Nora ANSELL-SALLES

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lundi 23 février 2015

Enquête nationale - Les Français et l'achat de produits de santé sur Internet

Communiqué de presse
#Etude - #E-santé - #parapharmacie - #consommation
Grande enquête nationale :
Les Français et l'achat de produits de santé sur Internet
97% des Français pratiquent l'automédication, dont 82% régulièrement
84% achètent des médicaments sans la prescription d'un médecin
1 Français sur 2 prêt à acheter des médicaments sans ordonnance sur Internet
93% des Français sont contre les sites de vente étrangers
23 février 2015
Que pensent les Français des achats sur Internet de médicaments sans ordonnance ?
Savent-ils qu'ils peuvent effectuer leurs achats en ligne ? Sont-ils prêts à le faire ? Autant de questions auxquelles 1001Pharmacies.com, premier portail français de vente en ligne de produits de santé, a voulu apporter des réponses concrètes à ces questions, en effectuant une grande enquête* afin de mieux connaître les pratiques des Français en termes de fréquentation des pharmacies, d'automédication et d'usage d'Internet à des fins médicales.
*Méthodologie : Enquête réalisée sur Internet par Harris Interactive Inc. du 3 au 5 février 2015, auprès d'un échantillon de 1040 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région des personnes interviewées.
Des pharmacies peu fréquentées ?
Seulement 38% des Français fréquentent de façon régulière les pharmacies pour acheter leurs médicaments. 62% de Français ne se rendent dans une pharmacie que quelques fois par an voire même jamais.
Les Français champions de l'automédication
Les Français deviennent de plus en plus autonomes sur la gestion de leur santé : 93% d'entre eux déclarent réutiliser les médicaments se trouvant déjà dans leurs placards et 84% se passent d'un avis médical et achètent eux-mêmes leurs médicaments sans aucune prescription.
Gain de temps, praticité, économies font partie des principales raisons évoquées. Ceci explique peut-être que les femmes, les CSP- et les plus jeunes indiquent recourir plus fréquemment à l'automédication.
La vente de médicaments sur Internet mal connue des Français
Les Français ont une connaissance très relative de la législation encadrant le commerce de produits de santé sur Internet. En effet, 38% ne savent pas que la vente de médicaments sur Internet est devenue légale depuis 2013. Dans l'ensemble, les Français associent la vente de médicaments sur Internet à une pratique dangereuse, synonyme d'arnaque et de contrefaçon et revendiquent un strict encadrement de cette pratique.
44% des Français prêts à acheter des médicaments sur Internet
Dans l'ensemble, les Français sont plutôt favorables à l'achat de médicaments sans ordonnance sur Internet.
La principale raison évoquée par les personnes réticentes à l'idée d'acheter des médicaments en ligne est le manque de confiance sur la qualité et la provenance du produit, pour 65%.
Pour les personnes se disant intéressées par l'achat de médicaments sur Internet, les motivations des consommateurs sont les mêmes que pour toutes les autres catégories de produits sur Internet : une diminution du coût, un gain de temps et une plus grande facilité d'accès.
« La consommation des médicaments libres d'accès se démocratise... Qui ne consomme pas spontanément de l'aspirine pour des maux de tête ou du doliprane pour des douleurs quelconques ? De ce fait, comme pour tous les produits vendus sur Internet, les premiers consommateurs sont réticents par peur de la qualité du produit. Puis, une fois la confiance établie, Internet devient un canal de choix pour certains d'entre eux. La problématique de ce marché reste bien sûr qu'il traite de médicaments, qui ne sont pas des produits anodins. Mais si la traçabilité des produits est rigoureusement suivie par les pharmaciens responsables, ce canal est destiné à prendre de l'importance. C'est pourquoi nous devons tout faire en France pour faciliter le déploiement de sites Internet Français leaders, faute de quoi, ce seront les sites étrangers qui s'imposeront progressivement auprès des consommateurs français. »
Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.com.
Le seul danger : les sites étrangers non réglementés
Heureusement, les Français se montrent méfiants à l'égard des sites Internet étrangers commercialisant des médicaments, et sont favorables à la mise en place de moyens permettant de les concurrencer. En effet, en France, il est possible d'acheter des médicaments sans ordonnance à partir de sites Internet étrangers. D'ailleurs de nombreux français achètent déjà leurs médicaments sur ces pharmacies en ligne étrangères. Sur ce constat, 84% des Français pensent que l'achat en ligne de médicaments sur des sites étrangers serait moins important si les sites français étaient plus connus des consommateurs français.
« Le meilleur moyen pour concurrencer ces sites étrangers est d'encourager le développement de sites Internet français légaux, qui soient connus des consommateurs. Ainsi, le regroupement de plusieurs pharmacies françaises sur un même site mutualisé serait la meilleure solution pour combattre ces sites étrangers, comme le pensent 85 % des consommateurs ».
Sabine Safi, co-fondatrice de 1001Pharmacies.com.
Pour télécharger et découvrir l'ensemble de l'enquête : Lien
1001Pharmacies en chiffres :
Nombre de clients : 500 000
Nombre de Visiteurs uniques : 1 000 000
Vendeurs et pharmacies partenaires : 600
Volume de ventes : 7M€ en 2014
Volume de ventes : 22M€ prévisionnels en 2015
35 salariés
1001pharmacies.com
1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS, basée à Montpellier (34). Lancée en octobre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web, et Sabine Safi, Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits et de délivrer leurs conseils sur internet. Aujourd'hui le site référence également d'autres vendeurs spécialisés dans la santé pour proposer 15.000 références en matériel médical, vétérinaire, santé connectée, et bien sûr parapharmacie. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et de BPI France, et a réalisé début 2014 une levée de fonds de 2 millions d'euros.
Pour en savoir plus : http://www.1001pharmacies.com.

mercredi 6 novembre 2013

92% des Français se soignent sans les conseils d'un médecin


Sondage 1001Pharmacies : quel est le premier reflex quand vous êtes malade ?

 


N°1 : les médicaments à disposition

N°2 : les médicaments sans ordonnance

N°3 : l'attente du rétablissement

N°4 : le rendez-vous médical

N°5 : les produits naturels

 

"Les Français n'ont-ils plus confiance en leur Docteur ? Alors que nous savons pertinemment qu'il peut-être très dangereux pour la santé de se soigner sans l'avis préalable d'un médecin, il semble que les Français prennent tous les risques en se fiant à leur propre jugement et consomment des médicaments non utilisés, sans ordonnance ou attendent leur rétablissement avec des recettes de grand-mère."

Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 

  

1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, dévoile les résultats d'un sondage réalisé sur Internet auprès d'un panel de 20 000 consommateurs français (membres inscrits sur la plateforme 1001Pharmacies) et sur plus de 2 900 internautes sur Facebook.


 

Médicaments non consommés, sans ordonnance, produits naturels ou simple attente de rétablissement, les Français pratiquent à 92% l'automédication.

Avec plus de 60% de réponses, il est clair que les Français sont adeptes du recyclage de médicaments. Pour gagner du temps ou de l'argent, les malades préfèrent ouvrir leurs boites à pharmacie personnelles et piocher dans les médicaments à leur disposition, faisant fi de tout avis ou contre-indication médicale.

 

N°1 Je me soigne avec les médicaments à ma disposition 60%

N°2 Je me soigne avec des médicaments accessibles sans ordonnance 20%

N°3 J'attends que ça passe 8%

N°4 J'appelle mon Docteur  8%

N°5 Je me soigne avec des produits naturels  4%

 

Docteur Google

En amont de cette prise de décision, la recherche sur Internet semble être en pleine augmentation. Les Français recherchent ainsi activement des réponses ou des avis sur leurs symptômes afin d'établir eux-mêmes un diagnostique.

 

 

1001Pharmacies en 3 chiffres :

150.000 visiteurs uniques chaque mois.

12 000 produits référencés

Un réseau national de 185 pharmacies

 

 

A propos de 1001Pharmacies

1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS dont le siège social est basé à Lunel(34). Co-fondée en septembre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web , et Sabine Safi , Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de parapharmacie sur internet. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34).

Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com
 

NDLR : MGEFI et MEDICAMENTS

Médicaments : une base de données en ligne pour mieux vous informer                     
  • Triangle noir pour les médicaments sous surveillance renforcée                               
  • Rechercher un professionnel de santé                     
  • Médicaments à vignette blanche, bleue ou orange                     
  • Tiers payant et génériques                     
  • Foire aux questions sur la santé                     
  • F.A.Q. Santé                     
  • Foire aux questions sur la prévoyance                     
  • F.A.Q. Prévoyance                     
  • Foire aux questions pratiques                     

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    mercredi 12 juin 2013

    Coronavirus : précautions d'usage

    Mondial Assistance rappelle les précautions d’usage pour les voyageurs se rendant dans les pays du Proche ou Moyen-Orient

    Fil info

    Afin de voyager sereinement au Proche et Moyen-Orient, principal foyer du Coronavirus, Mondial Assistante rappelle les conseils d’hygiène à suivre sur place :
    o     Hygiène des mains : se laver les mains à l'eau et au savon régulièrement et utiliser une solution hydro-alcoolique dans les lieux publiques

    o     Eviter tout contact direct avec les animaux

    o     Se tenir à distance des personnes présentant des signes d'infection ORL (rhume banal, toux)

    o     Consulter un médecin en cas de fièvre supérieure à 38°C et de toux ou difficultés à respirer et porter un masque chirurgical (ou faute de masque, utiliser des méthodes de confinement (mouchoir ou main) lors des accès de toux et les éternuements.)

    Lors du retour en France, en cas de fièvre supérieure à 38°C et de signes respiratoires (allant de la simple toux à la difficulté respiratoire), il est recommandé d’appeler son médecin ou le 15 en évoquant son voyage.


    A propos de Mondial Assistance

    24h/24 et 365 jours par an, Mondial Assistance intervient partout dans le monde pour apporter à ses clients entreprises et particuliers des solutions d’assistance et d’assurance sur mesure dans les domaines de l’automobile, du voyage, des loisirs, de la mobilité, de l’habitat, de l’emploi, de la santé et des services aux personnes.

    Mondial Assistance appartient à Allianz Global Assistance, leader international de l’assurance voyage et de l’assistance qui anime un réseau de 400 000 prestataires et de 135 correspondants. 250 millions de personnes sont bénéficiaires de ses services soit 4% de la population mondiale.

    Site internet :
    www.mondial-assistance.fr
    flux RSS   http://twitter.com/#!/MondialAssistFR

     

    vendredi 3 mai 2013

    Contraception d'urgence : la nécessité d'une meilleure information

    Contraception d'urgence : la nécessité d'une meilleure information


    En France, même si trois femmes sur quatre disposent d'une contraception, les échecs contraceptifs restent fréquents : une grossesse sur trois est non prévue et la moitié conduit à une interruption volontaire de grossesse. La Haute Autorité de Santé a été saisie pour évaluer l'efficacité de la prescription à l'avance de la contraception d'urgence sur la réduction du nombre grossesses non prévues et sur ses conséquences éventuelles sur la couverture contraceptive et le risque d'infections sexuellement transmissibles.


    Depuis plusieurs années, les politiques en matière de contraception ont notamment pour objectif de réduire le nombre de grossesses non prévues ainsi que celui des interruptions volontaires de grossesse (IVG). Pourtant, ce nombre reste élevé, avec une grossesse sur trois non prévue, la moitié de ces grossesses aboutissant à une IVG. Une des pistes envisagées par l'Inspection générale des affaires sociales dans son évaluation de la loi de 2001 relative à l'IVG et à la contraception est de délivrer à l'avance la contraception d'urgence aux femmes.


    Saisie par la direction générale de la santé sur cette question, la Haute Autorité de Santé a évalué l'efficacité de la prescription systématique de la pilule de contraception d'urgence (PCU)* sur l'incidence des grossesses non prévues, sur les risques d'une moindre utilisation de la contraception régulière et sur les comportements sexuels à risque en termes de rapports non protégés et d'infections sexuellement transmissibles. La contraception d'urgence désigne une contraception « de rattrapage », utilisable par les femmes en situation d'urgence dans les 3 à 5 jours qui suivent un rapport sexuel non ou mal protégé pour éviter une grossesse non prévue. Elle n'est pas efficace à 100% et plus sa prise a lieu rapidement après le rapport non protégé, plus son efficacité est grande. Elle n'est pas destinée à être utilisée de façon régulière en raison du risque d'échec plus grand qu'avec les autres contraceptifs. Disponible en pharmacie sans ordonnance médicale, elle est délivrée de manière gratuite et anonyme aux mineures en situation d'urgence.


    Dans son rapport d'évaluation de santé publique, la HAS conclut qu'il n'y a pas de preuve de l'efficacité d'une telle disposition sur le nombre de grossesses non prévues à l'échelle populationnelle. Par ailleurs, les études montrent que la prescription à l'avance de PCU n'entraine pas d'effets néfastes sur la prise d'une contraception régulière ou sur les infections sexuellement transmissibles. La HAS recommande plutôt d'envisager cette prescription au cas par cas accompagnée d'une information personnalisée, comme par exemple aux femmes qui ont des difficultés d'accès géographiques à la contraception d'urgence.


    Outre ces conclusions, la HAS insiste sur deux recommandations. Il lui apparaît essentiel de considérer la contraception d'urgence comme une « solution de rattrapage », à intégrer dans le cadre général de la santé sexuelle et reproductive. Elle défend également une meilleure information sur la contraception d'urgence, via les professionnels de santé, les associations et les programmes d'éducation à la sexualité en milieu scolaire car un frein majeur à son utilisation est sa méconnaissance. Cette information doit concerner les femmes et les hommes et aborder la contraception d'urgence sur tous ses aspects : délai d'utilisation des différentes méthodes, mode d'utilisation et possibilités d'accès.


    Consultez les documents en cliquant ici


    *: Seule la pilule de contraception d'urgence a été évaluée par la HAS dans le cadre de la prescription à l'avance, l'autre méthode de contraception d'urgence que représente le DIU au cuivre, est moins compatible avec une prescription anticipée et nécessite une mise en place par un médecin.

    mercredi 20 février 2013

    LIBRES PROPOS Signés Jacques Draussin







     


     

    lundi 14 janvier 2013

    info sécu


    Un module de recherche des taux de versement transport sur le portail Urssaf

    Retrouver un taux de versement transport, c'est désormais possible sur urssaf.fr. Un nouveau module de recherche est disponible en ligne.

    Il suffit de renseigner son code postal ou le code commune. La contribution transport destinée à financer les transports en commun est recouvrée par les Urssaf qui sont chargées de la reverser aux autorités organisatrices de transports. Le service en ligne

     

    La téléconsultation souffle sa première bougie en Picardie

    Priorité des pouvoirs publics, la télémédecine est vue comme un remède à la désertification médicale. Le Quotidien du médecin cite la région Picardie, où la densité médicale est la plus faible de France, comme la bonne élève dans le domaine.

     Le CHU d'Amiens a mis en place à partir de décembre 2011 des téléconsultations avec plusieurs établissements publics et privés de la région et du Nord-Pas-de-Calais, qui permettent de pallier le manque de praticiens et de gagner du temps dans le transport pour les patients mais aussi pour les nombreuses réunions de concertations pluridisciplinaires. "Confrontée à l'insuffisante attractivité de la région, l'ARS a eu la conviction qu'il fallait trouver une alternative", explique le directeur du groupement de coopération sanitaire (GCS) e-santé de Picardie, porteur du projet. "La télémédecine est un complément à la médecine de proximité". Environ 1 000 patients sont pris en charge tous les mois par une centaine de professionnels de santé grâce à la plateforme spécifique dont les établissements se sont dotés. Ces consultations à distance concernent actuellement la dermatologie programmée, la diabétologie (suivi du pied diabétique) et le dépistage de la rétinopathie. Le GCS e-santé prévoit de développer la téléconsultation dans les prisons de Picardie mais aussi dans des maisons et pôles de santé, des cliniques et des EHPAD. Le principal frein au déploiement du dispositif concerne les modes de rémunération des professionnels libéraux qui nécessitent un éclaircissement juridique.  L'article du Quotidien du médecin 10 janvier 2013

     

    DCGDR Lorraine

    Découvert par hasard, ce site de la direction de la coordination de la gestion du risque en Lorraine explique les missions de la DCGDR qui s'appuie sur l'ensemble des organismes d'Assurance Maladie impliqués dans le champ de la maîtrise médicalisée des dépenses de santé et de la lutte contre la fraude en Lorraine.

     On y trouve quelques exemples des activités de gestion du risque (GDR) réalisées par les caisses. Un extranet complète cette curiosité.  Le site

     

    Hit des liens les plus cliqués de la lettre 535 du 06 janvier 2013







     

    Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

    jeudi 13 septembre 2012

    Le chiffre de la semaine

    2 639 euros mensuel, c'est ce que gagne en moyenne un médecin à la retraite, selon la dernière livraison statistique de la Caisse autonome de retraite des médecins de France (CARMF) qui couvre 45 943 praticiens - lequotidiendumedecin.fr 04/09/2012