Nora ANSELL-SALLES

lundi 18 février 2013

En primeur sur Couleurs MGEFI



La prévoyance à la MGEFI

Grâce aux garanties Vita Santé, Multi Santé, Prémi Santé de la MGEFI, les adhérents bénéficient d’une protection contre les risques de l’existence : décès, invalidité, dépendance.

 

La prévoyance statutaire Premuo M022 est indissociable des garanties santé. Elle permet aux adhérents fonctionnaires de faire face aux conséquences financières liées aux événements les plus graves susceptibles d’intervenir au cours de l’existence.

 

La MGEFI offre également la possibilité d’étendre la couverture prévoyance statutaire en proposant un large choix de garanties facultatives Avantages, Premuo Perte de Revenus, Plurio, Muduo.

 

Afin n d’accompagner chaque adhérent dans la compréhension de sa couverture prévoyance et l’aider dans ses choix de garanties additionnelles, la MGEFI vient d’éditer un guide prévoyance intitulé « Prévoir aujourd’hui pour se protéger demain ».

 

Il est dédié aux adhérents, membres participants directs. Le guide est disponible sur le site www.mgefi .fr et auprès de votre conseiller mutualiste.

 
  

NDLR En savoir plus sur la MGEFI www.mgefi.fr

MINE D'INFOS: L'information en partage

MINE D'INFOS: L'information en partage: Avis aux lecteurs   Ce blog est avant tout un espace d’ ECHANGES et de PARTAGE   d’informations   Les lecteurs   bloggeur...

L'information en partage


Avis aux lecteurs

 

Ce blog est avant tout un espace d’ECHANGES et de PARTAGE  d’informations

 

Les lecteurs  bloggeurs sont invités à laisser un commentaire avec le lien vers leur propre blog  à chaque fois que la thématique de la brève concernée s’y prête. 

 

Si vous reprenez l’une des brèves, merci dans la mesure du possible de mettre le lien du blog http://pressentinelle2.blogspot.fr/

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MINE D'INFOS: Adhésion au groupe Istya Depuis le 1er janvier ...

MINE D'INFOS:
Adhésion au groupe Istya

Depuis le 1er janvier ...
: Adhésion au groupe Istya   Depuis le 1 er janvier 2013, la MGEFI, conformément au vote des délégués en juin 2012, est affiliée à ...

MINE D'INFOS: Sidaction 2013

MINE D'INFOS: Sidaction 2013: Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013 La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains...

Sidaction 2013


Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

 


Le soutien des médias partenaires

Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.


L’appel à don

Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.


Ne crions pas victoire trop vite

Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.


Pour faire un don :

Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

Par Internet :




Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

dimanche 17 février 2013


Adhésion au groupe Istya

 

Depuis le 1er janvier 2013, la MGEFI, conformément au vote des délégués en juin 2012, est affiliée à l’Union Mutualiste de Groupe Istya.

 

Qu'est-ce qu'une UMG ?

 

L’UMG, instituée par la loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008, permet aux mutuelles de mettre en œuvre des liens de solidarité financière importants et durables et de développer toute action de nature à contribuer à l’amélioration de l’offre et des services rendus aux adhérents.

 

Pourquoi Istya ?

 

L’UMG Istya regroupe des mutuelles de la Fonction publique qui partagent  les mêmes valeurs et une conception de la protection sociale solidaire et non lucrative.

L’entrée de la MGEFI dans Istya ne constitue pas une fusion et ne remet pas en cause son indépendance.

 

La MGEFI, en rejoignant Istya le 1er janvier 2013, vient conforter une Union composée de :

 

– la MAEE (Mutuelle des Affaires

Étrangères) ;

 

– la MCDef (Mutuelle Civile de la Défense).

 

– la MGEN (Mutuelle Générale de l’Éducation Nationale ;

 

– la MGET (Mutuelle Générale Environnement et Territoires) ;

 

– la MNT (Mutuelle Nationale Territoriale.

 

Quels sont les avantages pour la MGEFI d’une affiliation à une UMG ?

 

Premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire en santé, prévoyance et dépendance, Istya permettra à la MGEFI de poursuivre son développement et de profiter des synergies entre mutuelles pour améliorer encore ses services.

 

Cette affiliation conforte par ailleurs la position de la MGEFI en tant que mutuelle référencée au sein des ministères économique et financier.

 

Son appartenance à un groupe constitué de mutuelles de fonctionnaires lui permet ainsi de préparer le prochain référencement de 2016 en assurant la pérennité de la relation qu’elle a nouée avec l’employeur public.

vendredi 15 février 2013

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MINE D'INFOS: À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’San...

MINE D'INFOS: À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’San...: m-santé : quelles sont les attentes des médecins généralistes ? La santé n’échappe pas à la croissance du marché des smartphone...

À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’Santé La lettre d’info des médias de l’éducation santé

m-santé :


quelles sont les attentes des médecins généralistes ?

La santé n’échappe pas à la croissance du marché des smartphones et des tablettes. Très développée dans les pays émergents où elle se révèle chaque jour un peu plus indispensable, la m-santé ou santé mobile cherche toujours sa voie sur le vieux continent.
Son avenir en France passera par le développement d’applications mobiles réellement utiles aux patients et suffisamment validées pour que les médecins puissent les recommander.
IDS Santé a confié à l’institut d’études MediQual Research le soin de faire le point avec les médecins généralistes sur leurs attentes vis-à-vis de la m-santé (janvier 2013).




> en savoir +



Relation médecin-patient :


les brochures font tomber les tabous

Selon une récente étude réalisée par l’institut MédiQual Research auprès d’un échantillon de 306 médecins généralistes, les brochures d’information mises à disposition des patients dans la salle d’attente facilitent le dialogue sur les sujets sensibles.
Troubles de l’érection, IST, mycoses, incontinence, herpès ou halitose : autant de sujets tabous, dont les patients n’osent toujours pas parler à leurs médecins.




> en savoir +

Diabète de type 2 :

 
Quand et quels médicaments prescrire pour le contrôle glycémique ?
 
En 2009, 2,7 millions de personnes étaient traitées



par médicament pour un diabète de type 2, soit environ 4,6% de la population française. Mal ou non soigné, le diabète de type 2 peut entraîner des complications graves et coûteuses. Le contrôle de la glycémie (sucre dans le sang), un accompagnement et un traitement adaptés permettent d'éviter ou de retarder ces complications. La Haute Autorité de Santé (HAS) et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) diffusent ce jour une recommandation de bonne pratique pour aider les professionnels de santé à définir la stratégie médicamenteuse la plus adaptée pour le contrôle glycémique de leurs patients.

La Haute Autorité de Santé (HAS)

et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publient ce jour une recommandation de bonne pratique sur le traitement médicamenteux du contrôle glycémique dans le diabète de type 2 pour aider les professionnels de santé à définir la prise en charge la plus adaptée à leurs patients. Afin de faciliter la diffusion de cette recommandation, la HAS met en ligne sur son site une vidéo grand public reprenant les principaux messages de la recommandation ainsi qu'un lien vers un arbre décisionnel informatisé destiné aux médecins.

Un objectif glycémique à adapter selon le profil du patient




L'objectif glycémique cible (taux d' HbA1C* à atteindre) sera adapté par le médecin au profil du patient et évoluera donc au cours du temps. Pour la plupart des diabétiques de type 2, l'objectif glycémique cible doit être inférieur ou égal à 7%.



Les mesures hygiéno-diététiques, base de toute prise en charge




Adopter une alimentation saine et équilibrée et pratiquer régulièrement une activité physique ou sportive même modérée seront les clés pour réussir à atteindre l'objectif glycémique cible ou encore à le stabiliser. En effet, faire perdre du poids au patient peut aider à baisser la glycémie (près de 80% des diabétiques sont en surpoids ou obèses).

L'objectif : pratiquer au moins 2h30 d'activité physique d'intensité modérée par semaine et conserver durablement les habitudes alimentaires.

Si les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas ou plus pour atteindre l'objectif glycémique cible, le médecin, en concertation avec son patient, prescrira un traitement médicamenteux.



La metformine, traitement de première intention




La HAS recommande de prescrire la metformine seule

en première intention. Si le traitement par metformine ne permet plus d'atteindre l'objectif glycémique cible, une bithérapie puis éventuellement une trithérapie pourra être envisagée sur la base d'une association de metformine et de sulfamide hypoglycémiant. L'insuline est le traitement de choix lorsque les traitements oraux et non insuliniques ne permettent pas d'atteindre l'objectif glycémique.

Du fait d'une efficacité moindre, d'un manque de recul sur leur sécurité à moyen et long terme et/ou d'un coût supérieur, les autres traitements

doivent être réservés aux situations dans lesquelles les traitements recommandés en première intention ne peuvent pas être prescrits.

Consultez les documents en



Regarder la

C'est à lire : « Objectif l’Éternité – La Clairstidée » de Serge France - Éditions Livredit


Des apprentis sorciers sans vergogne découvrent le substitut de la cellule souche. Quel lourd tribut payeront-ils pour offrir la jeunesse éternelle ?

Le 17 septembre 2012, Alain Tier reçoit une photo de son fils Robert disparu depuis plus de huit ans ainsi que l’annonce d’un héritage providentiel.

Le même jour, à la même heure, Carla Corbota octogénaire en léthargie depuis cinquante et un ans se réveille. La mémoire de la vieille dame et les mésaventures de Tier s’entrecroisent pour les amener à côtoyer l’inconcevable.

Des femmes sans mémoire, des enfants et des hommes sans âges. Des apprentis sorciers sans vergogne en quête de l’inaccessible. Une organisation aux ramifications allant jusqu’au plus haut de l’appareil de l’état. L’apparition d’une menace planétaire…

Carla et Alain vivront vingt jours intemporels où s’opposeront les extrêmes. Le réel et le chimérique, la beauté et l’horreur, l’amour et la haine. La vie, la mort et au-delà… l’éternité

Les Auteurs :

Quand France (chef de projet en informatique) et Serge (gradué en kinésithérapie) se rencontrent, il ressort rapidement de leur conversation un fort attrait pour l’irréel. Au gré des jours, l’aventure se découvre, alimentée chaque fois par des débats colorés et enthousiastes. Sans s’en rendre vraiment compte, une parfaite cohésion de pensées les amène à l’incontournable complicité dans leur prose. Serge France devient réalité, quand s’inscrit leur nom en signature d’auteurs d’un premier roman.

 


Disponible  Formats Kindle et broché : Amazon.fr  www.livredit.be


 

Les lecteurs en parlent :

Un style accessible et tout en finesse.
C'est aussi cela que j'ai aimé dans ce roman, c'est que le style d'écriture est accessible. Mais on sent une recherche des mots et des phrases qui vous donnent envie de creuser derrière. Et je pense que je risque de le relire en fin de compte, car je suis sûre que j'ai loupé des trucs. Mais il y'a là une fine alliance de biologie, de médecine, de savants fous, de chimères, de légendes, de voyage... C'est très dense, mais en même temps, vous avez envie de continuer, de savoir ce qu'est cette Clairstidée, comment cela fonctionne.


On s'étonne à la lecture de vouloir se rassurer en s'appuyant sur l'aspect fiction et puis on s'affole à réaliser une possible proximité appuyée par une éthique bien réelle, on se retrouve à flirter entre réel et subjectif.
On ne sait plus et pourtant on ne lâche pas le récit, on croit imaginer avoir trouvé l'issue, mais elle n'est jamais celle que l'on a imaginée.


J'ai tout aimé dans ce livre, l'histoire, les personnages, la façon dont l'intrigue est menée tout m'a plu. On va de surprise en surprise au fur et à mesure de notre lecture.


Je ne peux pas quitter ces lignes sans être profondément marquée ! Le suspense reprend.
Je m’habitue aux personnages. Je m’installe dans le confort d’une histoire qui me trimbale à un rythme soutenu dans différentes directions. Je pensais avoir tout décelé, c’est alors que le récit se retourne complètement. Les auteurs s’ingénient sans cesse à surprendre. Ils y réussissent bien, je le resterai jusqu’au mot "Fin", qui me laisse pantoise.

Journée Internationale du cancer de l’enfant



  La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
My Child Matters pour trois ans

- 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -



Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013

- A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.

Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.

«

Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »

Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.

«

Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »

Plus de 175 000
* enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.

Le programme
My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2

et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.

Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.

* Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/


A propos de l’UICC


L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.


A propos de la Fondation Sanofi Espoir


La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com


Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters

Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).

C'est à lire : « Plantes toxiques à usage médicinal du pourtour méditerranéen »


de  V. Hammiche, R. Merad, M. Azzouz – Editions Springer

 

 

 L’intérêt nouveau pour les remèdes naturels engendre un retour en force du végétal, mais on a parfois oublié que la nature, grande pourvoyeuse d’aliments et de remèdes, constitue aussi un réservoir redoutable de poisons. Ainsi, les services hospitaliers de réanimation enregistrent-ils chaque année des centaines de cas d’intoxications, parfois mortelles, suite à l’usage impropre ou inconsidéré de certains végétaux. Et, malgré les progrès réalisés dans les investigations toxicologiques, il arrive, encore, que médecins et SAMU soient déroutés face à certains tableaux toxiques, ne sachant quel traitement mettre en place, par méconnaissance des végétaux pouvant être à l’origine des empoisonnements observés.

 

L’objectif de cet ouvrage est de présenter les données éparses existant aussi bien dans les archives des centres antipoison, des établissements hospitaliers et des laboratoires universitaires que dans la littérature internationale afin de présenter une documentation sur les plantes vénéneuses du Maghreb et, plus largement, du pourtour méditerranéen. Il se veut un outil commode, à destination des praticiens cliniciens et analystes, à travers des fiches de synthèse résumant les principales données botaniques, toxicologiques et analytiques. C’est également une aide au diagnostic de ces intoxications destinée aux urgentistes et aux spécialistes des laboratoires de toxicologie d’urgence notamment, ceux de la rive Nord de la Méditerranée pouvant être confrontés à des cas liés aux plantes importées par la population immigrée.

 

Cette synthèse permet d’informer les professionnels comme les profanes, des dangers pouvant résulter d’un mauvais usage des plantes et des intoxications qu’elles peuvent provoquer. Elle donne les moyens d’identifier les plantes incriminées à travers un descriptif botanique simple accessible au personnel des structures d’urgence. Une aide supplémentaire est apportée par les tableaux récapitulant les noms vernaculaires d’usage courant. Les auteurs, pharmaciens toxicologues et botaniste, réunissent les compétences botaniques, chimiques et médicales donnant à cet ouvrage une véritable caution scientifique.

 

Victoria Hammiche a exercé en tant que pharmacien, professeure en botanique Médicale à l’université d’Alger, chef de service de la Pharmacie au CHU Mustapha – Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’ Alger. Rachida Merad a été professeure en Toxicologie à l’université d’Alger, chef de service de Toxicologie et du Centre anti-poisons d’Alger au CHU Mustapha, CHU Bab El Oued d’Alger. Mohamed Azzouz est pharmacien, professeur en toxicologie à l’université d’Alger. Il a été chef d’unité de Toxicologie, service de toxicologie au CHU Bab El Oued, et est actuellement chef d’unité de toxicologie, Service de Biologie-Toxicologie à l’EHS Ait Idir à Alger.