins peuvent être associés à l'existence d'idées reçues telles que la pilule fait grossir, le DIU rend stérile... Ces représentations sont la plupart du temps dues à un manque d'information et de connaissances des moyens de contraception. D'autres obstacles ont été identifiés : la réticence à aborder des questions qui relèvent de l'intime, les difficultés d'accès à certains professionnels de santé ou les contraintes économiques (restes à charges). Enfin, des situations de fragilité peuvent de manière générale entraver le choix d'une méthode contraceptive mais également constituer des facteurs de risque d'échec de la contraception : non-reconnaissance sociale et parentale de la sexualité juvénile, périodes de post-partum ou post-IVG, périodes d'instabilité et/ou de fragilité affectives, situations professionnelles particulières et/ou le mode de vie (travail de nuit, horaires irréguliers et/ou décalés)
... qui peuvent être levés
Afin de dépasser ces difficultés, la HAS propose une synthèse des principales préconisations des institutions ayant exploré cette thématique comme par exemple le fait d'améliorer l'information du grand public pour mettre fin aux idées reçues sur la contraception et la vie sexuelle. Ou encore mieux préparer les professionnels de santé à leur rôle de conseil et d'accompagnement en matière de contraception.
Enfin, pour répondre aux besoins des professionnels de santé d'actualiser leurs connaissances par une information fiable et de qualité, la HAS publie des fiches mémo par situation clinique. Ces fiches aideront le professionnel de santé à trouver avec la personne la contraception la plus adaptée à ses besoins et à sa situation clinique. Ces fiches complètent la première fiche mémo mise en ligne fin mars « Conseils et prescriptions pour la délivrance d'une pilule ».
Les fiches mémo, mises en ligne aujourd'hui, sont au nombre de 7 :
- contraception chez la femme adulte en âge de procréer (hors postpartum et post IVG),
- contraception chez l'adolescente,
- contraception en postpartum,
- contraception en post IVG,
- contraception chez l'homme,
- stérilisation chez l'homme et la femme,
- contraception d'urgence
A ces fiches par situation clinique, la HAS ajoute un tableau de synthèse des méthodes contraceptives et de leur efficacité respective.
Des travaux dans la continuité
La HAS publiera au cours de l'année d'autres travaux pour continuer dans cette perspective d'amélioration des pratiques professionnelles. Elle élabore actuellement une fiche mémo sur l'évaluation et la prise en compte des risques cardio-vasculaires qui sera rendue publique en juin et évalue l'intérêt du dépistage des troubles de la coagulation avant la prescription d'une méthode de contraception.
Consultez les fiches memo en cliquant ici
NDLR : MGEFI et contraception
http://www.mgefi.fr/public/Prevention/Internet
Les Agences régionales de santé (ARS) d’Ile-de-France et de Rhône-Alpes consolident leur partenariat sur le champ des systèmes d’information santé
Le 15 mars 2013, Claude Evin, directeur général de l’ARS Ile-de-France et Christophe Jacquinet, directeur général de l’ARS Rhône-Alpes ont renouvelé la convention de partenariat qui les engageaient à développer en commun des systèmes d’information en santé, médico-social, prévention et ambulatoire, depuis les études préalables jusqu’à la mise en œuvre opérationnelle des projets.
L’ouverture de l’hôpital vers la ville, l’accroissement de la diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la santé et les contraintes budgétaires sont autant d’éléments conjoncturels qui conduisent les agences régionales de santé, dans le cadre des orientations nationales impulsées par la délégation à la stratégie des Systèmes d’Information de Santé du ministère, à promouvoir le développement rationnel et performant des systèmes d’information.
Parallèlement, la place des mutualisations intra et inter régionales s’étend à de nombreux champs de compétences des agences.
Les régions Ile-de-France et Rhône-Alpes présentent des caractéristiques communes comme la taille de la région et le nombre important d’opérateurs et de professionnels de santé y exerçant (420 établissements de santé et 47 000 professionnels de santé libéraux en Ile-de-France ; 340 établissements de santé et 32 700 professionnels de santé libéraux en Rhône-Alpes), qui rendent possible l’importation de méthodes et de solutions éprouvées par l’une ou l’autre des deux régions. Procéder par simple « copier / coller » à partir de solutions construites dans des régions de tailles trop différentes est souvent plus difficile.
En 2008, des premiers axes de mutualisation en matière de systèmes d’information de santé avaient été identifiés, notamment au travers d’outils destinés à faciliter la coordination des soins comme TRAJECTOIRE[1], conçu en Rhône-Alpes et aujourd’hui déployé dans 98% des établissements de santé franciliens.
D’autres travaux communs ont été menés, à partir du Répertoire des professionnels de santé d’Ile-de-France (REPSIF) et du portail télésanté de Rhône-Alpes. De nouveaux projets communs démarrent autour du Répertoire opérationnel des ressources (ROR) Ile-de-France et des échanges sécurisés entre professionnels et établissements de santé.
La nouvelle convention est aujourd’hui signée après cinq années de collaboration jugées fructueuses ; elle établit un comité stratégique composé paritairement de 2 représentants de chaque ARS et un programme de travail commun annualisé. Les groupements de coopération sanitaires régionaux, le GCS pour le Développement des Systèmes d’Information partagés en Santé en Ile-de-France - D-SISIF (www.gcsdsisif.fr) et le GCS Système d’information santé Rhône-Alpes - SISRA (www.sante-ra.fr) en assureront le secrétariat et animeront les comités projets.
Engagées l’une et l’autre dans l’amélioration des parcours des patients et le développement de l’efficience du système de santé, les deux régions partenaires accroissent ainsi leurs moyens et souhaitent limiter les redondances en matière de système d’information.
MINE D'INFOS: 27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibil...
MINE D'INFOS: 27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibil...: Un patient dépisté à temps = une économie de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour la Sécurité Sociale et les mutuelles Sans ...
27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibilisation à l’Hémochromatose
Un patient dépisté à temps = une économie de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour
la Sécurité Sociale et les mutuelles
la Sécurité Sociale et les mutuelles
Sans connaître l’Hémochromatose et sans dépistage, le malade consulte bon nombre de spécialistes sans savoir de quoi il souffre et ce souvent pendant de nombreuses années. Ces recherches entraînent des consultations multiples auprès de spécialistes, des examens biologiques onéreux : des dépenses considérables pour la sécurité sociale, pour les mutuelles.
Comme le diagnostic de l’Hémochromatose est fait trop tard à 50-65 ans, le fer accumulé a altéré les organes. La maladie provoque alors différents maux invalidants, pénibles comme une fatigue extrême, une destruction articulaire ou un diabète insulinorequérant, des maladies graves comme une cardiomyopathie et d’autres mortelles comme une cirrhose ou un cancer. Elle nécessite alors des traitements multiples à vie : la mise en place de prothèses de hanches, de genoux, d’épaules, de chevilles ainsi que d’autres traitements lourds pour soigner les maladies handicapantes engendrées.
A ce moment là, les saignées, faîtes trop tard, sont peu efficaces ce qui entraîne pour les malades arrêts de travail temporaires ou définitifs, des invalidités et pas moins de 2000 décès par an.
« L’hémochromatose génétique dépistée tardivement engendre donc des dépenses médicales considérables pendant 30 à 50 ans qui peuvent être évaluées à plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Ne faudrait-il pas, pour économiser les deniers de l’Etat et ceux des mutuelles, faire de la prévention, c’est-à-dire du dépistage ? »
Ne faudrait-il pas, pour économiser les deniers de l’Etat et ceux des mutuelles, faire de la prévention, c’est-à-dire du dépistage ? »
Pour connaître toutes les informations dans votre ville, spécialistes, conseils aux familles :
un seul numéro : ASSOCIATION HEMOCHROMATOSE FRANCE – 04 66 64 52 22
www.hemochromatose.fr
un seul numéro : ASSOCIATION HEMOCHROMATOSE FRANCE – 04 66 64 52 22
www.hemochromatose.fr
Itw sur demande malade, spécialiste et toute personne pouvant vous parler de la maladie
Dossier de presse et tous visuels sur demande
Contact Presse : Sophie Mordelet : hemochromatose@sg-communication.fr
MINE D'INFOS: Les perturbateurs endocriniens quels risques pour ...
MINE D'INFOS: Les perturbateurs endocriniens quels risques pour ...: SANTÉ & ENVIRONNEMENT Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain ? Le mardi 4 Juin 2013 de 11H à 13H ESPA...
Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain ?
SANTÉ
& ENVIRONNEMENT
Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain
?
Le mardi 4 Juin 2013 de 11H à 13H
ESPACE CHARENTON
327, rue de Charenton 75012 Paris
Métro ligne 8 Station : Porte de Charenton - Tram T3 : Station : Porte de Charenton:
Bus : Ligne PC 2 Arrêt : Porte de Charenton Ligne 87 Arrêt : Charenton jardinier Ligne 111 Arrêt : Porte de Charenton
327, rue de Charenton 75012 Paris
Métro ligne 8 Station : Porte de Charenton - Tram T3 : Station : Porte de Charenton:
Bus : Ligne PC 2 Arrêt : Porte de Charenton Ligne 87 Arrêt : Charenton jardinier Ligne 111 Arrêt : Porte de Charenton
Par la route : Périphérique
sortie : Porte de Charenton Porte de
Bercy
Ces substances toxiques qui nous entourent…
Notre santé dépend du bon fonctionnement de notre système endocrinien. Il régule la sécrétion d’hormones essentielles au métabolisme, à la croissance, au développement, au sommeil et à l’humeur…
Certaines substances, connues sous le nom de perturbateurs endocriniens, viennent perturber une ou plusieurs fonctions du système endocrinien et ainsi accroître le risque de survenue de problèmes de santé.
Baisse de la fertilité masculine, puberté précoce, malformations congénitales, cancers du sein,… autant de troubles qui sont en nette augmentation ces dernières décennies.
Certains perturbateurs endocriniens sont naturels tandis que d’autres synthétiques sont présents dans les pesticides, les appareils électroniques, les produits d’hygiène personnelle et les cosmétiques.
Certains additifs alimentaires ou contaminants présents dans l’alimentation sont également susceptibles de perturber le système endocrinien.
La santé environnementale soulève des problématiques émergentes directement liées à notre état de santé. Même s’il est encore extrêmement difficile de déterminer exactement les causes et les effets,
les pouvoirs publics devront définir des priorités de recherche pour étudier les liens entre les perturbateurs endocriniens chimiques et la santé et ainsi atténuer les risques. Il incombe aussi à tous de protéger les générations futures.
Pour en débattre :
Animateur:
Jacques DRAUSSIN, Rédacteur en chef du magazine « Bien Sûr Santé »
Intervenants:
Dr William VEZINET, Médecin inspecteur de santé publique, ancien Conseiller technique à la direction de L’hospitalisation et de l'organisation des soins
«Le principe de précaution et les risques populationnels»;
Pr Robert BAROUKI, Directeur de l’Unité UMR-S 747 Inserm-Université Paris Descartes "Toxicologie Pharmacologie et Signalisation Cellulaire"
«Les perturbateurs endocriniens: liens avec les pathologies et
leurs modes d’actions»
Léonora TREHEL, Présidente de la mutualité française Ile de France
«Le contexte et les enjeux en Ile-de-France, l’implication de la
Mutualité Française»
Valérie DOMENEGHETTY, WECF Ile-de-France Consultante en santé environnementale
«Les actions du WECF: présentation des
actions de sensibilisation à travers les ateliers Nesting et MA maison MA santé
»
Débat avec la salle
Un déjeuner réunira intervenants et journalistes
Débat avec la salle
Un déjeuner réunira intervenants et journalistes
NOTA : l’Assemblée générale
nationale de la MGEFI se déroulera les 18 et 19 juin prochains au palais des
congrès de Reims.
Confirmation de présence et inscription au déjeuner auprès de :
Nora ANSELL-SALLES
06 70 74 15 42/ 06 60 43 58 09
nansellsalles@mgefi.fr
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