Nora ANSELL-SALLES

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mardi 5 novembre 2013

La MGEFI dans la presse


 

Titre : Les enjeux lors des rapprochements dans le secteur de l'Assurance et de la Protection Sociale

RISKASSUR du 28 octobre 2013

Titre : Colloque Protection Sociale - MGEFI - 4 novembre 2013

www.capgeris.com du 29 octobre 2013

Titre : Nomination : Antoine Catinchi devient directeur général adjoint d'Istya

www.riskassur-hebdo.com  du 29 octobre 2013

Titre : Antoine Catinchi, nommé directeur général adjoint du groupe Istya

www.newsassurancespro.com du 29 octobre 2013

Titre : L'Argus de l'Assurance Antoine Catinchi rejoint le groupe Istya

www.argusdelassurance.com du 30 octobre 2013

Titre : Les femmes, les hommes et les affaires

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE  du 30 octobre 2013

Titre : L'Argus de l'Assurance - Antoine Catinchi rejoint le groupe Istya

ARGUS ASSURANCE NEWSLETTER du 30 octobre 2013

 Titre : Nominations

L'AGEFI ED.7 H du 31 octobre 2013

Titre : Istya

EXECUTIVES du 1er novembre 2013

Titre : Antoine Catinchi, nommé directeur général adjoint du groupe Istya

RISKASSUR du 1er novembre 2013

Titre : Antoine Catinchi, nommé directeur général adjoint du groupe Istya

RISKASSUR du 31 octobre 2013

Titre : Les décideurs

LE FIGARO ECONOMIE du 1er novembre 2013

Titre : Médicaments, pharmacovigilance : où sont les limites

DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE du 03 novembre 2013


Titre : Les mesures du PLF et PLFSS 2014 font craindre une démutualisation de la complémentaire santé (Colloque Miroir social)

Dépêche AEF du 4 novembre 2013


 
Titre : Médicaments, pharmacovigilance : où sont les limites ?

www.dna.fr du 5 novembre 2013

mardi 22 octobre 2013

Article 39 du PLFSS 2014 et accès aux médicaments innovants


L’inégalité légale reste une inégalité? inacceptable

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale déposé devant l’Assemblée nationale par le gouvernement comporte un article 39 qui aboutit à priver certains malades de la prise en charge des médicaments innovants indispensables à leur traitement et à leur survie. L’article prévoit de restreindre l’acc?s à ces traitements aux seules situations d’urgence thérapeutique établies avant l’autorisation de mise sur le marché du médicament, tant que le prix final de remboursement n’est pas publié au Journal officiel. Cela va repousser d’un an en moyenne l’acc?s aux médicaments pour les patients correspondant à l’AMM du médicament, même s'ils sont sans alternative thérapeutique.
 

Ces patients risquent donc de voir leur santé se dégrader, et même de mourir. Nous l’avons déjà dit aux députés qui examineront à partir de ce mardi le projet de loi. Aucun n’a déposé d’amendement visant à établir l’égalité d’acc?s à l’innovation thérapeutique vitale. Dans quel pays vivons-nous ?

Seule réponse à nos interpellations : l’un d’entre eux dépose un amendement pour réclamer que le gouvernement établisse chaque année un rapport. Un rapport pour compter les morts ? C’est indécent.

 

Où sont les craintes ?

 

Que les laboratoires risqueraient d’abuser du dispositif de prise en charge dérogatoire de l’article 39. Mais, les pouvoirs publics, justement parce qu’ils sont les pouvoirs publics, disposent de prérogatives de puissance publique pour agir préventivement. Et la négociation contractuelle entre le CEPS et les laboratoires constituent un deuxi?me outil d’encadrement des risques de dérives.

 

Le gouvernement nous a opposé qu’inclure les patients sans alternative thérapeutique dans le dispositif aboutirait à aggraver le déficit de l’Assurance maladie de 3 millions d’euros par an. On sacrifie donc la santé de personnes sans alternative thérapeutique en leur refusant l’acc?s à des traitements pourtant validés par les agences de régulation du médicament.

 

Pourtant il s’agit de permettre l’acc?s à des traitements innovants essentiels, alors qu’on continue dans le même temps à financer des soins non pertinents comme le rév?lent les travaux scientifiques et les rapports des inspections et corps de contr?le.

Or des solutions existent. On pourrait par exemple choisir d’inclure cette somme dans le dispositif de droit commun qui prévoit le remboursement à l’euro pr?s par l’industrie pharmaceutique des surcoûts liés à la prise en charge dérogatoire avant la fixation du prix du nouveau traitement par le CEPS, objet initial de cet article 39.

 

C’est ce que nos associations recommandent en se tenant à disposition de ceux, parlementaires ou gouvernement, qui souhaiteraient répondre honorablement à cet épisode de la bataille permanente pour l’acc?s à l’innovation thérapeutique.

 

Les associations toujours  absentes du Comité économique des produits de santé

 

Nous rappelons que malgré la loi du 4 mars 2002, les associations d’usagers sont toujours tenues aussi éloignées du cœur de la décision dans les prises en charge qui les concernent. Elles n’ont toujours pas de représentants ni au Coll?ge, ni à la Commission de la transparence, ni à la Commission d’évaluation des dispositifs médicaux de la Haute Autorité de Santé, et pas non plus en l’occurrence au Comité économique des produits de santé.

 

vendredi 11 octobre 2013

C’est à lire : « Se réconcilier avec le sommeil » de Michèle FREUD – Editions Albin Michel




Enfin un livre efficace pour vraiment mieux dormir

 


Un tiers des Français souffrent de troubles du sommeil et en subissent quotidiennement les conséquences physiques et psychiques : fatigue, déprime, irritabilité, problèmes d’attention et de mémoire, difficulté à prendre des décisions, teint terne, muscles endoloris, crampes…

 

Or ces troubles, qui sont souvent des signaux d’alerte, peuvent se décoder, se réparer et se guérir, sans médicaments.

 

C’est en écoutant ce que le corps cherche à nous dire, en lui prodiguant les soins et l’attention nécessaires, que nous pourrons nous détendre, soulager nos tensions et retrouver un sommeil de qualité.

 

Dans un langage clair et accessible, Michèle Freud décrit les différents troubles du sommeil et leurs causes. À l’aide d’exercices et d’outils simples et très efficaces, inspirés des neurosciences et de la sophrologie (une méthode de connaissance de soi et un puissant outil de changement), elle invite le lecteur à dénouer les tensions quotidiennes qui l’affectent pour mieux lutter contre :

 

L’insomnie
Les difficultés à s’endormir
Les réveils précoces
Les réveils nocturnes
Les cauchemars
Etc.

 

Un ouvrage -accompagné d’un CD offert- pour redécouvrir, en toute confiance, le chemin du sommeil.


 

 

 

 

 

 


mardi 1 octobre 2013

Ouverture de la base de données publique des médicaments



Base de données publique des médicaments :



Marisol Touraine pose la première pierre

du service public d’informations en santé
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a ouvert ce jour la première base de données publique qui recense l’ensemble des informations disponibles sur les médicaments.

Hébergée sur medicaments.gouv.fr, cette base de données marque la première étape du projet du Gouvernement de mettre en place un service public d’information en santé.

En effet, comme l’a rappelé Marisol Touraine lors de la présentation des grands axes de la Stratégie nationale de santé, chaque Français doit pouvoir accéder aisément à une information fiable, qu’elle concerne des médicaments, des établissements ou des professionnels de santé.



Sous le pilotage de la direction générale de la santé, la base de données publique des médicaments regroupe des données issues de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Assurance maladie (CNAMTS). Elle fournit des informations sur l’intégralité des spécialités pharmaceutiques commercialisées sur le marché français ou dont l'arrêt de commercialisation date de moins de deux ans.
Sont présentés pour chaque médicament les indications, les précautions d’emploi, les contre-indications, les autorisations de mise sur le marché, le statut au regard de la commercialisation, le prix, le taux de remboursement et des informations relatives à la sécurité d’emploi. Des icones indiquent si le médicament est délivré uniquement sur prescription, s’il est remboursé par la sécurité sociale et s’il appartient à un groupe générique. 2



Ces informations peuvent être facilement, grâce à la fonction d’autocomplétion, recherchées par le nom du médicament ou de son principe actif.

La base est accessible sur ordinateur, une version spécifique ayant été développée pour les mobiles et tablettes.
L’accès à la base se fait à l’adresse medicaments.gouv.fr qui offre un espace dédié exposant au grand public de manière pédagogique et transparente ce qu’est un médicament, comment il est commercialisé, avec quelles précautions il doit être utilisé, comment déclarer les effets indésirables éventuels…



Sur ce même espace, l’internaute pourra déclarer un effet indésirable, dans le but d’améliorer les signalements des professionnels et des patients eux-mêmes.

Pour la première fois, des informations simples et de référence sont publiées sur un endroit unique et répondent aux questions que se posent les citoyens sur le médicament.

La base de données publique des médicaments évoluera dans les prochains mois afin de répondre aux suggestions que ne manqueront pas de faire les citoyens et les professionnels de santé, en particulier la mise à disposition de recommandations.




Retrouvez la présentation animée de cette base sur http://www.sante.gouv.fr/clip-base-de-donnees-medicaments.html


 

mardi 24 septembre 2013

Campagne d'information sur la vente de médicaments en ligne


Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, annonce le lancement d’une campagne d’information sur la vente en ligne de médicaments. Elle met l’accent sur  les consignes à suivre pour acheter en toute sécurité des médicaments sur internet. En effet, un médicament n’est pas un produit comme un autre. L’utilisation de faux médicaments, de médicaments faussement étiquetés, falsifiés ou contrefaits peut présenter des risques graves pour la santé. Ces produits, outre leur inefficacité thérapeutique, peuvent être toxiques. Aussi est-il important d’informer nos concitoyens sur la contrefaçon.

 

Déployée sur le web, la campagne, qui est à destination du grand public, invite les internautes à consulter la liste des sites français autorisés par les pouvoirs publics (http://www.sante.gouv.fr/sites-autorises-pour-la-vente-de-medicaments-sur-internet,13563.html ).

Ces sites doivent être adossés à une pharmacie physique existante et se conformer àun cahier des charges strict : l'objectif est de garantir un même niveau de qualité et de sécurité, que la délivrance du médicament se fasse au comptoir de l’officine ou à distance.

Mais seuls les médicaments délivrés sans ordonnance peuvent être achetés en ligne. 

Quatre séquences sont mises en avant sur une bannière web :

·         Sur internet, pas facile de reconnaître un faux médicament

·         Attention aux contrefaçons

·         Attention aux contrefaçons, elles sont dangereuses pour votre santé

·         Consultez les pharmacies autorisées à vendre des médicaments sur internet

 

Diffusées sur les sites de tous les ministères, de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, du Conseil national de l’ordre des pharmaciens et du LEEM (Les entreprises du médicament), ainsi que sur des sites commerciaux à forte audience et sur des sites consacrés à la santé, ces bannières renvoient vers le site du ministère des affaires sociales et de la santé, sur la page consacrée à la vente en ligne.


Cette campagne se poursuivra jusqu’au 20 octobre 2013.

 

jeudi 8 août 2013

Mise en garde : Vente de médicaments sur internet


Vente de médicaments sur internet : rappel des consignes de sécurité
 

La vente de médicaments sur internet a été récemment autorisée en France, en application d’une directive européenne de 2011. Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, a choisi d’encadrer, aussi strictement que la réglementation le permettait, ce mode particulier de distribution, pour éviter qu'il ne soit la porte ouverte à la contrefaçon et pour préserver  l’accès à un conseil pharmaceutique.
Ainsi, seuls peuvent être autorisés par l’agence régionale de santé compétente les sites exploités par des pharmacies physiques. De plus, seuls les médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire sont autorisés à la vente par internet. Ces conditions strictes de vente garantissent une sécurité optimale pour les acheteurs.

La liste des sites autorisés figure sur le site du ministère (www.sante.gouv.fr) de même que sur celui de l’ordre des pharmaciens (www.ordre.pharmacien.fr/Le-patient/Vente-de-medicaments-sur-Internet-en-France). Les internautes sont donc invités à vérifier que le site sur lequel ils naviguent est au nombre des sites autorisés ; ils peuvent également s’assurer que figurent clairement sur le site les nom et prénom du pharmacien, les coordonnées de l’officine, son numéro de licence de même que le nom et l’adresse de l’agence régionale de santé dont dépend la pharmacie.



Il est rappelé que les achats de médicaments sur des sites non autorisés exposent les patients à des risques sanitaires. Les médicaments contrefaits, qui sont principalement écoulés par internet, sont dangereux car ils peuvent contenir des principes actifs en surdosage, sous-dosage ou des substances toxiques.

Le ministère des affaires sociales et de la santé fait ainsi preuve de la plus grande vigilance pour garantir la meilleure sécurité possible aux patients.

mercredi 10 juillet 2013

1001Pharmacies attaque l'arrêté relatif aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments par voie électronique


"Nous attendions avec impatience cette loi qui promettait de fournir le cadre juridique nécessaire au bon développement du marché de la vente en ligne de médicaments en France. Malheureusement, même si beaucoup de choses ont évolué, il reste beaucoup trop de restrictions pour que les officines puissent développer de nouveaux services sur Internet. Aujourd'hui, Les pharmaciens ont besoin et veulent une loi leur permettant de vendre en ligne leurs médicaments sur des espaces sécurisés et qui respectent les besoins et droits des consommateurs."

Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 

 

 

Paris, 8 juillet 2013. En réaction à la publication de l'arrêté du 20 juin 2013 concernant les sites de e-pharmacie et la vente des médicaments en ligne 1001Pharmacies.com déposera un recours afin de demander la suppression des restrictions et incohérences qui mettent en péril les activités online des Pharmaciens en France et incitent le développement de la contrefaçon et de la vente illicite de médicaments.


 

 

Une loi avec beaucoup de bienfaits... mais trop de contrindications

 

L'arrêté (n°AFSP1313848A du 20 juin 2013 relatif aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments par voie électronique) qui sera en application le 12 juillet 2013 comporte bien heureusement des points essentiels pour garantir la fiabilité du médicament vendu en ligne. Ainsi, l'ensemble de la profession ne peut que se réjouir des restrictions imposées pour que l'e-pharmacie soit parfaitement identifiable et que tous les médicaments ne sortent pas du circuit pharmaceutique.

 

De plus, de nombreuses restrictions, déjà signalées en mai 2013 par 1001Pharmacies, ont également été levées ce qui facilitera la gestion de la vente en ligne par les officinaux : comme l'obligation de prix identiques online et offline, de la présence du médicament en stock dans la pharmacie, ou l'interdiction de vendre à la fois des médicaments et des produits de parapharmacie, etc.

 

 

L'interdiction à lever pour sauver l'e-pharmacie française face à l'Europe :

1 pharmacie = 1 site web

Hormis ces quelques avancées, l'arrêté impose encore une restriction beaucoup trop contraignante et préjudiciable aux Pharmaciens. 1001Pharmacies demande donc la levée de l'interdiction principale suivante qui ne revêt aucune légitimé de santé publique.

 

 

L'interdiction aux Pharmaciens de se regrouper sur Internet et de proposer des services de qualité aux consommateurs. Un site web par pharmacie va noyer les particuliers sous plus de 22 000 sites d'e-pharmacies rendant impossible la distinction et la lisibilité entre ceux légaux ou non.
En effet, l'e-commerce exige des compétences spécifiques et un travail important que les Pharmaciens ne peuvent pas tous se permettre. Cette interdiction engagera donc les pharmacies dans une concurrence déloyale en fonction de leur taille et des moyens financiers ou humains de certaines petites officines.
La DGARS et le Conseil de l'Ordre des pharmaciens doivent mettre en place un label sécurité et qualité que chaque site devra présenter afin d'informer le consommateur sur la conformité des sites d'e-pharmacies.  
 

 

 

"L'e-pharmacie doit être l'activité des Pharmaciens. Mais pour que les Pharmaciens puissent continuer à conseiller et être les garants de la santé des Français, ils ne doivent pas se substituer à des vendeurs sur Internet. La législation doit aujourd'hui s'adapter pour que les officines et les particuliers puissent tous bénéficier des avancées technologiques tout en faisant face aux menaces des sites illégaux qui gangrènent le Web mondial et vendent des médicaments contrefaits".

Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.  

 

 

 

A propos de 1001Pharmacies

1001Pharmacies, développée par la société eNova Santé, est la première place de marché web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de santé sur Internet. La société vise à devenir un acteur majeur et fédérateur du secteur en pleine évolution de la santé en ligne en France. Elle a obtenu le soutien de la Région Languedoc-Roussillon, d'Oséo et de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34), depuis le lancement de sa plateforme en octobre 2012.Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com

1001Pharmacies en 3 chiffres :

-         120.000 visiteurs uniques chaque mois.

-         7.500 produits référencés

-         Un réseau national de 150 pharmacies