Nora ANSELL-SALLES

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lundi 16 septembre 2013

La MGEFI dans la presse


Titre : La Mutualité Française renforce sa gouvernance politique

www.mutualite.fr du 13 septembre 2013

 

Titre : La Mutualité française poursuit l’évolution de sa gouvernance

www.argusdelassurance.com du 13 septembre 2013

 

Titre : Balade santé le dimanche 15 septembre 2013

 

www.ville-bourges.fr du 15/09/2013




Titre : Véronique Faure Gueye nouvelle Présidente de l'Union Normandie

 

www.miroirsocial.com  du 16 septembre 2013

 

Titre : Dans les sociétés : les nominations

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE  du 16 SEPT 13

 

vendredi 13 septembre 2013

La Mutualité Française renforce sa gouvernance politique


Après les changements intervenus lors de l’Assemblée Générale du 6 juin 2013, le Conseil d’Administration de la Mutualité Française, réuni le 12 septembre 2013, a réorganisé les responsabilités au sein de son bureau sur proposition du Président Etienne Caniard.
   
Deux élus vont rejoindre l’équipe de la Fédération pour renforcer l’animation politique aux côtés du Président. Ils exerceront les missions suivantes :

Stéphane Junique, Président d’Harmonie Services Mutualistes, devient Vice-président délégué aux questions de santé et au projet stratégique du mouvement mutualiste.
 
Dominique Joseph, Vice-présidente de la MGEFI, Trésorière générale adjointe, exercera une partie des missions auparavant dévolues au Trésorier général Patrick Brothier qui vient par ailleurs d’être élu à la Présidence d’Adréa, ce qui devient son mandat principal.




Dominique Joseph est également nommée Présidente déléguée du Système Fédéral de Garantie.


Maurice Ronat est nommé Président délégué du Conseil des Mutuelles Santé et
Jean-Philippe Huchet, administrateur, devient délégué aux questions internationales.

Blog Mine d’Infos - Enquête lectorat
Moins de 5 minutes de votre temps: http://fr.surveymonkey.com/s/BWWSPNJ
 
 

À propos de la Mutualité Française
 
 
 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.
www.mutualite.fr 
 
 

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
 
 

lundi 12 août 2013

Les Opticiens Mutualistes, pour le prix et pour l’esprit…



Œil et santé…


L'œil est un organe très particulier : découvrez son fonctionnement et le détail des parties qui le composent.

L'oeil est composé de trois éléments :

    • la CORNEE est la partie bombée de l’œil se trouvant devant l’iris (la partie colorée que tout le monde voit), elle donne la majeure partie (deux tiers) de la puissance de l’œil ;


    • le CRISTALLIN est une lentille, comme celles des appareils photos, des phares, etc, qui donne un tiers de la puissance à l’œil et dont la particularité est de pouvoir se déformer, entraînant une variation de sa puissance : c’est l’accommodation ;


    • la RETINE est le récepteur sur lequel se forment les images, et transforme la lumière en signaux électriques transmis par le nerf optique au cerveau qui reconstituera l’image observée.

L’œil se caractérise par sa puissance, qui est liée à la distance à laquelle nous pouvons voir net. Pour qu’un objet observé soit net, son image doit se former exactement sur la rétine.


La myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme sont des défauts de vision généralement dus à des imperfections de telle ou telle partie de l'œil, découvrez les origines de chacun de ces défauts de vision ainsi que des informations sur la presbytie.

 

Pour plus de précisions sur votre santé visuelle, vous pouvez consulter les sites de :

 

- LA MUTUALITE FRANCAISE : www.mutualite.fr

 

- PRIORITE SANTE MUTUALISTE : www.prioritesantemutualiste.fr

 

- L'ASNAV : www.asnav.org : Association Nationale pour l'Amélioration de la Vue

 
Liste des points de vente Les Opticiens Mutualistes dans les DOM-TOM




NDLR : MGEFI et OPTIQUE

Rechercher un professionnel de santé                     
  • Remboursement des équipements d'optique vendus en ligne                     
  • Foire aux questions sur la santé                     
  • F.A.Q. Santé                     
  • Foire aux questions sur la prévoyance                     
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  • Réaliser vos simulations                      
  • Fiches pratiques santé                     
  • La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya                               
  • Prémi                     




  • Restons en contact durant l’été













     

    mardi 30 juillet 2013

    CENTRES DE SANTE : La Mutualité Française accueille favorablement le rapport de l’IGAS


    La Mutualité Française, le 1er acteur des centres de santé avec plus de 500 centres, accueille avec beaucoup d’intérêt le rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS), qui vient de paraître, sur la situation économique et la place des centres de santé dans l’offre de soins de demain, et en salue la qualité.

    Le rapport présente l'intérêt d'analyser la situation des centres de manière lucide et réaliste et de formuler des propositions qui ancrent les centres de santé dans le système de soins.

    Dans ses préconisations, il reprend plusieurs travaux menés début 2013 par la Mutualité Française notamment sur un modèle économique de centre de santé équilibré.

    Ce rapport réaffirme l’utilité sanitaire et sociale des centres de santé, qui, d’une part répondent aux enjeux du système de santé – efficience des soins, désengorgement des hôpitaux – ainsi qu’aux attentes des professionnels de santé et des patient, et d’autre part, garantissent un accès aux soins à travers une offre aux tarifs opposables avec tiers payant.

    Mais ce rapport pointe également une fragilité structurelle du modèle économique des centres, leur mode de financement étant fondé sur un fonctionnement libéral isolé et donc inadapté à une structure d’exercice regroupé.

    Pour la Mutualité Française, il est important de valoriser la spécificité des centres de santé, comme le préconise le rapport, par un « forfait de gestion », un « forfait de coordination médicale », un « forfait d’accompagnement social », qui sont la contre partie nécessaire de maintien du financement à l’acte. Elle est favorable également à la mise en place des dispositifs d’accompagnement de retour à l’équilibre financier. C’est à juste titre que le rapport de la mission insiste sur « le rôle clé de la rigueur de gestion dans l’équilibre financier des centres de santé ».

    La mise en œuvre des propositions du rapport implique maintenant un réel engagement de l’assurance maladie pour mener, dès la rentrée 2013, la négociation sur l’évolution de l’accord national des centres de santé. La Mutualité Française, représentative sur l’ensemble des activités - médical, dentaire, infirmier et polyvalent – des centres de santé, s’implique fortement dans cette négociation.



    Par ailleurs, la Mutualité Française, ainsi que le propose le rapport, souhaite s’engager avec les Agences Régionales de Santé (ARS) dans le processus de contractualisation avec les centres.


    À propos de la Mutualité Française

    Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.



    www.mutualite.fr
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     








     

     

     




     

     












     
     
     
     
     





    vendredi 19 juillet 2013

    La Mutualité Française salue le travail accompli par le Haut Conseil pour de l’Assurance Maladie (HCAAM) sur la généralisation de la complémentaire santé


    La Mutualité Française appelle depuis longtemps à l’ouverture d’un débat national sur la place de la mutualité et des complémentaires santé dans l’organisation de la protection sociale afin d’inscrire leur intervention dans une double logique de défense de l’accès aux soins et de recherche d’efficience de la dépense.

     

     Elle se félicite que la Ministre des Affaires sociales et de la Santé ait saisi le HCAAM de ce sujet et se félicite également de l’avis adopté aujourd’hui, qui ouvre des pistes importantes pour définir les principes de la généralisation de la complémentaire santé en rénovant les contrats responsables et solidaires et en adaptant leur fiscalité.


    Au-delà de ce constat, la Mutualité Française estime cependant que l’avis du HCAAM doit être complété sur plusieurs points et réellement traduit dans les faits:

     

    - Les contrats solidaires et responsables doivent être à la fois suffisants pour un réel accès aux soins, nécessaires et limités pour mettre fin aux effets inflationnistes responsables de l’augmentation des restes à charge tout en restant accessibles à l’ensemble de la population. Le risque, faute d’ambition et de sélectivité dans les critères des contrats responsables, est celui d’un développement massif des « sur-complémentaires » qui réduirait la généralisation de l’accès aux complémentaires à une illusion.

     

    - L’objectif de proportionnalité entre les aides et incitations fiscales et le degré de contraintes qui pèsent sur les contrats responsables pour concourir à l’intérêt général doit être clairement affirmé. Ce principe de proportionnalité doit guider la convergence des aides existantes vers un système équitable, cohérent et responsabilisant pour les acteurs de la complémentaire. Il doit également accompagner la diminution de la TSCA pour favoriser l accès à des complémentaires solidaires et responsables

     

    Par ailleurs, la Mutualité Française note avec satisfaction que le HCAAM souligne l’intérêt des réseaux pour modérer les tarifs et améliorer la qualité des prestations.

     

    Il est à cet égard paradoxal, qu’au moment même où cette orientation est adoptée par le Haut Conseil, qui regroupe l’ensemble des acteurs du système de santé, la Commission des affaires sociales du Senat propose de limiter les possibilités des mutuelles de conventionner, par des amendements à la PPL Le Roux. Elle prend ainsi le risque de favoriser les excès tarifaires plutôt que de privilégier l’accès à des soins de qualité et l’accompagnement de dispositifs conventionnels tels que le contrat d’accès aux soins pour les médecins libéraux.

     

    La Mutualité Française attend du Gouvernement, sur tous ces sujets, des décisions courageuses et rapides, conformes à ses engagements.

     

    À propos de la Mutualité Française

     

    Présidée par  la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

     

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

     

    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

     

    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


     

    lundi 24 juin 2013

    Lancement du « pack 100% CONNECTÉ »


    Le réseau Audition Mutualiste, qui regroupe plus de 350 centres d’audition, lance en juin le « pack 100% CONNECTÉ ».

     

    Cette offre permet au patient de recevoir directement dans ses aides auditives le son de la télévision et du téléphone fixe, par le biais de la technologie Bluetooth.

     

    Le pack comprend deux adaptateurs à brancher sur le téléphone fixe et la télévision, ainsi qu’un boitier-télécommande porté par le patient.

     

    Grâce à la technologie Bluetooth, l’adaptateur convertit le signal reçu, et retransmet le son directement vers les aides auditives, qui prennent alors le rôle de casque, sans aucunes interférences.

     

    En un simple clic, le patient peut passer d’un appareil audio à l’autre et en régler le volume sonore.

    Si le téléphone sonne, alors que l’utilisateur regarde la télévision, il peut répondre à l’appel en appuyant sur la télécommande. Le système « connectivité » basculera alors automatiquement en mode téléphone.

     

    Ce pack offre au patient plus de confort et facilite la vie quotidienne, sans indisposer l’entourage à cause d’un volume sonore trop élevé.

     

    Pour l’achat de deux aides auditives, le « pack 100% CONNECTÉ », proposé à 149 euros au lieu de 379 euros, inclus : 1 télécommande réceptrice, 1 adaptateur téléphone, 1 adaptateur TV

     

     

    A propos de la Mutualité Française


     

    Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

     

     

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

     

    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

     

    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

     

     

    A propos du réseau « Audition Mutualiste »


    Gérés par des groupements adhérant à la Mutualité Française, les centres Audition Mutualiste sont ouverts à tous les assurés sociaux. Ils proposent des solutions auditives à des prix maîtrisés avec une exigence de qualité des produits et des services. Ils appliquent une charte de qualité liée à la pratique de l’audioprothèse, basée sur la disponibilité à l’égard de la personne malentendante, à l’information et aux compétences professionnelles. L’enseigne accorde une place importante à la dimension humaine du métier.

     

    Organisé en réseau national, l’enseigne Audition Mutualiste, présidée par Christian Py, regroupe plus de 350 centres. Depuis sa création en 2000, l’enseigne poursuit sa phase d’expansion avec de nombreuses ouvertures annuelles. Les centres sont animés par plus de 400 professionnels de l’audioprothèse.

     

    Après 5ans d’utilisation de la signature « Pour le prix et pour l’écoute », le réseau Audition Mutualiste réoriente ses prises de parole avec la volonté de traduire sa posture de référent du secteur de l’audioprothèse. Conseiller, équiper et accompagner sont les grandes lignes directrices de la stratégie du réseau. Pour répondre aux attentes de sa cible, toujours à la recherche d’informations claires, objectives et adaptées sur les pathologies auditives et la meilleure manière de s’équiper, cette nouvelle signature : « Audition Mutualiste, la référence audition. » présente l’enseigne comme un repère pour le consommateur."

     

    En 2008, l’enseigne Audition Mutualiste s’est regroupée avec le réseau Les Opticiens Mutualistes au sein de la société Visaudio. Cette fusion a notamment pour objectif le développement d’outils communs de communication et de marketing et la mise en place de formations à destination des professionnels des deux réseaux. www.auditionmutualiste.fr



    NDLR : MGEFI et Audition

     

    Rendez-vous sur le site www.mgefi.fr  pour  en savoir plus

     

    vendredi 7 juin 2013

    La Mutualité Française renforce son équipe dirigeante


    Jean-Martin Cohen Solal devient Délégué général
     
    Emmanuel Roux lui succède à la Direction générale
     
    Le Conseil d’administration de la Mutualité Française réuni aujourd’hui à Paris à l’occasion de l’Assemblée générale du mouvement mutualiste, a approuvé le renforcement de la gouvernance de la Mutualité, décidé par son Président, Etienne Caniard, afin de répondre aux défis futurs des mutuelles santé et notamment leur rôle dans le système d’assurance maladie en pleine évolution.
     
    Dans ce cadre, Jean-Martin Cohen-Solal, jusqu'à présent Directeur général, est nommé, à compter du 1er juillet 2013, Délégué général, afin, notamment, de renforcer auprès d’Etienne Caniard la représentation de la Mutualité Française et de développer sa présence et son audience auprès des décideurs, des parties prenantes, des médias et des mutuelles elles-mêmes. Emmanuel Roux, jusqu'à présent Directeur général adjoint, devient Directeur général.
     
    Agé de 63 ans, Jean-Martin Cohen Solal est médecin généraliste depuis 1977. Il a été Délégué général du Comité Français d’Education pour la Santé (devenu depuis l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES)). Il est notamment à l’origine de la campagne « un verre ça va, trois verres bonjour les dégâts ». Il a également occupé des responsabilités dans le cabinet de plusieurs ministres de la santé et dirigé plusieurs agences de conseil spécialisées dans la santé. Il a rejoint la Mutualité Française en 1996 comme Directeur de la communication et de l’information, avant d’être nommé Directeur général adjoint, puis Directeur général en 2009.
     
    Agé de 44 ans, Emmanuel Roux est agrégé et docteur en philosophie et ancien élève de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). A sa sortie en 2004, il rejoint la Cour des comptes comme auditeur affecté à la 6ème chambre, compétente pour la Sécurité sociale et les politiques de santé. En 2007, il est nommé conseiller référendaire. Il a notamment été rapporteur général adjoint du rapport sur la Sécurité sociale et rapporteur au Conseil des prélèvements obligatoires. De 2008 à 2010, il a été chargé de mission auprès du Secrétaire général des ministères des affaires sociales pour la conception et la création des Agences régionales de santé (ARS). En avril 2011, il rejoint la Mutualité Française comme directeur délégué auprès du directeur général, avant d’être nommé Directeur général adjoint, en novembre 2011.
     
    Roland Berthilier est élu Secrétaire général
    Patrick Brothier est réélu Trésorier général
     
    Le Conseil d’administration a également procédé à l’élection du nouveau Secrétaire général de la Mutualité Française, Roland Berthilier. Il succède à Jean-Philippe Huchet qui ne s’est pas représenté.
     
    Agé de 57 ans, Roland Berthilier a été, entre 1976 et 1999, successivement instituteur, professeur d'enseignement général de collège, professeur certifié, principal-adjoint de collège et proviseur-adjoint. Parallèlement, il a siégé au comité de section du Rhône de la Mutuelle générale de l'Education nationale (MGEN), puis il est devenu membre du bureau et responsable de la communication de la section, avant d'en être le Président. De 1990 à 1995, il a été administrateur de la Caisse primaire centrale d'assurance maladie de Lyon. Il est administrateur de la MGEN. Nommé, en 1999, Secrétaire général adjoint et responsable du service communication de la MGEN, il est depuis 2005 Secrétaire général de la MGEN.
     
    Par ailleurs, il est notamment Directeur de la publication de "Valeurs Mutualistes", la revue trimestrielle de la MGEN, vice-président de l’Association nationale de la presse mutualiste (ANPM), vice-président du Syndicat de la Presse Sociale, vice-président du CEGES et administrateur d'Istya. Il préside également l’ESPER (Economie sociale partenaire de l’Ecole de la république).
     
    Patrick Brothier a été réélu au poste de Trésorier général de la Mutualité Française.
     
    À propos de la Mutualité Française
     
    Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.
     
    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
     
    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.
     
    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.
     
    NDLR : MGEFI et Etienne CANIARD

     

    Le président de la Mutualité Française interviendra le 19 juin  prochain à 15H à l’Assemblée générale de la MGEFI. Séance ouverte à la presse

     

    Relations presse :

    Nora ANSELL-SALLES

    nansellsalles@mgefi.fr

    06 70 74 15 42 / 06 60 43 58 09

     

    lundi 22 avril 2013

    Environnement chimique, obésité, diabète :


    Un constat pour une meilleure prévention

     

    « Environnement chimique, obésité, diabète : un constat pour une meilleure prévention », c’est le thème du colloque, organisé à Paris le 4 avril dernier par la Mutualité Française et le Réseau Environnement Santé, qui a rassemblé 300 personnes à l’Assemblée Nationale.

     

    «  Nous sommes aujourd’hui face à une épidémie de maladies chroniques et c’est à cet enjeu que nous devons répondre dès à présent » ont rappelé Etienne Caniard, président de la Mutualité Française et André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé, en introduction de ce colloque.

     

    Ce colloque s’est articulé autour de deux temps forts. La matinée a été consacrée aux travaux de recherche sur les maladies métaboliques et les perturbateurs endocriniens pour dresser un premier constat. En effet, sans remettre en cause les rôles de l’excès énergétique et de la sédentarité dans la progression de l’obésité par exemple, d’autres facteurs comme diverses molécules de synthèse présentes dans notre environnement interviennent dans l’évolution de ce type de maladie métabolique. La compréhension des mécanismes d'action de ces substances chimiques, dit perturbateurs endocriniens, est aujourd'hui décisive pour agir en matière de santé publique. Pour en parler : le Pr Arnaud Basdevant, Responsable du pôle « Endocrinologie-Diabétologie-Nutrition-Prévention » à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, le Pr Anne Dutour-Meyer, chef de service « Endocrinologie, nutrition et maladies métaboliques » à l’hôpital Nord de Marseille, le Pr Serge Hercberg, directeur de recherche Inserm, président du comité de pilotage permanent du programme national « Nutrition santé », le Dr Gilles Nalbone, directeur de recherche émérite Inserm, le Pr Claudine Junien, professeur de génétique à l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, le Pr Robert Barouki, directeur de recherche Inserm et le Dr Rémy Slama, président du conseil scientifique du Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens (PNRPE).

     

    L’après-midi a tout d’abord été axée sur les aspects réglementaires et économiques avec les interventions du Dr Jean-Martin Cohen Solal, directeur général de la Mutualité Française, du Dr Pierre Mignen, chef du département d’information médicale au Clinipôle de Montpellier et de Yannick Vicaire, chargé de mission au Réseau Environnement Santé. Une table ronde a ensuite suivi, dédiée aux nombreuses actions de promotion de la santé environnementale déjà menées par des acteurs de la société civile pour sensibiliser le grand public et former les professionnels des secteurs sanitaire et médico-social à la réduction des risques environnementaux. Elle a réuni : Monique Augé, présidente de la Mutualité Française Bourgogne, le Dr Olivier Toma, président du Comité pour le Développement Durable en Santé, Claire Escriva, directrice de l’Atelier méditerranéen de l’environnement, Philippe Perrin, éco-infirmier, le Dr Philippe Richard, pneumologue et président de l’Association Protection Santé des Habitants de Saint-Omer, le Dr Laurent Chevallier, médecin nutritionniste au CHU de Montpellier et Camille Geay, chargée de prévention à la Mutualité Française Nord-Pas de Calais. Cette table ronde a aussi mis en lumière différentes actions mises en place pour protéger la santé des plus fragiles.

     

    La conclusion de cette journée a porté sur la place des maladies métaboliques dans la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Catherine Mir, adjointe au chef de service de la prévention des nuisances et de la qualité de l’environnement au sein de la Direction générale de la prévention des risques du Ministère de l’écologie ainsi que Gérard Bapt, député de Haute-Garonne et Jean-Louis Roumégas, député de l’Hérault, respectivement ancien et nouveau président du groupe santé environnement à l’Assemblée nationale, sont intervenus dans le débat.

     

    Catherine Mir a évoqué les enjeux autour de la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Puis Jean-Louis Roumegas a rappelé qu’ « une stratégie globale en matière de perturbateurs endocriniens est nécessaire si l’on veut répondre à l’enjeu de santé publique ». Gérard Bapt a précisé qu’  « il y a nécessité d’une prévention primaire, c’est une bataille nationale et européenne à mener ».

     

    Au-delà de la réglementation, André Cicolella a invité la Haute Autorité de Santé à se saisir de la question et à formuler au plus vite des recommandations pour réduire l’exposition aux substances diabétogènes et obésogènes. Il n’est plus possible de se contenter de la médecine curative. La prévention et la protection des malades doivent venir compléter le processus de prise en charge.

     

    « Il faut que les plans et stratégies se croisent» a rappelé Serge Hercberg insistant sur la nécessité d’examiner de façon commune la pollution chimique par les perturbateurs endocriniens dans les différents plans nationaux PNSE, PNNS, Plan Obésité et Plan Alimentation.

     

    Rémy Slama et Robert Barouki ont quant à eux souligné les besoins de recherche sur cette thématique ajoutant qu’il n’est pas nécessaire de connaitre toutes les réponses pour commencer dès à présent à agir. Robert Barouki a rappelé que « La recherche d’aujourd’hui va aider la prévention et les décisions de demain ».

     

    Après cette journée d’échanges et de discussions, André Cicolella a conclu : « l’impact des perturbateurs endocriniens dans l’épidémie de maladies chroniques ne peut plus être ignoré. Les maladies métaboliques comme le diabète et l’obésité doivent ainsi être prises en compte dans la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. La France et l’Europe doivent se doter de stratégies ambitieuses pour répondre à cet enjeu ».

     

     

     

    A propos de la Mutualité Française

     

    Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

     

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

     

    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

     

    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.

     

     

     

     

    A propos du RES

     

    Présidé par André Cicolella, le Réseau Environnement Santé (association loi 1901) a été créé en 2009 pour mettre les questions d’environnement et de santé au cœur des politiques publiques. Il regroupe 4 groupes d’associations : ONG, scientifiques, professionnels de santé et malades.

     

    Nous agissons pour une meilleure prise en compte du principe de précaution sur une base scientifique solide, qui s’appuie sur des études validées et indépendantes des intérêts privés.

     

    La 1ère campagne lancée par le RES a abouti, tout d’abord à l’interdiction dans les biberons puis dans tous les contenants alimentaires du Bisphénol A, une molécule employée par l’industrie chimique malgré les nombreux risques sanitaires associés : cancer, diabète, obésité, troubles de la reproduction et du système nerveux.

     

    Comme l’illustre cette campagne, le RES cherche à mettre dans le débat public les connaissances scientifiques disponibles et faire en sorte que les acteurs institutionnels et économiques mettent en œuvre le principe de précaution pour établir les réglementations et transformer les procédés industriels.

     

    A propos du partenariat entre la Mutualité Française et le RES

     

    Partenaires depuis 2010, la Mutualité Française et le RES agissent pour le développement d’une culture et d’une approche commune sur la santé environnementale et le renforcement d’actions d’information, de sensibilisation, de prévention et de promotion de la santé. Cette volonté partagée se décline autour de 4 axes de coopération :

     

    -       construire des actions d’information, de sensibilisation et de formation à destination des mutualistes sur la santé environnementale,

    -       développer des actions d’information et de sensibilisation à destination du grand public,

    -       réaliser des états des lieux de publications sur des thèmes pour lesquels il est important de faire avancer la connaissance,

    -       contribuer à des projets de recherche sur les risques émergents.

     

    NDLR : MGEFI et Pr Robert Barouki,

    Le professeur Barouki sera l’un des intervenants de la table ronde « SANTE ET ENVIROMENT » qui clôturera les travaux de l’assemblée MGEFI de Paris le 4 juin prochain de 11h30 à 13h à l’Espace Charenton.

    Cette table ronde fera l’objet d’une couverture presse

    Pour en savoir plus contacter :

    nansellsalles@mgefi.fr