Nora ANSELL-SALLES

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mardi 21 mai 2013

Vers une contraception mieux adaptée au profil de chacun

 
Dans le cadre de la conférence de presse de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et à l'occasion du lancement le 18 mai de la campagne « La contraception qui vous convient existe» de l'INPES, la Haute Autorité de Santé met à la disposition des pouvoirs publics, des professionnels de santé et du grand public des outils pour répondre aux problématiques liées à la contraception.


Malgré un taux de contraception élevé en France, il subsiste un nombre important de grossesses « non prévues ». Un tiers de ces grossesses est dû à l'absence de contraception tandis que les deux autres tiers surviennent sous contraception. La Haute Autorité de Santé (HAS) s'est intéressée aux moyens d'agir. Après avoir publié deux documents fin mars, elle met aujourd'hui à la disposition des pouvoirs publics et des professionnels de santé des outils pour répondre aux besoins des femmes.

Deux grossesses non prévues sur 3 surviennent alors qu'une méthode contraceptive est utilisée. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : tout d'abord, il y a un écart entre l'efficacité théorique d'une méthode contraceptive et son efficacité en vie réelle. En effet, la méthode utilisée par la personne n'est pas toujours la plus adaptée à sa situation personnelle. Par ailleurs, il existe en France une notion de « norme contraceptive » qui est utilisée pour caractériser les pratiques contraceptives au cours de la vie. En France, cette norme se traduit par un recours au préservatif en début de vie sexuelle, à l'utilisation de la pilule dès que la vie sexuelle se régularise et au recours au dispositif intra-utérin (DIU) comme alternative à la pilule à partir de 30 à 35 ans, une fois que les femmes ont eu les enfants qu'elles désiraient. Le manque d'information sur les autres possibilités de contraception et cette norme sociale guident souvent le choix et n'aident pas à identifier la méthode la plus adaptée à ses besoins.



Afin de répondre à ce besoin d'information sur les méthodes de contraception disponibles, la HAS a diffusé fin mars un document de synthèse. Celui-ci rassemble toutes les informations sur les méthodes jugées très efficaces par l'OMS et permet aux professionnels de santé de proposer une méthode efficace à chaque personne qui le demande. Ce document était accompagné d'une fiche mémo reprenant les conseils à donner aux femmes pour trouver une contraception adaptée à son propre cas. En effet, la HAS a souhaité souligner l'importance du libre choix de la personne concernée afin que soit prise avec le prescripteur la décision la plus adaptée à son profil.

La HAS complète aujourd'hui cette publication par celle de fiches mémo par situation clinique (au nombre de 8) et d'un rapport sur les freins et les leviers pour le choix d'une contraception adaptée.

Des freins au choix d'une contraception adaptée ...



La HAS rend aujourd'hui public un rapport sur les freins et les leviers à la contraception. Précédé d'un état des lieux des pratiques contraceptives actuelles et des dispositifs d'accès à la contraception, ce rapport met en lumière les difficultés d'accès au choix d'une contraception adaptée et des leviers pour y remédier.

Les freins sont de plusieurs types et concernent les professionnels de santé comme les usagers. Côté professionnels de santé, la HAS a identifié notamment le manque d'actualisation des connaissances sur les méthodes de contraception, ainsi que les conditions d'exercice médical qui peuvent parfois entraver l'accès à une consultation uniquement dédiée à la contraception, pourtant primordiale pour une bonne information de la personne.


Côté usagers, certains freins peuvent être associés à l'existence d'idées reçues telles que la pilule fait grossir, le DIU rend stérile... Ces représentations sont la plupart du temps dues à un manque d'information et de connaissances des moyens de contraception. D'autres obstacles ont été identifiés : la réticence à aborder des questions qui relèvent de l'intime, les difficultés d'accès à certains professionnels de santé ou les contraintes économiques (restes à charges). Enfin, des situations de fragilité peuvent de manière générale entraver le choix d'une méthode contraceptive mais également constituer des facteurs de risque d'échec de la contraception : non-reconnaissance sociale et parentale de la sexualité juvénile, périodes de post-partum ou post-IVG, périodes d'instabilité et/ou de fragilité affectives, situations professionnelles particulières et/ou le mode de vie (travail de nuit, horaires irréguliers et/ou décalés)


... qui peuvent être levés



Afin de dépasser ces difficultés, la HAS propose une synthèse des principales préconisations des institutions ayant exploré cette thématique comme par exemple le fait d'améliorer l'information du grand public pour mettre fin aux idées reçues sur la contraception et la vie sexuelle. Ou encore mieux préparer les professionnels de santé à leur rôle de conseil et d'accompagnement en matière de contraception.


Enfin, pour répondre aux besoins des professionnels de santé d'actualiser leurs connaissances par une information fiable et de qualité, la HAS publie des fiches mémo par situation clinique. Ces fiches aideront le professionnel de santé à trouver avec la personne la contraception la plus adaptée à ses besoins et à sa situation clinique. Ces fiches complètent la première fiche mémo mise en ligne fin mars « Conseils et prescriptions pour la délivrance d'une pilule ».


Les fiches mémo, mises en ligne aujourd'hui, sont au nombre de 7 :



- contraception chez la femme adulte en âge de procréer (hors postpartum et post IVG),

- contraception chez l'adolescente,



- contraception en postpartum,

- contraception en post IVG,

- contraception chez l'homme,

- stérilisation chez l'homme et la femme,

- contraception d'urgence

A ces fiches par situation clinique, la HAS ajoute un tableau de synthèse des méthodes contraceptives et de leur efficacité respective.

Des travaux dans la continuité



La HAS publiera au cours de l'année d'autres travaux pour continuer dans cette perspective d'amélioration des pratiques professionnelles. Elle élabore actuellement une fiche mémo sur l'évaluation et la prise en compte des risques cardio-vasculaires qui sera rendue publique en juin et évalue l'intérêt du dépistage des troubles de la coagulation avant la prescription d'une méthode de contraception.




Consultez le document contraception en cliquant ici


Consultez les fiches memo en cliquant ici




NDLR : MGEFI et contraception
http://www.mgefi.fr/public/Prevention/Internet
 

vendredi 19 avril 2013

Baromètre 2013 du CISS sur les droits des malades[1] :

 







Satisfaction de principe, attentes pratiques…






L’information sur les soins à parfaire




Si les usagers du système de santé sont globalement satisfaits de leur niveau d’information sur les situations courantes concernant leur santé, leur sentiment d’être bien informé est toutefois notoirement moins élevé lorsqu’on s’intéresse aux aspects pratiques de la démarche de soins :

- le coût de ses soins et médicaments et leur prise en charge (près de 3/10 se sentent mal informés),

- les modalités d’accès à son dossier médical (35% se sentent mal informés),

- les recours et les démarches en cas de problème grave lié aux soins (39% se sentent mal informés), d’ailleurs seuls 37% des usagers du système de santé disent avoir déjà entendu parler de l’un des deux dispositifs de recours que sont les Commissions d’indemnisation des accidents médicaux (CRCI) ou des Commissions des relations avec les usagers dans les établissements de santé (CRUQPC).



On comprend ainsi que leur satisfaction de prime abord repose sur la confiance accordée aux professionnels de santé et au premier rang desquels le médecin traitant (94% lui font confiance, et même 97% chez les personnes en affection longue durée -ALD-), mais qu’elle s’estompe naturellement lorsqu’il s’agit de thématiques sur lesquelles les médecins ne sont pas les plus à même de se faire les relais de l’information.





Focus Internet : un outil perçu comme utile, mais souffrant d’un gros défaut de confiance




Dans ce contexte, si les services de santé disponibles via Internet peuvent être perçus comme utiles par près de la moitié des usagers du système de santé (48%), ils n’inspirent confiance qu’à 33% d’entre eux en tant que source d’information, et même seulement 24% concernant les services de santé qu’on peut y trouver (comme par exemple la consultation de médecins en ligne ou les carnets de santé électroniques).



Pourtant, en termes d’accès à l’information, notamment pour celle dont on voit qu’elle est plus difficilement relayée par les professionnels de santé, Internet devrait pouvoir être un relais important auprès du public. Il apparaît donc urgent de pouvoir certifier, de façon lisible pour le grand public, l’information en santé disponible sur Internet.





Certains droits mal connus, mais surtout encore trop souvent mal appliqués concernant l’information sur le coût des soins ou l’accès au dossier médical




Comme en matière d’information, les droits des malades dans leur acception la plus générale, tel que celui d’accéder aux soins ou de voir sa douleur soulagée, sont ressentis comme assez bien connus et appliqués. Toutefois, certains droits souffrent encore d’une méconnaissance par près du ¼ des usagers du système de santé quant à leur existence même, en particulier ceux correspondant aux situations où l’avis et la volonté personnels de la personne malade sont particulièrement déterminants :

- 24% disent ne pas avoir connaissance du droit à refuser ou interrompre un traitement,

- 25% ne pas savoir qu’il est possible d’engager un recours en cas de problème grave lié aux soins,

- respectivement 28% et 31% ne pas connaître leur droit à désigner une personne de confiance pour être accompagné tout au long d’une prise en charge, ou à rédiger des souhaits pour sa fin de vie dans le cas où on ne serait plus en mesure de les exprimer.

Bien entendu, ces droits moins bien connus ne pourront être que moins bien appliqués.



Par ailleurs, deux autres droits très concrets et dont il est ainsi plus aisé d’estimer la mise en œuvre, sont jugés moins bien appliqués que les autres : celui d’être informé sur les coûts des soins et celui d’accéder à son dossier médical, respectivement considérés comme mal appliqués par encore 39% et 34% des usagers.





Focus sur AERAS : des difficultés d’accès à l’assurance dont 1/3 des Français ont pu être victimes ou témoins, sans que le dispositif AERAS bénéficie d’une pleine notoriété auprès d’eux




Au total près du 1/3 des Français et même 49% des personnes en ALD disent avoir déjà été confrontés, en direct ou via un proche, à au moins une des difficultés suivantes en lien avec l’état de santé au moment de réaliser un emprunt : refus d’assurance du prêt (20%, et 32% pour les personnes en ALD) ; et/ou proposition d’assurance avec exclusion de garanties (19%, et 35% chez les personnes en ALD) ; et/ou proposition d’assurance avec surprime (18%, et 28% chez les personnes en ALD).

Et, parmi ces personnes qui disent avoir été confrontées à ces situations, 46% déclarent ne pas connaître le dispositif de la convention AERAS (s’assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé).





18 avril, journée européenne des droits des patients : focus sur la nouvelle directive communautaire concernant les soins transfrontaliers




Assez technique, cette directive bénéficie malgré tout d’une notoriété chez près de 4 Français sur 10. Elle est naturellement plus connue par les personnes plus directement concernées par les questions de santé, en particulier celles atteintes d’une ALD qui sont 55% à déclarer en avoir entendu parler.

Surtout, les Français accueillent très positivement cette nouvelle possibilité offerte à tous les patients de l’UE d’accéder aux soins dans un autre pays de l’Union tout en étant remboursé dans leur pays d’origine :

- 79% y voient bien sûr une avancée dans l’accès aux soins pour certains patients en particulier, et notamment pour ceux atteints d’une maladie rare ;

- mais ils sont aussi respectivement 77% et 70% à y voir une avancée dans l’accès aux soins pour les patients en général et pour eux-mêmes en particulier.



Un rappel très opportun du fait que la construction européenne n’est pas portée par la seule logique économique et financière, et que nos concitoyens sont très sensibles aux mesures prises par les instances européennes dans d’autres domaines tels que ceux de la santé et du social.









Dans un environnement dont on voit qu’il requiert une démarche volontariste pour l’information des malades et la pleine application de leurs droits, ce baromètre consacre la place de nos associations comme organisations de référence pour représenter et défendre les intérêts des malades et de l’ensemble des usagers du système de santé : elles occupent la première place du palmarès 2013 en étant attendues dans ce rôle par 52% des Français (+12 points par rapport à 2012), et même par 62% des personnes atteintes d’une ALD. Une légitimité que la puissance publique doit reconnaître et valoriser, notamment comme moyen d’action complémentaire auprès des usagers du système de santé, par rapport aux lacunes identifiées en termes d’information et d’application de leurs droits.








Accéder au rapport d’enquête du baromètre en vous rendant sur cette page du site du CISS : http://www.leciss.org/sites/default/files/130419_BarometreCissDroitsMalades-2013_2.pdf






[1] Sondage LH2 pour le CISS, réalisé les 22 et 23 mars 2013 par téléphone auprès d’un échantillon de 1003 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. Accédez au rapport d’enquête en cliquant ici.



Contact presse :

Marc Paris – Responsable communication – Tél. : 01 40 56 94 42 / 06 18 13 66 95




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ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - La CSF - Le LIEN - Les Aînés Ruraux - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde - ORGECO

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH




NDLR : MGEFI ET BAROMETRE SANTE

Baromètre santé des fonctionnaires:

 

L’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI

 

Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.

 

Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

 

 

Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI

Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

 

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.

 

Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent  majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

 

Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9% n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2% sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30%. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10% semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

 

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont « aidés » et 12,9% sont « aidants ».

 

Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime  que son travail a un impact sur sa santé.

 

 

Un besoin d'information et de prévention

Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leur médicament.

 

63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.

 

Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur les risques cardiaques.

 

En conclusion

Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents.

 

En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, mettra en place courant 2013, un plan d'action enrichi par les conclusions de cette enquête.

 

                                                                                                             

 

* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.

 

2)    5 populations distinctes : MFP Services comprenant les agents des différents ministères (hors Education Nationale), les adhérents de la MGEFI, de la MMJ de la MCDEF et de la MGAS.

 

 

LA RETRAITE

Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite, principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas d'activité extérieure.

 

LE PROFIL DES RÉPONDANTS MGEFI

59,2% de femmes et 40,8% d'hommes. 

51,5% ont plus de 60 ans.

48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.

41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.

73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.

 

 

 

Liens vers les supports de présentation des résultats de ce 1er Baromètre Santé des Fonctionnaires.

·         Le communiqué de presse

·         Le dossier de presse