Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 18 septembre 2013

Le chiffre : 48 % ....


C’est la part du jus d’orange dans la consommation totale de jus de fruits en France.

 

Source : Unijus - Livre blanc du jus de fruit

lundi 17 juin 2013

Astuces en cuisine...


Pour près de 80% des consommateurs d’huile de graine, les bouteilles ne permettent pas de maîtriser sa consommation et autant déplorent qu’elles ne restent pas propres !

 

Avec ses bouteilles d’huile dernière génération, Lesieur renouvelle tous les codes. Le nouveau flacon « Stop Goutte » reste propre et permet de maîtriser le dosage. Pressez, dosez, stoppez c’est LE nouveau geste en cuisine…

 

Trois huiles sont déclinées dans ce format : Fleur de Colza,  Cœur de Tournesol et ISIO 4 !

 

Le tout nouveau produit gourmand : Duo Huile et Beurre marie l’huile et le beurre pour le meilleur… et seulement pour le meilleur !

mercredi 15 mai 2013

BOUTEILLE A LA MER : de Laurence Tankère


DONNEZ UN COUP DE POUCE vous aussi à la recherche de Laurence… en faisant naviguer cette « bouteille à la mer » sur votre réseau….


Laurence recherche un poste de senior: en relations presse/publiques ; événementiel ; agence de communication, ou intégré, sur Paris.


Laurence a travaillé 6 ans aux "Galeries Lafayette" et + de 10 ans dans différentes agences.


Elle possède une vraie expertise: "Art de vivre", "Maison", "Grande consommation", et "Evénementiel".


Outre de solides compétences rédactionnelles et relationnelles. Elle est à la fois: dynamique, sérieuse, souple, curieuse d'esprit, et s'adapte avec aisance.


Très motivée, elle est prête à se lancer un nouveau challenge!


Détail d'importance elle est disponible à partir du 3 juin 2013.


   

Pour entrer en contact avec Laurence pour recevoir son CV, ou pour tout complément d’information, conseil etc. n'hésitez pas à la joindre en direct :tankere.laurence@neuf.fr



Un grand merci par avance, du coup de pouce donné à Laurence

   

Si votre structure recherche un profil similaire au sien. Laurence peut bien sûr adresser son cv au service RH. Elle est à votre écoute pour une mise en relation, lettre de motivation adaptée, rdv téléphonique ou physique...


Un grand merci par avance, du coup de pouce donné à Laurence



mercredi 6 mars 2013

Substituts de repas : mieux les comprendre pour en finir avec les clichés


Les régimes hyperprotéinés trop drastiques, prônant une consommation exclusive de protéines sans apport maîtrisé en glucides, lipides et micronutriments essentiels, ont connu un engouement sans précédents. Mais, retour de bâton, ces mono-diètes « tout protéines » se sont vues sévèrement décriées. Les substituts de repas, quant à eux, se révèlent être de vrais alliés dans la « boite à outils » minceur. S’ils sont riches en protéines, ce ne sont pas des « tout protéines ». Avec un apport calorique réduit, ils garantissent un quota de vitamines, de minéraux, de glucides et de lipides, dont des acides gras essentiels, indispensables au maintien du capital santé. Utilisés en alternance selon les besoins de chacun, ils s’intègrent dans la journée avec les repas dits « classiques ». Le lien avec l’aliment n’est jamais rompu. (Cliquez sur l'image pour lire la vidéo). Lire la suite...

mardi 5 mars 2013

LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin










 

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jeudi 28 février 2013

Le chiffre : 142 - 164 g/j


C’est la consommation moyenne de boissons sucrées chez les adolescents issus de foyers de niveau socioéconomique bas (vs 71 - 104 g/chez ceux issus de foyers de niveau socioéconomique élevé).

 

Source : Disparités socioéconomiques et apports alimentaires et nutritionnels des enfants et adolescents. Anses CP 1/2./2013 - www.anses.fr/index.htm

mardi 12 février 2013

LIBRES PROPOS signés Jacques DRAUSSIN



L'étalon dans l'estomac

Nos fidèles lecteurs [il y en a !] nous donnent quitus d'au moins une qualité : le chiffon rouge des peurs médicales ne fait pas partie de notre boite à outils éditoriale.
Loin de nous donc l'idée de vouloir transformer en scandale sanitaire une arnaque à la consommation, quelle qu'en soit l'ampleur.

Pourtant, il est difficile de ne pas mettre en doute la réalité de la fameuse « traçabilité » agroalimentaire qui devrait, nous assure-t-on, quasiment permettre d'appeler par son prénom le steak que l'on sert dans notre assiette.

Que la viande de son hachis Parmentier arrive de Roumanie par l'intermédiaire de traders néerlandais puis chypriote, achetée par un sous-traitant du Sud-ouest pour le compte d'un grossiste de Lorraine travaillant via le Luxembourg pour 15 marques internationales de surgelés et autant de distributeurs… c'est déjà dur à avaler.

Mais qu'on ne se préoccupe à aucun moment, malgré une kyrielle de contrôles sanitaires et douaniers successifs, de distinguer entre le cheval et le bœuf amènerait le plus crédule d'entre nous à soupçonner les services vétérinaires de ne pas être en mesure de repérer une trichine chevaline en ne cherchant qu'un prion bovin, voire de laisser passer les traces d'un remède de cheval de type phénylbutazone…

Toute la filière viande se retrouvait hier soir à Bercy pour trancher la question de la consommation. Ce sont les mêmes qui pourraient bientôt prendre le chemin de l'avenue de Ségur pour tailler une petite bavette sanitaire.

Jacques DRAUSSIN

Désormais, retrouvez également Bien Sûr Santé sur 21 chaines TV régionales de la TNT, en association avec l'émission quotidienne « Place à la Santé ». Cette semaine, 5 émissions sur le thème : « Faut-il croire à la prévention ? ».

Vidéos à découvrir sur
www.biensur-sante.com


mercredi 6 février 2013

Salles de consommation contrôlée de drogues (« salles d’injection »)


L’Académie de médecine réitère son opposition  au projet d’expérimentation

 

En janvier 2011, l'Académie Nationale de Médecine1, après plusieurs réunions, auditions d’experts et analyse des résultats des expériences à l’étranger, a indiqué son opposition  à la création de salles de consommation contrôlée de drogues telles qu’elles sont actuellement définies. Cet avis s'est appuyé sur plusieurs arguments au premier rang desquels :

-    les addictions aux substances psycho-actives créent un état de maladie qu'il convient de traiter et non d'entretenir : priorité doit donc être donnée aux actions visant à aider le sujet dépendant à retrouver la liberté que la drogue lui a ôtée ;

-    notre pays est doté de structures de soins aux toxicomanes facilement accessibles et en outre susceptibles de délivrer des produits de substitution à l’héroïne : l’efficacité de la politique de réduction des risques mise en œuvre en France (distribution de seringues, traitements de substitution) est attestée par une réduction massive de la contamination des usagers de drogues par le virus HIV (moins de 2%  des nouvelles contaminations concernent des  toxicomanes).

En France 140 000 personnes reçoivent un traitement de substitution par voie orale : notre pays est au premier rang concernant cette offre2.

 

Selon le rapport INSERM3 de 2010 ayant trait aux modalités de réduction des risques, 8 pays se sont dotés de salles d’injection contrôlée dans des contextes sanitaires et de politique de réduction des risques très différents des nôtres. Il n'est pas établi que les salles d’injection contrôlée aient un impact sur la consommation de drogues des usagers ou de la communauté.

 

L’Académie Nationale de Médecine souligne que la mise en place expérimentale de salles d’injection contrôlée serait d’un coût élevé : un tel projet ne devrait pas se faire au détriment des actions déjà entreprises et du soutien aux associations de bénévoles œuvrant contre les toxicomanies.

Regrettant que son avis de janvier 2011 n’ait pas été entendu puisque les pouvoirs publics affirment vouloir persister dans leur projet d'expérimenter la mise en place de salles d'injection contrôlée des drogues, l'Académie nationale de médecine redit avec netteté  les obstacles à la mise en place d’un tel projet.

1)      L'organisation de salles d'injection contrôlée de drogues ne saurait se concevoir sans les conditions de sécurité sanitaire nécessaires à tout acte d’injection :

a.       identification du produit injecté ;

b.      garantie d’asepsie ;

c.       disponibilité des moyens de réponse aux urgences vitales consécutives à l’injection.

2)      Une telle expérimentation  imposerait de satisfaire à certaines exigences éthiques et juridiques :

a.       Toute expérimentation suppose une méthodologie, des critères d’évaluation et un calendrier définis à l’avance ;

b.      la personne admise dans un protocole expérimental devrait bénéficier d’une information éclairée sur les risques encourus et il faudrait recueillir l’expression de son consentement ;

c.       les responsabilités des pouvoirs publics et des professionnels en cas de complication médicale voire d’acte délictueux commis sous l’emprise de la drogue devraient être définies ;

d.      le risque de recours consécutif à l’injection de substances non inscrites à la pharmacopée ou à des posologies non répertoriées voire illégales devrait être pris en compte.

 

L’Académie de médecine réitère donc son opposition au projet d’expérimentation de salles de consommation contrôlée des drogues.

 

Groupe de travail : J.F. Allilaire, J. Costentin, J.P. Goullé, M. Hamon, X. Laqueille, M. Lejoyeux, M.C. Mouren, J.P. Olié (rapporteur), R. Nordmann, J.P. Tillement (Commissions 2, 5 et 6)

 

1 - Nordmann R. A propos d’un projet de création en France de « salles d’injection pour toxicomanes », Bull. Acad. Nle Med, 2011, 195, 203-204 en ligne dans http://www.academie-medecine.fr

2 - New Developments, trends and in-depth information on selected issues. National report to the EMCDDA by the Reitox National Focal Point France (2007 data). Office Européen des Drogues et toxicomanies, 2008: 100p

3 - INSERM Expertise collective. Réduction des risques infectieux chez les usagers de drogues, Les éditions INSERM, Paris, 2010 : 573

 

lundi 3 décembre 2012

Prévention de l’accident vasculaire cérébral : La consommation de chocolat serait bénéfique chez les hommes


 

 

Le bénéfice d’une consommation de chocolat pour la prévention cardiovasculaire est établi par de nombreuses études épidémiologiques. Il est attribué à sa haute teneur en flavanoïdes, microconstituants ayant un potentiel anti-oxydant, antiagrégant plaquettaire et anti-inflammatoire et entraînant une diminution de la pression artérielle et de la cholestérolémie. En revanche, le bénéfice concernant la prévention des maladies cérébrovasculaires fait encore débat puisque, des quatre études disponibles, deux seulement ont montré un effet préventif significatif. Voici un travail suédois pour le moins intéressant.