Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est médical. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est médical. Afficher tous les articles

jeudi 24 janvier 2013

MOBILISATION PREMIERS SECOURS AUX ACCIDENTÉS DE LA ROUTE


Du lundi 11 au dimanche 17 février 2013 : Semaine nationale 300 vies
PREMIERS SECOURS AUX ACCIDENTÉS DE LA ROUTE
 
Les étudiants en médecine sollicitent votre aide…

 

Mobilisation virale organisée sous l’égide

de l’ANEMF* (Association Nationale des Etudiants en Médecine de France),

 

En partenariat avec l’ACMF** (Automobile-Club Médical de France),

la MACSF (la Mutuelle d’assurances des professionnels de la santé),

l’Etudiant, le Nouvel Economiste et le Groupe RENAULT.

 

Contrairement à la plupart de nos voisins européens, peu de Français sont formés à la conduite à tenir s'ils sont témoins d'un accident de la route.

 

Afin d'obtenir des Pouvoirs Publics qu'une courte formation aux premiers secours soit délivrée préalablement à l'examen du permis de conduire, jeunes et moins jeunes sont invités à visionner une courte vidéo de sensibilisation aux gestes simples qui peuvent sauver, à la partager avec tous leurs contacts, à liker et à twitter pour soutenir le mouvement :

« 300 vies par an sont en jeu ! ».

 

 


 

 

KIT MEDIA 300 VIES (logo, affiche, photo, visuel) :


 
  

L’Automobile-Club Médical de France (ACMF) a manifesté à maintes reprises, et depuis de nombreuses années, le vœu que l’ensemble des usagers de la route soient formés à la conduite à tenir face à un accident de la route. Un récent rapport de l’Académie Nationale de Médecine « Secourisme en France, Panorama, Perspectives et Propositions », montre le retard de notre pays en la matière et propose la mise en place d’un parcours secouriste citoyen avec des formations adaptées aux différentes étapes de la vie.

 

Malgré les améliorations spectaculaires de l’accidentalité routière ces dernières années, force est de constater qu’elle demeure un véritable problème de santé publique : 3 963 morts et 81 251 blessés en 2011 selon le recueil de l’Observatoire Interministériel à la Sécurité Routière. La plupart des accidents graves se produisent sur le réseau secondaire, l’intervention des services de secours professionnels y est donc souvent retardée (moyenne nationale d’intervention des pompiers = 13mn).

 

Les constatations des services de secours et des études internationales ont prouvé que l’intervention - dans la période qui précède l’arrivée des professionnels - d’un premier témoin ayant reçu une formation même courte, est bénéfique pour le devenir du blessé. Il sera plus à même de transmettre des informations pertinentes au médecin régulateur lors de l’alerte et de réaliser des gestes que ce dernier pourra lui conseiller. En présence d’une détresse vitale, ladite formation permet, par exemple, d’intervenir sur une victime dont l’état respiratoire et hémodynamique sera in fine moins dégradé et donc augure à l’évidence d’une amélioration de la survie. Les estimations en matière de régression de la mortalité routière vont de 5 à 10 % dans l’hypothèse où un premier témoin intervient ; soit pour la seule année 2011, un gain qui aurait pu aller jusqu’à 300 vies.

 

Il convient d’ajouter, et c’est non négligeable, que la prise en charge précoce d’une détresse respiratoire ou d’une hémorragie notamment, réduit de manière significative les séquelles hypoxiques et anoxiques des traumatismes.

 

Il a par ailleurs été prouvé que les usagers de la route formés aux gestes qui sauvent ont une attitude préventive sur la route ; pour eux les accidents sont donc moins nombreux.

 

Plusieurs enquêtes d’opinion, enfin, ont prouvé que les Français sont d’accord pour se former aux gestes de premiers secours, sous réserve que le temps à y consacrer soit court, pour des raisons évidentes d’organisation et de budget.

 

Dans ces conditions, il apparaît à ce jour pertinent d’instaurer une formation systématique lors de la préparation de l’examen du permis de conduire. Un programme pédagogique « Protéger - Alerter- Secourir » a été élaboré par un groupe d’experts et est en cours de validation.

 

Les étudiants en médecine se mobilisent et « sollicitent votre aide… ».

 
  
 

*L’Association Nationale des Etudiants en Médecine de France (ANEMF) est présidée par Monsieur Pierre Catoire

 

**L’Automobile-Club Médical de France (ACMF) est une association à but non lucratif créée en 1952 par des médecins et aujourd’hui présidée par le Docteur Philippe LAUWICK. Elle a pour vocation de fournir assistances et services aux professionnels de la santé. Depuis des décennies, l’ACMF est reconnu comme un acteur majeur de l’automobile et de la sécurité routière.

Plus d’informations sur le site Internet www.acmf.asso.fr.

 


Contact : AUTOMOBILE-CLUB MÉDICAL DE FRANCE

74 avenue Kléber, 75116 Paris  -  Tel : 01 47 04 31 30


 
 

Contact presse : Damien MAILLARD  - Agence MEDISPHERE

Tel. : 01 41 31 96 31/30   -  Mob. : 06 68 06 20 33


 

 

mercredi 12 décembre 2012

Suivi médical de l’aptitude à la conduite et Premiers Secours aux Accidentés de la Route


·         Faut-il généraliser le suivi médical de l’aptitude à la conduite

Face à cette question récurrente après chaque accident mettant en cause un conducteur malade et/ou âgé, c’est une intuition naturelle que d’imaginer que des visites médicales systématiques de l’ensemble des conducteurs -et notamment des plus âgés- seraient un facteur d’amélioration de la sécurité routière.

Ce n’est pourtant pas le point de vue des responsables de l’ACMF, partagé par beaucoup de spécialistes...

 

·         Premiers Secours aux Accidentés de la Route : Mobilisation des jeunes en février 2013 : Semaine nationale 300 vies

Le nombre d’accidents de la route, spectaculaires et meurtriers, et le manque incontestable de formations aux premiers secours en France, révélé par le rapport de l’Académie Nationale de Médecine (« Secourisme en France, Panorama, Perspectives et Propositions »), placent les gestes de premiers secours au coeur de l’actualité.

En partenariat avec l’ANEMF (Association Nationale des Etudiants en Médecine de France), l’ACMF organisera en février 2013 une campagne de mobilisation virale, via internet et les réseaux sociaux, pour mobiliser les jeunes et exiger une formation systématique avant l’examen du permis de conduire.

 

 

Pour en savoir plus et retrouver le dossier de presse fait suite au Congrès « ROUTE ET MÉDECINE 2012 » (22 et 23 novembre 2012), réunissant les acteurs majeurs de la sécurité et de la médecine routières.



 

lundi 10 décembre 2012

LIBRES PROPOS


La confiance ne se décrète pas. En revanche, la défiance se répand de façon

inquiétante. L’exemple de l’hôpital Saint-Malo est éloquent. La justice a dû intervenir pour arrêter les intrusions violant le secret médical d’un cabinet d’expertise au sein des activités médico-chirurgicales de cet établissement.

L’attitude de ces « experts » préfigure une solution à laquelle nos technocrates sanitaires devraient songer pour rendre règlementaires et efficientes ces enquêtes : la définition de nouvelles fonctionnalités dans nos établissements hospitaliers avec la création de deux nouveaux métiers, les inspecteurs et commissaires hospitaliers. Allant par paire, munis d’une casquette et d’un badge portant leur numéro d’immatriculation, les premiers seraient chargés de suivre chaque praticien dans son activité, et de noter ses moindres faits et gestes (pour les gardes, on prévoirait un dispositif allégé, permettant néanmoins d’assurer une surveillance constante).

Les inspecteurs hospitaliers rendraient compte quotidiennement de leur mission à leur supérieur hiérarchique au sein de l’hôpital, le commissaire hospitalier, rattaché directement à la direction. Le corps des commissaires d’ARS serait institué au niveau régional. Pour l’Assistance publique – hôpitaux de Paris, l’Assistance publique – hôpitaux de Marseille et les Hospices civils de Lyon, il faudrait prévoir un échelon intermédiaire, appelé commissaire central, chargé de coordonner l’ensemble des commissaires hospitaliers de ces grands groupes.

Les commissaires d’ARS se réuniraient une fois par mois au ministère de la Santé pour faire un rapport circonstancié au sein de la direction de la surveillance des praticiens (DSP), dont le directeur aurait rang de commissaire général. L’Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et
médico-sociaux (la célèbre ANAP) serait chargée d’évaluer l’ensemble de ce dispositif innovant, et espérons-le, pérenne. Pour cela, elle ferait appel à un cabinet-conseil, sur appel d’offre. Cela assurerait enfin une transparence totale des activités médicales au sein des hôpitaux et pourrait être aisément financé par la suppression de personnels soignants.

 

Bernard Granger.


NDLF : pour recevoir la contribution de Frédéric Pain aux travaux du groupe 3 du pacte de confiance. Merci de contacter en direct Bernard Granger ou Fréderic Pain

 
Réagissez en direct sur le blog

lundi 12 novembre 2012

Marisol Touraine préconise un dossier médical personnel de "nouvelle génération"


08/11/12 - La ministre de la Santé a préconisé mardi soir, devant la commission élargie finances et affaires sociales de l'Assemblée nationale, un DMP de "nouvelle génération" pour faire face à l'échec de la version actuelle. Il y a actuellement environ 222 000 DMP ouverts (19-10), créés dans 160 hôpitaux ou dans le cabinet de 4 000 médecins traitants. Mais, selon Marisol Touraine, ce sont des créations "largement théoriques". Bref, des coquilles vides. "La difficulté à laquelle nous sommes clairement confrontés est que les professionnels de santé ne se sont pas appropriés ce dossier médical", a souligné la ministre . Pour elle, il y a donc trois options possibles. Ou bien "continuer à dépenser de l'argent comme si de rien n'était alors que des sommes considérables ont été investies sans résultat majeur", "supprimer purement et simplement le processus engagé" ou une troisième voie qui est d'aller "vers un DMP de deuxième génération". Cette dernière "suppose une association des professionnels" pour déterminer les objectifs à atteindre, a-t-elle poursuivi, ajoutant qu'il fallait "revoir la gouvernance" du projet, actuellement confiée à l'Asip-Santé. Elle a également enterré la solution du dossier médical sur clé USB, qui ne répond pas à l'objectif de partage de l'information entre professionnels de santé et qui a fait l'objet d'un avis défavorable de la CNIL.
> Dépêche Afp

 

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contact