Nora ANSELL-SALLES

jeudi 2 mai 2013

Observatoire Français des Retraites – 11ème édition




 
Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI

 

Les Français n’ont jamais été aussi inquiets pour leur retraite  et continuent à réclamer une réforme en profondeur, dans un climat de méfiance à l’égard du gouvernement pour la mener à bien.

 

- Les Français, n’ont jamais été aussi inquiets sur le montant de leur retraite, mais n’épargnent pas pour autant davantage dans cette optique,

 

- Ils continuent à souhaiter une réforme en profondeur, tout en méconnaissant certaines options comme la retraite par points,

 

- Ils sont davantage prêts à accepter un allongement de la durée de cotisation qu’une mise à contribution des retraités,

 

A la veille de la remise des conclusions de la Commission pour l’avenir des retraites prévue à la mi-juin prochain, la onzième édition de l’Observatoire des retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1) fait le point sur l’état d’esprit des Français sur le sujet.

 

Sont-ils toujours aussi pessimistes ? Leur inquiétude influe-t-elle sur leur intention d’épargne ? Quelle réforme souhaitent-ils vraiment ?

 

Des données qui éclairent l’ouverture prochaine de la Conférence Sociale de juillet qui doit mettre sur la table tous les scenarii possibles avant l’été et ouvrir la concertation avec les partenaires sociaux à l’automne.

 

A paraître dans Liaisons Sociales Magazine du lundi 6 mai 2013

 

Les Français, n’ont jamais été aussi inquiets sur le montant de leur retraite (80% : +4),

Ce pessimisme croissant concernant le montant des pensions est commun à toutes les tranches de la population : chez les femmes (83% : +2), les personnes âgées de 35 à 44 ans (92% :+3) et les actifs occupés (86% : +3). Les retraités demeurent moins fatalistes que le reste de la population mais eux aussi sont gagnés par une inquiétude grandissante (68% ; +5), la désindexation des retraites complémentaires de l’inflation décidée par les partenaires sociaux pouvant expliquer cet état d’esprit.

En dehors des questions financières, les Français se montrent par ailleurs majoritairement préoccupés par leur santé et leur accès aux soins (57% ; -1), et leur capacité à vivre de façon indépendante (58% ; +1). La question de la dépendance, si elle apparaît moins prégnante aux yeux des Français dans le contexte actuel, demeure donc toujours présente à l’esprit des interviewés.

 

 (1) Enquête réalisée par téléphone les 12 et 13 avril 2013 auprès dun échantillon national représentatif de 1019 personnes âgées de 15 ans et plus.

 

…Ils n’ont pas changé pour autant leur comportement d’épargne en vue de la retraite, par manque de moyens.

 

Un Français sur deux (49% = avril 2011) déclare avoir épargné en vue de sa retraite. 26% le font régulièrement et 23% de façon irrégulière. A l’inverse, 48% ne l’ont pas fait, dont 12% qui n’ont pas l’intention de le faire. A noter qu’au printemps 2009, avant la réforme de 2010, l’écart entre le taux d’épargnants et de non épargnants était de 9 points (53%- 44%).

Ceux qui n’épargnent pas pour leur retraite (mais qui ne sont pas opposés à l’idée) invoquent essentiellement le manque de moyens (80%). Cette raison arrive loin devant toutes les autres, qu’il s’agisse du manque d’information (32%), de la peur de perdre ses économies du fait de l’instabilité des marchés (32%), du manque d’intérêt pour l’épargne retraite (26%) ou de la confiance accordée au système actuel par répartition (16%). On notera que le manque d’information est davantage mentionné par les jeunes (42%) et par les femmes (35% contre 29% des hommes).

 

Les Français continuent à souhaiter une réforme des retraites en profondeur…

En novembre 2012, 70% des français jugeaient nécessaire une nouvelle réforme des retraites dans les deux ans à venir. Un constat alors partagé par toutes les catégories de population, notamment les salariés du privé (72%) et les salariés du public (66%). Cette année l’interrogation porte sur l’ampleur de la réforme nécessaire ; de grandes lignes émergent :

Ø 63 % (+1) des interviewés continuent de plébisciter, comme en octobre 2012, la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités…. Le souhait d’une réforme « en profondeur » du système de retraite est majoritaire dans la quasi-totalité des catégories de population, y compris chez les salariés du public (60%) et les sympathisants PS (65%).

Ø En ce qui concerne les différentes pistes testées dans cette enquête, aucune mesure ne suscite un assentiment majoritaire des interviewés en étant jugée nécessaire ET souhaitable. Mais les Français considèrent cependant majoritairement que certaines évolutions sont nécessaires :

- L’augmentation de la durée de cotisation pour 66% des Français. 38% jugent cette mesure nécessaire et souhaitable tandis que 28% estiment que c’est certes nécessaire, mais pas souhaitable. Ils ne sont que 31% à manifester leur franche opposition à cette option en indiquant qu’elle est ni nécessaire, ni souhaitable. Les sympathisants Front de gauche sont ceux que l’idée rebute le plus (58%).

- Le relèvement de l’âge de la retraite pour 61% des interviewés, dont 35% qui jugent cela souhaitable et 26% pas souhaitable. Seuls 36% considèrent que cette piste n’est ni nécessaire, ni souhaitable (50% des ouvriers et 56% des sympathisants Front de gauche).

- L’augmentation des cotisations retraites supportées par les salariés et les entreprises pour 63% des Français.

Ø En revanche les Français se montrent particulièrement réfractaires à la mise à contribution des retraités. 72% des interviewés jugent ni nécessaire ni souhaitable de les taxer davantage ou de diminuer le montant des pensions. L’idée de désindexer les pensions suscite également une opposition majoritaire (52%), mais dans une moindre mesure.

 

…out en méconnaissant certaines options comme la retraite par points

Les Français ont du mal à se positionner sur le passage à un régime par points. L’a priori est plutôt négatif : 24% jugent cette mesure nécessaire et souhaitable, 13% nécessaire mais pas souhaitable et 36% ni nécessaire ni souhaitable. Plus d’un quart des interviewés ne se prononce pas (27%), signe que ce régime est encore très mal connu des citoyens.

L’enquête a été réalisée dans le contexte particulier de « l’affaire Cahuzac », ce qui donne une tonalité particulière à la réponse sur la confiance accordée au gouvernement par les Français pour assurer l’avenir des retraites. Elle est aujourd’hui très limitée sur le sujet (24%) même si la principale mesure envisagée par ce dernier – l’allongement de la durée de cotisation – est celle qui semble la plus acceptée. Plus de trois Français sur quatre (76%) déclarent ne pas avoir confiance en lui sur ce sujet, dont 50% « pas du tout ». Cette défiance est majoritaire dans toutes les catégories de population, à l’exception des sympathisants PS dont une petite majorité continue de lui conférer un certain crédit dans le domaine (52%). La défiance des Français est nettement supérieure à celle exprimée à l’égard du gouvernement Fillon en mai 2010, avant le vote de la réforme portant l’âge de la retraite à 62 ans (64%).

 

L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an, depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite, avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…

-- L’Union Mutualiste Retraite, (UMR) est l’union de composantes de la Mutualité Française. Créée en 2002 elle gère en particulier Corem et Corem co, la plus importante complémentaire retraite mutualiste par points, individuelle ou collective.

l’UMR compte 391 000 adhérents, dont 319 773 sociétaires pour Corem avec un réseau comprenant 124 partenaires, mutuelles et groupements de mutuelles, et plus de 615 points de vente. Elle gère 7,6 milliards d’€d’actifs dont 5,6 milliards pour le Corem.

- Liaisons Sociales Magazine est édité par le groupe Wolters Kluwer (wolterskluwerfrance.fr <http://www.wolterskluwerfrance.fr/>), l’un des premiers acteurs mondiaux de l’édition et de l’information professionnelle. Le chiffre d’affaires en 2012 est de 3,6 milliards d’euros. Il emploie environ 19 000 personnes dans le monde et intervient dans plus de 40 pays en Europe, en Amérique du Nord, en Asie-pacifique et en Amérique latine.

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Contacts presse :

Union Mutualiste Retraite: Agence Comm’On Michèle Gallard, , mgallard@comm-on.info

Liaisons Sociales Magazine : Jean Paul Coulange, rédacteur en chef : IPSOS-CGI : Christelle Craplet Amandine Lama :

 
NDLR : MGEFI ET RETRAITE

Offre facultative : Prémuo capital avantages
 
 
 
 
Appareil auditif
 
 
 
 
 
 
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MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés MG France

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés MG France:       Vaccinations : il faut remettre le généraliste au cœur du dispositif.   La population française es...

LIBRES PROPOS signés MG France


 
 
 
Vaccinations : il faut remettre le généraliste au cœur du dispositif.
 
La population française est encore traumatisée par la gestion calamiteuse de la grippe H1N1, qui a entraîné un rejet certain des pratiques de vaccinations. Sur la période 2008-2012, les ventes de vaccins ont baissé en volume de 12 % en unités et de 30 % en valeur. Ce, malgré les recommandations des agences officielles
.

Une étude IMS de mars dernier montre une baisse généralisée des vaccinations chez le jeune enfant : - 8% pour le tétanos et - 1,6% pour les associations incluant une valence antitétanique, - 40% pour les vaccins contre la rougeole, - 33% pour la rubéole et - 11% pour les associations ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole). Par ailleurs, malgré les mesures prises par les autorités pour relancer la couverture vaccinale des personnes âgées, les ventes sont restées globalement stables sur le dernier trimestre 2012.

Ces chiffres confirment une tendance de fond observée depuis 2008, qui résulte d'une situation de défiance des patients vis à vis de la vaccination. Une défiance que certains médias ont activement relayée et entretenue auprès de la population.

Cette situation met la santé publique en danger, car elle pourrait entraîner la réapparition de certaines épidémies dans notre pays, comme cela est déjà le cas au Royaume-Uni.

MG France ne peut que s'inquiéter des résultats de telles pratiques en termes de santé publique sur le long terme.

Le nouveau calendrier vaccinal 2013 qui vient d'être publié complexifie paradoxalement le sujet : censé simplifier les précédents calendriers, il diminue certes le nombre d’injections, mais peut paradoxalement ajouter de la confusion chez les professionnels. Il nécessite en conséquence plus que jamais l’intervention du médecin traitant pour le faire comprendre aux patients et amener ces derniers à accepter la nécessité de se faire vacciner.

MG France estime que seul le médecin traitant, choisi librement par le patient conseillé dans le cadre du colloque singulier, est à même de restaurer la confiance des patients dans la vaccination. Il importe à cet égard que le gouvernement définisse une politique de vaccination efficace, claire et sans ambiguïté, centrée sur le médecin traitant au lieu d'envisager une "démédicalisation" d'un acte qui ne saurait être banalisé ou délégué par convenance.

Contacts :
Dr Claude LEICHER
Dr François WILTHIEN
Dr Jacques BATTISTONI
Référence du communiqué de presse : N° 261 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)


"Fiers d'être généralistes"
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MINE D'INFOS: Retour sur la Conférence/débat autour des intolére...: ImuPro Compte-rendu du 27 avril   Après la conférence, l’heure du bilan   Une matinée réservée aux profe...

MINE D'INFOS: Retour sur la Conférence/débat autour des allergie...

MINE D'INFOS: Retour sur la Conférence/débat autour des allergie...: ImuPro Compte-rendu du 27 avril   Après la conférence, l’heure du bilan   Une matinée réservée aux profes...

Retour sur la Conférence/débat autour des intolérances alimentaires



ImuPro
Compte-rendu du 27 avril
 
Après la conférence, l’heure du bilan
 
Une matinée réservée aux professionnels thérapeutes et un après-midi ouvert au grand public :
la conférence organisée par R-Biopharm autour des intolérances alimentaires a fait salle
comble et a permis de mettre en lumière quelques points clefs à propos de l’hypersensibilité
alimentaire :
- Les tests IgGs, qui mesurent les hypersensibilités alimentaires, ont prouvé toute leur utilité
diagnostique, comme l’ont démontré les Dr Camille Lieners et les conférenciers et animateurs de
la journée : les Dr Rueff et Kiener.
- Parmi plusieurs tests existants, seuls ceux développés par R Biopharm ont fait l’objet
d’études cliniques et ont donc pu faire leur preuve,
- Le Dr Corinne Bermann (laboratoire Barbier) a garanti le haut niveau de qualité des résultats
transmis aux thérapeutes et aux patients.
Autant de motifs de satisfaction pour le laboratoire qui voit ainsi validés le sérieux et la rigueur
de ses travaux. Mais ce n’est pas tout ! R-Biopharm a fait quelques annonces qui ont, elles
aussi, créé l’événement :
Parmi les 10 tests proposés par la société R Biopharm (www.intolsanté.com), dont le test
Immunominceur (www.immunominceur.com) mis au point avec le Dr Rueff, un nouveau
test Immunosanté a été développé. Si on ignore encore son nom, on sait qu’il fonctionnera
lui aussi avec un prélèvement sanguin sur sérobuvard, avec la même qualité de réactif commune
à tous les panels promus par R Biopharm.
Autre bonne nouvelle pour les patients, le prix des tests est maintenu entre 78 euros à 505 euro
selon le nombre d’aliments associés et le niveau de service « après test » (jusqu’à 270 aliments
testés).
Par ailleurs, de nouveaux logiciels ont été présentés, comme le service www.que-manger.com
et ses 13 fonctions pour mieux gérer son alimentation en fonction du profil IgG alimentaire.
Enfin, quelques livres majeurs ont été cités dont « L’immunonutrition, se nourrir selon son
immunité » de François Xavier de Guibert (Paris 2007) et « L’immunominceur » (Josette
Lyon, Paris, 2012). D’autres sources ont été conseillées dont www.intolsante.com et
www.immunominceur.com.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur : http://blog.aujourdhui.com/dominiquerivron/
2441840/un-programme-100-gratuit-15-jours-pour-gerer-ses-intolerances-alimentaires.
Html
www.intolsante.com www.immunominceur.com
 
 
 
 



 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 

MINE D'INFOS: 1er colloque ASTREES LAB en 7 vidéos….

MINE D'INFOS: 1er colloque ASTREES LAB en 7 vidéos….: Pour vivre, ou revivre, les temps forts du colloque "L’expression directe des salariés au travail" et "L'entrepris...

1er colloque ASTREES LAB en 7 vidéos….


Pour vivre, ou revivre, les temps forts du colloque

"L’expression directe des salariés au travail" et "L'entreprise étendue" et vidéos dans la suite au colloque :



 


 


 


 


 


 


Rappel

L’assemblée nationale a accueilli le 26 avril dernier le colloque ASTREES LAB. Plus de 400 participants ont suivis les résultats des travaux du laboratoire social. Synthèses. Débats et vidéos ont animés cette année le colloque consacré aux nouveaux périmètres sociaux de l’entreprise, sur l’expression des salariés au travail et sur l‘entreprise « étendue ». Parmi les intervenants : Claude Bartolone président de l’Assemblée, Muriel Pénicaud (Danone), Agnès Naton (CGT), Jean Auroux (ancien ministre) et Jean-Paul Delevoye (CESE)   venus débattre du renouveau de la démocratie sociale.

Antoine Catinchi directeur général de la MGEFI, est pour sa part intervenu sur la thématique "Réorganisation, conduite du changement, RPS…L’expression directe des salariés comme levier" lors de la 1ère  table ronde « Ce qu’en disent et ce qu’en font les acteurs dans l’entreprise ».

 

Cette matinée qui a conclu le 1er cycle du Lab 2012-2013, a donné le coup d’envoi du Lab du prochain LAB

 

Thèmes du Lab 2013-2014

- Diversité et faits communautaires: quel(s) modèle(s) d'intégration pour l'entreprise ?

- Jeunes: quels engagements dans la société, quels engagements au travail ?

- Restructurations, transitions et gestion des mobilités professionnelles: quelles pratiques novatrices après l'ANI ?
 

EN SAVOIR PLUS

Pour recevoir les actes du colloque contacter directement

ASTREES

Contact presse: Claude Emmanuel TRIOMPHE ce.triomphe@astrees.org

 

 

Pour  tout complément d’information concernant l’intervention d’Antoine CATINCHI

MGEFI

Contact presse: Nora ANSELL-SALLES

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...: BOUTEILLE A LA MER   Pour Laurence qui recherche un poste d ’ Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . Laurence GR...

Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante commerciale ou de Chargée d'Accueil... Envie de l'aider dans sa recherche !


BOUTEILLE A LA MER

 
Pour Laurence qui recherche un poste dAssistante commerciale ou de chargée d’accueil.
Laurence GROSSOT souhaite enrichir son parcours professionnel en intégrant une entreprise dans l’un des secteurs suivant: bancaire, mutualiste, édition, communication ou autres en tant qu’assistante commerciale ou chargée d’accueil.
Après une remise à niveau du Pack Office, Laurence possède une bonne maîtrise de l’outil informatique. Autonome et organisée, elle a développé un excellent sens du relationnel et ainsi put établir des relations de confiances aussi bien avec les clients que l’encadrement.
Dotée d’une grande capacité d’adaptation elle s’intègre très facilement à une équipe. Sérieux, discrétion, efficacité la caractérisent…
 
Pour tout complément d’information ou conseil à Laurence GROSSOT n’hésitez pas à la joindre directement par mail bergrossot@orange.fr
 
Coup de pouce
N’hésitez pas faire circuler la recherche de Laurence dans vos réseaux.
Laurence tient son cv à disposition des personnes susceptibles d’être intéressées par son profil sur demande : bergrossot@orange.fr
 
UN GRAND MERCI
D’AVANCE DE LA PART DE LAURENCE!

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS Signés Serge BRICHET Président de la...

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS Signés Serge BRICHET Président de la...: Ensemble   Préparer l’après ANI. Tel est le mot d’ordre désormais de la Mutualité, convaincue que la vraie généralisation de...

mercredi 1 mai 2013

1er mai : le saviez-vous ?


La Fête du Travail est le nom de plusieurs fêtes qui furent instituées à partir du XVIIIe siècle pour célébrer les réalisations des travailleurs.



De nos jours, elle se confond dans de nombreux pays avec la journée internationale des travailleurs, fête internationale instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, qui devint rapidement une journée de célébration des combats des travailleurs. Elle est célébrée dans de nombreux pays du monde le 1er mai et est l’occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier.

Au Canada et aux États-Unis, la journée internationale des travailleurs est célébrée le 1er mai, tandis que la fête du travail est un jour férié du mois de septembre[1],[2]. Au Royaume-Uni et en Irlande, elle est décalée le premier lundi de mai. En Australie, elle est fêtée à différentes dates proches du printemps ou de l’automne.

Cette journée est souvent un jour férié. Elle est parfois associée à d’autres festivités ou traditions populaires

 

 

S'il pleut le 1er mai peu de coings, s'il pleut le 2 ils sont véreux, s'il pleut le 3 il n'y en a pas.

 

Le 1 mai est le jour 121 de l'année 2013. Ce 1 mai tombe un Mercredi en 2013. Il reste 244 jours avant la fin de l'année. À Paris le 1 mai, le soleil se lève à 06h34 et se couche à 21h02.