Nora ANSELL-SALLES

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lundi 21 janvier 2013

« Maladies chroniques, maladies invisibles : quel soutien le web social apporte t-il au patient ? Comment contribue-t-il à l'avancée des connaissances médicales ? »



Michael Chekroun, fondateur de Carenity a le plaisir de vous convier au Point Presse :

« Maladies chroniques, maladies invisibles : quel soutien le web social apporte t-il au patient ? Comment contribue-t-il à l’avancée des connaissances médicales ? »

 
Autour des regards croisés d’une sociologue, d’une patiente experte et de médecins référents.

 
Le 15 février 2013 à 9H30

à l’Hôtel de l’Arcade 9, rue de l’Arcade 75008 Paris


Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, l’impact au quotidien est souvent double. Elles doivent faire face non seulement à la gestion d’une maladie « à vie », mais également à l’isolement. En effet, les symptômes dits « invisibles » de ces maladies, comme la fatigue ou les douleurs, sont souvent mal compris par leur entourage. Pas étonnant donc que ces malades aient un besoin particulier d’échanger et de partager leur expérience avec d’autres. Et c’est aujourd’hui au travers des réseaux sociaux qu’ils s’expriment. Alors, comment le web social a-t-il permis de répondre aux besoins et aux attentes des malades et quelles sont les perspectives offertes par ces nouveaux outils ?

 
Vous trouverez en pièce jointe l’invitation relative à cet événement.

 

Nous vous remercions par avance de bien vouloir nous informer de votre participation ou de nous contacter pour tout complément d’information :
 
 

Contacts presse :      
Alexandra DELEUZE & Gabrielle ISSAVERDENS
Email :a.deleuze@ljcom.net / g.issaverdens@ljcom.net

jeudi 17 janvier 2013

Congrès de Pneumologie de Langue Française

17ème Congrès de Pneumologie de Langue Française

1er au 3 février à Lille Grand Palais.
 
Le dossier de presse, remis ce matin lors de la conférence de présentation du congrès, met en lumière 5 sujets :


◊ BPCO, les nouveaux visages de la maladie (Fil rouge)
◊ Les maladies de la plèvre (Fil orange)
◊ Sommeil et apnées : dernières actualités scientifiques
◊ Cancers bronchiques : avancées de la recherche et question du dépistage précoce

◊ Cigarette électronique : derrière le brouillard, une situation à éclaircir !


 Prochaines communications:
◊ Un focus dédié aux maladies orphelines
-        LAM : nouveauté traitement
-        HTAP : Rappel et dernières avancées
-        Mucoviscidose de l’adulte
-        Les fibroses pulmonaires : nouveauté traitement)
 
◊ Un focus spécial nouveautés
-        Mucoviscidose sublinguale, où en est-on ?
-        Nanoparticules et pathologies respiratoires ? Quoi de neuf ?
-         Recherche en pneumologie

 

Contact presse
Recevoir  le dossier de presse : Deleuze Alexandra <a.deleuze@ljcom.net

mercredi 9 janvier 2013

14 projets de recherche sont lancés pour permettre de mieux comprendre les maladies mitochondriales et développer des traitements curatifs.


Minuscules structures présentes en grand nombre dans nos cellules, les mitochondries ont deux caractéristiques essentielles : elles jouent un rôle central dans le métabolisme énergétique cellulaire et possèdent leur propre génome. Elles ont également d’autres rôles et sont notamment des acteurs clés de la mort et de la prolifération de certaines cellules.

 

Leur dysfonctionnement, qu’il soit héréditaire ou acquis, est à l’origine de nombreuses pathologies humaines, certaines très sévères, rares ou communes, touchant à la fois les enfants et les adultes et affectant de nombreux tissus et organes : muscles, cœur, œil, cerveau…

 

Une meilleure compréhension des processus d’apparition et d’évolution de ces maladies présente des enjeux capitaux, qui mobilisent quelques dizaines d'équipes en France, et de nombreuses autres à l'étranger.

Via son programme « Urgences », la Fondation pour la Recherche Médicale intervient chaque année dans des domaines de la recherche jugés trop peu explorés ou trop peu soutenus au regard de l’importance des enjeux. C’est dans ce cadre qu’elle a lancé, en 2012, un appel d’offres pour soutenir des projets sur tous les aspects moléculaires et cellulaires des pathologies mitochondriales. Grâce aux 3 162 000 euros engagés, 14 projets de recherche innovants démarrent.

 

Ces projets – ainsi que l’état des lieux de la recherche dans ce domaine – vous seront présentés à l’occasion d’un point presse :

Le mardi 29 janvier 2013, à 10h30

à la Fondation pour la Recherche Médicale

54 rue de Varenne, 75007 Paris

Métro : Rue du Bac, ligne 12 ou Sèvres-Babylone, lignes 10/12

Au programme :

Enjeux et avancées de la recherche sur le dysfonctionnement des mitochondries : état des lieux et présentation du programme « Physiopathologie Mitochondriale » de la FRM

 

Agnès Rötig est directrice de recherche à l’Inserm et responsable de l’équipe « Génétique des maladies mitochondriales », dans l’unité Inserm/Université U 781 « Génétique et épigénétique des maladies métaboliques, neurosensorielles et du développement », à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris.

Elle est experte dans le domaine des maladies mitochondriales pour la FRM et a présidé le Comité de pilotage de l’appel d’offres de la FRM sur ce thème.

 

 

·         Rencontre avec 2 équipes scientifiques bénéficiaires du programme de la FRM :

 

·         Michel Ovize est cardiologue, Professeur des universités-Praticien hospitalier et dirige l’équipe « Cardioprotection » dans l’unité « CarMeN : Cardiovasculaire, Métabolisme, Diabétologie & Nutrition » (Inserm U1060/Université de Lyon/INRA 1235), à Lyon.

Ses travaux portent sur le rôle des mitochondries dans les mécanismes impliqués dans la destruction du cœur, au cours d’un infarctus du myocarde.

 

·         Véronique Paquis est médecin, spécialisée en génétique médicale, PU-PH (Professeur des universités-Praticien hospitalier) et dirige l’équipe « Maladies mitochondriales et instabilité mtDNA » à l’Institut de recherche sur le cancer et le vieillissement, à Nice.

Elle cherche à identifier les gènes responsables de maladies mitochondriales avec instabilité du génome mitochondrial, des pathologies aux formes cliniques très variables, allant des formes létales aux formes à révélation tardive. L’objectif est de faciliter le diagnostic de ces maladies, de proposer un conseil génétique fiable et à plus long terme de développer des traitements.

 

 

A propos de la Fondation pour la Recherche Médicale

Principal partenaire caritatif de la recherche médicale publique française, la Fondation pour la Recherche Médicale est la seule organisation à but non lucratif engagée dans tous les secteurs de la recherche médicale : maladies neurologiques, maladies infectieuses, maladies cardiovasculaires, cancers… Elle a pour ambition de développer une recherche de pointe au service de la santé de tous. Chaque année, plus de 750 équipes de recherche bénéficient du soutien de la Fondation. La FRM est reconnue d’utilité publique et membre du Comité de la Charte du don en confiance. Elle agit en toute indépendance grâce au soutien régulier de plus de 400 000 donateurs.

 

Pour plus d’informations : www.frm.org

vendredi 7 décembre 2012

3 millions de personnes en France : des maladies « rares » ?


A l'initiative de la SFN, les représentants des organismes en charge des maladies rares (ORPHANET, Fondation Maladies rares, Comité de Pilotage du Plan Maladies rares), et les médecins responsables des centres de référence en Neurologie, implantés dans les CHU,  se sont réunis, le 30 novembre dernier, au Ministère de la santé, pour faire un bilan d'étape à mi-parcours du 2e Plan « maladies rares », les maladies neurologiques en particulier.

 

Les résultats, depuis 2004, sont encourageants car la prise en charge de ces 7 000 maladies a effectivement radicalement changé, en permettant, pour la première fois, de les faire entrer dans la modernité d’une recherche clinique et fondamentale avec des centres de référence qui se sont imposés progressivement comme les interlocuteurs des médecins et des patients, grâce au soutien des Associations de patients, en particulier de l’AFM.  

·         Les maladies sont rares mais les patients nombreux : 3 millions en France

·         Une « double peine » : une maladie rare, souvent grave, méconnue à la fois par les médecins et les proches

·         30 centres de référence en neurologie sur les 132 implantés dans les CHU partout en France

Mais, ces maladies ne bénéficient toujours pas de la même attention que les maladies considérées comme plus « fréquentes », et les objectifs du 2e Plan « maladies rares » risquent de ne pas être atteints, au détriment des patients, en particulier :

·         Il manque des registres nationaux dans la plupart de ces maladies, indispensables pour développer la recherche sur le diagnostic et des protocoles thérapeutiques harmonisés ;

·         Les patients mettent souvent plusieurs mois avant de trouver le bon centre de référence qui pourra mettre un terme à leur errance diagnostique ;

·         L'information existe, notamment sur internet, mais ces sites ne sont-ils par trop réservés aux professionnels et insuffisamment connus du public ?  Ne faudrait-il pas prévoir une information plus institutionnelle, comme c'est le cas dans d'autres domaines prioritaires de santé publique ?