Nora ANSELL-SALLES

jeudi 4 octobre 2012

C'est à lire !



« Guide de la fin de vie » - Editions Petit futé

 

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. La fin de vie aujourd’hui revêt des caractères différents par rapport au passé. Les Français vivent de plus en plus vieux mais ils se retrouvent souvent de plus en plus seuls pour affronter la maladie, le handicap, les problèmes liés à l’âge. Les familles sont éclatées, les enfants pris dans la vie quotidienne, l’éloignement de plus en plus fréquent.

 

Depuis quelques années cette période ultime avant le décès commence à être prise en compte : des médecins, des psychologues, des sociologues, des hommes et femmes de loi, des associations, des sociétés de service travaillent au quotidien, soit dans des structures adaptées soit à domicile, pour l’améliorer. Ainsi, le premier Salon de la Mort s’est tenu à Paris en avril dernier, etc

 

L’idée : faire tomber les tabous autour de la mort, en parler pour mieux vivre. Un Observatoire national de la fin de vie vient également de voir le jour. Son rôle : dresser un état des lieux des situations et des besoins à l’approche de la mort.
Mais la mort ne frappe pas que les personnes âgées : des enfants, des adolescents, des jeunes adultes sont confrontés pour eux-mêmes ou pour leur entourage à ce qui est parfois inéluctable. Comment y faire face ? Comment accepter, accompagner, comprendre la fin de vie et la mort ? L’angoisse, la souffrance morale, la douleur physique sont le plus souvent difficiles à surmonter. Ce guide, respectueux de la déontologie, est conçu de façon pratique pour aider celles et ceux qui un jour ou l'autre devront gérer ce « temps du départ » pour eux-mêmes ou pour des proches. Il tente d’aborder et de répondre aux questions juridique, sociale, financière ou psychologique que l’on se pose avant le décès, au moment des obsèques et après le décès. Il informe sur l’évolution des funérailles et du funéraire sans oublier l’arrivée d’internet qui a révolutionné les habitudes de communication y compris sur le deuil. L’étape de la fin de vie est une étape à vivre en toute conscience et en toute humilité. Pour Saint-Exupéry, « ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort ».

 

PLAN DU GUIDE :  La fin de vie : rester à domicile ou en établissement spécialisé. L’accompagnement de la fin de vie (la dépendance, les maladies du grand âge, les soins palliatifs, législation...). Les aides financières et la protection juridique. Transmission du patrimoine (testaments, legs, dons, assurances vie, etc.). Prévoir  ses obsèques. Le décès : les formalités, avant les obsèques, organisation des funérailles, choix du funéraire, les obsèques. Après les obsèques : succession, l’étape du deuil, informations pratiques et complémentaires...

Informations pratiques, des conseils mais aussi de nombreuses précisions pour mieux appréhender le sujet (l’allocation personnalisée d’autonomie, les différentes structures d’accueil spécialisées - EHPAD ou EHPA -, la grille AGGIR, le plan Alzheimer, l’aide à la sortie d’hospitalisation mais aussi la fiscalité sur les donations, le B à Ba du testament, etc.) ainsi que différents témoignages de professionnels (Lilia DUBOIS, psychologue clinicienne travaillant sur les Ateliers Mémoires en Isère ; Danièlle JOFFRE-POMPOUGNAC, psychothérapeute ; Geneviève DEMOURES, médecin gérontologue ;  Marie-Andrée CLAMENS, psychologue clinicienne en EHPAD ;  etc.) viennent compléter, sous forme d’encadrés, cette nouvelle édition du guide de la fin de vie sans oublier quelques focus sur différents thèmes tels que les obsèques low-cost à Paris, nouvelles offres (parfois surprenantes : cercueils Gays, finir en diamant, etc.) et/ou techniques funéraires, etc.

5 millions de malentendants non équipés, les audioprothésistes semblent s’en satisfaire…


Ou comment justifier des marges injustifiables


Le Syndicat national des audioprothésistes (UNSAF) communiquait jeudi dernier par voie de presse dans un communiqué intitulé « La vérité sur les assistants d’écoute ». Vaine et énième tentative de cette organisation ultra corporatiste de discréditer SONALTO, motivée semble-t-il par la parution d’un article pourtant élogieux paru le même jour dans Les Echos intitulé « SONALTO réinvente l’appareil auditif ».

Devant les attaques mensongères et péremptoires de l’UNSAF, la société Sonalto souhaite apporter quelques précisions :

Si vous souhaitez des informations complémentaires concernant les enjeux et le marché de l'audition en France n'hésitez pas à revenir vers nous.

« Les audioprothésistes sont acteurs au quotidien auprès des 5 à 6 millions de malentendants en France »


Si le chiffre de 6 millions est bien celui du nombre de malentendants en France, l’UNSAF omet de préciser que seulement 1 million de Français sont actuellement équipés de prothèses auditives et donc clients des audioprothésistes.
5 millions de malentendants demeurent donc sans aide ni solution. 5 millions de personnes que le prix astronomique des prothèses auditives dissuade de s’équiper.

Depuis la création de l’UNSAF il y a 37 ans, la situation des malentendants ne s’est pas franchement améliorée, tandis que la marge des audioprothésistes, elle, s’est considérablement renforcée.
Exemple : l’arrivée de la technologie numérique a très largement diminué le temps passé à régler les audioprothèses. Curieusement, les audioprothésistes n’ont pas répercuté ces économies auprès de leurs clients. Leur marge par rapport au temps réellement passé à suivre leurs clients et affiner au cours des années le réglage de leurs audioprothèses se rapproche des 300€ de l’heure pour un équipement bilatéral. Soit trois fois les honoraires d’un médecin ORL ayant fait 3 fois plus d’études…

C’est pour les millions de personnes découragées par les prix pratiqués par les audioprothésistes et donc laissées de côté, tous ceux qui se retrouvent sans solutions, que SONALTO a décidé de lancer le 1er assistant d’écoute préréglé.
« Octave », de SONALTO, apporte un réel confort d’écoute à ceux qui commencent à éprouver une perte auditive qui les gêne dans leur vie de tous les jours.
En ce sens, l’assistant d’écoute est complémentaire des audioprothèses. Avec un prix très accessible, il constitue une première étape, donnant accès à une solution auditive pour les millions de personnes qui ne peuvent s’offrir le luxe d’audioprothèses à plusieurs milliers d’euros, étant en outre précisé que les niveaux de sophistication et d’amplification de ces dernières sont totalement disproportionnés pour répondre à de simples gênes auditives légères et débutantes.
A noter que le passage à des audioprothèses sophistiquées adaptées aux pertes moyennes ou sévères s’en trouve par la suite largement facilité.

« Utiliser un "assistant d’écoute" sans aller voir un professionnel de santé retarde le dépistage »


Contrairement à ce qu’affirme l’UNSAF, une grande majorité de spécialistes ORL, qui sont en prise directe avec les patients, estime que la prise en charge tardive de la perte de l’audition est d’abord et avant tout due au prix trop élevé des aides auditives. Ainsi, il ressort d’études récentes que 78% des malentendants ne s’équipent pas ou retardent le plus tard possible le moment de s’équiper à cause de tarifs et de prix trop élevés (Enquête OPINIONWAY / SONALTO du 15 novembre 2011.).

SONALTO oriente systématiquement ses clients vers un médecin ORL lorsque ceux-ci n’ont pas consulté récemment ou dès le moindre doute sur leur condition. Seul le médecin ORL a la capacité de déterminer les causes de la gêne auditive.
L’audioprothésiste, au-delà de ses compétences en matière de réglage et d’adaptation de la prothèse auditive, est bien incapable d’apporter un service de dépistage complet et sérieux. Et pourtant de nombreux tests gratuits pendant 1 mois sont de plus en plus souvent proposés par les audioprothésistes avant toute consultation chez l’ORL…

" Choisir un assistant d’écoute peut faire plus de dommages que de bienfaits. "  


FAUX, il suffit pour s’en convaincre de lire l’article du très sérieux Wall Street Journal du 10 septembre 2012
1 , dans lequel la FDA (Food and Drug Administration), après avoir reconnu le statut des assistants d’écoute et avoir autorisé leur libre commercialisation en 2009, indique que «Techniquement, bon nombre des nouveaux modèles d’assistants d’écoute sont destinés à aider les personnes ayant une audition normale à mieux entendre dans des situations comme les restaurants bruyants et de grands rassemblements ».

En Suisse, aux USA, en Angleterre en Allemagne, des centaines de milliers de personnes portent des assistants d’écoute et en sont très satisfaites.

En France, la plupart des médecins ORL confortent cette position et disent à 92% accueillir favorablement la solution de l’assistant d’écoute (d’après un sondage réalisé aux assises ORL de Nice 2011, contrôlé par un huissier de justice) car justement, l’assistant d’écoute par son prix accessible, sa simplicité et sa totale innocuité encourage les gens qui ont une perte légère à s’équiper plus vite. Le caractère « non dangereux » de notre produit ayant par ailleurs été confirmé par le professeur Bruno FRACHET (Président de France Presbyacousie) 2.

L’assistant d’écoute Octave de Sonalto compte déjà plus de 10.000 clients dont 84 % se disent très satisfaits de la qualité d’amplification, de la simplicité d’utilisation et bien sûr du prix.


 " Si vous suspectez une perte d’audition, faites la contrôler par un professionnel de santé".


Oui, trois fois oui et SONALTO dit exactement la même chose. Dans toute sa documentation à l’adresse de ses clients et de la presse, SONALTO précise qu’Octave n’est pas une prothèse auditive et invite les personnes à consulter un médecin ORL en cas de gêne persistante 3.



Un "assistant d’écoute", vraiment moins cher ?"  


Vraiment moins cher ? Si Octave de SONALTO n’était pas beaucoup moins cher, le Syndicat national des audioprothésistes ne réagirait pas avec autant de véhémence, et les clients d’Octave ne seraient pas aussi nombreux à remercier SONALTO pour leur avoir enfin permis de s’équiper d’une solution auditive efficace à un prix très raisonnable.

L’étude Santé Clair relève un reste à charge moyen de 1130€ pour l’achat d’une prothèse auditive après remboursement de la sécurité sociale et des complémentaires santé …4 Sans parler de ceux qui n’ont pas la chance de bénéficier d’une complémentaire pour qui il faudra ajouter entre 300 et 400€. 

Le Prix conseillé d’Octave de 299€ TTC par appareil est respecté dans les 3.500 pharmacies distributrices. Cette solution est effectivement beaucoup moins chère, n’en déplaise à ses détracteurs.


La commercialisation prétendument contestable et contraire aux dispositions du Code de la santé publique du produit Octave par SONALTO


Il est FAUX, GRAVE et MENSONGER de prétendre qu’Octave est commercialisé en fraude de la législation !
Ni SONALTO ni les 3.500 pharmaciens qui distribuent Octave ne sont dans l’illégalité comme le sous-entend l’UNSAF.
Les pharmaciens sont des professionnels de santé responsables et reconnus après au moins six années d’études scientifiques. Certains d’ailleurs ont fait l’objet d’intimidations de la part des syndicats d’audioprothésistes qui leur a envoyé un courrier mensonger 5 prétendant que la commercialisation d’Octave serait illégale.
L’UNSAF se substitue ainsi à la justice française et croit pouvoir préjuger un litige qui, bien que lancé à son initiative en décembre 2010, en vue de le faire trancher par le Tribunal de Grande Instance de PARIS dès le 27 janvier 2011 au prétexte d’une urgence jamais établie, n’a encore donné lieu à aucun jugement à ce jour, une expertise judiciaire devant tout juste commencer dans les jours prochains et ce, à la demande de ce Syndicat ! Dans l’intervalle, le Tribunal n’a aucunement jugé nécessaire d’interdire à la société SONALTO de poursuivre la commercialisation de son assistant d’écoute.

Le Code de santé publique définit le métier d’audioprothésiste et spécifie clairement qu’ils ont le monopole de la distribution et de l’adaptation de prothèses auditives.

Or, Octave de SONALTO n’est pas une prothèse auditive mais bien un « assistant auditif préréglé ». Ipso facto, l’assistant d’écoute ne nécessite pas d’adaptation par un spécialiste.
Ce statut spécifique d’ « assistant auditif préréglé » a d’ailleurs été détaillé et pleinement reconnu dans la « Liste des positionnements réglementaires et des qualifications des DM et DMDIV », actualisée au 19 juin 2012, établie par l’ANSM (ancienne AFSSAPS).

"Nous, dirigeants de SONALTO, jeune Start up française, voulons alerter l’opinion sur ces dérives corporatistes.
En cherchant à protéger et à justifier par tous les moyens les marges pratiquées par les audioprothésistes, et en prétendant faire rentrer dans leur monopole l’assistant d’écoute préréglé Octave qui n’est pourtant par une prothèse auditive, l’UNSAF espère nous empêcher de contribuer à rendre accessible pour des millions d’individus des solutions auditives, pourtant essentielles à la santé et au bien être des personnes.
Espérons que le bon sens et l’équité l’emporteront".

1 : http://online.wsj.com/article/SB10000872396390443921504577643451266751104.html?KEYWORDS=hearing+aids
2 : Citation du Professeur Frachet dans l’interview qu’il a donné à un journaliste de Medisite le 07/07/2011 : http://sante.planet.fr/audition-l-assistant-auditif-octave.85866.11585.html?page=0,3
3 : « Octave n'est pas une prothèse auditive. En cas de gêne persistante, d’antécédents auriculaires, de douleurs d’oreille  ou de baisse d’audition unilatérale, il est recommandé de consulter immédiatement un médecin ORL. »
4 : Etude santé clair : parue 2/04/2009
5 : Courrier de l’UNSAF à l’USPO daté du 9 décembre 2011,  relayé par l’USPO aux officines françaises le 10 janvier 2012.


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MINE D'INFOS: RESULTATS DE L’ENQUETE IPSOS1 « LES FRANÇAIS ET L...: Le coût et la qualité des prestations optiques, en tête des préoccupations des Français   Les réseaux d’opticiens agréés présenten...

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MINE D'INFOS: Une réflexion innovante au profit de la santé des ...: Débat / Rencontre "Le sport : Révolution pour l'économie de santé ?"   Mardi 18 Septembre 2012, a eu lieu le débat/renco...

Une réflexion innovante au profit de la santé des individus et de l’économie collective.


Débat / Rencontre "Le sport : Révolution pour l'économie de santé ?"

 

Mardi 18 Septembre 2012, a eu lieu le débat/rencontre « Le sport : Révolution pour l’économie de santé ? », organisé par la Fondation du Sport Français en collaboration avec l’IMAPS et le CNOSF.
Étaient présents dans la salle : des représentants de fédérations , des journalistes, des mutuelles, des médecins, ainsi que des porteurs de projets.

En prélude des journées « Sentez vous sport », les acteurs du sport et de la santé, Alain Calmat, Jacques Lalanne, Thierry Beaudet, Christian Jeambrun, Martine Duclos, ont débattu autour de cette thématique.
Ce sujet d’actualité a permis aux intervenants de démontrer que la pratique de l’activité physique et sportive réduisait considérablement les problèmes de santé, et pourrait contribuer à la baisse des dépenses de santé à long terme.


Retrouvez dès à présent des extraits des prises de parole de chaque intervenant ainsi que les échanges avec le public qui ont animé cette rencontre.

Les vidéos et extraits de la table ronde "Le sport: révolution pour l'économie de santé" sont en ligne

Le http://fondation.franceolympique.com/dossier de presse de la Rencontre-débat du 18 septembre à la Maison du sport, CNOSF est en ligne.

http://fondation.franceolympique.com/



Vidéos et/ou textes des interventions de :



Valérie Fourneyron, Ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Éducation populaire et de la Vie associative,
Denis Masseglia, Président du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF),
Edwige Avice, Présidente de la Fondation du Sport Français - Henri Sérandour,
Jean-Pierre Davant, Président de l’Imaps et de la Mutuelle des Sportifs.

Extraits textes et vidéos des interventions de la table ronde réunissant :



Dr Alain Calmat, Président de la commission médicale du CNOSF,
Jacques Lalanne, adjoint à la direction nationale déploiement Santé Active, Assurance Maladie,
Thierry Beaudet, Président du Groupe MGEN,
Pr Martine Duclos, Professeur des Universités–Praticien Hospitalier,
Dr Christian Jeambrun, Président du Syndicat des Médecins Libéraux (SML).




Agenda :


L’Imaps sera présent au Congrès de la FNMF (18-20 octobre 2012 à Nice) et Jean-Pierre Davant, son Président, disponible pour rencontrer les journalistes.



RESULTATS DE L’ENQUETE IPSOS1 « LES FRANÇAIS ET L’OPTIQUE »


Le coût et la qualité des prestations optiques, en tête des préoccupations des Français

 

Les réseaux d’opticiens agréés présentent des avantages largement plébiscités par les Français, faisant écho à ces deux préoccupations

 


Plus de 2 millions de Français renoncent ou reportent chaque année des soins en optique pour des raisons financières2. La Sécurité sociale rembourse très peu, de l’ordre de 4% de la dépense facturée. Les complémentaires santé, quant à elles, prennent en charges 66% de la dépense. Le reste à charge pour les ménages est donc conséquent, 29% en moyenne3.

 

Dans ce contexte, la Mutualité Française, qui fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, a fait réaliser une enquête par IPSOS « Les Français et l’optique » pour cerner les attentes et les opinions des Français en matière d’optique : information sur le remboursement, niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d’achat.

 

Sans surprise, l’optique représente un véritable enjeu pour les Français : 2 Français sur 3 portent des lunettes correctrices et plus de 4 porteurs de lunettes sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois.

 

Le coût et la qualité des prestations optiques sont au cœur de leurs préoccupations. Plus de
9 Français sur 10 estiment que les aspects financiers, à savoir le remboursement, le tiers payant, le rapport qualité prix des verres et des montures, et la qualité de l’intervention de l’opticien, à savoir sa disponibilité, son écoute et ses conseils, sont importants.

 

Aussi, avant d’acheter leurs lunettes, les Français calculent les montants restant à leur charge (47%), se renseignent auprès de leur complémentaire santé (40%), comparent les prix et les prestations chez les opticiens (37%) et font établir des devis (33%).

 

Et près d’un quart des porteurs de lunettes (21%) ont déjà adhéré à une complémentaire santé parce qu’elle leur permet d’accéder à un réseau d’opticiens agréés où les prix et des engagements de qualité sont négociés avec l’opticien par la complémentaire santé.

 

Ainsi, les réseaux d’opticiens agréés présentent des avantages largement plébiscités par les Français, faisant écho à leurs préoccupations de coût et de qualité. En effet, plus de 8 Français sur 10 sont intéressés par le tiers payant, par une amélioration du remboursement ou par des tarifs négociés avec les opticiens par leur complémentaire santé. La proximité de l’opticien, les services et les garanties supplémentaires et des produits répondants à des critères de qualité définis bénéficient également d’un niveau d’intérêt très élevé, bien qu’arrivant en seconde position. Ainsi, 6 Français sur 10 accepteraient d’être orientés par leur complémentaire santé vers des opticiens agréés.

 

 

1 Cette enquête a été réalisée du 28 mai au 2 juin 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est effectuée par téléphone auprès d’un échantillon national de 1 000 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué d’après la méthode des quotas sur les critères de sexe, âge, profession du répondant, région et catégorie d’agglomération.

 

 

 

2 Etude de l’Institut de Recherche et de Documentation en Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011

 

3 DREES, Comptes nationaux de la santé, 2010 – Le 1% manquant correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les    bénéficiaires gérés par les organismes de base.

 

À propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


 

 

MINE D'INFOS: Projets de loi de finances (PLF) et de financement...

MINE D'INFOS: Projets de loi de finances (PLF) et de financement...: Budget handicap 2013 : L'étau se desserre légèrement mais les difficultés persistent en particulier pour les ESAT [1]   ...

MINE D'INFOS: « Psoriasis : entrez en contact » Tournée national...

MINE D'INFOS: « Psoriasis : entrez en contact » Tournée national...: Plus de 2 millions de français [1] sont touchés par le psoriasis, maladie chronique de la peau. Bien que le psoriasis ne soit pas cont...

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MINE D'INFOS: « Psoriasis : entrez en contact » Tournée national...: Plus de 2 millions de français [1] sont touchés par le psoriasis, maladie chronique de la peau. Bien que le psoriasis ne soit pas cont...

« Psoriasis : entrez en contact » Tournée nationale d’information du 6 au 13 octobre 2012


Plus de 2 millions de français[1] sont touchés par le psoriasis, maladie chronique de la peau. Bien que le psoriasis ne soit pas contagieux, près de 83% des malades cachent leur maladie[2] et 26% déclarent avoir connu au moins un épisode durant lequel les personnes de leur entourage avaient fait un effort conscient pour ne pas les toucher[3].

 

Plaques rouges, démangeaisons, lésions… le psoriasis génère un véritable handicap social chez les personnes qui en sont atteintes car il ne peut être dissimulé ; cette pathologie peut alors engendrer des difficultés relationnelles et professionnelles. « L’autre, celui qui est différent, nous menace très souvent et nous fait peur, induisant fréquemment un mouvement de rejet, de mise à l’écart, de stigmatisation » relate le Docteur Sylvie Consoli, dermatologue et psychanalyste à Paris.

Entre idées reçues et barrières psychologiques, de nombreux progrès restent à faire pour améliorer la perception de cette maladie auprès du grand public et éviter toute stigmatisation des malades atteints de psoriasis.

 

C’est dans ce but que l’Association Pour La Lutte Contre Le Psoriasis (APLCP), avec le soutien de LEO Pharma, lance du 6 au 13 octobre dans 4 villes de France - Paris, Bordeaux, Toulouse et Marseille - une tournée nationale d’information baptisée « Psoriasis : entrez en contact ». Conseils gratuits de professionnels de santé, happenings artistiques autour du toucher, rencontres entre patients…, autant d’occasions de comprendre et d’accepter le psoriasis, pour mieux vivre ensemble.

 

Une première inédite destinée à sensibiliser la population et à changer le regard qu’elle porte encore sur le psoriasis !

 

Toutes les informations sur www.fidupso.fr et au  01 42 39 02 55

Projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2013


Budget handicap 2013 :

L'étau se desserre légèrement mais les difficultés persistent en particulier pour les ESAT [1]

 

Bien que le budget handicap 2013 connaisse une progression, l'Unapei s'inquiète du devenir des ESAT qui voient leur mission menacée pour des questions budgétaires. 

 

Le budget handicap 2013 prévoit une légère progression qui ne résoudra pas les difficultés

Dans le PLFSS 2013 présenté par le gouvernement, l'ONDAM médico-social personnes handicapées progresse de 3,3%, ce qui est supérieur à 2012 (2,1%). Cela permettra certes de poursuivre la création de 3000 places mais ne permettra pas de couvrir intégralement l'inflation prévue (1,8%). En effet,  l'augmentation des moyens affectés au financement des établissements est portée à 1,45%.  Les établissements du secteur devront toujours ainsi faire face à des difficultés financières qui mettent en péril la qualité de l'accompagnement des personnes handicapées. Difficultés financières qui ne leur permettent pas de remplacer les personnels ou de recruter des professionnels qualifiés et expérimentés ou les contraignent à réduire les transports des enfants faisant ainsi reposer la charge sur les familles. L'Unapei estime à 4% l'augmentation nécessaire de l'ONDAM « personnes handicapées »  pour maintenir la qualité de la prise en charge tout en permettant le financement des places nouvelles.

 

Les ESAT : un modèle social en péril qui a perdu près 80 millions d'euros en 6 ans [2]

Dans le PLF 2013, aucun crédit n'est alloué à la création de places en ESAT. C'est un coup d'arrêt brutal au plan de création de places en ESAT. Une revalorisation de 1% sur la masse salariale a été reconduite mais aucune revalorisation n'est prévue sur les autres charges des ESAT et le plan d'aide à l'investissement déjà notoirement insuffisant est ramené à 2,5 millions d'euros pour 1400 ESAT (4 millions en 2012). Autant de mesures qui viennent assener un coup violent aux ESAT qui subissent déjà une tension budgétaire atroce, notamment due à l'instauration de tarifs plafonds et à la convergence tarifaire.

Les conséquences sont désastreuses. Les personnes handicapées risquent bientôt d'être sélectionnées à l'entrée des ESAT en fonction de leur rentabilité et d'être soumises, dans leur processus de travail, à une pression croissante, au détriment de la qualité de leur accompagnement.

L'Unapei rappelle la nécessité absolue et le caractère urgent de mettre fin aux tarifs plafonds et à la convergence tarifaire. L'Unapei demande également et comme chaque année depuis 6 ans que l'inflation soit prise en compte. En 6 ans les moyens alloués aux ESAT, en euros constants, ont diminué de près de 80 millions d'euros, soit une perte de 5,5% de moyens.

 

À propos de l'Unapei

Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis :

Créé en 1960, l'Unapei est le premier mouvement associatif français œuvrant pour la représentation et la défense des intérêts des personnes handicapées mentales. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres.

L'Unapei est un mouvement national qui fédère 600 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).

L'Unapei en chiffres :

·         180 000 personnes handicapées accueillies

·         60 000 familles adhérentes des associations affiliées

·         3 000 établissements et services spécialisés

·         75 000 professionnels employés dans les associations et les établissements

Plus d'informations sur : www.unapei.org

 

La précarité chez les travailleurs non salariés : l’éclairage de l’Observatoire Alptis de la protection sociale


Longtemps, le fait d’exercer une activité indépendante a été un choix de vie et l’ouverture vers une carrière prestigieuse. Depuis les années 2000, c’est souvent la nécessité de créer son emploi qui fait loi. Dans ce mouvement, la précarité inhérente à l’indépendance du travail non salarié se transforme parfois en pauvreté, notamment pour les auto-entrepreneurs. D’une manière générale, les non-salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Dans ce contexte, l’Observatoire Alptis de la protection sociale a initié une étude sur le thème « La précarité chez les travailleurs non salariés : quelles réalités ? ». Les résultats qui viennent de paraître permettent d’en préciser leurs caractéristiques.

Liberté et précarité sont inscrites dans la définition du travailleur non salarié

Les données sur la population des non salariés sont minces. Au niveau strict de la définition, un travailleur non salarié est un travailleur précaire quel que soit son niveau de revenu justement parce qu’il ne sait pas quel sera son salaire le mois prochain, si ses clients ne vont pas partir ou si un accident ne va pas l’empêcher d’exercer. “D’une manière générale, les non salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Il atteint, pour les personnes âgées de plus de 18 ans, 16,9 % contre 6,3 % pour les salariés. Une situation qui témoigne des difficultés rencontrées par cette catégorie de travailleurs qui, en France, représentait en 2009 près de deux millions de personnes, hors les auto-entrepreneurs” souligne Stéphane Rapelli, économiste, auteur de l’étude.
Du côté des avantages : liberté du choix d’exercice, du statut, de la gestion du temps. Mais il faut compter avec une activité et des revenus fluctuants, et des couvertures faibles pour la maladie, la vieillesse, ou le chômage. Tout est question d’équilibre entre volume d’activité, recettes et choix de vie.

Des disparités de revenus

Les travailleurs indépendants sont très inégaux face à la pauvreté monétaire. Ceux exerçant dans les activités de services inhérentes à l’art, aux spectacles et aux activités récréatives sont les plus mal lotis en termes de revenus. Ils gagnent en moyenne 11 fois moins qu’un professionnel juridique. Les professions libérales réglementées du secteur de la santé, du droit, du cadre de vie vivent une situation globalement plus confortable que les autres non-salariés. Des revenus confortables mais qui s’accompagnent d’un volume de travail conséquent, avoisinant régulièrement les 50 heures par semaine.
“La déréglementation de l’exercice libéral depuis des années a fortement encouragé les actifs à créer leur propre emploi, souvent moins par vocation que par nécessité de travailler. Mais la mécanique, voulue vertueuse, bute sur le fait que tous les non-salariés n’ont pas les capacités et les réseaux nécessaires pour réussir”
ajoute Stéphane Rapelli.
 
72 % des auto-entrepreneurs gagnent moins de 5000 € dans l’année

Ce statut créé en 2008 avait essentiellement pour objectif de stimuler et de faciliter la création d’entreprise. En 2012, il se distingue dans le non salariat par l’important niveau de pauvreté qui lui est associé avec un revenu médian de 930 € annuels, soit 12,3 fois moins que le seuil de pauvreté (11 448 € par an). Sur 751 000 auto-entrepreneurs enregistrés, seuls 324 000 ont un chiffre d’affaires positif. Et 72 % d’entre eux ont gagné moins de 5000 € dans l’année. Un tiers des auto-entrepreneurs est composé par des artisans, les deux tiers par des professions libérales.

 
   





L'Afipa défend l'automédication comme un des facteurs de régulation possibles du système de soins


Le secteur des produits d’automédication ne représente en France, en 2011, que 6,4% du marché des médicaments contre une moyenne de 10,4% dans les pays membres de l’Union Européenne, classant notre pays en avant-dernière position des pays européens[1]. Dans le contexte actuel de réduction des dépenses de santé, de désertification médicale croissante, d’engorgement des services d’urgence et de surcharge de travail des professionnels de santé, l’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable) a souhaité approfondir la réflexion sur l’intérêt potentiel d’un développement de l’automédication dans notre pays.  

C’est dans cette perspective que l’Afipa a demandé à Celtipharm[2] de déterminer l’impact de l’automédication sur le système de soins français[3]. Deux projections réalisées suite à l’étude Celtipharm effectuée auprès de médecins généralistes et d’autres professionnels de santé indiquent qu’une réduction de l’automédication, en France, augmenterait le nombre de consultations des médecins généralistes et des services de médecine d’urgences ; tandis qu’un essor de l’automédication allègerait le nombre de consultations ainsi que le nombre d’admissions aux urgences.
 

Une réduction de l’automédication : vers une saturation du système de soins

Si par hypothèse, 10% des actes d’automédication repassaient en consultation, le médecin généraliste verrait un accroissement de son activité de 15,6 consultations par semaine, soit 5h45 par semaine uniquement pour les consultations de patients[3].La projection effectuée dans ce cas de figure par l’étude indique une augmentation des consultations des médecins généralistes de l’ordre de 45 millions par an.

Cette hausse de consultations des médecins généralistes semble impossible à absorber. En effet, les résultats de l’étude Celtipharm/Afipa³ basées sur les déclarations de 250 médecins généralistes révèlent que 49% d’entre eux n’arrivent pas à prendre de patients en consultation par manque de disponibilité. Résultats : 11% d’entre eux orientent leurs patients vers un service de médecine d’urgence[3].

71 personnels des services de médecine d’urgence  interrogés déclarent qu’aujourd’hui 28% des consultations[3] (soit 4,2 millions de consultations par an) seraient effectuées parce que les patients n’auraient pas réussi à avoir un rendez-vous suffisamment rapidement chez le médecin généraliste. Ils déclarent par ailleurs que les urgences tournent actuellement à 108% de leurs capacités. Une réduction de l’automédication augmenterait le nombre de consultations et conduirait à une saturation du système de soins en France.

[1]AESGP and AESGP National Associations 2011.
[2] CELTIPHARM est une société d’ingénierie études-marketing- ventes. Elle conçoit des programmes pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de santé (laboratoires, régulateurs, payeurs, professionnels de santé).
[3]
Etude Celtipharm/Afipa, “l’impact del’automédication sur l’offres de soins”, 17 au 21 septembre 2012 – échantillon de 250 médecins généralistes, 71 personnels des services de médecine d’urgences et de 969 individus qui sont allés chez le médecin généraliste entre septembre 2011 et septembre 2012.

 

 

Un essor de l’automédication : vers une meilleure régulation du système de soins

Celtipharm a réalisé pour l’Afipa une deuxième projection où 29 principes actifs correspondant à 15 indications bénignes (RGO, migraine, fièvre, rhinite allergique, otite externe, candidose vulvo-vaginale…) seraient accessibles en automédication, par le biais du délistage. Les résultats indiquent que les médecins généralistes gagneraient, en moyenne 17 consultations par semaine, soit 49 millions de consultations sur l’année. 

Selon l’Afipa, ce gain de temps permettrait, entre autres, aux médecins généralistes d’accorder plus de temps à ses patients et de récupérer des consultations sur les 4,2 millions effectués aux urgences concernant les patients n’ayant pas pu avoir de rendez-vous suffisamment rapidement chez un médecin généraliste.

 

Le développement de l’automédication : un potentiel d’économies pour la collectivité

Au-delà du fait que l’automédication est un des facteurs de régulation possibles du système de soins français, elle est également source d’économies potentielles pour la collectivité. Pour rappel, la précédente étude réalisée par Celtipharm pour l’Afipa révélait que l’essor de l’automédication, en France, par délistage partiel[4] conduirait à 181,9 millions d’euros d’économies substantielles sur les consultations pour la sécurité sociale[5]. En cas de délistage complet[6], les économiesréalisées sur les consultations pour la collectivité s’élèveraient à 742,7 millions d’euros.

« Le dernier PLFSS a prévu 530 millions d’euros d’économies sur les médicaments, c’est sensiblement du même ordre de grandeur que les économies générées pour la collectivité par l’essor de l’automédication. L’automédication est donc un des moyens d’améliorer le système de soins français et de faire des économies » déclare Pascal Brossard, Président de l’Afipa.

L’AFIPA est l’association professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication dont les membres sont : Abbott, Almirall, Bayer Santé Familiale, Boehringer Ingelheim, Boiron, Bouchara-Recordati, Bristol Myers Squibb - UPSA Conseil, Cephalon, Cooper, Dermophil Indien, Diepharmex, Expanscience, Galderma, Genevrier, Gifrer Barbezat, GSK SGP, Hepatoum, Johnson & Johnson Santé Beauté France, Labcatal, Lehning, Mayoly-Spindler, Merck Médication Familiale, Negima Lerads, Novartis Santé Familiale, Nutrition et Santé, Omega Pharma, Pfizer Santé Familiale, Procter & Gamble Pharmaceuticals FR, Reckitt Benckiser, Rottapharm Madaus, Sanofi Aventis, Semes S.A, Stiefel, Tonipharm, Urgo, Weleda, Zambon France.
www.afipa.org

 

Automédication : L’automédication consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation indiquées (définition OMS 2000).

[4] Passage de statut de médicament de Prescription MédicaleObligatoire (PMO) à celui de Prescription Médicale Facultative (PMF)
[5]
Etude Celtipharm/Afipa “ Mesure d’un possibledéveloppement de l’automédication en France et économies pour la collectivité » - 11 mai 2012 - délistage de 114 molécules non délistées en France.
[6]
Le délistage est accompagné d’undéremboursement (si la prescription ouvrait le droit au remboursement)

En savoir plus : www.afipa.org

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