Nora ANSELL-SALLES

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dimanche 17 février 2013


Adhésion au groupe Istya

 

Depuis le 1er janvier 2013, la MGEFI, conformément au vote des délégués en juin 2012, est affiliée à l’Union Mutualiste de Groupe Istya.

 

Qu'est-ce qu'une UMG ?

 

L’UMG, instituée par la loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008, permet aux mutuelles de mettre en œuvre des liens de solidarité financière importants et durables et de développer toute action de nature à contribuer à l’amélioration de l’offre et des services rendus aux adhérents.

 

Pourquoi Istya ?

 

L’UMG Istya regroupe des mutuelles de la Fonction publique qui partagent  les mêmes valeurs et une conception de la protection sociale solidaire et non lucrative.

L’entrée de la MGEFI dans Istya ne constitue pas une fusion et ne remet pas en cause son indépendance.

 

La MGEFI, en rejoignant Istya le 1er janvier 2013, vient conforter une Union composée de :

 

– la MAEE (Mutuelle des Affaires

Étrangères) ;

 

– la MCDef (Mutuelle Civile de la Défense).

 

– la MGEN (Mutuelle Générale de l’Éducation Nationale ;

 

– la MGET (Mutuelle Générale Environnement et Territoires) ;

 

– la MNT (Mutuelle Nationale Territoriale.

 

Quels sont les avantages pour la MGEFI d’une affiliation à une UMG ?

 

Premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire en santé, prévoyance et dépendance, Istya permettra à la MGEFI de poursuivre son développement et de profiter des synergies entre mutuelles pour améliorer encore ses services.

 

Cette affiliation conforte par ailleurs la position de la MGEFI en tant que mutuelle référencée au sein des ministères économique et financier.

 

Son appartenance à un groupe constitué de mutuelles de fonctionnaires lui permet ainsi de préparer le prochain référencement de 2016 en assurant la pérennité de la relation qu’elle a nouée avec l’employeur public.

vendredi 8 février 2013

Institut Montparnasse / protection sociale : publication des travaux de recherche


L’Institut Montparnasse a pour objectif de contribuer au débat public sur la Sécurité sociale en soutenant des études universitaires originales.


Son programme de recherche, dont l’axe cardinal est la solidarité, privilégie des angles d’étude délaissés voire totalement ignorés par les recherches et publications auxquelles se réfère le débat public habituellement.


En 2011-2012, une première série de cinq études a été publiée sur :

 

-          « La santé : une valeur ajoutée économique supérieure à 9% du PIB », Valérie Fargeon, Marion Brunat et Chantal Euzeby – Centre de recherche en économie de Grenoble, Université Pierre-Mendès France de Grenoble, EN3S

 

-          « Vieillissement de la population et croissance des dépenses de santé », Brigitte Dormont et Hélène Huber – Fondation du risque, Université Paris Dauphine et Université Panthéon-Sorbonne

 

-          « Financer la protection sociale : une modélisation, une approche par la CSG », Xavier Chojniki, Jérôme Glachant et Lionel Ragot – Fondation du risque, Université Paris Dauphine

 

-          « Assurance, prévention, prédiction… dans l’univers du Big Data », François Ewald, professeur honoraire au CNAM

 

-          « Topologie des politiques sociales », Didier Tabuteau, responsable de la Chaire Santé de Sciences Po et codirecteur de l’Institut droit et santé de l’Université Paris Descartes

 


 

 

Retrouvez les communiqués de presse sur mgen.fr

Suivre sur Twitter : @groupe_mgen

mardi 11 décembre 2012

Réseaux de soins et dépassements d’honoraires :

le CEGES soutient la Mutualité Française


Conformément  à  son  manifeste  «  Pour  une économie démocratique » lancé
pendant  la  campagne  présidentielle  de  2012,  le  CEGES plaide pour une
réforme  en  profondeur  du  système  de  protection sociale. Celle-ci doit
permettre la construction d’un système plus juste, fondé sur la solidarité.
La  mise  en  place  des  réseaux de soins, permettant de mieux réguler les
dépenses  de  santé  et  la  signature  de  l’avenant  n°8  contrôlant  les
dépassements  d’honoraires, constituent les premières pierres d’une réforme
ambitieuse de notre système de santé.

Le  CEGES soutient les prises de position de la Mutualité Française sur les
réseaux de soins et les dépassements d’honoraires.

Il  s’associe  à la Mutualité Française pour défendre la proposition de loi
relative   aux   réseaux  de  soins  mutualistes  actuellement  soumise  au
Parlement.  Il  regrette  que la liberté de conventionner ne vise pas toute
l’offre  de soins. Il est, en effet, démontré que les réseaux, qui existent
depuis  longtemps,  contribuent  à  la réduction du reste à charge pour les
patients  de l’ordre de 30%*, tout en assurant la qualité des soins et leur
liberté de choix.

Le  CEGES  soutient  également  l’engagement  de  la Mutualité Française en
faveur  de l’avenant n°8 de la convention médicale, qui doit donner un coût
d’arrêt à l’inflation des dépassements d’honoraires.


Le CEGES déplore enfin que les prises de position de la Mutualité Française
aient  donné  lieu  à  des  attaques  scandaleuses,  voire diffamatoires, à
l’encontre des mutuelles, partenaires incontournables de l’économie sociale
et solidaire.

* Rapport de l'inspection générale des affaires sociales (IGAS) – Juillet
2012


 Le  Conseil  des  Entreprises,  Employeurs  et  Groupements  de
 l’Economie  Sociale  (CEGES)  regroupe  les entreprises,  employeurs  et
 organisations  de  l’économie  sociale  et  solidaire.  Il  en  est
 l’instance  la  plus représentative et fédère les acteurs de l’économie
 sociale et solidaire, les représente dans le dialogue avec les pouvoirs
 publics et la société civile, et oeuvre au développement de leur modèle
 entrepreneurial dans le marché.  Les  entreprises  de  l’économie  sociale
 et  solidaire,  qui  représentent  environ  10%  de  l’activité économique
 et de l’emploi en France, créent de la valeur sociale au sein du marché
 économique dans la plupart  des  secteurs  d’activité.  Associations,
 coopératives,  mutuelles,  fondations,  entreprises  solidaires,
 entreprises sociales à but non lucratif articulent en pratique performance
 économique, innovation sociale et solidarités.