Nora ANSELL-SALLES

vendredi 26 octobre 2012

Prévoir Partenaires conclut un partenariat santé avec Solly Azar


 

 

Prévoir Partenaires accompagne Solly Azar dans le développement de sa complémentaire santé Profil Santé en tant que porteur de risques de cette nouvelle offre commercialisée depuis le 17 septembre 2012.

 

A l’issue d’un appel d’offres, Solly Azar, référence dans le domaine de la santé et du courtage, a choisi de faire confiance au Groupe Prévoir pour porter le risque de sa gamme santé individuelle. « Cet accord majeur permet à Prévoir Partenaires de renforcer sa position en marque blanche », explique Stéphane Daugeron, responsable de Prévoir Partenaires.

 

Profil Santé est une complémentaire santé destinée aux particuliers et distribuée uniquement via le réseau Solly Azar, 8000 courtiers répartis sur toute la France. Cette offre modulaire permet au courtier de proposer une complémentaire adaptée aux besoins et au budget de l’assuré, grâce aux nombreuses formules de garanties allant de la protection contre le risque hospitalier à la couverture haut de gamme.

 

 

 

Prévoir Partenaires, un allié pour développer l’assurance de personnes

 

Créée en 2008, Prévoir Partenaires est une entité du Groupe Prévoir, qui propose en marque blanche des solutions d’assurance individuelle de personnes aux acteurs du secteur financier. Banques, assureurs, mutuelles, courtiers grossistes, peuvent, en s’appuyant sur les 100 ans de savoir-faire, d’expérience du Groupe Prévoir, développer des offres adaptées à leur modèle, sous leur propre marque. Cette activité représente un nouveau relai de croissance pour le Groupe Prévoir.

 

Prévoir Partenaires travaille sur 2 axes de complémentarité avec ses partenaires et les solutions sont :

-      soit issues de l’expérience Prévoir et déclinées en fonction des caractéristiques du partenaire ;

-      soit conçues par le partenaire, qui sollicite ensuite l’apport de Prévoir en matière de prise de risque.

 

Le Groupe Prévoir en chiffres :

Spécialiste de l’assurance de personnes, créé en 1910, le Groupe Prévoir propose des contrats d’assurance vie et de prévoyance à une clientèle de particuliers et de travailleurs non salariés. Il totalise 570 000 contrats en portefeuille provenant de 355 000 clients individuels. Son chiffre d’affaire consolidé est de 476,2 millions en 2011. Structure de taille intermédiaire (1 350 collaborateurs, dont un réseau commercial dédié de 900 collaborateurs), le Groupe est composé d’une holding, la Société Centrale Prévoir, de 2 sociétés d’assurance Prévoir-Vie et Prévoir-Risques Divers, d’une société de gestion d’actifs et de 5 implantations à l’international : Portugal, Pologne, Vietnam, Brésil et Cambodge. C’est une entreprise indépendante et non cotée, dont le capital est détenu à 70 % par les descendants des familles fondatrices et à 30 % par les salariés et les retraités.

 

Face aux menaces sur la PDSA : la FNUSIA-PDSA est née


La FNUSIA-PDSA est née

 Le 20 octobre 2012, des associations départementales ou régionales de permanence de soins ambulatoires (PDSA) représentant 22 départements se sont réunies à Paris face aux menaces que fait peser sur leurs organisations départementales le projet de SAMU de France d’uniformiser les Systèmes d’Informations (SI) des SAMU Centre 15 et ont créé la FNUSIA-PDSA  (Fédération Nationale pour l’Utilisation de Systèmes Informatiques Autonomes dédiés à la Permanence Des Soins Ambulatoires).

La FNUSIA-PDSA  dénonce la volonté hégémonique de SAMU de France qui veut imposer son SI aux médecins généralistes libéraux dans le cadre de la PDSA.

L’objet de cette association est la défense et la promotion d'outils informatiques autonomes adaptés à la régulation et à l'effection libérales dans le cadre de la PDSA.

Les SI jouent un rôle central dans les organisations de PDSA puisqu’ils doivent non seulement permettre d’assurer la traçabilité des appels pris en charge et répondre aux besoins spécifiques de certains départements (tout particulièrement ruraux), mais ils doivent aussi fournir aux médecins libéraux les indicateurs nécessaires à l’évaluation de leurs organisations afin, si besoin, de les faire évoluer pour les rendre plus efficientes.

La FNUSIA-PDSA  rappelle que :

·         les médecins généralistes ont déjà développé des outils dédiés à la prise en charge des appels relevant de la médecine générale, répondant aux exigences de cette mission d’intérêt public et permettant aux médecins d’exercer leur mission auprès des patients à partir de leur cabinet ou de leur domicile tout en respectant l’interconnexion réglementaire avec les Centres de Réception et de Régulation des Appels 15.(CRRA 15)

·         les associations départementales et régionales de PDSA sont des acteurs majeurs et incontournables s’intégrant dans le cadre des orientations gouvernementales de la médecine de premier recours.

·         dans bon nombre de départements, la mise en place, par ces associations, d’organisations départementales de PDSA a été l’élément structurant qui a permis ensuite une réorganisation territoriale de l’offre de soins de premier recours.

·         la remise en cause de ces organisations départementales de PDSA au travers de leur SI autonome serait non seulement de nature à remettre en cause l’organisation de la PDSA dans ces départements, mais impacterait aussi toutes les initiatives de réorganisation territoriale de l’offre de soins de premier recours.

La FNUSIA-PDSA  demande au gouvernement :

·         la non remise en cause des SI autonomes dédiés à la PDSA mis en place actuellement.

·         la possibilité, pour les départements et les régions qui le désirent, de bénéficier de ces SI autonomes afin de répondre de façon efficiente aux demandes de soins de la population.

·         de participer, aux cotés des syndicats représentatifs des médecins généralistes, au COPIL national mis en place sur les SI des SAMU Centre 15.

Les membres de la  FNUSIA-PDSA  ont élu un bureau :

 

 

Président :
Dr VAISSIE Jean Jacques ALAUME 27
Vice-Présidents :
Dr DUQUESNEL Luc ADOPS 53
 
Dr RABEYRIN Roland REGLIB 43
 
Dr ROSATI Jean  Antoine AMLAPS 03
 
Dr TONANI Gilles FRPDS Basse-Normandie
Secrétaire :
Dr ROUSSELOT MARCHE Elisabeth  URPS ML Champagne-Ardennes
Secrétaire-Adjoint :
Dr CASTADERE Jean-Marc ARMEL, Midi-Pyrénées
Trésorier :
Dr TESSIER Dominique ADOPS 49
Trésorier-Adjoint :
Dr CHARANI Charles  AMRL 59

 

MINE D'INFOS: 14° Rencontres de Neurologies - Entretiens avec T....

MINE D'INFOS: 14° Rencontres de Neurologies - Entretiens avec T....: Entretiens avec T. de Broucker & Y. Péréon   Atelier : Les top-5 de la neurologie Mardi 18 décembre 2012 - de 14h00 à 17h45 Co...

14° Rencontres de Neurologies - Entretiens avec T. de Broucker & Y. Péréon


Entretiens avec T. de Broucker & Y. Péréon

 


Mardi 18 décembre 2012 - de 14h00 à 17h45
Coordination :
Thomas de Broucker (Saint-Denis)

Entretien avec Thomas de Broucker

En 2009, lors de sa création, nous parlions d'atelier à ne pas manquer… L'immense affluence devant les portes de l'atelier l'atteste aujourd'hui : cet atelier est devenu un incontournable des Rencontres de Neurologies !

• Et c'est bien compréhensible, lorsque l'on sait qu'en quelques heures, chacun dans son domaine de prédilection, les grands noms de la neurologie vous délivrent une analyse synthétique des principales publications de l'année utiles à votre pratique quotidienne.

• Preuve de la richesse territoriale dans le domaine de la neurologie, Thomas de Broucker a fait appel à de nouveaux experts tout aussi compétents et didactiques que les précédents : Jean-Philippe Neau (Poitiers, pathologie vasculaire), Hélène Zéphir (Lille, pathologies inflammatoires), Vincent Navarro (Paris, épilepsies), Olivier Godefroy (Amiens, démences), Marc Vérin (Rennes, maladie de Parkinson), et Khe Hoang-Xuan (Paris, neuro-oncologie).

Une demi-heure d'intervention par domaine, c'est peu, c'est dense, et ce sera l'essentiel de l'année.

Un atelier incontournable pour ne pas passer à côté de l'essentiel de l'actualité en neurologie !




Atelier : pathologies neuro-musculaires
Mercredi 19 décembre 2012 - de 14h00 à 17h45

Coordination :
Yann Péréon (Nantes)

Entretien avec Yann Péréon

Visage atone, chute inopinée de paupière, relâchement cervical entraînant une chute de la tête (visible par l'orateur et le voisin de derrière), fatigabilité des muscles extenseurs des doigts (gênant pour poser une question lorsqu'il s'agit de l'index), souffle court (parfois perturbant phonétiquement pour les voisins)… Tels sont les signes que l'on peut retrouver chez les congressistes, même neurologues non myasthéniques en période postprandiale.

• Vu l'horaire de son intervention, pour contrer le risque de se retrouver face à une telle situation, Emmanuelle Campana Salort a tout simplement décidé d'en parler ouvertement avec vous ! Et vous verrez que cette jeune femme maintiendra toute votre attention en abordant la prise en charge thérapeutique des myasthénies en 2012. Elle vous dira tout sur les traitements qui pointent le bout de leur nez pour relever les paupières.

Sabrina Sacconi prendra la suite, non pas pour faire un catalogue des maladies neuromusculaires (ptôsis et camptocormie assurés…), mais pour mettre en exergue les signes cliniques qui vont vous permettre de vous orienter vers telle ou telle myopathie avant même d'aller vers la biopsie musculaire ou la génétique.

• Enfin, Shahram Attarian viendra vous rendre un immense service ! En exclusivité pour vous, il effectuera une revue de la littérature, vivante, plaisante, attractive et utile des pathologies neuromusculaires en 2012. En clair, après 60 minutes, vous saurez tout sur l'actualité du domaine, sans avoir à passer des heures à éplucher la littérature internationale.
Merci Shahram !

Pour plus de renseignements sur les 14e Rencontres de Neurologies,
rendez-vous sur www.rencontresdeneurologies.org

MINE D'INFOS: Agnès Jeannet nommée présidente du Conseil d’Admin...

MINE D'INFOS: Agnès Jeannet nommée présidente du Conseil d’Admin...: Agnès Jeannet a été nommée présidente du Conseil d’administration de l’ANSM après avoir été auditionnée par les commissions des affaires...

MINE D'INFOS: Dépassements d’honoraires :Un accord bien en-deçà ...

MINE D'INFOS: Dépassements d’honoraires :Un accord bien en-deçà ...: Un chiffre résume à lui seul la volonté radicale des usagers de voir définitivement résolue la question des dépassements d’honoraires :...

Dépassements d’honoraires :Un accord bien en-deçà des attentes des usagers selon un sondage commandé par leCiss


Un chiffre résume à lui seul la volonté radicale des usagers de voir définitivement résolue la question des dépassements d’honoraires : 80%[1] des Français ne trouvent pas « normal » que les médecins en facturent.

 

Une exigence d’en finir avec les dépassements d’honoraires qui se confirme au travers de toutes les attentes qu’ils expriment, souvent en décalage voire en en opposition avec l’accord conclu le 23 octobre dernier :

 

-       Plus des 2/3 des Français jugent « abusifs » tout dépassement supérieur à 50% du tarif de la sécurité sociale… alors que l’accord ne permet même pas d’inscrire fermement le seuil de 150 % comme un critère suffisant pour la qualification d’excessif.

 

-       86 % des Français attendent une sanction des médecins pratiquant des dépassements abusifs… alors que la complexité de la procédure prévue ne permettra pas davantage d’aboutir à des sanctions effectives que les dispositifs précédemment existants, cela d’autant plus qu’elle repose pour être engagée sur la définition d’un seuil particulièrement complexe à cerner.

 

-       Plus de 65% des Français sont conscients que le maintien d’un secteur 2 ne permettra pas une lutte efficace contre les dépassements d’honoraires… or l’accord n’envisage aucunement la disparition de ce secteur d’activité autorisant la liberté tarifaire, le seuil minimum des médecins dont on espère qu’il rejoigne le nouveau « contrat d’accès aux soins » ayant même été abaissé de 1/2 à 1/3 au cours de la négociation.

 

-       61% des Français sont opposés à ce que les assureurs complémentaires, privés ou mutualistes, participent à la revalorisation des honoraires des médecins en secteur 1 pourtant l’accord ouvre la voie à un basculement de fond dans l’équilibre de notre régime de prise en charge des soins en disposant que les organismes complémentaires s’engagent au « financement de tarifs opposables réévalués » et cela « au-delà des sommes naturellement appelées par le mécanisme du ticket modérateur ». Bref, de notre point de vue, une façon détournée d’augmenter le ticket modérateur, c’est-à-dire le recul de la Sécurité sociale… Le comble dans une négociation qui portait à l’origine sur la diminution des dépassements d’honoraires pour contenir les restes à charge des usagers !

 

Une disposition nouvelle trouve grâce à leurs yeux : l’interdiction des dépassements d’honoraires pour les bénéficiaires de l’ACS, puisque les autres motifs d’interdiction existaient déjà avant l’accord (CMU-C et situations d’urgence). On reste dans la même logique que celle qui prévaut depuis 1981 : seules les personnes disposant des ressources les plus faibles peuvent échapper aux dépassements, au risque de se voir opposer des refus des soins.

 

 

Une responsabilité lourde de conséquences pour le gouvernement

Les Français ne sont pas convaincus que les dépassements d’honoraires, enjeu essentiel pour l’accès aux soins, sont sous contrôle. Et le gouvernement serait majoritairement tenu pour responsable d’un échec en la matière, par 67% des Français, ainsi que les syndicats de médecins en second par 49% d’entre eux.

Un avertissement pour l’exécutif puisque plus de 3 Français sur 4 déclarent que l’efficacité de la lutte contre les dépassements d’honoraires (76%), tout comme la capacité à préserver un système solidaire (78%), seront des critères qu’ils prendront en compte pour apprécier l’action du gouvernement.

 

 

Le mode de rémunération : au croisement des enjeux sur les dépassements et la démographie médicale

Sans être experts en santé, les quelque 30% de Français confrontés à la difficulté de trouver un médecin près de chez eux ne s’y trompent pas lorsque, parmi eux, 68% déclarent que les difficultés liées à la répartition des médecins sur le territoire devraient être abordées conjointement à celles des dépassements d’honoraires.

 

Un lien entre ces deux problématiques qui transparaît également dans les résultats de l’enquête menée cette année par les représentants en Caisses Primaire d’Assurance Maladie du CISS, de la FNATH et de l’UNAF. A partir de l’analyse des éléments adressés par 42 CPAM, il ressort notamment que la part de médecins spécialistes en secteur 2 est souvent plus élevée dans les départements caractérisés par une forte densité médicale (à Paris où plus de 50% des médecins spécialistes exercent en secteur 2, dans les Alpes-Maritimes plus de 40% ou dans le Val-de-Marne avec plus de 35%) ; alors qu’elle est plus faible dans les territoires présentant des carences en offre de soins de ville (l’Ariège où moins de 5% des spécialistes exercent en secteur 2, l’Aveyron autour de 5%, la Creuse moins de 10%).


Un lien intuitif entre ces deux enjeux de l’accès aux soins, souligné de longue date par les associations d’usagers… et qui alimente notre revendication de voir la rémunération de la médecine de ville basculer majoritairement sur un mode forfaitaire.

 

 

 

Les Français sont contre les dépassements d’honoraires : pour en finir, changeons les modes de rémunération  

 

___________________ 

[1] Sondage Viavoice pour le CISS, interviews réalisées par téléphone les 22 et 23 octobre 2012 auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Recevoir les résultats du sondage : communication@leciss.org

Agnès Jeannet nommée présidente du Conseil d’Administration de l’ANSM


Agnès Jeannet a été nommée présidente du Conseil d’administration de l’ANSM après avoir été auditionnée par les commissions des affaires sociales de l’Assemblée nationale et du Sénat en octobre.

 

 

Diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et de l’Ecole Nationale d’Administration, Agnès Jeannet a exercé différentes fonctions de conseil, de gestion ou de direction dans le domaine sanitaire et social.

Cet engagement au service des politiques sanitaires et sociales justifie sa nomination à la présidence du Conseil d’Administration de l’ANSM, dotée depuis sa création en mai 2012 de nouvelles missions et responsabilités et dont les pouvoirs et les outils juridiques ont été renforcés.

 

Agnès Jeannet est membre de l’IGAS depuis 1984 et inspectrice générale depuis 1997.

 

Elle a tout d’abord exercé en tant que secrétaire générale du CFES (Comité Français d'Education pour la Santé, devenu INPES), puis comme conseillère technique de Claude Evin, alors ministre de la Santé, de la Solidarité et de la Protection sociale.

 

Elle a ensuite été directrice de l’administration générale de la CNAMTS (de 1991 à 1993), puis directrice générale de l’Agence française du Sang, devenue EFS (de 1993 à 1999).

 

De 1999 à 2002, elle a été successivement responsable de service à la direction des relations du travail au ministère du Travail, où elle s’est plus particulièrement investie sur la question de l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, puis directrice ajointe du cabinet d’Elisabeth Guigou, ministre de l’Emploi et de la Solidarité.

 

Depuis 2002, elle exerçe à l’IGAS où elle réalise des missions de contrôle et d’évaluation des politiques sanitaires et sociales (hôpitaux, cliniques, professions médicales, sécurité sanitaire). En 2007, elle a été nommée présidente du Conseil d’administration de l’ANESM, Agence nationale d’évaluation et de la qualité des établissements sociaux et médico-sociaux.

 

Aujourd’hui âgée de 60 ans, Agnès Jeannet s’est déclarée très honorée par cette nomination.

« Je prends cette nouvelle mission avec beaucoup de cœur et mesure la responsabilité qui m’est confiée. Je m’appliquerai, avec l’ensemble du conseil d’administration, à participer au renforcement du dispositif chargé d’assurer à tous les citoyens des produits de santé de grande qualité et à faire de l’ANSM un opérateur exemplaire tant au niveau national que vis-à-vis des partenaires européens et internationaux ».  

 

 

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Lancement d'un programme de recherche de grande ampleur porteur d'espoir pour les malades atteints du diabète de type 1.


Lancement d'un programme de recherche de grande ampleur porteur d'espoir pour les malades atteints du diabète de type 1.

 

Message de Gérard Raymond

Pendant 5 ans, et grâce à la mobilisation de tous ses donateurs, l’AFD va investir 50 000 € chaque année dans les recherches du Professeur CATTAN pour la création d’une plateforme de recherche sur les îlots de Langerhans en Île de France.

Jusqu’à présent, pour les malades atteints de diabète de type 1 les plus graves, la seule solution était la greffe de pancréas. Mais la partie de cet organe où se trouvent les cellules productrices d’insuline ne représente que 1 % de son volume. Ce sont les îlots de Langerhans. D’où l’intérêt de ne transplanter que ces îlots.

L’objectif de ce programme, qui sera mené jusqu’en avril 2017, est de mettre des îlots à la disposition des équipes de recherche ainsi que de créer une banque de tissus pancréatiques.

Ces travaux auront rapidement des applications cliniques pour mieux comprendre les causes du diabète, prévenir ou empêcher la progression de la maladie et optimiser le traitement des diabètes.

En cette fin d’année, nous avons absolument besoin de votre soutien pour poursuivre nos actions de défense des droits des diabétiques, de prévention du diabète, d’accompagnement des patients, et amplifier dès 2013 notre soutien à la recherche en diabétologie.

 

Vous comprenez, j’en suis sûr, tous les espoirs que suscite votre don. Ensemble, nous obtiendrons de nouvelles victoires face au diabète. Et pour cela chaque don compte.

Espérant pouvoir compter sur votre soutien dès aujourd'hui, je vous remercie de votre aide et de votre confiance. 

 

Chaque don est essentiel : https://dondiabete.afd.asso.fr/b/mon-don

 

66% du montant de votre don est déductible de vos impôts et ce jusqu’ à 20 % de votre revenu net imposable. Ainsi, un don de 60 euros vous revient en réalité à 20,40 euros.

Coup de projecteur sur le gala de foot en faveur de la Fondation de l'Avenir


 


Jeudi 1er novembre, la ville de Sautron (44) et l’association Artistes Sportifs (AS) de Cœur se mobiliseront pour soutenir la recherche médicale, en organisant un événement sportif caritatif.

Grâce au concours des Ex Canaris (anciens du FC Nantes)  comme Eddy Capron  Vincent Bracigliano, Loïc Amisse, un match de gala les opposant à AS de Cœur avec Patrice Martin, Jérôme Pineau, Salim Kechiouche est organisé au stade Municipal de Sautron le jeudi 1er novembre à 15h.

A cette occasion, des produits dérivés, dont des stickers seront vendus au profit de la Fondation de l'Avenir.

L’association Artistes Sportifs (AS) de Cœur a été créée en juillet 2007 par le comédien Salim Kechiouche qui organise des événements à caractère sportif au profit de causes humanitaires. Lors de la saison sportive précédente, l’association a ainsi participé à la journée mondiale contre le racisme (Dijon), à un match contre le sexisme (Parc des Princes, Paris),  à un match en faveur des amis de la Terre (Joinville -94)…

Pour en savoir plus : www.artistessportifsdecoeur.org

NDLR : La Fondation de l’Avenir est l’un des partenaires de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie  dont le président Serge Brichet est également le Trésorier de la Fondation. Retrouvez l’actualité MGEFI : www.mgefi.fr

Actualité FNMF


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Etienne Caniard
a précisé que le dispositif adopté « privilégie la maîtrise des dépassements et non leur solvabilisation », une information reprise dans ...

 

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Dépassements d'honoraires: Etienne Caniard parle « d'une grande ...
Après avoir été écartée des dernières discussions sur les dépassements d' honoraires des médecins, l'Unocam, en la voix d'Etienne Caniard, président de la ...
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NDLR : Etienne CANIARD a été président de la MAI –Mutuelle des Agents des Impôts (l’une des mutuelles fondatrice de la MGEFI Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie

Coup de projecteur sur l’actualité Istya


 

Santé : Istya présente son réseau conventionné d'audioprothésistes ...
Pour fidéliser ses adhérents, maîtriser les restes à charges des ménages et encadrer les dépenses de santé, le groupement mutualiste Istya vient de présenter ...
pro.news-assurances.com/sante-istya...son.../0169256509
 
RiskAssur : Droit de retrait de la MNH du Groupe ISTYA (par ...
RiskAssur : La MNH constate que le groupe ISTYA se trouve, à présent, dans une logique différente du modèle originel de coopération.
www.riskassur-hebdo.com/actu01/actu_auto.php?adr...
 
La tribune de l'assurance - MNH : Droit de retrait du groupe ISTYA
p>La MNH annonce sa volonté de ne pas entrer dans une démarche d’intégration et a donc fait valoir son retrait du ...
www.tribune-assurance.fr/.../mnh-droit-de-retrait-du-groupe-is...
 
NDLR : la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie  rejoint le groupe Istya au 1er janvier 2013